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L'écran de nos pensées. Stanley Cavell, la philosophie et le cinéma

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Essais

L'écran de nos pensées. Stanley Cavell, la philosophie et le cinéma

De L'Extravagant Mr Deeds (Capra), The Philadelphia Story (Cukor), La Balade sauvage (Malick) jusqu'à Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) (Desplechin) et La Fille inconnue (Jean-Pierre et Luc Dardenne), un fil court, celui des lectures philosophiques de films de Stanley Cavell et des films qu'elles ont inspiré. Peu d'oeuvres philosophiques ont autant marqué la création cinématographique et aussi profondément marqué le champ des études cinématographiques que celle du philosophe de Harvard (né en 1926 et disparu en 2018). De son chef d'oeuvre de 1971, La Projection du monde, à ses derniers écrits sur le mélodrame, l'autobiographie et la critique (La Protestation des larmes, Le cinéma nous rend-il meilleurs ? ) en passant par son grand livre sur la comédie hollywoodienne (A la recherche du bonheur), cet ouvrage éclaire l'ensemble de sa pensée. Il donne aussi la parole à trois cinéastes qui l'ont connu et qui ont été inspirés par ses écrits : Luc Dardenne, Arnaud Desplechin, Claire Simon. Et se penche sur le lien que Cavell a entretenu avec Terrence Malick à Harvard dans les années 1960, lorsqu'il enseigna le premier séminaire de cinéma au sein d'un département de philosophie (vingt ans avant Deleuze), jetant les bases d'une pensée du cinéma qui prend son départ dans notre expérience aussi bien collective qu'intime des films. Cette expérience qui nous unit ou nous rapproche des autres. Et qui nous permet aussi, plongeant en nous-mêmes, de nous éduquer.

11/2021

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Philosophie

De l'écran à l'écrit. Enseigner la philosophie par le cinéma

Alternant séquences cinématographiques et extraits de grands textes qui vont de Platon jusqu'à Sartre, ce catalogue de ressources propose 52 chapitres d'analyses et d'exercices de philosophie générale basés sur autant de films. Répondant aux professeurs qui ne savent plus comment intéresser leurs élèves à cette discipline, Frédéric Grolleau propose de mettre le cinéma au service de l'enseignement de la philosophie. Soulignant les relations entre récits filmiques et notions du programme, il décrit des méthodes éprouvées de mise en pratique du cinéma dans la conduite de la classe. Ni réflexion générale sur le rapport entre la philosophie et le cinéma (on sait que la caverne de Platon préfigure les salles obscures) ni anthologie d'analyses filmiques, l'ouvrage détaille les façons d'utiliser le cinéma et présente des films effectivement exploités en cours. L'ensemble est illustré de travaux d'élèves (devoirs écrits et transcriptions d'interventions orales) qui donnent une idée des résultats qu'il est ainsi possible d'atteindre.

12/2021

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Philosophie

Les Cahiers Philosophiques de Strasbourg N° 5 : Stanley Cavell, Heidegger, Kant

STANLEY CAVELL : Notre Département de philosophie avait proposé cette année Stanley Cavell pour un doctorat honoris causa, qui lui fut conféré le 15 novembre 1996. A cette occasion, il a prononcé une conférence, à laquelle répondirent deux de ses plus proches commentateurs (et traducteurs) français. Nous reproduisons ici ces textes, ainsi que les allocutions prononcées lors de la cérémonie. HEIDEGGER : Le dossier "Heidegger" reprend l'ensemble des communications faites les 8 et 9 mars 1996 à la Faculté de philosophie de l'Université de Strasbourg lors de Journées Doctorales qui rassemblaient des travaux différents (autant par l'intention de lecture que par la méthode d'approche) sur l'oeuvre de Heidegger. A chaque fois, Heidegger est lu et interrogé, et il s'agit avant tout de l'accompagner dans certaines de ses avancées philosophiques (celles qui nous importent encore pour la pensée) avec vigilance et selon une distance que chacun des intervenants cherche à gagner à sa manière. KANT : Nous avons organisé à la Faculté de philosophie de l'Université de Strasbourg, les 25 et 26 octobre 1996, des Journées Doctorales sur Kant. Ce sont ces interventions que nous présentons ici. Elles s'attachent essentiellement à l'oeuvre critique, de son archéologie à son "achèvement" (dixit Kant) dans la 3e Critique.

