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Dernier jour sur terre

Extraits

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Poches Littérature internation

Un dernier verre au bar sans nom

Fin des années 50, entre San Francisco et Portland, alors que la Beat Generation rebat les cartes de la littérature sur fond de jazz, un groupe de jeunes gens rêve d'une vie d'écriture, Charlie revient de la guerre de Corée avec le puissant désir d'écrire " le Moby Dick sur la guerre ", Sur les bancs de la fac, il rencontre la très talentueuse Jaime, rejetonne de la classe moyenne. Coup de foudre quasi immédiat. Mais au temps de l'amour succède celui de l'apprentissage, et les rêves vont devoir s'accommoder des tours joués par la vie. Quels écrivains vont devenir Charlie, Jaime et leurs amis : le flamboyant Dick Dubonet, le voyou orphelin Stan Winger ou encore le discret Kenny Gross ? Un ex-taulard peut-il intégrer le monde des lettres ? Un écrivain peut-il vraiment conquérir Hollywood ? Roman d'apprentissage littéraire, mais aussi d'amour et d'amitié où l'alcool coule à flots, Un dernier verre au bar sans nom, œuvre posthume, réunit tous les thèmes chers à Don Carpenter.

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BD tout public

Julio Popper, le dernier roi de Terre de Feu

«Julio Popper, s'il avait été espagnol et était né quelques siècles plus tôt, aurait fait un formidable conquistador. Il ne fait aucun doute qu'il était de la trempe de ceux qui font la conquête de pays entiers, qui âtissent des empires. Il pensait vite et juste, il mettait en pratique. Il voyait grand, il fourmillait d'idées, rien ne l'arrêtait. Il se plaisait à ridiculiser ses ennemis. Il n'avait peur de rien ni personne, il aimait en découdre.» Né en 1857 en Roumanie, Julio Popper a parcouru la Terre. Son histoire nous emmène en Argentine, où il fait fortune avec l'or de Patagonie, fonde un état dans l'état et une monnaie. Il mourra dans des circonstances encore inexpliquées à Buenos Aires. Un destin hors norme et flamboyant. BD Ado-Adulte

09/2015

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Ecologie

La Terre n'a pas dit son dernier mot

Bandeau : "La seule issue de secours pour notre modèle économique est de s'inspirer de la nature en tissant une boucle vertueuse qui nous réconcilie au sens premier du mot économiser". Nicolas Hulot Nous vivons une crise écologique. C'est un problème mais nous pouvons le résoudre. De façon ludique et didactique, Chris Forman et Claire Asher montrent que 10 milliards d'humains peuvent vivre heureux, sans épuiser les ressources de la Terre, ni les espèces qu'ils côtoient. Comment ? Grâce à l'économie circulaire qui optimise l'utilisation des ressources et diminue l'impact sur l'environnement et à la prise en compte des enjeux écologiques par la science. Chris Forman et Claire Asher racontent les recherches de pointe qui sont menées aujourd'hui pour proposer de nouvelles technologies de stockage d'énergie, des procédés innovants de fabrication ou des matériaux intelligents inspirés directement de la nature. Autant de preuves des facultés d'adaptation de l'Humanité. Une démonstration convaincante en dix chapitres qui abordent tour à tour la biologie de synthèse, l'intelligence artificielle, l'énergie planétaire, l'impression 3D, etc. Avec, à chaque fois, de nombreuses illustrations, des exemples forts et une étude de cas développée (le biosmartphone). Ni la Terre ni l'Homme n'ont dit leur dernier mot.

11/2021

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Théologie

Le dernier testament. Avant l'anéantissement de la Terre

Ceci n'est pas un nouveau pacte avec Dieu, ni une nouvelle alliance avec Dieu. Dieu n'a jamais pactisé, ne pactise jamais, ne pactisera jamais avec les entités matérielles, sous quelque forme que ce soit. Dieu n'a jamais noué d'alliance, ne noue jamais d'alliance, ne nouera jamais d'alliance avec les entités matérielles, sous quelque forme que ce soit. Le ton est donné. Le titre en parle, aussi. Et on se pose des questions. D'où vient le texte ? Qui écrit le texte ? Et pourquoi ? Cet ouvrage nous apporte-t-il la nouvelle parole de Dieu, qui serait la dernière... avant l'anéantissement de la Terre ? Ou est-ce une simple critique de l'ordre établi ? Si les textes sacrés transmis comme vérité à l'humanité ne sont qu'au service du système, qui régit ce monde, quitte à déformer la vérité et à en détourner le sens ?

