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Busby Berkeley, l'homme qui fixait des vertiges. Deuxième édition

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Cinéma

Busby Berkeley, l'homme qui fixait des vertiges. Deuxième édition

(Deuxième édition de l'ouvrage.) Busby Berkeley, cinéaste hollywoodien auquel on doit des numéros musicaux démentiels, génie obsédé par la forme, les figures kaléidoscopiques filmées en plans zénithaux et les guirlandes de filles, est un pionnier dans bien des domaines. Celui qui n'hésitait pas à crever les plafonds des studios pour donner corps à ses visions vertigineuses a sans nul doute révolutionné le cinéma hollywoodien, et ce dernier n'a de cesse de lui rendre hommage, de Spielberg aux frères Coen. Tout commence à Broadway avec le légendaire créateur des Follies, Florenz Ziegfeld, qui lui trace une voie royale pour Hollywood où il débute chez Samuel Goldwyn, avant de sauver du marasme la Warner, en relançant la comédie musicale avec des classiques comme 42nd Street et Gold Diggers of 1933, derniers soubresauts érotiques d'un pays qui se corsète bientôt dans la censure avec le code Hays. Le livre se divise en deux parties ; la première, biographique, dresse le portrait du Broadway de la fin des années 1920 et de l'Hollywood des années 1930 et vous fait pénétrer dans les coulisses de la comédie musicale, à la rencontre de producteurs (Florenz Ziegfeld, Darryl Zanuck, Louis B. Mayer), d'actrices (Ruby Keeler, Judy Garland, Carole Landis), de figures troubles (Eddie Mannix ou le gangster Arnold Rothstein), de réalisateurs méconnus (Paul Fejos, Robert Florey, Alla Nazimova) et de personnalités diverses (Philip K. Dick, Don Draper, Andy Warhol). Dans un second temps, l'ouvrage aborde l'oeuvre de Busby Berkeley de manière thématique, rappelant sa modernité, sa poésie et son influence. Préface d'Alain Masson

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Cinéma

Busby Berkeley, l'homme qui fixait des vertiges. Deuxième édition

(Deuxième édition de l'ouvrage.) Busby Berkeley, cinéaste hollywoodien auquel on doit des numéros musicaux démentiels, génie obsédé par la forme, les figures kaléidoscopiques filmées en plans zénithaux et les guirlandes de filles, est un pionnier dans bien des domaines. Celui qui n'hésitait pas à crever les plafonds des studios pour donner corps à ses visions vertigineuses a sans nul doute révolutionné le cinéma hollywoodien, et ce dernier n'a de cesse de lui rendre hommage, de Spielberg aux frères Coen. Tout commence à Broadway avec le légendaire créateur des Follies, Florenz Ziegfeld, qui lui trace une voie royale pour Hollywood où il débute chez Samuel Goldwyn, avant de sauver du marasme la Warner, en relançant la comédie musicale avec des classiques comme 42nd Street et Gold Diggers of 1933, derniers soubresauts érotiques d'un pays qui se corsète bientôt dans la censure avec le code Hays. Le livre se divise en deux parties ; la première, biographique, dresse le portrait du Broadway de la fin des années 1920 et de l'Hollywood des années 1930 et vous fait pénétrer dans les coulisses de la comédie musicale, à la rencontre de producteurs (Florenz Ziegfeld, Darryl Zanuck, Louis B. Mayer), d'actrices (Ruby Keeler, Judy Garland, Carole Landis), de figures troubles (Eddie Mannix ou le gangster Arnold Rothstein), de réalisateurs méconnus (Paul Fejos, Robert Florey, Alla Nazimova) et de personnalités diverses (Philip K. Dick, Don Draper, Andy Warhol). Dans un second temps, l'ouvrage aborde l'oeuvre de Busby Berkeley de manière thématique, rappelant sa modernité, sa poésie et son influence. Préface d'Alain Masson

02/2024

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Beaux arts

Anne et Patrick Poirier. Vertiges vestiges

Anne et Patrick Poirier réunissent leurs idées, leurs sensibilités, et leurs travaux signés en commun deviennent les fruits de ce partage. Voyageurs, arpenteurs, découvreurs de civilisations, de religions et de cultures, refusant les rôles conventionnels de sculpteur et de peintre, ils endossent ceux d'archéologue et d'architecte. Il ne s'agit plus d'une recherche artistique formelle, mais par une approche des sciences humaines, d'un voyage dans la mémoire qu'ils considèrent comme une valeur fondamentale, la base de toute intelligence entre les êtres et entre les sociétés. Dénonçant la fragilité des civilisations, des cultures et des êtres, leur esthétique est souvent celle du fragment, de la ruine, de la catastrophe ; leur oeuvre, une métaphore du temps où passé et futur sont étroitement mêlés. Artistes pluridisciplinaires, ils ne s'interdisent l'usage d'aucune mode d'expression.

