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J'ai vu Ricardo finir

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Sociologie

En finir avec les idées fausses sur l'habitat. De la chambre au territoire

"Quand on n'est pas propriétaire à 50 ans, on a raté sa vie" , "Habiter une maison individuelle, c'est l'avenir" , "Le Covid a provoqué un exode urbain" , "Dans vingt ans on ne construira plus rien, on ne fera que rénover" ... La crise du logement n'est pas une vue de l'esprit. Pourquoi, alors, la question n'occupe-t-elle pas, dans le débat public, la place qu'elle mériterait­ ? La situation pourrait changer car, si l'habitat est coûteux pour chacun et chacune d'entre nous, il l'est aussi pour la planète. Passant en revue près de soixante-dix idées fausses sur l'habitat, de la ville à la maison, du plus partagé au plus intime, Catherine Sabbah décrypte les représentations collectives qui se transmettent de génération en génération­ : de la mauvaise réputation du logement social à l'idéal que représenterait la propriété, en passant par les débats sur les bienfaits de la cuisine ouverte ou le coût avantageux des maisons individuelles. Un ouvrage indispensable pour réinterroger notre façon d'habiter. Catherine Sabbah a mené une carrière de journaliste avant de fonder Idheal, l'Institut des hautes études pour l'action dans le logement. Ce think tank a pour vocation d'animer le débat public et démocratique autour du logement. Elle a coécrit L'immobilier pour lesnuls (First), et plusieurs ouvrages consacrés à l'architecture, à l'économie des villes et au logement.

03/2023

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Critique littéraire

J'ai tant vu le soleil

"De son vivant, personne n'a su exactement quels gens il voyait, quels livres il lisait, quels voyages il faisait. Il se dérobait d'instinct, usait sans cesse de diminutifs, d'acronymes, d'anagrammes, changeait de langue et de nom au point d'en avoir adopté plus de deux cents : Dominique, Mocenigo, Bombet, Cotonet, Esprit, William Crocodile, Choppier des Ilets, le comte de l'Espine, F. de Lagenevais et bien sûr Stendhal, dont il fait son nom de plume en 1817. Tous sont le même Henri Beyle multiplié à l'infini comme le serait l'image déformée d'Orson Welles dans la grande scène finale des miroirs de La Dame de Shanghai. La police de Fouché, le très efficace ministre de Napoléon, n'explique pas tout. Stendhal s'amuse. Il s'invente en facétieux, par jeu, par moquerie peut-être, par pudeur certainement. "Comment m'amuserai-je quand je serai vieux, si je laisse mourir la bougie qui éclaire la lanterne magique ? ""

03/2020

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Sociologie

J'ai vu les derniers paysans

L’agriculture fut La première grande rubrique qu’on me confia au Monde au milieu des années 1980. J’y ai appris la France vue du sol, avec ses traditions et ses élans de modernité, ses gestes ancestraux et ses révolutions silencieuses, ses bouleversements profonds alliant l’exode rural à une productivité si performante qu’elle fit craindre pour l’environnement. Au moment de publier ce recueil de textes, je suis saisi d’une sensation particulière face à des événements qui se répètent à l’identique, comme si le monde agricole avait le secret du temps qui ne passe pas. Le sociologue Henri Mendras avait fait scandale, en 1967, en annonçant La Fin des paysans. J’ai vu s’accomplir cette prédiction. De crise du lait en crise du porc, c’est un certain visage de la France qui s’évanouit, tandis qu’une agriculture industrielle et financière supplante un ordre éternel des champs désormais révolu.

10/2015

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Livres 3 ans et +

J'ai vu un magnifique oiseau

Eté 1939. Micha , 8 ans, passe ses vacances à la campagne près de Varsovie. Il a reçu comme consigne de s'exercer à l'écriture, condition sine qua non pour passer dans la classe supérieure. La guerre qui débute va alors s'insinuer progressivement dans son récit de vacances... Ce document d'archive, bouleversant de simplicité, traduit la menace qui vient au travers de phrases brèves. Chaque jour, Micha consigne ses trouvailles et ses activités (J'ai trouvé une grosse chenille dans le jardin - Je suis allé dans la forêt avec un copain) qui évoluent tandis que la guerre se concrétise (Des shrapnels sont passés au-dessus de notre maison - Je me suis caché à l'approche des avions - On entend des tirs de canon). Les peintures splendides d'Ala Bankroft rendent avec beaucoup de grâce l'atmosphère troublée de cet été particulier. A partir de 6 ans

