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Traces de la grande guerre

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BD tout public

Madame Livingstone. Congo, la Grande Guerre

En Afrique centrale durant la Première Guerre mondiale, l'aviateur Gaston Mercier, lieutenant de l'armée royale belge, est chargé de couler un cuirassé allemand sur le lac Tanganyika. Pour en découvrir la position exacte, on lui assigne un guide un peu particulier... Ce dernier, un métis énigmatique en kilt qui semble beaucoup plus instruit que les autres autochtones, prétend être le fils du célèbre explorateur David Livingstone. Petit à petit, alors que la guerre entre puissances coloniales belge et allemande fait rage au cœur du continent noir, le jeune pilote belge va essayer d'en apprendre un peu plus sur l'histoire de cet homme qu'on appelle "Madame Livingstone".

07/2014

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Histoire de France

Les enfants dans la Grande Guerre

Enfant. Guerre. Deux mots parmi les plus antinomiques. Pourtant, de 1914 à 1918, la guerre est au cour de la vie de l'enfant et, inversement, l'enfant est au coeur de la guerre. Qu'il en soit témoin, victime, ou acteur, il ne peut échapper au conflit qui bouleverse son univers et son quotidien. Confronté à la violence psychologique, physique, symbolique du conflit et à la brutalisation de la société, l'enfant s'affirme comme un précieux révélateur de la culture de guerre de l'époque.

03/2019

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Histoire de France

Nouvelles recherches sur la Grande Guerre

Cet ouvrage, contribution de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts d'Angers au Centenaire de la Grande guerre évoque d'abord Angers et le Maine-et-Loire. Avec la Société d'Agriculture, Sciences et Arts — c'était alors son nom — qui a su poursuivre ses travaux quand certains des siens perdent leurs fils au front, et que chaque jour arrivent des blessés à la gare Saint-Laud. Avec des figures, parfois attendues, ainsi Lucien Lizé l'un des généraux angevins de la guerre, ou inattendues : le philosophe Henri Bergson, Jacques de Dampierre, maire de Villemoisan. Le regard s'élargit aux autres lieux et aux autres acteurs de la guerre et de la paix. A la France du Nord, envahie, mais où les écoles continuent à instruire. A l'Europe centrale, pour laquelle la paix est une défaite et non une victoire. A nos soldats d'Afrique, uniformément appelé Sénégalais. Et jusqu'à une dernière image de L'Echo de Paris : le 2 novembre 1918, la mère et la petite fille devant une tombe — une simple croix surmontée du casque : "Papa sait-il qu'on est vainqueur ? ", demande la petite... Reste l'évocation des honneurs décernés à ces soldats de la Patrie, et un retour sur les négociations d'armistice. Ainsi sont parcourues ces quatre années d'une guerre, "la der des ders", définitivement inscrite dans le passé cent ans après, et pourtant si présente dans le destin de l'Europe aujourd'hui et de demain.

03/2019

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Droit

La Grande Guerre et son droit

Si le centenaire de la Première Guerre mondiale a évidemment été l'occasion d'expositions et de manifestations scientifiques nombreuses, rares sont celles dont le droit a été l'objet exclusif. Tel est au contraire le parti pris de l'ouvrage aujourd'hui présenté au public, qui entend appréhender non seulement l'attitude des juristes face à la guerre, mais aussi la réaction des systèmes juridiques eux-mêmes, à travers des exemples tirés tant du droit privé que du droit public, dans le but de saisir le fonctionnement concret des règles de droit dans un contexte assurément particulier, la résistance des principales distinctions (droit privé/droit public), catégories (propriété privée) et notions juridiques et la solidité de certains principes juridiques (liberté contractuelle, intangibilité du contrat). L'ouvrage s'adresse ainsi non seulement aux universitaires et étudiants des facultés de droit et d'histoire, mais aussi à tous ceux qui souhaitent découvrir comment les systèmes juridiques des principaux pays belligérants, confrontés à l'âpreté des combats et à l'enlisement d'un conflit dans lequel ils ne sont pas tous entrés de manière identique, ont entendu répondre aux divers défis qui leur étaient adressés. Les contributions réunies dans ce volume, pour l'essentiel rédigées par des historiens du droit, montrent alors que, pour chacun de ces systèmes, les difficultés liées à la mobilisation, à la conduite des opérations militaires, au maintien de l'activité économique, au fonctionnement de la justice ou encore à la réparation des dommages de guerre, ont souvent été résolues au moyen de techniques pour une bonne part similaires, comme la mise en place d'un contrôle accru des activités économiques au moyen notamment de restrictions à la liberté contractuelle et à la liberté du commerce, le recours à la technique des moratoria ou, au contraire, le maintien de certains grands principes du droit contractuel, spécialement la force obligatoire du contrat. Elles montrent également que cette adaptation des systèmes juridiques au temps de guerre a souvent bénéficié de l'expérience passée (notamment le premier conflit franco-prussien de 1870) et que, sur certains points (réparation des dommages de guerre, encadrement accru du contrat de bail), elle laissera des traces bien après la fin des hostilités.

