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Photographie trace

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Policiers

A la trace

A la trace tranche sur les romans précédents par sa structure ambitieuse. L'action progresse staccato. L'art du pisteur, évoqué par une citation en début de chapitre, illustre la manière dont chacun des protagonistes va laisser des traces. Toutes, à un moment donné, se recouperont : septembre 2009.- Milla Strachan, lasse de vingt ans de mariage-maltraitance, plaque son mari et est embauchée par la Presidential Intelligence Agency, branche des services secrets. La PIA surveille un groupuscule islamiste qui semble attendre une importante livraison par bateau. - Lemmer, l'antihéros de Lemmer l'invisible, est chargé par un défenseur des espèces animales menacées d'assurer le transfert à la frontière du Zimbabwe de deux inestimables rhinos noirs. Lors d'une fusillade, il est dépossédé de son Glock, où ses empreintes abondent. Il n'aura de cesse de le récupérer -Milla s'entiche d'un aventurier, Lukas, prétendument archéologue, en réalité archéologue-gentleman-cambrioleur. Il combat un gang allié aux Islamistes qui a embarqué par accident ses économies et refuse de les luirestituer. L'action de Lukas va croiser celle des services secrets, qui le prennent à tort pour un terroriste. - Mat Joubert, au service de l'agence de détectives privés créée par l'ex-inspecteur Griessel (deux revenants !) enquête sur la disparition de Davie Flint, cadre de l'Atlantic Bus Company, qui s'est volatilisé devant son club de gym.

02/2012

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Poches Littérature internation

La dernière trace

Elaine Dawson est invitée au mariage de Rosanna, son amie d'enfance, à Gibraltar. Mais tous les vols au départ de Heathrow sont annulés à cause du brouillard. La jeune provinciale s'apprête à passer la nuit clans une salle d'embarquement, lorsqu'un aimable Londonien propose de l'héberger. C'est ici que l'on perd sa trace. Cinq ans plus tard, Rosanna, qui doit se rendre à Londres pour le compte d'un magazine, décide d'en profiter pour faire la lumière sur la disparition de son amie, sans se douter que cette enquête va la mettre en danger de mort...

06/2012

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Littérature française

Sur la Trace

C'est en me traînant pitoyablement, au prix d'efforts surhumains, qu'enfin, en début d'après midi, après une journée et demie de marche, je m'effondrai devant l'entrée de la grotte. Trois jours auparavant j'avais quitté l'hôtel. Et j'étais mort hier...

10/2013

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Poésie

Garder une trace

Garder une trace. Défier le temps par les mots et leurs accents. A l'éphémère, donner l'éternité. A la douleur, apporter la beauté. Valse hasardeuse d'une enfant fascinée par le mystère profond de l'intériorité, l'univers indécis dont elle est entourée. Des maux aux mots, de l'absence à la présence. Garder une trace, que rien ne s'efface.

03/2023

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Littérature française

Efface toute trace

"Vous m'avez sollicité comme expert renommé dans mon domaine, exigeant de moi la plus extrême discrétion. Des incidents récents, distants dans l'espace, vous inquiètent et justifient que vous ayez recours à mes services. Vous attendez de moi que je contribue à préserver votre sécurité. Les conclusions suivront". Face aux violents décès de trois amateurs d'art fortunés à Hong Kong, New York et Paris, un groupe de collectionneurs surnommé le "consortium de l'angoisse" , charge un expert d'élucider ces incidents étranges. Sa mission ? Rassembler l'ensemble des faits connus et mener sa propre enquête. Le temps presse car de nouveaux accidents surviennent. Une piste se dégage. Les victimes auraient fait l'acquisition d'oeuvres subversives signées "jv" . L'artiste, un Orson Welles mâtiné d'un Bansky, obsédé par le détournement, est introuvable. Jusqu'au jour où il décide de joindre l'expert... Provocation ? Bluff ? Falsification ? Serial artiste doublé d'un serial killer ?

01/2022

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Seinen/Homme

Trace Tome 7

Reiji Mano, expert en sciences médicolégales, recherche la vérité plus que quiconque. De nouvelles informations lui parviennent, alors qu'il poursuit ses recherches sur le meurtre de sa famille. Il y a 10 ans, le sergent Toramaru a enquêté personnellement sur l'affaire du "meurtre de la famille de Nerima" et a rencontré l'ancien inspecteur chargé des investigations. A cette occasion, il avait pu obtenir les scellés et les rapports d'enquête de l'époque, lui donnant la conviction de l'innocence de Yoshikazu... "C'est pour tuer le véritable coupable que j'ai continué à vivre ces 24 dernières années".

