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La France sous les bombes. Allemandes - Anglaises - Américaines (1940-1945)

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Guerre d'Indochine

Aimer et servir - Lettres d'Indochine. 1945-1947, 1954

La conversation épistolaire à la fois passionnée et pudique, épique et amoureuse, entre André Butor, jeune officier servant en Indochine entre 1945 et 1947, puis en 1954, et une jeune étudiante à sciences po, Chistiane Chauvet, devenue son épouse. Avec pour fil conducteur aimer et servir. "AIMER : le coup de foudre qui frappe André en juillet 1945 est sans doute partagée, même si Christiane ne se l'aouera que plus tard. Le 28_ octobre celui-ci embarque pour Saigon, sans l'avoir revue. S'ensuit une abondante correspondance "transcontinetale" , 354 lettres échangées durant les deux années suivantes ; d'abord amical, cet échange prend un tour rapidement sentimental et leur permet de se connaitre plus intimement. Peu à peu au bout d'un an, celui qui se qualifie d'"ami d'indochine" et celle qui lui envoie à la fin de ses lettres son "affectueux souvenir" et "sa meilleure amie" vont ressentir, simultanément à 12000km de distance la même progression du sentiment amoureux, une flamme mutuelle. Cette conversation épistolaire va se poursuivre avec la même intensité, leur permettant de mieux se connaitre : André, un homme au tempéramment intrépide, à l'humour volontiers moqueur, ayant le gout du risque, de l'aviation et soif d'aventure ; Christiane, une nature indépendante, impétueuse et passionnée. Ils partagent une m^me vision de l'actualité politique : pour elle "notre pays est entre de bien mauvaises mains". Lui met très peu de temps à se rendre compte, " que la France aura vite fait de perdre l'Indochine". SERVIR : c'est aussi l'histoire et le destin d'une génération de jeunes officiers fraichement sortis de saint Cyr, souvent issus de la résistance contre le nazime et qui considèrent que cette guerre consttue un maillon important dans la lutte contre le totalitaisme communiste. Affecté en cochinchine et en Annam dans des postes isolés, lieutenant André Butor prendra ardemment sa part dans la lutte contre la guérilla vietminh ente 1945 et 1947 . De retour en Indochine en 1954 comme pilote d'héicoptère , la dernère lettre envoyée à son épouse est datée du 27 mars 1954. Rentré de Hanoi à Muong sai, le capitaine André Butor trouvera la mort le soir m^me en effectuant des essais de vol de nuit afin de poursuivre les héroïques évacuations sanitaires pendant le siège de Dien Bien Phu. André Butor est promu Chevalier de la Légion d'Honneur à titre posthumme le 5 août 1954 ". N'omettez pas d'inscrire le souvenir d'André. Il fut un héros", écrira Christiane Butor à ses enfants au soir de sa vie. Message bien reçu par ses filles Nathalie Volle Butor et Isabelle Chollet-Butor qui se sont chargées de transcrire méticuleusement ces lettres, de les composer et de présenter ce livre qui se lit comme un grand roman d'amour et d'aventure.

09/2023

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Histoire de France

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Ce livre captivant, richement documenté d'archives et de témoignages souvent inédits, dresse le tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale en France. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale, déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 et visant à multiplier les massacres contre les civils afin de terroriser la population, de tarir tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis et de diminuer leur activité en générant la crainte de représailles contre les habitants. Les SS, la Gestapo et les unités régulières de l'armée allemande participent à ces exactions, en fonction des directives venant du haut commandement lui-même. Les massacres en Périgord, en Limousin, dans les Pyrénées, des Glières et du Vercors, dans l'Ain, d'Ascq, de Maillé, des Manises, de Penguerec, de Saint-Genis-Laval et de Bron, de la vallée de la Saulx, ainsi que bien d'autres, sont présentés en détail dans cet ouvrage de référence.

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Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France (1944-1945)

Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale. Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils.

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Ouvrages généraux

Les crimes nazis lors de la libération de la France 1944-1945

Les nazis appliquent méthodiquement le concept de guerre totale – déjà mis en oeuvre par l'armée allemande en 1914-1918 – visant à massacrer une commune entière afin de terroriser la population de la région, de tarir en elle tout sentiment patriotique, tout soutien aux maquis, et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de la répression contre les civils. Cet ouvrage richement documenté d'archives et de témoignages, pour la plupart inédits, dresse un tableau complet des crimes nazis sur l'ensemble du territoire français en 1944-1945. Cette période couvre à elle seule 70 % des atrocités commises par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale.