03/2021

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Littérature française

Voici le dernier jour du monde

" Je n'ai pas connu mon pays. J'avais quatorze ans à peine lorsque je le quittai. En France, mes livres n'avaient plus guère de succès. Même les Français avaient compris que pour colorer leur style, leurs romans devaient se nourrir de négritude : Erik Orsenna, Philippe Duval, Patrick Grainville... M'avait-il donc fallu vingt ans pour retrouver tout cela, qui ne m'avait jamais quitté ? Ou en avais-je voulu si fort à ce continent, à cet enfant noir que j'avais été, avais-je tant aspiré à me délivrer de lui, que je l'avais étouffé et empêché de renaître ainsi pendant vingt ans ? Oui, c'était décidé. J'allais retourner dans mon pays, à Bakassi... S'il est vrai que je suis devenu comme une noix de coco, noir à l'extérieur et blanc à l'intérieur, et que j'ai poussé comme un cocotier en oubliant mes racines, il faut que j'apprenne à renoncer à cette honte naturelle. J'ai été accueilli en France comme un étranger ; à présent c'est en étranger que je retourne chez moi. "

08/2005

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Littérature française

Le dernier jour d un condamne

Victor Hugo a vingt-six ans quand il écrit, en deux mois et demi, Le Dernier Jour d'un Condamné, roman qui constitue sans doute le réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort. Nous ne saurons pas qui est le Condamné, nous ne saurons rien du crime qu'il a commis. Car le propos de l'auteur n'est pas d'entrer dans un débat mais d'exhiber l'horreur et l'absurdité de la situation dans laquelle se trouve n'importe quel homme à qui l'on va trancher le cou dans quelques heures. Ce roman - aux accents souvent étrangement modernes - a une telle puissance de suggestion que le lecteur finit par s'identifier au narrateur dont il partage tour à tour l'angoisse et les vaines espérances. Jusqu'aux dernières lignes du livre, le génie de Victor Hugo nous fait participer à une attente effarée : celle du bruit grinçant que fera le couperet se précipitant dans les rails de la guillotine. Quiconque aura lu ce livre n'oubliera plus jamais cette saisissante leçon d'écriture et d'humanité.

11/2012

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Ouvrages généraux

Mémoires. Soldat jusqu'au dernier jour

Le Maréchal invaincu. Soldat jusqu'au dernier jour : tel est le titre de l'édition originale de ces Mémoires, publiés en 1953 et jamais réédités depuis. Leur auteur, Albert Kesselring (1885-1960), est pourtant l'un des meilleurs généraux de la Wehrmacht et son témoignage d'un intérêt évident pour l'histoire militaire du second conflit mondial. Chef d'état-major de la Luftwaffe entre 1936 et 1938, Kesselring fut l'un des pères de l'aviation allemande, qu'il conduisit à la victoire dans les campagnes de Pologne et de France. Il la commanda encore durant la bataille d'Angleterre et l'opération Barbarossa, avant de basculer, fin 1941, à la tête des armées allemandes pour la Méditerranée, présidant au repli en Afrique du Nord (en liaison avec son grand rival Rommel) puis à la défense stratégique de l'Italie, où son commandement est considéré comme un modèle du genre. Jouissant de sa réputation d'invincibilité, il termina la guerre à la tête d'un front ouest réduit à peau de chagrin sous la pression conjointe des Alliés et de l'Armée rouge. Très populaire auprès de ses troupes, qui le surnommaient " oncle Albert ", Kesselring échappa de peu à la peine de mort à la Libération, avant d'être relâché pour raisons de santé en 1952. Son témoignage, écrit en captivité, est capital pour comprendre et connaître l'histoire de la Wehrmacht, de ses triomphes initiaux à sa chute inéluctable. Il est enrichi de nombreuses notes par Benoît Rondeau ainsi que d'une lumineuse préface dans laquelle l'historien critique la vulgate héroïque, martelée par le mémorialiste, d'une armée allemande étrangère aux crimes du IIIe Reich. Benoît Rondeau est l'auteur d'une oeuvre importante centrée sur l'histoire militaire de la Wehrmacht. Il a publié chez Perrin une biographie de Rommel dans la collection " Maîtres de Guerre " (2018), Etre soldat de Hitler (2019) et Le Soldat britannique (2021).

