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Ce qu'il aurait fallu dire

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Littérature française

Ce qu'il aurait fallu dire

Victor n'est pas le premier à avoir fait tout ce qu'il pouvait pour échapper à la province. Mais tandis qu'il achevait ses études à Paris, qu'il y avait désormais des amis et même rencontré l'amour, le voilà nommé enseignant au Lycée Polyvalent de Friville-Escarbotin. Ennui, mépris, mélancolie des zones commerciales et déprime des ronds-points, tout lui revient avec violence. Victor parviendra-t-il à faire de ce parcours à rebours de tant de romans une aventure ? Une aventure dans laquelle il ne serait pas un salaud ? Dans ce premier roman, Alexis Anne-Braun revisite avec un regard décalé et contemporain le grand thème à la fois littéraire et - de plus en plus - politique de l'antagonisme entre Paris et le reste de la France. Anti Bel-Ami, anti Rastignac, il interroge autant la condition professorale que la condition pavillonnaire, l'injustice sociale et les désirs d'une jeunesse déjà éloignée de la sienne.

01/2020

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Littérature française

La clique. Il n'aurait pas fallu négliger les circonstances

Aussi mal traitée que possible dans l'établissement d'enseignement où elle vient d'être affectée, la narratrice anonyme découvre qu'une clique et son maître s'arrogent des privilèges en fréquentant les puissants. Ereintée par le travail autant que par la soumission du plus grand nombre à cette terreur, elle conserve néanmoins sa colère intacte et, quand Camille arrive, elle a déjà pris le chemin de la guerre. Figure locale de la lutte syndicale, Camille est attendue par les maîtres. Sa bannière est de même obédience que la leur et ils se réjouissent de ce qu'elle les débarrassera de leur ennemie. Ils réservent déjà leur place sur les gradins de l'arène en prévision de jeux cruels. Mais ils n'auront pas le loisir de s'en délecter : dans l'intervalle, les deux femmes auront renversé la maison.

07/2023

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Littérature française

Avec ce qu'il resterait à dire

« Dans le coin du mur, entre la fenêtre et le lavabo une araignée géante a tissé sa toile. Sans doute une Tégénaire domestique, de l'espèce des bâtisseuses. Elle a choisi l'angle le plus humide où le plâtre s'effrite. Il a ouvert grand la fenêtre, un souffle d'air est entré dans la chambre, a soulevé le rideau, sa nappe n'a pas bougé. Des débris poudreux, de menues ruines tombées du mur sont pris dans les fils de sa soie. Ténue, fine, si fine, et tendue. Un miracle d'équilibre. » Un soir de 1935 au Dôme, Alberto Giacometti fût attiré par la beauté d'une femme longue et mince. Elle lui faisait face quand il entra dans le café. Elle avait levé la tête, peut-être parce qu'elle s'était sentie regardée. Elle revint les jours suivants. Lui la regardait comme il l'avait regardée le premier soir, intensément et à distance. Il se passa une semaine avant qu'il osât l'aborder. À Genève pendant la guerre, le souvenir d'Isabel hante Giacometti. Ce récit raconte l'invention dans une chambre d'hôtel transformée en atelier de la Figurine sur socle, un plâtre de trois centimètres. « La figure c'est vous » lui écrit-il en 1945. Elle m'a dès que je l'ai vue attirée dans son espace, transportée sur une scène où j'étais la chambre, le sculpteur et l'apparition. L'étendue et la figure. Rien n'eut été possible sans la découverte de photographies d'Alberto Giacometti modelant à l'hôtel de Rives : douze clichés d'Éli Lotar. Je n'ai pas écrit avec ces vues sous les yeux, mais avec leur souvenir, liant l'espace de la chambre à des paysages souvent évoqués dans les Écrits, des lieux où, quand le jour se lève, l'écart entre les êtres, entre les choses, grandit. _Anne Maurel --- Quatre photographies d'Éli Lotar son reproduites en préambule du récit d'Anne Maurel.