07/2009

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Policiers

Le deuxième homme. Edition revue et corrigée

" Je suis le fils d'un fantôme et d'une bouteille de gin. " C'est ainsi que Stéphane parle de lui. Une coquille vide. Un petit caïd sans passé ni personnalité. Jusqu'à Norah, qu'il rencontre un soir, dont il tombe fou amoureux et qui, mystérieusement, passionnément, l'aime en retour, l'apaise, l'emplit enfin. Une histoire d'amour aussi heureuse qu'inespérée... Jusqu'à la chute, la descente aux enfers. Alors qu'il n'envisage que l'avenir avec elle, Stéphane découvre une photo surgie du passé de Norah. Le visage de l'homme à ses côtés, il le connaît bien, et pour cause : c'est le sien. " Un roman noir au charme vénéneux. " Télé 7 Jours Edition revue par l'auteur

10/2016

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Littérature française

L'almanach des vertiges

Ah oui, bien sûr. Mozart ! J'aurais dû m'en douter. Cela dit sur le ton de celle qui ne peut plus voir en peinture le génie de la musique. On ne peut pas faire un pas ici sans tomber sur Mozart, hein? En fait, il n'y avait pas que Mozart ici à Prague, s'amuse notre Angus. Il y avait aussi Casanova. Ah ? questionne Juliette du bout des lèvres, ils étaient ensemble ici, le dragueur et Mozart ? Lui, il aurait dit : Moi, le chevalier de Seingalt, aventurier de ma personne. Elle a retrouvé le sourire, se pose sur le tabouret en secouant sa chevelure de jais : Si je force pas trop sur le bloody mary, vous me racontez ? Depuis la création de Don Giovanni, l'anecdote de la rencontre de Casanova et de Mozart a excité l'imagination des romanciers. Mettant en scène de manière inédite cet affrontement, L'Almanach des vertiges questionne le sens de la création artistique : Pourquoi la musique de Don Giovanni nous émeut-elle encore ? L'art sait-il encore apporter l'apaisement dans le tumulte de notre époque ?

02/2009

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Poésie

Poussières de ciel… et d’ailleurs. Vestiges, vertiges, vétilles…

C'est parce que ce monde est laid, mauvais, absurde et que la vie n'a aucun sens qu'il est impératif d'en trouver un ! Ainsi vont ces textes entre pessimisme, noirceur, absurdité... et optimisme, drôlerie, beauté, rêve, amour... comme autant de poussières venues du ciel ou d'ailleurs. Ainsi va ce recueil à la fois lumineux et diabolique, orné pour partie d'une écriture sans ponctuation telle qu'elle prévalut jusqu'au IVe siècle après Jésus-Christ, à l'image de ce monde obscur, au sens caché et de l'obstination dont il faut faire preuve pour le dévoiler.

07/2021

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Contes et nouvelles

Celui qui fut le deuxième homme et autres récits

Recueil de quatre récits, "Celui qui fut le deuxième homme" découvre des trajectoires de vies, telles que pouvaient les connaître hommes et femmes de la classe laborieuse au début du XXe siècle : mineurs, ouvriers, paysans. Et nous percevons, sans que jamais cela nous soit montré de façon explicite, les traces profondes que ces personnes - qui étaient " les siens ", il le revendique - ont laissées chez l'homme qui aujourd'hui nous les fait revivre. Se souvenant de Joseph, son grand-père, l'auteur doit, non seulement relater des faits avérés, mais souvent interpréter, à la lumière de la tendresse qu'il lui voue, des moments de son passé restés inconnus. Car cet homme, garçon de ferme à six ans, puis mineur de fond et confronté à l'horreur des tranchées en 14-18, ne se racontait pas : " Joseph B ne posait pas de questions. On ne lui en posait pas. " Plus brièvement sont évoqués Casimir, ce paysan du Velay, " dernier exemplaire d'une certaine race d'hommes, ceux qui vivent heureux de leur travail sur une terre ingrate. Giono aurait su en parler. " Et Jenny, que tout le monde appelait Jeanne, qui traversait les épreuves sans perdre le goût de faire plaisir aux autres. Ainsi que Gustou, un voisin dont il lui faudra des années pour tenter de comprendre la déchéance. Raconter des vies, donc écrire des biographies ? Non, car Robert Blondel évite cet écueil qu'est la banalité des récits linéaires ; il choisit de nous faire partager, par petites touches, le côté concret de moments vécus dans l'intimité de ces personnes dont il se souvient avec une émotion discrète et pourtant perceptible. En conservant une écriture exempte de pathos, mais toujours précise.