09/2020

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Divers

J'ai vu des vêtements sauvages

Inès est en stage à Tokyo. Simon devait la rejoindre, mais le confinement annule l'avion. Alors, il parcourt les îles du Japon avec Google Maps, faisant du tourisme depuis son canapé. En passant d'île en île, le moteur de recherche lui soumet les avis de ses visiteurs : "L'eau n'est pas très bonne ambiance". Les voyageurs s'expriment sans aucune limite. Ils notent paysages et cafétérias. Ils ont un avis à donner aux autres qui comptent s'y rendre. " J'ai vu des vêtements sauvages. Buvez de l'eau douce naturelle". C'est déjà mal traduit, c'est pratique. Ca ressemble à de la poésie. En les traduisant à nouveau par le dessin, Inès propose une sorte d'étirement graphique. Un enfant blasé essaie tant bien que mal de faire barrière à la mer qui lui coule sur le coude. Une géante fait du hula hoop dans la nuit en prenant soin de n'écraser personne. Dix smileys fâchés paradent avec des pouces vers le bas sur un parking. Autant de situations énigmatiques dont l'étrangeté est encore renforcée par son dessin tout à la fois brut et délicat. Dès lors, difficile de résister à ce recueil pour partir en territoire insulaire. On aurait plutôt envie, au contraire, de s'y laisser glisser jusqu'à complètement chavirer.

09/2022

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Littérature française

Là où tout finira. Tome 2

Vingt ans se sont écoulés depuis l'effondrement. Henri et sa famille se sont dorénavant enracinés dans la communauté du Lac. Le Morvan, jadis, lieu de vacances s'était désormais converti en havre de paix pour les survivants. Dans un monde post-apocalyptique, où les épidémies, les pillages et les meurtres sont monnaie courante, il n'y a plus de limites à la cruauté et la barbarie humaine. Katia, fille d'Henri, est devenue médecin et s'aventure à son tour dans ce monde sans foi ni loi. La Main Rouge a disparu comme elle était venue, sans un bruit, dans l'indifférence la plus totale. Désormais, une seule chose comptait... La survie de la communauté.

04/2023

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Littérature française

Les cinq fois où j’ai vu mon père

Le jour où l'enfant voit son père pour la première fois, il a trois ans. Il vit seul au village avec sa mère. Tous les villageois se sont massés autour de la maison. Ils veulent voir l'homme qui avait semé la honte dans la famille, qui avait emmené la fille, l'avait engrossée pour disparaître après. Maintenant, il était là le très attendu, fier de sa jeune beauté. Il avait pris l'enfant dans ses bras, l'avait fait virevolter dans les airs. Puis l'avait posé à terre. "Jouons. — M'oui Pa-pa ! Pa-pa ! Pa-pa ! — Attends. Tu sais jouer à l'ombre ? — C'est quoi jouer à l'ombre ? — Tu ne sais pas ? Ce n'est pas grave. Je vais te montrer. — Mm... Pa-pa ! Pa-pa ! Pa-pa ! — Tu fermes les yeux. Je disparais." Depuis l'enfant l'avait cherché partout, dans tous les visages, dans toutes les moustaches, dans tous les visages d'hommes. "Aujourd'hui à l'âge où je suis vieux, je me surprends à le chercher encore... je le cherche sans répit. "

01/2020

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Revues de psychologie

La Vie Hors-série septembre 2021 : Matthieu Ricard, oser la bienveillance

Hors-série Psychologie Oser la bienveillance avec Matthieu Ricard L'entraide nous est-elle plus naturelle que la rivalité ? Sommes-nous capables de bonté désintéressée ? Peut-on pratiquer l'altruisme sans se sacrifier ? Matthieu Ricard, le plus célèbre des moines bouddhistes français, a pour nous rencontré des chercheurs du monde entier. Ensemble au fil des pages, ils cernent les contours de la bienveillance en termes spirituels et religieux, psychologiques mais aussi neurologiques. Ils montrent comment la rendre possible sur le plan collectif, économique et politique avec tous les bienfaits qui en découlent pour l'épanouissement des êtres et l'avenir de la planète. Ils nous apprennent à cultiver la bienveillance universelle, et la joie de vivre qu'elle procure.

