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Sank ou la patience des morts

Extraits

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Divers

La nuit des morts-vivants

Avec ce premier long-métrage tourné en 1968, loin d'Hollywood et avec un petit budget George A. Romero bouleverse d'emblée l'esthétisme et les valeurs du fantastique à l'écran. Violence des images, arrière-plan politique mais aussi inventivité des plans, esthétisme avant-gardiste et grand réalisme des situations et des pulsions humaines. Une oeuvre culte, séminale de tous les films, bd et série sur les zombies dans ce roman-photo au croisement des frissons cinématographiques et l'esthétique bande dessinée.

11/2022

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Policiers

Des morts à la criée

Par un matin froid de décembre, les inspecteurs Joe Gregory et Anthony Ryan, de la Brigade de Répression du Crime Organisé de New York, assistent à une scène fort peu innocente : des malfrats qui semblent appartenir à la Mafia sont en train de jeter un fût de 200 titres dans les eaux glacées de l'East River. Persuadés que ce fût contient un cadavre, ils appellent les plongeurs qui retrouvent bien un corps, mais... dans un autre fût. Plus ennuyeux, ce corps est celui Jinx Mulgrew, un flic disparu dix ans plus tôt. Qui dit Mafia dans le New York des années 70 dit le Marché au poisson de Fulton Street et c'est tout naturellement là que les deux inspecteurs font démarrer leur enquête. Mais pour eux le périple, et les pressions de toutes sortes, ne font que commencer. Salué par le Publisher's Weekly comme un livre d'une authenticité remarquable et encensé par le New York Times Book Review, ce premier roman d'Ed Dee, ancien inspecteur de police à New York, recrée un monde qui a disparu avec le démantèlement de la Mafia dans les années 80.

08/2002

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Occasion Universitaire

Occasion La chambre des morts

Imaginez… Vous roulez en pleine nuit avec votre meilleur ami, tous feux éteints. Devant vous, un champ d'éoliennes désert. Soudain le choc, d'une violence inouïe. Un corps gît près de votre véhicule. À ses côtés, un sac de sport. Dedans, deux millions d'euros. Que feriez-vous ? Vigo et Sylvain, eux, ont choisi.

01/2024

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Littérature anglo-saxonne

Patiente n°99

Quand ses parents envoient sa soeur à l'asile, Charlotte Smith décide de tout risquer pour la ramener à la maison. La jeune femme privilégiée de San Francisco abandonne sa véritable identité pour se faire interner à son tour. Elle devient la patiente numéro 99. Mais plus elle passe de temps à Goldengrove, mieux elle comprend que beaucoup de femmes qui y sont enfermées n'ont rien à y faire. Leur seule erreur a été de déranger. Dans une société patriarcale où certains sont prêts à tout pour enterrer leurs plus sombres secrets, la recherche de Charlotte pour sa soeur va la mener plus loin qu'elle ne l'aurait imaginé et menacer bien plus que l'équilibre familial.

10/2021

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Non classé

Patiences Mini Baroques

Coins dorés - Rose ou bleu - Etui carton - Format 3. 5 x 5 cm

09/1999

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Littérature française

Syngué Sabour. Pierre de patience

Syngué sabour [sége sabur] n.f. (du perse syngue " pierre ", et sabour " patiente "). Pierre de patience. Dans la mythologie perse, il s'agit d'une pierre magique que l'on pose devant soi pour déverser sur elle ses malheurs, ses souffrances, ses douleurs, ses misères... On lui confie tout ce que l'on n'ose pas révéler aux autres... Et la pierre écoute, absorbe comme une éponge tous les mots, tous les secrets jusqu'à ce qu'un beau jour elle éclate... Et ce jour-là on est délivré.

