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Penser d'un dehors (la Chine). Entretiens d'Extrême-Occident

Extraits

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Littérature française

Enfermé dehors [EDITION EN GROS CARACTERES

" Enfermé dehors " est une série qui pose sur la jeunesse un regard intime et pacifié. Influencée autant par les courants humanistes que par la mode, l'acte photographique me permet de développer un style où se mélangent " street culture ", mode et vie de tous les jours. Je puise mon inspiration dans les cultures que je côtoie, les amis avec qui j'ai grandi et surtout dans la rue. J'aime parler de personnalités qui me touchent. J'aime apprendre et interroger la difficulté du " vivre ensemble ".

11/2017

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Beaux arts

Catalogue d'objets d'art et de curiosité, porcelaines de Chine et du Japon. bronzes de l'Extrême-Orient, meubles

Catalogue d'objets d'art et de curiosité, porcelaines de la Chine et du Japon, bronzes de l'Extrême-Orient, meubles... / [expert] Charles Mannheim Date de l'édition originale : 1891 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

12/2020

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Autres médecines douces

Jeune extrême. Une traversée initiatique

Journal d'un jeûne Quête spirituelle Effectuant sa retraite annuelle dans la grange familiale et ne voulant plus remettre à plus tard cette expérience intérieure, Wassa Paôle entame comme une évidence ce processus du jeune extême en débutant par une diète progressive de 16 jours. Ce texte se lit comme un journal. A chaque jour, l'auteur nous fait part de ses ressentis tant au niveau mental qu'émotionnel mais surtout sur sa quête spirituelle. Cette démarche initiatique est une ouverture sur la conscience qu'il nous faut avoir de nos peurs et de nos ténèbres intérieures avant de pouvoir les affronter et finalement les vaincre.

03/2022

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Policiers

Extrême limite. Fric en vrac

"La figure de Rico avait été emportée. Une orbite était fendue jusqu'à l'oreille et des débris de cervelle et de sang traçaient un cercle sur le coin du dessus-de-lit minable." Carr vient de perdre un de ses agents qui essayait de prendre en flagrant délit un trafiquant de faux dollars. Rico était un des meilleurs. Carr n'a plus le choix, il aura la peau du tueur...

04/1994

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Récits de voyage

L'empire chinois. Souvenirs d'un voyage en Chine Tome 2

Faisant suite à son "Voyage dans la Tartarie et le Thibet", "l'Empire chinois" relate les aventures du père Huc dans son périple de retour - sous escorte armée - à travers la Chine du milieu du XIXe siècle. Dans un style volontiers alerte et minutieux, le père Huc nous dépeint les contrées qu'il traverse, les moeurs et les coutumes de leurs habitants, la vie quotidienne des Chinois de toutes conditions... Toujours précis, parfois prémonitoire dans ses commentaires, cet ouvrage, "bestseller" au XIXe siècle, reste un des récits de voyage sur l'Extrême-Orient parmi les plus captivants qui soient, avec le " 16. 000 lieues à travers l'Asie & l'Océanie " d'Henry Russell-Killough.

05/2018

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Récits de voyage

L'Empire chinois. Souvenirs d'un voyage en Chine Tome 1

Faisant suite à son "Voyage dans la Tartarie et le Thibet", "l'Empire chinois" relate les aventures du père Huc dans son périple de retour sous escorte armée à travers la Chine du milieu du XIXe siècle. Dans un style volontiers alerte et minutieux, le père Huc nous dépeint les contrées qu'il traverse, les moeurs et les coutumes de leurs habitants, la vie quotidienne des Chinois de toutes conditions... Toujours précis, parfois prémonitoire dans ses commentaires, cet ouvrage, "bestseller" au XIXe siècle, reste un des récits de voyage sur l'Extrême-Orient parmi les plus captivants qui soient, avec le "16 000 lieues à travers l'Asie & l'Océanie" d'Henry Russell-Killough.