10/2021

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Autres langues

Lettres de la Félibresse rouge Lydie Wilson de Ricard (1850-1880)

Lydie Wilson (1850-1880) s'installe à Montpellier en 1874 après son mariage avec Louis-Xavier de Ricard (1842-1911). Ce couple de Parisiens va fonder avec le poète Auguste Fourès (1848-1891) le Félibrige languedocien et éditer pendant trois ans un almanach, La Lauseta, nourri de l'histoire des troubadours et des idées républicaines et fédéralistes. La correspondance adressée au poète audois qui l'a baptisée "Na Dulciorella" , à Mistral, à son mari et à sa famille, redonne sa place à une femme du XIXe siècle dont la vie brève a été intense et engagée. Ses lettres témoignent des enjeux de l'époque : amnistie des communards, dont a fait partie son mari, question du mariage et du divorce et condition des femmes. Nous y voyons naître l'amour partagé de Fourès et de Jeanne Wilson, sa soeur. Poétesse, la nature et la langue du Midi l'émerveillent, elle apprend le dialecte de Montpellier, sera une des trois femmes éditées dans la Revue des langues romanes à ses débuts et sera primée en 1878 lors des Fêtes latines. L'édition critique est précédée d'une étude biographique et bibliographique de l'auteure d'Aux bords du Lez, recueil posthume de ses oeuvres en français et languedocien paru chez Lemerre à Paris en 1891.

11/2013

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Droit

En finir avec le New public management

Par-delà les multiples définitions dont il a fait l'objet, le New Public Management (NMP) renvoie à la volonté et à l'action de transposer les outils, modes de gestion et d'organisation du secteur privé vers le secteur public. Cet ouvrage En finir avec le New Public Management est tout entier consacré aux problèmes que le NPM pose. Il réunit certaines des contributions prononcées lors des Rencontres internationales de la gestion publique qui réunissaient à Bercy en mai 2014 les chercheurs et praticiens spécialistes de cette question. Les textes se répartissent ainsi en trois catégories : tout d'abord, des recherches qui circonscrivent le NPM en analysant son origine, son contenu et sa portée sur les administrations, en France, en Europe et dans le monde ; ensuite des recherches qui énoncent les vices dissimulés et les effets imprévus du NPM et, enfin, des travaux qui explorent les formes que prennent ou pourraient prendre l'action publique après le NPM.

05/2019

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Développement durable-Ecologie

Carnage. Pour en finir avec l'anthropocentrisme

Dans ce nouvel essai, Jean-Marc Gancille expose un tableau sans concession de la relation que l'être humain a nouée avec le monde animal, fondée sur la domination et l'exploitation, et ce dès avant la naissance de l'agriculture. Sacrifices religieux, collections et commerce d'animaux sauvages, domestication, utilisation des animaux à des fins militaires ou pour des expériences de laboratoires, captivité forcée dans les zoos et aquariums, chasse et pêche récréatives, élevage intensif ou surpêche... On n'en finit pas d'établir la liste des formes qu'adopte l'anthropocentrisme. L'auteur n'en reste pas à ce triste bilan. Il démontre que ce carnage n'est pas seulement un éternel enfer pour les animaux mais aussi une tragédie pour l'espèce humaine en raison de la destruction des écosystèmes, une négation immorale de la sensibilité des animaux et une supercherie de l'industrie agroalimentaire, qui entretient auprès du public l'idée selon laquelle il serait nécessaire de consommer des protéines animales. Enfin, il dessine une voie d'action pour "en finir avec l'anthropocentrisme" sur le plan juridique, alimentaire, agricole... et décrit les méthodes pour mener cette lutte.