03/2021

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Techniques photo

Les secrets de la pose longue. Sujets - Equipements - Prise de vue - Postproduction

Vous voulez devenir un magicien de la photographie de paysages naturels, urbains ou d'architecture ? Photographiez en pose longue ! Cette technique transfigure les paysages en lissant les surfaces aquatiques et en dynamisant les nuages grâce à des durées d'exposition variant de quelques secondes à plusieurs minutes. Dans cet ouvrage de référence, mis à jour à l'occasion de sa réédition, Christophe Audebert vous livre ses secrets et astuces pratiques pour réussir vos photos : matériel à emporter, sujets les plus adaptés, étapes à suivre pour procéder aux prises de vue et post-traitement des images. Ce livre très illustré, à la fois pratique et esthétique, va vous aider à regarder les paysages autrement et à estimer leur potentiel pour réaliser à coup sûr de belles photos en pose longue. Christophe Audebert est photographe professionnel depuis une quinzaine d'années, spécialisé en photographie corporate. En parallèle, il réalise des projets personnels axés sur le mouvement (vitesses lentes, pose longue) et a remporté de nombreuses récompenses nationales et internationales. Il collabore également avec divers magazines de photographie, anime des formations et accompagne des voyages photo.

09/2022

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Photographie

Le Livre de photographies : une histoire. Volume 3

Troisième et dernier volume de la série à succès éditée par Phaidon, saluée comme "meilleure contribution dans cette spécialité depuis l'apparition au début du 20e siècle des histoires modernes de la photographie". Cette étude complète du livre de photographies contemporaines offre une mise à jour exhaustive de l'histoire de cet art et met en lumière plus de 200 ouvrages parus entre la seconde guerre mondiale et maintenant. Le photographe Martin Parr et son co-auteur Gerry Badger proposent une approche originale de l'histoire de la photographie, centrée sur le développement de la photographie sous forme de publications, traitant des sujets-clés tels que le conflit, la mémoire, la société, les lieux et le désir. Cet ouvrage présente des livres de photographies réputés tels que The Kids Are Alright de Ryan McGinley (New York, 2000) et A Shimmer of Possibility de Paul Graham (2009), ainsi que des inédits et des ouvrages moins connus comme E il '77 de Tano d'Amico (1978) et Hot Nights in Camp Hansen de Mao Ishikawa (1982). Richement illustré par plus de 800 nouvelles photographies en couleur.

03/2014

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Montagne

Lucien Briet. Voyageur photographe

De 1889 à 1911, Lucien Briet photographie la montagne et ses habitants autour de Gèdre et de Gavarnie, ainsi que le Haut Aragon et ses canyons, versant espagnol. Il participe à l'essor de l'aventure photographique dans les Pyrénées Centrales. Si les Aragonais ont très vite compris le rôle majeur que Lucien Briet avait eu dans la naissance du Parc national d'Ordesa, il aura fallu plusieurs décennies pour que les Pyrénéens du nord redécouvrent son immense travail. Et pourtant, le regard que Lucien Briet porte sur les Pyrénées n'en finit pas de nous étonner et de nous révéler une beauté parfois trop quotidienne pour être appréciée à sa juste valeur. Ce que nous montre Lucien Briet, ce sont des paysages extraordinaires et leurs habitants, une société qui, avant la première guerre mondiale, vit une forme d'apogée d'une histoire commencée des siècles plus tôt. C'est une histoire de bergers, d'artisans et de villageois qui inventent, en s'adaptant aux contraintes montagnardes et en mettant en valeur un relief, un territoire très attachant. Ce territoire est fait de sommets, de cols, de travail, d'échanges et de mythes... L'oeuvre de Lucien Briet, débutée à la fin du 19 siècle, est aussi un témoignage fondamental de l'évolution des paysages. Les marques des changements climatiques que nous sommes en train de vivre y sont par exemple, parfaitement lisibles avec la fonte des glaciers. La société agro-sylvo-pastorale que Lucien Briet découvre au tournant du siècle a connu de profondes mutations. Son travail nous donne la mesure de ce que le 20e siècle a apporté de changements dans un paysage que nous pensons immuable mais qui reste extrêmement fragile. Le Parc national des Pyrénées oeuvre avec passion depuis plus de cinquante ans à la protection des sites et des paysages de la partie centrale des Pyrénées. Ces missions en faveur des patrimoines ne se concentrent pas uniquement sur la faune, la flore et les milieux. Pour bien comprendre un lieu, une approche paysagère et culturelle est aussi fondamentale. C'est elle qui ancre l'action, dans la réalité du terrain. L'engagement essentiel du Parc national aux côtés du Musée pyrénéen de Lourdes et de l'association Montagnes Cultures Avenir de Gèdre est la preuve tangible de la nécessité de ces partenariats pour une action au service du territoire. Parce qu'il a su révéler aux Pyrénéens la beauté et la fragilité des milieux qu'ils habitent et travaillent, parce qu'il nous permet de mesurer aujourd'hui l'évolution des milieux et la fragilité de la vie montagnarde, parce qu'il a permis de fédérer des initiatives locales en un projet partenarial au service des patrimoines, il était juste que le Parc national des Pyrénées concoure à ce projet de valorisation de l'oeuvre de Lucien Briet.