06/2021

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Science-fiction

Le dernier jour de l'aube

Par-delà les étoiles naquit une civilisation dépourvue d'amour et de compassion. Les habitants d'Angrogia éradiquèrent tout ce qui se trouvait à sa surface, y compris l'espèce qui la colonisa en premier. Des êtres longilignes dont la sécheresse du coeur n'égalait que celle de leur sol portèrent alors leurs regards sur une planète bleue, la Terre. Jane Backer apprit ce jour-là qu'elle n'était pas totalement humaine, mais issue de manipulations génétiques. A travers le monde, d'autres hybrides comme elle vont s'engager dans un combat sans merci contre les envahisseurs. La lignée des 44 doit vivre pour que le monde puisse continuer d'exister.

05/2021

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Contes et nouvelles

Le Dernier jour d'un condamné

Dans un cachot, un homme s'apprête à mourir. Pour tromper son intolérable attente, le condamné écrit : son vain espoir de la grâce, son dernier voyage en fourgon, sa peur d'affronter la foule, mais aussi ses souvenirs de promenades autour de Paris, le sourire de sa petite fille Marie. Bientôt, le condamné sans nom et sans visage se révèle un être de chair et de sang, si proche, en somme, de chacun de nous...

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Littérature française

Le dernier jour de la jeunesse

Si je deviens célèbre, un beau jour, je m'arrangerai pour disparaître, si bien que le monde entier me croira mort (et moi, pardi, je serai loin, sur une île merveilleuse au large de l'Australie, et riche à millions). De tous côtés, c'est sûr, les critiques, les gens de lettres et les éditeurs se disputeront mes inédits. Et moi, là-bas, en train de prendre du bon temps, je pourrai me lire, noter ce qu'ils auront écarté, corrigé, exalté, excusé. Naturellement, il faudra prévoir quelqu'un pour m'envoyer un exemplaire de mon livre...

12/1993

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Littérature française

Le dernier jour d’un confiné

L'homme et le coronavirus dialoguent entre eux. L'un découvre l'autre... Ils ont des caractéristiques communes.

06/2021

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Littérature française

Le dernier jour d'un suicidé

Le Dernier jour d'un suicidé, par André Imberdis,... Date de l'édition originale : 1835 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2023

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Collège parascolaire

Le Dernier jour d'un condamné

Victor Hugo a vingt-six ans quand il écrit, en deux mois et demi, Le Dernier Jour d'un Condamné, roman qui constitue sans doute le réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort. Nous ne saurons pas qui est le Condamné, nous ne saurons rien du crime qu'il a commis. Car le propos de l'auteur n'est pas d'entrer dans un débat mais d'exhiber l'horreur et l'absurdité de la situation dans laquelle se trouve n'importe quel homme à qui l'on va trancher le cou dans quelques heures. Ce roman - aux accents souvent étrangement modernes - a une telle puissance de suggestion que le lecteur finit par s'identifier au narrateur dont il partage tour à tour l'angoisse et les vaines espérances. Jusqu'aux dernières lignes du livre, le génie de Victor Hugo nous fait participer à une attente effarée : celle du bruit grinçant que fera le couperet se précipitant dans les rails de la guillotine. Quiconque aura lu ce livre n'oubliera plus jamais cette saisissante leçon d'écriture et d'humanité.

05/1998

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Français

Le Dernier Jour d'un condamné

Victor Hugo a vingt-six ans quand il écrit, en deux mois et demi, Le Dernier Jour d'un Condamné, roman qui constitue sans doute le réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort. Nous ne saurons pas qui est le Condamné, nous ne saurons rien du crime qu'il a commis. Car le propos de l'auteur n'est pas d'entrer dans un débat mais d'exhiber l'horreur et l'absurdité de la situation dans laquelle se trouve n'importe quel homme à qui l'on va trancher le cou dans quelques heures. Ce roman - aux accents souvent étrangement modernes - a une telle puissance de suggestion que le lecteur finit par s'identifier au narrateur dont il partage tour à tour l'angoisse et les vaines espérances. Jusqu'aux dernières lignes du livre, le génie de Victor Hugo nous fait participer à une attente effarée : celle du bruit grinçant que fera le couperet se précipitant dans les rails de la guillotine. Quiconque aura lu ce livre n'oubliera plus jamais cette saisissante leçon d'écriture et d'humanité.

