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Echanger les peuples. Le déplacement des minorités aux confins polono-soviétiques (1944-1947)

Extraits

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ouvrages généraux

Russie en guerre t1. 1943-1945

22 juin 1941 : les troupes allemandes envahissent l'URSS. La Russie entre dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale et devient le plus grand terrain d'opération du conflit, le lieu où la guerre montre son visage le plus féroce et le plus meurtrier. Civils et militaires, tous sont confrontés à une violence sans précédent : massacres, destructions, déportations de masse, famine, maladie. Du pacte germano-soviétique à la bataille de Stalingrad, le premier tome de La Russie en guerre retrace la tragédie vécue par le peuple russe sous tous ses aspects.

10/2022

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Histoire de France

Mémoires de guerre. Tome 3, Le Salut 1944-1946

Troisième et dernier tome des mémoires de guerre du Général de Gaulle. Le troisième tome de ces mémoires, Le salut 1944-1946, est au programme officiel du bac de français 2011 pour les élèves de 1ère L. A cette occasion, Pocket publiera un ouvrage "spécial bac" inédit sur le sujet. Les trois tomes des mémoires de guerre du Général de Gaulle seront également remis en vente simultanément, avec de nouvelles couvertures. Ces ouvrages se sont déjà vendus à plus de 180 000 exemplaires chez Pocket.

07/2011

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Histoire de France

La 1re armée française. Vosges-Alsace, 1944-1945

Après avoir débarque en Provence en août 1944, la 1re armée française remonte la vallée du Rhône. Elle arrive devant les Vosges du 15 au 20 septembre 1944. La bataille y est rude contre la 19e armée allemande et contre les éléments, car le temps est très mauvais : pluie, puis neige et brouillard. L'aviation ne peut intervenir que très rarement. Pour s'emparer du sommet du Haut du Faing, le 6e régiment de tirailleurs marocains perd 100 hommes, mais pour le tenir sous l'artillerie allemande et les contre-attaques, il en perd 700 de plus. La phase active de la bataille s'achève fin octobre et la 1re armée attaque ensuite dans la trouée de Belfort et en haute Alsace pour atteindre le Rhin.

02/2019

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Histoire de France

La France à l'heure allemande. 1940-1944

Pendant quatre ans, les Français ont vécu sous la domination de l'Allemagne nazie. A cette situation extraordinaire, ils se sont adaptés de différentes façons, quelques-uns en refusant, la majorité en pliant et en subissant, d'autres, assez nombreux, en faisan des accommodements ou en recherchant une entente avec le vainqueur. Voici un ouvrage qui embrasse pour la première fois l'ensemble des réactions de la société française à la présence de l'occupant : le gouvernement de Vichy, les groupements politiques, l'opinion, l'Eglise, les patrons, les banquiers, les éditeurs, les écrivains... On y voit la diversité et l'évolution des comportements, de l'engagement dans la collaboration jusqu'aux formes quotidiennes, affichées ou subreptices, de la cohabitation avec le vainqueur - la recherche de travail ou de commandes, l'apprentissage de l'allemand, les contacts avec l'occupant, la fréquentation des concerts, des conférences, des expositions qu'il organise. Placés dans une situation extraordinaire, les Français ont dû tracer la ligne de l'acceptable et de l'inacceptable, faire le départ du digne et de l'indigne, du bon et du mauvais, en se référant à l'image qu'ils avaient d'eux-mêmes, de leur pays, de ses intérêts, de leurs intérêts. De ce que leur réponse a été hésitante, divisée, sanglante au débouché de l'Occupation, il est resté une déchirure à vif.

12/1995

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Documentaires jeunesse

Les enfants de la Résistance : Le journal de 1940 à 1943

François, Eusèbe et leur amie Lisa découvrent, à 13 ans, la vie en temps de guerre et entrent d'eux-mêmes en résistance contre l'Allemagne... Retrouvez leur journal et plongez dans le quotidien des héros de la série à succès Les enfants de la Résistance, de Vincent DUGOMIER et Benoît ERS. A travers de nombreux documents d'époque, suivez les évènements qui ont agités la France occupée, ainsi que les actions d'éclats de la Résistance et de la France libre.