08/2008

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Littérature française (poches)

Syngué Sabour. Pierre de patience

" Cette pierre que tu poses devant toi... devant laquelle tu te lamentes sur tous tes malheurs, toutes tes misères... à qui tu confies tout ce que tu as sur le coeur et que tu n'oses pas révéler aux autres... Tu lui parles, tu lui parles. Et la pierre t'écoute, éponge tous tes mots, tes secrets, jusqu'à ce qu'un beau jour elle éclate. Elle tombe en miettes. Et ce jour-là, tu es délivré de toutes tes souffrances, de toutes tes peines... Comment appelle-t-on cette pierre ? " En Afghanistan peut-être ou ailleurs, une femme veille son mari blessé. Au fond, ils ne se connaissent pas. Les heures et les jours passent tandis que la guerre approche. Et la langue de la femme se délie, tisse le récit d'une vie d'humiliations, dans l'espoir d'une possible rédemption.

03/2010

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BD tout public

La mort blanche. Chronique de la der des ders

En plein milieu de la "Der des ders", Pietro rentre chez lui dans les montagnes du Trentino. A la place du monde de merveilles et d'aventures dont il se souvient, il trouve un lieu de mort, de désespoir, où les éléments sont aussi dangereux que l'ennemi. Tous les soldats craignent par-dessus tout la Mort Blanche, ces avalanches provoquées par les coups de canons qui écrasent tout sur leur passage...

05/2014

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Poches Littérature internation

Les signe de patience et autres pièces du théâtre des Yuan

Supposons que, pour faire apprécier à Pékin le théâtre de Molière, on n'ait donné que la scène du Mamamouchi dans Le bourgeois gentilhomme. Ce serait du Molière ; ce ne serait pas du Molière. Depuis qu'ils ont vu l'opéra de Pékin, les Français parlent souvent du théâtre chinois comme ferait de Molière le Chinois qui ne connaîtrait que le Mamamouchi. Grâce à M. Li Tche-houa, habile traducteur des Contes anciens à notre manière, le lecteur de langue française pourra lire enfin, dialogues et parties lyriques entièrement traduits, trois des plus belles pièces du théâtre chinois. Elles datent des XIIIe et XIVe siècles, sous la dynastie des Yuan. En découvrant L'avare de Tcheng T'ing-yu, on reconnaîtra un personnage qui ne le cède ni à celui de Plaute, ni à celui de Molière. Avec Le signe de patience, la morale bouddhique anime une action dramatique. Enfin, avec Le fils prodigue, chef-d'oeuvre de Ts'in Kien-fou et du théâtre universel, c'est la morale confucéenne qui sauve le mauvais garçon. La préface de M. Li Tche-houa permettra au lecteur qui ne sait rien encore du théâtre chinois de situer ces pièces dans l'histoire de la dramaturgie.

12/1991

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Autres encyclopédies (6 à 10 a

Trop forts, les mots !

"C'est vrai qu'ils sont forts, les mots ! Nous vivons avec eux, nous nous servons d'eux pour parler et pour e crire, nous croyons les connai tre, et puis, tout d'un coup, ils nous e chappent". Ainsi Alain Rey, éminent spécialiste de la langue française, responsable du dictionnaire Le Robert, introduit ce livre dans lequel il raconte l'histoire d'une cinquantaine de termes. Histoires de mots, savantes et amusantes L'idée de ce livre ? "Prendre quelques mots, ceux qu'on dit et qu'on entend souvent, et aller les regarder de près". Plus de 400 d'entre eux sont approchés à travers des récits érudits, facétieux, mais pourtant très simples, vivants et imagés. 49 entrées par ordre alphabétique permettent de voyager dans notre langue, de Avions à Viande en passant par Dragons, Image ou Robes... On y apprendra que les mots "salade" et "salaire" viennent du mot "sel" ou comment un savant a fabriqué le mot "dinosaure" (le saurien qui fait peur) et aussi pourquoi, au Canada, on dîne à midi et on soupe le soir... Une exploration de la langue française Dans cet ouvrage, l'auteur raconte ce que re ve lent les signes du langage, d'ou ils viennent, comment ils nous montrent les choses ; et cela sur le ton de ses chroniques, bien connues, diffusées sur France Inter entre 1993 et 2006. Le choix d'une cinquantaine de mots ressources, piochés dans l'univers des jeunes lecteurs est mûrement réfléchi par ce maître du langage. Ecran, avion, bédé, pantalon, tomate, fesse, fraise, ordi, magique et les autres permettent d'explorer notre langue française d'une façon humoristique et gourmande. Une autre vision de la langue française Quand une grande plume de la lexicographie se met au service d'une vulgarisation intelligente, voilà que cela donne un livre hors du commun ! Passionnant, à lire comme un roman, cet ouvrage apporte un éclairage (d)étonnant sur la langue française, aux plus jeunes comme aux plus grands... Et imaginé avec des illustrations rigolotes, il nous montre que les mots savent aussi plaisanter et jouer.