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Lycée

Le dernier jour d'un condamné

Victor Hugo nous donne à juger, sans autre dossier qu'un journal intime, la cause d'une main criminelle mais aussi d'un être jeune, impuissant et horrifié face au défi de violence et de guillotine. Avant de lire l'oeuvre - L'essentiel sur l'auteur - L'oeuvre en un coup d'oeil - Situer l'oeuvre Au fil de l'oeuvre - Des questionnaires de préparation à l'oral du Bac Des fiches de synthèse - Structure de l'oeuvre - Biographie de l'auteur - Contexte historique et culturel - Genre de l'oeuvre - Personnages de l'oeuvre - L'oeuvre et son contexte en images Le parcours - Thèmes principaux - Groupement de textes Un dossier Objectif BAC pour s'entraîner aux épreuves du BAC - Des sujets d'écrit et d'oral corrigés - Les conseils de méthode indispensables

06/2024

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Poésie

Dernier, dernier nuage

La poésie de Jean-Michel Frank distille sa vie quotidienne, faite de rêve et de tremblement, en des sortes de gouttes irisées. Dans un désordre chatoyant se marient une piété à la Virgile, des tendresses franciscaines, un humour qui, selon les jours, est noir ou rose. Il y a aussi des ironies acides, des élégances, des cris étouffés. La fragilité se mêle à l'entêtement à survivre, à espérer au moins. Des références inattendues font le charme de ces textes où le moindre événement est éclairé par des allusions à Napoléon, ou à la mer du Nord, ou à un opéra. Le résultat est un art qui a la suprême habileté de faire croire qu'il n'est que le fruit du hasard.

10/1985

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Littérature française

Les derniers jours

"J'appartiens à un peuple disparu. A ma naissance, il constituait près de 60 % de la population française. Aujourd'hui, il n'en fait pas même 2 %. Il faudra bien un jour reconnaître que l'événement majeur du XXe siècle n'aura pas été l'arrivée du prolétariat, mais la disparition de la paysannerie. Ce sont eux, les paysans, qui mériteraient le beau nom de "peuple originaire" que la sociologie applique à d'improbables tribus. En même temps que les premiers moines, ce sont eux qui ont défriché, essarté, créé un paysage, et qu'ils lui ont donné le nom de "couture", c'est-à-dire de "culture", ce mot que les Grecs n'avaient pas même inventé : une façon d'habiter le monde autrement qu'en sauvage. J'ai tant aimé ce monde d'ici-bas, les choses matérielles, dans leur poids et dans leur rugosité, dans leur matière et leur facture, j'ai tant voulu ces biens qu'ont été les livres, les objets d'art, les outils du savoir, et j'ai fini, alors même que je n'en savais rien, par en acquérir assez pour me juger heureux. J'éprouve aujourd'hui le sentiment d'une trahison".

10/2013

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Littérature française

Bakou, derniers jours

En 2003, de retour d'Afghanistan, j'avais dû m'arrêter à Bakou, Azerbaïdjan. Je logeai dans un hôtel portant le nom, Apchéron, de la péninsule sur laquelle est construite la ville. J'écrivais alors Suite à l'hôtel Crystal un livre composé d'une quarantaine d'histoires se déroulant dans des chambres d'hôtels à travers le monde. Le nom de l'Apchéron, si proche de celui du fleuve des morts de la mythologie grecque, me suggéra l'idée d'y mettre en scène mon propre suicide. La notice biographique sur la couverture du livre mentionnait mes lieux et dates de naissance et de mort : Boulogne-Billancourt, 1947 - Bakou, 2009. Depuis 2004, j'étais donc mort en 2009 à Bakou, dans la chambre 1123 de l'hôtel Apchéron. À mesure que se rapprochait cette fatidique année 2009, les recommandations se faisaient plus pressantes : surtout, si par hasard tu es invité à Bakou en 2009, n'y va pas ! Ces amicales mises en garde firent évidemment naître en moi l'idée qu'au contraire je devais m'y rendre pour honorer une sorte de rendez-vous, et y demeurer assez longtemps pour laisser à la fiction de ma mort sur les bords de la Caspienne une chance raisonnable de se réaliser. Ce livre est en quelque sorte le journal de mon séjour dans la ville où j'étais supposé mourir. Portraits, choses vues, rêveries, lectures, notes de voyage, évocations de figures du passé, etc. Naturellement, il s'agissait d'un jeu, commençant par un jeu de mots, mais tout de même ce jeu donnait une certaine coloration à mes pensées, orientait jusqu'à un certain point mes imaginations et même mes regards.

