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La peau du dos

Extraits

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Littérature française

La Peau du dos

C'est l'histoire de deux jeunes hommes qui n'ont pas trente ans, deux exaltés. L'un a une passion pour la peinture. On le connaît. C'est Auguste Renoir. L'autre a une passion pour l'égalité et il sera le délégué à la police puis le procureur de la Commune de Paris. On le connait à peine. C'est Raoul Rigault. Leur rencontre doit tout au hasard. La première a lieu dans la forêt de Fontainebleau alors que l'un peint sur le motif et l'autre fuit la police de Napoléon III. Renoir prête une blouse de peintre à Rigault pour lui porter secours et ils passent quelques jours ensemble. Ils marchent sur le chemin des merles, ils partagent des oeufs durs et une fiasque de vin, ils roulent des cigarettes, ils conversent, de tout et rien, des nuages dans le ciel, du régime impérial. Et puis ils rentrent à Paris. La deuxième rencontre a lieu à la préfecture. Renoir a été arrêté comme espion à la solde des Versaillais, parce qu'il peignait les bords de la Seine. Et, cette fois-ci, c'est Rigault qui lui sauve la mise. Entre deux toiles et deux décrets, ils se revoient de temps à autre, déjeunent, parlent, se baladent dans un Paris chamboulé. Ce sont deux compagnons. L'un peint le monde, l'autre le renverse, chacun aux prises avec sa révolution. La Peau du dos est un enchantement d'écriture, alerte et joyeux, plein de lumière et de vie. Bernard Chambaz offre un roman splendide, attentif aux aurores et à la splendeur des crépuscules.

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Littérature française

La peau du dos

"Bernard Chambaz embrasse un vivant théâtre d'hommes, d'oeuvres et d'idées, dans une langue virtuose". Le Figaro magazine C'est l'histoire de deux jeunes exaltés qui n'ont pas trente ans. L'un a une passion pour la peinture. On le connaît. C'est Auguste Renoir. L'autre a une passion pour l'égalité et il sera le délégué à la police puis le procureur de la Commune de Paris. On le connait à peine. C'est Raoul Rigault. Leur amitié doit tout au hasard mais entre deux toiles et deux décrets, ils se retrouvent dans un Paris chamboulé. L'un peint le monde, l'autre le renverse, chacun aux prises avec sa révolution. Bernard Chambaz est romancier, poète et historien. Il a notamment reçu le prix Goncourt du premier roman en 1993 pour L'Arbre de vies (disponible chez Points), le prix Apollinaire pour Eté et le prix Jouvenel de l'Académie française pour Dernières nouvelles du martin-pêcheur.

09/2023

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Poésie

Revif ou La peau de l'eau

S'il est différentes manières d'aborder l'univers poétique de Claire Massart, on n'échappe pas aux ondes plissant la peau de l'étang et aux traits du vent par vagues et sentiers odorants. Si proches, si patients, ses poèmes teintent d'humanité la courbure des mots, tracent de leur simple générosité l'urgence qui nous maintient debout. Chacun puisera dans le jaune du mimosa ou "l'attroupement des souvenirs" , fera sien son "revif" pour s'attarder sur "les banderilles de 6h22".

05/2023

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Policiers

La peau des anges

Dans la lumière naissante de l'aube, des mouettes survolent les monticules de ferraille d'une casse automobile de Stockholm. Au milieu des débris, le cadavre d'une jeune femme enfoncé jusqu'aux genoux. Le corps décharné a la blancheur de l'albâtre, et ses globes oculaires bouchés de plâtre fixent le néant à la manière des statues antiques. Encore un ange blanc. Le cinquième. Dans un bateau de l'autre côté du détroit qui sépare la Suède du Danemark, l'ex-inspecteur Thomas "Ravn" Ravnsholdt n'est pas encore sorti de sa torpeur éthylique habituelle. Il ne se doute pas que la disparition d'une jeune prostituée va bientôt interrompre son lent suicide. Avec un don inquiétant pour saisir la perversité humaine, Michael Katz Krefeld s'insinue dans le monde impitoyable des laissés-pour-compte des sociétés scandinaves. Cette première enquête de Ravn lance une série aussi palpitante qu'addictive.