11/2016

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Actualité et médias

Off. Ce que Nicolas Sarkozy n'aurait jamais dû nous dire

Sarkozy, encore ? Non: Sarkozy, enfin ! Le " off ", en langage journalistique, c'est tout ce qu'il est convenu de ne jamais dire, écrire, décrire ou révéler: quand les propos officiels cèdent la place aux secrets partagés ou aux confidences personnelles, il est entendu que le témoin doit poser le stylo, le magnétophone ou la caméra. Ce livre commence exactement là où les autres finissent: Nicolas Sarkozy ayant transgressé la loi de l'incarnation présidentielle, les auteurs se trouvent affranchis de la loi du silence. Ils renoncent à la connivence qu'ont tissée trente années de fréquentation pour nous livrer le spectacle vivant d'un homme tel qu'en lui-même: tel qu'on ne l'a jamais vu, jamais entendu, jamais imaginé. La violence des emportements comme la chaleur d'un geste ou d'un mot, les cicatrices intérieures comme les convictions d'une vie ou d'un moment, les doutes confessés comme les certitudes fanfaronnées, la rage comme la séduction: c'est un Sarkozy " brut de décoffrage " que nous offrent ici deux hommes qui connaissent tout de la cruauté du monde politique.

03/2011

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Littérature érotique et sentim

Ce qui aurait pu être...

Lucie et Vianney ont vécu une brève aventure adolescente. Un souvenir qui affleure, vingt ans plus tard et Lucie reprend contact... Comment se parler quand la vie nous a faits autres ? Il y a les souvenirs, bien sûr, mais aussi le quotidien, les rêves, les possibles et les impossibles...

06/2019

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Littérature étrangère

Le temps qu'il nous a fallu

Le temps suit son cours dans la tranquille banlieue de Melbourne qu'habitent Vic, Rita, Michael et Mrs Webster. Nous sommes dans les années 70, et le faubourg s'apprête à fêter son centième anniversaire. L'heure est aux souvenirs... Les années ont passé, le monde a changé, les amours et les rêves de tous se sont effacés. Nostalgiques irrésolues, les âmes du faubourg remontent le fil du temps. Le temps qu'il leur a fallu pour oublier leurs illusions. Celui qu'il leur a fallu pour vivre. Dernier volet de la trilogie qui a fait de Steven Carroll le peintre des mélancolies raffinées, des vies gâchées et des joies éphémères, Le Temps qu'il nous a fallu poursuit la quête intime de quatre personnages inoubliables.

02/2009

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Développement personnel

Il aura fallu une seconde

"Oser aimer du seul amour qui mérite ce nom et du seul amour dont la mesure soit acceptable : l'amour exagéré. L'amour démesuré. L'amour immodéré". Christiane Singer

04/2020

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Littérature française

Ce petit quelque chose qu'il me reste à dire

Au soir de sa brillante carrière universitaire, monsieur Jules se met en tête d'écrire un livre - mais quoi : un roman ? un conte ? un essai ? le sait-il lui-même ? - sur la vie, ou plutôt sur l'exiguïté de chacune de nos vies trop souvent soumises à des règles futiles ou inappropriées qui viennent continuellement la contrarier, l'entraver, l'affadir... Écrire quelque chose qui ressemblerait à une vie libérée, une vie pleine, intense, profonde, tel est son projet. Mais comment construire un roman avec des personnages anodins, confrontés à rien, qui tournent en rond comme des poissons dans un bocal, incapables qu'ils sont de briser le cercle dans lequel ils sont enfermés ? Heureusement, des événements surgissent et autour de lui, Olga, son épouse, Georges, son voisin, et quelques autres, l'obligent à préciser sa pensée. Mais parviendra-t-il à mener son projet jusqu'au bout ?... Au travers de rencontres et de dialogues savoureux, c'est avec subtilité que Jean Chaussade-Redon nous amène à nous interroger sur notre propre existence et le rôle que nous sommes appelés à y jouer. Un roman sur tout et sur rien à la fois, drôlement original et stimulant !