02/2010

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Littérature française

Les derniers jours

Petite fille fantasque et jusque-là heureuse sur l'île tropicale de Kaos, Mathilde entame l'écriture d'un journal intime à quelques jours de son douzième anniversaire. Elle y raconte aimer sa mère, un peu son petit frère et ses deux meilleures amies qui fréquentent déjà des garçons, ainsi que cet adolescent dont elle a décidé qu'il serait le premier à l'embrasser. Elle aime même "Papa-le-Dragon", la divinité de l'île que les autochtones fêtent chaque année en érigeant des bûchers. Mais c'est surtout son père, homme doux et de peu de mots, qu'elle chérit. Pourtant, lorsque le docteur de Querville rentre tard du port, sentant le tabac, l'alcool et le parfum des femmes, Mathilde ne peut s'empêcher de se demander qui est réellement son père. Et si cet homme lui veut du mal.

06/2018

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Révisions

Visa pour le dernier tour ! Programme R2C. Objectif EDN

650 QCM corrigés et analysés pour s'auto-évaluer et gagner du temps dans ses révisions ! Lors de la dernière ligne droite avant les EDN blanches ou nationales, la masse des connaissances à réviser peut faire peur et il est parfois difficile de savoir où on en est de son entraînement : faut-il tout revoir ? Ou y a-t-il des matières ou des items qui sont maîtrisés et ne méritent pas un énième tout ? Visa pour le dernier tour est là pour avoir ce regard réflexif sur ses connaissances et faire un tri concret entre ce qu'il faut revoir ou au contraire, ce qui est parfaitement maîtrisé et mérite d'être mis de côté. Ce livre d'entraînement pas comme les autres a été pensé pour vous faire gagner du temps dans ces derniers moments de révision intense ! Les trois auteurs, bien classés aux ECNi 2021, vous font bénéficier de leur expérience en vous proposant 650 QCM commentés et analysés, de nature variée : - des questions sur les points les plus tombables au concours, appartenant aux rangs A et B ; - des questions qui récapitulent les recommandations les plus importantes à connaître ; - des vignettes cliniques proposant des tableaux typiques pour avoir les bons réflexes ; - des questions d'anatomie et de physiologie, très présentes aux concours de ces dernières années mais trop peu dans les ouvrages de référence. Pour parfaire vos révisions, découvrez un livret complémentaire en accès numérique comprenant les "petites" matières, souvent négligées mais qui peuvent rapporter beaucoup au concours : - Médecine légale, Médecine du travail, Santé publique ; - Thérapeutique ; - Anesthésie, Douleur, Soins Palliatifs.

09/2022

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12 ans et +

Le dernier échange Tome 2 : La dernière reine de Féerie

Une révolution chez les fées... Après avoir risqué sa vie dans le monde mortel, Elora, la jeune princesse des fées, rentre à la maison pour déclencher une révolution. Alliée à la Reine blanche, Elora rallie son peuple dans une bataille contre sa mère corrompue, la Reine noire. Tandis que certains mettent en doute sa capacité de l'emporter, Elora pense la victoire à portée de main en sachant qu'elle a dans sa poche une arme secrète : Taylor, le garçon humain dont elle est amoureuse, de même qu'une bande disparate de camarades d'école, chacun armé d'un talent qui pourra renverser la bataille en sa faveur. Un sacrifice mortel... Cependant, les alliés d'Elora à la Cour noire se retournent contre elle quand ils croient qu'elle les a délaissés au profit des humains. Et quand la Reine noire kidnappe deux de ses alliés humains, Elora entreprend d'organiser une mission de sauvetage audacieuse... Avant que sa mère n'offre ses amis en sacrifice.