01/2017

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Littérature française

La peau des fantômes

"Au bout de la table, en exilée professionnelle, ma mère dégoûtée. Qui fera son aveugle avec application. Qui finira par jeter un pavé dans la mare en annonçant tranquillement sa volonté de voter socialiste aux prochaines élections. Raidissement général autour de la table. Car il faut savoir que mon mari est un respectable député du plus grand parti droitier français. Ma mère aura alors un regard pour moi et je serai seule à comprendre. Elle fera le silence autour d'elle. Seule. Et sa robe d'éternel deuil, tous ses yeux de mes soleils verront ma solitude et me diront : va-t'en ! Va-t'en ! Va-t'en !".

02/2011

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Littérature française

La peau des autres

"J'avais deux femmes dans ma vie. Ca s'était présenté comme ça. Deux moitiés très différentes qui me donnaient la même chose différemment. L'une était amoureuse, l'autre avait oublié. J'avais deux femmes pour moi tout seul, parce que je n'en pouvais plus d'être seul. L'une était rationnelle, l'autre pensait avec ses mains. J'avais deux femmes dans ma vie, et l'impression d'être sincère. L'une avait tout pour elle, l'autre ne voulait rien posséder. J'avais deux femmes dans ma vie, et ma vie sur leur peau".

09/2005

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Littérature française

La peau des pêches

"J'annonce à mon médecin : nous souhaitons avoir un enfant. De sa voix tranquille, il répond : c'est possible. De ce c'est possible dont il ne reste rien, je garde toutefois le souvenir. Talisman d'une époque où avoir un enfant semblait non seulement possible, mais facile. Simple prolongement de l'étreinte amoureuse. Je n'avais aucun doute. Pourquoi en aurais-je eu ?

03/2021

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Littérature française

La Peau des filles

Le temps d'un été, Jenna, Louise et Rose désertent. Ces trois trentenaires, fragilisées par leurs angoisses et le monde qui les entoure, quittent leur job et prennent la route. Elles partent explorer leur féminité, accepter leurs chagrins, leurs besoins, et tout envoyer valser. De l'Auvergne aux Hautes Alpes, en passant par Saint-Jean-de-Luz, elles vont, dans une grande inspiration, faire le deuil de l'enfance, se réconcilier, se revendiquer. Et apprendre la liberté véritable, intime.

05/2022

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Littérature érotique et sentim

La peau des hommes

Découvrez ce que cachent les hommes... J'aimais les hommes. J'aimais leurs peaux, leurs yeux, leurs mains de bûcheron, d'intellectuel, de professeur, de collégien, de vieillard, de nomade... Chacun d'eux était une île à la dérive, un univers encore vierge de mes caresses, un coffre-fort dont je détenais la clé. Estelle multiplie les rencontres. Qu'ils soient tendres, drôles, égoïstes ou spirituels, elle aime observer les hommes et les mettre à nu avec d'autant plus d'entrain qu'elle fuit sa propre histoire. Car l'avantage de tous ces hommes, c'est qu'ils ne sont pas lui : Ganaël, celui qu'elle a réussi à quitter dans un ultime réflexe de survie. L'amour de sa vie à qui elle avait tout donné. A Paris, elle tente désormais de tourner la page, et c'est à travers le regard des hommes qu'elle va chercher la femme en elle, celle dont elle a perdu la trace... A propos de l'auteur : Ancienne parachutiste, Camille Lanvin aime les sensations fortes et les voyages, dont l'écriture fait partie. Elle a parcouru de nombreux pays avant de s'installer en Aquitaine, où elle vit avec son mari et ses deux enfants. Avec La peau des hommes, son premier roman publié chez &H, cette diplômée de psychologie et de sexologie nous offre un regard lucide sur l'amour et les relations humaines. "Un récit féminin poignant sur la perte du premier amour". Coup de coeur libraire

05/2019

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Poches Littérature internation