06/2019

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Littérature française

Le songe du photographe

En 1977, Joseph a quinze ans et tente de fuir une famille où règnent le silence et l'incompréhension. Accueilli dans la maison de l'Impasse des artistes à Paris, il trouve sa place dans une tribu d'originaux, tous exilés au passé douloureux : Sergueï, le vieux Russe blanc, Magda, la Viennoise rescapée de la guerre, Angel, le peintre cubain, et la mystérieuse Dorika, sur lesquels veille Sándor, un Hongrois caractériel et généreux, obsédé de photographie. Au récit de leurs histoires terribles et merveilleuses, Joseph panse ses blessures et fait l'apprentissage de l'amour. Education sentimentale et esthétique, réflexion sur la solitude et l'exil, mais aussi ode à la photographie du XXe siècle, celle d'André Kertész ou d'August Sander, ce roman poignant, empreint d'humanisme baroque et de poésie, nous transporte dans une Mitteleuropa pétrie de culture et de nostalgie. Patricia Reznikov est franco-américaine. Elle est l'auteur de La nuit n'éclaire pas tout (prix Cazes-Lipp) et La Transcendante. Le songe du photographe est son septième roman.

08/2017

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Photographes

Eugene Atget. Poète, photographe

On ne présente plus Eugène Atget (1857-1927), le célèbre photographe autodidacte qui immortalisa le " Vieux Paris " au tournant du XXe siècle. Pourtant cet ouvrage aborde l'homme et l'artiste sous un jour inédit. Il relate ses liens avec Libourne, sa ville natale. Il laisse la parole à des photographes actuels qui éclairent le lecteur sur la fascination qu'exerce encore aujourd'hui ce personnage. En même temps, le néophyte y trouvera les repères historiques indispensables pour mesurer l'ampleur de son entreprise : en un peu plus de trente ans, Atget a capturé près de dix mille images dans une démarche documentaire, d'inventaire même. Mais ses clichés témoignent également d'une sensibilité et d'une poésie toutes particulières. C'est le sujet de l'exposition " Eugène Atget, poète photographe " à l'origine de ce livre, organisée par le musée des Beaux-Arts de Libourne avec la collaboration exceptionnelle du musée Carnavalet – Histoire de Paris, Paris Musées. La plupart des oeuvres exposées y sont reproduites et organisées autour des grandes thématiques illustrant le travail d'Eugène Atget.

12/2022

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Photographie

Germaine Chaumel, femme photographe

Totalement oubliée de l’histoire actuelle de la photographie, Germaine Chaumel (1895-1982) fut pourtant l’une de ses plus remarquables servantes entre 1935 et 1950. Elle apparaît notamment comme l’une des meilleures représentantes de la « nouvelle vision » photographique qui se développa dans l’entre-deux-guerres. La mise en perspective de ses images avec celles de certains de ses célèbres contemporains démontre la qualité de son travail et sa modernité. À l’instar de Willy Ronis ou de Brassaï dans la capitale, Germaine Chaumel a flâné dans les rues de Toulouse à la recherche d’un instant éphémère ou d’une rencontre. Son studio a été fréquenté par les vedettes et les notabilités de l’époque. Elle a mis ses qualités de photoreporter au service de la presse régionale et internationale. Quant à sa création artistique, elle s’est vu récompensée par de nombreux prix dans les salons d’art photographique nationaux. L’ensemble de son oeuvre, d’une exceptionnelle sensibilité, porte un regard empathique d’une émouvante proximité sur le quotidien des Toulousains.

11/2012

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BD tout public

Conversations avec le Photographe

Dans ce dialogue de copains, franc et plein d'humour, les auteurs du Photographe (Editions Dupuis, 2003-2006) évoquent ensemble les hauts et les bas d'une vie de photojournaliste. Emmanuel Guibert questionne, Didier Lefèvre répond. La conversation est illustrée de nombreuses photos et suivie d'un portfolio de 58 images. Et c'est l'histoire d'une vocation qui se raconte, une vie brève, intègre, intense, celle d'un homme qui disait : " Bien photographier, c'est simplement s'améliorer humainement ".

