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Rue des Etaques

Extraits

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Théâtre

21 rue des Sources ; L'Arbre

Deux épopées de l'intime sur la force vive du souvenir et l'ordinaire des jours. Dans 21 rue des Sources, deux revenants s'amusent et philosophent dans la maison familiale abandonnée. On rit. On se souvient. Tout se détraque dans L'Arbre après une terrible tempête. Gaby et Linette traînent leur amour comme un mal en patience. On se blesse. On ne sait pas aimer. Aurait-il fallu ne pas couper l'Arbre ?

11/2017

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Littérature française

Josée Meunier 19, rue des Juifs

Juillet 1871. Paris. Perquisition rue des Juifs, dans le Marais. Une concierge, un coiffeur, une orpheline, une prostituée, une raccommodeuse de dentelles, un relieur et une repasseuse aident un bronzier communard à échapper aux recherches d'un commissaire de police. Automne 1871. Josée Meunier quitte la rue des Juifs pour rejoindre Albert Theisz, le bronzier, à Londres. Réfugiés, ils ne possèdent que leur amour, leurs souvenirs, et leur désir de Paris, lieu de leur histoire. L'année prochaine, à Paris... rêvent-ils. Mais on ne guérit pas de l'exil. Une histoire véridique de traque, de fuite et d'attente, pour laquelle il a fallu réinventer ce que la grande Histoire a laissé perdre.

03/2021

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Livres rabats, tirettes

Rue des Tulipes : Marcel le facteur

Suis les amis de la Rue des Tulipes dans leurs aventures de tous les jours ! Aujourd'hui, c'est Marcel le facteur qui commence sa journée. Il a beaucoup de courrier à distribuer. Peux-tu l'aider dans sa joyeuse tournée ?

03/2023

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Policiers

Dans la rue où vit celle que j'aime

En 1891, des jeunes filles disparaissent mystérieusement. Mais lorsqu'un siècle plus tard, on découvre leurs squelettes ainsi que les cadavres de mortes plus récentes, la petite ville de Spring Lake, vieille station balnéaire chic de la côte atlantique, est tétanisée. Chacun semble avoir quelque chose à cacher. Le docteur, l'agent immobilier, le restaurateur... tous paraissent suspects. Mais sont-ils pour autant coupables ? Dans cette atmosphère d'angoisse grandissante, Emily Graham, une jeune avocate new-yorkaise, s'installe dans la maison de famille où, jadis, vécut Madeline, son ancêtre assassinée. Un homme observe ses faits et gestes. S'agit-il d'un tueur ? De mystérieux liens semblent le rattacher à toutes ces victimes du passé. Emily sera-t-elle sa prochaine cible ?

01/2003

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Arts ménagers

La victoria de los pequenos

Los pequenos miembros de la "bandita" que crearon el equipo de fútbol y estimularon el nacimiento del "Chico-Chico Club", un multifacético Centro Deportivo. Este episodio relata sus éxitos y sinsabores competitivos, junto a los acontecimientos sobrevenidos a muchos de ellos en el curso de su progresión colectiva en equipo desde los niveles locales hacia la cima, así como la lucha contra los sórdidos ataques de los enemigos del progreso.

02/2022

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Livres-jeux

Mes jeux d'observation - Destination pôle Nord

Un cahier d'activités variées, une difficulté croissante pour aider l'enfant à progresser à son rythme, et de nombreux jeux pour développer et exercer son sens de l'observation !

10/2022

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Lecture 6-9 ans

Rue des copains Tome 9 : Opération gentillesse !

Alors que les copains s'amusent dans la cour de l'immeuble, ils remarquent l'air abattu de Monsieur Maurice : son potager a été saccagé pendant la nuit et ça le rend triste. La bande de copains décide alors de l'aider à retrouver le sourire... Ce sera l'occasion pour la bande de copains de mettre en place une série d'activités destinées à favoriser la bienveillance au sein de leur quartier. A partir de 6 ans.