04/2018

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Histoire de France

Les femmes dans la Grande Guerre

La Première Guerre mondiale est tout autant une épreuve pour les femmes qu'elle ne l'est pour les hommes. Elles se mobilisent en masse dès les premiers jours à l'invitation de René Viviani, président du Conseil, et participent activement à l'effort de guerre durant quatre longues années. Celles que le journal La Guerre documentée qualifie à plusieurs reprises de "remplaçantes" dans ses colonnes – La Baïonnette sort également un numéro sous ce titre en novembre 1915 – se rendent indispensables par le soutien apporté aux combattants (infirmières, marraines de guerre) mais également en contrebalançant le déficit de main-d'oeuvre masculine, en assurant le plein rendement de l'activité économique du pays (agriculture, industrie de guerre). En plus de tenir le foyer et de s'occuper des enfants, les femmes ont ainsi tenu un rôle majeur au cours du conflit. En prouvant qu'elles étaient capables de suppléer les hommes dans des secteurs d'activité dont elles étaient jusqu'alors exclues, elles s'affirment davantage dans la société et aspirent légitimement à franchir une étape décisive pour leur émancipation. Le bilan est pourtant nuancé, et la journaliste Séverine n'hésite pas à conclure amèrement que les femmes n'ont été que les "domestiques de la guerre". Pourtant, rien ne sera plus comme avant, et un article de La Vie féminine en 1919 affirme que la Grande Guerre permit à l'humanité de "prendre conscience de sa moitié".

06/2018

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Histoire de France

Les civils dans la Grande Guerre

Oubliez ce que vous avez appris de la guerre 14-18, oubliez que vous vivez au xxie siècle et revenez plus d'un siècle en arrière, habitant d'une ville, d'un petit village ou d'un bourg. Civil, quel est votre quotidien en ce temps de conflit ? Potigny, commune du pays de Falaise, pourtant éloignée du front, a été, comme beaucoup d'autres, le siège d'une caserne française et la patrie de nombreux soldats blessés. Affiches, journaux, courriers, photographies, trophées de guerre et propos tenus par des permissionnaires, ont constitué une porte d'entrée effrayante sur un monde rythmé, au fil des années, par des événements tels la déclaration de guerre, l'armistice et le retour des poilus. 14-18 fut une guerre du citoyen en arme pour laquelle chacun fut mobilisé, enfants, femmes, vieillards, en vue de la victoire. La violence qui fut principalement celle du champ de bataille, au coeur d'une guerre inhumaine, s'est ainsi retrouvée plus ou moins forte au sein même des foyers. L'énormité des sacrifices et la volonté de vaincre l'ennemi sans chercher une paix salvatrice, font que cette blessure collective n'a jamais entièrement cicatrisé.

10/2018

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Histoire internationale

Les Américains dans la Grande Guerre

Le 6 avril 1917, les Etats-Unis, restés neutres depuis le début du conflit, s'engagent militairement aux côtés des Alliés. Les Doughboys, ou Sammies, comme on appelle les fantassins américains, font leur baptême du feu au printemps 1918. Dans les six mois qui suivent, plus de cinquante-trois mille d'entre eux meurent sur les champs de bataille européens. Les reportages des photographes militaires permettent de retracer, au plus près de la vie des soldats et des civils, l'ensemble de l'expérience de guerre des Etats-Unis. La Grande Guerre ouvre l'époque des conflits globaux. C'est cette mutation fondamentale que raconte ce livre, conçu à partir d'archives photographiques françaises et américaines largement inédites.