10/2020

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Histoire de France

La maison des souffrances. Dans les prisons militaires allemandes de Clermont-Ferrand (1943-1944)

" Les Souvenirs de prison de Geneviève de Hody sont particulièrement émouvants. M. Camille de Hody, juge au tribunal administratif de Strasbourg s'était réfugié près de Brioude au début de la guerre, avec sa famille, puis à Vieille-Brioude. Très rapidement il s'engagea dans la Résistance. A la fin de l'année 1943, l'occupation allemande se fit plus durement sentir car cette zone appartenait à la région où le maquis du mont Mouchet allait s'installer. En novembre 1943, sur dénonciation de son propriétaire qui était milicien, Camille de Hody fut arrêté par la feldgendarmerie et avec lui son épouse Geneviève et deux personnes de service, laissant seules trois petites filles, soulignant ainsi la brutalité impitoyable de la Wehrmacht. Ils furent conduits à Clermont-Ferrand à la caserne du 92e R.I.transformée en prison militaire allemande. Les deux jeunes filles furent libérées au bout de huit jours, Geneviève de Hody au printemps 1944 et Camille de Hody sera déporté à Mauthausen où il mourra en avril 1945. Les Souvenirs de Geneviève de Hody rapportent un long chemin de croix dans ce qu'elle appelle " La maison des souffrances ", dans une prison un peu particulière. Car elle est en effet tout à la fois centre disciplinaire où l'on trouve des militaires allemands indisciplinés, maison d'attente pour des transferts dans des camps de concentration et maison d'arrêt pour les résistants qui attendent dans ce lieu la décision de la Gestapo. Cette dernière est d'ailleurs également installée là, laissant entendre et même voir les horreurs des interrogatoires... " Extrait de la préface de François-Georges Dreyfus, professeur émérite à la Sorbonne. Les souvenirs de Geneviève de Hody, objet de cet ouvrage (notes éparses et parfois griffonnées) ont été triées et mises en forme par Edith de Hody-Dzieduszycka, sa fille.

07/2011

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Histoire de France

L'internement des Nomades, une histoire française (1940-1946)

L'internement des Nomades en France s'inscrit dans le cadre d'une politique de persécution mise en oeuvre par les autorités françaises contre une population surveillée, contrôlée et identifiée depuis le début du XXe siècle. Durant la Seconde Guerre mondiale, d'octobre 1940 à mai 1946, au moins 6500 personnes, hommes. femmes et enfants, en grande majorité françaises, sont spoliées de leurs biens et enfermées dans des camps d'internement. Ces familles nomades, foraines ou itinérantes traversent la guerre derrières les barbelés dans des conditions inhumaines. Sous-alimentés, exposés aux maladies, contraints aux travaux forcés, de nombreux internés décèdent dans les camps ou dans les hôpitaux environnants. A partir de 1943, certains internés sont déportés vers l'Allemagne dans le cadre d'une nouvelle politique répressive de l'occupant allemand. D'autres, libérés des camps français, sont raflés dans le Nord et le Pas-de-Calais, sous administration militaire allemande, et déportés vers Auschwitz-Birkenau avec le convoi "Z" du 15 janvier 1944.

07/2019

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Histoire de France

L'ARMEE DE L'AIR DES ANNEES NOIRES. Vichy 1940-1944

Beaucoup ignorent totalement l'existence d'une armée de l'air française pendant les années noires. L'aviation de Vichy rassemble pourtant, en avril 1942, près de 80 000 hommes sous son commandement. Ces forces sont reconstituées avec l'accord des Allemands pour défendre la métropole et l'empire français contre les attaques des Britanniques et des Gaullistes. Les affrontements de Mers-el-Kébir, de Dakar, du Gabon, de la Syrie, d'Indochine, de Madagascar, d'Afrique du Nord, puis de défense aérienne du territoire français bombardé rythment l'existence de cette armée qui ne doit sa survie qu'à son combat contre les Alliés. Cependant, les aviateurs français croient défendre uniquement la souveraineté nationale et restent souvent anti-allemands, reproduisant ainsi toutes les ambiguïtés et les illusions des Français qui ont choisi la fidélité au maréchal Pétain.