05/2015

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Littérature francophone

J'aurais aimé te dire

Dijon. Sophie, dix-huit ans, voit sa vie brusquement bouleversée. Vingt ans plus tard, la maladie fait son apparition. L'occasion pour Sophie d'écrire à son fils, Martin, et de lui narrer leur vie. A deux, et à trois avec la voix de Madeleine, leur voisine et grand-mère de substitution, la mémoire des années après-guerre, qui vient s'intercaler dans les lettres de Sophie. Des anecdotes, des questionnements, des joies, des désillusions. Deux femmes, deux générations, deux écoles de vie, Martin au centre et un drame qui s'immisce au présent.

03/2022

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Littérature française

Ce qu'elle veut dire

Françoise Renaud recueille ici ce qu'elle veut dire. Elle, l'amie jamais nommée dans ce récit, mais représentée par ce pronom si «personnel» et universel à la fois. Elle, humaine, ni plus, ni moins... Se sentant accompagnée et soutenue par l'écrivain, elle raconte, fouille son histoire pour comprendre. Peu à peu elle pénètre la broussaille, progresse à coeur. Toujours la présence insistante de la mort qui ramène dans le camp de la vie et rallume les lampes sur les berges du fleuve. La seule parole qui tienne est en train de s'écrire. La vérité est dans le livre... dans le livre...

03/2015

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Littérature française (poches)

Ce qu'aimer veut dire

En vérité, la proximité la plus grande que j'ai eue fut avec Michel Foucault et mon père n'y était pour rien. Je l'ai connu six ans durant, jusqu'à sa mort, intensément, et j'ai vécu une petite année dans son appartement. Je vois aujourd'hui cette période comme celle qui a changé ma vie, l'embranchement par lequel j'ai quitté un destin qui m'amenait dans le précipice. Je suis reconnaissant dans le vague à Michel, je ne sais pas exactement de quoi, d'une vie meilleure. La reconnaissance est un sentiment trop doux à porter : il faut s'en débarrasser et un livre est le seul moyen honorable, le seul compromettant. Quelle que soit la valeur particulière de plusieurs protagonistes de mon histoire, c'est la même chose pour chacun dans toute civilisation : l'amour qu'un père fait peser sur son fils, le fils doit attendre que quelqu'un ait le pouvoir de le lui montrer autrement pour qu'il puisse enfin saisir en quoi il consistait. Il faut du temps pour comprendre ce qu'aimer veut dire.

01/2013

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Philosophie

Ce qu'incorporer veut dire

La notion d'incorporation vise à échapper à une série de fausses alternatives telles que celle de l'individuel et du collectif. Elle se réfère à l'idée d'une inscription du social dans les corps. Bien qu'introduisant une rupture fondamentale avec les théories classiques de l'action, elle a paradoxalement été peu discutée dans ses soubassements philosophiques, comme dans ses implications méthodologiques et empiriques. Cet ouvrage à plusieurs voix entend explorer ce qu'incorporer veut dire en envisageant la question à différentes échelles d'analyse et d'instanciation. Il s'agit d'abord de revenir sur la genèse du concept d'incorporation en le situant dans l'espace des théories de l'action, avec et contre lesquelles il s'est construit. Il s'agit ensuite d'avancer dans la saisie des contextes et médiations qui conduisent concrètement à incorporer le monde social. C'est en tenant ensemble ce double mouvement de réflexion que l'ouvrage propose un horizon d'investigation permettant de mieux appréhender la façon dont le social habite les corps, s'incarne en eux.

02/2021

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Poésie

Il a fallu couler pour renaître

Pourquoi deux ponts, il y a le pont neuf et le vieux pont, car il a fallu couler pour renaître, en passant par des passages de bien-être et de colère, donnez de la joie dans un monde qui se montre parfois cruel. Il faut écrire pour expliquer ce que l'on n'ose pas exprimer verbalement.

10/2019

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Littérature française

Il y aurait la petite histoire

A la faveur d'une mystérieuse disparition, un homme devenu grand-père découvre qu'il ne comprend plus rien à la jeunesse. Ses efforts pour rattraper le temps perdu vont l'entraîner au bord de l'abîme, mais peut-être aussi non loin de la rédemption.