03/2024

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Histoire de France

Les généraux français de la victoire 1942-1945

L'armée française est sévèrement battue en 1940. Réduite par les conventions d'armistice à un effectif de 100000 hommes en métropole et à quelques dizaines de milliers aux colonies, le général Weygand, Délégué général du gouvernement en Alger, parvient cependant à porter l'armée d'Afrique à 227000 hommes. Après avoir été renforcée par les Forces Française Libre du général de Gaulle et équipée de matériels neufs par les Etats-Unis, la nouvelle armée française reprend victorieusement la lutte contre l'Axe aux côtés des Alliés, d'abord en Tunisie en 1942, puis en Italie en 1943, enfin en France en 1944 et en Allemagne en 1945. Cet album dévoile les biographies des trente-sept généraux français ayant joué un rôle majeur aux cours des campagnes de la Libération. Parmi eux figurent des hommes de premier plan comme Juin ou de Lattre, des personnalités emblématiques de la France Libre comme Leclerc, Koenig ou Larminat, mais aussi nombre de généraux moins connus dont le rôle dans la victoire finale a pourtant été important. Illustré par plus de 300 photos, souvent inédites, issues de collections privées et de fonds d'archives publics (américains notamment), ce livre éclaire sous un jour nouveau les combats menés par l'armée française à partir de 1942.

12/2016

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Ouvrages généraux

Les grandes affaires de la Libération. 1944-1945

De la Libération de la France, nous tenons beaucoup de vérités pour acquises. Or, de nombreux faits et événements relèvent de la légende officielle tandis que d'autres demeurent méconnus. Dans ce nouvel ouvrage, Dominique Larmier revient sur les grandes affaires occultées ou transformées par l'historiographie. Découvrez la vérité sur : la victoire des Alliés ; De Gaulle contre l'AMGOT et l'honneur retrouvé de la France ; les crimes de la division Das Reich en France ; l'affaire de Vassieux-en-Vercors ; l'affaire des gestapistes français ; la libération de Paris et la victoire de Dompaire ; les combats méconnus des maquis en Bourgogne ; l'affaire du maquis des Manises ; les massacres de Saint-Genis-Laval et de Bron ; le massacre de Maillé ; l'affaire de la vallée de la Saulx ; la sanglante retraite de la Gestapo ; le débarquement oublié de l'été 1944 ; Leclerc et de Lattre à la manoeuvre dans les Vosges et en Alsace ; les combattants oubliés des fronts de l'Atlantique et des Alpes ; les affaires Papon et Bousquet : l'épuration bâclée à la Libération ; les chefs gestapistes épargnés ; l'affaire Robert Brasillach ; les affaires Alain, Audiard, Balestre, De Beauvoir, Chalais, Courtine et Sartre.

05/2021

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ouvrages généraux

Nous avons survécu, un enfant juif dans la France occupée, 1940-1944. Wir haben überlebt, ein jüdisches Kind im besetzen Frankreich, 1940-1944

1938. A la tête du IIIe Reich allemand, Hitler annexe l'Autriche. Aussitôt, les juifs y sont persécutés avec la plus grande violence. Fuyant des conditions de vie devenues insupportables, les Nussbaum, une famille aisée de Vienne, arrivent en France dans l'espoir d'embarquer pour la Palestine. C'est là, dans l'attente d'un hypothétique visa, que les rattraperont la guerre et l'invasion nazie. Harry Nussbaum a trois ans en 1939. Cet ouvrage retrace le périple rocambolesque de sa famille cherchant à échapper aux rafles de la Gestapo et de la police française. 1938. Hitler, Machthaber Deutschlands, annektiert Österreich. Sofort werden die Juden mit unheimlicher Gewalt verfolgt. Die Nussbaums, eine wohlhabende Familie aus Wien, fliehen vor unerträglichen Lebens-bedingungen und kommen nach Frankreich, in der Hoffnung später nach Palästina segeln zu können. Dort, in Erwartung eines hypothetischen Visums, werden sie von dem Krieg und die Invasion der Nazis aufgeholt. Harry Nussbaum ist 1939 drei Jahre alt. Dieses Buch zeichnet die abenteuerliche Reise seiner Familie nach, die vor den Razzien der Gestapo und der französischen Polizei fliehen musste. Edition bilingue français-allemand.

03/2023

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Histoire internationale

Sigmaringen. Une France en Allemagne, septembre 1944 - avril 1945

L'ultime phase d'une histoire commencée en juillet 1940, celle du régime de Vichy et d'hommes qui avaient cru dans la victoire allemande. Louis-Ferdinand Céline en a fait la matière du célèbre D'un château l'autre, en voilà l'histoire réelle.