03/1997

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Philosophie

Philosophie de l'écran. Dans le monde de la caverne

Inconnu il y a un peu plus d'un siècle, l'écran - cinéma, télévision, ordinateurs, téléphones - a envahi et bouleversé tous les secteurs de notre vie. Nous naissons, nous vivons et nous mourrons entourés d'écrans, et la vie économique et politique ne peut plus se concevoir sans eux. L'avènement de cette ère du silicium modifie profondément notre rapport à la réalité, mais aussi la régulation de la sphère marchande et la distinction entre le public et le privé. A rebours des constats angoissés et passéistes, Valérie Charolles analyse ce changement de civilisation de manière très concrète et montre que nos cadres de pensées issus des Lumières sont inopérants dans cet univers en réseau, où le rapport au temps comme à l'espace est perpétuellement mouvant, rapide, fluide. Et c'est pour cela que nous avons de plus en plus l'impression que le monde est indéchiffrable et qu'il nous échappe. Cet essai neuf et stimulant propose donc rien de moins qu'une révolution dans la pensée afin de pouvoir s'orienter dans l'ère du silicium.

04/2013

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Philosophie

Philosophie des salles obscures. Lettres pédagogiques sur un registre de la vie morale

Le livre que vous avez entre les mains s'inspire d'un cycle de cours que Stanley Cavell dispensa à l'université de Harvard : les mardis étaient consacrés aux grands textes de la philosophie morale, les jeudis aux chefs-d'oeuvre de l'âge d'or du cinéma hollywoodien. La composition de ce livre qui fait alterner un chapitre sur un philosophe avec un chapitre sur un film, reflète à la fois les circonstances de son élaboration et son ambition : nous replonger dans la salle de cours, nous faire redécouvrir et la philosophie et le cinéma. La plupart des histoires de la philosophie moderne relèguent au second plan sa vocation morale ; en ouvrant ce livre avec le philosophe américain Emerson et en le refermant avec Platon, Stanley Cavell nous invite au contraire à refuser l'éclatement de la philosophie en domaines séparés et à restituer à la philosophie morale toute sa place. Le cinéma ne tient pas lieu ici d'"illustration" philosophique : il ouvre au spectateur-lecteur une voie nouvelle, loin de tout conformisme, en faisant naître des questions que certaines théories philosophiques (voir les chapitres sur Kant, Mill ou Rawls, par exemple) n'ont parfois pas su formuler. Ces films magiques (New York-Miami, La Dame du vendredi, Indiscrétions, Cette sacrée vérité...) parlent du corps, du mariage, de l'aspiration à une vie et à un moi meilleurs, de l'éducation, des femmes, de la politique. Ils incarnent le perfectionnisme à travers l'une de ses caractéristiques constantes : la conversation. C'est peut-être cette dernière qui fournit l'instrument le plus efficace pour lutter contre la mélancolie, le cynisme ou le snobisme qui empêchent parfois de "désirer le monde et de désirer qu'il change".

03/2011

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Philosophie

Philosophie, Le jour d'après demain

      « Ma position a toujours été celle de l’ignorance attentive », écrit Stanley Cavell dans ses mémoires. Dans Philosophie. Le jour d’après demain, il tisse ensemble, sans doute pour la première fois et comme un testament pour après-demain, tous les fils de cette pensée hésitante et jubilatoire qui fait son originalité.      Héritier de la philosophie analytique, du scepticisme, de Wittgenstein et d’Austin, Stanley Cavell fait de l’Amérique elle-même un objet philosophique. Il fait se répondre Nietzsche et Emerson, ou Thoreau et Heidegger, et mêle intimement la relecture des penseurs déterminants à ses yeux avec celle des œuvres littéraires, des opéras ou des films, de Shakespeare à Fred Astaire.      Cet ouvrage regroupe dix courts essais dans lesquels le talent de Cavell pour lire les œuvres d’art qui nous entourent, sa capacité d’émerveillement et son sens de l’éloge au quotidien transparaissent à chaque page. « Qu’est ce qui arrive à la philosophie ? »      Né en 1926 à Atlanta, aux États-Unis, Stanley Cavell a enseigné la philosophie à Harvard pendant toute sa carrière. Auteur notamment de Dire et vouloir dire (Éditions du Cerf, 2009) et de Qu’est-ce que la philosophie américaine ? (Gallimard, coll. « Folio Essais », 2009), il est l’un des penseurs contemporains les plus étudiés des deux côtés de l’Atlantique.                                                                Traduit de l’anglais (américain) par Nathalie Ferron