04/2018

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Réalistes, contemporains

Les contraceptés. Enquête sur le dernier tabou

Et si on parlait de contraception masculine ? Depuis quelques dizaines d'années, les médias font régulièrement état de la contraception masculine en France, nous promettant, par exemple, l'arrivée imminente de la pilule pour homme. Pourtant, en 2021, la charge mentale de la contraception pèse toujours quasi exclusivement sur les femmes. Pourquoi ? Pour répondre à cette question, Guillaume Daudin et Stéphane Jourdain, tous deux journalistes, ont sillonné la France à la rencontre de spécialistes et d'hommes qui ont fait le choix de se contracepter. Vasectomie, pilule, anneaux en silicone, slip chauffant, les méthodes - parfois très artisanales et surprenantes mais efficaces - ne manquent pas. Elles demeurent pourtant très peu usitées. Une enquête de plusieurs mois qui les amène à s'interroger sur leur propre parcours de déconstruction des rapports sociaux patriarcaux.

10/2021

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occupation

Le dernier témoin d'Oradour-sur-Glane

Le témoignage de Robert Hébras, dernier témoin de la tragédie d'Oradour Le 10 juin 1944, lorsqu'une unité de la Waffen SS investit Oradour-sur-Glane, Robert Hébras a l'insouciance d'un jeune homme loin de la guerre, tout à son match de foot du lendemain. L'histoire en décidera autrement. En ce sombre samedi, dans le paisible village de Haute-Vienne, les soldats allemands vont commettre le plus grand massacre de civils de la Seconde Guerre mondiale : 643 morts dont plus de 450 femmes et enfants enfermés dans l'église en flammes. Seule une poignée de personnes réchapperont de cet enfer, dont Robert Hébras. Près de quatre-vingts ans après les faits, le drame résonne toujours en lui. Dans les ruines du village, il emmène Agathe, sa petite-fille, dès son plus jeune âge, et lui raconte Oradour. Sa jeunesse, sa mère et ses soeurs perdues dans l'église, et cette journée tragique dans chaque détail mais dont le récit est nécessaire à la sauvegarde de la mémoire. Robert Hébras est un témoin essentiel, marqué à jamais par la folie de la guerre, mais aussi porté par le besoin de transmettre, inlassablement, son histoire aux générations futures. Pour ne jamais oublier. Biographie Après des études de littérature et de journalisme à Paris, Mélissa Boufigi a été journaliste au Parisien près d'une dizaine d'années avant de rejoindre la rédaction d'Ouest-France il y a deux ans. C'est lors d'un reportage à Oradour-sur-Glane, en 2020, qu'elle fait la rencontre de Robert Hébras et de sa petite-fille, Agathe.

06/2022

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Esotérisme

Code Terminal Terre. La dernière décision des nations

Ce livre a pour objet d'apporter une certaine vision sur la fin des temps. Tout a une fin ! disait le roi Salomon. Depuis toujours, le monde s'éloigne des valeurs humaines. Les dirigeants de nations n'ont, hélas, jamais vraiment donné l'exemple. Ils se sont succédés mais n'ont pas toujours répondu aux attentes, aux espoirs de leur peuple. Laissant derrière leur passage que déception et frustration. Le monde est devenu une jungle impitoyable. Le fossé entre les privilégiés et les laissés pour compte, n'a jamais été aussi large. La haute technologie dans le monde n'a apporté essentiellement que solitude, conflits et intérêts, souvent personnels. Cette oeuvre dans lequel se mêlent fiction, actualité, sentiments et réalisme éclairera l'auditeur quant à l'évolution et la finalité de l'humanité. Le libre-arbitre et le potentiel ont été donnés à l'homme, afin que par ses initiatives personnelles, l'harmonie et la paix règnent entre les humains et la nature. Dans un réalisme évident, ce livre démontrera que l'homme choisira, malheureusement, souvent, la difficulté par esprit d'orgueil et de mauvais jugement. Depuis des millénaires, depuis l'apparition de l'homme sur la terre, quelles leçons ont-elles été tirées réellement ?

