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Brassens. J'aurais pu virer malhonnête

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Chanson française

Brassens. J'aurais pu virer malhonnête

A l'occasion du centenaire de la naissance de Georges Brassens, le Sétois Bernard Lonjon nous invite à la découverte de la jeunesse tumultueuse de l'artiste. Entré en chanson par effraction, Brassens a montré les angoisses des hommes et leur cruauté tout en dénonçant leurs bêtises. Des bêtises ? Lui aussi en a commis dans sa jeunesse. Ce livre révèle, grâce à des documents inédits, les dessous de l'affaire des vols de bijoux, à Sète, en 1938 et 1939. Déroulé des arrestations, interrogatoires au commissariat et minutes du procès viennent appuyer les faits. Et montrent que le jeune Brassens, entraîné par sa bande de copains, y a pris une large part. Et ce pour notre plus grand bonheur car ces événements sont devenus fondateurs de l'oeuvre du barde sétois. Sans eux, pas de " mauvaise herbe ", de " mauvaise réputation ", de " Je suis un voyou ". Il l'a souvent dit : " Si je n'étais pas chanteur, c'est voleur que j'aurais été. Pas un escroc ni un assassin. Je ne me vois pas en train de buter un mec, non ; mais voleur oui, piquer du fric... Ca doit être bath. " Un livre qui vient conforter notre vision de l'esprit libertaire de Brassens.

10/2021

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Littérature française

Coups - Polar malhonnête

- On va faire une autopsie. - Donc nous serons fixés dans quelques jours, répondit l'étudiant. - Impossible de perdre tout ce temps ! Les indices vont disparaître, les criminels vont filer, le cas sera déclaré clos et la police encore une fois traitée d'incompétente" . Pablo Gomez se leva, son visage était devenu très rouge, une mèche lui barrait le front et descendait jusqu'à la pointe du nez. Ses yeux diffusaient une force intérieure insoupçonnée. "C'est de l'inconscience, du sabotage, de la trahison ! Non, cette fois ça ne se passera pas ainsi. Il y a doute, et plus que doute, soupçon ! Il faut agir, agir vous m'entendez" . Il criait. "Et vous allez m'aider. Tout de suite d'ailleurs ! On y va. Là ! Maintenant ! L'enquête commence". Au début des années 1990, dans le Quartier Latin, un septuagénaire meurt dans son lit. Chargé de constater le décès, le policier Pablo Gomez se persuade qu'il s'agit d'un meurtre. Il convainc un jeune étudiant, voisin et ami de la victime, de l'aider. Le passé politique du défunt, les confidences de la concierge, le comportement d'une vieille voisine, la présence dans l'immeuble d'un homme de pouvoir, les promesses d'un éditeur et divers indices troublants donnent corps à une enquête que les deux hommes peineront bientôt à maîtriser, ballotés entre histoire, politique, amour et raison d'état.

10/2019

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Chanson française

Brassens par Brassens

Et si Georges Brassens avait été un autre ? Un autre que celui que nous ont raconté les légendes et les idées reçues... De fait, il n'a jamais été bougon ni bourru, jamais taiseux ni primaire, jamais sinistre ni distant. A l'image de ses chansons, loin de tous les clichés réducteurs, l'homme était d'une facture riche et singulière : timide et joyeux drille à la fois, attentif et insolent, curieux de tout et de tous, tranquille et frondeur, tendre et cinglant, fin et moqueur, ouvert et sceptique, chaleureux et railleur. Bref, tout sauf lisse, mais toujours de bon commerce. En réunissant en un volume trente ans de "libres propos" de l'auteur de Saturne et de la Supplique pour être enterré à la plage de Sète, Loïc Rochard offre à Brassens la possibilité de livrer, à titre posthume, son "autoportrait", voire de se mettre à nu. Authentique, sincère, indissociable de son oeuvre, voici que se révèle enfin sous toutes ses facettes le véritable Brassens "peint par lui-même" : en jeune "chahuteur sournois", en chanteur mal à l'aise, en amoureux antiromantique, en acharné de la musique, en contrebandier du langage, en homme de partis pris et de tolérance en même temps, en adversaire tranquille de l'ordre établi, en libertaire généreux, en moraliste "solitaire mais solidaire", en désespéré jovial, en rabelaisien pour toujours. "La voix de ce gars est une chose rare", disait René Fallet. On peut le vérifier de la première à la dernière ligne de Brassens par Brassens.