08/2018

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Littérature française

Le Shnorrer de la rue des rosiers

Alors que le Shnorrer déambule dans la rue des Rosiers en quête d'un petit travail ou d'une piécette, le boulanger l'envoie livrer des gâteaux rue du Roi-doré chez Stan Marin, un très riche maroquinier. En découvrant que ce personnage porte le même prénom que lui, le Shnorrer est pris d'une rage froide : " Dire que, tel un chien galeux, il se traînait dans les rues, du matin au soir, par n'importe quel temps pendant qu'un autre Stanislaw, ici, vivait heureux comme un ver dans un raifort. " Le maroquinier, qui a entendu ses gémissements, l'invite à partager le dîner qu'il offre à ses amis, lui glisse des billets dans la poche et lui demande de revenir le jeudi suivant. Sept jeudis de suite, il lui contera son passé. Il a vingt ans et habite à Lodz en Pologne lorsque la guerre éclate. Arrêté, il est envoyé à Dachau, puis dans d'autres camps. Pendant cinq ans, il connaîtra le pire : coups, humiliations, froid, faim, omniprésence de la mort, barbarie et sadisme des officiers SS qui obligent un détenu à engloutir des litres de soupe jusqu'à ce qu'il meure d'indigestion sous les yeux de ses camarades qui meurent de faim. Stan Marin a accompli son devoir de témoin, tandis que le Shnorrer, désormais investi d'une mission - transmettre à son tour -, porte un regard neuf sur lui-même et sur le monde.

12/2000

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Histoires à écouter

Les sorcières de la rue des tempêtes

Un conte inédit écrit et interprété par Marlène Jobert, avec la participation exceptionnelle de Eva Green ! Illustré avec brio par Frédéric Pillot, ce récit pétillant nous transporte dans un univers féérique où se côtoient sorcellerie et magie... Ce soir, c'est Noël, la fête la plus belle, la plus magique de l'année pour les enfants ! Oui mais voilà, les sorcières de la rue des Tempêtes, comme toutes les sorcières, détestent les enfants. Un jour comme aujourd'hui, où ils sont si joyeux et excités, a de quoi les faire bouillonner de rage... Il leur vient alors une idée diabolique : kidnapper le père Noël, priver les enfants de cadeaux et semer ainsi la zizanie dans tous les foyers ! Les sorcières sont plus déterminées que jamais à mettre leur plan à exécution. Mais c'est sans compter sur l'opposition de leur jeune soeur, qui va tout faire pour contrer leur méchanceté et assurer la magie de Noël !

11/2018

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Policiers

L'énigme de la rue des Brice

Tout débute par la disparition d'un étudiant à Colmar. Le commissaire Ney et ses hommes sont alors confrontés à une série de questions insolubles. Quels secrets cache la villa qu'habitait la famille Lamotte rue des Brice ? Que sont devenus ses cinq membres ? Quel mobile explique cette disparition ? Six ans plus tard, au coeur de la canicule de 2003, la découverte d'un cadavre au fond de la Meurthe va relancer une affaire que tous, sauf Ney, voulaient croire résolue. Commence alors une minutieuse traque pour débusquer un assassin sans états d'âme qui avait ourdi un plan d'une rare intelligence. Plongé dans ses souvenirs, le commissaire Ney parviendra-t-il à retrouver, parmi les fantômes de son enfance, les traces d'un tueur bien réel que le temps efface inexorablement ?