11/2014

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Civilisation

Dictionnaire des relations culturelles franco-allemandes depuis 1945

Que savons-nous des relations culturelles franco-allemandes ? ARTE bien sûr, mais encore ? Ce dictionnaire informe sur les acteurs des relations culturelles bilatérales, les institutions, la nature des échanges et leurs circulations. Une première partie synthétique présente le cadre général de ces relations. La seconde rassemble plus de 350 notices. Près de 200 spécialistes tirent le bilan des réalisations, mais aussi des problèmes qu'il reste à surmonter dans une Europe et un monde en pleine mutation.

01/2023

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Histoire internationale

Dictionnaire des relations culturelles franco-allemandes depuis 1945

Que savons-nous des relations culturelles franco-allemandes ? ARTE bien sûr, mais encore ? Ce dictionnaire informe sur les acteurs des relations culturelles bilatérales, les institutions, la nature des échanges, les circulations et les évolutions. Tout n'a pas commencé en 1963 avec le traité de l'Elysée et l'Office franco-allemand pour la Jeunesse (OFAJ) grâce auquel plus de 9 millions de jeunes des deux pays ont appris à se connaître ces six dernières décennies. Les relations, en grande partie anéanties par la guerre, ont repris dès la seconde moitié des années 1940 grâce à l'engagement de médiateurs souvent méconnus. Qu'on pense aux premiers jumelages noués avec des villes de RFA et de RDA aussi ! Après une première partie synthétique présentant le cadre général des relations franco-allemandes, ce dictionnaire rassemble plus de 350 notices. Près de 200 spécialistes tirent le bilan des réalisations, mais aussi des problèmes qu'il reste à surmonter dans une Europe et un monde en pleine mutation.

01/2023

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Histoire de France

Le Mont-Valérien. Résistance, Répression et Mémoire

Pendant l'occupation allemande en France, de 1940 à 1944, plus de 1 000 hommes, résistants et otages, sont fusillés au Mont-Valérien (Hauts-de-Seine). Le 18 juin 1960, le géréral de Gaulle y inaugure le Mémorial de la France combattante. Cet ouvrage présente l'exposition "Résistance et répression, 1940-1944" du nouvel espace conçu par le ministère de la Défense au Mont-Valérien. Ce livre est illustré par des photographies, des affiches, des journaux, des archives allemandes et françaises et des dernières lettres de fusillés.

04/2010

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Histoire de France

Désobéir. Des policiers et des gendarmes sous l’'occupation (1940-1944)

Engagées en première ligne dans la politique de contrôle et d'exclusion du gouvernement de Vichy entre 1940 et 1944, la gendarmerie et la police françaises ont, plus que toute autre institution, dû affronter le dilemme : " servir face à l'ennemi ou servir l'ennemi " . Car désobéir à ses supérieurs, pour un gendarme ou un policier, c'est aller à l'encontre de l'essence même de sa formation. Mais si une partie d'entre eux ont appliqué les ordres par discipline, par antisémitisme, par peur ou par intérêt, nombreux sont ceux qui ont aidé à faire passer la ligne de démarcation ou la frontière à des Juifs, à cacher des résistants, à dissimuler des armes... Même s'ils n'ont pas rejoint un réseau ou un mouvement de résistance, leur action a permis de sauver de nombreuses vies. Or cette histoire-là est totalement ignorée. Face à un discours traditionnel qui met en avant l'activité des policiers ou des gendarmes ayant appliqué avec zèle les lois et les ordonnances en vigueur pendant l'Occupation, cette fresque sans concession ni faux-semblant, basée sur de nombreux documents d'archives étudiés par l'auteure depuis une dizaine d'années, met à mal nombre d'idées reçues et montre que, même au coeur du système vichyssois, il était possible de contrevenir aux ordres. Limore Yagil est professeure habilitée à diriger des recherches d'histoire contemporaine et chercheuse à la Sorbonne. Spécialiste de l'histoire culturelle et politique de la France sous l'Occupation, elle a publié une dizaine d'ouvrages, parmi lesquels Chrétiens et Juifs sous Vichy (Cerf 2005) et Au nom de l'art 1933-1945 (Fayard, 2015).

09/2018

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Romans de terroir

Parnamirim. Base nord-américaine sous les tropiques - 1939 – 1945

En 2013, le personnage principal, Sarah Paller, new-yorkaise et grande admiratrice du président Franklin Roosevelt, décide de se plonger dans l'histoire de la participation du Brésil à la Deuxième Guerre mondiale. Lors de ses recherches, elle donne la priorité au rassemblement d'informations qui pourront nourrir son défi et se concentre sur trois grandes questions : la raison de l'omission dans la littérature de l'histoire de l'installation de la base nord-américaine à Parnamirim (Rio Grande do Norte), celle de la présence du Brésil dans la "Campagne d'Italie", et l'action des infirmières brésiliennes engagées dans la Force Expéditionnaire du Brésil (FEB). Une fois de plus, l'auteure a choisi la fiction historique. Elle exalte aujourd'hui, tout au long de sa narration, l'esprit du Nordeste. La protagoniste va se plonger dans les méandres de la peur, de l'inconnu et de l'humour, et décrire la rencontre de deux cultures sur le sol brésilien, qui ont vécu en harmonie leurs complémentarités.