10/2022

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Littérature française

La dernière moisson. L'esprit de la terre

Fils de paysans, Jean-Luc Mousset raconte son enfance dans la campagne normande et témoigne de l'extraordinaire mutation de l'agriculture des dernières années. Il évoque le militantisme de ses parents à la JAC, la manifestation sur les terres de l'acteur Jean Gabin, la mobilisation de toute une génération d'hommes et de femmes habitée par la volonté farouche de développer une agriculture familiale, solidaire et performante jusqu'à devenir l'une des plus modernes du monde. Il réagit vivement lorsqu'une émission de télévision met en scène un monde agricole qui n'existe pas et bafoue ses valeurs. Face aux défis climatiques, environnementaux, sociaux qui nous attendent, la profession agricole conserve ses atouts et, comme l'écrit Claude Michelet dans sa préface : " [...] cette Dernière Moisson mérite toute notre attention. Non seulement parce qu'elle nous émeut, tant par son fond que par son écriture, mais aussi parce qu'elle nous pousse à l'espérance et à croire en de futures et belles moissons [...] "

05/2007

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Développement durable-Ecologie

Retour sur Terre. 35 propositions

"Il est bien tard pour passer à l'action. Mais supposons qu'il nous reste dix années pour enfin affronter le monde tel qu'il est devenu, à savoir de moins en moins favorable à nos existences, et à celles des autres êtres vivants. Dix ans pour un virage politique très serré. Dix ans pour nous débarrasser de nos lubies productivistes et consuméristes. Dix ans pour apprendre à régénérer une nature en voie de destruction accélérée. Dix ans pour resserrer nos inégalités, tout en redonnant sens à nos existences. Dix ans, enfin, pour commencer à bâtir une civilisation nouvelle. Si c'était possible, voici ce que nous aurions à proposer." Sept chercheurs proposent de refonder notre société autour d'une série de mesures économiques et institutionnelles fondées sur des travaux au long cours et une vision étayée de l'avenir. Ils posent dans cet ouvrage les bases d'un programme politique ambitieux pour une nouvelle ère.

06/2020

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Poches Littérature internation

Seiobo est descendue sur Terre

De Kyoto à Venise, de Paris à Athènes en passant par Grenade et Genève, László Krasznahorkai nous emmène tour à tour à la rencontre d'un visiteur égaré dans les ruelles vénitiennes découvrant avec éblouissement une oeuvre méconnue de la Scuola di San Rocco, d'un acteur de théâtre no incarnant la déesse Seiobo, d'un gardien du musée du Louvre entretenant une relation quasi amoureuse avec la Vénus de Milo ou encore d'un architecte fanatique de musique baroque tâchant maladroitement de transmettre sa passion à quelques rares auditeurs. Dix-sept chapitres qui sont autant de réflexions sur l'art, la création et la quête du sacré. Déployant une prose majestueuse, László Krasznahorkai y interroge le rôle de l'artiste, la place du spectateur, et explore l'émotion que peuvent susciter les chefs-d'oeuvre en chacun de nous.

09/2019

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Littérature étrangère

Deux étrangers sur la terre

" Chère Abigail, mon amour ", ou " Abigail bien-aimée "? Et comment dire ensuite à la belle inconnue qu'il a suffi d'une écriture à l'encre bleue et aux traits clairs pour infléchir le cours d'une existence ? Tels sont les tourments d'un voyageur de commerce qui parcourt les provinces argentines au volant de sa vieille Studebaker. Si loin de Dieu et des hommes, assailli par l'opacité du monde, il cherche dans ces âpres contrées l'impossible rémission de péchés qu'il n'a pas commis. Entre les pages d'un recueil de poèmes l'attend un jour, dans une auberge, une lettre d'amour qui ne lui est pas destinée. Il décide d'endosser l'identité de l'épistolier, sans jamais soupçonner que sa correspondante a usé du même artifice et investi dans cette relation un amour terrifiant de grandeur. Deux cœurs translucides, partageant la même inclination pour la discipline du renoncement, se dirigent alors vers l'inévitable rendez-vous qui doit sceller leur destin. Entre les lignes du récit de cette improbable rencontre, Héctor Tizón place ses profonds silences empreints de finesse et d'humanité ; on y entend qu'au-delà des valeurs fédératrices censées sauver les hommes tout n'est qu'irrémédiable solitude, et que la vertu est vaine sans bonheur.

