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J'étais le collabo Sadorski

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Policiers historiques

J'étais le collabo Sadorski

Septembre 1944 : partisans de De Gaulle et de Staline rivalisent pour le pouvoir dans Paris fraîchement libéré. C'est à qui rétablira l'ordre le premier, ou plutôt son ordre. Démasqué et menacé d'être fusillé, l'inspecteur Léon Sadorski n'en mène pas large. Le sort en a pourtant décidé autrement. En échange de l'indulgence des cours de justice, l'ex-collaborateur se voit confier par les chefs de l'insurrection une mission semée de pièges : identifier les " taupes " laissées par la police de Vichy au sein du Parti communiste. Rien ne se passant comme prévu, Sadorski se retrouve séquestré dans un des pires centres de détention et de torture gérés par les FTP. Mais il entend bien échapper à ses geôliers afin de rechercher sa femme, Yvette, disparue dans les purges des premières heures de la Libération. Pour cela, Sadorski aura besoin d'argent, de beaucoup d'argent...

09/2022

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Policiers historiques

J'étais le collabo Sadorski

"Une fresque historique sur la collaboration et l'épuration parisienne qui fera date". LE FIGARO MAGAZINE Septembre 1944 : Paris vient d'être libéré. Menacé d'être fusillé, l'inspecteur Léon Sadorski pourrait bénéficier de l'indulgence des épurateurs, à la condition d'identifier les "taupes" laissées par la police de Vichy au sein du Parti communiste. Mais rien ne se déroulera comme prévu... Né en 1953 dans une famille franco-britannique, Romain Slocombe est l'auteur d'une trentaine de romans. L'Affaire Léon Sadorski (prix polar Libr'à Nous), L'Etoile jaune de l'inspecteur Sadorski, Sadorski et l'ange du péché, La Gestapo Sadorski et L'Inspecteur Sadorski libère Paris sont disponibles chez Points.

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Littérature française

Maurice collabo !

Grâce à son père, Maurice était un garçon bien éduqué et cultivé. Comment avait-il pu entrer dans le ventre dur de la bête immonde et en devenir un organe actif ? A cette question, René, son ami de lycée, jeune maquisard antifasciste, cherche des réponses. Avec Aurélie, sa compagne, ils mènent une enquête à partir de divers témoignages oraux et de documents sur les cercles de la collaboration afin de cerner la personnalité profonde de Maurice et de dégager une figure cohérente et vraisemblable du jeune milicien châtié à la Libération et dont la dernière victime aura été son père.

04/2019

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Policiers historiques

Affaire Léon Sadorski

Le pire des salauds, le meilleur des enquêteurs.
Avril 1942. Au sortir d'un hiver rigoureux, Paris prend des airs de fête malgré les tracas de l'Occupation. Pétainiste et antisémite, l'inspecteur Léon Sadorski est un flic modèle doublé d'un mari attentionné. Il fait très correctement son travail à la 3e section des Renseignements généraux, contrôle et arrête les Juifs pour les expédier à Drancy. De temps en temps, il lui arrive de donner un coup de main aux Brigades spéciales, d'intervenir contre les " terroristes ".
Mais Sadorski est brusquement arrêté par la Gestapo et transféré à Berlin, où on le jette en prison. Le but des Allemands est d'en faire leur informateur au sein de la préfecture de police. De retour à Paris, il reçoit l'ordre de retrouver son ancienne maîtresse, Thérèse Gerst, mystérieuse agent double que la Gestapo soupçonne d'appartenir à un réseau antinazi.

Après le succès de Monsieur le commandant, Romain Slocombe nous entraîne dans les abîmes de la collaboration et de la mauvaise conscience française.