08/2022

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Documentaires jeunesse

Trop forts, les mots !

Voilà l'idée de ce livre. Prendre quelques mots, ceux qu'on dit et qu'on entend souvent, et aller les regarder de près. Voyons les mots comme des oiseaux dans un jardin ou libres dans un petit bois. Ecoutons leurs chants, regardons leur envol. Je me suis dit qu'un livre où on raconterait ce que révèlent les signes du langage, d'où ils viennent, comment ils nous montrent les choses, ça serait bien, ce serait sympa, cool, rigolo... et souvent intéressant. C'est un livre à feuilleter, pour se promener au milieu de cette bande, cette troupe de sons et de lettres mis ensemble, ce fameux vocabulaire qu'on emploie sans y penser et sans en profiter vraiment - sauf quand on est poète. Nous avons voulu la retrouver, la réveiller, la magie, avec Trop forts, les mots! Et c'est vrai que c'est très très fort, ce qu'ils font ; c'est un trésor collectif à garder vivant. Merci, les mots !

05/2012

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Romans historiques

Sans l'amour du sang

Sur les traces des secrets enfouis d'une famille en temps de guerre... La tête submergée d'images douloureuses, Jeanne ne peut s'empêcher de se remémorer la déportation de ses parents par la Gestapo il y a huit mois. Cachée et à l'abri au fond d'un placard, elle est parvenue à échapper de justesse à cette sentence, mais doit désormais se confronter à l'incompréhension et l'attente de retrouver ces êtres chers. Sur les traces de son passé et de cet emprisonnement semblant injustifié, une question l'obsède : pourquoi ont-ils été arrêtés ? Est-ce lié au fait que ses parents recueillaient parfois discrètement des blessés et malades, pour les soigner et les abriter dans le cabinet médical de son père...? Au fil de ses recherches effrénées, Jeanne découvre la réalité impitoyable de la Seconde Guerre mondiale et des secrets familiaux bien enfouis...

01/2020

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Poésie

L'Horizon des mots. Ou les Mots sur la ligne

Ce recueil de poésies réinvente des mots, construit avec des sons, des couleurs, des lueurs, toutes les sensations de notre monde... Un monde horizontal, ou plutôt vertical ? ... Pourvu que la poésie croise votre chemin et vous entraîne plus loin que la ligne de l'horizon...

03/2023

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12 ans et +

L'Algérie ou la mort des autres

1954. Une jeune adolescente quitte les plaines brumeuses de Lorraine pour l’Algérie, où son père, militaire, a été muté. Après l’enchantement, la découverte d’une terre sensuelle et la jouissance d’un village éclaboussé de soleil, l’angoisse s’installe avec l’arrivée des premiers régiments de soldats. Et très vite, l’horreur de la guerre sous ses fenêtres : les embuscades, les tortures, les morts civils et militaires. Des années de violence et d’enfermement familial. Mais aussi, les premiers baisers, puis la découverte de la Méditerranée et le délice des rendez-vous sur la plage avec Jacques, un jeune soldat piednoir. Cette trève n’a qu’un temps et le pire reste à vivre pour la jeune fille passionnée, avant son retour en France en 1962.