05/2011

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Psychologie, psychanalyse

Le cinéma, une douce thérapie. De soi à l'écran, de l'écran à soi

L’amour du cinéma de l’auteur remonte à sa prime enfance. A soixante ans, il ai voulu rendre au grand écran ce qu’il lui avait apporté tout au long de sa vie. Le cinéma est puissant et moteur. Les images touchent massivement, elles ont chargées d’affects, elles illuminent notre espace intérieur et changent notre façon de voir le monde. Le cinéma met en mouvement, il suscite l’émotion, il nourrit nos perceptions, il sublime l’existence. Le cinéma peut être thérapeutique pour certain. Ce livre raconte dans quelle mesure plusieurs films ont aidé l’auteur à traverser des zones de turbulences à 6, 12, 20 et 45 ans. Après un bref récit de vie filmique, il évoque les relations privilégiées entre le cinéma, la psychanalyse et la Gestalt-thérapie, une approche fondée sur les phénomènes qui surgissent à la frontière-contact entre soi et le monde. Le visionnement de films réinjecte du mouvement dans une vie partiellement figée sur des figures récurrentes, inachevées, entraves multiples à la fluidité d’être. Le cinéma rétablit le contact avec notre capacité à assembler des bouts d’existence pour lui redonner un sens nouveau. Le film monté laisse entrevoir une continuité plus harmonieuse que le déroulement du quotidien. L’envie apparaît d’un autre scénario existentiel. A chacun bien sûr son histoire personnelle et sa façon singulière de regarder un film. Mais pour élargir le champ de vision et affirmer le potentiel thérapeutique du cinéma, l’auteur a testé un dispositif inédit : enchaîner séance de cinéma et travail psychologique avec un thérapeute. Quelques séances sont détaillées avec leur apport immédiat. Il propose également une grille de lecture (facultative) pour identifier les retombées d’un film à court et à long terme. Ces questionnaires d’avant, pendant et après projection ne constituent ni une méthode de visionnement, ni une grille d’analyse, ils soutiennent essentiellement le récit de notre expérience du film et posent les jalons d’une réflexion profonde une fois dissipée l’excitation de la séance. La deuxième partie de cet ouvrage est consacrée à la mise en perspective d’une bonne trentaine de films sélectionnés pour leur pouvoir clarificateur d’une situation de vie, leur force mobilisatrice, leur représentation d’un trouble mental. L’optimisme a été le critère principal de sélection des films qui enrichissent la vision du monde. L’ouvrage esquisse encore une toile à venir, celle d’une thérapie de groupe, basée sur le cinéma, que l’auteur espère amorcer avec les lecteurs de Cinéthérapie.

05/2015

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Notions

Le déni de savoir dans sept pièces de Shakespeare

Le théâtre élisabéthain est contemporain de l'émergence du scepticisme philosophique au fondement de la pensée et de la science européennes modernes. Dans cette série d'études classiques sur le drame shakespearien, Stanley Cavell montre comment la tragédie se nourrit de questionnements fondamentaux sur la nature du savoir, se faisant ainsi l'écho de la crise de la connaissance qui a traversé son temps. Les grands personnages shakespeariens incarnent chacun avec force une ou plusieurs options du scepticisme. Que leur doute porte d'abord sur l'amour filial (Le Roi Lear), la fidélité conjugale (Othello, Le Conte d'hiver), la légitimité du meurtre (Macbeth) ou de la vengeance (Hamlet), la nature du pouvoir et des rapports sociaux (Coriolan), le destin des empires et du monde (Antoine et Cléopâtre), il menace de s'étendre à la réalité tout entière et de les précipiter dans la folie. Lui-même héritier de la tradition sceptique, qui s'incarne encore dans les Recherches philosophiques du second Wittgenstein où elle investit la question du langage, Cavell n'a cessé de parcourir la généalogie de ce courant de pensée pour en restituer la vérité profonde : le déni de savoir est un masque qui cache l'incapacité à reconnaître l'autre. C'est en réhabilitant le langage ordinaire, auquel la pensée a souhaité tourner le dos, que la relation au monde peut être rétablie et la tragédie conjurée. Cet horizon constitue l'originalité profonde du dialogue philosophique que Cavell entretient ici avec Shakespeare.

11/2021

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Philosophie

Les voix de la raison. Wittgenstein, le scepticisme, la moralité et la tragédie

"Le fondement de la présente publication est que la réception de Wittgenstein est encore à venir. Je ne dis pas d'ailleurs que ce soit une mauvaise chose. L'écriture de Wittgenstein n'est pas du genre qui se prête à la professionnalisation. Je ne dis pas non plus que cette absence de réception soit surprenante. Comme les grandes oeuvres modernes depuis un siècle, les Investigations philosophiques sont, au sens logique, ésotériques, autrement dit elles sont essentiellement et toujours en attente de réception. Elles ont donc les désagréments des oeuvres-cultes qui exigent, pour être reçues sincèrement, le choc de la conversion. Wittgenstein avoue lui-même que son oeuvre "semble détruire tout ce qui est intéressant, c'est-à-dire tout ce qui est grand et important". Mais ce qui s'exprime ici, dans l'idée de destruction, c'est en réalité un renversement de nos idées de ce qui est grand et important."

