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Géopolitique

Diplomatie Les grands dossiers N° 76, octobre-novembre 2023

ENVIRONNEMENT Réchauffement climatique : une décennie critique et décisive Biodiversité, contributions et protections : une équation à résoudre... Océan, berceau de vie Les sols sous les effets du changement climatique : perspectives géopolitiques, options d'atténuation et d'adaptation Les dynamiques de la déforestation mondiale RISQUES CLIMATIQUES Pouvoir, conflit et territoire : ce que le climat fait à la géopolitique Prospective climatique pour décideur éclairé 2022, une année record pour les déplacements de population internes liés aux catastrophes Le maintien de la sécurité environnementale : quel rôle pour les armées ? La crise de la biodiversité, un risque sécuritaire non conventionnel motivant le recours aux armées ? Les risques géoéconomiques du changement climatique HOTSPOTS Méditerranée, la bombe atomique climatique L'Afrique de l'Ouest à l'épreuve du changement climatique Le Tchad en première ligne Syrie : le changement climatique, un fléau supplémentaire dans un pays détruit L'Irak est un "signal d'alarme" adressé au monde entier Le régime iranien est-il menacé par le changement climatique ? L'Asie du Sud face au changement climatique Syrie : le changement climatique, un fléau supplémentaire dans un pays détruit L'Irak est un "signal d'alarme" adressé au monde entier Le régime iranien est-il menacé par le changement climatique ? L'Asie du Sud face au changement climatique La politique climatique chinoise : entre contraintes domestiques et engagements internationaux La Sibérie, ou la dualité des changements climatiques L'Amérique centrale à l'épreuve des phénomènes météorologiques extrêmes : vue depuis l'isthme panaméen DIPLOMATIE VERTE De la COP27 à la COP28 : les énergies fossiles enfin sur la sellette ? L'action climatique pour l'agriculture et la sécurité alimentaire : des avancées malgré les tensions Nord-Sud Les villes, des acteurs incontournables au sein des négociations pour le climat ? Un traité pour la haute mer Les petits Etats insulaires dans les négociations climatiques Vers la construction d'une justice climatique transnationale

10/2023

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Récits de voyage

Journal du voyage fait à la mer du Sud

Comme les écrits de William Dampier et Alexandre-Olivier Exmelin, le journal de Jacques Raveneau de Lussan est un des grands récits de pirate du Grand Siècle. De la vie du marin peu de choses sont connues. Né à Paris vers 1663, fils d'un notaire royal, il serait mort vers 1690 à Saint-Domingue. L'homme n'a pas toujours été dans la flibuste, il a d'abord entamé une carrière conventionnelle dans la guerre de course. Son récit nous embarque dans un périple entrepris à la fin de l'année 1684. Sa destination : la mer du Sud, au large des côtes du Pérou. Ses objectifs : piller autant que possible les vaisseaux de l'Amérique espagnole. Depuis 1680, le secrétaire d'Etat à la Marine de Louis XIV Seignelay, fils de Colbert, cherche pourtant à interdire les campagnes flibustières. Tôt ou tard, sur les mers et océans du globe, la France devra combattre ses puissances rivales, et la Marine du Roi ne saurait tolérer le moindre affront venu des bateaux pirates. Durant des années cependant, l'interdiction tarde à être appliquée, laissant à Raveneau de Lussan et ses compagnons d'armes la liberté de voguer et de combattre dans les Caraïbes et la mer du Sud. Ce témoignage fait ainsi revivre le Grand Siècle de la flibuste. Il nous dévoile les lieux marins que privilégient les pirates pour l'abordage, nous fait contempler les richesses pillées qu'ils partagent, et nous emmène, aussi, pour quelques escales, sur la terre ferme. Comme par exemple au Rendez-vous de l'île d'Or, près de l'archipel de San Blas, où les flibustiers du monde se retrouvent chaque année pour franchir, avec l'aide des Indiens Kunas, l'isthme de Panama, et foncer dans la mer du Sud vers de nouveaux butins en territoire espagnol...

11/2022

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Littérature sud-américaine

Nouvelles du Costa Rica

Alors que la mondialisation des échanges progresse, que le monde devient un pour tous, des mondes-miniatures s'imposent, des pays et des régions entières affirment leur identité, revendiquent leur histoire ou leur langue, réinvestissent pleinement leur espace. Quoi de plus parlant qu'une miniature, la nouvelle, pour lever le voile sur ce monde-là, celui d'une diversité infinie et porteuse d'espoir ? LE 18 SEPTEMBRE 1502, une forte tempête rejette le navire de ChriStophe Colomb sur le rivage de Isla Uvita, petite île au large de Puerto Limon, sur la côte caraïbe. Fasciné par l'or et le jade qu'arborent les habitants, le navigateur ne tarde pas à baptiser "Costa Rica" - la Côte riche - les terres qu'il vient de découvrir. Ce pays dix fois plus petit que la France jouit d'un climat tempéré et d'une faune et d'une flore exceptionnelles. Sa forêt tropicale humide, ses parcs nationaux et ses réserves privées avec leurs ponts suspendus où règnent le quetzal, l'oiseau emblématique de la civilisation précolombienne, en font une destination très prisée. La "Suisse de l'Amérique centrale" a été épargnée par les nombreuses révolutions et dictatures qui ont ravagé les autres pays de l'isthme et n'a plus d'armée depuis 1948, selon sa devise nationale : "Que vivent pour toujours le travail et la paix". Et la littérature des Ticos (Costariciens) n'est pas en reste ! Qu'ils traitent du passé ou du présent, de la ville ou de la campagne, les six écrivains réunis ici expriment un même amour de la langue et du pays, et un même optimisme quelles que soient les thématiques, même douloureuses. Les passions sont humaines, simplement humaines.

