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Le Nouveau Théâtre espagnol (1967-1978). Histoire d'une résistance politique, culturelle et esthétique sous le franquisme tardif

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Critique Théâtre

Le Nouveau Théâtre espagnol (1967-1978). Histoire d'une résistance politique, culturelle et esthétique sous le franquisme tardif

Le Nouveau théâtre espagnol est apparu dans le panorama scénique espagnol à la fin des années 1960, alors que le régime franquiste commençait à montrer ses premiers signes d'agonie. Ce courant dramatique contemporain du réalisme social ne constitue pas une école définie mais se compose d'une diversité d'auteurs alors jeunes et inconnus, présentant des similitudes dans leur production, fruits d'une époque particulière. Par la mise en regard de 168 pièces - dont de nombreuses toujours inédites à ce jour -, cette étude fait revivre ce courant dramatique et scénique qui s'est développé en Espagne pendant le franquisme tardif et le début de la Transition (1967-1978), un mouvement artistiquement expérimental, culturellement anticonformiste, esthétiquement anti-conventionnel et politiquement antifranquiste. Elle met en lumière des oeuvres méconnues - voire inconnues - qui furent marginalisées de la scène en leur temps et apporte un éclairage sur le concept alors novateur du Nouveau théâtre espagnol, sur ses caractères stylistiques définitoires, ainsi que sur sa diffusion minoritaire liée à son contexte socio-culturel et politique - notamment à la censure, particulièrement sévère à l'encontre de ce théâtre critique.

04/2021

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Humour

Quelques meneurs d'hommes

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme, volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

06/2002

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Humour

Quelques Philosophes. Edition revue et augmentée

Ces dessins sont extraits de divers albums : Tout se complique (1963), M. Lambert (1965), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

11/2021

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Humour

Quelques manifestants

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Face à face (1972), Bonjour, bonsoir (1974), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987) et Beau temps (1999).

10/2000

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Humour

Le monde de Sempé. Volume 2

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

12/2004

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Humour

Le monde de Sempé. Volume 1

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Les musiciens (1979, 1996), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme & volupté (1987), Insondables mystères (1993), Grands rêves (1997) et Beau temps (1999).

10/2002

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Humour

Quelques enfants. Edition revue et augmentée

Ces dessins sont extraits de plusieurs albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

11/2021

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Théâtre

Théâtre de Résistance. (1970-1974)

Un théâtre entre jubilation et contestation Cet ouvrage nous propose le théâtre complet de Kim Shi-ha, avec cinq pièces de résistance, écrites entre 1971 et 1974 par le poète alors trentenaire, et qui lui coûteront tortures et prison à l'époque de la dictature en Corée du Sud. Cet immense auteur, né en 1941, à la fois poète, philosophe et essayiste, intellectuel engagé, acteur culturel de premier plan, aujourd'hui toujours combatif, qui n'est connu en France que de réputation, a compris, dès sa jeunesse, que le théâtre populaire, dont la tradition est si riche en Corée — qu'il s'agisse de danses masquées, de chants pansoris, de rituels chamaniques ou de groupes de percussion —, était une arme pour parler du présent, pour lutter contre le totalitarisme et s'adresser au peuple. La traduction de ces pièces jubilatoires reste fidèle à une langue à la verve intarissable, souvent considérée comme intraduisible à cause de ses jeux sur les mots, ses rythmes, ses sonorités, ses changements de registre, bref sa richesse...

06/2019

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Théâtre

Le nouveau théâtre 1947-1968. Un combat au jour le jour

"Le critique dramatique, sans faire le moins du inonde abstraction de ses goûts personnels, se doit de comprendre qu'il existe deux sortes de théâtre que 1'on peut appeler, un peu simplement, théâtre de pensée et théâtre de distraction. Il doit admettre, quels que soient ses goûts, qu'il y a des gens pour qui le théâtre est un élément de la vie spirituelle, et d'autres qui ne veulent y trouver qu'un divertissement et que les uns et les autres sont respectables. Tout son soin consiste à aider ces gens à distinguer une pensée authentique d'une pensée tricheuse, un art vrai d'un art menteur, un divertissement de qualité d'un divertissement ignoble" (Jacques Lemarchand, Spectateur, 19 novembre 1946). Au lendemain de la Libération et jusqu'à la veille de mai 1968, Jacques Lemarchand (1908-1974) affirme, par ses chroniques dans Combat, La NRF puis Le Figaro littéraire, son rôle de veilleur attentif accompagnant l'émergence d'un théâtre nouveau (Adamov, Audiberti, Beckett, Duras, Genet, Ionesco, Vauthier, Vinaver...), d'observateur lucide de la scène théâtrale et d'éditeur consciencieux des textes d'auteurs dramatiques, dans la collection "Le Manteau d'Arlequin" qu'il dirige aux Editions Gallimard. Son oeuvre critique et son style personnel sont la marque d'une éthique rigoureuse et d'une grande richesse intellectuelle, que ce recueil permet de redécouvrir.