03/2014

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Histoire de France

Les larmes de la rue des Rosiers

Rue des Rosiers : le quartier juif de Paris. Il remonte au Moyen Âge. À partir du XIXe siècle, beaucoup de juifs d'Europe de l'Est, fuyant l'antisémitisme, y ont posé leurs valises. Ils l'ont appelé le Pletzl, la " petite place ", en yiddish. Aujourd'hui, le Pletzl s'est " modernisé ". Mais ses murs n'ont oublié ni les joies du passé ni les malheurs endurés. Ils parlent pour peu qu'on sache les écouter. Comme parlent les anciens, dont les parents s'étaient enracinés sur ces quelques hectares parisiens. Avant-guerre, ils avaient connu un village chaleureux, avec ses odeurs de charcuterie, de fromage fermenté et de hareng mariné, ses paliers vétustes et surpeuplés, ses ateliers... L'Occupation leur a volé leur enfance, leur adolescence. Au 36, rue des Rosiers, le père de Suzanne Malamout, Joseph, ouvrier boulanger, venait de Russie, sa mère, Malka, de Roumanie. Ils furent assassinés à Auschwitz, ainsi que trois des cinq frères de Suzanne et ses deux soeurs. Des parents de Victor, Maurice et Régine Zynszajn, épiciers au 54, il ne reste que quelques lettres écrites à Drancy, avant leur départ pour une " destination inconnue ". Egalement déportés, le père de Léa Stryk-Zigelman, Salomon, maroquinier à domicile, 9, rue des Guillemites ; celui de Sarah Romen-Traube, Jacob, poissonnier sous le porche du 27, rue des Rosiers ; celui de Clément Lewkowicz, Hersz, boucher au numéro 12, arrêté avec sa fille, Rosette, 12 ans. Mordka, le père de Milo Adoner, disait à ses six enfants : " Il faut rester ensemble." Milo est le seul survivant de la rafle qui vida le 10-12, rue des Deux-Ponts, de sa cinquantaine de familles. Jacob, le père d'Alexandre Halaunbrenner, 25, rue des Rosiers, fut fusillé pour acte de résistance. Son frère, Léon, 14 ans, mourut en haute Silésie. Ses deux petites soeurs, Mina, 9 ans, et Claudine, 5 ans, furent raflées par Klaus Barbie, à Izieu...Des histoires dramatiques qui scellent un chapitre de l'Histoire de France. " Une description de la rue des Rosiers et des rues avoisinantes... bouleversante de vérité vécue et partagée ", écrit Elie Wiesel.

03/2010

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Livres rabats, tirettes

Rue des Tulipes : Le slip de Léon

Vite, découvre les amis de la Rue des Tulipes ! Ils sont éminemment sympathiques, ils vivent tous en harmonie dans la même rue... Suis-les dans leurs aventures de tous les jours et aide-les dans leurs péripéties ! Aujourd'hui, c'est Léon qui a perdu son slip ! Peux-tu l'aider à le retrouver dans les coins et recoins de la Rue des Tulipes ?

03/2022

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Livres rabats, tirettes

Rue des Tulipes : Le ballet de Pina

Vite, découvre les amis de la Rue des Tulipes ! Suis-les dans leurs aventures de tous les jours et aide-les dans leurs péripéties ! Aujourd'hui, c'est la chorégraphe Pina qui, à quelques heures du spectacle, a perdu ses danseurs (de si mignons petits lapins). Peux-tu l'aider à les retrouver dans les coins et recoins du théâtre de la Rue des Tulipes ??

03/2022

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Livres rabats, tirettes

Rue des Tulipes : L'invention d'Héloïse

Suis les amis de la Rue des Tulipes dans leurs aventures de tous les jours. Aujourd'hui, c'est Héloïse qui doit présenter sa nouvelle invention TOP SECRETE. Mais entre bouchons, bus en retard et pneu crevé, elle risque de rater la fête... Peux-tu l'aider dans sa folle course ?

03/2023

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Littérature française

Le disparu de la rue des chanteurs

Après la Seconde Guerre mondiale, un fourreur bruxellois se lie d'amitié avec un confrère plus âgé. Cet homme, ancien professeur de philosophie, est un rescapé d'Auschwitz. Dans cet enfer cruel, il perdra sa femme et son fils. Brisé par l'indicible, il fait bientôt l'objet d'une mystérieuse disparition... Ce roman puissant aborde avec justesse la question de la vie après la Shoah et la perte d'êtres chers. Comment redonner un sens au quotidien après les larmes, le sang et les cendres ? Comment aimer à nouveau, croire et espérer pour ces rescapés de l'horreur, alors que le ciel lui-même semble être resté sourd et silencieux face à la Shoah ?

