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Vie d'un musée 1937-2005

Extraits

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Photographie

Culture russe en exil : Europe. 1917-1947

2100 photographies — pour la plupart inédites — de la Culture russe en exil dans la série l'Emigration russe en photos, 1917-1947 et couvrant toute l'Europe de ces années-là. Vive la photographie et les photographes qui nous ont fait parvenir tant de témoignages ! Dans cet album le lecteur trouvera la confirmation visuelle de chacun des mots qui suivent sous la forme de deux mille cent photos ou documents correspondants : du Grand Exode russe du Nord au Sud sur toute la longueur de la frontière de la Russie, que s'efforçaient de passer à pied ou en voiture, à la nage et même en avion, les artistes et metteurs en scène, musiciens et compositeurs, écrivains et poètes, photographes et journalistes, des gens actifs dans le domaine culturel ou social, déjà confirmés ou en devenir, sauvant leur vie, leur honneur, leur dignité, leurs oeuvres et leur travail, les emportant loin des bolcheviques et autres barbares pour qui rien n'était sacré. Ces derniers n'avaient vraiment rien à voir avec la Culture russe !

10/2012

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Récits de voyage

Carnets de voyages en Albanie (1931-1938)

Lorsque Jacqueline et René Bénézech, grands voyageurs et ethnographes convaincus, partirent en direction de I' Europe du Sud et des Balkans au début des années trente, ni l'un ni l'autre n'aurait imaginé combien l'Albanie, au départ une destination de passage, allait marquer leur vie. Malgré les difficultés rencontrées en chemin lors d'un premier séjour en 1931, le couple, passionné par la découverte de ce pays, organise un séjour plus long (du 16 août 1938 au 15 janvier 1939). Ce second voyage sera alors mené dans le cadre d'un accord avec le Musée de l'Homme, qui charge René, photographe, d'étudier les costumes traditionnels portés par les Albanais de l'époque. Un récit extraordinaire rédigé au jour le jour par Jacqueline et des photographies uniques de René Bénézech, conservées aujourd'hui au Musée du quai Branly-Jacques Chirac, offre au public un ensemble documentaire précieux sur un pays aux traditions d'une grande richesse et peu visité durant cette période de l'entre-deux-guerres.

02/2018

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Littérature française

Romans. 1932-1947, Coffret en 2 volumes

En publiant Casse-pipe dans la Pléiade en 1988, Henri Godard parlait de ce roman comme d'un texte "mutilé" et il déplorait "la perte du reste". Sans doute espérait-il que ce "reste" sortirait un jour des oubliettes. Rien ne permettait alors de prévoir que ce seraient des milliers de feuillets, concernant des projets romanesques inconnus (Guerre et Londres), ou attestés mais perdus (La Légende du roi René et La Volonté du roi Krogold), ou encore déjà publiés en partie (Casse-pipe), voire en totalité (Mort à crédit et Guignol's band), qui referaient surface, comme ce fut le cas dans l'été de 2021. Les manuscrits n'avaient donc pas été mis au feu : ils hibernaient. Leur importance est considérable. Tous concernent la première moitié de l'oeuvre romanesque de Céline. Pour l'essentiel, ce sont des récits autonomes, et non pas des "avant-textes" de romans publiés par leur auteur (mais quelques-uns relèvent de cette catégorie et ils sont passionnants). S'ils peuvent avoir l'apparence de brouillons, ils ne sont les brouillons que d'eux-mêmes. Ils ont (au moins) deux intérêts : ils favorisent une meilleure compréhension de la manière dont l'oeuvre romanesque de Céline s'est constituée, et ils valent pour eux-mêmes, comme des récits inattendus et captivants. Que nous apprennent-ils ? Par exemple que ce qu'on appelle le "cycle de Ferdinand" n'a pas toujours été composé de Mort à crédit, de Casse-pipe et de Guignol's band (1936-1944). Que Guerre, Londres et le manuscrit retrouvé de Mort à crédit jouent un rôle dans l'affaire. Que la légende du roi Krogold (ou René) n'a cessé de passionner Céline. Ou encore que des liens étroits unissent Guerre et Casse-pipe. Les thèmes et la tonalité des récits retrouvés sont immédiatement reconnaissables : si les textes sont encore, stylistiquement, en chantier, leur univers, lui, est entièrement célinien. La découverte, dans Guerre, de personnages et de situations que l'on connaissait par Casse-pipe est l'une des émotions fortes que peut éprouver un amateur de Céline. On en dirait autant de la rencontre avec le Dr Yugenbitz de Londres, prototype du Clodovitz de Guignol's band. Ou de la présence, dans un récit aussi étrange que Krogold, d'une idée centrale dès Voyage, celle de la vie vécue comme une agonie. Pour recueillir ces nouveautés, deux volumes de la Pléiade ont été remis en chantier. Dans le premier (1932-1934), les textes réapparus en 2021 figurent sous un intitulé, Textes retrouvés, qui traduit leur statut et rappelle qu'il s'agit de manuscrits, non de romans mis au point par Céline. De même, dans le deuxième (1936-1947), les séquences nouvelles de Casse-pipe sont réunies sous la rubrique Scènes retrouvées. Quant aux éditions des romans publiés du vivant de Céline, elles ont été revues et enrichies d'appendices nouveaux. Du manuscrit et du dactylogramme de Voyage, qui n'étaient pas accessibles dans les années 1980, il a été tiré des transcriptions révélatrices. Le passionnant manuscrit de travail de Mort à crédit,