12/2009

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Humour

Quelques artistes et gens de lettres

Ces dessins sont extraits de divers albums : La grande panique (1966, 1994), Information-consommation (1968), Des hauts et des bas (1970), Face à face (1972), Un léger décalage (1977), Comme par hasard (1981), De bon matin (1983), Vaguement compétitif (1985), Luxe, calme et volupté (1987), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

05/1999

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Sociologie

Presse, la grande imposture

EXTRAIT DE CASIER JOURNALISTIQUE : Nom : Morrot Prénom : Bernard Date de naissance : 28/10/1936 Carte de presse : n° 16931 FORFAITS : 1957-1965 : Journaliste à Paris-Presse. 1965-1967 : Rédacteur puis rédacteur en chef à Paris-Jour. 1967-1977 : Rédacteur aux informations générales puis rédacteur en chef au quotidien L'Aurore, chargé des informations générales. 1977-1978 : Rédacteur en chef adjoint, chef d'édition du quotidien Le Matin de Paris. 1978-1979 : Rédacteur en chef adjoint de l'hebdomadaire VSD. 1979 : Rédacteur en chef de L'Aurore. 1979-1985 : Directeur de la rédaction du Quotidien de Paris. 1985-1986 : Rédacteur en chef adjoint du Figaro. 1986-1987 : Directeur adjoint de la rédaction du Matin de Paris. 1987 : Co-directeur de la rédaction du Matin de Paris. 1988-1990 : Responsable du projet du quotidien populaire du Groupe Hersant Paris Star et co-responsable de la cellule investigations du Figaro. 1990-1992 : Rédacteur en chef du Figaro, chef du service des informations générales. 1992-1997 : Directeur de la rédaction de France-Soir. DERNIER DELIT : Directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Marianne. SIGNE PARTICULIER : Adore la polémique et l'humour, déteste la langue de bois et n'épargne pas ses chers confrères, ce qui lui vaut de nombreuses inimitiés. Pour beaucoup d'entre eux, cet homme est dangereux.

04/2001

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Musique, danse

György Ligeti

Au-delà des chapelles, des clans, des écoles et du cercle toujours étroit des musiciens contemporains, la musique de György Ligeti (1923-2006) a su trouver une large audience. Les textures inouïes, sidérales, des grandes oeuvres pour orchestre : Apparitions (1958-1959), Atmosphères (1961), Lontano (1967), Melodien (1971), le sens dramatique profond révélé dans une multitude de prismes, allant de la dérision ostentatoire (Aventures, 1962) jusqu'à la plus pure suggestion intérieure (Etudes pour piano, 1985-2001) en passant par la geste opératique tragique (Requiem, 1963-1965) ou bouffonne (Le Grand Macabre, 1974-1977), prisme fondé sur une poétique des rythmes qui en avive la perception en profondeur (Continuum, 1968 ; Clocks and Clouds, 1972-1973 ; Concerto pour piano, 1980-1988), ainsi qu'un rapport unique aux timbres, à leur plasticité, à leur sensualité (Concerto de chambre, 1969-1970 ; Concerto pour violon, 1989-1993 ; Síppal, Dobbal, Nádiheged vel, 2000) lui ont permis de capter un vaste public, grâce d'autant plus puissante que rare. Avec une empathie de compositeur, Karol Beffa met ici en perspective les périodes créatrices de György Ligeti, de ses débuts, dominés par l'admiration de Bartók, confrontés aux tragédies du XXe siècle, à l'accomplissement atteint en Europe de l'Ouest. Les différents foyers dans lesquels il put s'épanouir (Cologne et son Studio de musique électronique, l'avant-gardiste Darmstadt, la dadaïste Düsseldorf, Hambourg où il enseigna la composition) sont évoqués ici comme les jalons façonnant une personnalité radicalement indépendante, dont les modèles pour la création étaient aussi bien littéraires et picturaux que musicaux.