09/1998

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Histoire internationale

Les frontières de la Palestine (1914-1947)

Cet ouvrage s'intéresse aux frontières de la Palestine à travers les archives diplomatiques françaises et britanniques entre 1914 et 1947. Longtemps floues, les frontières de la Palestine se précisèrent peu à peu sous les pressions nationalistes et les variations des politiques britanniques et internationales. Le création de l'Etat d'Israël en 1948 est le résultat d'une lente séparation des communautés juive et arabe pendant la période du mandat.

02/2011

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Critique littéraire

Correspondance Alexandre Vialatte - Henri Pourrat (1916-1959). Tome 7, Les temps noirs Volume 2 (janvier 1943 - décembre 1946)

Les Presses Universitaires Blaise Pascal poursuivent la publication de la Correspondance Alexandre Vialatte-Henri Pourrat, ensemble épistolaire inédit échangé entre Alexandre Vialatte (1901-1971) et Henri Pourrat (1887-1959), de 1916 à 1959. Après les Lettres de collège (1916-1921), 2001 ; Lettres de Rhénanie 1(1922-1924), 2003 ; Lettres de Rhénanie H (1924-1927), 2004 ; Les Grandes Espérances (1928-1934), 2006 ; De Paris ir Héliopolis (1935-1939), 2008, viennent deux volumes complémentaires qui ont pour arrière-plan des périodes dramatiques : Guerre et Occupation pour Les Temps noirs I (,1939-1942) publiés en 2011, Résistance, Epuration, après-guerre pour Les Temps noirs 11 (1942-1946) présentés ici. Les lettres de 1943 à 1945 permettent de préciser les relations encore mal connues entre Pourrat et le Régime de Vichy au moment où l'Occupation se radicalise. Toujours fidèle à Pétain, entretenant de bonnes relations avec l'entourage du "chef français", Pourrat accomplit avec exactitude sa tâche de subdélégué du Secours National pour la région d'Ambert, un travail de terrain qui le conduit à voir de près certains événements de la Résistance (Affaire d'Arlanc, etc.) puis de l'Epura­tion. Certes les lettres ne fournissent que des indices souvent discrets, mais l'appareil critique important qui les éclaire fournit une véritable base de données pour l'histoire du Livradois-Forez. Les lettres de 1945-1946, quant à elles, permettent de suivre le périple de Vialatte, "correspondant de guerre" envoyé par le journal L'Epoque en Allemagne pour couvrir les procès de Lunebourg (jugement des criminels nazis du camp de Bergen-Belsen), puis de Hambourg. A l'intérêt que présentent les lettres pour l'histoire d'une époque complexe et trouble, s'ajoute l'intérêt littéraire de celles-ci. Pourrat continue à se consacrer avec constance à l'écriture, resserrant son inspiration autour de trois domaines majeurs : l'Auvergne, la tradition et les contes ainsi que l'inspiration chrétienne avec La Bienheureuse Passion. Vialatte pour sa part hésite entre journalisme et littérature, la seule voie que Pourrat, mentor exigeant, l'exhorte à suivre. En proie aux affres de la création, il s'essaie à plusieurs romans qui demeureront inachevés mais constituent cependant un banc d'essai pour Les Fruits du Congo, dont ils révèlent la genèse.

04/2015

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Histoire de France

Abbeville 1940 1944. De la destruction à la libération

En juin 1940, Abbeville devient le théâtre d'opérations vers lequel se focalise l'attention des belligérants, car après la défaite dans le nord et à Dunkerque, les armées alliées tente de reprendre l'initiative en attaquant avec plusieurs divisions blindées afin de réduire la tête de pont allemande au sud de la Somme. C'est tout d'abord la 1st Armoured Division qui frappe, sans succès, bientôt suivie de la fameuse 4e division cuirassée de réserve du colonel de Gaulle. Sous les coups de la division de Gaulle, le front allemand s'effondre, mais il se reconstitue aux portes d'Abbeville et les assauts qui suivent épuisent l'unité française, qui doit être retirée du front. L'offensive est alors menée par la 2e DCR, sans plus de résultats. Finalement, trois divisions alliées se sont épuisées devant Abbeville, sans empêcher les Allemands de reprendre leur avance victorieuse dès le 5 juin 1940. Le livre traite aussi de l'occupation, des attaques aériennes alliées et de la libération, en septembre 1944.