10/2016

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Philosophie

Principes d'une pensée critique

De Réflexions sur la question gay à Retour à Reims et à La Société comme verdict, Didier Eribon a placé au centre de son oeuvre plusieurs thèmes essentiels : la formation du sujet, l’inconscient et l’auto-analyse ; le système scolaire, les classes et les identités sociales ; les catégories de la politique et les mouvements sociaux ; la tradition critique... Les essais qui composent ce volume explicitent et systématisent le projet situé au fondement de ces investigations : celui d’élaborer une théorie radicalement historique et sociale des subjectivités individuelles et des groupes, de la logique de la domination et de la résistance. Mêlant références théoriques et littéraires, cet ouvrage affronte et déploie toutes les implications d’une pensée réellement sociologique et politique. Il renouvelle ainsi la réflexion sur un ensemble de questions qui sont au coeur du débat à l’échelle internationale et se proposant de définir les conditions d’une pensée critique. Didier Eribon est philosophe et sociologue, professeur à l’université d’Amiens. Il est l’auteur de nombreux livres, parmi lesquels Réflexions sur la question gay (Fayard, 1999), Une morale du minoritaire (Fayard, 2001), Retour à Reims (Fayard, 2009) et La Société comme verdict (Fayard, 2013).

05/2016

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Ethnologie

L'Orient en Occident

L'Occident a longtemps perçu l'Orient comme un monde " statique " et " rétrograde ", un univers aux institutions archaïques, incapable de modernité. Telles furent les conceptions de Marx, de Weber, à l'âge d'or du capitalisme. Ces idées furent propagées par les apôtres du " miracle européen " ou de la " singularité occidentale ". Dans ce livre, Jack Goody bouleverse les idées reçues. Il lance un défi à cette vision des choses qui soutient le postulat d'une " rationalité occidentale " propre à faire croire que " nous " serions les seuls à pouvoir accéder aux transformations de l'ère contemporaine. Le grand anthropologue de Cambridge revient ainsi par exemple sur l'idée d'une comptabilité " rationnelle " - dont bien des spécialistes de l'histoire sociale et économique font une composante spécifique du capitalisme - pour montrer que peu de chose sépare l'histoire de l'Orient et celle de l'Occident sous le rapport de l'activité marchande. D'autres facteurs d'évaluation, imaginés comme inhibant le développement de l'Orient, tels le rôle de la famille ou les formes du travail, sont ramenés par l'auteur à une plus juste proportion. Dans son livre, Jack Goody montre combien l'européocentrisme échoue dans ses analyses de l'Orient tout en occultant l'histoire de l'Occident. A l'heure où les experts paraissent de plus en plus désorientés par ce qu'ils appellent la " mondialisation ", L'Orient en Occident amorce un tournant fondamental modifiant notre vision globale de l'histoire des sociétés occidentales et orientales.

03/1999

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Sciences historiques

L'arbre en Occident

L'arbre grandit et grossit, dépérit, brûle ou casse (on l'a encore constaté en janvier 2009 dans le Sud-Ouest de la France). Ces phénomènes reflètent le nombre des années ou la colère des cieux. Voilà 400 millions d'années qu'il démontre ses capacités évolutives. Il connaît le sort de tous les vivants : l'éloignement des anciens conditionne le développement des jeunes - leçon de tout temps difficile à admettre. Mais si les individus meurent, l'espèce demeure. Pourtant, inerte, l'arbre semble immuable, immortel même. Son espérance de vie excède celle des hommes et des animaux. Comment imaginer qu'un sujet si familier puisse disparaître ? Comment ne pas honorer un individu très vieux ? Comment ne pas lui attribuer des pouvoirs extraordinaires ? Comment ne pas conserver, parfois à tout prix, ce témoin de notre existence ? Il la rappellera peut-être lorsqu'elle sera éteinte. Jadis, les arbres furent des dieux ou des messagers. Naguère, ils fournissaient de quoi soulager les gens souffrants, combattre les maladies, éviter le malheur, obtenir le bonheur. Hier encore, en plantant un arbre, l'homme célébrait la naissance et le mariage ; il espérait la prospérité de la famille et la tranquillité de l'au-delà. Mais aujourd'hui, victimes des pollutions et des déboisements, les arbres n'écartent plus tous les maux de la terre : ils les dévoilent. Sans conteste, l'arbre est un objet d'histoire fascinant. Cette histoire-là, trop mal connue du public, réserve des surprises innombrables et est souvent plus prenante que celle de beaucoup de personnes ou de collectivités humaines.