05/2016

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Histoire internationale

La dernière révolution de Mao. Histoire de la Révolution culturelle 1966-1976

On ne saurait comprendre la volonté aujourd'hui de la Chine communiste de devenir une superpuissance capitaliste sans en remonter à la source, traumatique : la Révolution culturelle. Lancée en 1966 par Mao Zedong, cette « guerre civile générale » visait à défaire « les éléments de la bourgeoisie infiltrés dans le Parti. le gouvernement, l'armée et la culture ». Ceux-ci auraient travaillé à renverser la dictature du prolétariat, à l'instar de Khrouchtchev en URSS et de sa révision du stalinisme. Mao incite à la rébellion tout particulièrement les lycéens, transformés en Gardes rouges. Elevée dans la violence répétée des campagnes de « luttes de classe », délivrée des freins familiaux et institutionnels, livrée à elle-même (« plus vous tuez de gens, plus vous êtes révolutionnaire »), la jeunesse instaure une première terreur contre des responsables de l'Etat et du Parti de 1966 à 1968. Mais en juillet 1968, Mao décide froidement de briser les activités révolutionnaires de la Garde rouge et d'endiguer l'effondrement de l'économie; il ordonne à l'armée de procéder au démantèlement expéditif des organisations, il contraint près de douze millions de jeunes à renoncer aux études pour travailler aux champs ou dans les usines. Le retour sanglant à l'ordre bureaucratique fit davantage de morts et de blessés que les agissements des Gardes rouges déchaînés en 1966-1967 ou les combats armés entre les « organisations de masse » rivales en 1967-1968. Il fut conduit par l'armée d'abord, puis par les nouvelles structures politiques qui remirent au pas les militaires grâce à la liquidation du maréchal Lin Biao en septembre 1971, quelques mois seulement après qu'il eut été proclamé le successeur de Mao. Cent millions de personnes ont été affectées par la Révolution culturelle, incluant les survivants estropiés à vie comme les familles dont l'existence a été simplement perturbée par les événements; le nombre de victimes directes, tuées, suicidées, voire dévorées puisque les cas de cannibalisme furent nombreux, serait d'un million. La dernière révolution lancée par Mao, afin de transformer les êtres, fut l'ultime tentative, par le refus de singer les étrangers (Occidentaux, puis Soviétiques), de perpétuer dans la modernité occidentale une essence proprement chinoise, rêvée depuis un siècle par les élites. La Révolution culturelle fut le baroud d'honneur du conservatisme chinois.

09/2009

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Aventure

24 Heures du Mans : Anthologie sixties. 1961-1963 : Rivalités italiennes ; 1964-1967 : Le duel Ferrari-Ford ; 1968-1969 : Rien ne sert de courir...

Revivez en BD les grands moments de la plus célèbre des courses d'endurance ! Depuis sa création en 1923, le rendez-vous des 24 Heures du Mans a connu des moments d'anthologie. Après sa victoire en 1960 face à Aston Martin, Ferrari compte bien prouver l'efficacité de ses TR61 et 250GT. En 1961, la marque italienne au cheval cabré s'apprête à devenir hégémonique. Mais le mitan des années 60 marque aussi l'arrivée de l'emblématique constructeur américain Ford dans la course. C'est le début des rivalités. De 1964 à 1967, les deux constructeurs n'auront de cesse de se défier ! A la fin des années 60, malgré le modèle vieillissant de la GT 40, Ford continuera à défier l'ambitieuse écurie Porsche avec notamment une dernière course de légende dont le héros est un jeune pilote belge prometteur : Jacky Ickx. Frissons, innovations techniques, révélations et rebondissements sont au rendez-vous de cette décennie remarquable pour le sport automobile, une époque qui méritait bien une anthologie.