LA PEAU

En 1943, Curzio Malaparte, grand correspondant de guerre et officier de liaison auprès des Alliés, se trouve à Naples avec les troupes américaines venues libérer le pays. Entouré de ces hommes fraîchement débarqués en Europe, que les années de combat et de désillusion n'ont pas encore abîmés, l'auteur entreprend une tragique odyssée à travers une Italie en ruine, livrée à la misère et au chaos. Partout on se livre aux plus viles exactions. Comme un écho au tumulte des hommes, le Vésuve entre en éruption, les animaux meurent au supplice, la terre se déchire. De page en page, la complexité de ces destins happés par la brutalité de l'Histoire se déploie sous l'oeil de l'auteur, intransigeant jusqu'à l'écoeurement avec la cruauté des faits. Et c'est là la force de son récit : outre la beauté de son style, c'est sa capacité à s'indigner et à indigner le monde qui demeure remarquable. Curzio Malaparte poursuit avec La Peau sa magistrale entreprise de témoignage sur la Seconde Guerre mondiale.

12/1973

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Corps humain

La peau

A quoi sert la peau ? Pourquoi on n'a pas tous la même couleur de peau ? Pourquoi on transpire ?

05/2021

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Policiers

La peau du papillon

"Dans ma cave bétonnée, sur le petit lopin de terre qui entoure ma maison, parfois dans une forêt des environs de Moscou ou dans un ascenseur, j'essaie de parler de moi aux gens. Si j'avais été écrivain, les mots seraient venus à mon secours. Finalement, mes auxiliaires, ce sont un couteau, un scalpel et une lampe à souder." A Moscou, les agissements d'un tueur en série particulièrement sadique attirent l'intérêt de Xénia, l'ambitieuse rédactrice en chef d'un site Web d'actualités — elle-même adepte de pratiques sexuelles extrêmes — qui voit dans cette affaire la chance inespérée de gagner en notoriété. Intérêt bientôt partagé, quand une relation virtuelle via une messagerie instantanée se noue entre le tueur et la jeune femme. Mais à la frontière entre fantasme et passage à l'acte, entre fascination et répulsion, Xénia devra se confronter à ses propres désirs.

01/2019

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Policiers

La peau du dragon

L'inspecteur Guido Lopez, qui opère d'habitude à Milan, est appelé à travailler dans la toute nouvelle agence européenne de renseignements et d'investigations, sorte de " FBI européen ". En enquêtant sur un suicide suspect, Lopez et ses collègues européens pénètrent un réseau secret, immense, qui semble se ramifier partout, mais n'être dirigé que par un seul cerveau. De son côté, James Cameron, un agent de la CIA, travaille à Pékin sur un trafic de drogue entre la Chine, l'Europe et les Etats-Unis... Le dénouement haletant de ces deux affaires va réunir Guido Lopez et James Cameron. Requiem pour une Europe qui n'est pas née, ce thriller nous invite à toucher la " peau du dragon chinois " : une puissance qui annonce la vraie révolution de notre nouveau millénaire. " Réformez l'éducation, l'économie, la politique. Touchez à tout - sauf à la peau du dragon. " Mao Tsé Toung.

04/2006

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Littérature française

La peau du chien

Il y a le chien. C'est une chienne, mais le père dit le chien. "La niche, le chien". Peu doué pour les mots, le père, dans sa bouche, ils claquent comme des ordres. Pas le temps de parler, il se tue à la tâche et, quand la colère le prend, il sait mieux manier la laisse que le langage. Solitaire, "fort au calcul", autiste peut-être, l'enfant trouve refuge auprès des animaux, ses semblables. C'est ainsi qu'aux portes mêmes de sa maison, entre "campagne" et "colline", il crée pour lui seul un monde enchanté qu'il traverse, léger. Mais voilà qu'arrive un petit frère, et la violence du monde adulte gagne inéluctablement les enfants.

12/2009

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Policiers

La peau du ventriloque

Ben Spanner, c'est une voix mais pas n'importe laquelle. Il imite tout le monde pour les publicités radiophoniques. Las, lorsque son ex-femme vient le supplier de l'aider à sortir d'une sale affaire, il prête sa voix à une vraie chorale de maîtres chanteurs. D'où quelques couacs retentissants.