03/2009

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Psychologie, psychanalyse

Penser la naissance

"Penser la naissance veut dire plusieurs choses et à différents niveaux. Evidemment, il s'agit d'abord de la venue au monde d'un bébé et, ici, d'un bébé humain. L'événement ne se limite pas aux évidences somatiques, c'est-à-dire l'expulsion hors de l'utérus jusqu'à l'entrée dans le monde. Cela, c'est l'accouchement que, par abus de langage, on appelle aussi une naissance, dès lors datée et enregistrée à l'état civil. L'usage qui confond ces dénominations empêche le mot "naissance" de signifier sa spécificité humaine. Cette naissance-là reste à penser, à découvrir et étudier ; d'où l'objet de notre recherche. En même temps, il s'agit de la naissance de la mère. On n'est pas mère sur ordre ; on est mère par retour à l'intérieur de soi, là d'où peut jaillir un élan vers l'enfant qui, loin de provenir d'une sorte d'instinct programmé, relève de vécus originaires enfouis ou refoulés dont la résurgence concerne aussi le père. Il y a un inconscient d'ordre parental nécessaire à la naissance de l'enfant. En tout cas, pour qu'un enfant puisse naître, il ne suffit pas d'avoir été accouché, il faut aussi que se soit développée une maternité psychique. Cet ouvrage regroupe en les ordonnant et les actualisant la matière de quatre livres précédemment publiés chez le même éditeur : Le Génie du foetus, La Nature du bébé, Le Sens de la maternité, Devenir mère.

09/2011

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Philosophie

Penser la mort ?

« Pour ne pas penser à la mort, un seul remède: écrire un livre sur la mort. (...) L'humour est la revanche de l'homme sur le mystère du destin, de la mort... Dans la solitude et la déréliction, il nous reste cette dernière arme. » C'est avec humour que Vladimir Jankélévitch abordera toujours cette grave question. Au cours des entretiens publiés ici, les thèmes de l'éthique médicale et de l'euthanasie côtoient des réflexions plus personnelles.

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Essais

Penser la perception

Ce nouvel ouvrage de Jean Daive, recueillant essais mais surtout entretiens avec des artistes et écrivains réalisés pour France Culture, est le troisième volet d'un polyptique composé de : L'Exclusion (éditions Jean Fournier, 2015), Pas encore une image (L'Atelier contemporain, 2019) (A paraître en 2023 : Le Dernier mur, L'Atelier contemporain.). Le premier livre posait et étudiait le constat : ce que je regarde n'est pas ce que je vois ; le second : l'image n'est plus à regarder, mais à lire et l'écriture n'est plus à lire mais fait image. Penser la perception aborde la question du film, de la photographie et de l'écriture. Ce livre, je l'ai conçu (construit) comme un roman où les épisodes interviennent, se suivent dans une dramatisation qui transforme la parole de chaque artiste selon un programme et ses intentions. Montrer des artistes à des moments différents, montrer des artistes en des endroits différents, poser presque les mêmes questions ou poser des questions différentes, montrer ce qui existe et montrer ce qui change comme par exemple une manière de montrer un transitoire malgré l'invariant des questions posées qui n'exclut pas une discipline – tel est l'enjeu du livre : il raconte les vies du mouvement. Ces réflexions, souvenirs, entretiens, écoutes et paroles, ces silences et ces rires, sont aussi le symptôme d'une animation magique de l'image et de l'écriture qui se nourrit des énergies parmi les plus farouches et les plus obscures. La parole est mystérieuse et obscure. L'écoute est mystérieuse et obscure. Un homme, une femme ou bien deux hommes, l'un parle l'autre écoute, se trouvent dans cette situation de l'échange et de l'attente, ils émettent une succession d'ondes permanentes, ils apaisent la peur, ils s'aident à parler des énigmes de l'univers, ils s'aident à l'injonction. Ils excédent toujours la pensée et la signification. Entretiens avec : Jean-Marie Straub et Daniel Huillet, Jean-Luc Godard, Roberto Matta et Alain Jouffroy, Betty Goodwin, Patrick Tosani, Georg Baselitz, Chantal Akerman, Gérard Garouste, Nathalie Sarraute, Jana Sterbak, Gisèle Freund, Francis Ponge, Marguerite Duras, Jean-Luc Moulène, Jean-Michel Alberola, Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, Joris Ivens, Antoine d'Agata, Pierre Tal Coat, André du Bouchet, Pipilotti Rist, Jean-Pierre Bertrand, Helmut Newton et Alice Springs, Raoul de Kayser...