10/2019

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Histoire de France

La maison des souffrances. Dans les prisons militaires allemandes de Clermont-Ferrand (1943-1944)

" Les Souvenirs de prison de Geneviève de Hody sont particulièrement émouvants. M. Camille de Hody, juge au tribunal administratif de Strasbourg s'était réfugié près de Brioude au début de la guerre, avec sa famille, puis à Vieille-Brioude. Très rapidement il s'engagea dans la Résistance. A la fin de l'année 1943, l'occupation allemande se fit plus durement sentir car cette zone appartenait à la région où le maquis du mont Mouchet allait s'installer. En novembre 1943, sur dénonciation de son propriétaire qui était milicien, Camille de Hody fut arrêté par la feldgendarmerie et avec lui son épouse Geneviève et deux personnes de service, laissant seules trois petites filles, soulignant ainsi la brutalité impitoyable de la Wehrmacht. Ils furent conduits à Clermont-Ferrand à la caserne du 92e R.I.transformée en prison militaire allemande. Les deux jeunes filles furent libérées au bout de huit jours, Geneviève de Hody au printemps 1944 et Camille de Hody sera déporté à Mauthausen où il mourra en avril 1945. Les Souvenirs de Geneviève de Hody rapportent un long chemin de croix dans ce qu'elle appelle " La maison des souffrances ", dans une prison un peu particulière. Car elle est en effet tout à la fois centre disciplinaire où l'on trouve des militaires allemands indisciplinés, maison d'attente pour des transferts dans des camps de concentration et maison d'arrêt pour les résistants qui attendent dans ce lieu la décision de la Gestapo. Cette dernière est d'ailleurs également installée là, laissant entendre et même voir les horreurs des interrogatoires... " Extrait de la préface de François-Georges Dreyfus, professeur émérite à la Sorbonne. Les souvenirs de Geneviève de Hody, objet de cet ouvrage (notes éparses et parfois griffonnées) ont été triées et mises en forme par Edith de Hody-Dzieduszycka, sa fille.

07/2011

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Romans, témoignages & Co

Les papillons bleus Tome 2 : 1942-1945

Deuxième et dernier tome d'une duologie historique dans la France de la seconde guerre mondiale. Philippe et ses amis ont fui à Nice, où ils espèrent retrouver le petit frère d'Esther qui aurait miraculeusement échappé à la déportation. L'enquête commence pour le retrouver du sud de la France jusqu'aux montagnes du Vercors !

10/2023

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occupation

Auxiliaires féminines et prisonniers de guerre allemands fusillés. Poitou 1944-1945

Bourreaux nazis ou simples soldats, plusieurs prisonniers allemands ont été exécutés pour des raisons diverses entre 1944 et 1945 par "? quelques balles bien ajustées. ". . Après une enquête de dix-sept ans sur la fin tragique de trois auxiliaires féminines de la Luftwaffe fusillées dans le cimetière d'un village poitevin, l'auteur a retrouvé plusieurs cas de prisonniers allemands fusillés et enterrés sans sépulture en 1944. Comme ailleurs en France, raconter des exécutions sommaires pose la problématique d'un tabou historique. Mais plusieurs archives ont fait tomber des silences libérant la parole d'anciens résistants, qui racontent les plaies d'une guérilla sans pitié, menant au crime de guerre. Albert Londres a écrit : "Notre métier n'est ni de faire plaisir ni de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie ". Cette plaie, c'est le mensonge qui contamine la réalité de l'Histoire. Ce livre permet de ne pas oublier que la guerre est une infâme ignominie, hier comme aujourd'hui. Il décortique un angle mort oublié par les historiens locaux : l'exécution sommaire de prisonniers de guerre allemands.

02/2023

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Sciences historiques

Les véhiculles allemands 1939-1945

Dès le début des années 1930, les Allemands avaient engagé des recherches pour développer des nouveaux véhicules militaires et en particulier des blindés. Ils avaient bénéficié pour cela de l'aide des Soviétiques, tandis que les premiers prototypes étaient développés clandestinement en Allemagne. Avec l'arrivée des nazis au pouvoir en 1933, plus besoin de se cacher ! Les puissantes industries mécaniques et métallurgiques de l'Allemagne se sont mises en route pour produire une multitude de véhicules et de chars d'assaut. Aux petits chars légers devaient bientôt succéder des engins de plus en plus lourds, allant même jusqu'au gigantisme, puisqu'on a développé à la fin de la guerre des prototypes de près de 200 tonnes.