03/2012

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Philosophie

Qu'est-ce-que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson

Qu'est-ce que la philosophie américaine ? La philosophie analytique, fondée sur la logique et l'analyse du langage et se revendiquant de l'héritage de Wittgenstein, et le libertarianisme d'autre part, répondra-t-on. Stanley Cavell préfère reformuler la question à nouveaux frais : Y a-t-il même une philosophie américaine ? Question provocatrice? Malentendu, assure Cavell. Car comment entendre et recevoir Wittgenstein, si l'Amérique s'est déjà montrée incapable de faire place à un héritage proprement américain : la voix originelle et philosophique d'Emerson - et à sa suite de Thoreau -, qui annonce pourtant à sa manière Wittgenstein. Nietzsche, lui, ne s'y est pas trompé qui était grand lecteur d'Emerson, antiesclavagiste notoire, défenseur de l'homme sans condition, de la réalité apparemment triviale, mais théoricien du perfectionnement moral.

04/2009

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Cinéma

Le cinéma de Jean-Luc Godard et la philosophie

Jean-Luc Godard a emprunté à la philosophie avant d'être à son tour objet d'études et de colloques. Il s'agit ici de considérer la cinématographie de Jean-Luc Godard comme discours philosophique propre et de comprendre son mode opératoire. Cette proposition est exposée selon quatre approches qui travaillent sur les réalisations du cinéaste, y repèrent l'expression philosophique, en développent la réalité et argumentent ses conditions de possibilité. Vincent Berne examine les conceptualisations qui s'efforcent de caractériser les rapports complexes des éléments sémiotiques du cinéma de Jean-Luc Godard ; Vincent Jacques s'intéresse à son tour au langage du cinéaste et à la pédagogie qu'il met à l'oeuvre sans cesse, où il raccorde les mots et les choses pour informer et communiquer ; Stefan Kristensen s'interroge sur la quête centrale et constante de l'amour par Jean-Luc Godard, ses efforts pour le représenter et déploie ce qui pourrait bien constituer une philosophie de l'amour ; Louis-Albert Serrut enfin traite des thèmes philosophiques de Nouvelle vague, y repère les concepts que le cinéaste élabore et où la forme du récit, discursif, autorise l'enquête en philosophie.

12/2019

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Cinéma

Blockbuster. Philosophie et cinéma

Le blockbuster, c'est de l'explosif. A l'origine du mot, une bombe utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale, capable de détruire tout un pâté de maisons. Et il n'y a sans doute pas d'image plus typique du blockbuster que celle d'une gigantesque explosion. Les déflagrations dont il s'agit dans ce livre ne sont pas uniquement celles que racontent les films. Produit grand public, confectionné grâce à d'immenses investissements financiers, le blockbuster s'apparente à une bombe à fragmentation, pulvérisant l'objet filmique dans des contextes de consommation qui n'ont plus rien à voir avec le cinéma, se diffractant sur le marché mondial sous forme de produits dérivés, T-shirts, figurines et autres gadgets. Sept auteurs, philosophes et critiques, se sont penchés sur quelques blockbusters de leur choix. A chaque fois, les films dynamitent la pensée et l'entraînent dans des directions inattendues : les gremlins sabotent les écrans et contaminent les images, Godzilla et King Kong se font machines à échanger les regards, Batman devient le théâtre d'une déconstruction du politique, Alien met en scène les métamorphoses d'un récit qui ne change jamais, et Titanic coule comme cette industrie lourde qu'est le cinéma lui-même...

11/2013

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Religion

Le champ de bataille de la pensée. Gagnez la bataille dans vos pensées

Soucis, doute, confusion, dépression, colère et sentiments de condamnation... tout cela constitue des attaques de la pensée. Si vous souffrez de pensées négatives, prenez courage ! Joyce Meyer a aidé des millions de personnes à vaincre toutes ces batailles cruciales - et elle peut aussi vous aider. Dans son best-seller le plus connu, cet auteur et pasteur bienaimé vous montre comment changer votre vie en changeant votre façon de penser. Elle vous enseigne à gérer les milliers de pensées qui vous envahissent chaque jour et à concentrer votre esprit pour penser comme Dieu pense. Elle partage aussi ses épreuves, ses tragédies et au bout du compte ses victoires dans son mariage, sa famille, son ministère, qui l'ont amené à une vérité merveilleuse qui métamorphose, révélant ses pensées et ses sentiments tout au long de son parcours. Maintenant, c'est à votre tour : de prendre le contrôle de vos pensées pour trouver la liberté et la paix ; de reconnaître les pensées destructrices et les empêcher d'influer sur votre vie ; d'être patient avec vous-même, quelles que soient les erreurs que vous commettez ; de vous armer de la Parole de Dieu, de louange, de prière et d'autres armes spirituelles puissantes ; de suivre la lumière pour sortir de votre `jungle' mentale - les mauvaises attitudes et les excuses que les gens adoptent et qui les tiennent loin de Dieu afin de trouver un bonheur et un épanouissement incroyables. Ne tolérez pas un jour de plus de succomber à la détresse. Découvrez aujourd'hui comment assurer votre victoire dans votre champ de bataille de la pensée !