12/2013

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Histoire de France

L'enfer des combats de la poche de Colmar. Hiver 1944-1945

Si aujourd'hui l'Alsace est un havre de paix, il y a 65 ans elle fut malheureusement le théâtre de combats d'une violence inouïe, d'une lutte acharnée entre l'Allemagne et la France. Région annexée par l'Allemagne en 1940, l'Alsace, qui devait rester allemande pour des raisons politiques et stratégiques, ne redevint française qu'au prix d'un lourd tribut. Etapes décisives dans la libération de l'Alsace, les combats de la poche de Colmar laissèrent derrière eux un spectacle de désolation : champs de ruines, chars calcinés… Cet ouvrage vous propose de découvrir cette terrible période au travers de documents d'archives pour la plupart inédits. Car peu de mots pourraient décrire la souffrance et l'abnégation endurées par ces militaires et ces civils pris entre deux feux. A l'instar du musée mémorial des Combats de la poche de Colmar, ce livre souhaite répondre à un devoir de mémoire et surtout rendre hommage à ces hommes, militaires ou civils, rescapés ou victimes.

09/2010

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Histoire internationale

Je suis le dernier Juif. Treblinka (1942-1943)

Octobre 1942. Chil Rajchman a 28 ans quand il est déporté à Treblinka. Il échappe à la chambre à gaz en devenant tour à tour trieur de vêtements, coiffeur, porteur de cadavres ou « dentiste ». Le 2 août 1943, il participe au soulèvement du camp et s'évade. Après plusieurs semaines d'errance, le jeune homme se cache chez un ami près de Varsovie. Dans un carnet, il raconte ses dix mois en enfer. À la Libération, il est l'un des 57 survivants parmi les 750 000 Juifs de Treblinka. Aucun camp n'avait été aussi loin dans la rationalisation de l'extermination de masse. Ce texte, publié pour la première fois, est unique. Écrit dans l'urgence, avant même la victoire sur les nazis, il s'inscrit parmi les plus grands.Un texte tenaillé par la seule et impérieuse volonté de transmettre une « invraisemblable » vérité. Serge Kaganski, Les Inrockuptibles.

11/2011

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Critique littéraire

Le grand camouflage. Ecrits de dissidence (1941-1945)

Ce petit volume, sous la direction de Daniel Maximin, comprend les sept articles écrits par Suzanne Césaire pour Tropiques, la revue littéraire la plus importante des Antilles : quatorze numéros publiés à Fort-de-France, entre 1941 et 1945, bravant la censure à l'époque de la Résistance, appelée là-bas la "Dissidence". Sept textes, sur les thèmes de la poésie, du surréalisme, des Antilles et des racines africaines, qui manifestent avec force l'entrée des cultures antillaises dans la modernité politique et littéraire, la rupture brutale et ironique avec le carcan des traditions doudouistes des écrits coloniaux, et l'ouverture à tous les vents artistiques des Amériques, d'Europe et d'Afrique. En 1941, André Breton, en route vers New York, fait une escale d'un mois en Martinique, où il se lie d'amitié avec Aimé et Suzanne Césaire. La seconde partie de ce recueil se fait l'écho de ces rencontres (auxquelles participent également Lévi-Strauss, Pierre Mabille, André Masson, Wifredo Lam, Jacqueline Lamba, l'épouse peintre de Breton), fructueuses et marquantes pour chacun : on y trouvera un texte-hommage d'André Breton à Suzanne, des extraits de Martinique, charmeuse de serpents d'André Breton qui dialogue avec André Masson, un texte de René Ménil. Enfin, figurent quelques poèmes d'Aimé Césaire inspirés par Suzanne, et un texte, écrit pour ce recueil, de leur fille Ina Césaire, écrivain et ethnologue, évoquant avec émotion la figure de sa mère. L'ensemble est présenté et mis en perspective par Daniel Maximin.

09/2015

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Histoire de France

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Ce livre captivant, richement documenté d'archives et de témoignages souvent inédits, dresse le tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale en France. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale, déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 et visant à multiplier les massacres contre les civils afin de terroriser la population, de tarir tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis et de diminuer leur activité en générant la crainte de représailles contre les habitants. Les SS, la Gestapo et les unités régulières de l'armée allemande participent à ces exactions, en fonction des directives venant du haut commandement lui-même. Les massacres en Périgord, en Limousin, dans les Pyrénées, des Glières et du Vercors, dans l'Ain, d'Ascq, de Maillé, des Manises, de Penguerec, de Saint-Genis-Laval et de Bron, de la vallée de la Saulx, ainsi que bien d'autres, sont présentés en détail dans cet ouvrage de référence.