09/2020

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Beaux arts

Pour en finir avec la nature morte

Ce livre revisite de fond en comble le genre de la nature morte comme lieu idéal du dialogue entre le vivant et le non-vivant, entre nous et les choses, entre présent et passé. Il invite à repenser l'histoire et la géographie de la représentation des choses : il remonte à la Préhistoire et ouvre des frontières sur d'autres contrées que l'Europe et les Etats-Unis. Il établit des correspondances entre les arts contemporains et les arts anciens en montrant de quelle manière les choses représentées par les artistes sont un bon observatoire des sensibilités. Cet essai est aussi une histoire de la tension entre l'abondance et son contraire, entre l'être et l'avoir depuis que l'on accumule des vivres, des outils, des armes, des proies, des vêtements, des parures, des choses désirables. Il est fondé sur l'observation des oeuvres d'art des peintres, sculpteurs, photographes et cinéastes (anonymes, Piraïkos, Mu Qi, Aertsen, Spoerri, Gupta, Tati, Tarkovski...) et sur la pensée des savants (Philostrate, Marx, Weber, Sterling, Barthes, Latour, Appadurai...) - et est traversé par l'esprit des poètes et des écrivains (Montaigne, Deubel, Baudelaire, Hugo, Michaux, Ponge, Perec...).

11/2020

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Actualité et médias

Pour en finir avec la France éternelle

" Il y a des gens qui vous parlent de la langue française et se targuent de ne pas savoir prononcer un nom qui commence par K. Cette vision rétrograde de la France et de la culture me ferait rire si je n'étais chatouilleux du blaze. La Nation, je ne connais que ça, je suis né dans ce coin-là, en fils d'une histoire française, celle d'une famille d'immigrés juifs. La nationalité n'est pas une affaire de mottes de terre, et, moins encore... la littérature ! Côté langue, on me pardonnera de préférer Queneau et Perec, Hugo et Aragon, aux éternels écrivains de terroir, qui vous vendent de la nostalgie à la façon des charcutiers industriels. Tout comme d'autres, en politique, n'ont de cesse d'évoquer les splendeurs du patriotisme républicain et de sa bonne vieille école, en oubliant, au passage, ce que les charniers doivent aux certitudes tricolores. Mais pourquoi chante-t-on toujours cette France figée et conservatrice, quand notre littérature est peuplée de héros espagnols et de bagnards en rupture de ban, quand les plus beaux vers contemporains s'accrochent aux yeux d'une juive russe - Elsa ? A force de pleurer notre fameuse exception française, on ne sait plus ce qui, en ce pays, pourrait être, vraiment, exceptionnel. " G.K.

02/2001

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Histoire de France

Pour en finir avec la repentance coloniale

Après celle de la guerre d'Algérie, une nouvelle génération d'anticolonialistes s'est levée, qui mène combat pour dénoncer le péché capital que nous devons tous expier: notre passé colonial, à nous Français. Battons notre coulpe, car la liste de nos crimes est longue ! Nous avons pressuré les colonies pour nourrir notre prospérité, les laissant exsangues à l'heure de leur indépendance; nous avons fait venir les "indigènes" au lendemain des deux guerres mondiales pour reconstruire la France, quitte à les sommer de s'en aller quand nous n'avions plus besoin d'eux; surtout, nous avons bâti cet empire colonial dans le sang et les larmes, puisque la colonisation a été rien moins qu'une entreprise de génocide : Jules Ferry, c'était, déjà, Hitler !. Contrevérités, billevesées, bricolage... voilà en quoi consiste le réquisitoire des Repentants, que l'auteur de ce livre a entrepris de démonter, à l'aide des bons vieux outils de l'historien - les sources, les chiffres, le contexte. Pas pour se faire le chantre de la colonisation, mais pour en finir avec la repentance, avant qu'elle transforme notre Histoire en un album bien commode à feuilleter, où s'affrontent les gentils et les méchants

03/2008

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Développement durable-Ecologie

Pour en finir avec l'écologie punitive

Aujourd'hui, respirer tue. Rien qu'en France, la pollution de l'air fait 48 000 victimes par an. C'est le plus grand scandale sanitaire de ces dernières années ; les pics de pollution se succèdent et pourtant, rien ne change. Les mesures pour lutter contre cette hécatombe, dès qu'elles touchent à la voiture ou au confort des particuliers, se heurtent à une même critique : l'accusation en " écologie punitive ". Expression qui résume à elle seule l'impasse dans laquelle se trouve notre politique écologique. On nous demande des "sacrifices" plutôt que de protéger notre santé ou nos emplois. Le pari de ce livre ? Repenser l'écologie à la racine pour la sortir de sa dimension punitive ; montrer que le souci de l'environnement n'est pas une affaire de clivage entre gauche et droite, entre citadins et ruraux, mais un défi qui nous concerne tous ; et proposer, enfin, un changement en profondeur de notre mode de vie. Un manifeste pour une écologie joyeuse, fondée sur la justice et l'innovation.

