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Francis Benichou, Jean-Pierre Klein, Jean-Daniel Merlet

Extraits

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Critique littéraire

Les cahiers du Chemin N° 28, 15 Octobre 1976

Gilles Quinsat, Les porte-voixFrancis Ponge, " ... Du vent ! " Jude Stéfan, Portrait de jeune cyclisteAndré Pieyre de Mandiargues, Peau et couteauJacques Réda, Basse ambulanteJ. M. G. Le Clézio, Les bergersJean-Louis Scheffer, La mort, le corps, rienFranck André Jamme, Le clodo du Dharma, vingt-cinq poèmes de Han-shanJean-Pierre Richard, Michel Chaillou, Le sentiment géographiqueMarianne Alphant, Michel Leiris, Frêle bruitJean-Loup Trassard, Des moulins à ventJude Stéfan, Jacques Derrida, L'archéologie du frivoleJean Demélier, Le monde fabuleux de Jan LebensteinJérôme Prieur, Eric Rohmer, La marquise d'OJean-Jacques Schuhl, La mode : Elsa de Schiaparelli

10/1976

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Economie

Les comptes de la puissance. Histoire de la comptabilité nationale et du plan

Jusqu'à la guerre, l'économie française est dominée par un empirisme ignorant et un libéralisme de bon aloi mais de mauvais effet sur la santé économique de la France. La Libération ouvre la voie du pouvoir à une nouvelle génération de hauts fonctionnaires née, certes, de la Résistance, mais qui profite aussi, par des filières de personnes, de l'expérience dirigiste du gouvernement de Vichy. Cette génération milite pour une nouvelle responsabilité économique de l'État ; elle tente aussi, inspirée par une sorte de Saint-simonisme, de donner un second souffle aux entreprises privées autrefois timorées. Mais sa réussite principale reste limitée au ministère des Finances où, d'abord sur un strapontin, elle finit par conquérir le centre du pouvoir. Des figures politiques aussi différentes que Valéry Giscard d'Estaing et Michel Rocard sont marquées par son influence. « Calculer la puissance » : c'est-à-dire non seulement compter le bilan des équilibres passés, mais aussi faire un calcul sur la puissance future de la nation, prévoir la croissance maximale de ses ressources. Pourquoi faire ? Question à laquelle les auteurs apportent plusieurs réponses. Car cette histoire n'est pas écrite comme une thèse savante : elle est racontée par les acteurs eux-mêmes sous la forme d'un récit collectif. Entretiens avec Alphandéry (Claude), Aujac (Henri), Blanc (Louis-Pierre), Bloch-Lainé (François), Bénard (Jean), Denizet (Jean), Froment (René), Gavanier (Pierre), Gruson (Claude), Malinvaud (Edmond), Mayer (Jacques), Marczewski (Jean), Mendès-France (Pierre), Mercier (René), Nora (Simon), Perroux (François), Prou (Charles), Rocard (Michel), Saint-Geours (Jean), Sérisé (Jean), Uri (Pierre), Vanoli (André), Vincent (André).

09/1980

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Science-fiction

Encyclopédie du fantastique

Sur une idée de Pierre Brunel Coordonné par Valérie Tritter avec Christophe Annoussamy Paul-Laurent Assoun Joseph-Marc Bailbé Hélène Barrière Giovanni Berjola Rachel Bouvet Charles Brion Patrick Brion Elisabeth Brisson Isabelle Casta Christian Chelebourg Dorian Cumps Claude De Grève Max Duperray Franck Evrard Jacques Finné François Foley Françoise Gevrey Anne-Claire Gignoux Brice Guérin Gérard Hourbette Dominique Iehl Evelyne Jacquelin Isabelle Krzywkowski Denis Labbé Julien Lapalus Stefano Lazzarin Véronique Léonard-Roques Gaëlle Lombard Mats Lüdun Christine Malrieu Joël Malrieu Jean Marigny Martine Martiarena Afifa Marzouki Samir Marzouki Dorle Merchiers Gilbert Millet Georges Molinié Dorothée Morel Maria Munk-Farrugia Thierry Ozwald Jean-Pierre Picot Nathalie Piégay-Gros Jean-Jacques Pollet Nathalie Prince Marie-France Rouart Françoise Rullier-Theuret Jeanne-Marie Santraud Alexandra Schreyer Michel Stanesco Evanghélia Stead Thomas Steinmetz Jean-Louis Tritter Valérie Tritter Wladimir Troubetzkoy Bernard Valette Louis Vax

04/2010

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Théologie

Effets de pandémie. Médecine, économie, droit, médias, géopolitique, histoire, philosophie, théologie, spiritualité