04/2023

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Policiers

L'affaire Léon Sadorski

Avril 1942. Au sortir d'un hiver rigoureux, Paris prend des airs de fête malgré les tracas de l'Occupation. Pétainiste et antisémite, l'inspecteur Léon Sadorski est un flic modèle doublé d'un mari attentionné. Il fait très correctement son travail à la 3e section des Renseignements généraux, contrôle et arrête les Juifs pour les expédier à Drancy. De temps en temps, il lui arrive de donner un coup de main aux Brigades spéciales, d'intervenir contre les "terroristes". Mais Sadorski est brusquement arrêté par la Gestapo et transféré à Berlin, où on le jette en prison. Le but des Allemands est d'en faire leur informateur au sein de la préfecture de police... De retour à Paris, il reçoit l'ordre de retrouver son ancienne maîtresse, Thérèse Gerst, mystérieuse agent double que la Gestapo soupçonne d'appartenir à un réseau antinazi.

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Romans, témoignages & Co

La traque du collabo

Après le départ des Teutons, on avait presque repris une vie normale malgré le manque de denrées alimentaires. On était libre, c'était déjà une chose importante. On avait plus peur de se faire cueillir par des soldats, souvent en état d'ébriété. Mais on n'oubliait pas encore les vert-de-gris et leurs amis français... Et voilà, les rancunes revenaient, ne s'effaçaient pas d'un coup de torchon ou ne s'envolaient pas comme une feuille au vent. Elles étaient là, tenaces, comme un cauchemar lancinant... Grâce à une jeune fille et avec la complicité de son père ancien plombier qui, forcément, travaillait pour remettre en état les tuyauteries dans les locaux de la kommandantur, la chasse au collabo a pu aboutir...

02/2022

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Théâtre

Le résistant, le collabo et la tondue

1945 Au bistrot de la gare, la guerre a laissé des traces. Des secrets, des mensonges, des retours de fortune... Un patron de bar au passé obscur, une jeune femme tondue, un prisonnier de retour d'un camp, un maquisard nostalgique... La rencontre de ces personnages aux destins variés permet d'aborder les côtés obscurs de l'après-guerre avec émotion et suspense. A la fin, l'espoir ouvre la voie à une future réconciliation franco-allemande.

03/2013

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Policiers

Sadorski et l'ange du péché

Paris, mars 1943. Une femme est arrêtée dans un bistrot du 10e arrondissement. Elle aurait franchi la ligne de démarcation munie de faux papiers, pour un trafic de métaux précieux. L'inspecteur principal adjoint Léon Sadorski voit dans cette enquête une parfaite occasion de s'enrichir. Mais il a d'autres soucis, notamment protéger Julie, la lycéenne juive réfugiée chez lui depuis la rafle du Vél'd'Hiv. C'est alors qu'une affaire de lettre anonyme et d'adultère le conduit sur les plateaux du cinéma français de l'Occupation : parmi les jeunes actrices d'un drame tourné dans un couvent de dominicaines, l'inspecteur va rencontrer son "Ange du péché" et se transformer en criminel...

08/2018

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Histoire de France

Journal d'un collabo ordinaire

Qu'est-ce qui a pu pousser des Français à entrer dans une collaboration active avec l'Allemagne nazie ? Quels étaient les profils de ces hommes et de ces femmes ? Jusqu'où leurs choix a pu les conduire ? Vers quelles extrémités ? Freddy Legrand, secrétaire à la Légion des volontaires français contre le Bolchevisme (LVF) et responsable local du Parti franciste, a noirci au jour le jour huit cahiers d'écolier qu'il a lui même intitulés Mémoires d'un raté puis Mémoires d'un vendu... Il y propose un voyage, un voyage au coeur de ses actions, de ses pensées, de ses idées, de ses réflexions, de ses choix, de sa vie de tous les jours mais aussi de ses amours. Ses idées et ses choix le conduiront successivement d'une douillette existence bourgeoise à la dure vie militaire, de la résistance passive à la collaboration la plus active, de l'armée d'Afrique à la milice franciste, de la vie à la mort... De l'Athénée royal de Bruxelles, en passant par le Maroc, la campagne de France de 1939-1940, jusqu'à sa fin dans un petit village de la Nièvre, voilà donc l'itinéraire suivi par ce " vendu ". Un texte inédit, loin de la volonté de se justifier, mais dicté par les événements tragiques des années 1940. Une immersion dans une époque trouble qui présente la vie quotidienne d'un jeune soldat égaré, d'un jeune français désabusé. Un livre qui pourrait être un roman s'il n'avait été la vie d'un homme.