05/2018

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Sciences politiques

Alexandre Soljénitsyne. En finir avec l'idéologie

" C'est avec le cœur pur et une intelligence de bonne foi, écrit Alain Besançon dans son avant-propos, que Daniel Mahoney est parti à l'assaut du massif soljénitsynien. " De fait, son essai original et chaleureux rend justice à la réflexion politique de Soljenitsyne, riche de nuances et d'humanité. Contrairement à ce qu'ont affirmé les élites soi-disant progressistes en Occident, le prix Nobel de littérature ne condamne nullement le monde moderne au profit d'un conservatisme slavophile. Simplement, il se refuse à assimiler le progrès moral au développement technologique, s'inscrivant ainsi à la fois dans le grand héritage littéraire et intellectuel russe et dans la tradition de Platon et d'Aristote, de Burke et de Tocqueville. Par là, il a été le plus éloquent pourfendeur de l'idéologie qui a endeuillé le XXe siècle, et son message n'a rien perdu de son actualité pour une humanité en quête de sens. Alexandre Soljenitsyne est décédé le 3 août 2008 alors que l'ouvrage de Daniel J. Mahoney était sous presse.

08/2008

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Psychologie, psychanalyse

Pour en finir avec l'enfer familial

Silence, infidélité, scènes de ménage, humiliation, frustration et quotidien étouffant... Celui ou celle que votre entourage trouve "tellement épatant(e)", vous entraîne, dans l'intimité, dans un engrenage de destruction dont vous n'êtes pas le (la) seul(e) victime si vous avez des enfants. Comprendre les origines de la perversion narcissique, démonter les mécanismes qui, au quotidien, nourrissent le mépris de vous-même et la violence est nécessaire pour parvenir, peu à peu, à faire face et à vous en sortir pour protéger les vôtres. Comment tenir le coup ? Comment se préparer à quitter le (la) pervers(e) ? Comment protéger l'enfant avant et pendant la séparation ? La lecture de ce livre est le premier pas sur le chemin de la liberté, mais aussi vers une confiance en soi retrouvée, condition pour trouver un véritable amour. Cet ouvrage a été conçu comme une main tendue à toutes celles et à tous ceux qui se sont unis malheureusement pour le pire à un être pervers narcissique et qui ne veulent pas que leurs enfants soient marqués par l'engrenage de la destruction. Comprendre les origines de la perversion narcissique, s'interroger sur ce qu'elle possède d'inné et d'acquis, travailler sur le rapport qu'entretiennent les fractures narcissiques, la mésestime de soi et la violence me semble nécessaire pour y parvenir. C'est par là même "cerner" avec pertinence la qualité essentielle qui fait que nous sommes non plus dans la survie mais dans la vie : la confiance en soi.

04/2014

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Théâtre - Pièces

Mon père (pour en finir avec). Edition

Réunion de famille : il y a la mère, sa fille, ses deux fils, et un absent, le père, disparu depuis dix ans. S'il est revenu sans crier gare dans la maison familiale, c'est pour y mourir. Autour de la mère gravitent les revenants, fantômes des vivants et des morts, restes d'enfances et vestiges d'amours contrariées ou gâchées. Tous sont entraînés dans une spirale de deuils infernaux. Et bien sûr, pas de testament... La création de Mon Père (pour en finir avec) a eu lieu en janvier 2023 à la Scène nationale de Dieppe, dans une mise en scène de Pierre Notte avec Muriel Gaudin, Benoît Giros, Silvie Laguna, Pierre Notte, Shékina et Clyde Yeguete.

