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Capricci

Extraits

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Manga

One Piece Tome 30 : Capriccio

Face au terrifiant dieu Ener, les combattants sont à bout de forces et baissent les armes les uns après les autres. C'est à se demander s'il n'est pas déjà trop tard pour empêcher ce monstre de réaliser ses projets... Apparu de nulle part dans une situation désespérée, Luffy s'apprête pourtant à défier ce redoutable adversaire !!

01/2014

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Poches Littérature internation

Princesse Brambilla. Capriccio dans la manière de Callot

Hoffmann rêva toute sa vie du ciel doré de l'Italie : un ciel qu'il ne put jamais apercevoir qu'en songe. Raison pour quoi, sans doute, il logea Princesse Brambilla dans le décor le plus italien qui se puisse imaginer : le carnaval de Rome. Raison pour quoi, surtout, ce roman bref se trouve être le plus vibrant appel qu'il ait adressé de sa vie à la fuyante beauté : occasion de conjuguer sa fantaisie la moins retenue et le meilleur de cette ironie mélancolique qui est son élixir secret. Baudelaire voyait là la quintessence de l'imaginaire romantique : " Il faut lire Hoffmann, et surtout, avant tout, Princesse Brambilla, qui est comme un catéchisme de haute esthétique. " Quant à Stefan Zweig, préfacier de la présente édition, il ajoute : " Une chose reste pour toujours propre à E.T.A. Hoffmann et inimitable : cet étrange amour de la dissonance, des tons intermédiaires nets et aigus ; celui qui sent la littérature comme une musique n'oubliera jamais ce ton-là. "

09/2005

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Policiers

Cinq polars du XXIe siècle

Un tango qui vire à la danse macabre. Un distributeur automatique de shit. Une soirée entre amis qui tourne à la boucherie. Un jeune homme vraiment prêt à tout pour sa voisine. Une nuit qui supprime les souvenirs... Ces cinq nouvelles noires ont été écrites dans le cadre des résidences SOFILM DE GENRE en 2017 organisées par Capricci et le magazine Sofilm. Chacun à sa manière, cruelle ou ironique, les polars de ce recueil s'emparent de notre quotidien pour le transformer en scène de crime.

01/2018

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Cinéastes, réalisateurs

Catherine Breillat, "Je ne crois qu'en moi" - Entretien avec. Entretien avec Murielle Joudet

Catherine Breillat n'a jamais raconté qu'une seule histoire : la sienne, celle d'une jeune fille interdite d'existence qu'on aura, dès l'enfance, coupée en deux, écartelée entre son cerveau et son sexe, marquée par la honte d'être née femme. Elle est devenue cinéaste à une époque où choisir cette vocation consistait à désobéir à tout le monde. Depuis son premier film, Une vraie jeune fille (1975), jusqu'à L'Eté dernier (2023), elle filme pour reprendre ce qu'on lui a volé, pour explorer ce qu'elle appelle l' "infilmable" : cette inépuisable zone grise du féminin où honte, transgression, volupté, dégoût et quête de soi s'entremêlent jusqu'à se confondre. Son oeuvre formule un lancinant "Connais-toi toi-même" , un voyage spirituel qui, pour ses héroïnes, s'articule comme une guerre ouverte avec l'autre sexe. Parler avec Catherine Breillat et l'écouter, c'est obtenir des réponses qui tiennent autant de la leçon de cinéma que de la survie. Murielle Joudet est critique de cine ? ma. Elle a pre ? ce ? demment publie ? Isabelle Huppert - Vivre ne nous regarde pas (Capricci, 2018), Gena Rowlands - On aurait dû dormir (Capricci, 2020), La Seconde Femme - Ce que les actrices font à la vieillesse (Premier Parallèle, 2022) et coe ? crit Hitchcock - La Totale (E/P/A, 2019).

09/2023

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Poésie

Caprices

"aux Gyrovaguesà la fourbure du chevalprofitons des trois wwein weib würfelvin femme et les dés(ô poëshies de Frédéric II !)Goliards ou Vagantsqui chantiez en latin-allemandstetit puella rufa tunicaeia !riez-vous des choses dernièresdieu, le jugementavant que le vent ne couche le Vieillardlui soit épargnée l'agonie urémique !Le terme de Caprices (Capricci, kep, couper) désigne en tout art les oeuvres qui allient, au pur gré de l'auteur, dans leur architecture, la fantaisie à la réalité - ainsi les ruines dans les paysages. (Dictionnaire étymologique Labrune)" Jude Stéfan.

05/2004

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Science-fiction

Cinq nouvelles fantastiques du XXIe siècle

Une porte qui apparaît dans le couloir d'un appartement. Un "visualisateur" qui traque des criminels et découvre une autre dimension Des statues qui se confondent avec leur modèle. Une poupée à sort en chair et en os. Une jeune femme près d'un lac aux cheveux perpétuellement mouillés... Voici quelques nouvelles fantastiques du XXIe siècle, écrites lors d'une résidence autour du genre initiée par Capricci et le magazine Sofilm et qui donneront lieu à des adaptations cinématographiques. Elles mêlent la puissance sans âge du fantastique à notre monde connecté et rappellent la fragilité du réel.

