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Histoire universelle de l'infamie. Histoire de l'éternité

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Littérature sud-américaine

Histoire universelle de l'infamie. Histoire de l'éternité

" Les exercices de prose narrative qui composent ce livre furent exécutés de 1933 à 1934. Ils proviennent, je crois, de mes relectures de Stevenson et de Chesterton, et même des premiers films de von Sternberg et d'une certaine biographie d'Evaristo Carriego. Ils abusent de certains procédés : les énumérations hétérogènes, les brusques solutions de continuité, la réduction de toute la vie d'un homme à deux ou trois scènes (perspective visuelle qui régit également le conte de l'" Homme au coin de la maison rose "). Ces exercices ne sont pas, ne prétendent pas être psychologiques. Quant aux exemples de magie qu'on trouve à la fin du livre, je n'ai aucun autre droit sur eux que ceux de traducteur et de lecteur. Je pense parfois que les bons lecteurs sont des oiseaux rares, encore plus ténébreux et singuliers que les bons auteurs. " J. L. B. Buenos Aires, 27 mai 1935.

09/1999

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Généralités

Traîtres. Nouvelle histoire de l'infamie

Où commence et où s'achève un acte de trahison ? L'histoire regorge d'exemples plus ou moins édifiants, qu'ils soient individuels ou d'ordre collectif. Plus d'un événement marquant a pu être occasionné par la décision d'un personnage, de son entourage ou de son environnement, de changer de camp, ou de refuser d'obéir. Parfois, la trahison est devenue par la force de l'histoire un acte de bravoure... le plus souvent, elle éclaire un caractère, met en valeur une faiblesse très humaine ou exprime un sentiment blessé. En bousculant l'ordre social, la trahison est un geste fort et, d'une certaine manière, un sacrifice personnel qui demeure complexe à comprendre, surtout avec le recul. Pour tenter, justement, de comprendre les enjeux que soulève la question de la trahison, les auteurs de ce livre original par la qualité de son propos, sur un sujet souvent abordé de manière caricaturale et sans nuance, font le portrait de grands " traîtres " depuis le XVe siècle. Ils dessinent ainsi une nouvelle histoire de l'infamie à travers les vies de ces hommes et femmes hauts-en-couleur dont les aventures parfois rocambolesques trouvent une conclusion souvent tragique.

02/2023

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Histoire de France

Etonnantes histoires de l'Histoire

Quand l'Histoire est plus romanesque que la fiction La jalousie maladive de Blanche de Castille envers sa bru, Marguerite de Provence... Le grand argentier de Louis XV qui déroba les colliers de l'ordre du Saint-Esprit... Le dernier trajet d'Henri IV a travers Paris... Le coup de foudre de Napoléon et Joséphine... Les vaines tentatives de Marie Tudor pour donner un héritier a Philippe d'Espagne... Les bons et loyaux services de Beaumarchais, espion de Louis XV... Le 12 septembre fatal du marquis de Cinq-Mars, qui conspira contre Richelieu... Complots et crimes de sang, coups de foudre et ruptures, mariages avortés et captations d'héritage, retournement d'alliances et amours interdites, reines délaissées et fous couronnés... Les récits rassemblés dans ce recueil mêlent tous la grande Histoire a l'histoire intime et secrète des hommes et des femmes du passe . Ils nous emmènent de l'Antiquité a la France de Napoléon III, en passant par les forteresses de Castille et les châteaux de Bavière. Episodes célèbres ou méconnus, souvent plus romanesques que la fiction, sont racontés ici avec rigueur, passion... et une touche d'humour.

05/2019

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Littérature étrangère

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

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Littérature Italienne

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

03/2024

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Généralités

Résumé de l'histoire universelle. Partie 2

Résumé de l'histoire universelle. 1re partie, contenant la manière d'écrire l'histoire, les sources et l'esprit de l'histoire, précédés d'une introduction sur les progrès des études historiques, et suivis d'une biographie, d'un catalogue et d'une table analytique. [2e partie, contenant le tableau rapide des événemens et des révolutions qui se sont succédés ["sic"] chez les différens peuples, depuis leur origine jusqu'à ce jour. ] Par MM. F. de Brotonne et Ad. Laugier Date de l'édition originale : 1825-1826 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2023

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Généralités

Chronologie universelle. Toute l'histoire de l'humanité

L'HISTOIRE UNIVERSELLE SUR UNE SEULE FRISE CHRONOLOGIQUE ! A travers les âges, de l'Homo sapiens aux troubles politiques du XXI ? siècle, l'ouvrage retrace les événements marquants qui ont façonné notre histoire : le développement des civilisations et cultures antiques, les mouvements politiques et culturels, les inventions scientifiques et innovations technologiques... Ce condensé illustré chrono-historique vous donnera toutes les clés pour déchiffrer le passé et mieux appréhender le présent.