01/2012

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Littérature française

Du sang, de la volupté et de la mort

"Il faut sentir le plus possible en analysant le plus possible", avait écrit Barrès dans Un homme libre, le deuxième volume de la trilogie du Culte du Moi. Dans Du Sang, de la Volupté et de la Mort, publié en 1894, le "Prince de la jeunesse", hanté par la décadence, le périssable et la mort, colore sa palette. Ses voyages en Italie, "la grande maîtresse", dans l'Espagne "violente et contrastée" ou en Belgique où il révèle " le merveilleux secret" d'une double vie, lui permettent de transcrire sa quête d'émotions esthétiques, de passions et de plaisirs spiritualisés. Par ses thèmes ou par les cadences de sa musique, le recueil de cet héritier d'un romantisme qu'il prolonge séduit d'emblée ses contemporains immédiats et bien au-delà, de Léon Blum à Jacques Bainville, d'André Breton à Lucien Febvre jusqu'à Aragon qui voit en lui un "extraordinaire ouvrier de la prose française".

07/2022

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Littérature française

Souvenirs du rivage des morts

Qu'est-ce que l'Armée rouge japonaise ? Comment des Japonais se sont-ils retrouvés, en 1971, dans les camps libanais du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) ? Pourquoi Ilitch Ramirez Sanchez dit " Carlos " a-t-il lancé une grenade dans le drugstore Publicis du boulevard Saint-Germain à Paris en 1974 ? Tenu par un récit tendu qui débute dans le Tokyo d'après guerre pour s'achever à Paris, passant par Taipei, Beyrouth, Tel-Aviv, Rome, ce roman tient autant de la fresque historique que du polar ou du roman d'espionnage. Revenant sur la généalogie d'un phénomène qui continue de bouleverser le monde et l'actualité la plus prégnante, Il se veut également une réflexion sur le terrorisme. Le roman se compose de deux récits enchâssés. Le premier, qui se situe aujourd'hui sur une période de trois jours, dans un grand hôtel de Bangkok, alterne, au gré des souvenirs et des traumatismes du personnage principal, avec un récit plus long, plus ample, qui s'étend de 1968 à 1974.

09/2021

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Littérature française

Souvenirs du rivage des morts

M. Mizuno coule une retraite heureuse après une vie sans histoire. Du moins, c'est l'image qu'il s'applique à donner sous son patronyme d'emprunt. Car son vrai nom est Yasukazu Sanso, activiste de l'Armée rouge japonaise, qui, dans les années 1970, a tué plusieurs fois de sang-froid. La rencontre fortuite, dans les couloirs d'un hôtel à Bangkok, avec un Allemand de sa génération va déclencher la mécanique implacable du souvenir. Comment cet étudiant en quête d'idéal s'est-il laissé embrigader dans les mouvements universitaires de la fin des années 1960 ? Comment, à la suite des dérives d'une organisation se livrant aux purges insensées et aux meurtres collectifs, a-t-il fini par rejoindre les camps d'entraînement palestiniens au Liban, dans l'espoir de prouver qu'il est un vrai communiste ? Entre Bangkok, Tokyo, Rome, Paris, le Liban ou encore La Haye, Michaël Prazan nous livre ici, avec l'acuité psychologique qu'on lui connaît, un roman haletant et inspiré sur la grande époque du terrorisme international des années 1970. Michaël Prazan est écrivain, journaliste et réalisateur de documentaires. Passionné d'histoire contemporaine, il s'intéresse aux mouvements radicaux des années 1960-1970. Auteur de plusieurs essais, Souvenirs du rivage des morts est son troisième roman.

03/2023

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Roman d'amour, roman sentiment

Petits sorts sans conséquences

En amour comme en sorcellerie, tous les coups sont permis ! Entre son boss aussi insupportable que sexy, ses collègues qu'elle surnomme "les harpies" et sa magie qui n'en fait qu'à sa tête, Maya n'en peut plus ! Elle est bien connue pour sa maladresse en tant que sorcière, et ses amies ne cessent de lui rappeler de suivre à la lettre les instructions des potions et des sortilèges... Ce que bien sûr, elle oublie constamment. Et voilà qu'à cause d'une (toute petite) erreur (de rien du tout), Seth Colson, son boss, se croit fou d'elle ! Alors certes, il est séduisant, drôle et intéressant quand il cesse de jouer les durs, mais Maya rêve d'une véritable histoire d'amour, d'être aimée pour elle et non pour sa magie... Lorsque les effets du sort se dissiperont, Seth lui accordera-t-il encore ne serait-ce qu'un regard ? Et est-ce vraiment si grave si elle transforme l'une des harpies en crapaud ?