08/1991

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Littérature étrangère

La peau du tambour

Un pirate dans le système informatique du Vatican. Une église qui tue pour se défendre. Une belle aristocrate andalouse. Trois malfrats chargés d'espionner un agent secret en col romain. Un banquier épris de spéculation immobilière et un mystérieux corsaire espagnol disparu en 1898 au large des côtes cubaines. Tels sont les personnages de ce roman d'amour et d'aventure qui a pour décor la somptueuse Séville et son histoire millénaire. L'héroïne en est Notre-Dame-des-Larmes, une petite église qui suscite passions et convoitises et pour laquelle une poignée de fidèles est prête à aller jusqu'au meurtre. C'est du moins ce que croit Lorenzo Quart, chargé par le Vatican d'enquêter sur les crimes commis dans son enceinte. Il découvrira bientôt que la clé de l'énigme est enfouie sous les vieilles pierres de la ville, dans l'âme de chacun de ses habitants comme dans celle de chaque lecteur disposé à la suivre dans sa quête de la vérité. Après Le Tableau du Maître flamand, Club Dumas et Le Maître d'escrime, l'imagination flamboyante d'Arturo Pérez-Reverte, son habileté à tisser des énigmes où l'histoire croise le mystère et le crime nous offrent un fascinant voyage en défense d'une cause que nul ne veut croire perdue.

03/1997

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Littérature française

La peau analogique-3-peau de papier

Peau et papier trouvent une même voix mélodieuse, parfois dissonante pour ajouter du piquant à l'existence qui se fond dans ses replis. Le dialogue qui s'instaure entre Corinne Déchelette et Patrick Moureaux cartographie la grande histoire de l'homme qui utilise la peau animale, puis sa propre peau comme un livre ouvert, éternel. Il est question de son identité, soulignant dans le même temps la précarité des enveloppes (peau et papier) que le temps altère, et de ses inventions pour vaincre ce qui n'est pas immuable mais changeant. A ce dialogue s'ajoute les dessins d'Isabelle Coll dont la ligne, parfois hachurée, à d'autres moments pleine et lisse, capture et retient, donne relief à une déambulation rêveuse. Elle nous invite à cheminer entre creux et pleins, surface et profondeur du papier et de la peau, du corps et à ce qui le recouvre comme les feuillets du temps qui tournent à l'infini dans notre imaginaire. Extrait de la préface de Martine COLIGNON, diplômée des Beaux-Art de Paris, plasticienne et art-thérapeute.

10/2022

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Littérature étrangère

Des abeilles sous la peau

Júlia n'a jamais tout raconté sur ce qui s'était passé. Ni à ses parents, dont elle s'éloigne chaque jour un peu plus ; ni à ses amies, qu'elle a cessé de voir depuis des mois. Elle a cru qu'en vivant ainsi elle pourrait tout oublier, mais les souvenirs gardés par son corps ne peuvent s'effacer. Elle ne désire qu'une chose : ne plus bouger, rester transie dans une vie vide, loin de tout et de tous. Mais dans l'immeuble où elle habite vit Catarina, la fille de ces voisins dont Julia entend les disputes violentes à travers les murs. Peu à peu, sauver cette enfant devient essentiel à son propre salut... David Machado nous parle de la terrible réalité du monde à travers la violence faite à l'enfance, faite aux femmes, mais aussi la violence faite à chacun d'entre nous, par chacun d'entre nous. Qu'elle soit réelle ou fantasmée, elle s'introduit dans le moindre interstice, telles des abeilles sous la peau.

04/2019

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Psychologie, psychanalyse

Des étoffes à la peau

" Le langage peut être défaillant pour exprimer le manque : manque de bras, de mains, de mots, de corps maternel. Manque éprouvé vraiment ou simplement à peine esquissé et dont le deuil reste interminable. Manque d'amour. Et les étoffes arrivent, intermédiaires réparateurs plus ou moins doux et douillets entre la mère et l'enfant, entre celle qui aurait pu donner et celui qui aurait eu à recevoir en tant qu'enfant... " Y.P.T.