01/2023

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Toxicomanie

En finir avec la guerre aux drogues

Aujourd'hui, des digues s'effondrent. Le discours qui s'est longtemps résumé à dire que "les drogues, c'est de la merde" ne prend plus ; la régulation du cannabis n'est plus un sujet tabou, l'ouverture de salles de consommation a moindres risques non plus. De plus en plus de pays s'y mettent. Alors que le sujet devient plus clair, le débat peine à s'approfondir. Depuis trente ans, les mêmes questions et souvent les mêmes réponses dans dans les médias ou en politique. Les drogues, tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment ce qu'il en dit. Lorsqu'on dépasse le préjugé, le sujet est sensible. "Dites-moi comment vous traitez les consommateurs de drogues et je vous dirai dans quelle société vous vivez". Entre libertés publiques et vie privée, sécurité et santé, les drogues sont le miroir d'une société qu'on aimerait vous raconter. Jean-Pierre Courteron, Jean Félix Savary, Pierre-Yves Geoffard et Yann Bisiou, Quatre experts du sujet se sont réunis pour écrire ce livre, véritable outil pédagogique pour comprendre et se faire un avis.

09/2021

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Actualité politique France

Assimilation. En finir avec un tabou français

Face aux séparatismes et à la lâcheté de nombreux décideurs, Lydia Guirous plaide pour une réponse politique forte et courageuse : l'assimilation républicaine. Les polémiques autour de la question de l'islam et des revendications identitaires des jeunes de confession musulmane sont incessantes et lassantes. Au même moment, l'indigénisme, le racialisme, le décolonialisme, l'intersectionnalité gangrènent les lieux de savoir et d'influence... Infusés dans les esprits, ils diffusent le poison de la haine de notre pays. Ne nous voilons plus la face : l'" intégration " est un échec, qui nous renvoie au délitement de nos liens républicains et à une inéluctable désintégration sociale et sociétale. Il nous faut résoudre collectivement ce problème majeur pour que la France reste la France et que chacun s'y sente à sa place, uni, en toute égalité et patriote. La solution ? L'assimilation. Tabou dans le débat public, totem que l'on laisse lâchement à l'extrême droite, elle est un appel au sursaut plutôt qu'à la résignation face à la montée du communautarisme islamique. Ce livre invite à rompre avec ce tabou qui nous paralyse. Celui de la peur d'assumer une nécessaire assimilation républicaine pour être pleinement français. N'oublions pas : l'intégration réussie s'appelle l'assimilation, l'intégration ratée, le communautarisme.

02/2021

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Eco-gestes, éco-citoyenneté

Pour en finir avec le gaspillage alimentaire

Du champ à l'assiette, c'est environ la moitié des aliments qui sont jetés sans avoir été consommés. Devant ce gaspillage alimentaire qui ne cesse de prendre de l'ampleur, Estelle Richard lance un appel à l'action, dans nos cuisines et nos frigos. Bien que ce phénomène soit largement attribuable à l'agrobusiness et au mode de consommation qu'il encourage, il dépend également de la gestion de la nourriture dans les chaumières. Pour Estelle Richard, chaque personne peut agir et avoir une influence significative afin de renverser la tendance. En plus de détailler les causes structurelles du gaspillage alimentaire, elle partage ses trucs et astuces pour mieux conserver et consommer nos denrées. Les étapes d'une campagne de mobilisation citoyenne sont aussi au menu de ce plaidoyer qui nous invite à renouer avec la réelle valeur des aliments. De quoi envisager une société sans gaspillage, un coup de fourchette à la fois.

08/2021

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Littérature française

Pour en finir avec l'exception islamique

Ce volume regroupe un ensemble de textes publiés séparément ou/et donnés sous la forme de communications à des occasions diverses. Ils ont en commun d'avoir pour objet les problèmes épistémologiques que posent l'approche des faits islamiques et l'étude comparée des religions.

12/2017

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Romans historiques

Vite en finir avec la guerre 14

1919. La Grande Guerre est finie, laissant derrière elle son cortège de vies brisées. Dans le Nord de la France, à la Grande Ferme d'Esquerchin, la famille Baes n'échappe pas à la règle. Durant quatre longues années, les femmes ont dû vivre sans les hommes et les remplacer pour que la vie continue dans les campagnes ou à l'usine. Que va-t-il se passer maintenant, alors que beaucoup ne sont pas revenus et que d'autres sont anéantis ? C'est autour de ces questions cruciales : " Où sont passés les hommes ? " et " Comment retisser des liens à leur retour ? " que s'articule le roman de Jean-Charles Vandenabeele, Vite, en finir avec la guerre 14 ou Les coeurs, même brisés, continuent de battre. Une fois la tourmente estompée, comment les deux soeurs Charlotte et Marie, très proches bien que très différentes, vont-elles faire face aux deuils, aux drames, mais aussi à un destin qui les lie inéluctablement au même homme ? Le docteur Julien Vanbergue, personnage omniprésent tout au long du roman, parviendra-t-il à démêler ce curieux écheveau familial ? Vite, en finir avec la guerre 14 est une immersion dans le quotidien des familles françaises au lendemain de la guerre.