04/2024

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Littérature française

Bertille : La Patiente aux souliers gris

BERTILLE est une jeune retraitée. Mariée à Jean-Baptiste, ils ont quatre enfants et huit petits-enfants. Cette année, ils vont vivre une bien palpitante aventure, loin de chez eux... Extrait : "Je m'entends répondre sans même y avoir réfléchi ni avoir demandé son avis à Jean-Baptiste ! Aïe ! Moi qui d'habitude ne prends pas de décision hâtive... Delphine me fixe avec attention et pose ses mains sur mes épaules : - C'est vrai, vous feriez cela ? ... ". La suite à l'intérieur ! Découvrez vite les précedentes aventures de BERTILLE dans : BERTILLE Les lilas ont fleuri, BoD, Mars 2019 BERILLE Les candélabres en Porphyre, BoD, Mars 2020 BERTILLE L'Amour n'a pas d'âge, BoD, Mars 2021

03/2022

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Esotérisme

Lecture aux morts. Guide de la vie après la mort

Le but de ce livre est de permettre à un ami, un parent, un bénévole ou un professionnel de l'accompagnement des défunts, de lire à la personne qui a quitté son corps physique les instructions qui l'aideront dans la vie après la mort. La lecture aux morts aide le défunt à traverser les différents mondes de l'Au-delà. C'est certainement la chose la plus importante que vous puissiez faire pour un défunt, proche ou moins proche.

01/2017

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Policiers

Des morts imparfaites

Mes amies et moi, on a fait une fête du tonnerre, le week-end de la Pentecôte ! On s'est retrouvées à Trouville, on a papoté, on a rigolé, on s'est régalées, on s'est baladées, on s'est même baignées ! Et puis on a croisé deux blaireaux qui prétendaient nous draguer, mais je les ai vertement remis à leur place, d'ailleurs c'est ma spécialité, la répartie cinglante. Et puis on est rentrées, enfin moi, on ne sait pas, j'ai disparu. Il m'est arrivé une histoire de dingue ! Ca tombe bien, dirait Marion, parce que je suis interne en psychiatrie. Mais tout le monde sait que les plaisanteries les meilleures sont les plus courtes, et c'est bien vrai parce que je n'ai pas franchement rigolé. Plus personne d'ailleurs n'a eu l'idée d'en rire, ce fut une période horrible. Et le pire, c'est qu'on se demande encore aujourd'hui si ce n'est pas cette fameuse répartie cinglante qui a tout déclenché. C'est ballot !

11/2019

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Littérature étrangère

Enfants des morts

Dans une paisible villégiature styrienne, à la pension Rose des Alpes, trois morts reviennent tourmenter les vivants : Edgar Gstranz, à peine vingt ans, ancien skieur professionnel de l'équipe olympique autrichienne mort plusieurs années auparavant dans un accident de voiture après une soirée bien arrosée, Gudrun Bichler, jeune thésarde citadine et dépressive suicidée dans sa baignoire, et Karin Frenzel, veuve racornie entièrement assujettie à sa mère, ce personnage tyrannique et borné. Au cœur d'un paysage idyllique (versants enneigés, vastes panoramas, auberges accueillantes et serveuses tourbillonnantes en dirndl), les trois morts-vivants, dans un perpétuel memento mori, porte-voix de tous les humiliés, toutes les victimes innocentes de l'Autriche, se réincarnent pour tuer, violer, torturer, écharner les vivants. Dans cette gigantesque farce macabre, longue dérive hallucinée qui emprunte aussi bien au pamphlet qu'au policier, à l'allégorie baroque qu'au roman de divertissement, ce grand pandémonium où les morts tendent un miroir à des vivants fantomatiques, Jelinek poursuit et achève son voyage au bout de la nuit autrichienne.