11/2012

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Sciences historiques

Réfugiés alsaciens et mosellans en Périgord sous l'Occupation (1940-1945)

Un premier ouvrage publié en 2006 était consacré à l'évacuation et à la vie des Alsaciens en Périgord en 1939-1940. Ce livre inaugural fut suivi en 2008 et 2009 de deux autres, thématiques, sur les « chocs » culturels de cette cohabitation (traditions culinaires et pratiques religieuses). Les auteurs n'ayant cessé d'accumuler des témoignages oraux ou écrits, de compulser des documents d'archives et des journaux d'époque sur le sujet, c'est logiquement qu'ils consacrent cette nouvelle étude à la période de l'Occupation, de 1940 jusqu'en 1945. Les évacués et les réfugiés de l'exode qui n'avaient pas regagné leur domicile après l'armistice furent bientôt rejoints en Dordogne par des Alsaciens et des Mosellans expulsés ou qui fuyaient le régime nazi, cet afflux de populations nouvelles rendant la vie quotidienne de plus en plus difficile. Puis vinrent le STO, l'occupation totale du pays par les Allemands, les arrestations arbitraires, les rafles et la traque des juifs, l'organisation des mouvements de la Résistance et, enfin, la Libération. Appuyé sur le parcours d'un juste, d'un résistant, de deux artistes, d'un prélat, d'une famille juive et d'une entreprise, cet ouvrage ajoute une pierre indispensable à l'édifice de la mémoire qu'il faut sans cesse entretenir sur cette période noire de notre histoire, mais où de solides liens d'amitié se sont tissés entre les réfugiés de nos provinces de l'Est et leurs hôtes périgourdins… Catherine et François Schunck sont membres de la Société historique et archéologique du Périgord (SHAP) et de plusieurs autres associations historiques et généalogiques. Ils ont écrit pour différentes revues des articles sur l'histoire de leur village respectif. Leurs origines, périgourdine pour l'une et alsacienne pour l'autre, les destinaient à s'intéresser à l'évacuation des Alsaciens en Périgord.

11/2012

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Histoire de France

Dora. Le tunnel de la mort (1940-1945)

Christian Desseaux a 14 ans quand la guerre éclate. La débâcle de 1940 le conduit jusqu'à Dunkerque d'où il parvient à rentrer à bicyclette à son domicile de Compiègne. Malgré son jeune âge, il n'accepte pas la défaite ni la capitulation, encore moins la collaboration avec l'ennemi. Il entreprend, pour son compte personnel ou avec des copains, une série d'actions individuelles qui préludent à son entrée dans la Résistance au tout début 1943. Il est incorporé au réseau Jean-Marie Buckmaster où il se signale par son courage, son héroïsme parfois, son dynamisme, son abnégation... jusqu'au jour où, trahi par des espions qui ont infiltré le réseau, il est arrêté par la Gestapo à l'âge de 17 ans. Il reste trois mois dans une cellule de la prison de Saint-Quentin (Nord), puis à nouveau trois mois dans le camp de Royallieu, près de Compiègne. Déporté, il connaît les affres d'un voyage au-delà de l'imaginable qui le conduit à Buchenwald. Là, il est désigné pour aller travailler dans le tristement célèbre tunnel de Dora où les Allemands fabriquent le VI et le V2. S'il est possible d'établir une hiérarchie de l'horreur, Dora occupe probablement une des toutes premières places, si ce n'est la première, bien que des grandes nations (USA, URSS...) se soient entendues après la guerre pour taire à l'opinion ce lieu maudit où est née, sous l'égide des savants allemands, Von Braun en tête, la conquête spatiale. La fusée A4, alias le V2, est l'ancêtre direct de la fusée Saturne qui a emmené Armstrong et Aldrin sur la lune en juillet 1969. Personne ne devait sortir vivant de Dora. Christian Desseaux est un des rares à avoir survécu, mais lorsqu'il quitte le tunnel de la mort en avril 1945, il doit encore affronter l'évacuation et le retour.