05/2023

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Récits de voyage

Paris. Un musée, un bistrot !

Les mots et les couleurs d'une artiste voyageuse La collection "Petits Carnets" explore un angle unique et original d'un pays ou d'une ville à partir d'un carnet de voyage authentique et inédit. Pour Gabrielle, la Ville Lumière lui livre des souvenirs à tous les coins de rues. Issue d'une famille née à Lutèce, Parisienne de coeur, elle puise son inspiration dans ce rapport intime avec Paris qui nourrit son inspiration au gré de ses déambulations. Suivons-la dans une visite très personnelle de la capitale sublimée par ses gouaches hautes en couleur pour s'imprégner du patrimoine artistique et architectural parisien ? !

09/2023

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Histoire internationale

Mémoires et écrits. 1917-1932

Nestor Ivanovitch Makhno (1888-1934) est issu de la paysannerie pauvre d'Ukraine orientale, berceau des Cosaques zaporogues. Sous son impulsion, entre 1917 et 1921, le groupe communiste libertaire de Gouliaï-Polié prit la tête du formidable mouvement insurrectionnel paysan dont l'intervention contre les troupes d'occupation austro-allemandes, puis contre les armées blanches, infléchit de manière décisive le cours de la guerre civile russe. Mais l'épopée de la guerre des partisans ne constitue qu'un aspect de l'histoire de la Makhnovchtchina. Makhno et les siens se battaient pour un nouvel ordre social " où il n'y aurait ni esclavage ni mensonge, ni honte, ni divinités méprisables, ni chaînes, où l'on ne pourrait acheter ni l'amour ni l'espace, où il n'y aurait que la vérité et la sincérité des hommes ". Sur un territoire de deux millions et demi d'habitants affranchi de tout pouvoir d'État, ils formèrent des communes agraires autonomes dotées des organes d'une démocratie directe : soviets libres et comités de base. Les insurgés makhnovistes croyaient sauver la révolution russe et mondiale - car ils ne luttaient pas seulement pour leur compte - et s'aperçurent trop tard qu'ils faisaient le jeu de la dictature d'un Parti-État dont les objectifs s'opposaient radicalement aux leurs. Malentendu tragique, non seulement pour eux-mêmes mais pour le projet révolutionnaire du xxe siècle - jusqu'à nos jours.

01/2010

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Cinéma

Ecrits de cinéma (1931-1977)

Amoureux d'un 70 art qu'il a contribué à sauver et à montrer, fondateur de La Cinémathèque française, Henri Langlois a écrit toute sa vie. On découvre dans cette édition critique et définitive de ses écrits de cinéma : ses carnets de jeunesse inédits et ses premières critiques (Nosferatu, Queen Kelly) ; ses portraits de cinéastes (Vigo, Rossellini, Kurosawa) ; le récit haut en couleurs de son premier voyage aux Etats-Unis, à la veille de la Deuxième Guerre mondiale ; ses cahiers des années 1950 où il se lance dans une Histoire du cinéma français ; ses grands textes sur les cinématographies américaine, italienne et allemande, ou encore un entretien jamais publié sur la Nouvelle Vague. Sa pensée du cinéma a façonné la vision de plusieurs générations de critiques et de cinéastes en France et dans le monde, depuis Godard, Rohmer, Truffaut, Chabrol ou Youssef Chahine, jusqu'à Philippe Garrel, Bernardo Bertolucci, Wim Wenders ou Leos Carax aujourd'hui. Ecrits de cinéma d'Henri Langlois est une Histoire du cinéma mondial autant que le manifeste d'un "fou de cinéma".

04/2014

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Récits de voyage

Aventures au Groenland (1934-1938)

Une bande de jeunes aventuriers découvre les espaces vierges du Groenland, le « désert aux ombres blanches ». Dans ces cinq récits qui composent ce recueil, rédigés pour la presse Suisse, Michel Pérez raconte ses expéditions au Groenland avec Paul-Émile Victor et d’autres aventuriers entre 1934 et 1938.