12/2004

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Littérature française

La peau des nuits cubaines

"Je la revois dansant nue dans la pénombre de la chambre. Pendant plus d'une heure, au bord de la folie, elle m'offre ce que j'aime le plus chez elle. Puis le souvenir de la flamme s'éteint et ne restent plus que les traces de sa violence : mon dos qu'elle a labouré avec ses ongles jusqu'au sang. Il fallait bien qu'elle exprime sa fureur, sa tristesse de tigresse en cage qui me reproche de partir bientôt, libre d'aller et venir à ma guise alors qu'elle est enfermée sur cette île noire, ce grand purgatoire des solitudes". Un cinéaste se rend à La Havane pour y tourner un documentaire. Il y rencontre Chaytan, un Iranien en exil, qui lui servira de guide à travers tous les lieux mal famés de "la capitale des douleurs". Leurs errances nocturnes les plongent dans un film noir.

05/2021

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Littérature française

La lune dans un seau d'eau

Robin Carabasse, jeune cinéaste qui se prétend malchanceux est ruiné par l'échec de son film Les Riverains de la mer. Il décide, conseillé par le clerc de notaire chargé de le saisir, de partir pour Trastéjous, dans le Midi, où vit le richissime ancien boucher Maltaverne, son oncle, afin de lui demander de l'argent. En cours de route, il trouve dans le fossé une étrange petite créature nommée Léa, écuyère de cirque et trapéziste : mi-femme, mi-chatte, en tout cas un peu sorcière, elle cherchait un maître : ce Robin excentrique et beau fait son affaire ; elle s'attachera donc à ses pas, consacrera désormais tous ses efforts à l'aider. Maltaverne, dans son domaine de Catoblepas, manigance justement de saboter une réception organisée en l'honneur de Marie Lampereur, ancienne dactylo, veuve riche et glorieuse revenue au pays natal où, quinze ans plus tôt, elle avait repoussé les avances de l'odieux boucher. Il chasse Robin. Mais Léa, subjuguée par la beauté et la gentillesse de Marie Lampereur et décidée à faire triompher les projets de son maître, va s'ingénier à monter une gigantesque mystification dans le but d'abattre l'oncle Maltaverne : elle veut marier ensemble Marie et Robin. Elle est sur le point de réussir, mais au moment où ils vont peut-être convoler, Marie et Robin se brouillent. Robin chasse Léa. Léa fuit. Et c'est seulement après la disparition de la petite écuyère dont l'âme est celle d'un elfe, que Robin découvre qu'il l'aime parce qu'elle est sa chance vivante, secrète, merveilleuse. Va-t-il pouvoir la rattraper ? Juché sur son "moto-velox", il la voit au sommet de la côte qu'il s'apprête à grimper. Et c'est sur un point d'interrogation plein d'un humour doux-amer que ce roman vif se termine, traité à la manière d'une oeuvre de Marcel Aymé ou de Chesterton.

09/1963

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Littérature française

LA PEAU ANALOGIQUE-4-LE GOÛT DE LA PEAU

Il fallait être quelque peu toqué pour s'embarquer dans cette aventure littéraire pour laquelle je n'avais pas la recette en main. Les ingrédients scientifiques et culinaires allaient-t-ils se mixer pour concocter un menu inédit et vous inviter à savourer cet essai ? Notre assiette, et notre peau sont notre passeport et notre carte d'identité. Corinne Déchelette et Patrick Moureaux le traduisent de façon imagée à la façon dont je dessine un plat : "dis-nous ce que tu manges et nous pourrons déterminer le ton de ta peau" . Surface et profondeur s'entrelacent le temps d'une parenthèse sensorielle saupoudrer aux ingrédients communs : couleur, saveur salée-sucrée, toucher soigner et soignant, odeurs proustiennes. Je me suis régalé à découvrir les analogies entre l'architecture de la peau comparée à un savoureux millefeuille. Les deux auteurs, dans un livre précédant, présentaient la peau comme une oeuvre d'art en soi(e), en quelque sorte un bijou vivant que je compare ici aux gâteaux de la pâtisserie des rêves aujourd'hui disparue. La peau serait-elle gourmandise ? La gourmandise serait-elle épidermique ? Préface de Georges BLANC Chef de cuisine étoilé à Vonnas, au coeur de la Bresse.