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Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils.

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Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945

Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils. Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages, pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale.

03/2024

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Histoire de France

Les Juifs au camp de Rivesaltes : internement et déportation (1941-1942)

Dès sa création jusqu'à sa clôture à la fin du XXe siècle, le camp de Rivesaltes a été le témoin de trois conflits majeurs que la France, l'Europe mais aussi l'Afrique du Nord ont vécu en à peine trois décennies : la Guerre d'Espagne, la Seconde Guerre mondiale et la Guerre d'Algérie. Pendant cette période, les baraques du camp de Rivesaltes ont vu défiler des milliers de personnes d'origines, cultures et nationalités différentes, ayant subi un déplacement forcé en conséquence de ces conflits. Il fut camp militaire, il fut également "centre d'hébergement" pour les Républicains espagnols, les Juifs étrangers et les Tsiganes, "centre inter-régional de rassemblement des Israélites" avant leur déportation à Auschwitz via Drancy et aussi "camp de regroupement des Harkis et de leurs familles". Dans le cadre de la construction du Mémorial du Camp de Rivesaltes, de nombreuses recherches ont été menées afin de documenter les divers aspects de l'histoire du camp et de ses protagonistes. Afin de faire état de ces recherches et de les restituer, la Région Languedoc-Roussillon lance la collection "Les Cahiers de Rivesaltes". Pour que la souffrance et l'histoire de ceux que la France a considéré comme "indésirables" soient connues de tous.

04/2014

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Livres 3 ans et +

Alex et Léon dans les camps français. 1942/1943

Une famille juive, arrêtée en zone libre, est prise dans la tourmente des camps français. La mère et ses cinq enfants sont envoyés dans trois camps : Nexon, Gurs et Rivesaltes. Souffrance des internés, faim, froid, maladies, menaces de déportation, mais aussi débrouillardise des garçons, camaraderie et amitié entre les femmes juives et espagnoles. La mère, ses trois petites filles et ses deux garçons, ont été enfermés dix mois dans ces camps.

05/2013

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Histoire de France

Les fusillés de Belle-Beille. 21 février 1942 - 7 juin 1944

Entre le 21 février 1942 et le 7 juin 1944, 46 résistants furent fusillés au champ de tir de Belle-Beille à Angers. Le plus jeune avait 19 ans, le plus âgé 67. Ils étaient étudiants, instituteurs, ouvriers, cultivateurs. Leur point commun : le refus du joug nazi et de la dictature de Vichy. Cet engagement, ils le payèrent de leur vie. Trois élèves du lycée Saint-Martin d'Angers ont décidé, dans le cadre du Concours National de la Résistance et de la Déportation, de rechercher derrière les noms des fusillés, leurs vies, leurs parcours, leurs engagements qui c'est arrêté au champ de tir de Belle-Beille. 46 Résistants furent fusillés au champ de tir de Belle-Beille. Leur point commun : le refus du joug nazi et de la dictature de Vichy. Cet engagement, ils le payèrent de leur vie. Comme le dit si bien Hélène Cabrillac, vice-présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, ils étaient des "Français ordinaires" , mais des Français viscéralement attachés à la devise de la République.

09/2020

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Histoire de France

Les Forces françaises de l'Ouest. Forces françaises oubliées ? 1944-1945

De l'automne 1944 à mai 1945, des garnisons allemandes sont restées retranchées sur la façade atlantique. Le siège de ces poches adverses a principalement reposé sur des forces françaises issues de la Résistance et baptisées Forces françaises de l'Ouest (FFO). Depuis 1945, la notion d'oubli accompagne immanquablement leur évocation, à l'image d'une formule cinglante née dès-1944 : Forces françaises de l'Ouest, forces françaises oubliées. Est-il possible d'objectiver cette sentence ? Tel est l'objet de cet ouvrage, qui propose un regard renouvelé sur l'environnement politique et militaire des FFO. Il développe une analyse inédite de l'origine des combattants des FFo et de leur quotidien durant les longs mois de siège des poches allemandes. Il interroge enfin les voies mémorielles ayant perpétué de la notion d'oubli accolée aux FFO.