01/2007

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Littérature française

Des morts vivants

Dans ce roman de jeunesse, Patrick White donne libre cours à la fascination qu'a exercée sur lui l'Angleterre où il a passé de longues années. Le personnage principal du roman, plus encore que son héroïne, est le Londres du début du siècle jusqu'aux approches de la Seconde Guerre mondiale, un Londres vu dans la diversité de ses quartiers. Mrs Standish, jeune institutrice, se marie "au-dessus de sa classe" et devient, jusqu'au faux pas final, un modèle du respect des convenances ; le démon de midi se présente sous la forme d'un séduisant saxophoniste qui l'entraîne, hors de son salon vieillot, dans un monde où les règles de la respectabilité n'ont plus cours. L'impressionnisme décrit assez bien le style de cette oeuvre, par la volonté constante de traduire en images les réactions les plus subtiles des acteurs : images toujours originales, parfois mystérieuses, allusions à des sensations, des souvenirs que le lecteur doit être suffisamment attentif pour identifier, mais qui contribuent à suggérer le mystère des êtres, parfois impénétrable, même pour eux-mêmes.

10/1990

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Policiers

Terre des morts

1989 : la vague du crack déferle sur les ghettos noirs d'Oakland. Macéo Redfield, en rupture provisoire d'université et ancienne star locale du base-ball, joue les funambules sur la corde raide qui sépare son désir de respectabilité de sa fidélité à ses vieux amis, tous tombés dans le trafic. Mais quand Holly Ford vient lui annoncer la mort violente de Billy, dealer en pleine expansion et troisième membre du trio de frères qu'ils formaient depuis l'enfance, Macéo comprend que la neutralité est aussi une forme de trahison. D'autant que Félicia, celle qu'il aime depuis toujours bien qu'elle lui ait préféré Billy, a disparu et qu'on la soupçonne fortement d'être impliquée dans le meurtre de Billy. Commence alors une plongée vertigineuse dans cet univers que Macéo avait cru pouvoir fuir... Un univers où le mal n'est jamais qu'un paravent pour le pire.

02/2004

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Littérature française

Hôtel des morts

Où l'on apprend comment faire avec les revenants qui, porteurs d'un passé, entendent jouer avec notre présent. Une histoire d'amour délicate, un propos sur la mort, une écriture de nuance et d'émission.

01/2014

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Littérature française (poches)

Présence des morts

A la veille de subir une grave intervention chirurgicale, l'auteur s'aperçoit qu'il ne sait rien de la mort sinon qu'elle le rendra pareil aux autres morts. Il pense à eux. Déconcerté par les souvenirs qui surgissent, il s'étonne que, dans sa mémoire, les morts qu'il a connus diffèrent tellement les uns des autres. Certains sont totalement oubliés, d'autres sont passés à l'état de gisants, et la mémoire n'a aucune prise sur eux... D'autres sont dissous par la souvenance, ils n'ont plus de contours. D'autres sont pressants comme des fantômes. Comment se conduire envers eux, puisque leurs destins sont si divers ? Comment éviter à la fois de perdre leur souvenir et de le profaner ? Guéri, de retour chez lui, l'auteur aperçoit, à une fenêtre vis-à-vis de la sienne, l'étrange apparition d'une femme cloîtrée. Indique-t-elle une voie au bout de laquelle il serait possible de " faire sa paix avec soi-même et avec les morts " ?

04/2010

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Critique littéraire

Sans entraves et sans temps mort

Qu'est-ce qu'un écrivain contemporain ? Un corps capable de se déplacer à travers le temps sur un maximum de théâtres d'opérations en trouvant partout matière à penser. Dans les jardins, les cafés, les musées. Parmi les libertins, les surréalistes, les stars du rock. A l'âge baroque, au siècle des Lumières, dans la société du spectacle. A travers le cinéma, la mode, et surtout la littérature. Car la profondeur n'est pas l'envers de la surface. Ni la gravité le contraire de la légèreté. Pas plus que le présent ne s'oppose au passé. Avec une pugnacité et une érudition impressionnantes, Cécile Guilbert développe en cinquante textes une vision très nette d'un art qui est à la fois celui de goûter, de lire, de voir, de sentir, d'écouter, de toucher, d'aimer. Sans entraves et sans temps morts. Parce qu'il s'agit avant tout de vivre et de jouir.