11/2022

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Histoire internationale

Curieuses histoires de l'Histoire oubliée

Un pape qui fit déterrer son prédécesseur pour le juger ! Une gigantesque flotte de 27 000 marins chinois lancée, des dizaines d'années avant Colomb et ses trois pauvres caravelles, à la découverte du globe. Des déjections d'oiseaux qui changèrent la face du monde et provoquèrent une guerre entre trois pays d'Amérique du Sud. Un explorateur du Moyen Age qui voyagea plus loin en Asie que Marco Polo. Un lépreux qui devint l'un des rois les plus fameux de Terre Sainte. Voici quelques exemples glanés dans ce livre qui raconte avec talent des aventures incroyables, décrit des personnages hors normes, rappelle des conflits, des événements fascinants tombés de manière inexplicable dans l'oubli. Ces récits, abondamment illustrés, sont aussi intéressants qu'essentiels pour une compréhension plus complète du cours de l'Histoire.

12/2010

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Ouvrages généraux

Histoires insolites de l'Histoire de France

L'incroyable stratagème de Voltaire pour arnaquer la loterie nationale ; les étranges techniques de réanimation des Parisiens tombés dans la Seine au XVIIIe siècle ; les soirées galantes d'Edouard VII, fils de la reine d'Angleterre, dans le Paris des plaisirs ; le culot en fer forgé d'un certain Lustig qui réussit à vendre la tour Eiffel ; la véritable histoire du vrai faux Monsieur Mouche et de ses bateaux ; les audacieuses manoeuvres d'Henriette d'Entragues, maîtresse d'Henri IV, pour faire tourner la tête du roi et vider les caisses du royaume ; la fabuleuse et cruelle obsession de Philippe le Bel pour le trésor des Templiers ; les étranges vertus des coeurs de momies ; le premier "dîner de cons"... Racontées avec entrain et espièglerie, ces histoires insolites sont cocasses, piquantes, fascinantes. Incroyables ? Oui ; mais vraies. Elles ont été exhumées du grand livre de l'Histoire de France, qui se révèle plus amusante que jamais.

09/2022

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Histoire de l'art

Histoires de l’Art & histoire de France

Cet ouvrage offre sur une soixantaine d'épisodes une nouvelle vision de l'histoire de l'art de notre pays, la France, car établie à partir de faits historiques qui ont fait l'art, mais aussi quand l'art a fait l'histoire, et ce depuis le haut Moyen Age à nos jours. Ainsi le vase de Soissons, la tapisserie de Bayeux, l'art français des cathédrales, les armoires protestantes des Cévennes, les manufactures de Colbert, les meubles dits de port, le gris Trianon, le chêne de Hollande, le bronze doré à l'espagnolette, le vernis des frères Martin, les cartes de Cassini, la table bouillotte à Versailles, le décor au ballon, les faïences révolutionnaires de Nevers, les santons de Provence, les styles historiques, la peinture orientaliste, l'école de Barbizon, les savoyards de l'Hôtel Drouot, les écoles de Metz et de Nancy, sans oublier les designers réédités.

04/2022

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Sciences historiques

Histoire universelle de la connerie

Une mauvaise fée aux mille visages s'est penchée sur le berceau de l'humanité : la connerie. Elle chemine avec nous, fidèle entre les fidèles, se réinventant au fil des siècles et des cultures. Elle fustige les différences, réduit en esclavage, attise la violence, cultive la cruauté, dévoie les avancées technologiques, trahit les espoirs politiques, gangrène les idéologies, et saccage la planète. Elle suivra notre espèce jusqu'à la tombe, et la creusera peut-être. Le pire, c'est que nous en sommes plus souvent les complices que les victimes ! Du Néolithique à nos jours, plus de trente historiens nous dévoilent la vérité nue et biscornue sur la connerie.