01/2019

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Photographie

Raoul Hausmann Photographies 1927-1936

Ce livre est le premier étudiant la p?riode durant laquelle Raoul Hausmann s'est consacr? ? la photographie. Apr?s une introduction resituant cette figure de Dada-Berlin dans le contexte artistique et politique de l'entre-deux-guerres, l'historienne d'art C?cile Bargues propose deux textes, largement illustr?s, d?crivant son activit? photographique en Allemagne jusqu'? 1933 puis en exil ? Ibiza au cours des trois ann?es suivantes. Pour Hausmann, l'art est ins?parable de la vie, et ses photographies sont li?es ? son environnement familier, aux femmes avec lesquelles il v?cut. Aussi, ce sont ?galement les d?tails d'une vie, prise dans une ?poque troubl?e, que raconte C?cile Bargues. En fin d'ouvrage, sont proposés une chronologie minutieuse ainsi qu'un choix des textes d'Hausmann sur la photographie.

10/2017

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Littérature étrangère

Journal : 1918-1921, 1933-1939

C'est toujours un rare privilège de pénétrer dans la vie quotidienne d'un grand écrivain. Avec le Journal de Thomas Mann, le privilège est multiple : nous participons à ses petites joies et à ses petites misères de tous les jours, mais aussi à l'élaboration de son ouvre au fur et à mesure qu'il y travaille, qu'il forme des projets pour l'avenir, qu'il livre ses textes à la publication. Mais l'intérêt essentiel de ce Journal, ce sont sans doute les réactions à chaud de l'auteur face à la situation politique, d'abord dans les années 1918 à 1921, période où il vit intensément la fin de la Première Guerre mondiale, les troubles de la République des Conseils de Munich et les débuts de la République de Weimar. Il faut ensuite attendre 1933 pour que le Journal reprenne son fil. Nous ne saurons donc jamais comment Thomas Mann a ressenti la première tentative de faire fonctionner en Allemagne un Etat démocratique. Surpris par la prise de pouvoir de Hitler alors qu'il effectuait un séjour en Suisse, il comprend aussitôt la gravité de ce qui se passe et décide de ne pas rentrer en Allemagne. Dès lors, son Journal nous fait vivre sa répulsion vis-à-vis du national-socialisme, les problèmes que lui pose l'abandon en Allemagne de sa maison et de l'essentiel de sa fortune, mais aussi les espoirs et les joies que lui procure l'accueil que lui réserve l'étranger. Les séjours en France et en Amérique jalonnent cette période, et l'attitude antinazie de l'écrivain ne se dément jamais.

05/1985

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Critique littéraire

Journal. Tome 2, 1907-1917

Léon Bloy (1846-1917) ressemble à un prophète de l'Ancien Testament dénonçant les vices de la société qui l'entoure. Il ne cesse de lancer ses anathèmes contre la veulerie de ses contemporains, de fustiger leur matérialisme, leur incapacité de s'élever au-dessus des mesquineries quotidiennes et de concevoir un quelconque idéal. Pèlerin d'un absolu situé hors du temps, menant une vie non pas de moine (bien au contraire) mais de marginal bourru, Bloy a fini par devenir un étranger dans son propre pays, moqué, honni. Ses romans (La Femme Pauvre, Le Désespéré) et ses nouvelles (Histoires désobligeantes) n'ont d'abord été appréciés que par de rares lecteurs avertis. Quant à son Journal, auquel il a consacré les vingt-cinq dernières années de sa vie, il est resté totalement méconnu. Il s'agit pourtant d'un des textes majeurs de cette littérature autobiographique qui mène des Confessions de Rousseau au journal de Gide. Avec une intransigeance et une violence qui n'ont pas leur pareil, Bloy retrace l'histoire de sa vie et de son œuvre, évoque ses rencontres, enregistre ses impressions de lecture, nous fait part de ses tentations, de ses colères, de ses doutes, de ses déchirements. Ce texte n'est pas seulement un document unique sur la Belle Epoque, mais aussi le cri d'un homme de douleur meurtri dans sa chair et dans son âme. ROBERT KOPP Cette édition du Journal de Léon Bloy comporte deux tomes. Le premier réunit Le Mendiant Ingrat, Mon Journal, Quatre Ans de captivité à Cochons-sur-Marne et L'Invendable. Il est précédé d'une introduction générale et d'une chronologie. Le second contient - outre une préface - Le Vieux de la Montagne, Le Pèlerin de l'Absolu, Au seuil de l'Apocalypse et La Porte des Humbles. Un triple Index (des noms, des œuvres et des références bibliques) facilite la consultation de l'ensemble. L'établissement du texte, l'annotation et les présentations ont été assurés par Pierre Glandes, professeur à l'université de Toulouse-Le Mirail, spécialiste de la littérature française du Xixe siècle et dont les travaux sur Chateaubriand, Joseph de Maistre ou Barbey d'Aurevilly font autorité.