11/2009

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BD tout public

Le photographe de Mauthausen

Et si le vol du siècle avait eu lieu... dans un camp de concentration nazi ? En 1941, Francisco Boix, matricule 5185 du camp de concentration de Mauthausen, échafaude avec ses camarades un plan pour voler des photographies témoignant des crimes commis dans le camp et incriminant les plus hauts dignitaires nazis. Ce plan risqué n'est que le début de son périple pour révéler la vérité... Une histoire vraie, basée sur des faits réels.

09/2017

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BD tout public

Le Photographe : L'intégrale

L’édition en Intégrale d’un des récits les plus marquants du label "Aire Libre". Didier Lefèvre et Emmanuel Guibert nous racontent ce long périple en Afghanistan, jalonné de rencontres et de dangers sur la trame du reportage photographique réalisé sur place par Didier Lefèvre. À la croisée du dessin et du photoreportage, un récit poignant et profondément humain, habité de figures exceptionnelles.

11/2010

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Photographie

QUAND J'ETAIS PHOTOGRAPHE

Un couple, homme et femme - de n'importe quel étiage social -, vient voir ses épreuves d'essai. Neuf fois, j'allais dire onze fois sur dix, vous constaterez que la femme s'absorbe sur les portraits du mari pendant que le mari, non moins hypnotisé mais sur sa propre image, semble à cent lieues de seulement penser à l'image de sa moitié. [ ... ] Si bonne est l'opinion de chacun sur ses mérites physiques que la première impression de tout modèle devant les épreuves de son portrait est presque inévitablement désappointement et recul. [ ... ] Quelques-uns ont l'hypocrite pudeur de dissimuler le coup sous une indifférente apparence, mais n'en croyez rien. Ils étaient entrés défiants, hargneux dès la porte et beaucoup sortiront furibonds.

06/1998

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Photographes

Henri Cartier-Bresson photographe

A la fin des années 1970, Henri Cartier-Bresson et son éditeur Robert Delpire décident de réaliser un livre qui reprendrait l'ensemble de sa carrière sous le titre Henri Cartier-Bresson Photographe. Depuis sa première publication il y a plus de quarante ans, cet ouvrage a été traduit en sept langues, réédité onze fois et est considéré comme la référence incontournable du maître. A travers ce corpus qui rassemble 155 images prises entre 1926 et 1978, celui que l'on a souvent appelé "l'oeil du siècle" nous présente sa vision intime d'un monde dont il a parcouru tous les paysages, rencontré tous les acteurs - artistes, écrivains, anonymes -, et dont il a immortalisé les événements historiques majeurs. Figure majeure de la photographie du XXe siècle, Cartier-Bresson considérait son appareil photo comme le prolongement de son oeil - ce qui souligne son talent inégalé à composer spontanément une image capable d'évoquer le mystère, l'humour et l'universalité des personnes et des moments capturés par son objectif. Certaines de ses photographies, telle "Près de la gare Saint-Lazare" , sont devenues des icônes, étudiées dans les lycées, et sont considérées comme des chefs-d'oeuvre de l'art du 20e siècle.

10/2022

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Histoire de l'art

L'art du photographe

L'Art du photographe, comprenant les procédés complets sur papier et sur glace, négatifs et positifs, par M. de La Blanchère,... Date de l'édition originale : 1859 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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XXe siècle

La photographe du Maharadjah

Elle photographiait tout : les pauvres, les marginaux, ceux qui semblaient oubliés. Et elle comprit qu'en saisissant leur détresse, elle pourrait trouver un moyen de donner la parole aux silencieux. Angleterre, 1930. Veuve depuis peu, Eliza n'a plus que son appareil photo comme compagnon. Alors, 'lorsqu'on lui propose de photographier la famille princière du Rajputana, en Inde, elle est bien déterminée à prendre son destin en main. Mais sa rencontre avec Jay, le ténébreux frère du prince, fait tout basculer. Bientôt, Eliza et Jay découvrent qu'ils partagent les mêmes valeurs, et bien plus encore : une passion dévorante s'empare d'eux et leur fait oublier toute raison. Hélas, leurs familles et la société sont loin de voir cette union d'un oeil favorable. Ils devront alors choisir : se soumettre à leur devoir ou écouter leur coeur... L'histoire romanesque et poignante d'un amour qui défie vents et marées, par l'autrice de La Mariée de Ceylan. " Dinah Jefferies a un don remarquable pour nous transporter dans un ailleurs et un autrefois grâce à ses descriptions saisissantes, pleines de puissance et d''intensité. " Kate Furnivall " Vibrant de couleurs et riche en rebondissements, ce magnifique roman vous offrira un extraordinaire moment d'évasion. " Sunday Express. " La Photographe du Maharadjah, roman immersif et captivant, confirme la double réputation de l'autrice : elle se révèle comme une conteuse hors pair et une observatrice à l'oeil acéré de l'Histoire coloniale du xxe siècle. " Lancashire Post " C'est avec une extrême sensibilité que l'autrice évoque la complexité des sentiments amoureux et la confrontation au deuil. En choisissant pour son roman un contexte historique houleux, Dinah Jefferies fournit le cadre parfait pour le développement de ses protagonistes féminins, forts et indépendants. " CultureFly " Dinah Jefferies est l''une des meilleures autrices de fiction historique de sa génération. Ses romans, toujours si passionnants et riches en détails authentiques, offrent au lecteur une réelle leçon d'Histoire. " Alba in Bookland