01/2011

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Histoire de France

Histoires extraordinaires de la Résistance française 1940-1945

Terroristes pour les nazis et le régime de Vichy, les résistants français de l'intérieur ont déployé un courage extraordinaire durant la Seconde Guerre mondiale. Cet ouvrage captivant nous fait découvrir la multiplicité de leurs actions, à travers les réseaux, les mouvements et les maquis, sur l'ensemble du territoire national. La lutte clandestine connaît une extension considérable, malgré les nombreuses arrestations. L'affaire Grandclément ne cesse de fasciner par les incroyables événements qui s'y rattachent. Les évadés de France sont les acteurs d'une épopée allant des Pyrénées à l'Afrique. Le colonel Rémy fonde l'un des réseaux de renseignement les plus performants. Ginette Vincent-Baudy incarne la place des femmes dans la Résistance et le martyre des déportés. Les maquis jouent un rôle reconnu par les Alliés dans la libération du territoire. La guérilla mobile de Romans-Petit et du corps franc Pommiès illustre parfaitement l'efficacité de la lutte armée contre l'occupant. Ces histoires relatent ainsi l'immense sacrifice consenti dans les rangs des combattants de l'ombre, voués en cas de capture à la torture, à la déportation et à la fusillade.

09/2019

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Histoire de France

Les informations aériennes alliées sur la France occupée (juin 1940 - octobre 1944)

A six ans on ignore les interdits... aussi, c'est en toute inconscience que l'auteur qui habitait avec ses parents sur les bords de la Seine, à proximité de la Résidence du Commandant en Chef des troupes d'occupation allemandes, se mit à ramasser les tracts parachutés par les Britanniques, les Forces Françaises Libres et les Américains... Il poursuivit son oeuvre sans relâche, se servant du cabanon de fond de jardin comme conservatoire "des imprimés interdits...". Trois-quarts de siècle plus tard cela constitue une collection exceptionnelle de documents originaux clandestins. On y découvre presque au jour le jour, les faits marquants et les grandes étapes du conflit que la population française, soumise à la censure, a subis "à l'aveugle" et dont certains aspects se trouvent aujourd'hui méconnus ou oubliés.

05/2019

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Ouvrages généraux

La ligne de démarcation. Le Jura sous haute tension 1940 - 1943

L'armistice du 22 juin 1940 fait cesser les combats, mais impose une frontière monstrueuse qui partage la France et plonge la population dans un grand désarroi. A l'appui d'archives et de témoignages, ce livre retrace l'histoire de la ligne de démarcation, précise ses tracés qui, du jour au lendemain, séparent les riverains de leurs familles, de leurs commerces, de leurs lieux de travail, de leurs mairies ; il décrit le monde complexe des passeurs et les prix pratiqués. On découvre également des Francs-Comtois parfois inattendus, organisateurs de filières d'évasion et de réseaux de renseignement. L'histoire du Jura est transposable aux autres départements traversés par la ligne de démarcation, à la différence qu'il a joué un rôle prépondérant dans le passage clandestin des prisonniers de guerre évadés, des Juifs et des agents de réseaux de renseignement vers la zone libre et la Suisse.

10/2021

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Histoire de France

Nice la juive. Une ville française sous l'Occupation 1940-1942

1942 L'année du Crime. La Côte d'Azur est en zone libre et sa situation exceptionnelle devrait rendre à ses habitants, plus qu'ailleurs, la guerre moins dure à supporter. Jusqu'au jour où, de Vichy, Paris, Berlin, les ordres partent pour entreprendre les premières déportations massives des Juifs venus de toute l'Europe à Nice et dans les Alpes Maritimes. Inattendues, brutales, sans la moindre présence allemande, les premières rafles du mois d'août en pleine ville et dans l'arrière-pays, provoquent la stupeur et se transforment en cauchemar. En ville où elle habite, Louise assiste stupéfaite, à ce qu'elle appelle un "crime". Bouleversée, elle s'en indigne aussitôt dans une lettre qu'elle adresse à Philippe Pétain, maréchal de France, chef de l'Etat français. Natif de la même ville, Julien retrouve dans les archives du Commissariat général aux questions juives, son courrier expédié à Vichy le 1er septembre 1942. Avec le temps, celui qui connaît toute l'ampleur du Crime va faire le récit historique de cette course à la mort des Juifs à Nice, saisis ici et là comme du gibier que l'on traque, que l'on s'achète et que l'on revend. Louise, comme Zola avant elle, aura dit un jour d'août 1942 : "Mon devoir est de parler. Je ne veux pas être complice". En témoignant à son tour pour elle devant l'Histoire, Julien rappellera ce que fut à Nice la responsabilité française dans la mise en oeuvre de la Shoah.