04/2021

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Non classé

J'aurais pu mourir au Bataclan

Ce vendredi 15 Novembre 2015, Victor, son épouse et leur petite fille décident d'aller manger dans une pizzéria, à l'extérieur. Famille qui a tout pour être heureux avec des projets communs. L'un des terroristes abat froidement son épouse et sa petite fille. Désormais, Victor, catholique pratiquant, aidé de son ami, le Père Julien qui les a jadis unis, va tenter de pardonner et de ne pas céder à l'amalgame. Y parviendra-t-il ? Ou le désir de vengeance sera-t-il le plus fort ?

07/2019

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Chanson française

Brassens

Toutes les chansons écrites et enregistrées par Georges Brassens, illustrées avec humour et sagacité par Joann Sfar. Tous les accords des 121 chansons, pour ceux qui veulent chanter Brassens en s’accompagnant à la guitare.

03/2011

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Musique, danse

Brassens ?

D'où vient Brassens ? Quelles sont ses sources ? Comment ses chansons sont-elles écrites ? Quelle est la morale de Brassens ? Est-il vraiment de gauche ? Est-il vraiment si antireligieux ? Brassens est-il devenu un artiste officiel ? Cela fait belle lurette que l'on ne se pose plus de questions sur Georges Brassens, tant on s'est habitué au mythe du brave tonton libertaire et paillard, bouffeur de curés et pourfendeur d'hypocrites. Il était temps de réexaminer l'oeuvre du bon maître, même si cela contredit parfois le discours habituel des brassensologues.

02/2011

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Littérature française

J'aurais aimé...

Reconnu coupable du meurtre de sa mère naturelle, Olivier, diagnostiqué schizophrène, se retrouve incarcéré à nouveau avec obligations de soins. Malgré la vigilance du personnel pénitentiaire, son parcours carcéral ne se déroulera pas comme son médecin psychiatre l'avait préconisé. Sa maladie va le rattraper ainsi que son passé et lui mettre sur la route toutes les chances de s'en sortir mais le voudra-t il ? Dans cette suite de VOLEUR DE POULES, retrouvez Olivier, Philippe, Simone et surtout Aurélie qui vous dira ce qu'elle aurait aimé...

11/2019

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Ecole des loisirs

J'aurais voulu

Je ne veux plus être un écureuil ! Si on m'avait demandé mon avis, j'aurais choisi autre chose. J'aurais choisi d'être un castor. Pour bâtir un monde meilleur ! Mais en réalité, c'est quand même fatiguant la vie de castor, et de toute façon, j'ai toujours rêvé d'être un cerf. Pourtant là encore, j'espérais beaucoup mieux. Ou alors... un hibou ? un hérisson ? Ah non, je sais ! Et vous, le savez-vous ?

09/2021

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Littérature française

J'aurais dû épouser Marcel

Françoise Xenakis est née en 1930 en Sologne, la sombre Sologne des étangs, des brouillards et des jeteuses de sorts. Le temps venu, elle est allée fouiller dans ses éclats de souvenirs et raconte ces étranges femmes que l'on appelait dans son village les "veuves blanches ". C'étaient, pour la plupart, d'anciennes gamines de l'Assistance publique, débarquées un beau jour d'un car bringuebalant et placées dans les fermes. Les gars, eux, devenaient charretiers, les filles vachères, et, aussi perdus les uns que les autres, ils se mettaient le plus souvent à la colle". En 1914, les garçons furent mobilisés et il n'en revint pratiquement pas. On ne les déclara même pas morts au champ d'honneur, mais disparus. Que faire de ces jeunes femmes seules au village? On les logea dans un minuscule lotissement bâti pour l'occasion et la République leur octroya une modeste pension. En échange de quoi, une loi non dite exigeait d'elles une chasteté absolue, l'entretien de l'église et des tombes à l'abandon. Ces vieilles filles ne cessèrent de fantasmer sur le retour de leur homme. On retrouve dans ces histoires la truculence, la drôlerie, le culot de Françoise Xenakis, et son immense tendresse pour les perdants.