03/2017

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Histoire de France

Les animaux dans la Grande Guerre

« Des poux, des rats, des barbelés, des puces, des grenades, des bombes, des trous d'obus, des cadavres, du sang, de l'eau-de-vie, des souris, des chats, des gaz, des canons, de la boue, des balles, des tirs de mortier, du feu, de l'acier, c'est ça, la guerre ! L'œuvre du diable ! » Otto Dix, peintre et soldat de la Grande Guerre. Dans cette funeste énumération, on trouve quelques animaux, des nuisibles surtout, mais il y en avait bien d'autres sur le front. Ainsi, chevaux, chiens et pigeons avaient un rôle militaire. Présents aux côtés des soldats, ils assumaient des tâches logistiques ou de transmission. Dans cet ouvrage très illustré et très documenté, Jean-François Saint-Bastien déniche les bêtes et bestioles de tout poil qui furent les amies ou les ennemies du soldat. Vous y apprendrez que l'équivalent de la Croix-Rouge existait pour les chevaux et que les chiens aussi étaient réquisitionnés pour l'effort de guerre. Vous découvrirez des héros à quatre pattes et des sauveteurs ailés, ou encore des recettes miracles utilisées pour se débarrasser de la vermine… L'auteur décortique également la symbolique animale utilisée dans la propagande et nous montre comment les soldats rendaient hommage à leurs compagnons d'infortune. Il livre ici une approche originale et inédite de la première guerre mondiale.

03/2014

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Sciences historiques

Le Soissonnais dans la Grande Guerre

Les Allemands prennent Soissons le 2 septembre 1914 mais, après la victoire de la Marne, la 6e armée française avance sur l'Aisne. Le 12 septembre, les troupes d'Afrique entrent dans la ville qui reste entre leurs mains. La ligne de front se fige à l'orée de la cité. La guerre de positions commence… De septembre 1914 à mars 1917, la vie se maintient à Soissons durant ce qui prend les allures d'un véritable siège. Une partie de la population reste sur place en compagnie de milliers de combattants. L'année 1917 est marquée par l'échec sanglant du Chemin des Dames, à l'est de Soissons. Après la percée allemande du printemps 1918, la ville subit une nouvelle occupation du 29 mai au 2 août. Mais, le 18 juillet, Mangin lance la célèbre contre-attaque de Villers-Cotterêts : la seconde bataille de la Marne est une victoire. Le 2 août 1918, enfin, l'armée Mangin entre dans Soissons. Un des pivots de la « poche » creusée entre la Marne et l'Aisne par les Allemands s'effondre. L'avance française reprend à la fin du mois d'août. Tout le Soissonnais est libéré progressivement. Pascal Chambon, grâce à ses commentaires très documentés et à une sélection de cartes postales anciennes, nous livre ici un très riche ouvrage.

07/2011

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Histoire de France

La Grande Guerre. Carnet du centenaire

Cent ans après, ce carnet illustré d'images rares ou inédites propose l'essentiel de la Grande Guerre dans une lecture renouvelée. D'abord en lui restituant toute son ampleur d'histoire mondiale depuis la Nouvelle-Zélande jusqu'à la Baltique en passant par l'Afrique noire ; ensuite en proposant des cheminements originaux qui racontent la guerre à travers ceux qui l'ont faite et traversée, non pas seulement les dirigeants mais aussi des personnages ordinaires ou peu connus, en parcourant les lieux qui en portent les traces, les objets qu'elle a façonnés ou encore les mots qui l'ont accompagnée. Neuf brefs chapitres faisant alterner les styles et les manières de comprendre, les connaissances nécessaires et la découverte d'histoires et d'enjeux méconnus et décalés.

10/2013

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Généralités

La Grande Guerre peut-elle mourir?

"Depuis longtemps, je m'étais éloigné de la Grande Guerre. Et puis le politique a fini par me ramener vers elle, en deux occasions qui furent l'une et l'autre deux crises majeures traversées par la collectivité nationale. La première est celle de l'attentat du 13 novembre 2015, immédiatement transformé en une guerre par le pouvoir politique et les médias. La seconde, en 2020, correspond aux débuts de la pandémie de Covid. Dans les deux cas, la Grande Guerre a fourni une ressource politique de premier ordre pour encadrer une opinion publique en plein désarroi. La France, qui a célébré pendant sept ans le Centenaire du premier conflit mondial, est le seul de tous les pays occidentaux où s'impose ainsi, en temps de crise, le narratif de la Grande Guerre. Voilà qui pousse à réfléchir un peu au statut si particulier du référent 14-18 dans notre pays. A réfléchir aussi à son effacement possible : peut-on imaginer qu'un jour la Grande Guerre cesse de véhiculer les affects puissants qu'elle continue de mobiliser chez chacun de nous ? Peut-on concevoir qu'elle puisse disparaître enfin de notre souvenir historique collectif ? " S. A. -R.