11/2016

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Acteurs

Nicolas Cage. Envers et contre tout

Dieu dansant rongé par un feu bouillonnant, flamboyant éloge de l'imperfection, Nicolas Cage s'est construit au long d'un parcours aux stupéfiantes incursions, où se croisent Francis Ford Coppola, David Lynch, Werner Herzog, des clowns, des cafards, des baleines, les Beatles, Elvis Presley et Internet tout entier. Il fait aujourd'hui à l'écran ce que plus personne n'ose faire : déconcerter, rompre, démolir, prendre des risques, essayer, quitte à perdre et sombrer. Un véritable monstre de cinéma, dans tous les sens du terme, qui depuis quatre décennies ne poursuit qu'une seule voie : la sienne, envers et contre tout. Lelo Jimmy Batista est auteur, scénariste et journaliste pour Libération. Dans la collection "Capricci Stories" , il a déjà publié Robert Mitchum, l'homme qui n'était pas là.

11/2021

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Musique, danse

L'opéra selon Richard Strauss. Un théâtre et son temps

Si Richard Strauss a pris place parmi les compositeurs majeurs du répertoire des scènes d'opéra du monde entier, il le doit tout autant à sa maîtrise de compositeur qu'à son instinct dramatique. De Guntram (1894), son premier essai lyrique empreint de wagnérisme, à ce testament en forme de conversation musicale que constitue Capriccio (1942), quinze opéras jalonnent ainsi, sur quelque cinquante années, un parcours d'une étonnante variété, témoignant à la fois d'une extrême fécondité créatrice et d'une grande capacité de renouvellement. C'est à une vision synthétique de l'opéra selon Richard Strauss que ce livre nous convie, autour de plusieurs axes d'approche conjuguant problématiques musicales et théâtrales. Quelles relations Strauss a-t-il entretenu avec ces prestigieux librettistes que furent pour lui Hofmannsthal et Stefan Zweig, et quel rôle exact joua-t-il dans l'élaboration de ses livrets ? Sur quoi repose leur si remarquable efficacité dramatique ? Comment traita-t-il cette épineuse question des rapports entre musique et verbe qui ne cessa de le tarauder tout au long de sa carrière au point qu'il en fit, au soir de sa vie, le sujet de son dernier opéra, Capriccio ? De quelle manière les modèles classiques et l'ombre portée de Wagner ont-ils marqué sa production lyrique et comment celle-ci se situe-t-elle par rapport au climat de modernité qui l'a environnée ? Peut-on parler de personnages straussiens et qu'en est-il de leur comportement humain et social ? Telles sont quelques-unes des nombreuses questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre en s'appuyant sur l'ensemble des opéras. Combinant analyses sur des questions générales et études approfondies de plusieurs œuvres représentatives, cette ouverture sur l'atelier de création du compositeur est enrichie de textes de Strauss et de ses collaborateurs, offrant ainsi en prime les fruits d'une réflexion jaillie directement de l'expérience et de la pratique.

09/2000

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Littérature étrangère

Notre-Dame-des-Turcs suivi de Autographie d'un portrait

Carmelo Bene a bouleversé, pendant quarante-cinq ans d'activité, les domaines dans lesquels il s'est investi en tant que créateur. Connu en France pour son cinéma (Hermitage, Notre-Dame-des-Turcs, Don Juan, Capricci, Salomé et Un Hamlet de moins) et en partie pour son théâtre (S.A.D.E., Roméo et Juliette, Macbeth et Macbeth Horror suite), il l'est moins pour son abondante production écrite qui a su élaborer différentes formes - du roman au pamphlet à la poésie - en instaurant à chaque fois, avec " les genres ", un rapport violemment critique. C'est l'ensemble de la problématique visant les formes de la " représentation " qui est au cœur de ce débat-combat : narration, théâtre, cinéma, radiophonie, poésie, scénarios, tout est soumis aux ciseaux d'une sensibilité qui a su élaborer non seulement ses propres formes d'interrogation, mais surtout sa mise en démonstration sur scène. L'Autographie et Notre-Dame-des-Turcs sont le dernier et le premier texte écrit par l'auteur et constituent le premier volet d'un triptyque où seront présentés ses différentes élaborations scéniques et polémiques, ainsi que des scénarios qu'il n'a jamais joués.