02/2022

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Ecologie

Penser la biodiversité

Quarante ans après son introduction, la notion de biodiversité a creusé son sillon : des politiques publiques, à toutes les échelles, lui consacrent leurs objectifs, et notre vie quotidienne est ponctuée d'appels à la préserver, dans les journaux, les publicités, les slogans politiques. Mais que nous disent réellement tous ces discours qui gravitent autour de la biodiversité ? Avant tout, ils expriment un constat d'échec : échec de la préservation de notre environnement, échec des tentatives de mesurer sa valeur, échec dans la construction de dispositifs d'expertise probants pour aiguiller les politiques environnementales. En interrogeant ce que son omniprésence nous enseigne sur notre rapport à l'environnement et sur la connaissance que nous en avons, cette enquête propose de repenser la notion de biodiversité. Ni synonyme de nature ni objet ni mesure, la biodiversité est une périphrase : c'est un appel elliptique à rendre nos décisions environnementales plus rationnelles. Penser la biodiversité, c'est interroger cette exigence de rationalisation, au-delà des caricatures que la science économique et ses critiques véhiculent. Penser la biodiversité, c'est creuser une rationalité qui s'enracine dans une exigence de justification et d'argumentation ouverte, contradictoire et exploratoire, seule à même de fonder des politiques environnementales légitimes et efficaces.

11/2021

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Littérature française

Penser la solitude

Le récit est une fuite en avant face à l'emprisonnement névrotique d'un jeune homme, un artiste passionné à la dérive. Il va fuir pour ne pas affronter l'existence et se retrouver en exil dans les coulisses d'une Egypte contemporaine mais ritualisée par ses croyances. Au gré des rencontres, le jeune homme va apprendre à dénouer les fils de son existence et à ériger le tuteur de sa nouvelle vie... Toujours à la recherche de vraies valeurs et d'une certaine folie en décalage avec la réalité du quotidien, les notions de beauté et de perfection l'enveloppe comme pour lui donner du sens. C'est une quête perpétuelle du Bonheur.

01/2023

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Droit

Penser la loi

Nos démocraties font des lois en abondance. Mais à force de légiférer, la raison d'être des lois a fini par nous échapper : souvent, elles répondent à nos attentes immédiates plutôt que de se mettre au service du bien commun. Pourquoi cette inadéquation des lois à l'esprit des lois ? Il faut remonter aux grands penseurs de la politique moderne, Montesquieu ou Rousseau, pour le comprendre. Ils ont placé la loi au coeur de l'action politique : se gouverner soi-même c'est avant tout légiférer. Mais ils n'ont pas livré le mode d'emploi de cet acte fondamental. D'autres ont tenté, avec plus ou moins de succès, d'armer la loi d'un discours de la méthode. Ce livre reconstitue l'histoire de cette ambition prométhéenne : penser le travail du législateur à la fois comme oeuvre de la raison et comme activité empirique. Il revisite la loi des temps anciens et sa métamorphose, à l'épreuve de notre modernité politique, en une multiplicité de législations : autrefois le Prince faisait loi, aujourd'hui chaque législation nouvelle s'incorpore dans tout un système. Nous ne pouvons nier notre dette envers les fondateurs d'une science de la législation, écrit Denis Baranger. Il reste que notre usage de la loi doit autant sinon plus aux praticiens du droit - magistrats, avocats, jurisconsultes - qui sont les porteurs d'un savoir bâti au fil d'une expérience indéfiniment remise sur le métier.