11/2009

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Littérature serbo-croate et sl

Le matin où j'aurais dû mourir

Semezdin Mehmedinovic a la stature d'un écrivain classique moderne. Sa perception du langage est si fine et si puissante que la moindre de ses observations est une odyssée au coeur du genre humain. Mehmed aurait dû mourir à cinquante ans d'une crise cardiaque. Grâce à sa femme, Sanja, les secours arrivent à temps. Il devra cependant suivre un traitement qui pourrait altérer sa mémoire. Lui qui un jour a dû fuir son pays et y laisser une partie de son passé ne peut supporter cette idée. Il décide de se rendre avec son fils à Phoenix, Arizona, la ville où ils se sont réfugiés vingt ans plus tôt afin d'y consigner ensemble leurs souvenirs. Dans ce texte inspiré par la vie de l'auteur, la guerre, l'exil et la maladie malmènent des personnages inoubliables que l'amour et l'art sauvent à jamais du désastre.

04/2022

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Littérature française

J'aurais préféré mourir

Rose est une jeune femme qui se retrouve enfermée dans une cellule. Afin de pouvoir s'évader, elle flotte dans ses pensées, des plus douces aux plus douloureuses...

10/2018

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Littérature française

J'aurais travaillé ? Moi ?

Travailler. (Insulte pour un Marseillais). Issu du latin populaire tripaliare, il signifie "tourmenter, torturer avec le trepalium". En catholicie, au Moyen Age, expier le péché originel. Je ne trouve aucune définition qui me convienne pour ce mot. J'y associe les notions de contrainte, pénibilité, obligation. Trois notions que je perçois incompatibles avec vivre, s'épanouir, être heureux. Vous pouvez donc bien penser que, en plein accord avec mes origines, je me suis efforcé de le fuir et pense y avoir assez bien réussi. Je vous souhaite la même chance.

02/2022

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Littérature française

J'aurais tant voulu

Ce Finlandais et ce Français, qui n'auraient jamais dû se rencontrer, sont réunis par les aléas de l'Histoire. C'est l'aventure d'un homme vivant, que tout le monde croit mort, qui échange sa vie pour celle d'un homme mort, que tout le monde imagine vivant. C'est l'histoire d'une femme qui perd son mari et le retrouve, sans qu'il s'agisse du même homme. Cette mystification naît de la volonté d'une Suédoise qui place son avenir entre les mains d'un étrange inconnu. Cette rencontre inattendue, insérée dans une situation historique réelle, comporte une part de vérité. On ne peut pas tout inventer. Des neiges de la Finlande à la France méditerranéenne, chaque personnage raconte dans ce récit chronologique les événements tels qu'il les a vécus. Dès le début se pose un mystère, d'autres surgiront dans ces destins croisés, jusqu'à ce qu'à la fin, tout s'éclaire.

11/2015

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Littérature française

J'aurais tant aimé...

Une silhouette marche, s'anime devant vous. Soudain, elle disparaît, happée par une porte cochère. Quelle tragédie se joue dans le secret de ce somptueux immeuble ?... Votre regard innocent se pose sur une fenêtre qui vient de s'éclairer, derrière laquelle un homme vit un enfer, maltraité par la femme qui partage son existence. Le rideau tombe sur un drame qui se joue à guichet fermé... De sa plume acérée, Joëlle Ortega-Valverde signe ici un roman noir dans lequel l'atmosphère angoissante se distille tout au long des pages, se mêlant à l'apparente banalité d'un quotidien. Un livre très touchant, retraçant la dure réalité d'un quotidien qui reste encore tabou...