11/2023

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Histoire de l'art

Restitutions . Une histoire culturelle et politique

Prise de guerre, pillage, spoliation, saisie, confiscation⦠nombreux sont les mots pour désigner le déplacement des Åuvres d'art dont l'histoire est émaillée depuis l'Antiquité jusqu'à l'actuel trafic illicite des biens culturels, en passant par les guerres et la colonisation des territoires. Cet ouvrage aborde, pour la première fois, frontalement et analytiquement les restitutions. Après une mise au point linguistique, historique et juridique de la restitution, un nécessaire état des lieux contemporains permet de décrire et analyser les nouvelles formes de revendications et leurs enjeux. Enfin, un épilogue interroge la portée d'une nouvelle conception politique des retours et la nécessité d'une nouvelle culture des restitutions pour comprendre ce que le patrimoine et l'histoire ont à gagner et à perdre. Docteur en droit et historien de l'art, Pierre Noual enseigne dans diverses universités et collabore régulièrement avec plusieurs revues culturelles et juridiques.

10/2021

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Littérature française

TOUS FEUX ETEINTS (CARNETS 1965,1966,1967)

N'a-t-on pas tout dit sur un écrivain qui occupe depuis plus d'un demi-siècle l'avant-scène de la littérature contemporaine ? Cependant la parution des Carnets 1965, 1966, 1967, Carnets sans dates, Carnets 1972 qui précédèrent de peu son suicide, apporte sur l'homme et le moraliste un éclairage plus intime, plus féroce et plus absolu. En notant ses réflexions à propos de son travail et de ses rencontres, il se parle et nous parle à travers son orgueil et sa volonté de solitude. Lorsque je mourrai, écrit-il déjà en 1965, on trouvera encore des raisons pour montrer que je ne suis pas mort comme il fallait. L'obsession de la mort et le besoin de maintenir une distance entre les autres et lui-même sont comme le tracé secret, émouvant, d'une pensée parallèle à son oeuvre de créateur.

05/1975

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Histoire internationale

La révolution culturelle chinoise sous le regard des Français (1966-1971)

La Chine de la révolution culturelle fut, pour les occidentaux, d'une rare opacité. Replié sur lui-même, le pays ne laissait quasiment rien voir de ses bouleversements. Dans ce contexte, les "pékinologues" français, diplomates, experts ou journalistes, rivalisèrent d'ingéniosité pour décrypter la vie politique de la Chine révolutionnaire. Si depuis mai 68 dominaient en France des sentiments de sympathie pour cette révolution, ils furent témoins de l'évolution du régime vers une dictature répressive et doctrinale.

09/2013

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Théâtre

Théâtre complet 1948-1967

Voici, enfin réunies, toutes les pièces écrites par Marcel Aymé (1902-1967). Son goût pour le théâtre s'est manifesté très tôt, car sa première œuvre, Lucienne et le boucher, date de 1930. Il lui aura toutefois fallu attendre presque une vingtaine d'années avant de la voir représenter. C'était en 1947, grâce à Douking, au Théâtre du Vieux-Colombier. Le succès considérable qu'elle rencontra fut, pour Aymé, le début d'une brillante carrière d'auteur dramatique, alors qu'il s'était jusqu'alors illustré par des romans, des contes, des nouvelles et des articles. Outre cette comédie très connue, ce volume renferme des textes célèbres comme Clérambard, La Tête des autres, Les Quatre vérités, Les Oiseaux de lune et Les Maxibules. Il contient aussi des pièces hâtivement éreintées par la critique : La Mouche bleue, Louisiane et La Convention Belzébir. Les deux premières résultent du voyage de Marcel Aymé, en 1949, aux États-Unis. Grand observateur de ses contemporains, il a très vite perçu le ridicule de la gestion capitaliste des ressources humaines outre-Atlantique et des obsessions racistes d'une partie de la population américaine. La troisième, sans doute desservie en 1967 par sa mise en scène, n'a pas obtenu toute l'attention dont elle aurait dû être l'objet. En effet, elle imagine une société dans laquelle les hommes peuvent acheter le droit de tuer leur prochain. Il va de soi que les femmes sont privées de cette possibilité, ce qui ne manque pas de créer quelques situations cocasses et ne fait surtout pas de Marcel Aymé un misogyne... A tous ces titres viennent s'ajouter de petits chefs-d'œuvre comme Consommation et, surtout, Le Minotaure, opportunément ressuscités par cette édition collective qui propose, en outre, au grand public des pièces inédites retrouvées dans les archives de l'auteur : Le Mannequin, Le Commissaire et Le Cortège, qui mériteraient incontestablement d'être portées à la scène. M. L. Ce volume contient : LUCIENNE ET LE BOUCHER - CLÉRAMBARD - VOGUE LA GALÈRE - LA TÉTE DES AUTRES (augmenté des variantes de l'acte IV) - LES QUATRE VÉRITÉS - LES OISEAUX DE LUNE - LA MOUCHE BLEUE - PATRON - LOUISIANE - LES MAXIBULES - CONSOMMATION - LE MINOTAURE - LA CONVENTION BELZÉBIR - LES GRANDES ÉTAPES - LE MANNEQUIN - LE COMMISSAIRE - LE CORTÈGE OU LES SUIVANTS.