09/2023

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Première guerre mondiale

L'Occupation pendant la Grande Guerre

Entre 1914 et 1918, une grande partie du territoire belge et 10 départements français connaissent, ou plutôt subissent, l'occupation. Si elle est éphémère dans certaines communes, elle s'installe durablement dans d'autres. L'expérience de guerre des civils en zone occupée est bien différente de celle de leurs compatriotes de la "zone libre" . Sous le joug allemand, ils sont notamment contraints de travailler pour l'ennemi quand les seconds oeuvrent pour leur propre patrie. L'occupant leur impose, tant sur un plan moral que matériel, une cruelle épreuve qui ne cesse de se durcir face aux manques de ressources et de main-d'oeuvre, de plus en plus criants pour l'Allemagne. Une occupation qui, selon les dires de ceux qui eurent l'infortune de la vivre à nouveau lors de la Seconde Guerre mondiale, fut sans conteste bien plus dure pendant la Grande Guerre.

03/2024

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Histoire de France

Oubliés de la Grande Guerre. Humanitaire et culture de guerre (1914-1918)

Fondé sur l'analyse d'archives inédites, en particulier celles du Vatican et du Comité international de la Croix-Rouge, ce livre renouvelle en profondeur l'étude de la Grande Guerre. Il retrace les souffrances endurées par les populations civiles - réquisitions, travail forcé, déportations - et les prisonniers de guerre, ainsi que les interventions humanitaires qui cherchent à les protéger. Il révèle ainsi que la Grande Guerre ne fut pas seulement la guerre des tranchées mettant aux prises les combattants du front, mais qu'elle fut bien une guerre totale, pesant en profondeur sur les sociétés et enrôlant des populations entières, Elle fut ainsi la première des guerres du XXe siècle, annonçant par bien des traits les atrocités de la Seconde Guerre mondiale, dont elle constitue en quelque sorte la matrice. Un ouvrage de référence, au carrefour de l'histoire et des interrogations contemporaines sur le rôle de l'humanitaire.

08/2012

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Histoire de France

La Grande Guerre des civils (1914-1919)

En août 1914, l'existence de millions d'hommes et de femmes a basculé avec l'ordre de mobilisation générale. Or, jusqu'à aujourd'hui, aucun ouvrage, parmi les milliers consacrés à la Grande Guerre, ne s'est penché sur le quotidien de ces 36 millions de civils - pour environ 6 millions de militaires - qui ont vécu le conflit en dehors des tranchées, à l'arrière ou dans les zones occupées par les Allemands, entre 1914 et 1918. Ces civils sans qui la guerre n'aurait pu être gagnée. Avec cet ouvrage très documenté, Eric Alary comble enfin un vide historiographique de taille. Mêlant histoires intimes et analyses de l'historien, il raconte les séparations, les évacuations, les exodes, les deuils infinis, la place nouvelle de millions de femmes et d'enfants dans une société recomposée, les privations matérielles et alimentaires, les grèves, les bombardements aériens, la lente démobilisation des hommes entre 1918 et 1920, sans oublier le retour difficile des blessés et des mutilés dans leurs foyers et les terribles ravages de la grippe espagnole. Un siècle après le début de la Grande Guerre, il était essentiel de faire partager, enfin, l'histoire et les souffrances de ces Français oubliés.