02/2023

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Littérature française

LA PEAU ANALOGIQUE Livre 5 : PEAU DE BÉTON

Pour ce 5ème opus de la collection littéraire LA PEAU ANALOGIQUE®, Patrick Moureaux et Corinne Déchelette vous invitent à une visite guidée de la peau par le prisme de l'architecture et d'une construction d'analogies et de métaphores mettant en scène le béton, matériau qui donne forme aussi bien à des habitats sociaux qu'à des joyaux architecturaux. La peau, tel un édifice cutané, telle une oeuvre monumentale qui s'offre au monde est la signature de chaque personne, de la même manière que certains bâtiments se hissent fièrement vers le ciel, incarnent la vision d'un architecte jusqu'à devenir parfois le symbole d'un pays tout entier. Peau et habitat, tous deux couvrent et recouvrent notre intériorité tout en exhibant notre extériorité ; la peau et le béton, une interface du dedans et du dehors. Et, ces deux façades peuvent faire illusion : elles montrent et elles cachent. Mais, ne nous trompons-pas, la peau - celle qui recouvre notre corps et la peau des bâtiments - n'est pas qu'une question d'apparence. Et, la peau de béton, serait-ce avoir la peau dure ? La peau en architecture, comme en médecine, est une épaisseur fonctionnant, s'activant et se nourrissant en profondeur du corps tout entier, âme et remords inclus. Extrait de la préface de Rudy RICCIOTTI, Architecte

09/2023

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Poésie

peau contre peau

"peau contre peau s'ouvre comme une pharmacopée à usage interne, un guide pour comprendre les distances, les implosions, les impuissances. Volume conçu comme un continuum d'âges, de devenirs et de symétries guérissantes, il comprend l'amour, mais aussi l'inadéquation, et la communion, mais aussi la séparation, ainsi que les quelques panacées compatibles avec les crises, toujours fumantes, corrosives, constantes. La substance qui contient et nourrit, tel un liquide amniotique, tout l'organisme poétique ici éveillé à la vie, c'est la mémoire, destructrice, trompeuse, mais la seule capable de se porter garante de la construction que nous appelons réalité. Lia Faur explore la zone liminale où la mémoire se transforme en poésie, le coeur en placenta et la poussière en étoiles". (Alina Purcaru, critique littéraire)

02/2023

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Grossesse et maternité

Peau à peau

" Tu ne ressembles pas du tout au bébé dont j'avais rêvé. Le soir, lorsque je m'endormais en caressant mon ventre, j'imaginais un autre enfant. En bonne santé, dodu, joufflu et avec des cuisses potelées. [...] " Héloïse et Pierre ont tout pour être heureux. Mais quand leur premier enfant naît grand prématuré, à 600 kilomètres de chez eux, leur quotidien bascule. Peau à peau raconte un long combat pour la vie, où chaque jour qui passe est un jour de gagné. Grâce à des rencontres exceptionnelles, ce couple dans la tourmente découvre que les grandes victoires sont les plus petites, celles qui se gagnent au fur et à mesure et avec beaucoup d'amour.

03/2022

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Non classé

Un peu frais, mais beau

Etre avocat d'affaire dans un cabinet réputé. Peut-on rêver plus belle réussite sociale, financière et professionnelle ? Pourquoi, alors, à près de quarante ans, à peu près bien assis dans la vie, à peu près bien intégré dans un monde qui tourne à peu près rond, vouloir partir en pèlerinage sur les lieux d'un passé familial inconnu, effacé, et sans grande originalité apparente ? Pour se construire, se reconstruire un passé, une famille ? Mais comment devenir père quand on n'y pensait pas du tout et qu'on n'en avait aucune envie particulière ? Mais comment devenir fils d'un inconnu, d'un étranger pas particulièrement réussi ni marrant ? Fatigant de se relier à son passé pour trouver la faille, l'instant où tout a commencé, ou tout a obliqué ! Nécessaire aussi ?