04/2015

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Littérature étrangère

J'aurais dû rester chez nous

Parce qu'il a obtenu quelque succès dans un petit théâtre de province, Ralph vient à Hollywood tenter sa chance au cinéma. Avec, naturellement, le désir de devenir très vite une grande vedette. Une jeune fille, Mona, partage son sort et son espoir. Mais les jours, les semaines, les mois passent, et tous deux attendent, attendent en vain. Mona comprend rapidement qu'ils n'arriveront jamais à rien, mais Ralph s'entête dans son illusion. Il ne peut s'arracher à son obsession et ne songe même pas qu'il aime Mona et qu'il pourrait être heureux avec elle. Une femme milliardaire, excentrique, nymphomane, et d'un âge canonique, le rencontre, l'attire en lui promettant de l'aider, de le protéger, et veut l'entretenir. Il se défend assez mal, accepte pour se reprendre à demi, et blesse ainsi profondément Mona qui, découragée, finit par épouser un simple fermier de l'ouest, abandonnant Ralph à Hollywood, «ville moche, pleine de boutiques moches et de gens moches».

01/1980

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Littérature française (poches)

J'aurais dû apporter des fleurs

"N'apporte rien, Gérault, on a tout !". Toujours cette générosité qui écrase. Mieux vaut des mains vides et l'honneur sauf, qu'un "oh, mais fallait pas" qui accable". Gérault tente d'offrir une image idéale de lui-même, mais quand on est seul, au chômage à cinquante ans, ce n'est pas chose facile. Homme empêché, il s'interdit de dire ce qu'il pense et retient en lui sa colère, sa violence. Sa voix intérieure prendra-t-elle peu à peu le dessus ?

06/2016

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Littérature française

J'aurais dû l'aimer davantage

Diana, au crépuscule de sa vie, exprime une dernière volonté à son fils Jean ; enquêter sur l'enfance de son défunt mari, Joseph, abandonné à la naissance dans les années 1930, en pays nantais. Diana, seule, connaît le secret qui se cache derrière cette mission. Jean hésite, mais doit continuer à jouer le rôle du bon fils. Il se lance avec appréhension dans une enquête à l'issue improbable, découvrant la destinée d'un pupille de l'état, ses souffrances, l'injustice réservée à ces enfants, une existence toute entière à rechercher l'illusoire mirage de l'amour maternel. Pour adoucir sa solitude, sa tristesse et ses pleurs, Joseph développe une passion pour les mots. A petit pas, Jean découvre un père qui ne lui avait pas tout dit. De remords en regrets, il ne peut qu'éprouver la culpabilité de ne pas avoir su l'aimer davantage.

02/2019

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Contes et nouvelles

J'aurais dû mettre des chaussettes

Depuis quelque temps, Lucy se sent différente : elle devient de plus en plus fatiguée et éprouve des difficultés de concentration. Adolescente sans histoire et bonne élève, ses nuits sont peuplées de cauchemars récurrents : de l'eau, une femme qui crie et une chute interminable vers le fond des océans. Où trouver de l'aide ? A qui se confier ? Parviendra-t-elle à comprendre ce qui lui arrive ?

11/2022

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Musique, danse

J'aurais pu être la marquise des anges

Née dans une famille pauvre mais digne, Annie Philippe rêve d'être une étoile. De même que le vrai est souvent invraisemblable, l'improbable advient : elle obtient des figurations à la Maison de la radio puis devient l'une des premières femmes disc-jockey. De là, tout s'enchaîne, un premier disque à dix-huit ans, suivi d'un deuxième – Ticket de quai – qui cartonne à un million d'exemplaires, l'ivresse de la scène, la vie de palace, l'amour romantique avec Claude François, la passion pour Jean Yanne, le mariage avec le truand René Juillet – exécuté par le milieu en 1980 –, son amitié amoureuse avec Laurent Fignon, sa longue relation avec Frank Alamo ; elle vit les aventures les plus incroyables, se remarie avec le directeur sportif Cyrille Guimard, retourne sur scène dans la Tournée des idoles... Cette vie-là est comme celle de la marquise des Anges : d'une campagne profonde à la cour du roi, et de la cour des miracles aux harems du sultan, on ne peut la résumer, il faut la lire pour y croire.

04/2017

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Chanson française

Brassens me disait...