10/2013

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Histoire de France

Allons enfants de la patrie. Génération Grande Guerre

On croit avoir tout dit des acteurs de la Grande Guerre, son cortège de poilus, de femmes à l'arrière,de gueules cassées... Et pourtant il est un autre groupe, souvent négligé, qui fut durablement marqué par le conflit : les enfants. Qu'ils en aient été victimes, orphelins, occupés, blessés parfois, traumatisés ou même épargnés, ils portent sur cette période un regard singulier et méconnu. A l'appui de journaux intimes, de dessins, de correspondances et d'enquêtes orales, Manon Pignot part à la recherche de cette voix de l'enfance, jusque-là inouïe. Dans la lignée de la micro-histoire, elle tente une exploration de l'intime, qui se révèle riche d'enseignements sur le monde de l'enfance, bien sûr, mais aussi sur les adultes qui l'entourent : des éducateurs, des parents - et surtout des pères. Car avec l'éloignement et le danger, un sentiment paternel jusque-là plutôt sous-jacent éclate au grand jour - et ouvre un nouvel éventail de relations parentales qui gagneront en proximité et tendresse tout au long du XXe siècle. Avec finesse, Manon Pignot montre que la Grande Guerre contribua à faire émerger une véritable voix enfantine. Sans être uniforme, elle possède néanmoins une singularité qui permet de parler à son propos de la naissance d'une nouvelle " génération " - la première du XXe siècle. En repartant aux sources de l'enfance, c'est à une histoire inédite du siècle que s'essaie Manon Pignot.

01/2012

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Première guerre mondiale

La Grande Guerre de Joseph et Loys Roux

Le livre est centré sur le fonds d'archives de Joseph et Loys Roux, prêtres et infirmiers pendant la Première Guerre mondiale, conservé chez des particuliers, aux archives départementales du Rhône et à l'ECPAD. Soit près de 2 000 pages de carnets de guerre tenus pratiquement quotidiennement par Loys Roux, sans interruption d'août 1914 à décembre 1918, et plus de 1500 photos, réalisées par Joseph jusqu'à sa mort au front, en décembre 1915, puis par Loys jusqu'à la fin de la guerre. Un témoignage photographique, qui forme une sorte d'encyclopédie visuelle de la Grande Guerre constituée de façon quasiment ininterrompue pendant 52 mois. Introduction par deux historiens : Yves Le Maner et Yann Prouillet.

10/2023

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Histoire de France

14 visages et vestiges de la Grande Guerre

Depuis plus de 20 ans, Didier Pazery a réalisé un ensemble unique de photographies d'hommes, d'objets et de paysages liés à la Grande Guerre. Il a notamment été l'un des rares photographes à saisir les visages des ultimes survivants du conflit. Après la disparition du dernier poilu, il a poursuivi sa recherche en photographiant les objets du Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux et les champs de bataille de l'ancien front. Eclats de métal affleurant des dizaines d'années après sa blessure sous la peau parcheminée d'un vieil homme, obus et grenades non explosés qui refont surface sur l'ancienne ligne de front... Mélange d'émotion et de rigueur documentaire, ces images sont des récits qui se répondent, une mise en abyme de l'histoire de la Grande Guerre.

06/2014

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Histoire de France

Jean-Emile Laboureur. Images de la Grande Guerre

Artiste prolifique, peintre et graveur talentueux apprécié de ses pairs, Jean-Emile Laboureur côtoie dans le Paris bouillonnant des premières décennies du 20e siècle Guillaume Apollinaire, Raoul Dufy ou Marie Laurencin... La Grande Guerre, qui l'a mené du front d'Artois à Saint-Nazaire, constitue un moment clé de son évolution. Dessins et gravures permettent de saisir en mouvement l'activité créatrice de celui auquel de grands écrivains de l'entre-deux-guerres feront appel pour illustrer leurs ouvrages. Auteures : Gaëlle David, Marine Branland.

01/2015

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Histoire de France

Le traumatisme de la Grande Guerre (1918-1933)

En mars 1918, les troupes allemandes se lancent à l'assaut des tranchées françaises et britanniques, et réalisent en quelques heures ce qui semblait depuis quatre ans impossible : la grande percée. Huit mois plus tard, l'Allemagne est épuisée et défaite militairement : elle signe un armistice qui marque la fin d'un conflit meurtrier dont l'issue venait de se jouer sur le sol de France. Conflit mondial, la guerre avait aussi, et peut-être avant tout, été franco-allemande. L'angoisse de la mort faisait désormais place au soulagement mais la fin des hostilités ne devait pas marquer la fin de l'hostilité. Du côté du vainqueur comme du vaincu, le ressentiment dominait et le traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919 ne devait pas apaiser les esprits. Pourtant, les relations entre les deux pays ne se résumèrent pas à cette inimitié. Les transferts culturels, les tentatives de rapprochement intellectuel, les efforts de Briand et Stresemann marquèrent aussi la période. Fondé sur une recherche en plein renouvellement, ce livre propose une lecture véritablement transnationale de cette "sortie de guerre franco-allemande" et lui restitue, avec une grande clarté, toute sa complexité.