01/2018

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Traduction

Penser la traduction

Les textes rassemblés dans cet ouvrage sont pour la plupart issus des rencontres Penser en langues - In Sprachen denken portés par le programme de traduction franco-allemand de la Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) à Paris sous la responsabilité de Franziska Humphreys et grâce au soutien de la Fondation Robert Bosch, le DAAD (Office allemand d'échanges universitaires) à Paris et le Goethe-Institut à Paris. Sous forme de colloque, Penser en langues - In Sprachen denken s'est proposé d'ouvrir un lieu d'échange sur le statut accordé à la traduction dans la production et la diffusion des savoirs en sciences humaines et sociales. Les textes issus de ce projet placent, chacun à sa façon, la traduction au coeur de leur architecture et de leur élaboration et suivent les sentiers multiples d'une pensée de la traduction en rendant manifeste l'expérience du glissement sémantique et syntaxique que toute traduction engendre. Depuis la décision d'engager la traduction d'une oeuvre jusqu'à sa publication dans un milieu éditorial donné, le travail de traduction s'inscrit dans un processus socio-culturel dans lequel les systèmes de valeurs spécifiques à chaque pays sont également transmis et réinterprétés. La traduction crée de nouveaux horizons conceptuels et élargit ceux qui existent déjà. Chaque traduction est ainsi un geste, un acte qui implique des décisions, opère des exclusions, établit des interprétations, crée des réalités discursives qui, par la suite, ont un impact significatif sur le développement des sciences humaines. L'introduction d'un auteur au sein d'un contexte intellectuel qui lui est étranger apparaît comme un événement discursif aux conséquences imprévisibles. Ce processus s'accompagne le plus souvent de frictions, de ruptures, de mésententes, de réécritures, de retraductions, qui sont elles-mêmes dotées d'une valeur épistémologique ou historique. La décision de traduire est prise à la suite de toute une série d'opérations textuelles dans lesquelles la traduction est reçue de différentes manières (par le biais d'articles, de critiques, de la littérature secondaire, de séminaires et de cours magistraux) et qui fissurent le paysage scientifique. Dans cette perspective, l'histoire des idées se présente comme l'histoire des traductions en insistant sur l'influence déterminante de la traduction sur l'émergence et la circulation d'une nouvelle terminologie et de nouvelles habitudes linguistiques. Dans quatre partie, le présent ouvrage met en évidence. que la traduction n'est pas seulement au service du texte original mais un acte poétique propre qui intervient dans le texte en l'interprétant et en le réinventant au niveau conceptuel et syntactique.

06/2021

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Sociologie

Penser la communication

La communication est l'un des symboles forts de notre époque. Son idéal, rapprocher les hommes, les valeurs et les cultures, est au cœur du modèle démocratique et triomphe par l'intermédiaire de techniques de plus en plus performantes et séduisantes. Sa réussite est à ce point exemplaire que nombreux sont ceux qui voient dans le multimédia et les réseaux la réponse aux maux de nos sociétés et l'esquisse de nouvelles solidarités. Dominique Wolton nous met en garde contre ces conclusions hâtives : s'il n'y a pas de démocratie sans communication, les techniques génèrent aussi des inégalités. Quand la communication technique se déploie, il n'est pas rare que la communication humaine s'appauvrisse. Penser la communication, c'est montrer les dangers qui la menacent et dont il faut la protéger, renforcer les identités, retrouver le temps et respecter ce qui nous sépare. Bilan de vingt ans de recherches sur la télévision, la culture, la communication et la politique, le journalisme, les nouvelles techniques et l'Europe, ce livre enthousiaste mais lucide nous invite à pratiquer la distance au cœur de la communication.