05/2003

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Musique, danse

Rimski-Korsakov

Selon un cliché qui a la vie dure, Rimski-Korsakov (1844-1908) serait l'auteur de quelques pièces pour orchestre (Schéhérazade, Capriccio espagnol, La Grande Pâque russe...) trop populaires pour être honnêtes. Lui qui a édité la partition de Boris Godounov serait également coupable d'avoir mutilé les oeuvres de ses compatriotes Alexandre Borodine ou Modeste Moussorgski... Ce livre entend réfuter ce fatras d'accusations et de jugements à l'emporte-pièce qui ne résistent guère à l'analyse. A qui sait aller au-delà des apparences ou des présupposés, Rimski-Korsakov apparaît tel qu'il est : un homme attachant, qui occupa discrètement une place essentielle dans la grande aventure musicale de la Russie de la seconde moitié du XIXe siècle, auteur de mélodies, musiques de chambre, symphonies, et de nombreux opéras, qui mirent des décennies à s'imposer au répertoire et qui sont d'admirables réussites, comme Kitège ou son chant du cygne, l'ébouriffant Coq d'or. Comme tous les volumes de la collection "Classica", ce Rimski-Korsakov est enrichi d'un index, de repères bibliographiques et d'une discographie.

10/2013

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Histoire du cinéma

Comédie(s) américaine(s). D'Ernst Lubitsch à Blake Edwards. Histoire d'une forme, avatars d'un genre

La comédie existe toujours, la cause est entendue, mais c'est véritablement de 1918 à 1968 que son programme s'est accompli dans le contexte hollywoodien. Singulière et plurielle - d'où le titre de ce livre -, la comédie américaine connaît un grand nombre d'espèces (sophistiquée, romantique, screwball, de remariage...) et le genre a lui-même si bien évolué que l'on a pu parler à partir des années 1950 de "? seconde comédie américaine ? ". Katharine Hepburn et Cary Grant, Marilyn Monroe et Jack Lemmon, Ernst Lubitsch et Howard Hawks, Billy Wilder et Blake Edwards, Ben Hecht et Charles Lederer sont quelques-unes des figures qu'on croisera dans ce livre, au milieu de tant d'autres, actrices et acteurs, cinéastes et scénaristes - célèbres ou non. Mais ce sont avant tout les films qui se situent au coeur de ce voyage personnel, initiatique ou rétrospectif, où le rire conduit au bonheur et à la joie, sans pour autant oublier l'anarchie et la cruauté d'un genre plus surprenant qu'on ne le croit. Marc Cerisuelo mêle étroitement dans ses travaux l'histoire des formes filmiques, la critique cinématographique et la philosophie. Spécialiste de la comédie américaine (Preston Sturges ou le génie de l'Amérique, PUF, 2002), il est également l'auteur d'ouvrages consacrés à Stanley Cavell et à Jean-Luc Godard, à la présence germanique à Hollywood ou aux métafilms américains. Il a précédemment publié aux éditions Capricci Oh Brothers ? ! Sur la piste des frères Coen (avec Claire Debru, 2013), ainsi qu'une Lettre à Wes Anderson (2016).

11/2021

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Littérature étrangère

Le rose Tiepolo

Toute sa vie, Tiepolo aura peint sur commande pour les églises et les palais, couvrant de fresques jusqu'aux vastes plafonds de la Résidence de Würzburg ou du palais royal de Madrid. Dans son oeuvre s'anime toute la vie d'une époque - le dix-huitième siècle - qui l'admira sans se préoccuper de le comprendre. Il ne fut que plus facile à Tiepolo de lui échapper, et de livrer son secret à ses seules gravures, trente-trois Capricci et Scherzi. Chacune est comme le chapitre d'un roman noir, éblouissant et muet, peuplé de personnages hétéroclites et déconcertants : éphèbes épanouis et Orientaux ésotériques, Satyres et Satyresses, hiboux et serpents - et même Polichinelle et la Mort. De page en page, nous les retrouvons côtoyant Vénus, le Temps ou Moïse, Armide ou la cohorte des anges, Cléopâtre ou Béatrice de Bourgogne : une foule bigarrée, une troupe de bohémiens itinérants, cette " tribu prophétique aux prunelles ardentes " dont parle Baudelaire. Plus qu'un brillant intermède dans l'histoire de la peinture, l'art de Tiepolo fut une manière à travers laquelle les formes se manifestèrent, un certain style dans le déploiement de leur défi. Ses figures révèlent une fluidité sans effort ni obstacle. Toutes accédaient au ciel sans oublier la terre, incarnant une dernière fois la vertu suprême de la civilisation italienne : la sprezzatura. Nul mieux que Tiepolo ne sut donner à voir ce que Nietzsche appelait " l'Olympe de l'apparence ". Après La ruine de Kasch (1987), Les noces de Cadmos et Harmonie (1991), Ka (2000) et K. (2005), Le rose Tiepolo se présente comme le cinquième volet d'une oeuvre en devenir, dont les différents moments, fortement articulés entre eux, élaborent les matières les plus diverses, sans qu'aucun ne puisse être assigné à un genre établi. Le présent ouvrage, entre récit et essai, est enrichi de plus de quatre-vingts illustrations faisant contrepoint au texte, et réalise une véritable osmose entre l'image et le mot.

05/2009