04/2024

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Thrillers

L'oiseau qui avait le vertige

L'Hôtel des Flots, sur la pointe du Grouin. Un homme mystérieux arrive sur place et, étrangement, la sulfureuse Jessica disparaît le soir même. Tous les résidents de l'hôtel, des employés aux clients, deviennent de potentiels suspects. Jusqu'à ce qu'une pandémie et un confinement obligent tout ce petit monde à fermenter en vase clos... Le premier suspense de François Cérésa Un îlot à moins d'un mille marin de la pointe du Grouin, en plein océan. Un bâtiment construit sur un éperon rocheux : l'hôtel des Flots, équipé en spa et thalasso, pour clients haut de gamme. Emir Karlovic arrive sur place pour un séjour d'une semaine. Dans ses bagages, un arsenal : un . 44 magnum et un colt Cobra. Un tueur à gages ? Son premier repas avec les pensionnaires est d'ailleurs marqué par la disparition d'une employée : la rousse et sulfureuse Jessica. Quand on découvre le corps, c'est la panique. Et tous les résidents de l'hôtel, qu'ils soient employés ou clients, deviennent des suspects potentiels. A l'adjudante Géraldine Chanal, de la gendarmerie, et au commandant Robès de débarquer à leur tour. Mais au dehors, une pandémie plane... jusqu'à ce que, le 16 mars 2020, le gouvernement décrète le confinement général. Obligeant tout ce petit monde à rester enfermé. Et si le tueur profitait de cette situation de huis clos ? Tous ces gens, sous des dehors respectables, pourraient-ils être des psychopathes en puissance ?

02/2022

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Philosophie

Berkeley et le voile des mots

Appuyé d'abord sur la critique de l'abstraction, l'immatérialisme de Berkeley évolua sensiblement par la mise en avant du caractère inévitablement métaphorique des formes de discours des hommes. En effet, le voile des mots était en réalité un double voile : le premier se tient dans la poussière savante des partisans des idées abstraites ; le second se montre dans le caractère indicible de ce dont nous n'avons pas d'idées et dont nous parlons par analogies et métaphores. Or, si l'immatérialisme au sens strict se donne pour objectif d'écarter le premier voile, une autre forme d'immatérialisme fait le plus grand cas du second, jusqu'à faire de l'ontologie une sémiologie. C'est sur de telles bases que pourrait être réexaminée la question des " deux philosophies " de Berkeley.

01/1993

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Littérature française

Le Deuxième Homme. Monsieur Albert

Cimetière de Lourmarin, ce premier contact face à la tombe d'Albert Camus, deux dates, une pierre... tout comme Jacques Cormery. Le début d'échanges et de conversations improbables. Une rencontre repoussée depuis plus de quarante ans avec le deuxième homme, monsieur Albert, mais il le fallait... Ses mots, nos maux, les miens s'entrecroiseront pour trouver un écho salvateur.

03/2022

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Littérature française

L'homme qui plantait des arbres

En 1953, le magazine américain The Reader's Digest demanda à Giono d'écrire quelques pages pour la rubrique bien connue " Le personnage le plus extraordinaire que j'aie jamais rencontré ". Quelques jours plus tard, le texte, tapé à la machine, était expédié, et la réponse ne se faisait pas attendre : réponse satisfaite et chaleureuse, c'était tout à fait ce qui convenait. Quelques semaines passèrent, et un beau jour Giono descendit de son bureau. Son visage reflétait la stupéfaction. Il venait de recevoir une deuxième lettre du Reader's Digest, d'un ton bien différent de la première : on l'y traitait d'imposteur... Giono trouvait la situation cocasse, mais ce qui dominait en lui à l'époque, c'est la surprise qu'il puisse exister des gens assez sots pour demander à un écrivain, donc inventeur professionnel, quel était le personnage le plus extraordinaire qu'il ait rencontré, et pour ne pas comprendre que ce personnage était forcément sorti de son imagination...