01/2022

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Religion

Paul et les femmes. Ce qu'il a écrit, ce qu'on lui a fait dire

On fait souvent un faux-procès à l'apôtre Paul en le taxant de misogynie. Dans cet ouvrage, le professeur Michel Quesnel reprend le dossier et fait un inventaire exhaustif des propos de Paul sur les femmes et de ses relations avec elles, tels qu'ils apparaissent dans le Nouveau Testament. Ses conclusions sont claires : certes, les lettres authentiques de Paul contiennent sur les femmes des propos que nous n'écririons plus. Mais ils sont conditionnés par la culture ambiante ; et il s'avère surtout que, dans ce domaine, Paul est nettement plus ouvert que beaucoup de ses contemporains. Michel Quesnel poursuit son analyse en montrant que, par la suite, des sociétés misogynes ont fait de ses textes des lectures misogynes, déjà dans d'autres livres du Nouveau Testament, puis au cours des siècles suivants. L'auteur examine trois corpus de textes antiques concernant Paul (les épîtres authentiques, les épîtres pseudépigraphes, les Actes sur Paul) et lui rend justice : " A propos de ce qu'il pensait des femmes, l'Apôtre des nations a été victime des préjugés de ses lecteurs pendant une vingtaine de siècles ". Et, en faisant une courte excursion dans Paul après Paul, de le montrer à travers le regard des Pères de l'Eglise mais aussi dans des traductions récentes du Nouveau Testament. Le sous-titre de l'ouvrage prend alors tout son sens.

01/2021

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Littérature française

Ce qu'il voulait

Une nuit, le ciel s'abat sur elle. Lola n'était pas préparée à un tel destin. Cet homme est entré dans sa vie par effraction, il s'est emparé d'elle violemment, elle a laissé faire. Par curiosité, par solitude, par espoir. Un été qui restera marqué dans sa chair à jamais. Avec ce roman tendu et troublant, dans la lignée de Biographie d'un sexe ordinaire, Macha Méril explore une fois encore la force et le mystère du désir. Mêlant sentiments amoureux et attractions complexes, elle évoque sans tabou le plaisir féminin à travers une rencontre aussi inattendue que bouleversante.

08/2012

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Policiers

Ce qu'il reste

1978, nord de l'Italie. Elia a seize ans. C'est un jeune homme solitaire, en proie aux tourments de l'adolescence - ses amitiés fragiles, ses questionnements, ses premiers émois amoureux. Cet été-là, dans le petit village de Ponte, comme tous les étés, la chaleur est étouffante. Mais si l'atmosphère est particulièrement pesante, c'est que le père d'Elia a un comportement étrange depuis quelques temps, depuis qu'il s'est fait licencier de l'usine pour laquelle il travaillait. Persuadé d'avoir été victime d'un complot, il s'isole des heures dans le garage de la maison, à son van, rentrant parfois tard dans la nuit, sans explications. La mère d'Elia ferme les yeux. La mère d'Elia est une femme amoureuse. Un jour, le village est secoué par la disparition d'une jeune femme, montée à bord d'une fourgonnette qui s'est enfoncée dans les bois. A Ponte, tout le monde se connaît, tout se sait. Mais il y a des choses que personne ne peut imaginer. Trente ans après les faits, Elia raconte cet été où tout a basculé, et ce qu'il en reste.

01/2018

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Littérature française

Ce qu'il faut

Corinne Lovera Vitali a composé ce livre sur près de vingt ans. Il semble pourtant avoir été écrit comme il se lit, dans une forme d'urgence. Pas celle de la précipitation mais celle de la nécessité intérieure, sous le flux tendu du va-et-vient dans le temps devenu "suspendu" le long de dix-neuf chapitres d'une écriture fluide comme la vie. Comme une photographie, ce livre nous saisit. Il nous dit ce qui a lieu et que peut-être nous ignorons, la disparition de sa famille, la mort de son enfant, une vie commune que l'auteur est "la seule à prolonger". Mais il exhume surtout tout ce qui nous relie, et nous relie aussi à ceux qui ne sont plus. Il nous accompagne là où certains livres, rares, peuvent nous obliger à nous enfoncer. Il nous fait rencontrer des êtres, qu'ils soient vivants ou morts, nous donnant ainsi l'occasion unique d'éprouver l'épaisseur du temps et la volupté de l'instant, l'éternel dans l'éphémère. Ce qu'il faut pourrait être une tombe, c'est un souffle. C'était il y a pas si longtemps aussi je ne peux pas dire Il était une fois, je ne peux pas dire C'est un conte mon chéri, je ne peux pas dire On dit que, je ne peux pas croire que ça a passé si vite que même moi maintenant je pourrais ne pas croire que ça a existé (...) comme quand on regarde une photographie des vieux quand ils étaient jeunes et que c'était leur vraie vie tandis qu'on n'existait pas soi.