05/2018

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Policiers

L'étoile jaune de l'inspecteur Sadorski

Paris, 29 mai 1942 : une bombe explose devant le Palais de justice, dans un café fréquenté par les Brigades spéciales, faisant deux morts et plusieurs blessés. Quelques jours plus tard, le cadavre d'une inconnue est découvert en banlieue. Crime passionnel ou politique ? Chargé d'enquêter sur ces deux affaires, l'inspecteur Léon Sadorski voit ses projets de vacances contrariés - d'autant plus qu'il doit bientôt participer à la grande rafle du Vél d'Hiv, exigée par les nazis et confiée à la police française. Un destin tragique menace désormais sa jeune voisine Julie Odwak, la lycéenne juive qu'il convoite en secret et dont il a fait interner la mère.

08/2017

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XXe siècle

Brasse papillon. Le roman d’un collabo

En 1945, le nageur Jacques Cartonnet, champion du monde, est condamné à mort par contumace. Que lui reproche-t-onA ? Son appartenance à la Milice et surtout la dénonciation de son rival, Alfred Nakache, déporté avec sa femme et sa fille. Cartonnet, lui, se cache en Italie. Pour raconter cette histoire, il faut revenir aux sourcesA : les archives judiciaires et la presse sportive. Se dessine alors une carrière qui propulse un jeune nageur aux sommets de la natation mondiale, puis s'effondre. Paralysé par la compétition, Cartonnet est à la dérive. La rumeur d'homosexualité court. Il se perdrait dans les plaisirs⦠Pour rapporter cette faillite, les témoins se suivent : Amis, nageurs, entraîneurs, journalistes⦠Mais une voix se distingue. Celle d'un professeur de philosophie qui, pour sa thèse, tente de comprendre l'individu. Qui est donc ce CartonnetA ? Seul dans son coin, cet homme traqué parce que juif, nous apporte enfin la vérité. Yves Pourcher est professeur à l'IEP de Toulouse.

09/2021

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ouvrages généraux

La cavale des collabos

Trois quarts de siècle après son naufrage, la Collaboration continue de faire l'objet d'articles, d'ouvrages et de films. Mais la fuite des collaborateurs après-guerre constitue un angle mort de la recherche historique. Quelles ont été les attitudes des hommes de Vichy à partir du grand tournant de la guerre, en février 1943, après la bataille de Stalingrad, quand les plus lucides ont compris que le Reich ne pouvait plus l'emporter, et surtout en juin 1944, après le débarquement de Normandie ? Quelle trace ont-ils laissé dans la mémoire collective ? Le 20 juin 1944, la fin du régime de Vichy et le départ du Maréchal Pétain, puis la Libération de Paris le 25 août, marquent la fin d'un monde et donnent le signal de la dispersion pour ceux qui vont devenir les "maudits" de l'après-guerre. Nombre d'entre eux choisiront la fuite et la clandestinité pour échapper à l'épuration, en attendant des jours meilleurs... D'abord en Allemagne, et ce jusqu'à la fin du conflit, dans une véritable ruée vers l'est direction Sigmaringen, Ulm, Mainau, Mengen. Après-guerre, l'histoire de cette "grande évasion" suivra d'autres itinéraires : en Italie, via les réseaux du Vatican, en Suisse, théoriquement neutre mais véritable plaque tournante du fascisme européen, en Argentine ou au Canada. François Broche dresse ici le tableau chaotique et sanglant de cette France de Vichy après Vichy, de ces destins individuels dont beaucoup ont finalement abandonné les ambitions du fascisme français, quand d'autres tentèrent sans relâche de les faire revivre. Grand historien français, spécialiste de l'armée française sous l'Occupation, de la France Libre et de la collaboration, François Broche a notamment publié Le Bataillon des guitaristes (Fayard, 1971), Histoire de la collaboration (avec Jean-François Muracciole, Tallandier, 2017) et La Cathédrale des sables (Belin, 2019).