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Lecture 6-9 ans

L'homme qui plantait des arbres

En Provence, dans une région aride et sauvage, un berger solitaire plante des arbres, des milliers d'arbres. Au fil des ans, les collines autrefois nues reverdissent et les villages désertés reprennent vie. Voici l'histoire d'Elzéard Bouffier, le silencieux, l'obstiné, celui qui réconcilie l'homme et la nature. Un portrait émouvant et un hymne à la nature qui a fait le tour du monde.

03/2018

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Littérature française

L'homme qui descend des montagnes

Dans ce récit d'inspiration autobiographique, Abdelhak Serhane nous livre le portrait émouvant d'une enfance marocaine dans les années 1950 au sein d'une famille très pauvre installée dans un village isolé du Haut-Atlas. Enfance douloureuse marquée par une extrême misère matérielle et affective, et dominée par la figure d'un père violent et d'une mère soumise. C'est pourtant dans ce contexte que le jeune narrateur va faire son apprentissage de la vie, s'initier au français en lisant les bribes de journaux dont son père a tapissé le plafond de sa masure, et prendre peu à peu conscience de la condition peu enviable de ses compatriotes subissant l'arbitraire d'un pouvoir archaïque. Car à travers la profusion d'anecdotes souvent touchantes qui ponctuent l'histoire de cette famille, c'est en filigrane un tableau au vitriol d'une société gangrenée par la corruption et les interdits religieux qui est ici brossé, à mille lieues de l'image parfois complaisante que l'on peut avoir en Occident de la monarchie alaouite. Un livre engagé servi par une plume alerte et une verve expressive.

05/2009

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Divers

L'homme qui plantait des arbres

Elzéard Bouffier, dernier habitant d'une contrée désertique consacre ses journées à replanter une forêt afin d'y faire revenir la vie. Ecrite par jean Giono en 1953, cette histoire fictive, longtemps considérée comme vraie, est un réel manifeste écologiste. A la fois naïve et optimiste, elle est avant tout un éloge à la nature, à la vie et à l'engagement personnel.

11/2021

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Aménagement du territoire

L'HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES

En 1953, le magazine américain The Reader's Digest demanda à Giono d'écrire quelques pages pour la rubrique bien connue " Le personnage le plus extraordinaire que j'aie jamais rencontré ". Quelques jours plus tard, le texte, tapé à la machine, était expédié, et la réponse ne se faisait pas attendre : réponse satisfaite et chaleureuse, c'était tout à fait ce qui convenait. Quelques semaines passèrent, et un beau jour Giono descendit de son bureau. Son visage reflétait la stupéfaction. Il venait de recevoir une deuxième lettre du Reader's Digest, d'un ton bien différent de la première : on l'y traitait d'imposteur... Giono trouvait la situation cocasse, mais ce qui dominait en lui à l'époque, c'est la surprise qu'il puisse exister des gens assez sots pour demander à un écrivain, donc inventeur professionnel, quel était le personnage le plus extraordinaire qu'il ait rencontré, et pour ne pas comprendre que ce personnage était forcément sorti de son imagination...

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Romans policiers

L'homme qui valait des milliards

Jeune, vif et titulaire d'un doctorat, Jean-Claude avait toutes les cartes en main pour envisager une brillante carrière dans les sciences... Mais le destin ne tient pas toujours ses promesses. Les années ont passé, divorcé, seul, le voici doyen des profs de maths dans un collège du bassin d'Arcachon. Un travail honorable, certes, mais une vie sans relief ni surprise. Alors, quand il apprend qu'un milliardaire féru de sciences offre un million de dollars à qui résoudra l'une des sept énigmes mathématiques du millénaire, ses ambitions renaissent. Il relève le défi et s'adjoint - non sans arrière-pensées - les services de la pétillante Anne Bastier, agrégée de maths tout juste nommée dans l'établissement. En rallumant ainsi les flammes, Jean-Claude croit reprendre les rênes de sa destinée... quand soudain, son monde s'écroule. Le chaos... Mais peut-être était-ce ce qui manquait à son existence... Ce thriller impossible à lâcher, offre au lecteur un voyage sans retour au coeur des mystères de ce monde, encore irrésolus à ce jour.