02/2009

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Critique littéraire

Pour tout l'or des mots. Au bonheur des mots, Des mots et merveilles

Conçu comme un dictionnaire, ce volume recense près de 150 entrées qui, insolites ou amusantes, excitent l'esprit et provoquent des éclats de rire. De chaque page déferle une vague de "mots " plus savoureux les uns que les autres, assaisonnés d'un grain de cynisme : Aphorismes : " La laideur a ceci de supérieur à la beauté, c'est qu'elle dure " (Lichtenberg, repris par S. Gainsbourg). Epitaphes : " Je vous l'avais bien dit que j'étais malade " (anonyme). Fin (mot de la) : " Eh bien ! je m'en souviendrai de cette planète ! " (Villiers de Lisle-Adam). Graffiti : " Sauvez un arbre, tuez un castor ". Mariage : " Le mariage est une si belle chose qu'il faut y penser toute la vie " (Talleyrand). Paradoxes : " Je ne suis pas toujours de mon avis " (P. Valéry). Proverbes : " Avec patience et crachat, on fait entrer un pépin de calebasse dans le derrière d'un moustique " (créole) ; ou encore : " La douleur embellit l'écrevisse " (russe). Sottises (littéraire) : " La main de cet homme était froide comme celle d'un serpent " (Ponson du Terrail) ; (radiophonique) : " Au garde à vous sur le tapis rouge déployé à ses pieds, le président congolais ressemblait à un roman de Stendhal " ; (cinématographique) : " Pour moi, un contrat verbal ne vaut même pas le papier sur lequel il est rédigé " (S. Goldwin). Une invitation à la bonne humeur... Guy Schoeller

10/1997

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Poches Littérature internation

Récits de la maison des morts

En 1849. Dostoïevski est condamné au bagne pour ses idées. Déporté au sud-ouest de la Sibérie, dans la forteresse d'Omsk, où il passe cinq ans, il y côtoie des criminels et des hommes du peuple, des voleurs aussi bien que des condamnés politiques. De cette expérience douloureuse, où l'impossibilité d'être seul rivalise en cruauté avec les sévices et le travail forcé, l'auteur tire les Récits de la maison des morts. Dans ce roman largement autobiographique, qu'il fait passer pour des notes retrouvées chez un ancien forçat, Goriantchikov, Dostoïevski déploie une galerie de portraits où sont anticipés les personnages les plus marquants de ses oeuvres majeures. Son humanisme et son sens de l'observation font de ces récits consacrés au système pénitentiaire du temps des tsars un témoignage de première importance sur l'expérience concentrationnaire.

01/2014

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Poches Littérature internation

Souvenirs de la maison des morts

Traduit par Henri Mongault et Louise Desormonts. La maison des morts, c'est le bagne de Sibérie où Dostoïevski a purgé comme condamné politique une peine de quatre années de travaux forcés et six ans de " service militaire ". Mais la maison des morts, c'est aussi le Goulag. La Russie de Dostoïevski est déjà celle de Staline, de Beria, de Vychinski, des grands procès où les accusés rivalisent devant leurs procureurs de contrition et d'aveux. Comme l'écrit Claude Roy, " la Russie d'hier et la Russie moderne sont exemplaires dans la science du " châtiment "sur deux points essentiels. Elles ont poussé plus avant peut-être qu'aucun peuple l'art de donner aux tortionnaires cette paix de l'esprit que procure la bonne conscience. Elles ont su simultanément contraindre un nombre important de leurs victimes, non seulement à subir sans révolte les épreuves infligées, mais à donner à leurs tourmenteurs un total acquiescement. "

06/2007