Les effets de la pandémie de covid-19, par son caractère soudain, inédit et ravageur, ont atteint de façon simultanée la plupart des domaines de savoirs et d'actions : médicaux, sociaux, pastoraux, économiques, géopolitiques, juridiques et médiatiques. Ils sont ici ressaisis et analysés par plusieurs de leurs spécialistes, membres, pour la plupart d'entre eux, de l'Académie catholique de France. Ils font également l'objet de réflexions invitant à l'élargissement du regard historique, philosophique, théologique et spirituel. Avec les contributions de Philippe Capelle-Dumont, Bernard Ars, Xavier Emmanuelli, Mgr Bernard Podvin, Pierre de Lauzun, Robert Leblanc, Jean-Yves Naudet, Jacques Bichot, Jean-Didier Lecaillon, Yvonne Flour, Sophie Prétot, Bernard Bourdin, o.p., Pierre Manent, Gérard-François Dumont, Hugues Portelli, Isabelle de Gaulmyn, Ingrid Riocreux, Francisco Borba Ribeiro Neto, Jean-Dominique Durand, Jean-Robert Armogathe, Nathalie Nabert.

03/2021

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Histoire et Philosophiesophie

Pourquoi moi ?. Le hasard dans tous ses états

Nous en avons peur autant qu'il nous fascine, et plus nous cherchons à le maîtriser, plus il semble nous échapper. Le hasard. Un concept universel, mais que signifie-t-il vraiment ? Est-ce le hasard qui a créé l'univers ? Quel est son rôle dans l'évolution du cosmos ? Les machines peuvent-elles produire de l'aléatoire ? Le hasard rend-il le monde forcément aléatoire ? Et si oui, est-ce humainement tolérable ? Peut-on prédire l'heure de notre mort ? Pour la première fois, trente scientifiques tentent, chacun dans leur domaine, de répondre à ces vertigineuses questions. Hubert Reeves, Catherine Maunoury, Etienne Klein, Roland Lehoucq, Stuart Vyse, David Elbaz, Jean-François Clervoy, Leila Schneps, Jean-Pierre Luminet, Gilles Dowek, Marc Lachièze-Rey..., nous invitent à tenir compte du hasard pour apprendre à penser et agir librement. En commençant par l'essentiel : Pourquoi moi ?

01/2021

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Religion

Jean Viollet et l'apostolat laïc. Les oeuvres du Moulin-Vert, précédé de "Souvenirs et impressions d'apostolat (1901-1945)" mémoires inédits de Jean Viollet

Pour qui s'intéresse aux œuvres et aux politiques sociales du XXe siècle, le chanoine Jean Viollet et ses œuvres du Moulin-Vert sont partout. Or, si l'on en parle beaucoup, qu'en sait-on ? Peu de chose. La découverte d'archives et d'un manuscrit inédit, reproduit en tête de ce livre, permet de mieux cerner l'homme d'œuvres entreprenant qu'était Jean Viollet. Fondant associations ouvrières familiales, société du logement ouvrier, sociétés d'habitations à bon marché, colonies de vacances, préventoriums, unions pieuses, écoles pour jardinières d'enfants ou résidentes sociales mutualités familiales Jean Viollet loin de procéder à la mise en place d'une seule œuvre se déployant progressivement sur des champs d'intervention de plus en plus larges, constitue une myriade de petites structures indépendantes dont le seul point commun est leur siège social, rue du Moulin-Vert, dans le 14e arrondissement de Paris. Action religieuse et action sociale : Jean Viollet sépare les deux domaines, certaines des associations qu'il crée affirmant leur caractère confessionnel, d'autres se voulant neutres et laïques, deux termes d'une grande ambiguïté. Cependant, il serait aventureux de penser que, s'il prône " la neutralité religieuse ", Jean Viollet renonce à toute idée d'apostolat, ou qu'il soit animé d'une plus grande ouverture ou d'un esprit œcuménique : on est souvent surpris devant sa ferveur religieuse et missionnaire. Concevant les actions menées dans le domaine du social et du religieux comme complémentaires, Jean Viollet s'inscrit d'emblée dans un courant d'une certaine modernité qui est loin de faire l'unanimité au sein de l'Eglise.

02/2005

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Desserts, pâtisseries

La pâtisserie d'Henri & Alexis

45 recettes accessibles + 10 recettes de base en pas à pas , Des astuces et conseils de pros , Préface d'un jury d'exception : Pierre Hermé, Cyril Lignac et Jean-François Piège.