04/2010

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Histoire de France

En territoire occupé. Italiens et Allemands à Nice, 1942-1944

En novembre 1942, à l'issue du débarquement allié en Afrique du Nord, les puissances de l'Axe décident d'envahir la zone libre, au sud d'une ligne allant de la frontière espagnole jusqu'à Mont-de-Marsan et de là, approximativement, jusqu'à Genève. Cet espace était devenu le lieu de refuge des populations d'origine diverse qui fuyaient les combats ou les persécutions du Reich. L'occupation italienne de Nice, jusqu'à la chute de Mussolini à l'été 1943, est à la fois synonyme de vexations et de menaces annexionnistes, mais aussi, paradoxalement, de protection exercée par les autorités italiennes sur les Juifs, au point parfois d'entrer en conflit avec les autorités de Vichy. L'occupation allemande, qui lui succède en septembre 1943, consiste au contraire à mettre brutalement au pas l'ensemble de la population. Le cas du chef-lieu des Alpes-Maritimes constitue donc un laboratoire où les archives municipales, préfectorales, diplomatiques, permettent de décrypter au plus près un jeu complexe d'alliances et de rivalités entre les trois puissances en place et les hommes qui les représentaient. Il éclaire également l'évolution de l'opinion publique, ainsi que l'organisation de la Collaboration et de la Résistance, sous les deux régimes.

02/2012

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Histoire de France

Vichy ou dissidence. Béville (Albert) : une carrière d'administrateur colonial de Pétain à Dakar - La parole est aux documents

Les documents témoignent et transmettent une histoire encore peu connue. Vichy : le gouvernement du maréchal Pétain collabore avec Hitler et les troupes d'occupation allemandes à partir de juillet 1940. Au ministère des Colonies, un fonctionnaire originaire de Guadeloupe travaille à la Direction Politique : Béville (Albert). Il s'inscrit en juin 1941 pour suivre l'enseignement de l'Ecole des cadres d'Uriage "rattachée à sa manière à la révolution nationale", observe Robert O Paxton, et il demeure au service du Maréchal jusqu'en août 1944. Puis il sert en Afrique comme administrateur colonial au Dahomey et en Côte d'Ivoire, où il est commandant de cercle (Katiola, Agboville et Man). Dissidence : des hommes et des femmes originaires de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique, font un autre choix que Béville (Albert). Ils décident de combattre les Nazis et de rallier les Forces alliées (anglaises & USA) ou de se rendre à Londres où siègent les Français libres du général Charles De Gaulle. Deux choix : Vichy ou Dissidence ? Guadeloupe, Guyane et Martinique n'ont pas oublié leurs enfants qui les ont quittées pour lutter avec les troupes alliées sur terre, sur mer, dans les airs ou dans les services secrets entre 1940 et 1944. Les documents révèlent une liste de ces combattants, dont certains, comme Paul Valentino, s'engagèrent dès 1940 et 1941, au moment où en France, à Vichy, sévissaient le culte de Pétain et la dictature allemande.

09/2013

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Histoire de France

Journal d'une lycéenne sous l'Occupation. Toulouse 1943-1945

"En 1944, j'avais 17 ans, dit Aline, et le sentiment de vivre au coeur de l'Histoire, avec un grand H. Je comprenais que nous vivions une période exceptionnelle et qu'il fallait noter ces souvenirs". N'est-ce pas ce qu'on appelle l'histoire vivante ? En effet, comment ne pas écrire un journal sous l'Occupation quand on a 17 ans ? Comment ne pas raconter la vie comme elle vient, quand on est élève au lycée Saint-Sernin de Toulouse et future enseignante ? Aline décrit les aléas du ravitaillement, les collectes pour sinistrés, les vols de vêtements, elle parle d'une cousine de son père déportée à Ravensbrück, des bombardements, des sorties au théâtre, au cinéma... C'est aussi cela la guerre. Erudite, la pétillante lycéenne se nourrit de Montaigne et d'Hugo, remparts contre la morosité d'une époque où les pourfendeurs de l'esprit laïc tiennent le haut du pavé. Puis, comme les violettes annoncent le printemps, la liberté vivace reprend ses droits. Sa plume témoigne alors des combats du faubourg, de la libération de la ville et de l'arrivée du général de Gaulle au Capitole. Le regard qu'Aline porte sur son journal - 70 ans après sa rédaction - en éclaire la compréhension et nous invite à une lecture subtile de l'histoire de Toulouse. Thierry Crouzet et Frédéric Vivas "accompagnent" ce journal intime et mettent en évidence les problématiques d'hier qui questionnent celles d'aujourd'hui.