10/2023

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Policiers

La trilogie de la guerre civile : La gestapo Sadorski

Le pire des salauds, le meilleur des enquêteurs. Paris, octobre 1943. Un important dignitaire nazi, le colonel SS Julius Ritter, a été assassiné en sortant de chez lui, près du Trocadéro. La Gestapo est sur les dents. Elle convoque l'inspecteur principal adjoint Sadorski pour lui confier la direction d'une petite unité de policiers français gestapistes chargée de traquer les "terroristes" juifs FTP-MOI. Sadorski caresse l'espoir de gagner de l'avancement en effectuant un brillant coup de filet. Joignant l'utile à l'agréable, il cache dans son appartement la jeune Juive Julie Odwak, qu'il a mise enceinte. La situation est des plus scabreuses : sa femme Yvette, qui ignore la véritable identité du père, doit simuler pour elle-même une grossesse afin d'éviter la curiosité des voisins lorsque l'enfant naîtra... Les choses ne se passeront pas exactement comme Sadorski l'avait prévu. Ce sera bien pire.

10/2020

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Autres maux

Tu vis ou « tumeurs » ? C'était quand j'étais malade...

Rien ne pourra m'enfermer dans un carcan de doutes, entre quatre murs incarcéré, ou prisonnier dans un cachot, une chambre isolée de tout. Je m'échapperai de ces cellules tumorales, carcérales, qui étaient bien vivantes, mais qui sont devenues pour moi mortifères. Rien ne pourra contrarier, endiguer ma liberté. Seul face à mes choix, je ne dépendrai plus d'une quelconque aliénation imposée... Rien ne le pourra ! " Alors, Bruno, tu vis ou tumeurs ? " C'est tout choisi... la vie avant tout, la vie plus que tout !

09/2023

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Poches Littérature internation

J'étais là

Cody a dix-huit ans. Elle n'a pas de père, mais une mère barmaid constamment en mini-jupe, et un avenir pas très rose depuis qu'elle a été recalée de la high school de Seattle qui aurait pu lui permettre de quitter enfin son "Shitburg" natal. Mais tout empire le jour où Meg, sa meilleure amie, sa soeur de coeur, se suicide après avoir avalé une dose massive de poison dans un motel anonyme, non loin de la fameuse high school où elle, brillante boursière, avait été acceptée. Lorsque les parents de Meg demandent à Cody d'aller récupérer les affaires de leur fille, celle-ci s'embarque pour Seattle, avec la ferme intention d'en savoir plus sur le geste de son amie. "Après Si je reste, Gayle Forman offre un roman captivant sur la frontière fragile entre la vie et la mort." Publishers Weekly "Irrésistible." New York Times.

09/2015

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Histoire de France

Les "collabos" de l'Europe nouvelle

"L'Europe nouvelle" : c'est sous ce vocable qu'en 1940 les sirènes de la propagande qualifièrent le continent unifié de force par les armées du IIIe Reich. Si cette appellation fut synonyme pour des millions d'Européens de dépendance, de réquisitions et de travail obligatoire ou forcé, elle fut, étrangement, symbole d'espoir pour un certain nombre d'intellectuels français qui voulurent y voir l'annonce d'une possible union européenne. Pacifistes rêvant d'en finir avec la souveraineté absolue des Etats, " techniciens " confiants dans les vertus d'un gouvernement économique, socialistes en quête d'une dernière utopie mobilisatrice : tous furent victimes d'une illusion qui les fit croire à la volonté européenne de Hitler, les rendant aveugles aux réalités monstrueuses de son ordre nouveau. Mais, tout à cette illusion tragique qui fit basculer nombre d'entre eux dans l'impasse du collaborationnisme - Drieu, Luchaire, Delaisi en tête -, les intellectuels européistes de Vichy n'en continuèrent pas moins les réflexions commencées au temps d'Aristide Briand sur les conditions d'existence d'une fédération politique et économique. Avec parfois des expressions troublantes : "communauté de communautés", "organe de gestion supra-continental" ou " monnaie fédérale unique"...