11/1999

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Récits de voyage

Carnets du Groenland 1934-1935

Août 1934 : quatre explorateurs débarquent du Pourquoi Pas ? sur la côte est du Groenland. Parmi eux : Michel Pérez. Ami de jeunesse de Paul-Émile Victor et comme lui passionné de montagne et de ski, il a accepté sa proposition de se joindre à « l’Expédition scientifique française sur la côte orientale du Groenland » avec pour autres compagnons Robert Gessain et Fred Matter. Ces « carnets du Groenland » sont les notes personnelles que Michel Pérez a rédigées depuis son arrivée et durant son séjour à Ammassalik avec les Eskimos inuit jusqu’en juillet 1935.

05/2012

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Histoire internationale

La crise. Amérique, 1927-1932

De mars 1927 à 1933, Paul Claudel est ambassadeur de France à Washington. A peine arrivé aux Etats-Unis, il parcourt le pays où sa notoriété littéraire lui vaut de nombreuses invitations et, très vite, il s'interroge sur "la prospérité américaine, ses causes, ses conditions et les dangers qui la menacent". Au lendemain du Jeudi noir, il n'est pas surpris et décrit à Aristide Briand, son ministre, les circonstances d'une crise qu'il lui avait déjà annoncée. Ces lettres ont gardé en 2009 une justesse et une actualité troublantes.

09/2009

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Historique

Sweet Jayne Mansfield. 1933-1967

Anatomie d'un sex symbol. 1956. Avec le triomphe de La Blonde et moi, Jayne Mansfield s'élève au rang de sex-symbol planétaire. Pour cette plantureuse Texanne qui se rêve en nouvelle Marilyn, tous les espoirs sont permis, d'autant qu'à sa plastique affolante s'ajoutent de vrais talents d'actrice et un Q.I. hors du commun. Quand elle épouse Mickey Hargitay, alias Monsieur Univers, et qu'elle emménage à Beverly Hills dans son fabuleux Pink Palace, Jayne nage en plein conte de fée. Seulement voilà, à Hollywood on ne goûte guère son tempérament fantasque, et à peine au firmament son étoile pâlit déjà, avant d'entamer sa descente dans les vapeurs de la vodka et la chimie des amphétamines. Bradant ses rondeurs dans des films et des cabarets au rabais, cherchant désespérément le pygmalion qui relancera sa carrière, Jayne s'enfonce dans les ténèbres jusqu'à flirter avec Satan, puis disparaît à trentre-quatre ans, victime d'une tragédie qui scellera sa légende.

05/2021

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Philosophie

Lettres à Sartre (1930-1939)

Quand, en 1983, Simone de Beauvoir publia les lettres de Sartre, ses amis s'étonnèrent : "Mais les vôtres, Castor ? " A toutes les sollicitations, elle opposa la même réponse : "Mes lettres ? Ells sont perdues". Ce qu'elle crut jusqu'à la fin. En 1986, Sylvie Le Bon de Beauvoir tomba sur un gros paquet, au fond d'un placard. C'étaient les lettres, la plupart encore pliées dans les enveloppes, adressées à "Monsieur Sartre" . Simone de Beauvoir avait toujours déclaré que, si on les retrouvait, elle ne les publierait pas de son vivant, mais qu'après sa mort on pourrait le faire. Simone de Beauvoir racontait qu'un de ses plus anciens fantasmes l'incitait à imaginer que son existence entière s'enregistrait quelque part sur un magnétophone géant. Ces 321 lettres participent, à leur manière, de ce rêve d'enregistrement exhaustif. On y entend en tout cas certainement sa voix, dans ses intonations les plus fugitives comme les plus constantes, sa vraie voix vivante.

09/2009

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Historique

Paul-Emile Victor. La soif d'aventure, de 1907 à 1935

Une BD qui retrace les 30 premières années de la vie de Paul-Emile Victor, depuis sa jeunesse jurassienne jusqu'à son retour du Groenland. On découvre ainsi la fabrique de pipes en bruyère et de stylos de sa famille, ses excursions dans les Alpes avec les scouts, et ses rêveries d'aventures depuis le grenier de sa maison. Mais aussi sa première expédition polaire avec Jean-Baptiste Charcot. 1907-1925 : Le Jura entre nature et rêverie d'une vie future de grand voyageur. 1925 -1933 : L'adolescent s'adonne à la vie en plein air avec le scoutisme et l'aviation mais il est un jeune homme timide. 1933 - 1934 : Pour succéder à l'entreprise de fabrique de pipes et de stylos, Paul-Emile reçoit une formation scientifique avant de décider de goûter au large en intégrant la marine marchande puis la marine militaire. 1934 - 1935 : Retour dans le Jura après l'échec de ces é expériences. Victor convainc son père de le laisser partir à Paris pour réaliser des études d'ethnologie à Paris. Il écrit à l'explorateur polaire Jean-Baptiste Charcot pour le débarquer au Groenland orientale. Première expédition polaire française d'ethnologie qui dure un an. Mai 1936 - Juillet 1936 : Traversée d'ouest en est de la calotte glaciaire du Groenland en traîneau à chien, une première pour des Français, la cinquième du genre pour l'histoire du Groenland. L'expédition a failli virer, de peu, au cauchemar.