04/2020

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Littérature française

Au-delà de la peau

Séverine Marclay est artiste peintre et possède en elle depuis l'âge de sept ans, la conviction d'un autre possible pour l'humanité. Des révélations qu'elle sait devoir préserver quarante années durant. Exploratrice de l'Astral, elle en revient à chaque fois avec de saisissantes observations. En résulteront douze peintures percutantes qui racontent l'histoire de notre humanité, une humanité déconsidérée, mais encore nimbée de ses beautés et de ses potentialités. Expérimentant la réalité de cet autre univers parfois bien difficile à porter, Séverine nous entrouvre la porte de ses voyages, nous les décrivant avec élégance, comme elle les a vécus. Au fil des pages, la petite fille nous tend sa main pour nous accompagner dans le parcours de sa vie, avec des mots simples et touchants.

11/2015

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Philosophie

La Peau fragile du monde

Nous y sommes, elle craque, cette vieille peau du monde. Elle se dessèche, se desquame. On ne peut plus la toucher. Nous ne pouvons plus nous toucher. Les croûtes et les escarres de la lèpre... Non, Maldoror, tu ne savais pas à quel point serait vérifié ce que tu annonçais. Nous y sommes, nos cancers nous bouffent, nous bouffons des particules, partout on crève de faim et de peur, notre technologie vacille sous ses grands airs transhumains. Nous y sommes sans que personne sache où nous sommes. Nous nous touchons cependant tout en touchant à nos limites. Qu'est-ce que traverser un temps qui n'avance plus ? Quel est ce présent qui nous est fait, privé d'avenir comme de passé ? Il n'y a rien de catastrophiste ni d'apocalyptique à penser que l'existence comme telle peut se trouver exposée, violemment, à sa propre fugacité et finitude — et même que ce soit là qu'elle prend sa valeur infinie, unique et insubstituable. L'homme passe infiniment l'homme : on peut dire que cette phrase de Pascal a ouvert la saison qui nous vient.

02/2020

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Policiers

Dans la peau du diable

Sean Corrigan n’est pas un inspecteur comme les autres. Abusé dans son enfance, il a développé le don singulier d'identifier la part d'ombre existant en chaque individu, celle-là même qu’il a refoulé et sur laquelle il continue à jeter le voile. Marié, père de famille, il mène une brillante carrière dans la police londonienne quand il se retrouve sur les traces de l’assassin le plus dangereux qu’il ait jamais connu.Quelqu’un qui n’a pas de mode opératoire précis, ne laisse derrière lui aucun indice exploitable par la police scientifique, choisit et sélectionne des victimes très différentes les unes des autres. Pourtant, Sean est persuadé que tous ces crimes portent la signature du même individu. A charge pour lui d’arriver à le confondre avant de devenir sa prochaine cible... D’un réalisme terrifiant, Dans la peau du diable vous plongera dans l’esprit d’un tueur et vous présentera, sans ménagement ni fioriture, le véritable déroulement d'une enquête criminelle.

11/2013

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Littérature française

Au-delà de la peau

Ce roman autobiographique retrace l'histoire d'un séminariste parti en Afrique Centrale comme coopérateur missionnaire. Gilles Evan, l'auteur de ce livre, réussit à captiver l'attention du lecteur d'un bout à l'autre de cette aventure autant spirituelle qu'authentiquement humaine, dans laquelle le génie des femmes et en particulier l'étonnante prostituée, Christine Mulambwa, vont jouer les tous premiers rôles. Ces femmes entraîneront le jeune séminariste au-delà des frontières qui délimitent habituellement les races, les religions et les cultures, vers un monde où tous les rêves de fraternité deviennent possibles. Le tout se joue sur le fond des troubles qui ont accompagné l'indépendance du pays et sous la menace d'un sorcier. L'auteur a su composer avec beaucoup d'élégance et de poésie, une oeuvre à la fois belle et touchante, portée par des personnages auxquels il est facile de s'identifier. Un récit intelligent, d'une réelle qualité narrative, qui ne saurait laisser ses lecteurs insensibles.

01/2019