03/2016

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Religion

Fils de collabos, neveu de résistant

Mon père est mort en décembre 1958 à 52 ans, alors que j'en avais 20, étais en seconde année de médecine et préparais le concours de l'externat.

08/2019

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Policiers historiques

La trilogie de la guerre civile : L'inspecteur Sadorski libère Paris

Eté 1944 : Sadorski a passé huit mois en prison. L'administration le libère en échange d'un rapport sur le transfert de l'ex-ministre Georges Mandel, otage des nazis, qui va être tué sous ses yeux. Crime ordonné par la SS ou par la Milice ? Peu après, un inconnu blessé est enlevé par des flics allemands en civil. L'inspecteur met ses adjoints sur l'affaire et l'un d'eux est abattu à son tour. Dans un bar tenu par des truands, Sadorski rencontre un jeune milicien qui semble être un pervers sexuel. Ce personnage va le mener à la plus terrifiante "Gestapo française" opérant dans ces dernières semaines avant la Libération...

08/2021

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Histoire internationale

J'étais le pilote de Hitler

Johann Peter "Hans" Baur (1897-1993) est le pilote personnel d'Adolf Hitler. Il assure ses déplacements aériens à partir de la campagne électorale de 1932 - Hitler est le premier politicien allemand à préférer le transport aérien au chemin de fer, ce qui lui permet de prendre la parole, le même jour, lors de plusieurs réunions se déroulant dans différentes régions d'Allemagne - et devient son pilote officiel lorsqu'il accède à la chancellerie à partir de 1933, puis le chef de l'escadrille gouvernementale jusqu'en 1945. Le Führer s'appuit sur lui pour des conseils sur la politique de guerre aérienne ainsi que les développements techniques et lui permet de remplir son escadron de pilotes expérimentés de la Lufthansa et de les former à la procédure militaire en préparation de la guerre. Devenu SS Gruppenführer, il fait partie des derniers occupants du Führer­bunker. Après le suicide d'Hitler, il tente, avec quelques autres pro­ches dont Martin Bormann, de fuir la 3e armée de choc soviétique pour gagner les lignes américaines et britanniques. Il est alors gravement blessé aux jambes (on lui en coupe une avec un couteau de poche) et est capturé par les Soviétiques dans un hôpital. Ces derniers lui portent un grand intérêt, s'imaginant qu'il avait mis en sécurité le Führer du IIIe Reich avant la chute de Berlin. Emprisonné pendant dix ans, la visite du chancelier Adenauer à Berlin permet sa libération en 1955 ; il regagne l'Allemagne où il décèdera en 1993. Tous les témoignages directs sur Adolf Hitler sont recherchés ; celui du général Hans Baur, on s'en doute, revêt une valeur particulière.