01/2012

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Ouvrages généraux

Philosophie et langage. Dialogue de la pensée de l'existence avec la philosophie analytique

Cet ouvrage propose un dialogue entre la philosophie analytique, fondée par Frege et Russell, et la pensée de l'existence, inaugurée par Kierkegaard et développée à sa suite notamment par Rosenzweig et Heidegger. Pour la philosophie analytique, il n'est de savoir que scientifique ; tandis que dans la pensée de l'existence, la vérité essentielle, à savoir celle de l'ouverture à l'Autre, est ignorée et même rejetée au nom de la science. L'une et l'autre sont attachées au langage, la première voulant le réformer afin d'élaborer un langage logique pour la science, la seconde y voyant un lieu majeur de l'existence. Cependant, toutes deux refusent que puisse être posé comme tel un savoir philosophique avec l'essence comme principe. Elles se rejoignent également en Wittgenstein, penseur paradoxal, qui hérite des analyses de la philosophie analytique en les critiquant implicitement au nom de la vérité découverte par la pensée de l'existence. On entend montrer ici que l'inconscient, qui s'exprime de manière privilégiée dans le langage par la métaphore, permet de passer outre à ce refus, de déterminer l'essence originelle et de présenter la philosophie comme savoir de l'existence.

04/2024

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Cinéma

L'intimité à l'écran. L'amour et la sexualité au cinéma

La sexualité à l'écran est devenue omniprésente, mais a-t-elle cessé d'être un tabou ? Le cinéma pornographique, depuis la loi de 1975, reste ghettoïsé malgré les tentatives, parfois réussies, de certains cinéastes à intégrer des scènes explicites dans des films interdits aux moins de 16 ans. A l'inverse, de nombreux longs-métrages de fiction représentent l'amour physique de manière elliptique à l'instar des films des années 1950 soumis à la censure. Le cinéma peine à représenter les préliminaires mais aussi la jouissance, surtout féminine, qui apparaît souvent de manière caricaturale. Ainsi les représentations cinématographiques de la sexualité sont encore trop souvent archaïques. Cette étude embrasse tout le cinéma français de l'après-guerre jusqu'à nos jours. Elle porte une attention particulière aux films qui ont lait scandale, et dont elle analyse la réception critique, ainsi qu'à quelques stars, symptômes de l'érotisation des sociétés occidentales modernes.

02/2017

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Cinéma

Le cinéma au bord du monde. Une approche de Stanley Kubrick

Les films de Kubrick constituent un imagier à la fois populaire et sophistiqué de quelques-unes des figures les plus marquantes des événements de la modernité : la rencontre de l'espèce humaine et de ses artefacts, les métamorphoses de la violence domestique et politique, et quelques visages du mal. Ses contes cruels et glacés nous renvoient le reflet vertigineux de toutes nos fins du monde.

06/2010

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Récits de voyage

Le baobab de Stanley

"L'hiver approche, la fille que j'aimais m'a quitté, j'ai un peu d'argent de côté et pas d'autre projet pour les mois à venir. " Guillaume Jan part en Afrique, à Zanzibar, avec la vague ambition de traverser le continent jusqu'à l'embouchure du fleuve Congo. Il nage avec des dauphins, escalade une montagne, trouve une pirogue, dort à la belle étoile et s'égare dans la jungle en écoutant un philosophe de la brousse s'enthousiasmer pour Jean-Paul Sartre. En chemin, il découvre que sa route se confond avec celle de Henry Morton Stanley, le premier explorateur à s'aventurer dans le tréfonds de cette forêt magnétique. Avec en supplément la nouvelle "Cher Boula Matari" et un cahier photos.

10/2016

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Sociologie

Les dossiers de l'écran. Controverses, paniques morales et usages éducatifs des écrans

Les controverses autour des usages des "écrans" placent les professionnels de l'éducation aussi bien que les parents dans une situation délicate. Doivent-ils favoriser l'usage des écrans chez les plus jeunes ou, au contraire, lutter contre et tenter de les limiter ? Afin de répondre à ces questions, de nombreux prescripteurs, qu'ils soient enseignants, chercheurs, experts en parentalité, psychologues, pédopsychiatres ou développeurs informatiques, cherchent à définir les "bons" et les "mauvais" usages des écrans. Et cela s'accompagne d'un marché florissant du conseil aux parents à l'heure du tout-numérique. Les termes de ces débats et de ces définitions, dont les enjeux sont à la fois éducatifs, scientifiques, politiques et économiques, sont fortement disputés. Le propos de cet ouvrage collectif est de mettre à plat ces divers enjeux, dans le but d'y voir plus clair. Ce décryptage interdisciplinaire permettra de faire le tri dans les arguments et les interprétations du phénomène.