09/2012

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Histoire de France

Les objets d'écriture de la Grande Guerre

Ce quatrième volume consacré à l'artisanat de tranchée par Patrice Warin traite d'un phénomène qui a connu un développement spectaculaire au cours de la Grande Guerre : la fantastique multiplication des correspondances écrites entre tous les citoyens impliqués dans ce conflit, civils, soldats, prisonniers, pendant cinq longues années, les membres des familles séparées, les militaires souvent déplacés, les parents recherchant un disparu, ont écrit des millions de lettres, ont rempli des milliers de formulaires différents. La franchise militaire, des modes de transmissions spécifiques, des supports d'écriture adaptés, ont évité la saturation des réseaux postaux. Les industriels modernisent tout ce qui peut faciliter l'action de communiquer et de correspondre : les poilus, s'inspirant de ces nouveautés, fabriquent les "objets d'écriture" qui leur font défaut, d'abord pour eux-mêmes, puis pour leurs proches. Ils se lancent ensuite dons la production de souvenirs que les collectionneurs actuels contribuent à sauvegarder. Vieux d'un siècle, ces souvenirs nous font revivre une époque où les progrès techniques touchent aussi bien la vie quotidienne devenue si difficile que la puissance destructrice des armements. Des oeuvres remarquables figurent dons ce livre, grâce aux collectionneurs qui ont ouvert leurs vitrines et donné accès à leurs plus belles pièces artisanales. Les derniers poilus disparus, leurs lettres et celles reçues de leurs familles restent aujourd'hui les seuls témoignages à notre portée. A côté des objets bricolés sur le front ou dans les arrières-lignes. Un porte-plume, ou un encrier, fignolé par un soldat, demeure plus qu'un témoin car il a aussi servi à écrire ces missives qui nous touchent si profondément. Le sceau pour cire à cacheter (ou le tampon-buvard) sorti des mains d'un poilu artisan sculpteur semble provenir d'un monde disparu. Cependant, ces objets du passé, au même titre que quelques lignes tracées sur un papier froissé ou sur une carte-lettre jaunie nous font participer à l'existence de ces hommes dont beaucoup n'ont jamais retrouvé la vie civile.

11/2011

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Droit

Le barreau de Paris dans la Grande Guerre

" Cent ans après la déclaration de la Grande Guerre, qui allait durer quatre ans, tuer plus d'un million trois cent mille français, et en blesser trois millions, il appartenait au Barreau de Paris de rendre hommage à ceux de ses membres qui sont morts pour la France durant le conflit ou plus tard, des suites de leurs blessures. Ce livre, voulu par Monsieur le Bâtonnier Pierre-Olivier Sur, est composé de 233 portraits d'avocats, très jeunes pour la plupart, dont 35 Anciens Secrétaires de la Conférence, qui ont donné leur vie pour la Patrie, sacrifice d'autant plus remarquable que, en 1914, l'Ordre de Avocats de Paris ne comptait guère plus de 2 500 membres, inscrits au Grand tableau ou stagiaires. Certains de ces portraits sont sommaires, les plus poignants sans doute, de jeunes confrères peu connus, sans famille, presque sans amis, sans personne pour témoigner au Bâtonnier Henri Robert, en fonction pendant toute la durée de la guerre, et à ses successeurs, de leur valeur et de la peine qu'ils ont éprouvée en apprenant leur disparition. " (François Gibault)

05/2016

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Histoire de France

Histoire mondiale de la Grande Guerre 1914-1918

Ce texte original dessine un panorama complet de l'une des plus grandes catastrophes du siècle dernier grâce aux confrontations des légendes et des faits historiques recensés et analysés par l'auteur.

02/2017

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Romans historiques

Souvenirs d'un soldat de la Grande Guerre

René a été mobilisé à vingt-deux ans alors qu’il venait de terminer son service militaire et il a été envoyé sur le front de l’Yser dans une unité de ligne. Là, dans cet enfer de froid, de faim, de métal hurlant, de feu et de mort il survit et combat auprès de ses pairs, soldats issus de toutes les classes sociales et de toutes les régions de Belgique. On attend de lui qu’il tue et qu’il le fasse du mieux qu’il peut sans se faire tuer en retour. Il combat, survit, obéit et tue, s’appliquant à réaliser cette tâche qui constitue maintenant son lot quotidien.