10/2002

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BD jeunesse

Snoopy et les Peanuts : 1967-1968

Si la figure de l'as de l'aviation de la Première Guerre mondiale est au premier plan dans ce volume, Snoopv trouve encore le temps de se faire passer pour un champion de bras de fer, un patineur artistique, un vautour ou encore un "chien du Cheshire". Au fait, saviez-vous qu'il y avait eu quelqu'un d'autre avant Charlie Brown ? Voici le secret enfin révélé... Les nouveaux venus, Franklin et José Peterson, sont aussi de la partie, aux côtés des incontournables Charlie et Sally Brown, de Linus, Lucy et Schroeder, sans oublier Violette qui fait la couverture de ce tome.

10/2010

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Comics Super-héros

Captain America L'intégrale : 1976-1977

Captain America, sauveur de l'univers ? Steve Rogers et son camarade Sam Wilson, alias le Faucon, se retrouvent confrontés à des menaces d'autres dimensions dans des aventures très spéciales. Bien sûr, il faut compter aussi sur les ennemis habituels, comme Crâne Rouge et Arnim Zola ! Attention, événement ! Ce volume de CAPTAIN AMERICA : L'INTEGRALE n'a pas comme seul argument d'être totalement réalisé par Jack Kirby... Il est entièrement composé d'épisodes jamais publiés en France ! Des histoires que les fans rêvent de découvrir depuis des décennies. Quoi de mieux pour fêter les quatre-vingts ans du héros ?

07/2021

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BD tout public

Hägar Dünor Tome 3 : 1976-1977

Piller, rafler, dépouiller, détrousser est un travail à plein temps pour le célèbre viking Hägar Dunor. Aucun château n'est assez grand pour l'impressionner, aucun fût suffisamment gros pour le dissuader. Hägar est un conquérant, une force de la nature et un bon vivant que rien ne semble pouvoir intimider... à part peut-être sa femme Hildegarde. Plus à l'aise sur le champ de bataille que pour les tâches domestiques, Hägar fuit la vie de famille pour les mers du globe en quête de renommée, de magots et d'aventures. Un dernier tour de piste pour ce viking au coeur tendre.

12/2017

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Comics

Iron Fist : L'Intégrale 1976-1977

Après le décès de ses parents, l'Américain Daniel Rand grandit dans la cité légendaire de K'un-Lun où il devient maître d'arts martiaux. De retour à New York à l'âge adulte, il est bien décidé à venger la mort de ses parents et à défendre le bien sous l'identité d'Iron Fist.

07/2018

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Littérature française

Les mots pour le dire et autres romans

Ecoutez la mer, (1962) obtient le Prix International du premier roman. Suivront : La mule de corbillard (1963), adapté en 1995 par Claude Vajda, La Souricière (1965), Cet été-là (1967) où elle revient sur ses expériences de tournage de Deux ou trois choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard. La clé sur la porte (1972), roman autobiographique qui raconte son quotidien avec ses enfants dans le tumulte de la vie parisienne, sera son premier grand succès de librairie. Il sera ensuite adapté au cinéma par Yves Boisset, avec Annie Girardot et Patrick Dewaere.Les mots pour le dire (1976) vendu à plus de 3 millions d'exemplaires et traduit dans une vingtaine de langues, qui est le récit de ses huit années de psychanalyse, lui attire les foudres de certains psychanalystes et lui apporte la reconnaissance internationale (la traduction en anglais sera préfacée par Bettelheim, il sera adapté au cinéma par José Pinheiro, avec Nicole Garcia et Marie-Christine Barrault).Autrement dit (1977) est un livre écrit sous forme de dialogue avec Annie Leclerc, en réponse à la multitude de lettres de lecteurs, puis paraissent Une vie pour deux (1978) et  Au pays de mes racines (1980) qui évoque son retour en Algérie. Enfin le passé empiété (1983), Les grands désordres (1987), Comme si de rien n'était (1990), un livre politique inspiré de ses nombreux voyages dans les pays de l'Est et la chute du mur de Berlin, Les jeudis de Charles et Lula (1993), Amour Amours (1998).