12/2021

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Sociologie

Communications N° 71 : Le parti pris du document. Littérature, photographie, cinéma et architecture au XXème siècle

Jean-François Chevrier, Philippe Roussin Présentation Daniel Baric Joseph Roth et l'art du reportage Joseph Roth Pour en finir avec la " Nouvelle Objectivité " Jean François Chevrier Walker Evans et la question du sujet Philippe Roussin Orwell, l'anti-utopie de l'homme ordinaire Leonid Heller Remarques sur la littérature factographique en Russie Varlam Chalamov Le gant Sarah Sékaly Bienvenue au pays de Wiseman ! Sophie Bruneau A propos de Frederick Wiseman Jean Paul Colleyn Petites remarques sur les moments documentaires d'un grand pays Sandra Alvarez de Toledo Pédagogie poétique de Fernand Deligny Fernand Deligny Acheminement vers l'image Marc Pataut Procédures et forme documentaire, sculpture et langue Gilles Saussier Situations du reportage, actualité d'une alternative documentaire Howard S. Becker Sociologie visuelle, photographie documentaire et photojournalisme Amos Gitai Histoires d'un cinéaste Rithy Panh La parole filmée. Pour vaincre la terreur Annick Lempérière " Moi, Rigoberta Menchú ". Témoignage d'une Indienne internationale Luc Baboulet Du document au monument

09/2001

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Economie

Histoire de l'économie mondiale. Des chasseurs-cueilleurs aux cybertravailleurs

Raconter et décrypter l'histoire économique du monde, des origines à nos jours, des chasseurs-cueilleurs aux cybertravailleurs, tel est le pari de cette oeuvre majeure proposée par l'économiste Jean-Marc Daniel. En analysant l'évolution des théories et des politiques économiques mondiales, Jean-Marc Daniel bat en brèche bien des idées reçues. Loin d'opposer travail et capital, il s'attaque aux conséquences néfastes des actions prédatrices des "oisifs" , les bureaucrates et les technocrates qui agissent au détriment de la valeur créée par les "productifs" , les ouvriers, les agriculteurs, les entrepreneurs et les innovateurs. Depuis l'origine des civilisations jusqu'aux premières décennies du XXIe siècle, de la Chine à l'Europe, en passant par l'Afrique et l'Amérique, de Tibère à Xi Jinping et Joe Biden, Jean-Marc Daniel dresse le panorama complet, synthétique et passionnant d'une économie, qui, de crises en crises, sait engendrer de nouveaux modèles. /Ancien élève de l'école polytechnique, de l'ENSAE et de Sciences Po, Jean-Marc Daniel est professeur d'économie à l'ESCP Europe et chroniqueur sur la matinale de BFM. Il est notamment l'auteur d'une Histoire vivante de la pensée économique(2010) et des 8 leçons d'histoire économique(2012).

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Droit

Les étrangers sous surveillance policière. 1993

Sommaire Edito Une, deux, trois lois Pasqua Police Police et société : des relations conflictuelles De profundis : vie et mort d'un "conseil moignon" de déontologie policière Un rapport accusateur "Etre vigilant sur les droits qu'on donne à la police" La dérive des contrôles d'identité La gestion institutionnelle de la clandestinité Le fichier des étrangers : un instrument de répression Des limites à l'investigation policière Le quotidien de la reconduite à la frontière Statistiques Etrangers et délinquance : les chiffres du débat Des chiffres en liberté très peu surveillée Justice - Prison Visiteuse de prison contre la double peine Soins en prison : la survie Surveiller et alerter : l'Observatoire des prisons En direct du tribunal L'assistance éducative aux mineurs étrangers : la tentation de la facilité Jurisprudence Au jour le jour J. M. , Angolaise et super-déboutée Histoires Ont collaboré à ce numéro : Jean-Pierre Alaux, Véronique Baudet, Jean-Michel Bélorgey, Michèle Créoff, Dominique Duprez, Nathalie Ferré, Bernadette Hétier, André Legouy, Didier Liger, Danièle Lochak, Jean-Claude Monet, Claire Rodier, Pierre Tournier, Hélène Trappo.

07/1993

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Histoire de l'art

Les écoles d'art à Toulon, 1640-1887. Jean-Baptiste de La Rose, peintre du roi. La Bastide de Pierre Puget à Ollioules

Les écoles d'art à Toulon, 1640-1887 ; Jean-Baptiste de La Rose, peintre du roi ; La Bastide de Pierre Puget à Ollioules / par M. Ch. Ginoux,... Date de l'édition originale : 1887 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Poésie