01/2002

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Littérature étrangère

Rien d'autre sur terre

" C'est vers ce moment-là que la porte s'est mise à battre. Le bois tremblait sous les coups. Le rabat intérieur de la boîte aux lettres, en plaqué laiton, a tremblé lui aussi. Même les fourchettes et couteaux, dans leur tiroir ouvert, et la vaisselle dans l'égouttoir, ont comme vibré un instant. Personne ne venait jamais à une heure pareille. Début de soirée, par le mois d'août le plus chaud de mémoire humaine. De l'autre côté de la porte, sur le seuil au milieu de nulle part, se tenait une histoire que tout le monde connaissait déjà. Et la forme que prenait cette histoire, le soir en question, comme on dit ? Essoufflée, la peau sur les os, une fille d'une douzaine d'années. Elle avait le ventre, le sternum et la naissance des côtes à l'air. On aurait dit quelqu'un qui n'a pas mangé correctement ni respiré d'air frais depuis des années. Elle avait les dents jaunes, les ongles noirs et trop longs. Sa peau était brûlée par le soleil, à l'exception de lignes blanches à l'emplacement des bretelles. Elle était marquée par endroits, aussi, sa peau : des égratignures, des plis, des stries de crasse et des mots." Au moment où il ouvre sa porte à la gamine terrifiée qui y frappe, le narrateur de cette histoire – un prêtre d'une cinquantaine d'années – sent que rien ne sera plus pareil. Le père de la petite fille a disparu, ainsi que sa mère et sa tante uparavant. La police, qui finit par arriver, connaît cette famille pas comme les autres, revenue depuis peu en Irlande après un long séjour ailleurs, certainement en Allemagne. Le prêtre avait essayé de leur rendre visite, dans le pavillon témoin du lotissement inachevé – comme il y en a tant en Irlande désormais – où ils s'étaient installés. Mais personne ne sait vraiment qui ils sont. Et les bribes de confidences livrées par la petite fille, dans son anglais aux intonations bizarres, n'en révéleront pas beaucoup plus sur l'atmosphère étrange de la maison : les portes y claquent sans raison, l'électricité est soudain coupée, des objets se volatilisent, avant les habitants eux-mêmes… Tout cela sous une chaleur caniculaire, où le temps s'étire en d'insolites séances de bronzage, où des mots apparaissent, écrits sur la poussière des fenêtres, et où l'irrespirable air nocturne est empli de bruits inexpliqués. Même le prénom de la gamine reste mystérieux : est-ce le sien ? celui de sa Mutti ? Pourquoi les membres de sa famille se sont-ils évaporés l'un après l'autre ? La petite Helen, à supposer qu'elle se nomme ainsi, dit-elle seulement la vérité ? Toute la force du poète Conor O'Callaghan, dans cet intrigant premier roman, est de laisser planer le doute sur les ressorts du psychodrame familial qui s'y joue, et sur les conséquences qu'il aura, notamment sur la personne du prêtre, a posteriori accablé d'avoir dû recueillir la petite fugitive.

09/2018

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Littérature étrangère

Tard sur la Terre Une

Voici une traduction, revue et considérablement augmentée, du premier recueil (1932) de Gunnar Ekelöf, reconnu universellement comme le poète suédois le plus original de ce siècle. En 1953, du vivant du poète (Ekelöf est mort en 1968), Jean-Clarence Lambert avait donné une première traduction de Tard sur la terre (Ed. Seghers). Au cours des années, Ekelöf n'a cessé d'enrichir et de modifier son livre, jusqu'à sa version définitive de 1962. Celle-ci comporte un important ensemble de poèmes demeurés inédits, Une nuit à l'horizon, dont on trouvera ici la traduction intégrale. Tard sur la terre a été composé au cours d'un séjour en France qui fut, pour le poète, une période de crise intellectuelle et morale, ascèse vers le néant, aspiration à une sacralité qui trouvera, finalement, à se déployer avec la trilogie du Diwan. Ekelöf fait confluer dans sa poésie, par-delà un certain romantisme nordique, la spiritualité orientale d'Ibn 'Arabi et le courant de la poésie française qu'il considérait comme "celui de mystiques s'aventurant dans les terres vierges où la pensée et les cinq sens n'avaient encore jamais conduit l'homme" : Rimbaud, Mallarmé, Reverdy, Desnos. "J'étais en quête, dira-t-il de Tard sur la terre, d'une sorte d'alchimie du verbe. Tel mot a son sens et tel autre le sien ; mais quand ils sont assemblés, il leur arrive quelque chose d'étrange : une relation est établie sans qu'ils perdent pour autant leur signification de départ. La poésie est cette relation riche de tensions entre les mots, entre les lignes, entre les significations".

05/1988