04/2013

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Humour

Quelques jours de congé

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Face à face (1972), De bon matin (1983), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

10/2000

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Humour

Quelques jours de congé

Ces dessins sont extraits de divers albums : Rien n'est simple (1962), Tout se complique (1963), Sauve qui peut (1964), La grande panique (1966, 1994), Saint-Tropez (1968), Face à face (1972), De bon matin (1983), Insondables mystères (1993) et Grands rêves (1997).

11/2023

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Sciences politiques

Ecrits politiques. Tome 4, 1972-1987

Ce quatrième volume des Ecrits politiques d'Aimé Césaire (1972-1987) couvre une période clé de l'histoire de la Martinique. Celle au cours de laquelle interviennent, en moins de quinze ans, d'importants changements dans les rapports entre le pouvoir central et les pouvoirs locaux. Sous la présidence de Georges Pompidou (1969-1974), comme sous celle de Valéry Giscard d'Estaing (1974-1981), ces rapports sont entièrement dominés par la droite en France comme dans les DOM. Avec l'élection de François Mitterrand, en mai 1981, puis celle d'une majorité de gauche à l'Assemblée nationale en juin, ces relations deviennent plus fréquentes, plus détendues et surtout plus positives. Malgré un profond respect et une sincère admiration pour le nouveau président, Césaire ne cesse de réaffirmer que la nouvelle politique de décentralisation et de régionalisation du pouvoir qu'il soutient ne saurait se confondre avec la stratégie de son parti (Parti progressiste martiniquais), pour l'autonomie.

01/2019

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Poésie

Archipel plusieurs. 1967-1987

De son vivant, Michel Vachey (1939-1987) a occupé une place étrange, un peu fantomatique, dans le paysage littéraire français —ce qui tient autant au caractère expérimental de son oeuvre qu'à l'intransigeance de sa démarche. Circulant entre les genres (de la poésie au roman, tour à tour mis en pièces), adepte du collage et du détournement, il a publié quelques livres au Mercure de France, puis chez Bourgois, collaboré à plusieurs revues majeures de l'époque, travaillé avec les peintres de Supports/Surfaces et s'est consacré dans les dernières années de sa vie à des travaux plastiques (estampages, caviardages, lacération de ses propres livres...) avant de se donner la mort en 1987. Malgré son amitié avec Michel Butor, Alain Borer, Pierre Pachet notamment, aucun de ses livres n'était plus disponible depuis des lustres. Le but d'Archipel plusieurs est de redonner à lire cet auteur inclassable, à travers un choix de textes et d'images qui mettent l'accent sur son travail poétique, y compris dans sa dimension visuelle.

05/2021

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Histoire internationale

Une mère en prison ou l'apprentissage de la résistance. Uruguay 1972-1976

Un jour, Viviana Burgos, jeune femme de 22 ans, voit le monde autour d'elle s'effondrer. Idéaliste, pleine d'espoir et un peu naïve, elle se trouve soudain transportée dans le monde des ténèbres des casernes militaires où le régime totalitaire uruguayen des années 1970 enfermait ses prisonniers politiques. Alors son voyage initiatique commence. Seule, enceinte, puis avec son nouveau-né, en compagnie d'autres femmes, mères avec leurs enfants elles aussi, séparée de sa fille plus tard et seule à nouveau, elle réapprend que la force de la source intérieure de chacun reste le seul rempart face à l'éternelle oppression. C'est un "voyage" réel et imaginaire, habité par la souffrance, les illusions et les souvenirs qui se tissent et se mêlent, s'attirent et se repoussent comme les pôles d'un aimant tout au long du récit. En 1978, elle part en exil et commence, avec sa famille, une nouvelle vie à Paris.