Les Hommes sans Epaules n°31 : Dossier Horizons poétiques de la mort

Dossier : "HORIZONS POETIQUES DE LA MORT" , par Paul Farellier. Pour feu ce vingtième siècle (en sommes-nous encore sortis ? ), la clairvoyance nietzschéenne avait prévu, sans le moindre regret d'ailleurs, qu'il serait "l'âge classique de la guerre, de la guerre savante et en même temps populaire sur la plus grande échelle" . Et de fait, il a livré le monde aux inventeurs de la terreur de masse, avec, pour finale (provisoire ? ), l'Armageddon nucléaire. Au sortir de ces incommensurables épreuves, des voix, en une sorte de refus de transcendance, ont clamé l'impossibilité désormais de toute poésie. Le reste du sommaire de ce numéro est constitué par l'Editorial : "Aux tyrans du monde" , par Christophe Dauphin. Le Poète de la Révolution : "Abou El Kacem Chebbi" , par Christophe Dauphin. Le Poème Rrom : "Etranger non admis" , par Ilarie Voronca. Porteurs de Feu : Michel Butor, par Christophe Dauphin ; Christian Bachelin, par Paul Farellier. Ainsi furent les Wah : Poèmes de Henri Droguet, Jehan Van Langhenhoven, Paul Sanda, Yves Boutroue, Frédéric Auroux, Hafsa Saïfi. Le Poème témoin : "Malik Oussekine" , par Christophe Dauphin. Une Voix, une oeuvre : "François Montmaneix" , par Jean-Yves Debreuille. Hommage : "Pour saluer Jules Supervielle" , par François Montmaneix. Vers les Terres libres : "Joumana Haddad" , par Karel Hadek. Dans les cheveux d'Aoun (proses) : "Points-Feu" , par Jacques Hérold. "Lettre à Robert Momeux" , par Jean Chatard. "Lettre à Alexandre Vialatte" , par Alain Breton. Les Pages libres des Hommes sans Epaules : Poèmes d'Elodia Turki, Paul Farellier, Alain Breton, Karel Hadek. Avec la moelle des arbres : Notes de lecture de Jean Chatard, Paul Farellier, Jean-Pierre Védrines, Alain Breton, Isabelle Lévesque, Jacques Aramburu. Infos/Echos des HSE, par César Birène.

10/2011

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Actualité et médias

29 mois et quelques jours

Le 31 Mai 1996 Jean-Pierre Elkabbach quittait la présidence du Groupe France Télévision. Qui l'avait contraint à partir ? Quels intérêts dérangeait-il ? Pourquoi a-t-il décidé de s'en aller ? Dans ce livre sans complaisance pour les puissants, Jean-Pierre Elkabbach, qu'on sait un homme de passion, prend le parti de tout dire. La vérité sur tous les contrats, les sommes dépensées et le succès qui gêne. Vérité forcément cruelle sur le monde fébrile de l'audiovisuel, ses profiteurs et ses serviteurs, ses stars et ses fausses idoles. Vérité sur la création de TPS, l'âpre négociation du numérique, enjeu capital pour l'avenir. Parmi tant d'anecdotes et de portraits, on rencontre aussi François Mitterand en confession, Jacques Chirac en mouvement, Edouard Balladur en campagne, Jean-Pierre Elkabbach dévoile pressions et passions, feutrées ou violentes, ainsi que les contradictions du politique et de l'administration. Ce récit drôle, allègre, ironique, donne les clés indispensables pour comprendre un audiovisuel qui doit changer pour ne pas mourir. Avec un " détachement combatif " Jean-Pierre Elkabach tire les leçons de son expérience. Quelle télévision conquérante pour demain ?

02/1997

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Actualité et médias

Miroirs d'une vie

Comme toute une génération, je suis entré dans la société intellectuelle et dans l'engagement politique par les chemins de l'anticolonialisme. En politique, mais aussi en journalisme puisque je suis devenu romancier du réel tout au long de la guerre d'Algérie, avant de créer avec des amis, des écrivains, des historiens, Le Nouvel Observateur. A travers ces textes qui sont autant de miroirs de ma vie, je m'aperçois que je n'ai cessé de maintenir des fidélités parfois contradictoires mais toujours suffisamment fortes pour m'inspirer plusieurs nostalgies à la fois. Camus a écrit L'Exil et le Royaume. Il me suffirait de mettre ces deux mots au pluriel pour les faire miens.

01/2013

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Littérature française (poches)

LE REFUGE ET LA SOURCE

"Je l'ignorais moi-même avant d'écrire ces pages, mais longtemps, très longtemps, j'ai vécu en sursis. Comme si je devais retourner un jour dans la maison et retrouver les miens... Les combats que je livrais, les joies mêmes que j'éprouvais, les amitiés que je nouais, rien au fond ne pouvait être définitif. J'étais dans le provisoire et l'attente. La nuit m'entretenait dans cette illusion puisque mes rêves, inlassablement, me transportaient sur les lieux de mon enfance, parfois même, sur cette terrasse, symbole de toutes les protections, abri de toutes les promesses, alibi de toutes les fuites. Cela devint habituel, presque routinier, au point que le soir, allant me coucher, et sachant que j'allais retrouver les miens, je savourais par avance cette réinsertion dans ma vérité. Sur ma terrasse, en rêve, je trouvai mon refuge et ma source".