04/2024

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Romans historiques

Tristes printemps. (Kiev 1917-2000)

Portée par des femmes courageuses et attachantes, l'épopée des Seliverstoff se raconte sur trois ou quatre générations. Elle déroule l'histoire d'une famille qui avait fourni des chefs militaires, des juristes, et des personnes dévouées à leur pays. Puis vinrent le XXe siècle et la révolution bolchevique. Cécile et son époux firent face de leur mieux à des défis inhumains. Ils surmontèrent la pauvreté, les famines, l'exil et les incarcérations de leur progéniture. A leurs six enfants, ils insufflèrent le courage et la culture qui les aidèrent à surmonter les épreuves les plus dures. Tous, ils révèrent de se retrouver à Paris. Un train imaginaire, construit de chaises, devait les y conduire. De leurs récits alternés ressort la force de l'âme slave et la vigueur de caractère avec lesquelles jeunes et vieux luttèrent pour s'octroyer le droit à la vie. Finalement, les petits-enfants Seliverstoff assistèrent à l'écroulement du régime. Mais le viatique s'était épuisé. Le pire dans le communisme, a-t-on dit, c'est ce qui vient après. La dernière génération finit par y succomber.

04/2012

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Critique littéraire

Zoo. Chroniques littéraires 1977-2008

On remarquera que ce volume - qui réunit des articles que j'ai écrits sur une trentaine d'années pour deux journaux, L'Express, de 1977 à 1984 et Le Monde, de 1985 à 2008 - s'attache plus souvent à des oeuvres étrangères qu'à des françaises. Je m'empresse de préciser qu'il s'agit là d'un hasard de ma vie et non d'un amour moindre pour mes compatriotes. Quand je fis mes premiers pas dans la carrière, j'avais la curiosité des lettres étrangères autant que des françaises, et c'est uniquement le sort qui me parachuta loin du front parisien. Ainsi nombre d'écrivains de langue française durent-ils attendre mes compliments ou mes piques et se retrouvent injustement à la portion congrue dans ce recueil. On relèvera aussi parmi ces lectures quantité de lacunes. Les unes sont inévitables, un ouvrage composé de la sorte ne va pas sans disparate ; d'autres sont volontaires, et les oubliés, qui constateront leur absence sans peine, ne devraient pas s'en plaindre. Pour beaucoup d'auteurs, une critique dans la presse n'est jamais assez louangeuse et toujours réductrice. Ce n'est pas faux. Mais qui garantirait "l'objectivité" au présent, dans un domaine où la postérité se prononce si tard ? Les succès sont imprévisibles, quelquefois absurdes, et la vie littéraire n'a jamais fait serment d'être équitable ni démocratique. La critique n'est pas une science exacte, même drapée dans une toge universitaire. Elle n'est qu'un genre dans le vaste univers des lettres. Peut-elle être objective ? Non, sans doute. Et à quoi bon, du reste ? Certains écrivains, Sainte-Beuve, Albert Thibaudet, et, pour partie, Vladimir Nabokov, ont gagné leur renommée en pratiquant la critique comme un art singulier, parfois injuste, en se fiant d'abord à leur goût : or un homme de goût, par définition, ne saurait aimer tout ni tout le monde.

06/2010

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Sports

Les maquettes ESCI (1967-2000)

En Italie, l'histoire de la maquette débute dans les années 1960 avec des marques comme Artiplast (à l'origine Plastic Toys), Aliplast (qui deviendra plus tard ltalaerei) et ESCI. Cette dernière introduisit de nombreuses nouveautés dans l'univers du modélisme, à commencer par la large diffusion de planches de décalques additionnelles, les premières motos militaires à grande échelle et les premières maquettes de blindés européens au 1/72. ESCI fit également figure de pionnière en proposant, entre autres, de multiples variantes du même modèle avec des pièces ou marquages différents, ainsi que les premiers (voire uniques) kits de cockpits pour gros avions de combat. La création de la firme ESCI (pour "Ente Scambi Coloniale Internazionali", Société de commerce avec les colonies internationales), date d'avant la Seconde Guerre mondiale.