En vingt ans de complicité, Mario Poletti a appris à connaître un Georges Brassens simple et insolite, timide et réservé malgré sa notoriété, débordant de savoir, d'humour et de générosité. Entre les pages de ce livre, se révèle l'homme dans sa vie privée, proche de ses amis, du plus célèbre au plus humble. Mario aidait Brassens à gérer son quotidien et partageait avec lui le même goût pour la littérature et la découverte des auteurs et poètes. Cette nouvelle édition reprend anecdotes savoureuses, manuscrits et brouillons inédits, ainsi qu'un grand nombre de photographies, de la naissance à la disparition du plus littéraire des chanteurs français.

10/2021

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Chanson française

Brassens. Liberté, libertés

Des universitaires montrent que Brassens est l'homme de toutes les libertés. Liberté de pensée, de parole, de ton. Des libertés amoureuses aussi... . Ils analysent aussi les libertés que prennent avec lui d'autres artistes par leurs reprises et leurs traductions. Brassens est l'homme de toutes les libertés. Liberté de pensée, liberté de parole, liberté de vie. Sans tapage, mais avec des mots directs, il dit ce qu'il pense et vit ce qu'il veut. Il chante aussi bien la liberté que les libertés qu'on prend avec la morale admise. En rupture avec les "braves gens" quand ils représentent un système de valeurs figées, il se sent pourtant libre d'affirmer ses propres valeurs : amitié, affection pour les humbles, libre-pensée, amour hors mariage. Car Brassens chante également les libertés amoureuses. Qu'elle est variée, la palette des amours brassensiennes... Des privautés à l'amour libre, du libertinage sans illusion au grand amour sans codes. Un collectif d'auteurs propose ici une analyse des terrains où la liberté de Brassens s'exprime : ton inédit, provocations débonnaires, registres de la langue, génie musical souvent mal entendu, sexualité sans ambages, et - raffinement suprême - liberté de choisir ses propres contraintes dans une prosodie rigoureuse et pourtant souple, et une genèse textuelle qui cristallise lentement. A ces libertés, d'autres artistes répondent, en adoptant Brassens et en l'adaptant : que ce soient les traducteurs ou les autres musiciens qui reprennent son répertoire, ils s'emparent respectueusement mais librement de ses musiques et de ses textes. En ressort la figure universelle d'un grand tolérant et d'un grand sceptique, libre d'aimer et de douter.

12/2023

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Littérature française

Enfants de Brassens

Comment oublier cette Margot qui dégrafait son corsage, ou cette belle toute nue dans la claire fontaine... ou encore l'Auvergnat avec ses quatre bouts de bois, ou l'oncle Archibald, ou la belle du soir d'orage... et tant d'autres, enfin, toujours vivants dans les arcanes de notre obstinée mémoire ? Leur créateur, quant à lui, nous a quittés depuis bien longtemps. Mais eux... eux... s'ils en venaient, une fois seulement, à nous apparaître tout de bon, tous ensemble... Par exemple pour un pèlerinage sur cette plage de la Corniche où ils croiraient tout de bon trouver une certaine butte surmontée d'un pin parasol ? Impossible ? Sans doute. Mais est-il pour autant interdit d'y croire un instant ? Pourquoi les enfants auraient-ils seuls droit aux contes ? Accueillons donc, hardiment, tous ces personnages. Il sera toujours assez tôt pour en répudier la réalité au nom de la pure raison.

07/2017

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Chanson française

Brassens et moi

Dialogues éclairants, anecdotes drôles ou émouvantes, connaissance encyclopédique de son répertoire, compréhension intime du génie du maître : Maxime Le Forestier nous conte pour la première fois sa relation avec Brassens alors que l'on célèbre le double anniversaire de sa naissance et de sa disparition.

03/2021

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Pédagogie

Journal d'une maman malhonnête et énervée

Dans un récit d'une mauvaise foi tout à fait assumée, l'auteur décrit avec beaucoup de finesse et d'autodérision son parcours de jeune maman à l'école primaire. Entre deux anecdotes tantôt mordantes tantôt tendres, elle prend le temps de dire tout haut les mille et une mesquineries qui hantent les pensées des parents d'élèves. Les enfants, les instituteurs, les directeurs, les parents, personne ne trouve grâce à ses yeux, pas même sa propre fille... Journal d'une maman d'élève malhonnête et énervée est un petit plaidoyer salutaire contre le triomphe du politiquement correct en milieu scolaire.