03/2023

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Science-fiction, heroic fantas

109 rue des soupirs : Fantômes d'extérieur

Ce n'est pas un matin comme les autres au 109 rue des Soupirs : Elliot a disparu ! Ses parents ne sont même pas là pour s'en apercevoir mais sa famille adoptive de fantômes, elle, est "morte" d'inquiétude. Eva, Walter, Angus et Amédée décident de partir à sa recherche. Sauf que... ça fait des siècles qu'ils n'ont pas mis le nez dehors ! Et ce n'est que le début de leurs ennuis car ils vont découvrir qu'ils ne sont pas les seuls fantômes de Belle-en-Joie...

05/2021

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Livres 3 ans et +

Vue des toits

Un petit ramoneur, ni sur terre, ni en l'air, nettoie les cheminées. Mais pas seulement ! Car il est avant tout un expert en fumées, vapeurs et volutes de toutes sortes...

04/2003

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Divers

Les rues de Lyon N° 74 : La rue Mercière. Histoire

L'histoire emblématique d'une rue au cœur de Lyon : la rue Mercière.

02/2021

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Contes et nouvelles

Dis-moi plus que des mots damour

Le corps, le coeur, le corps... et l'amour, cet élément au centre des relations humaines, depuis toujours recherché de tous. Il n'est pourtant pas facile d'écrire une bonne romance, qui plaise et qui parle de manière unanime, bien que l'amour semble parler à tous ! La romance, l'un des genres littéraires les moins étudiés, et paradoxalement l'un des plus populaires, tant chez les auteur. ice. s que les lecteur. ice. s. Et pour la seconde fois cette année, les Editions Edilivre ont lancé le défi, aux écrivains professionnels et amateurs, d'écrire avec leur plume bien plus que des mots d'amour, et ce, sous toutes leurs formes. Dans ce recueil, vous trouverez les treize nouvelles sélectionnées à la suite de notre concours, qui explorent le mieux les formes multiples et variées de l'amour et du désir. Chaque nouvelle est unique et nous parle d'un amour platonique, sensuel, érotique, à travers les âges... Des histoires d'amour qui ne manqueront pas de vous faire, vous aussi, rêver.

12/2021

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Littérature française

Arentel et Ménéhould, anges en exil

A cette époque lointaine et révolue où les hommes croyaient en une infinité de dieux – auxquels ils prêtaient volontiers tel ou tel portefeuille improbable – un tout petit dieu de rien du tout, né avec le cosmos pour ainsi dire mais insignifiant dans la multitude, régnait sur une minuscule minorité présente sur un îlot microscopique de Méditerranée. La communauté présente l'honorait pour veiller sur deux malheureuses brebis et trois vaches étiques.

08/2019

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Romans historiques

La rue

La rue n'a-t-elle pas sa vie pittoresque et joyeuse ? Qu'est-ce donc par exemple, que cet homme habillé en officier supérieur, avec un képi à cinq galons, un pantalon tout frangé d'or, teint jaune, barbe grise, qui a dix-huit bagues à chaque main, des traînées de crachats sur la poitrine, et dont les doigts de pied trouent les souliers ? Chaque boulevard, chaque quartier, ce jardin, ce square, ont leurs habitués excentriques, entêtés, qui font retourner la tête à tous les passants. Leur biographie, si on la tenait, aurait une saveur sans pareille. Je choisirais, de préférence, je l'avoue, les endroits ignorés, les terrains populaires, et je rechercherais les tableaux émouvants, bizarres, contrôlant la légende, ressuscitant les drames. Les ouvriers, les malheureux, tous les laborieux et les souffrants auraient en moi non pas un avocat, mais un historien. Je ferais la statistique du salariat et si je n'avais pas peur d'effrayer, celle de la misère. Je suis du peuple, et ma chronique aussi.