10/2016

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Ouvrages généraux

Qu'est-ce que lire ?

Lire est l'affaire de tous. Naturel en apparence, le geste n'en est pas moins complexe et même, souvent, difficile. Aussi faut-il s'y affairer et, avant tout, apprendre - à déchiffrer, à assimiler, à interpréter, à poursuivre les textes de ses propres pensées et actions. Très vite en effet le naturel se fait ouvrier et, avec l'effort, viennent les risques et les échecs en même temps que les succès de la glose. Savons-nous vraiment lire ? Serait-ce donc que nous nos interprétations ont toutes quelque valeur de connaissance et d'action ? Et donc qu'elles se vaudraient ? Chose bien incertaine. Et que faisons-nous d'ailleurs, dorénavant, sur les réseaux qui nous inondent de mots et d'images ? Lisons-nous encore ? Il faudrait donc que le geste de tenir un livre et de fixer un écran soient les mêmes, ce à quoi personne ne s'accorde. Lire est donc bien l'affaire de tous, mais à l'intention de chacun.

02/2022

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Histoire et Philosophiesophie

Ce qu'Einstein aurait pu dire à sa cuisinière. Quelques réponses sucrées à des questions salées... avec recettes

La calorie est une unité de chaleur, alors pourquoi le fait de manger fait-il grossir ? Que se passerait-il si l'on mangeait toujours froid ? Est-ce qu'une pomme de terre crue peut absorber l'excès de sel dans une soupe ? Pourquoi le poisson cuit-il plus vite que la viande ? Une tache de sang dans un œuf signifie-t-elle que celui-ci est fécondé ? Robert Wolke répond avec humour aux questions, parfois très sérieuses, parfois complètement loufoques, que la cuisinière d'Einstein aurait pu se poser. Et il vous propose des recettes... Ce livre régalera tous les gourmands de sciences

04/2008

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12 ans et +

Tout ce que j'aurais du savoir

N'est pas Cupidon qui veut ! Chloé adore sa grande soeur, Ivy, qui est autiste, et elle a peur que ses problèmes de communication ne l'isolent totalement. Décidée à lui trouver un petit ami, elle sélectionne le candidat idéal : Ethan, qui fréquente la même école spécialisée qu'Ivy. Seule ombre au tableau : il est le frère de l'insupportable et arrogant David. Pour jouer les entremetteurs, Chloé et David vont devoir passer beaucoup de temps ensemble. Au fur et à mesure de leurs rencontres, Chloé comprend qu'elle avait tort sur toute la ligne : de la vie amoureuse de sa soeur (qu'elle aurait dû consulter avant toute chose) à David (qui pourrait bien être le seul à vraiment la comprendre).