04/2019

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Histoire de France

Chère Mademoiselle... Alice Ferrières et les enfants de Murat, 1941-1944

Au printemps 1941, commence pour Alice Ferrières une aventure à la fois extraordinaire et " banale " qui ne prendra fin qu'à l'automne 1944. Alice Ferrières (1909-1988), issue d'une famille protestante des Cévennes, est professeur de mathématiques au collège de jeunes filles de Murat, dans le Cantal. Scandalisée par le second Statut des Juifs, elle décide d'apporter son aide aux victimes de l'antisémitisme de Vichy. Alice envoie tout d'abord lettres et colis à des professeurs juifs français victimes du Statut, souvent des Alsaciens, puis à des Juifs étrangers assignés à résidence ou internés dans les camps de Gurs, Noé, Rivesaltes, La Guiche. De véritables amitiés se nouent, que la déportation vers Auschwitz est parfois venue briser net. Le 6 janvier 1943, son soutien aux Juifs prend une tout autre dimension. Arrivent à Murat les premiers enfants ou adolescents qu'il s'agit de cacher dans les collèges de la ville ou dans des familles paysannes des environs. Alice travaille dès lors en étroite collaboration avec les jeunes assistants des œuvres juives de secours et de résistance. Sa maison ne désemplit plus, il s'y tient même des cours de religion et de sionisme... Mémorialiste scrupuleuse - mais inconsciente, une chance pour nous -, Alice a conservé toutes les lettres que ses " protégés " lui ont adressées, ainsi que les copies de ses réponses. Elle a également tenu, en 1943 et 1944, un Journal dans lequel sont consignées toutes ses activités et rencontres, heure par heure. Les historiens ont parlé de la " banalité du bien " : on peut ici évoquer sa quotidienneté, accessible pour la première fois à travers un rarissime ensemble de notes et de correspondances croisées.

02/2010

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Histoire de France

Les orphelins de la République. Destinées des députés et sénateurs français (1940-1945)

Au cours de la journée dramatique du 10 juillet 1940, députés et sénateurs, réunis au Grand Casino de Vichy, votent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Seulement quatre-vingts parlementaires les refusent. Qu'est devenu ce camp du refus ? Mais aussi que se sont devenus tous les autres qui, à une écrasante majorité, ont rendu possible l'institution vichyste ? Grâce à des sources inédites - et principalement les dossiers du Jury d'honneur devant lequel ont comparu une grande partie des parlementaires qui avaient voté oui en 1940 -, l'auteur retrace les itinéraires et montre, contre les idées reçues, que tous les approbateurs de Pétain en 1940 n'ont pas adhéré à la Révolution nationale, pas plus que tous les hommes du refus ne se sont engagés dans la Résistance. Les raisons d'agir sont souvent complexes, parfois ambivalentes. Véritable leçon de méthode historique, cet ouvrage tranche avec les approches manichéennes et une historiographie abstraite, oublieuse des réalités composites, des contraintes existentielles et des motivations contradictoires. Il change en profondeur notre "vision" du 10 juillet 1940 et d'un personnel trop volontiers soupçonné de veulerie.

09/2015

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Histoire de France

Les orphelins de la République. Destinées des députés et sénateurs français (1940-1945)

Au cours de la journée dramatique du 10 juillet 1940, députés et sénateurs, réunis au Grand Casino de Vichy, votent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Seulement quatre-vingts parlementaires les refusent. Qu'est devenu ce camp du refus ? Mais aussi que sont devenus tous les autres qui, à une écrasante majorité, ont rendu possible l'institution vichyste ? Grâce à des sources inédites - et principalement les dossiers du Jury d'honneur devant lequel a comparu une grande partie des parlementaires qui avaient voté oui en 1940 -, l'auteur retrace les itinéraires et montre, contre les idées reçues, que tous les approbateurs de Pétain en 1940 n'ont pas adhéré à la Révolution nationale, pas plus que tous les hommes du refus ne se sont engagés dans la Résistance. Les raisons d'agir sont souvent complexes, parfois ambivalentes. Véritable leçon de méthode historique, cet ouvrage tranche avec les approches manichéennes et une historiographie abstraite, oublieuse des réalités composites, des contraintes existentielles et des motivations contradictoires. Il change en profondeur notre " vision " du 10 juillet 1940 et d'un personnel politique trop volontiers soupçonné de veulerie.