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Critique littéraire

Rue Corneille

Un écrivain, et rien d'autre, ainsi se définit Denis Tillinac, en épilogue à ce récit d'une balade en zigzags sur les routes de son imaginaire. On le cherche dans sa maison d'édition au quartier Latin, on le surprend en Afrique où Kabila doit le rejoindre. On le croise en terre d'Ovalie avec Pierre Dauzier et André Boniface, on l'aperçoit à l'Elysée en conciliabule avec Chirac. Mais comme il se joue des frontières, le voilà dans l'avion de Sarkozy avant de reprendre son train pour la Corrèze. Puis de repartir à un autre bout de ses mondes intimes. Tout le passionne, surtout les coulisses et surtout les irréguliers. D'où ces scènes de genre et cette galerie de portraits, crayonnés avec autant d'ironie que de tendresse. Car si Denis Tillinac n'aime pas son époque, il a de la sympathie pour les personnages qui tâtonnent aux marches de la gloire. Ou aux frontières du désespoir. Entre les lignes d'une prose de styliste, miroir parfois cruel des moeurs contemporaines, on perçoit les désarrois d'un écrivain que l'Histoire a floué. Même s'il s'est bien amusé.

03/2009

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Littérature française

Rue Blondel

Près de la Porte-Saint-Martin, à Strasbourg-Saint-Denis, il y a la rue Blondel. Or dans la rue Blondel, y'avait une demoiselle. Elle avait l'uniforme que porte la profession : une jupette ultra courte et puis un boléro ayant peine à cacher un soutif en dentelle deux tailles trop étroit. Elle se postait toujours en haut de ses trois marches, dans le creux d'une porte. On aurait dit un peu comme une pauvre madone dessus son piédestal. Elle s'appelait Lucienne, mais on disait Lulu. Et puis y'avait Momo, le serrurier et ses mauvaises fréquentations et puis aussi Edmond, qui n'aimait pas son prénom, qui n'aimait pas ses parents, qui ne s'aimait pas trop non plus lui-même et qui partit en Grèce sans vraiment savoir pourquoi. Tout commença dans les années 50, rue Blondel, à Strasbourg-Saint-Denis.

05/2018

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Littérature française

Cette rue

Sur un des carrefours qui délimite la rue, un homme regarde passer les voitures. Il a l'air de venir de très loin. D'au-delà de tous les périphériques. De si loin qu'on l'appelle "L'Abyssinien". Sur l'autre carrefour, un magasin, épicerie et épicentre, où se croisent parfois les habitants. Un couple de vieux, un autre de jeunes. Une ancêtre plus que bizarre. Un solitaire de retour après quinze ans. Tout cela n'a l'air de rien. Mais aussi l'air inquiétant. Une menace semble monter, des caves jusqu'aux astres, comme une marée. Un grand dérangement se prépare, que tous ces gens sentent venir sans pour autant le comprendre. Roman fable, où l'intime sensation des corps rejoint l'infini cosmique, Cette rue évoque ce qui couve pour les hommes et pourtant dépasse leur entendement.

08/2007

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Littérature française

Rue Solitude

Erika l'a plaqué, Téo n'est plusau rendez-vous, Mario se fait attendre : Victor a dix huit ans, la vie lui file entre les doigts. Venu faire le deuil de Téo, c'est la mort qu'il croise partout au Mexique, intimement mêlée au quotidien, au détourde chemins hasardeux qui le conduiront vers lui même. Lazaro lui fait découvrir d'autres mondes, ils'embarque pour un voyage insensé au coeur de la Sierra Madre, connaît Lupita. Entre les trois se tisse une étrange relation. Rue Solitude, dans les bas-fonds de Mexico, Victor fera son apprentissage de la mort, pour en tirer une leçon de vie : il découvrira que les hommes ne sont pas si forts et offrent au monde le trompe-l'oeil de leur virilité, la poudre aux yeux de leurs éclats de violence.