11/2019

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12 ans et +

Suzie la rebelle dans la grande guerre

Jeune fille de bonne famille promise à un beau mariage, Suzie a 16 ans lorsque éclate la Première Guerre mondiale. Son destin bascule. Livrée à elle-même et brûlant de se rendre utile, elle participe aux travaux agricoles, soigne un blessé et tombe amoureuse d'un jeune homme inconnu de ses parents. Elle découvre l'horreur des tranchées, mais aussi la difficulté d'être libre quand on est une femme. En 1916, pour supporter l'attente de celui qu'elle aime, elle intègre l'équipe de manipulatrices radio formée par Marie Curie et part en mission sur le front. Mais la chercheuse qu'elle admire est soupçonnée de trahison par les services du contre-espionnage français. Tour à tour révoltée et troublée, Suzie part en quête de la vérité, aidée par des femmes d'exception, pacifistes et féministes. Au lendemain de l'armistice, malgré leur travail acharné à l'arrière, les femmes sont renvoyées dans leurs foyers. Toujours rebelle, Suzie s'engage dans la recherche autour de la radioactivité. Alors qu'elle travaille à l'Institut du radium auprès d'Irène Curie, elle est approchée par un espion russe qui menace son fiancé, vulnérable et marqué par les combats. Passionnée d'histoire, discipline qu'elle a enseignée, Sophie Marvaud a publié la série Le Secret des cartographes (trois tomes chez Plon et au Livre de Poche).

03/2014

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Histoire de France

La Franche-Comté pendant la Grande Guerre

La Franche-Comté entre prématurément dans la première guerre mondiale : une journée avant que l'Allemagne déclare la guerre à la France, le 2 août 1914, le caporal Jules-André Peugeot, natif d'Etupes, est tué lors d'un affrontement avec une patrouille de cavaliers allemands, à Joncherey, près de Belfort. Il est donc le premier mort français de la Grande Guerre. Ironie du sort, en novembre 1918, c'est un Franc-Comtois natif de Beaucourt, le sergent Pierre Sellier, qui sonne avec son clairon le premier cessez-le-feu annonçant l'armistice. Du caporal Peugeot au sergent Sellier, Jean-Claude Barbeaux nous décrit comment la Franche-Comté a traversé la Grande Guerre. Très vite, les troupes stationnées à Belfort partent à l'offensive en Alsace. Elles enregistrent les premières et brèves victoires françaises. Puis les régiments francs-comtois combattent en première ligne de Verdun à la Somme jusqu'en Orient. Certains formeront la fameuse division des As. A l'arrière, les civils font face. Les femmes participent activement à l'effort de guerre. Des travailleurs arrivent également de Chine ou du Canada pour pallier l'absence des dizaines de milliers d'hommes partis au front. Les grandes entreprises, comme Peugeot ou Japy, qui met au point le casque des Poilus, se convertissent dans l'industrie de guerre. Au front ou à l'arrière, à travers des destins d'hommes célèbres ou d'anonymes, nous entrons dans le quotidien des Francs-Comtois durant cette guerre qui, rappelez-vous, devait être la der des der. Jean-Claude Barbeaux est l'auteur de nombreux ouvrages ou articles sur l'histoire de la Franche-Comté ou de ses spécialités culinaires. En 2013, il a signé Le Doubs en 200 questions aux Editions Sutton.

06/2014

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Histoire de France

Ce que j'ai vu de la Grande Guerre

La Grande Guerre fut le premier conflit à être massivement photographié. A côté des clichés officiels et des images de propagande, elle a fait émerger le regard de nombreux photographes amateurs. Parmi eux, celui de Frantz Adam est singulier, comme en témoignent les quelque cent cinquante photos réunies dans ce livre à l'initiative de l'Agence France-Presse. Adam parcourt l'ensemble du front ouest, participant aux principales opérations tout au long de la guerre, et au-delà :Vosges et Hartmannswillerkopf en 1915, Somme et Verdun en 1916, Chemin des Dames en 1917, libération de la Belgique, entrée en Alsace et occupation de la Rhénanie en 1918. Médecin militaire, humaniste, il circule en permanence des tranchées à l'arrière-front, observant avec empathie ses camarades du 23e régiment d'infanterie, tout autant que les soldats alliés et les prisonniers ennemis. Alsacien, patriote, il a témoigné également notamment sur les mutineries de 1917 dans un texte très personnel permettant, chose rare, de contextualiser ses photos. Celles-ci, souvent bouleversantes, donnent à voir les destructions et les souffrances d'un monde en guerre et les images fugaces de la camaraderie humaine qui permit d'y faire face.