10/2023

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Psychologie, psychanalyse

L'homme qui entendait des voix

"Et il y avait ces lumières, criardes, violentes, ces couleurs vives comme sous l'effet d'une drogue puissante. Epuisé et ravi, je me laissais aller à des rêves faits en plein jour, parfois, j'avais l'impression de voyager dans le temps, et observais chaque époque au coin d'une rue, mes ancêtres traverser les passages pour piétons, et aussi des petits êtres qui apparaissaient et disparaissaient en un quart de seconde. Les odeurs nauséabondes me poursuivaient également, là, où elles n'avaient pas lieu d'être. Et enfin les voix, Elie, Elie, Elie qu'elles disaient, pas méprisantes, pas ordurières, juste entêtantes, insectes de l'aube et du crépuscule, à certaines heures, mais toujours de courte durée." (Extrait)

04/2019

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Livres 3 ans et +

L'homme qui plantait des arbres

C'est ainsi qu'apparaît pour la première fois l'homme qui plantait des arbres, le héros au caractère inoubliable de Giono. Joëlle Jolivet, en linogravure et en relief, interprète lumineusement ce chef-d'oeuvre pour les générations d'aujourd'hui.

02/2015

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Contes et nouvelles

L'homme qui plantait des arbres

Ecrite en 1953 par Giono "pour faire aimer les arbres", cette nouvelle raconte l'histoire d'un berger solitaire, Elzéard Bouffier, qui rend vie à sa région aride et désertique, la Haute Provence en y plantant des milliers arbres. C'est une véritable foret qu'il parvient à créer. Athlète de Dieu, ainsi que le narrateur le désigne, cet homme redonne du sens à sa vie après la mort de sa femme et son fils en transformant son environnement.

10/2023

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12 ans et +

L'homme qui voulait rentrer chez lui

Jeff et son frère Norbert ont trouvé un fugitif dans la cave de leur immeuble. Est-ce un migrant ? Un criminel en cavale ? Un malade mental ? Impossible à dire. L'homme est étrange, il a la peau trop blanche, les yeux sans pupilles, et il ne s'exprime qu'en faisant claquet sa langue. Il semble traqué; mais il refuse de s'éloigner de la tour où habitent les deux frères. Comment vont-ils le cacher alors que l'immeuble, voué à la démolition, sera détruit dans quelques semaines ?

01/2019

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Littérature française

L'homme qui plantait des arbres. Edition bilingue français-créole

Jean Giono avait voulu laisser à la réflexion du plus grand nombre L'homme qui plantait des arbres, fabuleux récit de vie et parabole écologique de portée universelle. Les éditions Exbrayat sont fidèles à ce voeu en offrant ici aux lecteurs créolophones et francophones ce texte proprement extraordinaire. Térèz Léotin, déjà traductrice de quelques grands classiques (Molière, La Fontaine, Montesquieu, Goldoni, Lewis Caroll, Frantz Fanon...) prend en charge avec talent la version créole de cette fable philosophique aux accents bibliques, retrouver le Paradis perdu. "Té, bwa, dlo " (la terre, les arbres, l'eau) : c'est un slogan écologique antillais et le titre d'un chant de bèlè. Il souligne le lien essentiel entre notre humanité et ces trois éléments ! Oui, il faut lire et méditer l'histoire de ce vieil homme qui plantait, dans les deux versions, créole et française ici proposées. Georges-Henri Léotin

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Comics Super-héros

Joe Fixit. Ce qui se passe à Vegas...

Au diable les pantalons déchirés et les "Hulk écrase" ! Bruce Banner et son alter ego ont un temps adopté l'apparence de Joe Fixit, un Hulk gris aux costumes élégants et aux méthodes mafieuses. Joe fait beaucoup de bruit depuis son arrivée à Las Vegas, mais le Caïd n'a pas l'intention de tolérer sa présence longtemps. Spider-Man pourra-t-il y faire quelque chose ? Après les différentes séries consacrées au Maestro, la version despotique de Hulk, Peter David revisite une autre période de son long séjour sur la série du Géant Vert, celle où Hulk était gris et portait des costards-cravates dans les casinos de Vegas ! Pour illustrer cette nouvelle saga : Yildiray Cinar, le dessinateur de 100% MARVEL : THE MARVELS.