03/2008

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Théâtre

Penser la lumière

En quelques décennies, les éclairages sont devenus l'une des données majeures des créations contemporaines et l'objet de nombreuses expérimentations scéniques. Dans ce premier livre consacré à la lumière, l'une de ses artistes les plus reconnues, Dominique Bruguière, offre un récit à la fois sensible et théorique sur cette nouvelle approche du théâtre, témoignant de quelques-uns de ses riches compagnonnages, avec Claude Régy, Jérôme Deschamps, Patrice Chéreau... Elle rend compte ici du cheminement nécessaire à la composition de la lumière et de la façon dont cette matière impalpable dialogue avec tous les enjeux de la mise en scène : la scénographie, le jeu des acteurs, le rythme de la représentation. Ce livre est la transmission d'une expérience foisonnante où le lecteur perçoit le déroulement de la pensée et son développement dans l'imaginaire.

09/2017

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Histoire du droit

Penser la GPA

Depuis les années 80, la France interdit la gestation pour autrui (GPA) et, surtout, ne parvient pas à mener un débat apaisé sur le sujet alors que les demandes d'inscription à l'état civil français d'enfants nés de cette technique à l'étranger ne cessent d'augmenter. Les contributions réunies dans cet ouvrage tentent chacune de présenter à la fois un point de vue théorique sur la question et les solutions possibles pour l'ensemble de protagonistes (l'enfant, la mère porteuse, les parents d'intention, les médecins, les autorités françaises...). La GPA est ici saisie sous tous ses angles, historiques, politiques, philosophiques, juridiques. La théorie politique, les études féministes, la sociologie le droit, le droit comparé, l'histoire du droit sont mobilisés pour tenter, au-delà des peurs, de penser sereinement ce phénomène.

04/2021

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Littérature française

Penser la France

Pensez la France est une étude sur la situation politique et culturelle que traverse ce pays. L'auteur s'insurge contre ce qu'il décrit comme the politiquement correct, les militants d'opérettes, ainsi que l'obsession idéologique de certaines personnes dites bien-pensantes, sûres d'elles-mêmes, ne se remettant pas en question et préférant pointer du doigt ceux qui ne se conforment pas à leurs idéaux. Les propos tenus dans cet ouvrage ne sont pas ceux d'un engagé politique. Ils sont ceux d'une personne lambda qui se sert du droit à l'expression qui échoit à tout citoyen pour exposer librement et simplement son opinion.

12/2021

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Autres philosophes

Penser la mort ?

" Pour ne pas penser à la mort, un seul remède : écrire un livre sur la mort. [...] L'humour est la revanche de l'homme sur le mystère du destin, de la mort... Dans la solitude et la déréliction, il nous reste cette dernière arme. " C'est avec humour que Vladimir Jankélévitch abordera toujours cette grave question. Les entretiens que nous publions - inédits ou parus dans des revues maintenant introuvables - nous éclairent sur les raisons de son intérêt pour ce sujet.

03/2024

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Policiers

Un chien dans la soupe

C'est un roman sur un homme du nom de Latchmer qui passe toute une nuit dans New York à essayer de se débarrasser d'un chien mort avec l'aide d'un chauffeur de taxi haïtien. Latchmer a hérité du cadavre lors d'un dîner avec une séduisante blonde, réparatrice d'ordinateurs. Sarah, c'est le nom de la blonde, possède une main artificielle depuis qu'un ordinateur, fou de désir, a cherché à l'aspirer jusqu'au tréfonds de ses transistors. Vous me suivez ? C'est aussi un roman sur le grand-père de Latchmer, respectable toubib dans un bled de campagne qui, pendant vingt ans et dans un milieu très puritain, a eu une liaison adultère avec une institutrice également respectable. Êtes-vous toujours avec moi ... ?