10/2019

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Généralités

Explication du Tableau de l'histoire universelle. 2e édition

Explication du Tableau de l'histoire universelle... par Strass,... 2e édition Date de l'édition originale : 1816 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Généralités

Tableau de l'histoire universelle avant Jésus-Christ

Tableau de l'histoire universelle avant Jésus-Christ Date de l'édition originale : 1868 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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Sciences historiques

Histoire, Histoires. De l'enseignement à l'écriture

L'Histoire est une vieille dame respectable, tellement invoquée qu'elle semble n'avoir nul besoin de "défense et illustration". Et pourtant ! Quoique brandie dans toutes les circonstances souvent sous le coup de l'émotion plus que de la raison, l'Histoire, rapidité médiatique oblige, est sujette à tous les raccourcis et à toutes les ignorances. Avec ce récit sans fard sur le monde de l'université et les coulisses de l'édition, l'auteure souligne ce qui a été la ligne de force de sa vie : Transmettre.

10/2019

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Histoire urbaine

Les rats de Paris. Une brève histoire de l'infamie (1800-1939)

L'histoire de Paris et des rats est liée. De la construction des égouts et du métro parisien, à la relocalisation hors la ville des cimetières et des abattoirs, ou de la structuration de l'administration sécuritaire à la création de la SPA, les transformations de Paris au 19e siècle ont travaillé la relation aux rats. Insignifiants en 1800, ces petits êtres finiront par devenir une vulnérabilité épidémique de la capitale à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Quelles furent les configurations historiques qui façonnèrent non seulement cette relation, mais encore leur existence au cours de cette période qui vit naître la ville moderne et dont nous sommes, aujourd'hui, les héritiers ?

10/2021

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Littérature étrangère

Triptyque de l'infamie

La découverte de l'Amérique, les guerres de religion, la création artistique et les convulsions du XVIe siècle constituent la toile de fond de la vie de Jacques Le Moyne, cartographe, François Dubois, peintre, et Théodore de Bry, graveur. Confrontés aux grandes découvertes, aux exterminations et à la violence s'exerçant au nom de la foi, ils sont les témoins privilégiés de leur temps, de ses grandeurs et de ses iniquités, dont ils essaient de rendre compte selon leur singularité et leur désarroi. Dans ce texte foisonnant et poétique, Pablo Montoya livre une puissante réflexion sur l'acte créatif et sa capacité à faire surgir la beauté du chaos.

10/2018

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Documentaires jeunesse

Raconter des histoires, raconter l'Histoire

Rien de plus simple en apparence, que de raconter des histoires. Innombrables sont les récits du monde et on en retrouve dans toutes les sociétés, à toutes les époques. S'ils rapportent des histoires inventées et qui ne sont pas vraiment arrivées, ils relèvent de la fiction, contrairement au récit historique qui prétend à la vérité. Mais ce qu'ils ont en commun, c'est l'acte de raconter qui, quelles que soient ses formes, se déroule dans le temps. Et, réciproquement, ce qui se déroule dans le temps peut-être raconté. Nos expériences se déroulent dans le temps, mais, pour qu'on le comprenne bien et qu'on le reconnaisse, il faut en faire le récit. Raconter, c'est mettre en ordre, agencer un ensemble d'éléments : c'est alors que les événements font sens. De même, c'est en se racontant qu'on peut se comprendre individuellement (quand on raconte son histoire) et collectivement (quand les historiens écrivent l'Histoire). Car l'existence humaine est celle d'un être enchevêtré dans des histoires.

10/2013

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Littérature française

Tchekhov. Des histoires dans l'Histoire

Analyser encore et encore, tenter de dénicher la "pépite" ou l'intime conviction qui ferait basculer peut-être à tout jamais les impressions laissées ici ou là auprès d'un public toujours aussi friand ou de lecteurs assidus de Tchekhov, relève d'un immense bonheur qui ne se refuse pas... Et pourtant ! A force de lire, relire, voire ratiociner, je ne sais plus si ce chemin est digne d'intérêt... J'ai l'impression d'étaler mes connaissances sans en être très fière tant la peur d'être pédante m'obsède. Mon confort personnel ne me dit-il pas, une fois encore, que je devrais me taire, laisser tout un chacun sur son ressenti, bref, ne pas donner le sentiment à quiconque d'être passé à côté du message essentiel délivré par Tchekhov il y a un peu plus d'un siècle maintenant et sans jamais juger ? Mais Tchekhov n'obsède-t-il pas les metteurs en scène et les spectateurs sans discontinuer ? On le joue triste, absurde, révolutionnaire, parfois de nos jours braillard, vitupérant, laissant plus d'une fois une impression de gâchis d'un instant, d'anéantissement des rêves de Cerisaie...