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XXe siècle

Le photographe des disparus

Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Edie reçoit une photo de son mari, présumé tombé au front. Avec l'aide de son beau-frère Harry, un photographe, elle s'approche peu à peu d'une vérité qui pourrait bien bouleverser tout ce qu'elle imaginait... Ne vaudrait-il pas mieux en définitive laisser certaines questions sans réponses ? Une histoire d'amour et de deuil qui n'est pas sans rappeler les romans de Maggie O'Farrell. Un premier roman qui a reçu un excellent accueil outre-Manche. Une histoire d'amour et de deuil impossible, dans la lignée des romans de Maggie O'Farrell Lancashire, 1921. Francis, le mari d'Edie, n'est jamais revenu de la Grande Guerre. Il a été déclaré " disparu, présumé mort ". Malgré ses recherches, la jeune femme n'a jamais su ce qui lui était arrivé. Aussi l'espoir renaît-il lorsqu'elle reçoit par la poste la photo d'un homme lui ressemblant étrangement. Francis serait-il toujours en vie ? Harry, quant à lui, est engagé par des familles endeuillées pour photographier les tombes de leurs proches tombés au front. Rongé par le souvenir de sa dernière conversation avec son frère Francis, il n'a de cesse de trouver sa sépulture. Même s'ils se sont éloignés au fil des années, Edie et Harry finissent par se rapprocher du fait de leur quête commune. Mais le passé ne cesse de les hanter... Et bien vite tous deux se retrouvent animés de sentiments complexes - envers Francis, vis-à- vis de leur propre relation... Ne vaudrait-il pas mieux en définitive laisser certaines questions sans réponse ? Un premier roman émouvant, inspiré de faits réels survenus au lendemain de la Première Guerre mondiale, pour les fans de Maggie O'Farrell (La Distance entre nous, L'Etrange disparition d'Esme Lennox, Assez de bleu dans le ciel (Belfond-10/18...) " Cet excellent premier roman est une évocation mélancolique des séquelles de la guerre. " The Times " Un roman touchant sur l'amour et la perte. " Sunday Time

02/2024

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XXe siècle

La photographe du Maharadjah

Elle photographiait tout : les pauvres, les marginaux, ceux qui semblaient oubliés. Et elle comprit qu'en saisissant leur détresse, elle pourrait trouver un moyen de donner la parole aux silencieux. Angleterre, 1930. Veuve depuis peu, Eliza n'a plus que son appareil photo comme compagnon. Alors, lorsqu'on lui propose de photographier la famille princière du Rajputana, en Inde, elle est bien déterminée à prendre son destin en main. Mais sa rencontre avec Jay, le ténébreux frère du prince, fait tout basculer. Bientôt, Eliza et Jay découvrent qu'ils partagent les mêmes valeurs, et bien plus encore : une passion dévorante s'empare d'eux et leur fait oublier toute raison. Hélas, leurs familles et la société sont loin de voir cette union d'un oeil favorable. Ils devront alors choisir : se soumettre à leur devoir ou écouter leur coeur... L'histoire romanesque et poignante d'un amour qui défie vents et marées, par l'autrice de La Mariée de Ceylan. " Dinah Jefferies a un don remarquable pour nous transporter dans un ailleurs et un autrefois grâce à ses descriptions saisissantes, pleines de puissance et d''intensité. " Kate Furnivall " Vibrant de couleurs et riche en rebondissements, ce magnifique roman vous offrira un extraordinaire moment d'évasion. " Sunday Express. " La Photographe du Maharadjah, roman immersif et captivant, confirme la double réputation de l'autrice : elle se révèle comme une conteuse hors pair et une observatrice à l'oeil acéré de l'Histoire coloniale du xxe siècle. " Lancashire Post " C'est avec une extrême sensibilité que l'autrice évoque la complexité des sentiments amoureux et la confrontation au deuil. En choisissant pour son roman un contexte historique houleux, Dinah Jefferies fournit le cadre parfait pour le développement de ses protagonistes féminins, forts et indépendants. " CultureFly " Dinah Jefferies est l'une des meilleures autrices de fiction historique de sa génération. Ses romans, toujours si passionnants et riches en détails authentiques, offrent au lecteur une réelle leçon d'Histoire. " Alba in Bookland