03/2001

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Poésie

La nouvelle jeunesse. Poèmes frioulans (1941-1974)

L'éternel retour prend fin : l'humanité a pris la tangente. De nouveaux " démons " patronnent ce phénomène, et je crois encore, stupidement, à une nouvelle révolution des pauvres. Le Livre demeure, mais la Parole s'en est allée. C'est le pire saint Paul qui avait raison et non l'Ecclésiaste. Le monde est une grande Eglise grise où il importe peu que les Devoirs soient imposés par l'Hédonès plutôt que par l'Agapè. Le futur tout entier n'est que la codification du développement par le compromis historique. P.P.P.

11/2003

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Droit

La République française. Décembre 1943-décembre 1946

Boris Mirkine-Guetzévitch, Professeur de droit Russe, avait échappé aux pogroms et à la révolution de 1917 en se réfugiant en France. Il échappa à la Gestapo en rejoignant les Etats-Unis à l'été 1940. Et c'est à New York qu'il fut la cheville ouvrière de la fondation, avec d'autres intellectuels français en exil, d'une revue "destinée à maintenir la flamme inextinguible de la civilisation française" : La République Française. Il y publia, chaque mois entre décembre 1943 et décembre 1946 des articles sur la situation constitutionnelle et politique de la France. Ce sont ces articles, aujourd'hui très difficilement accessibles, qui sont pour la première fois réunis et présentés par Jean-Eric Callon. Cette publication constitue un apport majeur de l'auteur de la théorie du parlementarisme rationalisé pour la compréhension des projets constitutionnels de l'après-guerre. Elle apporte également un témoignage unique du bouillonnement de la réflexion constitutionnelle de la Résistance entre Alger, Londres, New York et Paris. Ainsi, d'analyses sur la légitimité des gouvernements provisoires, en réflexions sur l'articulation du droit constitutionnel et du droit international pour la protection des droits de l'homme, Boris Mirkine-Guetzévitch nous offre une lecture captivante de la situation constitutionnelle de la France, teintée de cet existentialisme qui marqua de plus en plus celui qui fut très proche personnellement et intellectuellement de Jacques Maritain.

06/2019

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Histoire de France

La collaboration. Vichy, Paris, Berlin. 1940-1945

Le 24 octobre 1940, sur le quai de la gare de Montoire, Pétain serre la main de Hitler. La France a fait le choix de la collaboration. Mais qui a intérêt à collaborer ? Les Français ou les Allemands ? Qui en sont les acteurs ? Quel rôle louent les ultras ? Qui s'est enrichi ? Quelle est l'ampleur de la collaboration militaire ? Quel rôle a joué Vichy dans la déportation des Juifs de France et dans la répression de la Résistance ? A quel point intellectuels et artistes se sont-ils compromis ? Près de 600 documents — affiches, rapports, lettres, journaux intimes, insignes, tracts, procès-verbaux, mains courantes, pièces à conviction, registres d'écrou, albums photographiques, objets, etc — sont ici rassemblés et commentés, suivant une trame chronologique, de juin 1940 à avril 1945. Fonds exceptionnels des Archives nationales, séries du contre-espionnage encore inexploitées du Service historique de la Défense, dossiers des Brigades spéciales des Renseignements généraux à la préfecture de police, pièces d'un des collectionneurs les plus importants de la place de Paris : avec ces archives, pour beaucoup inédites, c'est la collaboration sous toutes ses formes qui est présentée. Une somme qui fera date.