09/2020

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Linguistique

Perlocutoire. Normativités et performativités du langage ordinaire

Nos paroles agissent sur le monde : "Je promets ", "Je lègue" sont à la fois des mots et des actes. Le philosophe J. L. Austin a découvert et analysé ces actes de langage, transformant ainsi profondément la pensée contemporaine. Toute énonciation, pour Austin, à la fois décrit, agit... mais exprime aussi des affects — elle nous expose, nous inscrit dans des rencontres et des liens. Dire : "Tu me dégoûtes", "C'est indigne", "Je suis touchée", c'est affecter autrui, soi-même, le monde. Austin a appelé perlocutoire cette dernière dimension du langage. Cet ouvrage réunit des contributions par des spécialistes de philosophie du langage et de philosophie morale, politique et juridique qui, par des angles variés, attirent l'attention sur la catégorie du perlocutoire — une dimension souvent négligée de la performativité du langage. Il révèle ainsi, dans la lignée de Stanley Cavell, la vitalité nouvelle de la philosophie du langage ordinaire et l'actualité de Pauvre d'Austin.

08/2021

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Histoire et Philosophiesophie

Le robot et la pensée. Contre-philosophie de l'homme-machine

Comment trouver des mots simples et de poids pour dire ce qui fait de nous des humains, dans une culture où prospèrent les promesses d'immortalité du transhumanisme et la figure froide du robot ? Renvoyant dos à dos technophobie et technolâtrie, cette enquête d'anthropologie radicale progresse par des chemins insolites jusqu'à atteindre à l'ironie d'un constat paradoxal : ce pouvoir technicien, qui nous fascine parce qu'il semble sans limites, aurait pour cause le rapport intime que l'homme entretient depuis toujours avec le raté, la panne, le bug, bref tout ce qui peut mettre justement une machine en défaut. Un traité philosophique, un manuel de combat.

10/2019

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Cinéma

Du concert à l'écran. La musique classique au cinéma

En s'associant à un film, toute musique préexistante apporte, outre une coloration sonore créatrice d'atmosphères, un réseau de significations liées à son histoire. En se concentrant sur la "musique classique" – expression désignant ici une certaine manière "savante" d'élaborer une oeuvre –, cet ouvrage s'empare de morceaux riches d'une tradition interprétative et d'une réception qui ont parfois plusieurs siècles. Outre une charge sémantique nouvelle, le passage d'un média à un autre induit une perte d'autonomie, de profonds changements dans les contextes d'exécution et les conditions d'écoute, le passage d'une temporalité de la moyenne ou de la longue durée – permettant le développement de la forme musicale – à des formats souvent très réduits qui trahissent d'inévitables coupures. Au coeur de ce livre organisé en cinq parties ("Topoi de la musique classique au cinéma", "Musique et vérité historique", "Musique et narration", "Musique et identité", et "Musique et structure"), ces thématiques croisent d'autres questionnements concernant les choix d'extraits opérés, les interprétations retenues, la manière dont la musique classique dialogue avec d'autres musiques préexistantes et la musique originale, les arrangements et les réécritures pour s'adapter au propos filmique.

08/2019

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Littérature française

La plume et l'écran

Belle, bien née, spirituelle, qui la connaîtrait si l'absence de sa fille très aimée n'avait poussé Marie, marquise de Sévigné à prendre la plume ? Elle crée sans le vouloir une nouvelle forme d'écriture : la littérature épistolaire. Hélène, professeur de Lettres et écrivain, brisée par la vie, croise sa route. Va et vient entre passé et présent. Entre ces deux femmes que trois siècles et demi séparent, un lien étroit s'instaure. Hélène se reconstruit peu à peu. Trois hommes l'entourent. Le danger guette pourtant...

01/2019

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Théâtre

Nos écrans bleutés

Dans un pavillon au fond du lotissement, la mère, la fille et le gendre attendent le retour du père, qui doit rentrer de l'hôpital après sa treizième tentative de suicide. Pour l'accueillir au mieux, ils ont eu l'idée d'une invitée surprise : la télévision ! Mais l'ambulance est en retard et le psy-show prend des allures de farce caustique.