04/2013

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Histoire de France

Le marché de l'art sous l'Occupation (1940-1944)

Sous l'Occupation, le marché de l'art en France a été florissant. Jusqu'en 1944, tous les biens appartenant à des familles juives sont systématiquement saisis. Les produits de ces pillages, ce sont les milliers de peintures, de sculptures, d'objets d'art ou de meubles rares. Destinées au musée de Hitler à Linz ou à la collection de Goering, certaines oeuvres modernes dites " dégénérées " sont dispersées aux enchères à l'Hôtel Drout. Les galeristes, les antiquaires, les marchands, les experts, les particuliers et toutes sortes d'intermédiaires travaillant pour les Allemands y viennent afin d'acquérir à bas prix des toiles dont ils ne peuvent que soupçonner qu'elles ont été volées. Des familles juives, dont de grands collectionneurs, mais aussi des francs-maçons et des opposants au IIIe Reich sont systématiquement spoliés. Un transfert d'oeuvres d'art va s'organiser, le tout dans un milieu interlope. Les enrichis du marché noir veulent convertir ou blanchir l'argent et trouvent dans l'art une valeur refuge. Il y a aussi une nouvelle clientèle, dont les Allemands qui se trouvent à Paris. La monnaie allemande est très forte par rapport au franc et l'on observe un afflux de marchandises, car les familles juives tentent d'échanger des oeuvres d'art contre des liquidités afin de fuir. Certaines oeuvres modernes, considérées comme proscrites par le IIIe Reich vont avoir des coûts moindres. Mais les marchands allemands ne s'y trompent pas, ce sont en majorité des historiens de l'art, et savent que ces oeuvres ont une vraie valeur artistique. S'appuyant sur des archives françaises, américaines et allemandes, Emmanuelle Polack s'emploie à mener l'enquête sur le marché de l'art à Paris et à Nice où trafics, vols et recels d'oeuvres d'art se sont multipliés.

02/2019

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Ouvrages généraux et thématiqu

Weygand. L'intransigeant

Ayant joué un rôle majeur lors des deux guerres mondiales, Maxime Weygand (1867-1965) est l'un des plus célèbres généraux français. Partisan de l'armistice en 1940 et refusant de se rallier à de Gaulle, il est accusé de haute trahison en 1945. Max Schiavon dresse le vivant portrait de cette figure aussi admirée que controversée. Brillant officier de cavalerie, Weygand devient le bras droit de Foch pendant la Première Guerre mondiale, avant d'arrêter l'Armée rouge qui envahit la Pologne en 1920. En 1940, commandant en chef de l'armée, il prône l'armistice puis prépare secrètement la reprise du combat. Arrêté par la Gestapo en 1942 et déporté, il est placé en détention à la Libération, mais bénéficie d'un non-lieu en 1948. Grâce à de nouvelles archives, l'auteur livre la biographie la plus aboutie de ce mythe de l'histoire militaire française.

11/2023

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Littérature française (poches)

Mon journal depuis la Libération. 1944-1945

Août 1944 : Paris est libéré, c'est la fin de quatre années d'Occupation, de Collaboration et de Résistance. Les règlements de compte de l'épuration se succèdent alors que la guerre dure toujours. Jean Galtier-Boissière poursuit, après Mon journal pendant l'Occupation, sa chronique grinçante du milieu artistique parisien, ainsi que des humeurs de la rue de la capitale. On y croise Aragon ou Picasso – symboles de la mainmise des communistes sur l'intelligentsia – ; Mauriac ou Cocteau ; une flopée de collabos notoires étonnés par la violence de l'épuration ; des résistants de la vingt-cinquième heure avides de prouver leur héroïsme. Gorgé d'humour noir et d'analyses historiques tranchantes, Mon journal depuis la Libération est le tableau magistral d'une France qui panse ses plaies.

08/2016

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Histoire de France

1944-1945. Le triomphe de la liberté

1944 : Roosevelt et Churchill mettent en place le débarquement des troupes anglo-américaines sur les côtes normandes prévu le 6 juin 1944. De Gaulle, maintenu à l'écart, rêve de fouler le sol français libéré par son peuple et de rendre à la France sa souveraineté. Prises en étau par les forces alliées, les puissances de l'Axe capitulent les unes après les autres. En France, la violence monte, barbare, sanglante. La Résistance s'unit et s'organise, les maquisards des Glières et du Vercors se sacrifient, alors que miliciens, collaborateurs et soldats allemands, en représailles, massacrent des innocents. Hitler, qui échappe à un attentat fomenté par son propre camp en juillet 1944, et malgré la débandade de ses troupes, croit encore à la victoire ; mais, devant l'entrée des Russes à Berlin, il se suicide d'une balle dans la tête, laissant une semaine plus tard ses généraux signer la reddition sans condition de l'Allemagne le 8 mai 1945. Dans le Pacifique, les combats sont acharnés. Pour faire plier les Japonais, l'état-major américain utilise l'arme atomique : sur Hiroshima, le 6 août 1945, et sur Nagasaki, le 9 août. Le 2 septembre, les Japonais ont capitulé, l'armistice est signée. 1945 : au prix de dizaines de millions de morts, la paix est revenue, la liberté a triomphé. Un nouveau monde est à construire.

05/2013