04/2016

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témoignages personnels

J'étais le pilote de Hitler

" Un témoignage rare et passionnant " (L'Echo de l'Ouest). Hitler, qui surmonta sa peur de l'avion pour en faire un usage intensif, ne voulut jamais d'autre pilote que Hans Baur. Pionnier de l'aéropostale militaire et parmi les fondateurs de la Lufthansa en 1926, celui-ci était une légende des temps héroïques de l'aviation. Constamment attaché à ses pas, il fut le témoin privilégié de toutes les étapes de la vie du dictateur, jusqu'au dernier jour dans le bunker de Berlin. Devenu familier du Berghof, partageant tous les repas du Führer, assistant à ses grands rendez-vous et même, parfois, le suppléant, il fut bien plus qu'un simple pilote. Membre du parti nazi dès 1926, il a gravi la hiérarchie de la SS, finissant la guerre comme général et à la tête d'une flotte aérienne de transport des cadres du régime. Maintenu prisonnier dix longues années par les Soviétiques - qui voulaient à toute force lui faire avouer que Hitler n'était pas mort mais s'était enfui en avion sous sa conduite -, il dut attendre 1956 pour publier ses mémoires, traduits en français l'année suivante et réédités ici avec une lumineuse présentation et un fort appareil critique de Claude Quétel.

02/2024

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Littérature française (poches)

J'étais là avant

Elle est libre. Elle offre son corps sans façons. Et pourtant, à chaque histoire d’amour, elle s’affole et s’enfuit toujours la première.Il est ardent, entier, généreux. Mais les femmes qu’il célèbre s’étiolent les unes après les autres.Ces deux-là vont s’aimer. Il y a des jours, il y a des nuits. Le bonheur suffocant. Le plaisir. Le doute. L’attente.Mais en eux, invisibles et pesantes,des ombres se lèvent et murmurent : « J’étais là avant. »Des mères qui les ont aimés ou trahis, qui ont rêvé, souffert, espéré. Des mères qui vivent encore en eux et les empêchent d’aimer. On n’est jamais tout seul dans une histoire d’amour.On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous.J’étais là avant est le roman d’une femme qui se libère de ses démons. Qui nous libère de nos démons…

03/2001

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Littérature française

J'étais la terreur

Le 7 janvier 2015, une attaque terroriste menée par deux hommes lourdement armés décime la rédaction de Charlie Hebdo. Le surlendemain, une prise d'otages dans une supérette casher prolonge le cauchemar, tandis qu'en fin d'après-midi, les brigades d'intervention lancent un assaut décisif contre les terroristes. Le weekend des 10 et 11 janvier, près de quatre millions de personnes, se mobilisent en une série de manifestations historiques, sous le mot d'ordre JE SUIS CHARLIE. La République paie cher son unité retrouvée, mais le monde donne l'impression d'aller mieux. Quatre mois plus tard, au petit matin, un homme d'une trentaine d'années, qu'on croyait mort dans l'assaut, s'extirpe d'une fosse creusée dans une forêt picarde, gagne la capitale et entreprend de refaire sa vie. Le frère assassin renaît sous la peau d'un citoyen français ordinaire et bon père de famille. Mais les fantômes de son ancienne vie le hantent et lui rappellent le monstre qu'il a été. Peut-on croire en l'existence de Dieu après avoir commis l'impensable ? Peut-on devenir un homme meilleur quand on a été le pire des hommes ? Roman choc, écrit du point de vue de Chérif Kouachi, J'étais la terreur revient sur l'itinéraire d'un enfant de la République, orphelin à treize ans, que l'énergie, les fréquentations et l'air du temps vont convertir en une arme de guerre. Depuis les soirées de la Bande des Buttes-Chaumont jusqu'à un stage déjanté au Yémen, Benjamin Berton propose, de manière tantôt réaliste, humoristique ou grave, une lecture très personnelle de la dérive terroriste. Ni document, ni fable philosophique, J'étais la terreur rappelle que le respect de l'autre, victime ou bourreau, est notre seule obligation.

10/2015

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Poésie

J'etais deux

Tout s'est effondré, tout a disparu. De cet homme, il ne reste plus rien. Sur les cendres de son ancien monde se dresse un étrange double, un monstre fait de colère et d'orgueil. Alors s'engage un combat à mort entre la bête et son homme, au terme duquel se dessine la chute de ce double démoniaque. Et pour son créateur, une forme de renaissance. " J'étais deux ", dira-t-il.