05/2017

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Littérature française

Vie rêvée. (Pages d'un journal, 1965, 1971-1977)

1965. Un beau jeune homme qui semble fêté par les dieux, fils du grand peintre Balthus, entreprend son journal. Thadée de Rola est plein de l'envie d'écrire. Il admire les écrivains, notamment Georges Bataille, à une édition des ouvres de qui on le verra ici travailler, et il aime aussi ce que l'on appelle la fête. Pour lui, deux faces d'une même rêverie. Et le voici avec ceux que le monde entier reconnaîtra pour les heureux d'une génération, à commencer par le jeune Yves Saint Laurent, mais encore Andy Warhol, Karl Lagerfeld, Mick Jagger et quantité d'autres dont l'existence tient parfois au surnom, comme dans toutes "les petites bandes". Et si dans Proust il y avait un Mimi, il y a ici un Marceau, un Marceau babilleur, potinier, qui transporte les secrets de Paris sur son scooter. Il y a les dîners et les fêtes, il y a des visites incomparables à Rome (et à Balthus), il y a la conversation éblouissante de celui-ci et le charme incomparable de celle-là. Car, ah oui, il y a l'amour. Durant toute cette période (le journal dure jusqu'en 1977), Thadée de Rola, qui vit avec Baba, devient amoureux d'une autre. Peu à peu, comme dans une valse lente, il va se rapprocher de Loulou de La Falaise, qui deviendra la célèbre égérie d'Yves Saint Laurent. Paris n'est pas qu'une fête. Entre dîners et soirées, le jeune Thadée rêve à des romans, souffre du temps qui s'écoule. Ce qui pourrait n'être qu'un registre de mondanités s'ocelle de notations poétiques, de fragments, de fantasmes. A différer l'ouvre qu'il voulait écrire, Thadée de Rola l'a invitée dans ses carnets. Vie rêvée ou la découverte d'un monde de rêve.

03/2013

ActuaLitté

Histoire internationale

Renverser ciel et terre. La tragédie de la Révolution culturelle, Chine (1966-1976)

Politiquement affaibli après l'échec du Grand bond en avant et la grande famine qui l'a suivi (1958-1962), Mao Zedong lance en 1966 la " Grande Révolution culturelle prolétarienne ". Pendant qu'il élimine un à un tous ses compagnons d'armes et successeurs potentiels, il pousse la jeunesse à l'assaut de la bureaucratie civile et militaire : les " gardes rouges ", appelés à " renverser ciel et terre ", sèment le chaos dans le pays de 1966 à 1968. Mais les choses échappent à son contrôle et, pour garder l'Armée de son côté, il doit bientôt lâcher les jeunes rebelles. Du sommet de l'Etat aux couches populaires, le pays est alors au bord de la guerre civile. La Révolution culturelle ne prendra fin qu'avec le décès de Mao Zedong, en 1976, après avoir fait des millions de victimes. Nombre de dirigeants actuels ont été marqués, souvent durement, par cette tragédie. C'est aussi le cas de Yang Jisheng, étudiant à Pékin de 1966 jusqu'à la fin 1967, qui a participé aux débuts de cette période sanglante. Son livre est à la fois une narration inédite, minutieuse et précise des événements - y compris ceux que le récit officiel occulte - et une analyse menée avec une perception intime, une connaissance historique et une distance assez exceptionnelles. Il resitue ces événements dans leur contexte jusqu'à la victoire finale des réalistes sur les idéologues, sans laquelle ni l'ouverture de la Chine à partir de 1978, ni son décollage économique spectaculaire, n'auraient pu avoir lieu. Ce livre, publié à Hong Kong en 2016, reste interdit en Chine. Yang Jisheng, né en 1940, diplômé de l'université de Qinghua en 1966, a fait toute sa carrière de journaliste à l'agence Chine Nouvelle avant de devenir rédacteur en chef adjoint du mensuel Annales chinoises, consacré à l'histoire récente. Cette publication a été suspendue mais existe toujours en ligne. Il est l'auteur de nombreux livres sur l'histoire chinoise contemporaine dont l'impressionnant Stèles, La Grande Famine en Chine, 1958-1961 publié au Seuil en 2012. Traduit du chinois par Louis Vincenolles

10/2020