10/2009

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Philosophie

Cinéphilo. Les plus belles questions de la philosophie sur grand écran

CINÉPHILO Peut-on changer de vie sans y laisser sa peau? Tel est le dilemme de Fight Club. Comment gagner en puissance et en joie sans détruire les autres ou le monde? s’interrogeait Spinoza. Telle est la quête des X-Men. Et si un malin génie nous trompait, si rien n’était réel? demandait Descartes. C’est l’hypothèse de Matrix. Faut-il craindre la passion ou y plonger corps et âme? American Beauty nous éclaire sur le coup de foudre. Ollivier Pourriol propose un voyage à bord de ces films cultes pour explorer les plus belles questions de la philosophie. Clair et pédagogique, Cinéphilo se promène entre images et concepts pour nous rendre sensible la philosophie. À partir du débat entre Descartes et Spinoza sur la liberté, c’est toute l’histoire de la philosophie qui prend vie, accessible et passionnante, sous les traits de Brad Pitt, Tom Cruise, Emmanuelle Béart ou Keanu Reeves. Le cinéma peut-il aider la philosophie à tenir ses promesses d’universalité? La pensée de masse peut-elle introduire à la pensée tout court? C’est le pari de ce livre. Grâce aux films, nous faire sentir et expérimenter les idées éternelles… Ollivier Pourriol, trente-six ans, normalien, agrégé de philosophie, développe une autre façon d’enseigner la philosophie: depuis trois ans, il anime au cinéma MK2 (Paris 13e) des séances de cinéphilo qui rencontrent un franc succès, et dont ce livre prolonge l’esprit (www.cine-philo.fr). Romancier et essayiste, il a publié Mephisto Valse (Grasset, 2001), Le Peintre au couteau (Grasset, 2005), Polaroïde (Grasset, 2006) et Alain, le grand voleur (Livre de Poche, 2006). Cinéphilo est son cinquième livre.

01/2012

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Cinéma

L'écran global. Culture-médias et cinéma à l'âge hypermoderne

L époque contemporaine est celle de la prolifération des écrans. L'aventure a commencé il y a plus d'un siècle avec l'écran originel : celui du cinéma. Au moment où, de la télévision à la vidéo, du micro-ordinateur au téléphone mobile, des caméras de surveillance au réseau de la Toile, on assiste à l'avènement de l'écran global, qu'en est-il de cette nouvelle culture d'écrans ? La thèse développée ici est que, loin de signer la mort du 7e art, l'époque du tout-écran enregistre la plus grande mutation jamais connue du cinéma. Non seulement celui-ci se métamorphose en hypercinéma autour de trois figures constitutives (excès, multiplexité, distance), mais il est devenu producteur d'un monde et, partant, d'une vision du monde. Tous les autres écrans (télévision, pub, jeux vidéo, vidéo-clips, Second Life...) sont désormais restructurés par la logique de la starification, de l'hyper-spectacularisation et du divertissement. Et même le rapport au monde et à soi n'y échappe pas. Voici que le cinéma est partout, y compris là où il n'est pas : mode, sport, urbanisme, arts visuels, vidéomania généralisée portent l'empreinte de la ciné-attitude. Faut-il avoir peur de cet âge écranique ? Dans ce livre s'exprime une autre approche : celle qui considère que les images des temps hypermodernes ne sont pas synonymes d'appauvrissement de la pensée, du sensible, de l'esthétique. Le film civilisationnel qui se joue, ni scénario catastrophe ni happy end, contraint à forger un modèle inédit d'intelligibilité du cinéma, des écrans, et, plus profondément, de la culture qui vient.

10/2007

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Communication - Médias

Le poil féminin à l'écran. Témoin de nos regards sur la féminité

Un essai retentissant qui questionne l'influence de la représentation des femmes au cinéma et dans les médias à travers l'exemple révélateur de la pilosité féminine. "Il aurait pu n'être rien de tout cela. Le poil féminin n'a jamais revendiqué quoi que ce soit en poussant sur nos corps, il aurait pu, sans bruit, se fondre dans la masse de la banalité. Mais ce qui n'était rien qu'une manifestation parmi tant d'autres du corps humain revêtit désormais des allures de militantisme, de résistance, d'un désir d'autre chose pour nos sociétés. Comme à tout élément faisant l'objet de normes restrictives, sa discrimination lui confère paradoxalement du pouvoir. Le pouvoir de déranger, de faire réagir, de faire désordre à un ordre établi dont on a perdu la logique. Et surtout, le pouvoir d'interroger d'autres manières de faire et de voir. La répression désigne elle-même les outils de son opposition, aussi petits, aussi communs, aussi prosaïques, aussi insignifiants soient-ils que des poils. Par peur de la marge, nous avons créé la norme, et en créant la norme, nous avons créé la marge qui, par le simple fait d'exister, a le pouvoir de lui dire non". Jade Debeugny interroge la représentation du poil féminin dans les films et dans les médias afin de dépasser le constat pour questionner les évolutions futures du poil à l'écran, sous le prisme des désirs et espoirs d'une jeune génération de cinéastes dans laquelle elle s'inscrit. Amour, sexe, sport, adolescence, nature, art... Les rapports complexes que nous entretenons avec la pilosité féminine mènent sa réflexion vers des pans culturels et intimes très divers, pour constituer un essai politique et engagé.