07/2018

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Histoire des mentalités

Le couperet de l'éternité. Histoire de la guillotine

Menace ultime de l'arsenal judiciaire jusqu'en 1981, à l'origine fruit d'un désir d'égalité parfaite entre citoyens, même devant le trépas, la "guillotine" reste dans le monde entier le symbole le plus terrifiant de la Révolution française. Objet méprisé, à l'existence relativement méconnue, le tabou dans lequel on la conserve toujours a permis à l'imaginaire collectif d'inventer deux siècles durant mille rumeurs qui l'ont rendue plus effrayante encore, comme si son image n'était pas suffisamment enlaidie par son utilisation trop régulière comme outil de répression politique et colonialiste. De la création de ses ancêtres au Moyen Age à son statut actuel de pièce de musée, des lois plus ou moins injustes qui ont régi son emploi, des pays qui l'ont adoptée de façon exceptionnelle ou durable, en passant par la vie de ses concepteurs, de ses serviteurs mais aussi de ses victimes, plongez-vous sans hésiter dans l'histoire sombre de ces bois qu'on qualifiait "de justice", en des temps pas si lointains où la peine de mort était légale et populaire...

09/2021

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Religion

Moines et religieux au Moyen âge

Moines et religieux au Moyen Age. Les grands fondateurs. La vie monastique. Les femmes de Dieu. Les ordres mendiants.

12/1994

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Histoire et Philosophiesophie

Histoires de problèmes, histoire des mathématiques

Cet ouvrage s'adresse aux enseignants de mathématiques, et des autres disciplines, auxquels elles peuvent servir d'outil en vue de l'introduction d'une perspective historique dans l'enseignement de leur discipline. Il s'adresse aussi aux élèves de classes terminales et aux étudiants, en particulier à ceux qui, dans les IUFM, se destinent à la profession d'enseignant. L'idée de départ de ce nouvel ouvrage est d'introduire l'histoire des mathématiques en prenant comme thèmes les "grands problèmes" apparus au cours du développement des mathématiques. Il s'agit de présenter une histoire des mathématiques qui ne soit pas parcellisée selon les différentes périodes historiques ou par les différents champs du savoir mathématique, mais qui prenne pour point de départ les grands problèmes de l'histoire des mathématiques. Les différents chapitres de cet ouvrage traitent de la naissance et de l'évolution de problèmes, en montrant comment les outils mathématiques se sont créés ou transformés pour les résoudre. Le lecteur trouvera, au long de ces histoires, de nombreuses citations commentées qui lui permettront d'apprendre dans quels termes se posaient et se résolvaient les problèmes aux différentes époques. Il y trouvera aussi des exercices qu'il pourra résoudre selon les méthodes anciennes ou nouvelles. Chaque chapitre comporte une bibliographie. SOMMAIRE 1. En route vers l'infini. 2. Faut-il toujours raison garder ? 3. Comment mesurer la pyramide ? 4. Pourquoi la règle et le compas ? 5. Le courbe et le droit. 6. Quand mouvement et géométrie se retrouvent. 7. Ne discutons plus... 8. Le problème brachistochrone. 9. Mais où est donc passée la troisième dimension ? 10. Que nul n'observe le ciel s'il n'est géomètre ! 11. La vrai fausse démonstration du Cinquième Postulat. 12. "Recherche inconnue désespérément". 13. Quelle réalité pour les imaginaires ? 14. Les nombres premiers. 15. A la recherche des nombres parfaits. Bibliographie générale. Index des noms. Index thématique