10/2013

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Ethnologie

LA MORT EN QUESTION. Traces de mort, mort des traces

Mieux vaut parler de la mort que la laisser parler à notre place. A ce propos ce livre opère un long parcours. Il dit tout d'abord comment former une thanatologie, et de quelle manière l'homme désormais tente de gérer une mort à la fois perdue et redécouverte. Il nous fait assister à la mort figurée de la photographie au cinéma et à la mort théâtralisée, celle de la marionnette ou du rituel symbolique. Il nous rappelle que cette mort qui se lit dans les livres, bien que scandale par excellence, peut devenir l'ultime stratégie de la vie. Et pourtant, qu'y a-t-il de plus horrible que la mort subite du nourrisson ou la mort lente du vieillard qui n'en finit plus d'en finir ? A quoi s'ajoute, de nos jours, l'angoisse du sidéen ! Puis le livre bascule et devient témoignage : éprouvé par un deuil cruel, il s'agit pour l'auteur de maintenir en vie l'être aimé par la liturgie du souvenir... Tant il est vrai que si l'on traite de la mort avec des concepts et des phrases, on peut aussi l'écrire en lettres de chair et de sang : là réside sa vérité.

07/1997

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Science-fiction

La Guerre des Mondes. Grands caractères

Les martiens ont débarqué ! Sur Terre ! Au Royaume-Uni ! Dès qu'ils sont sortis des cylindres de feu qui leur ont permis d'effectuer ce long voyage, ils ont commencé à détruire et tuer autour d'eux, semant le ravage et la désolation. La stupeur et l'étonnement passés, les gens ont essayé de riposter et de contrer l'invasion, mais la puissance des envahisseurs est supérieure à tout ce que les humains peuvent opposer. Tels des fourmis, soldats et habitants se font écraser sans pitié par les machines gigantesques des martiens, avec leur rayon ardent qui brûle tout sur son passage. Un grand classique de la science-fiction plusieurs fois porté à l'écran, édité en grands caractères pour une lecture plus facile.

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Actualité et médias

Lignes de front. Les visages de la Grande Guerre

Cet ouvrage, recueil des actes du colloque qui s'est tenu à St-Remy-la-Calonne (Meuse) le 16 mai 2014, fait suite à celui précédemment intitulé Les images de la Grande Guerre à l'épreuve du temps, consacré à l'iconographie de la Première Guerre mondiale sous diverses formes (filmiques, photographiques, de presse, picturales, archéologiques...). Ce nouvel opus a pour objectif d'examiner les lignes de front, visages marqués de la Première Guerre mondiale, des meurtrissures des corps à la trace des combats, tout ce qui fait mémoire par-delà les strates du temps et les abîmes de l'oubli. Entre patrimonialisation et mise en valeur, cent ans après, la ligne de front, paysage insolite, continue de nous interpeler.

06/2016

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Beaux arts

Vitraux de Normandie. Une histoire de la Grande Guerre

Avec pas moins de 300 oeuvres créées en relation avec la Première Guerre mondiale, la Normandie est particulièrement riche en verrières dites commémoratives. Les premières sont posées dès 1916, alors que les évêques appellent à inscrire dans le marbre ou sur le verre les noms des paroissiens morts sur des terres lointaines. Forte de son engagement dans la guerre, l'Eglise souhaite faire passer des messages forts, la promesse du salut divin pour les soldats sacrifiés mais aussi l'attachement chrétien à la nation. Ces verrières, mi-religieuses, mi-patriotiques, prolongent et célèbrent ainsi l'Union sacrée. Jusque dans les années trente, des centaines de paroisses normandes offrent des verrières, dans une démarche tantôt individuelle, tantôt collective. Pour les maîtres verriers, la représentation des souffrances liées à la guerre est un exercice inédit et difficile. Si la plupart réadaptent des images traditionnelles, beaucoup sont amenés à composer des oeuvres originales. Quelques ateliers abandonnent le style académique pour exprimer ce drame contemporain dans une esthétique nouvelle teintée d'Art déco. Cet ouvrage offre un éclairage nouveau sur ce patrimoine de verre fragile et menacé, ses commanditaires et ses créateurs, et révèle la richesse et la diversité de l'art du vitrail en Normandie.

04/2018