04/2019

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Histoire internationale

IL A FALLU CE DEUIL POUR SE RETROUVER. Journal de la guerre du Kosovo

" Il y a vingt ans, au cours de ma visite à Pristina, j'appris que ce vaste plateau avait été autrefois recouvert par les eaux. Puis, quand vint le temps de leur reflux, une partie de ces flots se dirigea, par le Danube, vers la mer Noire, une autre, par le Vardar, vers la mer Égée, et l'autre, empruntant le cours tumultueux de la Drina, vers l'Adriatique. J'imaginais alors, s'en allant en même temps que ces eaux, poissons, mollusques, anguilles, serpents et monstres marins. Ainsi se terminait la préhistoire de ce territoire, un drame de la nature qui serait suivi un jour d'un drame humain combien plus cruel ! Quand ce fut donc le tour des hommes, que sonna l'heure de l'évacuation du Kosovo de tous ses Albanais, deux des voies que je viens d'évoquer, celle qui conduit vers la Macédoine, et l'autre vers l'Albanie, se remplirent à nouveau comme si elles voulaient reprendre leur cours antique, cette fois sous forme de colonnes de déportés. À la troisième voie, celle du Danube, s'en substitua une autre, impossible à emprunter par les eaux, mais praticable par les hommes : celle du Monténégro. C'est ainsi qu'on s'employa à vider le Kosovo par trois canaux à la fois. Mais advint alors ce à quoi nous avons tous assisté ; en l'espace d'une saison, les Albanais connurent ce miracle tragique : ils tombèrent, puis se relevèrent comme S'ils avaient vécu une Semaine sainte. Par les trois gorges qui avaient servi à le vider, le Kosovo se remplit de nouveau. Un mouvement à rebours, de ceux qui se produisent rarement dans l'histoire du monde et dont on dit qu'ils constituent un " retournement du destin ", empêcha la mort de tout un peuple. Bien des siècles auparavant, à l'aube de la civilisation, un combat chanté par Homère contribua au réveil de la conscience du monde antique. Trois mille ans plus tard, la guerre du Kosovo a ébranlé, comme aucune autre avant elle, l'humanité moderne. Puisse-t-on avoir trouvé dans ces notes quelques traces de ce bouleversement. "

01/2000

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Santé, diététique, beauté

Ce que j'aurais dû, ce que je n'ai pu faire

Ce que j'aurais dû, ce que je n'ai pu faire est une interrogation sur le parcours atypique de l'auteur et plus précisément sur les facteurs qui l'ont marqué et fait de lui ce qu'il est aujourd’hui. La phrase "Connais-toi toi-même" de Socrate reflète l'esprit de ce récit. Par rapport à ce qu'il considère comme un précepte, l'auteur a toujours, naturellement, cherché à donner un sens particulier à sa personnalité, pour qu’elle soit le pivot de ses actions dans tous les domaines. Cela se retrouve dans ses aspirations profondes, notamment le souci de faire les choses le mieux possible et attacher de l’importance à certaines valeurs primordiales : la liberté, la morale, le respect, l’honnêteté, la fraternité, l’amour. Jean-Marie Bassangui espère, en tant qu'être humain, avoir accompli une mission, quelle qu’en soit la grandeur.

07/2015

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Littérature française

Il s'en était fallu de peu

Un mot inattendu renverse plusieurs existences, pour certaines de façon tragique. C'est un long périple périlleux qui apportera l'unique solution, savoir découvrir son humanité. Biographie de l'auteur : Professeur de français et linguiste polyglotte, Viorel Dragus a décidé de faire partager son amour pour la langue française. Avec son quatrième roman, en dehors d'une maîtrise hors du commun de la langue de Molière, Viorel Dragus nous prouve avec succès, dans ce formidable récit, qu'il s'impose comme une référence du réalisme merveilleux. Note de l'éditeur : adeptes du courant de conscience, ce livre est fait pour vous, un régal pour les initiés et comme le dit si bien l'auteur lui-même : "Ecrire du début à la fin avec "il" pour héros m'a demandé beaucoup d'acrobaties, mais j'estime que la lecture est assez entraînante, décalée, déstabilisante parfois, ce qui est dans le ton avec une longue démarche de découverte de soi. "

09/2017

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Réussite personnelle

Ce que j'aurais voulu entendre

A toutes les âmes qui ont erré un jour dans la souffrance.

06/2022

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Science-fiction

Ce qu'elle avait à dire

Un livre noir, un livre fort, un livre gore. Toute la noirceur d'une âme en perte d'équilibre et à la recherche de l'après-mort. Si la folie vous passionne, ce livre quelque peu psychiatrique vous plongera dans un autre univers, pas si loin du vôtre...