01/2022

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Esotérisme

J'étais possédé

"La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas". Charles Baudelaire Michel Chiron a vécu la possession démoniaque et son témoignage est extraordinaire à double titre. Il décrit ces expériences avec sobriété, sans effets spéciaux, mais avec une précision et une exactitude parfaitement convaincantes qui excluent les troubles mentaux, ce que confirment le prêtre exorciste qui a contribué à sa délivrance et les nombreux prêtres et laïcs qu'il a fréquentés. Extraordinaire aussi parce qu'il dénonce des pratiques "ordinaires" et courantes d'ésotérisme ou de communication avec les morts dont on ne mesure pas le danger. Le récit quotidien des manifestations diaboliques subies, son combat pour en échapper et le cheminement spirituel qui est le sien confirment qu'une guérison est toujours possible. L'abandon confiant à Dieu et à la médecine spirituelle nous délivrent radicalement des griffes du Mal. Thomas Oswald est auteur et journaliste. Il a recueilli et fidèlement transcrit le témoignage de Michel Chiron, éducateur dans un institut médico-éducatif du Cher.

09/2019

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Littérature francophone

J'étais heureux

C'est par l'attachement à sa grand-mère que s'éclaire tout le récit de l'auteur. Entre ville et campagne, entre bombardements et moissons, une multitude de personnages relient avec tendresse, cette trame de petites nouvelles sur l'enfance et l'adolescence. C'est un partage de souvenirs, d'une rue, d'un quartier de Toulouse, mais aussi combien attachante la vie rurale d'un village gascon aux confins de l'Ariège et de la haute Garonne dans l'après-guerre des années 50. Quelques clins d'oeil à la poésie viennent colorer les quatre premières lignes de chaque chapitre. Pour nos enfants, pour nos petits-enfants, Théodore Monod écrit : " Ne mourons pas résignés devant nos ordinateurs. Dans le silence. Dans nos lits. Battons-nous. Cherchons le beau, le vrai. Ayons enfin le courage des larmes et révérons la vie. "

07/2022

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Littérature française

J'étais ailleurs

Après un temps de bonheur qui semblait inaltérable, une famille se trouve au coeur de la tourmente, suite à un accident de la route. Des destins qui s'entrechoquent, des réactions qui divergent, des escrocs qui en profitent et une rencontre dans "un ailleurs" pour celle qui se bat contre la mort sur un lit d'hôpital. Justice, loi, vengeance, il y a-t-il ici-bas de quoi apaiser le cour d'un homme ?

06/2015

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Critique littéraire

La sentence. Suivi de J'étais et je n'étais pas

Du juge et du condamné, "lequel est l'ombre et lequel le soleil ? " Jean Genet ne fera pas de distinction entre la prononciation et l'accomplissement de la Sentence, aussi indissociables à ses yeux que l'avers et le revers d'une pièce de monnaie. Le piteux cérémonial des tribunaux, vague survivance des salles de torture dans l'ordre du langage, ne vaut que par le paraphe qu'y appose le voleur en purgeant sa peine dans l'isolement de sa cellule. Ainsi juges et jugés relèvent-ils de cette même "immémoriale nuit sacrée" où convergent, dans la culture occidentale, la soumission à l'autorité et sa profanation. Confié aux Editions Gallimard par Jean Genet au milieu des années 1970, ce livre, demeuré à l'état de projet, avait été soigneusement calligraphié par son auteur, avec des instructions précises sur sa composition typographique.