11/2022

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Littérature française

Survol de mes pensées - Athéisme et philosophie poétiques

Edouard, pourquoi ce titre de survol ? "Si j'avais parlé d'envol de mes pensées, j'aurais dû les développer avec précision et l'ouvrage trop long aurait certainement été fastidieux, ce que je reproche à tous les essais trop détaillés. Il s'agit plutôt d'un inventaire de mes idées. Je pense que c'est suffisant pour que le lecteur comprenne l'auteur, l'approuve ou le désapprouve et éventuellement lui demande plus d'explications". Votre livre est donc un essai ? "La première partie effectivement est un essai de quelques pages sur l'idée de dieu, des croyances et des religions dans lequel je mets clairement en évidence le bien fondé de l'athéisme qui a épaulé mon existence et qui me convient parfaitement. Je cherche à faire comprendre aux croyants, que je respecte, que l'on peut être athée et bienveillant. Je ne remercierai jamais assez mon père athée de ne pas m'avoir porté sur les fonds baptismaux ; je n'ai pas eu à renier une croyance imposée". Et vos poésies ? "Très souvent la nuit couve mes inquiétudes et mes sentiments qui s'expriment en vers dans mon sommeil, jaillissent sur un carnet au petit matin et sont rédigés dans la journée. Tous mes poèmes émanent d'éléments vécus fortement ressentis. Cette deuxième partie est un recueil d'écrits spontanés sur l'Amour, l'Amitié, la Religion, la politique, la Maladie et bien sûr la Mort. Leur principale vertu est la sincérité".

10/2013

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BD tout public

Philosophia. Une histoire de la philosophie en BD

Philosophia, c'est une histoire de la philosophie en bande dessinée. Des premiers philosophes grecs jusqu'à ceux d'aujourd'hui, ce roman graphique de la pensée se veut une introduction ludique et esthétique aux grandes idées qui ont rendu célèbres des auteurs aussi incontournables que Platon, Descartes, Kant et bien d'autres…

10/2018

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Essais

Cinéma & démocratie. Et si le grand écran sauvait le lien social

Le cinéma est peut-être un des remèdes les plus puissants pour aider notre société à guérir du communautarisme, du repli sur soi et de la haine de l'autre. Le 7è art est immergé dans notre quotidien. Chaque année, pas moins de 7 milliards de personnes fréquentent une salle de cinéma dans le monde. En France, chacun d'entre nous est en moyenne spectateur de trois films en salle et de près de 250 films sur petit écran. Ce qui fait du cinéma la sortie culturelle la plus communément partagée par les Français. Et pourtant, en ces temps de pandémie, l'industrie du cinéma connaît une crise qu'en 125 ans d'existence elle n'avait jamais vécue. Si les plateformes de streaming ont triomphé, permettant aux millions de confinés de continuer à s'abreuver d'images, rien n'a pu remplacer l'expérience commune magique vécue en salle, le partage d'émotions sur grand écran. Le cinéma est peut-être un des remèdes les plus puissants pour aider notre société à guérir du communautarisme, du repli sur soi et de la haine de l'autre. Ce livre démontre la nécessité de le soutenir, à tous les niveaux de la collectivité. Ce n'est rien moins que l'avenir de nos sociétés démocratiques qui en dépend.

05/2022

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12 ans et +

Astrid, ou l'impact de nos pensées

Astrid, est une petite pensée. Tout au long de cet essai, elle s'adresse au lecteur afin qu'il prenne conscience que les pensées que les humains émettent en permanence sont des ondes qui, selon qu'elles sont positives ou négatives, influencent son équilibre, son épanouissement, ses relations mais également le devenir de l'humanité et la santé de notre belle planète bleue. S'ensuivent, dans un style dynamique et léger, des enseignements concernant "formes-pensées" et "égrégores" . L'impact de ces puissants émetteurs/récepteurs, véritables "entités" aux fréquences vibratoires plus ou moins subtiles, est expliqué simplement, à partir de notions de physiologie énergétique, accessibles à tous. Nous ne sommes pas qu'un corps de chair. Et tout est énergie... Tout est vibration ! Tout est relié ! Il n'y a pas de séparation ! Ainsi, Astrid explique au lecteur comment il peut prendre soin de sa santé et de la planète en contrôlant ses pensées. A chaque chapitre, ses propos sont ponctués de petits exercices pour s'entraîner, trouver des ressources et dynamiser son développement personnel et spirituel. Plutôt qu'un cri de désespoir, un message d'espoir !

02/2019