03/2018

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Littérature érotique et sentim

Ça aurait dû rester secret

Après dix années de mariage et deux enfants, Sabine est toujours aussi amoureuse de Pierre... Qui, lui, aime surtout ses propres plaisirs. Se sentant délaissée, triste et doutant de plus en plus de l'avenir de son couple, Sabine va traverser des épreuves qui auraient dû rester secrètes mais qui vont toucher ses proches et l'atteindre d'autant plus. En sortira-t-elle brisée ou plus forte ? Va-t-elle avoir le courage de prendre sa vie en main ? Et ce Max qui l'aide et la conseille, qui est-il finalement ? Ca aurait dû rester secret est un ouvrage composite : il y est question d'un jeune couple, touché par les aléas de la vie, d'une enquête policière riche en rebondissements, d'un mystérieux "ami" rencontré sur Facebook et d'un clin d'oeil à l'Olympique Lyonnais et à ses dirigeants... Peuplant son récit de personnages atypiques et attachants, passionnés de montagne et de football, femmes amoureuses, médecin russe amateur de blagues, familles recomposées, amis dévoués et sincères, Frédérique Girard-Ory nous promène au gré de ses envies. De Lyon à Paris, en passant par l'Alsace et le sud de la France, il est bon de se laisser entraîner dans les péripéties de tout ce petit monde. Autant de personnages et de lieux qui donnent au roman un goût de fraîcheur et d'optimisme...

12/2012

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Littérature française

Ca aurait pu être moi

Anca, jeune femme volontaire et sensible au sortir de son adolescence, trace son chemin d'artiste émergente dans la période instable et troublée d'un pays en pleine révolution civile. Dans cette histoire, contemporaine et intemporelle, l'héroïne raconte son parcours personnel et artistique : la découverte et l'affirmation de son art, ses émotions et ses doutes, sa relation intime aux êtres et au monde, ... L'écriture sous forme de prose poétique sans ponctuation entraîne le lecteur dans une mise en abyme sonore et musicale de la narration : Voilà pourquoi j'ose un nouveau rêve les yeux grands ouverts sur des ailleurs de comblement un rêve de renouveau une renaissance. Voilà pourquoi agrippée à la crinière d'une fabuleuse monture, je réinvente l'espérance. Je retrouve mon image d'avant. Celle du temps où jeune fille nubile, je sentais la sève ardente monter en moi du temps où je criais, je dansais, je chantais, je riais ... où je pleurais aussi parfois" Ce roman biographique met la lumière sur les enjeux et les contraintes de la création artistique au quotidien, sa place et son importance dans le courant de l'Histoire : "L'art indique aux hommes leur raison d'être. Il leur révèle le sens de la vie, il les éclaire sur leur destinée et par conséquent les oriente dans l'existence" (Auguste Rodin)

10/2018

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Actualité et médias

Ce qu'ils ne veulent pas que je dise

Je m'appelle Alexandre Benalla et je vais vous raconter pourquoi et comment je suis devenu l'ennemi public numéro un. L'homme à abattre.

11/2019

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Philosophie

Ce que legiférer veut dire

Le pari principal sur lequel repose cet ouvrage est celui de combattre la conception vulgaire qui consiste à considérer le légiférer au sens commun spontané des hommes et des femmes libres, de sorte que tout homme a la capacité de légiférer une fois à l'âge adulte. L'homme d'aujourd'hui, tantôt pense que le légiférer est le domaine de tout homme majeur ; tantôt pense que le légiférer est l'affaire des experts. Mais qui ? L'enjeu décisif de ce livre est de montrer d'une part que le légiférer est plus un savoir qu'un art. Légiférer est une spécialité, un savoir méthodique réservé aux initiés, c'est un savoir explicite de devenir soi et simultanément d'édifier l'espace public. Et d'autre part la responsabilité politique de la philosophie, en montrant la fonction politique de la philosophie, une fonction politique qui ne lui est pas surajoutée ou forcée, mais plutôt une fonction politique qui lui est propre par essence. Et non pas une fonction politique d'ordre théorique, mais une fonction politique de l'ordre pratique permettant à la philosophie de bien jouer son rôle et d'être utile, voire très utile à l'homme ainsi qu'à la société.

06/2019