11/2018

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Provence, Alpes, Côte d'Azur

L'olivier de la paix. Résistance niçoise, 1942-1944

Dans son message du 25 février 1943, le général de Gaulle, appelle la jeunesse de France, à rejoindre les organisations de la Résistance. A Nice, au lycée Masséna, un groupe de lycéens et d'étudiants autour de Jacques Peirani, rejoignent la résistance. Marie, François et Marco font partie de ce mouvement avec Julia et Andréas, deux jeunes allemands ayant fui le régime nazi. Le 6 juin 1944, des maquisards tendent deux embuscades à l'ennemi au col de Toutes Aures dans les environs d'Annot, et dans le village voisin de St-Julien-du Verdon. L'attentat fait onze victimes dans les rangs de la Wehrmacht. En représailles, le 11 juin suivant, onze résistants, dont cinq lycéens de Masséna, sont lâchement abattus, à St-Julien-du-Verdon... Quelques années plus tard, en parcourant le Mercantour, Marie et ses amis se remémorent les heures sombres de la guerre. Au cours d'une cérémonie en hommage aux maquisards, Marco fait la connaissance de la belle et mystérieuse Claire.

06/2021

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Sciences historiques

Les prisonniers de guerre français. Enjeux militaires et stratégiques (1914-1918 et 1940-1945)

Les deux guerres mondiales présentent deux caractères nouveaux qui rejaillissent sur le sort des prisonniers de guerre et fournissent des renseignements précieux sur les sociétés en guerre au XXe siècle. D'abord, ces deux guerres sont des guerres totales et les prisonniers de guerre restent un enjeu dans le domaine militaire, mais le deviennent aussi dans celui de l'économie et de la propagande. Ensuite, un droit humanitaire se met peu à peu en place. Symbolisant la puissance de la civilisation au moment où elle est le plus menacée, c'est-à-dire pendant les conflits, les textes conventionnels sont appliqués pour la première fois durant la Première Guerre mondiale, par l'intermédiaire de quelques articles de la Convention de La Haye de 1907 concernant les prisonniers de guerre et se perfectionnent avec la Convention de Genève de 1929, entièrement consacrée aux captifs. Cette étude suit plus particulièrement le sort des 600 000 prisonniers de guerre français de la Première Guerre mondiale et des 1 800 000 captifs de la Seconde Guerre mondiale, les plaçant en perspective avec les prisonniers des autres nations pour comprendre leur originalité. Elle montre également que les deux guerres mondiales apparaissent comme une période exceptionnelle où les belligérants sont clairement identifiés et où l'on tente, et globalement où l'on réussit, à protéger les prisonniers de guerre par un droit humanitaire international alors même que leurs rôles stratégiques augmentent.

06/2010

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Histoire internationale

La guerre germano-soviétique

Le 22 juin 1941, l'Allemagne nazie lance contre l'URSS la plus grande armada jamais réunie jusqu'alors. Cette "guerre d'extermination" du "judéo-bolchevisme" et pour la conquête de "l'espace vital" tournera à la catastrophe. Repoussée jusqu'à Leningrad, Moscou et Stalingrad, l'Armée rouge se redresse, brise l'envahisseur, et déferle bientôt sur l'empire nazi, jusqu'aux rues défoncées de Varsovie, Budapest et Berlin. Ayant confronté deux féroces tyrannies à une époque où le pouvoir de destruction était proportionnel aux masses, la guerre germano-soviétique est bien le conflit de tous les superlatifs. Les affrontements se sont déployés sur un immense théâtre d'opérations, de l'Arctique à la mer Noire, de l'Europe centrale et orientale à la Russie d'Europe. Ils ont également tenu du huis clos, de Leningrad assiégé pendant 900 jours (septembre 1941-janvier 1944) aux ruines de Stalingrad (juillet 1942-février 1943), du cimetière de chars de Prokhorovka, près de Koursk (juillet-août 1942), aux flammes de Budapest et de Berlin. Batailles colossales, exterminations, déportations ou exodes de peuples entiers, décimation des prisonniers, ce cataclysme a tué plus de trente millions de personnes - la moitié du bilan mortuaire de la Seconde Guerre mondiale -, généré d'inextinguibles souffrances, pulvérisé des records de barbarie, léguant aux peuples belligérants une mémoire tourmentée. S'appuyant sur une vaste documentation russe, allemande et anglo-saxonne, le présent livre embrasse tous les aspects de cet affrontement, réfutant au passage nombre de légendes et d'idées reçues. Analysant les calculs de Hitler et de Staline, retraçant les opérations et les doctrines militaires, l'auteur fait aussi une large part aux péripéties diplomatiques, aux violences à l'oeuvre de chaque côté du front, ainsi qu'aux facteurs économiques, sociaux et culturels ayant maintenu la cohésion des troupes et de l'arrière.

09/2013