04/1979

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Critique

Les miens. Edition revue et augmentée

"Le besoin d'évoquer certains des êtres qui ont illuminé mon parcours me tenaille depuis que j'ai découvert qu'ils occupaient mes nuits. Je m'appuie volontiers sur eux pour conjurer la hantise devant le grand vide qui me rendra orphelin de toute protection. On connaît le merveilleux mot de Picasso à Matisse : "Le jour où l'un de nous disparaîtra, l'autre ne saura plus à qui parler de certaines choses." J'ai trouvé le moyen, en évoquant un certain nombre de ceux qui ont compté pour moi, de continuer à leur parler. Et c'est là que réside l'ambition de mon titre : qu'ils soient célèbres ou non, qu'ils soient des adversaires attentifs plutôt que des amis, ils ont tous contribué à faire de moi ce que je suis et je les ai tous adoptés comme miens". Fondateur du Nouvel Observateur, journaliste et écrivain, Jean Daniel a marqué de son empreinte la seconde moitié du XXe siècle. Avec ce livre, il enrichit de façon originale notre connaissance des hommes et des femmes qui ont croisé sa route, qu'il s'agisse d'aînés prestigieux tels Matisse, Gide et Mauriac, d'hommes politiques tels Senghor, Mendès France et Mitterrand, ou d'amis proches comme le furent Germaine Tillion et Camus...

05/2010

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Critique littéraire

Avec Camus. Comment résister à l'air du temps

Comment expliquer la stupéfiante pérennité d'une œuvre, celle d'Albert Camus, que personne, pendant longtemps, ne songeait à placer parmi les plus grandes. Un journaliste qui n'a cessé de réfléchir sur la philosophie de son métier, Jean Daniel, grâce au souvenir de ses rapports avec l'auteur de L'homme révolté et après une relecture de l'œuvre entière à la lumière des urgences contemporaines, propose de découvrir chez Camus une véritable éthique du journalisme devenue indispensable pour échapper au règne de l'air du temps.

11/2006

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Sociologie

Soleils d'hiver. Carnets 1998-2000

" Le soleil d'hiver a toujours été pour moi une promesse, cela fait déjà quelque temps que ma préférence va aux convalescences, aux sorties d'enfer, aux promesses de lumière sous la pluie, aux enfants qui rient à travers leurs larmes, aux regards du grand blessé soudain miraculé, à l'irremplaçable médecin qui meurt en vous faisant signe que vous n'avez rien de grave et auquel vous fermez les yeux en étant en effet rassuré. Gide découvrant sur le tard que sa jeunesse a été couverte de rides assidûment tracées par ses parents et qu'à l'instant même de sa vieillesse, c'est sa vraie jeunesse qui va commencer. Soleils d'hiver que ces béatitudes dans une eau fraîche caressée vague après vague, comme si ce devait être la dernière. L'incroyant capable de rendre grâces et, au milieu de cet océan de détresse et de larmes, l'euphorie du chercheur qui découvre dans la réalité de l'univers la planète que ses calculs n'avaient fait que déduire. Jeune, j'ai chanté de l'été tous les éclats depuis les baies de Carthage jusqu'aux magies de l'archipel toscan. Aujourd'hui, seuls les soleils d'hiver me restituent l'intensité des aubes éphémères. " JEAN DANIEL

03/2002

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Littérature française (poches)

L'ami anglais

J'ai écrit ce livre pour le seul plaisir de raconter des histoires. Pas n'importe lesquelles, il est vrai. J'ai eu, j'ai éprouvé le besoin de parler de la peur et de l'amour, de la guerre et de l'amour, de la mort et de l'amour. Ces histoires m'accompagnent depuis longtemps. En esprit, je fréquente leurs personnages depuis toujours. Une fois ces histoires écrites, je me suis aperçu qu'il y avait là un roman et deux nouvelles. Mais les trois textes m'on paru inséparables. Les personnages du roman s'expliquent en effet, et aussi, par les aventures qui sont la trame des deux nouvelles. Ces personnages sont de très jeunes gens, que les guerres du siècle font rentrer dans la vie. Ce sont surtout des jeunes gens, pour qui aimer - et être aimés - demeurait la grande affaire de la vie. Ils avaient 20 ans. Ils ne le savaient pas.