04/2021

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Histoire ancienne

Carthage "Les travaux et les jours". Recherches et découvertes, 1831-2016

Une presqu'île, un petit territoire rattaché par un isthme au continent africain et cerné par la Méditerranée au fond d'un golfe, c'est dans ce cadre que se sont développées deux grandes civilisations punique et romaine laissant les marques de leur histoire dans le sol et le paysage. Elles ont déposé dans son sous-sol d'abondants témoignages que, depuis plus d'un siècle et demi, des hommes passionnés par l'Histoire cherchent à comprendre et transmettre. Cet immense travail fait de passion et de raison, jamais achevé et toujours recommencé, est resté dispersé à travers la multitude et l'amas des écrits et publications. L'auteur s'est proposé de rassembler et d'ordonner cette documentation ici selon un plan raisonné, géographique et chronologique. Aujourd'hui cette presqu'île, qui fut à l'origine de l'entrée de l'Afrique dans l'histoire et qui n'a jamais cessé d'être occupée, est à nouveau totalement investie par l'emprise de la capitale tunisoise son héritière. Quel sort cette héritière du xxie siècle va-t-elle réserver à celle qui a établi ses assises et préparé son essor ? Le présent travail, en dehors de son apport scientifique, est destiné aussi à rappeler l'immense et prestigieux patrimoine dont la capitale d'aujourd'hui se doit de prendre conscience et soin. Aussi ce travail se referme sur un " éloge à la cité antique " comme foyer civilisateur, dont le respect peut être rédempteur pour l'homme de demain. Archéologue et historien, Abdelmagid Ennabli a été l'organisateur du programme UNESCO de sauvegarde de Carthage. Conservateur du musée et du site de Carthage, il a dirigé depuis 1973 la grande campagne de fouilles à laquelle ont participé de nombreuses équipes internationales oeuvrant à la connaissance, à la défense et à la mise en valeur du site menacé par l'urbanisation. Il a été jusqu'en 2001 directeur des sites et des monuments historiques au sein de l'Institut national du Patrimoine de Tunisie.

03/2020

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Philosophie et sociologie de l

Retour au réel. Essais pour se guérir des illusions du progrès

Préface d'Alain de Benoist Jusqu'au XVIIIe siècle, l'évolution technique et scientifique était si lente qu'elle influait peu sur les moeurs. L'éducation était familiale. ? Savoir-faire et savoir-vivre s'apprenaient par l'exemple. On croyait à l'hérédité et l'on disait : "? Bon chien chasse de race" et "? Bon sang ne saurait mentir" . Pour expliquer les différences entre person­nes d'une même famille, on pensait "Dieu l'a voulu ! " Au siècle des Lumières, ces croyances solidement ancrées dans toutes les classes sociales furent remises en question. Condorcet déclara : "Il n'y a entre les deux sexes (et les individus) aucune différence qui ne soit l'ouvrage de l'éducation" . Leibnitz, de son côté, déclarait : "Donnez-moi l'éducation et je changerai la face du monde avant un siècle". Que n'eurent-ils raison ! Fini alors la mésentente dans les ménages, entre les individus et entre les peuples... la compréhension universelle par la culture ! Le XVIIIe siècle fit accepter un autre dogme, celui du changement en mieux grâce à l'avancée des techniques et des sciences. Maxime Laguerre s'efforce de démontrer que ces deux dogmes sont des erreurs. En effet, si l'on peut éduquer la seconde nature, celle des habitudes, du savoir-vivre, il est impossible de modifier l'inné, la personnalité, la mentalité. Or, c'est l'inné qui fait l'entente. Les vrais jumeaux s'entendent toujours, même s'ils ont eu une éducation fort différente. L'entente obtenue grâce à une même culture est donc malheureusement un mythe. D'autre part, Maxime Laguerre montre que l'évolution technologique est le résultat d'inventions, par définition imprévisibles et librement adoptées par les individus. ? Or, ceux-ci recherchent le moindre effort, l'oisiveté et de nouvelles sensations gusta­ti­ves, sensorielles, auditives, visuelles, olfactives, plus agréables que les précédentes. Chaque année des innovations favorisent cette recherche, mais finalement améliorent-elles notre joie de vivre ? Rien n'est moins sûr. Toutes ces nouvelles sensations modifient le génome que nous allons trans­mettre et risquent de le détraquer, d'où toutes ces déviances innées : autisme, boulimie, anorexisme, pédophilie et autres vices. Nous voyons apparaître différentes drogues pour combattre l'anxiété : la dépression et le pessimisme, contraires à la joie de vivre. Les progrès de la science médicale ne parviennent pas à endiguer l'augmentation des maladies cardio-vasculaires, l'asthme, les allergies ou l'alzeimer qui n'existaient pas chez l'homme primitif. Des idées nouvelles qui forcent à réfléchir. Les livres de cette collection ont été publiés dans un passé récent. Ils nous remettent en mémoire des événements parfois oubliés et offrent des analyses toujours pertinentes aujourd'hui, mais qu'il est nécessaire d'appréhender avec le recul de l'histoire. Ils offrent ainsi un éclairage indispensable pour comprendre l'évolution et la situation des sociétés actuelles.

08/2021