01/1993

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Littérature française

Un chien dans la gorge

Quand une dame prénommée Foy rencontre un monsieur qui s'appelle Cloud, d'évidence ils se plaisent. Que la mère de la première ait ainsi voulu honorer la sainte patronne du village où elle découvrit l'amour, ou que le père du second ait, lui, souhaité célébrer son champ de courses préféré, n'altère en rien leur attirance réciproque, pourtant aussi contrariée que leurs prénoms sont contrariants. Si les voix de l'amour sont impénétrables, elles sont aussi parfois enrouées. Dans ce quatrième roman, Charles Nemes multiplie les chassés-croisés, les rendez-vous manqués, les quêtes éperdues et les retrouvailles équivoques, dans une ronde imprévisible où amants, père et fils, fille et père, amis-à-la-vie-à-la-mort tentent de satisfaire leur besoin d'amour malgré leur maladresse à l'exprimer.

02/2007

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Littérature étrangère

Un chien sur la route

Juste après la chute du mur de Berlin, un intellectuel slovaque obsédé par Thomas Bernhard sillonne " l'Europe des alentours " de son pays, principalement l'Autriche et l'Allemagne. Plus ou moins officiellement chargé de promouvoir sa culture nationale, ce " Slovaque officiel " rencontre des publics au mieux curieux, sinon franchement indifférents. Jusqu'au jour où sa route croise celle de la troublante Grétka, une Autrichienne installée aux Etats-Unis. Roman du dépaysement, Un chien sur la route est également une déclaration d'amour joyeuse à la littérature.

03/2019

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Autres éditeurs (K à O)

Un chien à la récré

Un chien qui veut aller à l'école ? On n'a jamais vu ça. Pourtant, tous les matins, un petit animal roux aux poils en bataille trépigne devant la grande porte. Il a l'air d'avoir tellement envie d'étudier ! Alors, discrètement, Jules décide de lui faire une visite guidée... Quand une drôle de boule de poils sème la pagaille à l'école... pour le plus grand bonheur des élèves !

02/2022

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Romans policiers

Un Chien dans la nuit

Véronique Quinet est sage-femme à la maternité d'Angers que dirige son mari. Ils habitent dans la campagne, au nord de la ville. Un soir, elle rentre chez elle après un pot d'anniversaire où elle a un peu trop bu, comme à son habitude. Soudain, à travers les nappes de brouillard, elle aperçoit dans ses phares un chien qu'elle ne peut éviter. Elle descend de son véhicule, mais ne retrouve pas l'animal. Le lendemain, elle apprend que le corps sans vie d'une jeune femme a été découvert au même endroit... Un thriller psychologique, avec une montée progressive dans l'angoisse qui aboutit à un dénouement pour le moins inattendu.

05/2021

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XVIIIe siècle

Un chien dans la ville

Ophélie Grevet nous met face à la Terreur. Cette période historique, que nous n'aimons pas trop questionner, nous français vivant dans le pays des "droits de l'Homme". Mais c'est là tout son art romanesque, elle choisit d'observer cette histoire au travers du regard d'un enfant. Martin a treize ans et demi, il traîne ses guêtres un peu partout dans les rues de Paris. Il n'aime pas l'école, il préfère dessiner. Au lieu des rues, des coulées de sang, de la guillotine, il va trouver sa voie. Au hasard des croquis et des rues macabres, il va rencontrer un grand chien et une grande figure de la Révolution...