10/1995

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Sciences politiques

Comment peut-on être Français ? Ecrits 1971-2011 sur l'immigration, le racisme et l'identité nationale

Si de nombreux universitaires et politologues ont souhaité la réunion en un seul volume des articles et des interventions de Jean Daniel sur le populisme xénophobe dans sa forme lepéniste, c'est parce que l'un des premiers il eut l'intuition anticipatrice de ce qui se déroule aujourd'hui en France et dans tous les pays européens. A savoir l'émergence d'un phénomène de rejet irréductible au racisme exterminateur des nazis, ou à l'hostilité traditionnelle de l'extrême droite française aux étrangers. Il s'agit d'une réaction instinctive à ce qui apparaît comme une menace pour l'identité nationale. En fidèle disciple de Lévi-Strauss, Jean Daniel estime que toute irruption massive et homogène d'une population dans une société provoque des allergies d'auto-défense et des crispations de protection. Le lepénisme est dangereux, non pas tant parce qu'il exprime une barbarie ancienne, que parce qu'il exploite et exaspère les craintes d'une population qui se croit agressée. Jean Daniel avec une obstination inlassable demande que l'on ne se trompe pas dans le choix des armes pour combattre cette forme d'extrémisme qu'il faut d'abord comprendre. Il démontre qu'il faut tenir compte du fleuve des allergies normales pour en détourner le courant. Si nos sociétés sont condamnées au multiculturalisme, elles doivent se préparer à le rendre conciliable avec l'attachement à une identité française qu'il convient de re-définir et ré-enraciner avec force.

01/2012

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Actualité et médias

Cet étranger qui me ressemble

" Lorsqu'on voit défiler sa vie, on se dit, devant certaines scènes : comment ai je pu ? Et devant d'autres : qui est cet homme ?... " Face à Martine de Rabaudy, Jean Daniel prend une distance nouvelle à l'égard de ce qu'il a vécu de plus intime. Un écrivain regarde vivre un journaliste. Il aperçoit sans indulgence, au cœur de cette histoire, un étranger sûr de lui dans l'action et sceptique dans les idées, péremptoire et désenchanté, esthète et engagé, laïc et mystique, gidien, camusien et mendésiste. Il reste fidèle à une certaine idée de l'humanisme qui tente de survivre à la mort des utopies et aux échecs de la décolonisation tout en vérifiant que le bonheur et la vie sont ailleurs. Cet étranger qui me ressemble revisite ainsi l'aventure d'un journaliste-écrivain et, à travers lui, celle de l'hebdomadaire qu'il a fondé en 1964, Le Nouvel Observateur, aux prises avec son siècle.

04/2006

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Critique littéraire

Les miens

"Le besoin d'évoquer certains des êtres qui ont illuminé mon existence me tenaille depuis que j'ai découvert qu'ils occupaient mes nuits. Une étrange grâce m'est ainsi donnée de revivre parmi tous ces disparus qui ont emporté une partie de moi-même et qui, de ce fait, me la restituent. Ils m'accompagnent. Je m'appuie volontiers sur eux pour conjurer la hantise devant le grand vide qui me rendra orphelin de toute protection. Le besoin de les faire revivre exprime alors à la fois un réconfort et une gratitude. On connaît le merveilleux mot de Picasso à Matisse : " Le jour où l'un de nous disparaîtra, l'autre ne saura plus à qui parler de certaines choses. " J'ai trouvé le moyen, en évoquant un certain nombre de ceux qui ont compté pour moi, de continuer à leur parler. Et c'est là que réside l'ambition de mon titre : qu'ils soient célèbres ou non, qu'ils soient des adversaires attentifs plutôt que des amis, ils ont tous contribué à faire de moi ce que je suis et je les ai tous adoptés comme miens. ". JD.

04/2009

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Sociologie

Cet étranger qui me ressemble

" Lorsqu'on voit défiler sa vie, on se dit, devant certaines scènes : comment ai-je pu ? Et devant d'autres qui est cet homme ?... " Ce sont deux réactions que Martine de Rabaudy a voulu susciter chez jean Daniel, ce qui lui fait prendre une distance nouvelle à l'égard de ce qu'il a vécu de plus intime. A chaque période, parfois à chaque phrase, un fait ou un sentiment surgit qu'il ne reconnaît pas. D'où un frisson de surprise et des élans de passion. Un écrivain regarde vivre un journaliste et il s'étonne : le second a eu dans la vie, malgré les épreuves, une chance que le premier ne trouve pas toujours justifiée. Il a été aidé et entouré par les plus grands et parfois il s'est retourné contre eux... Cela dit, le héros du livre ne se doute pas, en 1964, lorsqu'il fonde Le Nouvel Observateur, qu'il ajoute une institution à la vie intellectuelle française. Et que son hebdomadaire va devenir, à travers un demi-siècle d'orages et de tumultes, le rendez-vous de la littérature et de la politique. Et voici qu'aujourd'hui l'écrivain aperçoit sans indulgence, au cœur de cette histoire, un journaliste candide et distant, un étranger sûr de lui dans l'action et sceptique dans les idées, péremptoire et désenchanté, esthète et engagé, laïc et mystique, gidien, camusien, mendésiste, fidèle à une certaine idée de la gauche et qui tente de survivre à la mort des utopies et aux échecs de la décolonisation. Cet étranger qui me ressemble revisite ainsi l'aventure d'un journaliste-écrivain aux prises avec son siècle.