11/2010

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Histoire de France

Fabrication d'un collabo. Le cas Joseph Laporte, 1892-1944

4 octobre 1944, Tribunal militaire du Tarn. Le commissaire du gouvernement se lève et s'adresse à un certain Joseph Laporte : " Vous avez cinq fois mérité la mort, je ne regrette qu'une chose, c'est de ne pouvoir vous faire fusiller cinq fois. " Le lendemain, les journaux titrent sur la condamnation à mort du capitaine Laporte, officier de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme, " traître à sa Patrie, collaborateur de la Gestapo, espion, négrier des patriotes ". Qui est cet inconnu ? Qu'a-t-il fait pour mériter " cinq fois " la mort ? Cette biographie repose sur la découverte d'archives privées inédites permettant de suivre les traces d'un " homme ordinaire ", né à la fin du XIXe siècle, fasciné par le nazisme. Pour comprendre comment ce modeste cultivateur en est arrivé là, Philippe Secondy replonge dans une époque déchirée par les guerres mondiales et coloniales. Confronté à l'horreur des combats dès août 1914, Joseph Laporte se découvre une vocation qui vire à l'obsession... Désormais, le goût âcre de la guerre ne le quittera plus. Nostalgique du front, il s'engage dans l'armée coloniale. S'ensuit une croisade sinistre en Afrique équatoriale française où l'officier laisse libre cours à ses instincts violents pour mater les " dissidents " aux peaux noires. De retour sur son sol natal à l'aube des années 1930, Laporte met son expérience militaire au service d'Hitler. Ce qui l'entraîne sur le front de l'Est, à l'assaut du " paradis des Soviets ", avant d'être associé en France à la bataille que les nazis espèrent finale.

09/2019

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Histoire de France

Les 100 000 collabos. Le fichier interdit de la collaboration française

A la libération, le colonel Paul Paillole, responsable du contre-espionnage français, entreprend de dresser la liste des personnes ayant collaboré avec l'occupant allemand. En 1945. il donne dans deux volumes de plus de 2 000 pages les noms des 96 492 " suspects et douteux ". Ce fichier très secret était connu du résistant Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin, et d'Alexandre de Marenches, patron des services secrets français de 1970 à 1981. Il fut communiqué aux parties civiles lors du procès de Maurice Papon en 1997 et retourna dans le silence des archives en raison de son contenu explosif, et ce jusqu'à aujourd'hui, grâce au déclassement en 2015 des dossiers concernant cette période. Dominique Lormier nous raconte l'extraordinaire histoire de ce fichier des collabos, ce qu'il contient, ceux qui y figurent en bonne place comme ceux qui en sont bizarrement absents. L'analyse des différents types de collaboration et de leur répartition sur l'ensemble du territoire métropolitain apporte un éclairage étonnant sur la période de Vichy. Un document exceptionnel.

10/2018

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Histoire internationale

J'étais le pilote d'Hitler

Un témoignage exceptionnel d'un proche d'Hitler Hitler, qui surmonta sa peur de l'avion pour en faire un usage intensif dès l'élection présidentielle de 1932, ne voulut jamais d'autres pilotes que Hans Baur. Membre de la chasse pendant la Grande Guerre, pionnier de l'aéropostale militaire et au nombre des fondateurs de la Lufthansa en 1926 - au service de laquelle il expérimenta nombre de modèles d'avion et ouvrit de nouvelles lignes, notamment au-dessus des Alpes -, Baur était alors une légende des temps héroïques de l'aviation. Constamment attaché à ses pas, il fut le témoin privilégié de toutes les étapes de la vie du dictateur, jusqu'au dernier jour dans le Führerbunker de Berlin. Familier du Berghof, partageant tous les repas du Führer, assistant à ses grands rendez-vous et même, parfois, le suppléant, Baur fut bien plus qu'un simple pilote : nazi dès 1926, SS Oberführer en 1934, SS Brigadeführer en 1941, lui qui avait commencé en tant que pilote du "Luftwaffe One", l'avion privé de Hitler, se retrouva à la tête d'une flotte de plus de quarante avions. Retenu prisonnier dix longues années par les Soviétiques - qui voulaient à toute force lui faire avouer que Hitler n'était pas mort mais s'était enfui en avion sous sa conduite -, il dut attendre 1956 pour publier ses Mémoires, traduits en français l'année suivante sous le titre J'étais le pilote de Hitler et réédités ici pour la première fois avec une lumineuse présentation et un solide appareil critique de Claude Quétel.

01/2020