11/2023

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Littérature française

Vertiges

Qu'il s'agisse d'un frigo qui a survécu avec son secret dans un appartement déserté, d'un divan de psychanalyste d'où surgit la voix d'une pati ente d'un autre temps, ou d'une médium aux bras tentaculaires, l'auteure, à travers ces nouvelles, nous entraîne dans un monde onirique. Le familier y devient étrange au détour d'une situation ou d'une rencontre. Hallucinations, prophéties, rêves... A l'occasion d'un événement, il arrive que la réalité prenne la tangente. Cinq histoires courtes qui nous évoquent ces "passages" entre modification de la perception et univers fantasmagoriques.

05/2020

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Littérature française

Vertiges

Au seuil d'une séparation qu'il sait de plus en plus inévitable, Augustin observe la femme qu'il aime et avec laquelle il pensait avoir définitivement reconstruit sa vie. Meurtri, déchiré, il est néanmoins tendu par ce désir plus fort que lui de comprendre, et ne peut détacher son esprit des images qu'il convoque pour tenter d'analyser les raisons d'une telle délitescence. Au visage d'Esther se substitue bientôt celui de Cécile, la première femme avec laquelle il a vécu, premier amour fracassé lui aussi, au terme de longues années de vie commune. Tandis qu'il s'interroge sur la répétition de ces échecs amoureux, les souvenirs d'enfance remontent à la surface, toujours obsédants. Rejeté par sa mère dès son plus jeune âge, il se demande de quelle façon répondre à l'attente et au désir des femmes qu'il rencontre ; comment parvenir à fonder une famille quand la sienne, enfant, n'a cessé de se disloquer ; comment surmonter le vertige que provoque chez lui l'évocation du sentiment amoureux. Car le sujet est vaste et chaque question en appelle une autre, en forme de méditation profonde et douloureuse. Comment un être croisé par hasard peut-il provoquer chez soi une telle sidération ? Par quel miracle une attirance aussi violente s'avère-t-elle réciproque ? Comment ne pas être ébloui par le plaisir que se donnent deux corps qui s'offrent et qui s'accordent ? Comment réussir à maintenir pendant de longues années cette effervescence magnifique face aux contingences du quotidien ? Que sait-on de cet être dont on croit partager le plus secret de son existence ? Comment affronter ce gouffre qui s'ouvre sous vos pieds quand la confiance mutuelle paraît se fissurer ? À toutes ces questions dévastatrices, Lionel Duroy oppose son implacable obsession de trouver les mots pour le dire. Ecrire pour survivre. Ecrire pour vivre. "Tout ce qui ne tue pas rend plus fort", disait Niesztche, Lionel Duroy préfère penser que tout ce qui ne tue pas permet de vivre plus intensément. Depuis des années, livre après livre, Lionel Duroy tente de démêler l'imbroglio d'informations, de sensations, d'émotions qui construisent l'histoire d'une vie. Parfois très crûment, il creuse le sillon de la psychanalyse, l'applique à l'histoire d'un homme qui se bat contre lui-même et contre l'empreinte indélébile laissée par une enfance dénuée d'amour maternel. S'il est facile de retrouver les thèmes chers à l'auteur, tous les personnages ont ici changé de nom, de prénom, de décor et d'univers. Lionel Duroy renoue ainsi à la fois avec la veine autobiographique - par l'ampleur du projet qu'il poursuit -, mais aussi et surtout avec la veine purement romanesque alliée à ce style parfaitement maîtrisé qui est le sien.