08/2009

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Littérature française

Parée à virer

"L'avion, en provenance de Paris, venait tout juste d'atterrir sur le tarmac de l'aéroport de Bangkok. Assise près d'un hublot, Claire tourna la tête, regarda furtivement vers l'extérieur et découvrit la même agitation que dans tous les aéroports Internationaux. Partie de Roissy-Charles de Gaulle depuis maintenant plus de dix heures, elle percevait la fatigue d'une nuit de somnolence et non de sommeil. Elle se redressa, s'étira, mais fut vite freinée par l'inconfort du fauteuil. Elle ne chercha nullement à calculer l'heure locale, mais se cala sans réfléchir, sur la grosse pendule qu'elle apercevait depuis son siège passager". Claire, à l'aube de la cinquantaine, plutôt renfermée depuis la mort accidentelle de son mari survenue cinq ans auparavant, se voit offrir par son fils une croisière sur un fleuve, en plein coeur de la Birmanie. Contrainte d'honorer ce cadeau, c'est avec anxiété et sans une certaine inquiétude qu'elle renoue avec les voyages et la vie en société. Arrivée en Asie du Sud-Est, une première épreuve va d'abord l'anéantir, mais bientôt lui redonner goût à la vie... et peut-être à l'amour. Au cours de cette croisière, elle va découvrir de magnifiques paysages, une culture bouddhiste omniprésente et lier de merveilleuses amitiés. Mais rien n'est simple et un rebondissement pourrait bien faire basculer sa vie. Aura-t-elle la force de surmonter cette terrible épreuve ? Pourra-t-elle lâcher prise ? Ira-t-elle jusqu'à faire confiance à François ? Sa vie d'après pourrait bien dépendre de tous ces éléments. Avec son nouveau roman, Martine Abgrall-Le Guennec conjugue avec brio voyage, aventure, romance et quête de bonheur. Après une carrière professionnelle d'une trentaine d'années, Martine Abgrall-Le Guennec décide de concrétiser un rêve et de donner un autre sens à sa vie. Un indicible sentiment enraciné depuis son adolescence la conduit à écrire, guidée par sa passion pour la littérature, la poésie et l'art. En mai 2019, elle publie un premier roman Bonjour bonheur aux Editions Amalthée. Portée par de nombreuses critiques positives, elle laisse dans ce nouvel opus "parler" son goût pour les voyages.

08/2021

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Humour

Paré à virer

Paré à virer est un livre qui rassemble à travers des dessins d'humour des anecdotes sur le monde de la voile et des voileux, petits et grands. De ses expériences à bord de voiliers de toutes sortes et de toutes tailles, de cabotages en eaux calmes ou transats sur des mers plus agitées, Laetitia Vassal a eu envie de raconter ce que sa place d'équipière, délestée des responsabilités de skipper, lui offrait à voir. Dans cet espace de liberté, telle la mouette rieuse qui survole nos embarcations, elle a pu observer ce qui se jouait à bord et raconter certaines agitations provenant de situations croquignolesques. Paré à virer invite les lecteurs à se laisser embarquer, quelle que soit la météo, en garantissant même aux néophytes, qu'ils n'auront pas le mal de mer.

03/2021

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Littérature française

J'aurais voulu être éditeur

Si l'auteur a eu besoin, pour son propos, de mettre en scène un explorateur ingénu de nos tribus éditoriales et littéraires, il n'est pas dans ses intentions d'user d'un anonymat de pacotille pour susciter on ne sait quel teasing de mauvais aloi et ne pas assumer la paternité de ce livre. Aussi signe-t-il : Claude Durand.