01/1993

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Romans noirs

Histoire universelle des hommes-chats

Un village enchâssé dans les brumes des montagnes basques, non loin de la frontière française. Un village qui se maintient à l'écart d'un monde qu'il méprise et qui l'agresse. Un village dont plusieurs habitants sont décrits comme correspondants à un félin particulier. D'où leurs surnoms d'hommes-chats. Un village dont une bonne partie de la population, traditionnellement catholique, a choisi le camp des vainqueurs durant la guerre civile mais autour duquel des guérilleros anti-franquistes ont longtemps rodé. Un village qui cache de terribles secrets. Outre les jalousies, rivalités ou haines qui se résolvent de façon tragique ou cocasse, une rumeur persistante fait état de cadavres aux mains coupées, on ne sait par qui ni pourquoi. Jusqu'à ce que le brouillard se lève sur la scène des crimes. Le narrateur est lui-même un villageois qui raconte, à chaque chapitre et à différents âges de sa propre vie, un personnage remarquable. Tour à tour spectateur naïf, fin observateur, victime ou complice, il utilise le ton redondant des paysans des montagnes sans rechigner à la métaphore poétique. Son récit constitue la chronique d'un bourg terriblement localisé mais qui pourrait se trouver dans n'importe quelle région du monde. Josu Arteaga vit sur un plateau du Pays basque espagnol dont les habitants sont traités de "néandertaliens" par les autres Basques. Ouvrier, bassiste du groupe de rock La banda del abuelo, il est l'auteur de nouvelles et de poésie. Histoire universelle des hommes-chats, déjà paru en Espagne et au Mexique, est son premier roman.

03/2022

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Histoire internationale

Histoire de Dresde. Souffrances et éternité

13 février 1945 : le centre de Dresde est réduit à une immense ruine par les bombardements alliés. En quelques heures, trente-cinq mille hommes périssent et des tas de pierres anonymes recouvrent des siècles d'une riche histoire culturelle. Car cette ville des bords de l'Elbe n'a cessé d'attirer de nombreux artistes, qu'ils soient peintres, compositeurs, écrivains ou architectes. Les musées de Dresde renferment des toiles vénitiennes, florentines et allemandes, de Canaletto à Emil Nolde. Jean Sébastien Bach, Chopin, Weber, Liszt, y ont écrit des oeuvres admirables et Wagner y a découvert l'inspiration. La Madone Sixtine de Raphaël, acquise par Dresde, fut aussi un talisman pour des auteurs comme Friedrich Nietzsche. Il fallait donc revenir sur l'histoire de cette ville étonnante qui devient, à la fin du XVe siècle, la capitale du duché de Saxe. Profitant des opulentes mines d'argent, les illustres princes saxons ont fait rayonner cette ville jusqu'à susciter l'intérêt des principales capitales européennes. Mais Dresde a succombé au péril du jeu politique. Elle s'est trompée d'allié en adhérant à la mégalomanie de Napoléon 1er, et a dû subir la revanche des souverains européens au XIXe siècle. C'est au XXe siècle que l'histoire de Dresde est la plus noire : du bombardement à l'occupation soviétique jusqu'au succès électoral du parti populiste droitier AfD, la trajectoire de cette ville unique n'a pas fini de nous surprendre.

05/2019

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Histoire régionale

Histoire et histoires de Mercurol

La défaite de Bituit en - 127 av. J. -C. au sud de Mercurol donne naissance à la Province Romaine, future Provence. Les Romains élèvent des temples, ou transforment des temples celtes, et voici le temple de Mercure. Le lieu-dit deviendra Mercurol à l'ère chrétienne. Marquée par les Romains, puis par l'Eglise qui y fonde trois paroisses et enfin par les nobles qui en font un fief très rentable, la commune de Mercurol naît réellement à la Révolution française par la fusion des trois paroisses. Son histoire se poursuit, riche d'enseignements et d'anecdotes. Ce livre sera suivi d'Histoire & histoires de Veaunes, village davantage lié à l'histoire des communes de la vallée de l'Herbasse.

03/2023

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Histoire antique

49 petites histoires dans l’Histoire de l’Antiquité

L'Antiquité est omniprésente dans notre imaginaire ou notre vocabulaire. Les auteurs grecs et latins ont constitué l'essentiel de l'éducation des lettrés européens pendant des siècles. Ce n'est donc pas un hasard si des noms comme Crésus ou Hannibal nous sont familiers, ou si l'on peut toujours s'exclamer "Alea jacta est ! " ou "Eurêka ! ". Derrière ces références que l'on cite sans parfois en connaître l'origine, se cachent des vies extraordinaires et des épisodes marquants de l'histoire antique. Une plongée dans l'Antiquité à travers 49 événements, lieux et personnages célèbres ou oubliés, mais incontournables pour comprendre l'Antiquité. Pour les férus d'Histoire. Pour les élèves et les étudiants, qui par cet éclairage différent, retiendront mieux les dates et les personnages clés de l'Histoire de l'Antiquité.