06/2024

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Thèmes photo

Charbon blanc

Le paysage de la vallée de la Maurienne, dans les Alpes françaises, est marqué par son histoire industrielle. Surnommée "vallée de l'aluminium" à cause des nombreuses usines que son torrent alimentait en électricité, elle est longée par une autoroute et bientôt par une ligne à grande vitesse. La majeure partie de l'espace en Maurienne est pourtant de l'ordre de l'inhabitable. Dans Charbon blanc, patient travail documentaire mené sur ce territoire entre 2016 et 2019, le photographe Teo Becher fait se rencontrer traces de l'activité humaine et paysage de montagne photographiée au rythme de la marche, comme deux strates entremêlées de la même histoire. Interdépendance soulignée par une photographie onirique brouillant les codes documentaires.

10/2021

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Thèmes photo

Roll. Edition bilingue français-anglais

10 ans de voyages, 10 ans de photographies. Fisheye présente le nouveau livre de Théo Gosselin, Roll, avec un regard rétrospectif sur une décennie de photographie. Roll rassemble une centaine d'images, iconiques ou méconnus du photographe depuis le début de sa carrière jusqu'à aujourd'hui. On y découvre la maturité du regard d'un photographe issue d'une génération avide d'évasion, de voyage, de musique et de moments partagés entres amis ou des connaissances faites sur la route, juste en passant. Avec les Etats-Unis en toile de fond, le photographe nous invite à rêver un road-trip permanent en voiture dans des paysages ou la bande son s'impose d'elle-même.

11/2021

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Ethnologie et anthropologie

L'Homme-trace. La trace, du sensible au social

Depuis dix ans, la série L'Homme-trace invite des scientifiques à explorer les traces contemporaines dans leurs productions comme dans leurs interprétations. Le présent volume, cinquième tome de cette série, prolonge cette dynamique tout en proposant l'examen de plusieurs protocoles expérimentaux voués au recueil de traces dans des environnements divers (musée, musique, danse, télévision, architecture, santé, humanoi ? des compagnons). Il invite les chercheurs à situer leurs travaux au regard du processus sémiotique des " signes-traces " qui, selon la thèse développée par Béatrice Galinon-Mélénec, lie le " corps-trace " de l'" Homme- trace " et la " réalité-trace " du monde. La concrétisation passe par des interrogations en situation : quels recueils de traces ? Comment, par quels moyens, les captures effectuées sont-elles valides en tant que traces ? Sont-elles exploitables versus exploitées ? Et si oui comment ? Inspiré des sciences appliquées, l'abord de ce volume permet la mise à l'épreuve de la recherche conceptuelle sur les " signes-traces " et conduit à situer l'usage du terme " Homme-trace " désormais répandu dans un sens large au regard du sens strict du paradigme anthroposémiotique du même nom, désormais nommé " Ichnos-Anthropos ".

04/2021

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Photographes

Dans l'infini des songes

Né à La Rochelle (Charente-Maritime) en 1940, Jean-Pierre Favreau s'installe à Paris en 1962 et entre alors en photographie, travaillant comme photographe et comme tireur dans les laboratoires. Au début des années 1970, il participe aux débuts de l'agence Viva, dont il s'éloigne pour voyager. Photoreporter, il cherche sa voie et s'engage résolument dans un travail d'auteur après avoir obtenu une bourse pour photographier New York en 1982. Jean-Pierre Favreau devient alors un photographe-voyageur au long-cours. Pour certains photographes, la bonne photographie naît de l'étonnement, de la nouveauté d'une ville ou d'un paysage jamais rencontrés. Chez Jean-Pierre Favreau, l'acte photographique procède d'une lente préparation. Il observe et s'inscrit dans le paysage. De l'extrême justesse des cadrages et de la clarté de ses compositions ressort la patience infinie de leur auteur. De ses voyages naissent des livres et des expositions comme Blues outremer publié chez Contrejour (1991), dans lequel il compile six ans de photographies au Cap-Vert entre 1985 et 1991, ou Rue Caraïbes aux éditions En vue (1999), récit de ses séjours à La Havane (Cuba) entre 1991 et 1998. Au début des années 2000, il part au Japon, poursuivant son travail sur l'homme dans la ville. Dans les rues de Tokyo, discrètement, il saisit des passants, des " passagers " comme il les appelle : la photographie les fige au milieu de leurs pensées et de leur solitude. De l'extrême justesse des cadrages et de la clarté des compositions de Jean-Pierre Favreau ressort la patience infinie de leur auteur. Parfois, comme à Rochefort (Charente-Maritime) où il répond à une commande de la ville en 2008, il abandonne le noir et blanc pour la couleur. Loin des couleurs saturées de nombre de ses contemporains, la ville et ses passants prennent vie dans un monde aux couleurs sourdes. Photographe indépendant, pendant sa carrière, il a collaboré avec le journal Le Monde et le magazine L'Usine nouvelle. Il a également répondu à de nombreuses commandes institutionnelles, par exemple en 1986, lorsqu'il photographie l'Angleterre rurale pour le compte du ministère de l'Agriculture. En 2022, il a fait don de 1 035 négatifs, 150 tirages et 2 cartons d'archives à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP).