08/2013

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Littérature française

Vertiges

« Elle sortit donc de voiture et sursauta à un grondement de tonnerre, elle attrapa sa poche de croissants et se dirigea vers la maison. Elle sonna... et tout se précipita... Elle eut à peine le temps de percevoir une voix féminine provenant de l'intérieur que la porte s'ouvrit... Et, là, elle vit l'objet de ses rêves, effectivement dévêtu, mais avec un regard glacial ! Il n'eut pas un mot, referma aussitôt la porte avec une violence inouïe. À cet instant même, une pluie torrentielle s'abattit sur elle. » De rêves en désillusions, de passions en trahisons, d'attentes en regrets, les nouvelles composées par B. Naos voient tomber sur elles un voile de désenchantement. Des textes où l'écrivain, à l'écoute des cœurs torturés de ses personnages, semble comme sonder les doutes, les tremblements intérieurs, la culpabilité et l'inconstance de toute l'âme humaine, moins pour la juger que pour en saisir l'inhérente faiblesse... En cela, il y a comme une profonde compassion à l'origine de ces récits qui disent la fragilité de notre condition.

01/2015

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Théâtre

Vertiges

Vertiges ne propose aucune fable, aucune narration autre que celle de l'apparition-disparition. Voici ce qu'en écrit Patrick Kermann en décembre 1999 : "Ce qui m'intéresse dans ce projet ? Trouver des formes minimales et fortes et des langues différentes qui reflètent avec humour ou dérision notre monde en pleine déréliction, varier le jeu des langues cassées, brisées, réduites, jouer sur la peur de l'autre ou la jubilation du dire. Soit des formes légères et graves pour dire la catastrophe de notre monde". Vertiges pose une question, toujours particulièrement vive, et qui irrigue l'écriture de Patrick Kermann : où se tenir quand le monde, la langue sont devenus inhabitables ? Outre le texte d'origine, inédit, de Patrick Kermann, ce livre comprend l'adaptation scénique écrite par Christine Dormoy, en étroite collaboration avec lui, en vue de la création sous forme d'opéra. Dans cette création, le quatuor lyrique incarne la voix de la cité moderne, c'est-à-dire le monolinguisme consensuel qui en même temps ne parvient pas à parler d'une seule voix. Les autres personnages, clowns-acteurs-chanteurs-instrumentistes, ressassent la détresse et la peur d'être au monde : ce sont des monomaniaques surgis au bord de l'abîme.

11/2017

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Poches Littérature internation

Vertiges

Sur les traces de Stendhal, Kafka, Casanova, dans un vertigineux jeu de pistes et de doubles qui le mène à travers l'Italie et dans l'Allemagne de son enfance, W. G. Sebald découvre les racines et les parentés de sa propre mélancolie. En un "voyage" qui marie imagination et érudition, faits divers et souvenirs, texte et photographies, il met en scène la capacité de l'esprit à ressusciter une réalité enfouie, ensevelie - celle que le temps a recouverte, mais à laquelle l'acte d'écrire peut donner accès : encore faut-il s'abandonner à tel vertige... Ainsi se dresse comme "en passant" un tableau de la destruction de la vie par la civilisation : obsédante perception qui accompagne le mélancolique dans son inguérissable empathie, sur le chemin de son art.

09/2012

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Théâtre

Vertiges

Quand Nadir retourne auprès de sa famille après des années d'absence, il plonge dans un univers chaotique. La cité qui l'a vu grandir s'est dégradée, abîmée par la paupérisation, le chômage et l'immobilisme. Il faudra dépasser les tourments pour enfin renforcer les liens de la tribu. Une réflexion sur le destin d'une famille devenue française pour des raisons oubliées.

01/2017

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Littérature française

Vertiges

Ils sont huit. Huit personnages engagés dans un chassé-croisé qui aura pour théâtre Moncton, Montréal, New York ou Santa Fe. Parmi eux, Hope Fontaine, jeune femme sans attaches qui porte paresseusement sa quête : sa mère, férue d'astrologie, l'a en effet convaincue de partir à la recherche d'un poète acadien dont elle a trouvé le recueil dans le désert du Nouveau-Mexique. "C'est l'homme de ta vie", croit-elle. Un attentat dans une gare parisienne, un vieil homme qui retrouve le guerrier en lui, des artistes qui effacent et refont le monde, et puis l'amour, sous des formes parfois étonnantes... Il y a tout ça dans Vertiges, un roman dont le dénouement ne laissera personne indemne.

03/2021

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Humour

Antivol, l'oiseau qui a le vertige

Quand le père d'Antivol a appris que son fils avait le vertige, il a simplement dit " C'est pas de pot pour un oiseau ". Au lieu de se laisser abattre par ce manque de pot, avec un courage qui force l'admiration, Antivol, l'oiseau qui a le vertige, a décidé de surmonter son handicap.

11/2003