02/2014

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Critique littéraire

Frantumaglia. L'écriture et ma vie : Papiers 1991-2003, cartes 2003-2007, lettres 2011-2016

"Ma mère m'a légué un mot de son dialecte qu'elle employait pour décrire son état d'esprit lorsqu'elle éprouvait des impressions contradictoires qui la tiraillaient et la déchiraient. Elle se disait en proie à la frantumaglia". C'est autour de ce mot, du sentiment d'instabilité qu'il évoque, que ce recueil de textes d'Elena Ferrante s'articule. Lettres échangées avec son éditeur, entretiens, correspondances sont les pièces hétérogènes d'une mosaïque qui éclaire la démarche de l'écrivain et invite le lecteur à entrer dans son atelier. En revenant sur ses romans - de L'amour harcelant à la saga L'amie prodigieuse -, Elena Ferrante prolonge sa recherche autour des thématiques essentielles de son oeuvre : le rôle de l'écriture comme tentative de recomposition d'une intériorité morcelée, l'univers féminin, la complexité de la relation mère-fille, Naples. A travers la multiplicité des écrits rassemblés, Frantumaglia offre un parcours original dans l'univers littéraire d'Elena Ferrante, ainsi que l'autoportrait inédit d'un écrivain à l'oeuvre.

01/2019

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Littérature française

L'Antagonie. Journal 2007-2008

Voici le journal testamentaire d'un homme à l'agonie, un poète qui n'a plus de souffle que dans les mots, plus de vie à brûler que par les mots, et qui leur cède tout. La force désespérée qui s'exprime ici est d'une beauté à couper le souffle. C'est un appel d'air dans l'incendie, qui déplace tout discours, le condense et le violente à bouche que veux-tu ; qui retire toutes ses chevilles à la langue, convoque tous les rythmes, mêle tous les styles, toutes les voix. Une "agonie d'encre... - mais oui en boucle". Nous sommes prévenus : ce n'est pas un poème, c'est un brûlot poétique, un cri, un hymne à la vie, la vraie, celle qui passe la mort. A côté de ce texte terrible et bouleversant, combien de romans peuvent se tenir debout, combien ?

04/2011

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Littérature française

L'autofictif. Journal 2007-2008

" En septembre 2007, sans autre intention que de me distraire d'un roman en cours d'écriture, j'ai ouvert un blog, quel vilain mot, j'ai donc ouvert un vilain blog et je lui ai donné un vilain titre, plutôt par dérision envers le genre complaisant de l'autofiction qui excite depuis longtemps ma mauvaise ironie. Rapidement j'ai pris goût, et même un goût extrême, à cet exercice quotidien d'intervention dans le deuxième monde que constitue aujourd'hui Internet et à ces petites écritures absolument libres de toute injonction. Mon identité de diariste est ici fluctuante, trompeuse, protéiforme. Je me considère à mon tour comme un personnage, je bascule entièrement dans mes univers de fiction où se rencontre aussi, non moins chimérique, le réel. Je ne m'y interdis rien, c'est le principe, ni la sincérité ni la mauvaise foi, ni même à l'occasion l'assassinat. Ces pages pourront être lues ainsi comme la chronique nerveuse ou énervée d'une vie dans la tension particulière de chaque jour. "

01/2009

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Critique littéraire

Lecture. Journal littéraire 2002-2009

Lecture, l'acte simple qui rassemble, croise et disperse les mille et un livres dont sont faits ces Journaux des Deux Mondes. Lecture, pour dire le temps hors du temps des lectures, les griffonnages, les dévorations, la sieste et les promenades. Lecture enfin, à cause du mot lecture : une guitare dans le patio calme.

10/2009

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Actualité et médias

Demain, déjà. Journal 2000-2003

" Marie a organisé dans le plus grand secret une fête pour les soixante ans de son mari... J'ai hésité à y aller, parce qu'après avoir glissé sur un bout de verglas et heurté une voiture, j'ai la tête d'un boxeur au sixième round d'une difficile rencontre. Ce n'est pas très poli, de promener cette tête-là. A trente ans, je ne l'aurais pas fait. Mais, aujourd'hui, nul ne se préoccupera de ma tête derrière des lunettes noires. J'y vais ? J'y vais ! " C'est sur ces dernières phrases que s'interrompt le journal de Françoise Giroud, décédée peu après. Auteur notamment des Leçons particulières, On ne peut pas vivre heureux tout le temps, Arthur ou le bonheur de vivre, de biographies de Marie Curie, Cosima Wagner, Lou Andreas-Salomé, elle a laissé un roman posthume, Les Taches du léopard et, faisant suite à plusieurs volumes de son journal, La Rumeur du monde et C'est arrivé hier, celui-ci, qui couvre les années 2000, 2001 et 2002, et qu'elle a tenu jusqu'à ses tout derniers jours, en janvier 2003.