09/2018

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Médiation

Comment ne pas finir comme tes parents

Ce livre est un guide de survie pour ne pas finir stressé, inquiet, borné, frustré... Tu y trouveras des outils pour faire face aux changements, ainsi qu'un entraînement mental très simple, venu du fond des âges : la méditation. Pas de clichés, pas de postures bidon. Grâce au développement de ton attention, progressivement, tu sauras gérer ton stress, tes émotions, mais surtout, tu auras en main quelques clés pour te dépatouiller avec ce truc fabuleux qu'on appelle la vie. C'est ce qui est arrivé aux deux auteurs.

08/2022

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Violence

Violences sexuelles. En finir avec l'impunité

Les violences sexuelles sont un phénomène de très grande ampleur dont la reconnaissance par les pouvoirs publics et la société dans son ensemble n'en est qu'à ses balbutiements. L'écart est encore immense entre les faits de violences sexuelles et les condamnations des agresseurs. Il n'est pas excessif de considérer que cela constitue un système d'impunité pour les agresseurs. L'objectif de ce livre est de mieux comprendre les différentes formes de violences sexuelles (viol et agression sexuelle, prostitution, violences au travail, mutilations sexuelles féminines, inceste) et leur impact sur les victimes afin de promouvoir des pratiques professionnelles protectrices. Pour cela il était nécessaire de faire appel aux professionnels les plus reconnus dans leurs différents champs de compétence. François Molins : procureur de la République près le tribunal de grande instance de Paris. Marie-France Casalis : conseillère technique à la délégation régionale aux droits des femmes et à l'égalité d'Ile-de-France. Emmanuelle Piet : médecin de Protection maternelle et infantile (PMI) en Seine-Saint-Denis, présidente du Collectif féministe contre le viol (CFCV), dont l'action a permis de faire évoluer la loi sur le sujet. Membre du Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes. Marilyn Baldeck : déléguée générale de l'AVFT (Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail). Hélène de Rugy : déléguée Générale l'Amicale du Nid. Stéphanie Caradec : directrice du Mouvement du Nid-France. R. Job : psychologue formateur au centre de formation de la Gendarmerie nationale. Anne Soussy : cheffe de service de l'Unité Médico-Judiciaire (UMJ) de l'Hôpital intercommunal de Créteil. Patrick Poirret : 1er avocat général à la Cour de cassation. Christine Gilles : gynécologue, cheffe du service de Gynécologie-Obstétrique (Bruxelles). Olivier Christen : Procureur de la République adjoint au tribunal de grande instance de Paris. Cécile Pudebat : avocate en droit social, membre du Conseil d'administration de l'association FIT, une femme un toit, depuis avril 2017. Linda Tromeleue : psychologue clinicienne.

03/2021

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Romans, témoignages & Co

Les histoires, ça ne devrait jamais finir

Lucien a 16 ans. Sous le pseudonyme féminin de Zora, il partage sur les forums de fanfiction sa passion absolue pour Les mondes invisibles, la célèbre saga fantastique de l'autrice mystère Maria Zumai. Lucien préfère l'imaginaire à la vie. Il préfère les discussions en ligne avec Xena plutôt que la compagnie de ses camarades d'internat. Il aime promener ses pensées au bord du lac. D'ailleurs, il rêverait de vivre au fond d'un lac comme les "Plongeantes" de Maria Zumai. Le bleu est sa couleur préférée. Son histoire avec le réel commence lorsque Maria Zumai annonce qu'elle ne sortira pas le tome 4 tant attendu de son oeuvre. En compagnie de deux fans des Mondes invisibles, Lucien se lance dans une enquête pour démasquer l'autrice. Une enquête dans les livres pour trouver la vérité dans la vie.