10/2004

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Histoire de France

Mitterrand l'insaisissable

Lorsque Jean Daniel se rapproche de François Mitterrand, celui-ci, alors député de la troisième circonscription de la Nièvre, mais déjà plusieurs fois ministre de la IVe République, parvient à mettre l'intouchable général de Gaulle en ballottage à l'élection présidentielle de 1965. C'est le début d'un long compagnonnage, d'abord intellectuel et politique, mais aussi littéraire et philosophique. Ce livre en est le témoignage vibrant, parfois militant, parfois plus distant. Car dès leur rencontre se noue une relation complexe, faite d'amitié, de complicité forte, mais aussi de silences. Etalés sur plus de quarante ans, les textes ici rassemblés dressent le portrait d'un homme riche en contrastes, séduisant et séducteur, au destin fascinant et romanesque. Le rassemblement de toute la gauche, la lente conquête du pouvoir, les grandeurs et les servitudes de son exercice, les dates marquantes et les mouvements de fond de cet âge d'or mitterrandien, ses secrets et ses scandales, rien n'échappe à la plume acérée de Jean Daniel qui a su concilier son intransigeante objectivité de journaliste et son empathie d'homme.

09/2016

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Littérature française

L'erreur

Un homme accède à la trentaine dans des conditions insolites et qui vont bouleverser sa vie. Revenant dans sa ville natale, il y apprend qu'elle est chaque année le théâtre d'événements précis : régulièrement l'état civil y enregistre deux suicides. Cette ville est Blida, en Algérie, celle-là même que Gide appelait "petite fleur du Sahel" et que le héros ne semble pas voir avec les mêmes yeux que ceux de l'auteur des Nourritures. Deux suicides, donc, sont attendus ; mais lorsque Georges Caran arrive à Blida, le premier est déjà survenu ; l'attente du second va faire naître - ou précipiter - cette rupture que chaque homme consomme quand il lui faut prendre son parti de n'être plus jeune. Cependant ici les conditions sont particulières et la rupture est à leur mesure. Comme le délai de cette attente est fixé - les deux suicides ont toujours lieu entre février et août - Georges Caran n'a plus que deux mois pour savoir qui sera le second. Pendant cette période, il se pensera doué d'une lucidité singulière qui l'écartera de ses amis, le conduira à l'échec en amour et le mènera à la poursuite désespérée d'une vie qu'il croit inséparable de l'inconscience, de l'injustice et de la violence. Ceci n'est pas le récit d'un cas, mais d'une situation. Le héros ne diffère du reste des hommes qu'en peu de choses. Né sous un ciel où la vie passe pour être plus précipitée, peut-être a-t-il plus que d'autres le don de jouir des petites choses. Une joie l'habite, qui se développe, physiologique, indépendamment de ses idées et même de ses sentiments. Cette joie ne l'a pas quitté tandis qu'il partageait avec ses contemporains les malheurs de l'époque : la guerre, l'injustice sociale, la persécution de ses amis ; elle va l'abandonner sous la contrainte d'un événement digne du siècle des statistiques. C'est seulement l'événement qui fera peu à peu du héros un cas.

10/1988

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Littérature française

Le livre de Jan

Le livre de Jan / A. Mailloux ; nombreuses illustrations photographiques et dessins de J. Lacroix Date de l'édition originale : 1906 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2023

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Littérature française

Avec Bas Jan Ader

Avec ce nouveau roman, Thomas Giraud s'approche peut-être encore davantage qu'il ne l'avait fait jusque-là d'une de ces figures fulgurantes et insaisissables, celles qui n'ont fait que passer, qui ont expérimenté et qui nous laissent au bout du compte avec beaucoup d'interrogations, à peu près autant de passions, de frissons même. Si de Bas Jan Ader, artiste hollandais, nous savons peu de choses, endécouvrant ce qui aurait pu être son histoire, selon Thomas Giraud, on se demande forcément d'où lui vient cette fascination pour les chutes ? Qu'entend-il montrer en tombant à vélo dans un canal ou en se lâchant d'une branche d'arbre ? Est-ce là uniquement le goût d'aller contre un ordre établi du monde matériel ? D'y trouver ce qui fait s'écouler les montagnes immobiles ? D'éprouver le fait d'être au monde ? D'aller contre l'immobilité de ce qui semble inscrit dans l' éternité... ? Ou faut-il chercher du côté de la petite enfance et de cet équilibre introuvable qui fait tomber à longueur de temps ? Ou encore d'avoir grandi dans l'absence et pourtant avec la figure omniprésente d'un père héros de guerre ? Avec Bas Jan Ader, sommes-nous devant une scène sans fin de la chute du père, fusillé par des soldats allemands ? Sommes-nous pris par l' immense solitude ressentie, causée par cette absence, par le manque ? Si Bas Jan Ader semble avoir laissé peu, c'est en même temps déjà beaucoup, pour penser, imaginer, construire, inventer. Bas Jan Ader a mené bon nombre d'expériences et de performances spectaculaires. Jusqu'à cette toute dernière dont il ne reviendra pas : la traversée de l'Atlantique à bord d'un bateau trop léger sans doute, In Search of the Miraculous... Thomas Giraud s'enquiert de son histoire, traverse l'océan à ses côtés et dresse son portrait à travers les âges, de son enfance à sa vie d'adulte, sa vie d'artiste.