10/2023

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Economie

Histoire économique. Esquisse d'une histoire universelle de l'économie et de la société

Issue de conférences données par Max Weber peu avant sa mort, l'Histoire économique, que la présentation de Philippe Raynaud situe vigoureusement, occupe une place particulière dans l'oeuvre du grand sociologue comme dans la pensée économique. Moins systématique qu'Economie et société, riche en aperçus originaux et en intuitions profondes, cet ouvrage éclaire en effet d'un jour nouveau les problèmes que Weber n'a pas cessé de méditer : celui, épistémologique, de la possibilité d'une compréhension de l'histoire comme celui, plus proprement historique, de la particularité du développement "capitaliste" de l'Occident. Dans sa peinture de la formation du capitalisme, Weber emprunte plus d'un trait à l'oeuvre de Marx : comme chez l'auteur du Capital, le capitalisme apparaît comme le fruit du plein développement de la production marchande, il présuppose la séparation des travailleurs et des moyens de production et il est à l'origine d'une augmentation importante de la productivité du travail ; Weber reste cependant étranger à la perspective socialiste, car le marché est pour lui une forme généralement plus efficace que la direction centralisée. Weber se situe donc en dehors de l'opposition entre les libéraux et leurs critiques socialistes : l'économie moderne est le fruit d'une histoire violente et partiellement contingente, mais il n'y a pas pour autant d'au-delà économique du capitalisme, car celui-ci incarne au plus haut point la dimension économique de la rationalisation sociale.

01/1992

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Poches Littérature internation

L'histoire de Jess Uck. Et autres histoires

L'histoire de Jess Uck nous conte le destin courageux et sûr d'une belle métisse indienne. Comme Martin Eden, elle découvrira les possibilités émancipatrices de l'intelligence et du savoir. Mais, alors que Martin Eden sera conduit au désespoir, Jess Uck trouvera, après les épreuves traversées et son amour malheureux, la force nécessaire pour remporter la victoire sur sa condition d origine. L'histoire de Keesh est une parabole du triomphe de l'intelligence sur les superstitions. Triomphe de la ruse d'un jeune indien contre la force des Anciens qui ont fait montre d'injustice à son égard et à l'égard de la mémoire de son père. Dans la dernière nouvelle du recueil nous assistons aux derniers moments d'un vieil indien abandonné par sa tribu, selon la coutume. Il se souvient de ses jours anciens, de sa force et de son égoïsme de jeune homme, force et égoïsme qui animent maintenant ses enfants : la loi de la vie. Ces trois nouvelles se déroulent dans le Yukon.

03/2013

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Ouvrages généraux

49 petites histoires dans l’Histoire de France

Les moments forts de l'histoire de France au travers d'événements incontournables, de faits singuliers ou d'anecdotes populaires... En 49 histoires chronologiques et contextualisées, mais surtout amusantes et édifiantes, ce livre retrace l'histoire de France, en prenant pour repère ses grandes dates et ses figures principales : batailles célèbres, inventions primordiales, grandes découvertes, oeuvres d'art majeures et personnages illustres qui ont façonné, siècle après siècle, le destin de ce pays... Pour les férus d'Histoire. Pour les élèves et les étudiants, qui par cet éclairage différent, retiendront mieux les dates et les personnages clés de l'Histoire de France.

10/2023

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Littérature française

Discours sur l'histoire universelle. Oraisons funèbres

Discours sur l'histoire universelle ; Oraisons funèbres / [Bossuet] Date de l'édition originale : 1853 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2020

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Littérature étrangère

L'histoire de l'Histoire

Margaret, jeune femme torturée, se retrouve un jour déguenillée, tremblante et complètement perdue, en lisière de forêt aux alentours de Berlin. Elle n'a plus aucun souvenir, ni de la veille, ni des mois précédents. Deux ans plus tard, la jeune femme commence à avoir d'inquiétantes hallucinations : elle voit Berlin déformée, personnifiée. Des fantômes d'anciens nazis apparaissent aux balcons, les immeubles deviennent des formes de chair, d'os et de sang, un faucon à tête de femme la guette d'un air menaçant... Ida Hattemer-Higgins nous parle de l'amnésie, du défaut de mémoire, qu'il soit individuel ou national. Elle nous parle d'oubli, de déni, de mythes et de rédemption. Un premier roman inoubliable, écrit par une jeune femme prodigieusement douée.

08/2011