03/2010

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Poches Littérature internation

J'aurais voulu être égyptien

" Si je n'étais pas né égyptien, j'aurais voulu être égyptien ", la célèbre citation de Mustapha Kamel donne le ton de ce recueil : voici l'Egypte placée sous le feu d'un écrivain amoureux de son pays, qui, par le détour de la fiction, fait apparaître les turpitudes et les contradictions d'une société à la dérive. Interdit de publication par l'Office du livre pour cause d'insulte à l'Egypte, le premier de ces récits, "Celui qui s'est approché et qui a vu", donne précisément à voir un monde où règnent les faux-semblants et l'hypocrisie. Avec une implacable ironie, pour décrire des êtres prisonniers de l'obscurantisme et de l'arbitraire, l'auteur met en scène des personnages singuliers, dont la terrible humanité évoque l'univers d'un Dostoïevski à l'ombre des pyramides. Tendre, grinçant, truculent, ce recueil se voit pour sa publication en poche augmenté de sept nouvelles inédites.

03/2010

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BD tout public

J'aurais adoré être ethnologue...

... j'aurais étudié la symbolique de la chaussure à talon chez les pygmées, observé la fréquence d'épilation des femmes en Amazonie, établi une typologie du bébé morue dans les sociétés inuit, j'aurais même probablement appris à construire une pirogue avec une bretelle de soutif et une tong, et pris des cuites à l'alcool de manioc. La vie aurait été une course folle, une nuit d'ivresse interminable, un vaste champ de possibles ! Mais je suis une grosse feignasse, je vomis quand je suis soûle et j'ai peur des guêpes. Et puis, de toute façon, tout ce que je sais faire, c'est dessiner...

05/2009

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Sciences politiques

J'aurais voulu être français

Au départ de ce livre, une indignation. Quand, en 2015, les réfugiés du Proche-Orient se sont présentés aux portes de l'Europe, nous avons entendu pour ne pas les accueillir les mêmes arguments que ceux qui furent opposés en son temps au propre père de l'auteur. Guy Sorman se livre ici à un exercice inédit : le tressage serré de l'autobiographie et de l'essai. Fils d'un loueur de chevaux de Varsovie, son père a fui la Pologne en 1916 pour échapper à l'enrôlement dans l'armée russe, puis l'Allemagne en 1933 pour échapper aux hordes nazies, puis Paris en 1940 pour échapper aux Allemands, puis le Lot-et-Garonne en 1942 pour échapper aux gendarmes français : une vie dans le siècle, pourchassé par les séides de Lénine, Hitler et Pétain, à courir plus vite que les idéologies totalitaires. Le fils Guy aussi, à sa manière, rencontre la grande histoire : son cousin Herschel Grunspan (Grynspan) a tué Ernst Von Rath, secrétaire de l'Ambassadeur d'Allemagne à Paris, servant de prétexte au déclenchement le lendemain de la Nuit de Cristal. Il passe son adolescence à Sartrouville où opère le bon docteur Destouches, alias Louis-Ferdinand Céline ? Le " N " de trop du patronyme Sormann (décret de naturalisation de ses parents en 1947) va-t-il le poursuivre toute son existence, rappelant une Odyssée commencée en 1492, passant par Istanbul, Varsovie, Berlin, Paris, New York ? Ce père voulut être américain mais n'y parvint pas. Le fils, lassé de n'être que français, ou plutôt de découvrir à 46 ans qu'il était demeuré apatride aux yeux de la loi française (pas recensé en 1947, tous ses efforts pour " faire un bon français " : études brillantes, ENA, Légion d'honneur, élu local, épouse et enfants catholiques, cabinet d'Alain Juppé, initiation à la franc-maçonnerie, échoueront devant un fonctionnaire de police de Boulogne-Billancourt au moment de renouveler sa carte d'identité) a opté pour la double nationalité. Il raconte ici avec entrain et cocasserie les épisodes les plus marquants d'une vie à cheval entre deux nations : le plus américain des français et le plus français des américains n'est-il pas le mieux placé pour décrire de l'intérieur ce qui distingue profondément ces deux pays aux prétentions universelles ? Pas seulement la nature de leur vision du capitalisme, mais plus profondément, leurs relations respectives au corps, à l'espace, à la religion, à la charité, à autrui, à la vérité, à la transcendance... Et à l'ego : ses portraits sans concession des grands de ce monde en " pompeux cornichons " réjouiront tous les lecteurs !

10/2016