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Littérature française

Avec Bas Jan Ader

"Le déchaînement dans l'immensité, la solitude fragile, les nuits plus sombres, les vagues plus proches ne t'effrayaient pas plus que ça. Tu parviendrais toujours à t'en sortir. Et puis à un moment donné, il fallait faire. A l'eau, dans le vide, peu importe, mais se jeter sinon on finirait par s'habituer à tout de soi-même". De Bas Jan Ader, artiste conceptuel hollandais, nous savons peu de chose, si ce n'est qu'il a mené bon nombre de performances, jusqu'à cette ultime traversée de l'Atlantique, à bord d'un bateau trop léger sans doute, In Search of the Miraculous. D'où lui vient cette fascination pour les chutes ? Qu'est-ce qui le pousse à tomber à vélo dans un canal ou à se lâcher d'une branche d'arbre ? Est-ce là uniquement le goût d'aller contre l'ordre établi du monde matériel ? Ou faut-il chercher du côté de l'enfance et de cet équilibre introuvable qui le fait chuter à longueur de temps ? Bas Jan Ader semble avoir laissé peu, mais c'est suffisant pour penser, s'interroger, imaginer.

09/2023

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Littérature française

Ceci n'est pas une autobiographie

Daniel Filipacchi a décidé de prendre la plume pour raconter, sans langue de bois ni faux-semblant, les plus grands moments de sa vie. Il revient sur les grandes passions autour desquelles il a construit sa carrière : le jazz, la photographie et l'art. Au fil d'anecdotes drôles et croustillantes, de Charlie Chaplin à Sidney Bechet, de Winston Churchill à Walt Disney, de Jean-Luc Lagardère à Rupert Murdoch, en passant par Jane Fonda et Chantal Goya, Daniel Filipacchi, grand jouisseur de la vie, trace en filigrane son parcours d'homme d'affaires exceptionnel et en plein son amour pour la musique, la presse et l'art.

02/2012

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Littérature française

Peindre en Charentes. Écrire en Charentes - Tome 7

Un jour, des charentais de Paris réunis dans une brasserie au pied de la tour Eiffel pour parler "des terres autour du plus beau ruisseau du royaume" selon l'expression d'Henri IV, se sont posé la question : les Charentes seraient-elles une source d'inspiration littéraire particulièrement féconde ? Et par quel mystère ? Impossible de répondre. C'est la vie qui est féconde, partout, plus ou moins. Mais chacun ayant son paysage et son auteur favori à l'esprit, ils ont pensé les évoquer pour parler de ce qui fait battre leur coeur, les Charentes et la littérature. Composent, en 2016, le Club des auteurs charentais de Paris : Bernard Baritaud, Jean-Louis Berthet, Pierre Brunel, Pierre Henri Guignard, François Julien-Labruyère, Didier Jung, Alain Mazère, Arnaud des Roches de Chassay. SOMMAIRE - Avant-propos : Ecrire et peindre en Charentes par Jean-Louis Berthet - André Delauzière, le peintre brisé par Jean-Louis Berthet - Copie non conforme par Pierre Henri Guignard - William Bouguereau, peintre roi de la Belle époque par François Julien-Labruyère - William Barbotin, le peintre anarchiste de l'Ile de Ré par Didier Jung - Jean-Marie Creuzeau (1926-2020) ou l'art et la vie par Jean-Louis Berthet - Eugène Delacroix, le spleen en forêt de Boixe par Alain Mazère - A quoi rêvent les aquarelles par Françoise Naudin-Malineau - Le musée invisible de Grande Champagne par Jean-Louis Berthet - Des Charentes à Paris, l'itinéraire paisible du peintre charentais Gaston Boucart par Alain Lagrange - Tatave, peintre de l'Ile de Ré par Claude Labbé - Le manège des arts. Une exposition de peinture en Nord-Charente par Arnaud des Roches de Chassay - Michel Rippe, le vigneron-peintre de Champmillon par Jean-Louis Berthet

10/2022