04/2003

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Littérature française

Vie rêvée. (Pages d'un journal, 1965, 1971-1977)

1965. Un beau jeune homme qui semble fêté par les dieux, fils du grand peintre Balthus, entreprend son journal. Thadée de Rola est plein de l'envie d'écrire. Il admire les écrivains, notamment Georges Bataille, à une édition des ouvres de qui on le verra ici travailler, et il aime aussi ce que l'on appelle la fête. Pour lui, deux faces d'une même rêverie. Et le voici avec ceux que le monde entier reconnaîtra pour les heureux d'une génération, à commencer par le jeune Yves Saint Laurent, mais encore Andy Warhol, Karl Lagerfeld, Mick Jagger et quantité d'autres dont l'existence tient parfois au surnom, comme dans toutes "les petites bandes". Et si dans Proust il y avait un Mimi, il y a ici un Marceau, un Marceau babilleur, potinier, qui transporte les secrets de Paris sur son scooter. Il y a les dîners et les fêtes, il y a des visites incomparables à Rome (et à Balthus), il y a la conversation éblouissante de celui-ci et le charme incomparable de celle-là. Car, ah oui, il y a l'amour. Durant toute cette période (le journal dure jusqu'en 1977), Thadée de Rola, qui vit avec Baba, devient amoureux d'une autre. Peu à peu, comme dans une valse lente, il va se rapprocher de Loulou de La Falaise, qui deviendra la célèbre égérie d'Yves Saint Laurent. Paris n'est pas qu'une fête. Entre dîners et soirées, le jeune Thadée rêve à des romans, souffre du temps qui s'écoule. Ce qui pourrait n'être qu'un registre de mondanités s'ocelle de notations poétiques, de fragments, de fantasmes. A différer l'ouvre qu'il voulait écrire, Thadée de Rola l'a invitée dans ses carnets. Vie rêvée ou la découverte d'un monde de rêve.

03/2013

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Littérature étrangère

Comme un arc-en-ciel. Journal inédit et non expurgé des années 1937-1939

Faisant suite aux Cahiers secrets, Inceste et Le Feu, ce volume appartient aussi au " journal de l'Amour " : il couvre les années 1937-1938 et s'achève avec l'été 39 et le départ d'Anaïs Nin pour l'Amérique. Dans un Paris où plane la menace d'un nouveau conflit, Anaïs s'accroche à sa " vie personnelle ". Une vie qui s'est mise en place à la fin de 1936, au retour de son dernier voyage outre-Atlantique. Anaïs s'éloigne de la psychanalyse et régit, seule, l'emploi de son temps et de son corps : une ville, trois hommes, trois maisons. Hugo et l'appartement conjugal du quai de Passy, Miller et le bouillonnement littéraire de la villa Seurat, Gonzalo Moré, l'amoureux jaloux et La Belle Aurore, la " péniche suspendue dans l'espace ", " île de bonheur " coupé de la terre mais qui ne la comble pas. Fidélités et mensonges. Anaïs " ne se soumet pas ". Elle ment " pour vivre en accord avec ses sentiments, ses instincts, sa nature ". Divine menteuse... Le journal, unique refuge, recueille ses confidences et maintient l'équilibre. Car, ainsi qu'Anaïs le déclare elle-même dans ces mots adressés à Djuna Barnes : " En dehors de ce que j'écris, je n'existe pas, ou disons plutôt que je n'exprime rien de moi. "...

02/1999

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Littérature française

Eugénie Cotton (1881-1967). Histoires d'une vie - Histoires d'un siècle

"Je fais partie de ceux qui aiment la vie. J'ai eu le bonheur d'avoir de bons parents, de fonder une famille heureuse... Toute ma vie, j'ai travaillé à des tâches passionnantes : j'ai aimé mes études, j'ai fait avec joie de l'enseignement et de la recherche... Je ne cesse de m'intéresser à la vie du monde, à la promotion de la femme, au maintien de la paix... Je ne demande qu'à travailler, c'est-à-dire à vivre jusqu'à l'extinction de mes forces". Itinéraire de vie singulier que celui d'Eugénie Cotton. Il s'étend sur deux siècles et trois Républiques, traverse deux grandes guerres, connaît l'âge d'or et l'écroulement d'un Empire colonial. Scientifique et intellectuelle, Cotton pénétra, au début du XXe siècle, dans des territoires perçus alors comme exclusivement masculins. Femme de tête sous le Front populaire, elle réforma l'Ecole normale supérieure de jeunes filles. Dirigeante en pleine guerre froide de grandes organisations procommunistes, féminines ou mixtes, elle fut partie prenante d'un univers à la fois international et transnational de luttes sociales, politiques et féministes. Autant d'histoires d'une vie et d'un siècle racontées "à la manière d'une passionnante enquête" .