03/2021

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Récits de voyage

La Chine en soi. Dix ans d'aventure ethnographique

Une jeune Française part en Chine au début des années 1990 pour améliorer son niveau de mandarin. Son inscription à l'université de Canton n'est qu'un prétexte car sa véritable ambition est ailleurs : se perdre en Chine. Au coeur de régions dures mais terriblement attachantes, l'aventurière ingénue du départ se fond dans le paysage. Son exploration se prolonge dix longues années, à contre-courant des nouvelles réformes économiques chinoises. Deux histoires se mêlent alors intimement : celle de la transfiguration d'un pays lancé avec vigueur dans la mondialisation et celle, à échelle humaine, d'une femme qui forge sa ligne de vie. Le lecteur, emporté dans une immersion radicale, perd ses repères et découvre ici un univers insolite. Un récit qui se lit comme un roman.

03/2019

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Sciences politiques

L'Occident malade de l'Occident

L'Occident se vit aujourd'hui comme une citadelle assiégée. Miné de l'intérieur par une crise systémique, donc durable, voyant son leadership de plus en plus contesté, il se sent assailli par une multitude d'"ennemis " extérieurs. Vu à travers le prisme occidentalo-centriste, le monde se résume à un éternel affrontement entre " eux " - les Chinois, les Russes, les Arabo-musulmans... - et " nous ". Singulière réécriture du passé, singulière lecture du présent. L'élite oublie que l'Occident ne représente qu'une partie de l'humanité et que d'autres puissances, anciennes ou nouvelles, sont en droit de revendiquer une place sur l'échiquier mondial. Elle omet de rappeler que la domination occidentale n'a pas toujours existé. Elle ignore les échanges perpétuels entre civilisations, entre cultures, entre peuples, qui ont bâti les fondements d'une humaine civilisation dont personne ne peut revendiquer le monopole. A travers un vaste panorama des événements internationaux de ces dernières années - de la crise géorgienne d'août 2008 à l'élection de Barack Obama, en passant par le retour de la France dans le giron de l'OTAN -, Martine Bulard et Jack Dion prennent à contrepied le discours dominant. Au lieu de s'arc-bouter sur des mythes qui ont disparu avec le xxe siècle, il est temps, selon eux, de prendre acte de la nouvelle donne planétaire et de définir un nouvel universalisme. Car de quoi l'Occident est-il malade, sinon de lui-même ?

10/2009

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Sciences politiques

La crise des "Gilets jaunes" d'une société en crise. Essai Suivi d'un entretien avec Marcel Gauchet

Le mouvement des "Gilets jaunes" légitime le diagnostic que l'auteur a élaboré au cours de plusieurs essais, avec la caution de Marcel Gauchet. Un long entretien avec ce dernier fait d'ailleurs suite au présent essai. Le diagnostic en question vient du coeur des territoires minoritaires et des cultures minuscules, de cette ruralité, de cette "périphérie" dont trop d'hommes de pouvoirs parlent la main sur le coeur... sans changer les choses. Au demeurant, qu'ont fait les gouvernements successifs sinon accepter d'être corsetés par le système néolibéral, c'est-à-dire l'injuste mondialisation capitaliste, son libéralisme financiarisé, ses élites déconnectées, sa technocratie urbaine ? Létal des lieux de notre société en crise, mis en lumière par la crise des "Gilets jaunes" sur les ronds-points français, permet de remonter aux causes, auxquelles tôt ou tard il faudra répondre pour pacifier la société. Il est certain que la crise de fond de nos sociétés perdurera de manière plus ou moins larvée, car il s'agit d'une "énorme crise de civilisation et d'une énorme crise de l'humanité suscitée par la mondialisation déchainée", selon le jugement d'Edgar Morin, "une crise anthropologique" selon d'autres penseurs, qui révèle les dérives d'un modèle de société technologique, technocratique, numérique, conduisant fatalement au processus des injustices dramatiques entre les concentrations urbaines d'un côté, les désertifications rurales de l'autre... Face aux puissances financières, sauvegardera-t-on les valeurs humanistes d'un aménagement équilibré des territoires ? Tous les problèmes de notre société sont sur la table, développés dans les a Cahiers de doléances et de propositions lancés par l'Association des maires ruraux (dont la synthèse se trouve en annexe) et par le "Grand Débat".

10/2019