03/2024

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Histoire de la photographie

Photographier la bourgeoisie rurale à la Belle Époque. Le regard de Joseph Mauran

A la fin du xixe siècle, la photographie devient un loisir en plein essor, bien qu'elle ne soit pas encore considérée comme un art à part entière. Les bourgeois s'en emparent, faisant de la photographie amateur le témoin privilégié d'une multitude d'instants que l'on désire conserver. Le regard photographique de Joseph Mauran (1870-1950), pharmacien à Montesquieu-Volvestre (en Haute-Garonne), porte essentiellement sur la période allant de 1890 à 1911. Ce photographe amateur naît dans un monde marqué par d'importantes mutations et témoigne, avec une parfaite maîtrise et sensibilité esthétique, du monde qui l'entoure, adoptant une partie de la culture et des préjugés de son siècle. Cet ouvrage documenté offre l'intimité de l'album de famille et l'anthropologie visuelle d'une période qualifiée de "Belle Epoque" , qui, grâce à des photographies d'une rare qualité, nous est révélée dans sa toute- puissance historique, sociologique et artistique.

02/2022

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Photographie

Une autre histoire de la photographie. Les collections du musée français de la photographie

A partir du noyau assemblé par deux amateurs passionnés se sont constituées les collections du musée français de la Photographie, qui détient aujourd'hui plus de 25 000 objets, un million de photographies, une bibliothèque et un fonds documentaire technique unique. Les photographies présentées ici, largement inédites, dessinent une histoire de la discipline allant de son invention à nos jours et tenant compte de la dimension sociale de ses usages. Du fonds vernaculaire au numérique, en passant, par les revues spécialisées et les éditions d'artistes, c'est un large ensemble qu'analysent des auteurs de renom. Autant de regards portés sur une collection protéiforme font de cet ouvrage généreusement illustré un outil destiné aussi bien au professionnel qu'à l'amateur curieux.

05/2015

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Photographie

Louis Stettner. Ici ailleurs

Editions Xavier Barral juin 2016 Photographies : Louis Stettner Textes : Clément Chéroux et Louis Stettner En coédition avec le Centre Pompidou Exposition : Galerie de photographies - Centre Pompidou du 14 juin à fin septembre 2016 Louis Stettner, Ici Ailleurs La qualité atmosphérique Cette première monographie française du photographe américain présente plus de soixante années de travail, et fera l'objet d'une exposition durant l'été 2016 à la galerie de photographies du Centre Pompidou. L'ouvrage regroupe toutes les séries importantes de Stettner : de sa première photographie de son jardin prise à la chambre 20 x 25 en 1938, à sa dernière série dans les Alpilles (2014), travail graphique autour des arbres. Outre ses séries les plus connues, comme celle du métro de New York de 1946, le livre fait la part belle à sa période humaniste pendant laquelle Stettner, installé à Paris, fait le lien entre la French photography et la street photography américaine. A cette époque, il se lie d'amitié avec Brassaï et Boubat. De retour aux Etats-Unis en 1952, il photographie " the cool life " et témoigne des mouvements qui agitent l'Amérique à travers sa série " Protest ". Le livre présente aussi ses recherches plus personnelles comme la série Pepe et Tony, autour de pêcheurs, dans l'Espagne de 1956 ou l'Amérique des années 80. Louis Stettner a commencé la photographie dès son adolescence en 1938. Ce natif de Brooklyn (1922), s'installe à Paris à la fin des années 40 après avoir opéré dans le Pacifique pendant la seconde guerre mondiale. Stettner se lie d'amitié avec des figures de la photographie humaniste. Après avoir été diplômé de l'Institut des Hautes Etudes Cinématographiques, il s'établit comme photographe freelance. Il retourne vivre aux Etats-Unis, il remporte le concours de jeune photographe organisé par le magazine Life et est exposé au MoMa. Stettner entame alors un travail photographique entre Paris et New York qu'il mènera pendant plus de 60 ans et livrera un temoignage important sur l'évolution parallèle de ces deux villes. Il s'installe définitivement en France en 1990, où il vit toujours.