07/2019

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Histoire de France

Jadis, d'une guerre à l'autre (1914-1936). Tome 2, 1934-1936

EDOUARD HERRIOT ET LYON Edouard Herriot disait? : "?J'ai aimé la ville de Lyon comme on aime un être vivant. Je me suis proposé à la fois de ressusciter son passé, d'assurer son présent­, de préparer son avenir.?" Lyonnais d'adoption, il fut maire pendant plus de 50 ans. Il entra au conseil municipal en 1904 pour y rester jusqu'en 1957, année de sa mort avec une interruption sous l'Occupation. Il démontra l'attachement à sa ville d'adoption en déclinant l'offre du président Roosevelt de se rendre aux Etats-Unis suite à l'occupation allemande du 1940. EDOUARD HERRIOT ET L'ARGENT Edouard Herriot est l'homme qui dénonça le mur de l'argent lors de la victoire du Cartel des gauches en 1924, c'était une condamnation des milieux d'affaires pour leur supposé manque de loyauté vis-à-vis de la nation. Les adversaires politiques d'Herriot l'accusèrent de faire preuve de laxisme en matière financière, pourtant c'est son gouvernement qui tomba le 14?décembre 1932 sur la question du remboursement de la dette française à l'égard des Etats-Unis, dette qu'il entendait honorer. Il mit en garde à plusieurs reprises, sur l'état des finances publiques, la persistance du déficit budgétaire et l'excès des dépenses. Il considérait que "?l'Etat français avait établi son train de vie sur un niveau supérieur au niveau normal.?" Rien ne change sous le soleil?! EDOUARD HERRIOT ET LES ANGLO-SAXONS A l'inverse de beaucoup d'hommes politiques français, Edouard Herriot ne considérait pas les Anglo-Saxons comme des ennemis perfides, ne cherchant qu'à nuire aux intérêts français. Au contraire, il pensait? : "?Pour la France, la base de toute action est, selon moi, son amitié avec la Grande-Bretagne. [...], cette amitié que j'ai rétablie à la Conférence de Londres. Ces deux pays sont les garants éprouvés de la dignité humaine et de la liberté.?". Concernant les Anglais, il disait? : "?[...] l'un des avantages du caractère britannique, c'est qu'il supporte la contradiction, même la plus dure, sans en garder rancune. Il n'est rien de plus confortable que d'avoir un ami anglais.?" Il aimait et admirait les Etats-Unis, pays avec lequel il nourrissait de très chaleureux sentiments. La préface de cet ouvrage a été rédigée par M. Gérard Collomb, homme d'Etat et maire de la bonne ville de Lyon. Cet ouvrage est une édition augmentée, y figure de très nombreuses notes en bas de page ainsi que des encadrés ne figurant pas dans l'édition d'origine et qui fournissent de substantiels compléments d'information.

08/2019

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Physique

Un physicien au musée

Certaines questions universelles comme le mouvement, la lumière, l'espace, le temps, la matière sont le substrat de nos vies, que chacun s'approprie. Sur chacune, la science produit des connaissances approfondies, mais bien avant la science, elles ont été l'objet de l'art, des religions, des mythologies... L'auteur s'intéresse à la façon dont les artistes comme Opalka, Fabienne Verdier, Pierre Soulages, Richard Serra, Giuseppe Penone, Marcel Duchamp, Sylvie Guillermin, Kitsou Dubois, Yoann Bourgeois, Julien Prévieux, Story Musgrave, Anish Kapoor, Tarek Atoui, Bill Fontana, ou encore Piero Gilardi, Olafur Eliasson, Douglas White, Tomás Saraceno s'emparent de ces questions universelles. Ce faisant, Joël Chevrier donne ainsi vie et sens aux questions que la physique explique. Grâce à l'art, il met les connaissances réservées aux scientifiques à la portée de tous. Il est enseignant chercheur à Grenoble et à l'Université Paris Cité.

03/2023

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Muséologie

Vers un musée radical

Comment les musées d?art contemporain peuvent-ils assurer leur mission politique à l?heure de la mondialisation et des restrictions budgétaires drastiques auxquelles ils doivent faire face ? En creux, comment peuvent-ils aussi surmonter le choc pandémique qui touche le monde depuis 2020 ? Avec des dessins de l?artiste roumain Dan Perjovschi pour souligner son propos, l?autrice nous montre que les musées d?art contemporain ne peuvent pas ou ne peuvent plus se contenter d?exposer les oeuvres sans les interroger différemment et partager ces questions avec les visiteurs.

05/2021

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Autres philosophes

L'Europe, un musée ?

Agnes Heller dans ce recueil sur l'Europe, met en discussion les "valeurs communes européennes", s'interroge sur le rôle des simples citoyens et se demande si : "L'Europe est quelque chose de plus qu'un musée ? " Dans ces textes, il est question des grands paradoxes qui caractérisent si bien le continent européen que la culture occidentale : l'universalisme humaniste et le fanatisme nationaliste, la tolérance et la xénophobie, le totalitarisme et la liberté.

10/2022