03/2022

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Psychologie du handicap

Pour en finir avec les mal-entendus

Rencontrer la personne polyhandicapée souvent laissée dans l'ombre, la découvrir et peut-être se découvrir soi-même, participent au changement de regard porté sur elle. La société qui ne voit en elle qu'un corps déformé, des comportements étranges, refuse parfois de la considérer dans sa singularité et son humanité. La connaître avec ses différences, ses difficultés, mais aussi tout ce qu'elle produit de solidarité, d'engagement, de richesse permet de mieux répondre au souci de l'humain et à sa juste place dans une société respectueuse de tous.

04/2021

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Réchauffement climatique

Blablabla. En finir avec le bavardage climatique

Un livre coup de poing qui décrypte les discours autour du climat, de la politique à l'économie en passant par les médias, et les réseaux pour dénoncer leurs écueils et bâtir un récit raisonné, tourné vers l'action. Nous sommes entourés de mythes et de récits autour de l'urgence climatique : parole des médias, discours politiques, greenwashing, climatoscepticisme ou climatoréalisme, discours militant, discours technosolutionniste... Que se cache-t-il derrière l'ensemble de ces discours et nous permettent-ils d'agir vraiment ? Comment dire l'urgence climatique ? Un livre coup de poing pour éveiller les consciences. Albin Wagener Titulaire d'un doctorat en sciences du langage, Albin Wagener est spécialiste en analyse du discours, plus particulièrement pour ce qui concerne leurs formes médiatiques et numériques, appliquées aux thématiques sociales et environnementales. Il intervient régulièrement en tant qu'expert à la Fondation Européenne pour le Climat. Préface par Valérie Masson Delmotte Valérie Masson-Delmotte est paléoclimatologue, membre du Haut Conseil et du GIEC.

03/2023

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Essais

En finir avec l'hystérie (prétendument) féminine

L'hystérie est la plus ancienne maladie psychique du monde occidental, avec la mélancolie. Mais qui sait vraiment ce que cela signifie ? Attribuée à l'utérus, puis au cerveau, et enfin aux nerfs depuis la fin du XVIIIe siècle, l'hystérie est la bête noire de la médecine moderne, et est quasiment devenue une insulte du langage courant. On a du mal à comprendre pourquoi elle subit un traitement si péjoratif sinon par une explication malheureusement simple : l'hystérie serait une " folie femelle ". Honteuse, indigne. La psychiatrie actuelle l'a fait disparaître de son vocabulaire, pourtant l'hystérie exprime une problématique essentielle de l'être humain : en faisant du corps l'expression des souffrances de l'âme, elle souligne bel et bien l'essentielle connexion de l'âme et du corps. De nos jours, les neurosciences ne cessent par ailleurs de l'éclairer de connaissances nouvelles. Assignée depuis toujours aux femmes, l'hystérie ne leur est pourtant aucunement spécifique. Non, l'hystérie n'est pas féminine. Les choses changent : aujourd'hui, elle n'est plus la névrose spécifiquement féminine décrite par Freud en 1895 mais une pathologie sans genre ni âge. De quelle façon se dégenre-t-elle depuis une quarantaine d'années ? A travers des cas de patients, des oeuvres de fiction et des personnages célèbres, tout en s'appuyant sur des travaux scientifiques riches et variés, cet ouvrage explore cette question. Alors qu'on avait pu la croire vaincue par le narcissisme triomphant et les confinements, l'hystérie trouve une nouvelle jeunesse sur les réseaux sociaux, où se joue une séduction généralisée sur fond de tyrannie du paraître, soulevant par là-même des questions sociétales fondamentales. Marqueur de notre besoin d'exister dans le regard des autres, elle reste le fascinant sismographe de notre vivre ensemble. Les femmes n'ont pas fini de se battre pour avoir " un corps à soi ", comme Virginia Woolf revendiquait il y a presque un siècle " une chambre à soi ". Un corps avec lequel être soi plutôt qu'être mal, un corps désirant plutôt que perfusé au désir d'autrui : n'est-ce pas pour les femmes la meilleure façon d'en finir avec cette hystérie qu'on leur accole encore ?

10/2023

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