06/2016

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Photographie

La France d'Avedon. Vieux monde, new look

Des clichés originaux pour une exposition sans précédent. Cette exposition événement à la Bibliothèque nationale de France célèbre l'un des plus grands noms de la photographie américaine. L'ouvrage qui l'accompagne reproduit 120 tirages originaux de l'artiste (Yannick Noah, Catherine Deneuve, Sylvie Guillem…) et retrace les liens étroits et singuliers entre Richard Avedon et la France sur près d'un demi-siècle. Audrey Hepburn et sa "drôle de frimousse". Funny Face (Drôle de frimousse, 1957), le film aux quatre Oscar de Stanley Donen, inspiré par la vie de Richard Avedon, retrace sa carrière de photographe de mode et montre un Paris fantasmé. Le catalogue présente une série de photographies d'Audrey Hepburn, mutine et lumineuse, prises par Richard Avedon lors du tournage de Funny Face. Richard Avedon et Jacques Henri Lartigue. Cet ouvrage rend hommage au rôle déterminant qu'a joué Richard Avedon dans la diffusion de l'oeuvre de Jacques Henri Lartigue. à partir de juin 1967, le photographe américain devient l'agent pour Lartigue, plaçant ses photographies dans les magazines et pour de la publicité. Dès mars 1968, ils entreprennent un vaste projet éditorial, Diary of Century, qui paraîtra finalement deux ans plus tard. Avedon aura réussi à donner vie aux images de Jacques Henri Lartigue. Avec Egoïste, l'union de l'art et de la photographie. Ce magazine mythique est connu pour la magie de sa maquette et le glamour de ses photos. Richard Avedon a photographié pour son compte les plus grandes stars françaises du moment… Cet ouvrage présente une large sélection des photographies les plus célèbres.

10/2016

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Photographes

Recompositions

"Photographier, c'est engager une course poursuite contre l'effacement, la disparition, le néant. C'est une lutte contre le temps, un défi à l'oubli. (...) C'est une arme imparable contre les génocides culturels ou les abandons volontaires ; le contrepoison à la passivité". Jean-Claude Gautrand n'a que 24 ans lorsqu'il découvre l'oeuvre du photographe allemand Otto Steinert, fondateur de la "Subjektive Fotografie" et adepte d'une rigueur formelle aux limites de l'abstraction. Pour le jeune Gautrand, c'est un véritable choc esthétique. Dès lors, il ne cessera de développer une poésie par l'image où graphisme, matière et lumière sont les composants essentiels d'une oeuvre fondamentalement engagée. Marqué tout autant par les traces d'une époque révolue que par la manière dont l'homme transforme perpétuellement son environnement, Jean-Claude Gautrand s'est fait le témoin des bouleversements et des injustices de son époque. De la construction du périphérique parisien à la destruction des Halles de Baltard en passant par la catastrophe écologique de l'usine Pechiney et les vestiges du Mur de l'Atlantique construit par les nazis, toute l'oeuvre de Gautrand est traversée par cette nécessité de créer un rempart contre l'oubli. Faisant siens les mots du philosophe Georges Santayana, son oeuvre se lit comme un avertissement : "Ceux qui oublient l'histoire sont condamnés à la revivre" . Né en 1932 en plein bassin minier du PasâdeâCalais, Jean-Claude Gautrand arrive très jeune à Paris, où il vivra toute sa vie. Dès 1945, il s'intéresse à la photographie et se démarque en étant l'un des premiers photographes à présenter ses images en séries. Homme d'action, il fonde en 1963 le groupe Gamma puis crée, en 1964 le groupe "Libre Expression" afin de promouvoir une photographie nouvelle, créative et personnelle. La même année, il rejoint le club photographiques des 30x40 qui défend la notion de photographie d'auteur et en deviendra le président quelques années plus tard. En parallèle de son activité de photographe, il mène une carrière de journaliste et écrit dans plusieurs grandes revues françaises. Ses photographies font l'objet de nombreuses expositions de groupe et personnelles, et figurent dans plusieurs collections publiques.

04/2024