06/2022

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Littérature française

Rue Darwin

Après la mort de sa mère, Yazid, le narrateur, décide de retourner rue Darwin dans le quartier Belcourt à Alger, où il a vécu son adolescence. « Le temps de déterrer les morts et de les regarder en face » est venu. Son passé est dominé par la figure de Lalla Sadia, dite Djéda, sa toute-puissante grand-mère adoptive, qui a fait fortune installée dans son fief villageois, fortune dont le point de départ fut le florissant bordel jouxtant la maison familiale. Né en 1949, Yazid a été aussitôt enlevé à sa mère prostituée, elle-même expédiée à Alger. Il passe une enfance radieuse au village, dans ce phalanstère grouillant d’enfants. Mais quand il atteint ses huit ans, sa mère parvient à l’arracher à l’emprise de la grand-mère maquerelle. C’est ainsi qu’il débarque rue Darwin, dans une famille inconnue. Il fait la connaissance de sa petite soeur Souad. D’autres frères et soeurs vont arriver par la suite, qui connaîtront des destins très divers. La guerre d’indépendance arrive, et à Alger le jeune Yazid y participe comme tant d’autres gosses, notamment en portant des messages. C’est une période tourmentée et indéchiffrable, qui va conduire ses frères et soeurs à émigrer. Ils ne pourront plus rentrer en Algérie (les garçons parce qu’ils n’ont pas fait leur service militaire, les filles parce qu’elles ont fait leurs études aux frais de l’État algérien). Le roman raconte la diaspora familiale, mais aussi l’histoire bouleversante de Daoud, un enfant de la grande maison, le préféré de Djéda, dont Yazid retrouve un jour la trace à Paris. Encore une fois, Sansal nous emporte dans un récit truculent et rageur expliquant la difficulté d’avoir deux mères : c’est le cas de Yazid, mais aussi celui de tous les Algériens… Il décrit la corruption, le « grouillement de la misère », l’absence de perspectives, la tristesse générale, l’ennui… Rue Darwin est le récit d’une inguérissable douleur identitaire, génératrice d’un chaos politique et social.

08/2011

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Littérature étrangère

Rue Involontaire

Rien n'est jamais trop étrange pour Krzyzanowski. Voilà qu'un de ses grands textes - tout petit en nombre de pages - que l'on croyait perdu à jamais vient de réapparaître aux archives à Moscou, restitué en 1995 par le FSB (ex-KGB) puis oublié au fond d'une réserve. S'il n'a pas valu à son auteur d'être arrêté, c'est peut-être parce que celui-ci portait par hasard le même nom qu'un grand révolutionnaire, ou parce qu'il était un écrivain à ce point invisible que l'absence de reconnaissance dont il a tant souffert lui a pour finir sauvé la vie. Et l'on ne sait toujours pas de quelle "affaire" relevait ce dossier. S'agissait-il du texte original confié à une dactylo qui aurait été arrêtée ? D'un exemplaire donné à lire à un écrivain qui se serait fait confisquer ses écrits ? Mystère... Quant à la rue Involontaire, elle existait réellement à l'époque : quelques coudes zigzaguant dans le quartier de l'Arbat où vivait Krzyzanowski avaient "involontairement" formé une petite rue. Celle-ci figure aujourd'hui encore sur les cartes, mais... est introuvable dans la réalité. Rue Involontaire est composé de sept lettres écrites par l'écrivain et son coauteur, la vodka. N'ayant personne à qui écrire, Krzyzanowski les adresse au premier venu ou à la fenêtre qui reste allumée la nuit, et les expédie par la fente de son vasistas. Avec une noirceur joyeusement désespérée, il approche à pas grincés de l'autobiographie. Ce récit est accompagné de deux petits textes ivres et foutraques, et d'extraits des carnets de l'écrivain.

03/2014

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Romans historiques

Rue Bassano

Nommé attaché à l’ambassade de France à Bonn en 1954, j’y suis tombé amoureux d’Alissa, la jeune épouse d’un grisonnant baron prussien. Ce n’était pas très diplomatique, mais j’étais trop jeune pour m’en soucier. Pour ne rien arranger, l’amour se doubla d’une énigme quand j’appris qu’Alissa était française, juive, et qu’elle avait rencontré son mari pendant la guerre. Tandis que mon ambassadeur parlait d’avenir et de réconciliation, tout me ramenait une dizaine d’années en arrière, dans Paris occupé, plus précisément rue Bassano, où s’était joué, derrière la façade respectable d’un immeuble cossu, un des actes les plus méconnus et les plus troubles de la tragédie de la shoah en France.

05/2012

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Romans de terroir

Rue Paillassère

Dans un cadre autobiographique, un récit à plusieurs voix sur la vie béarnaise à Arette, avant et après le séisme de 1967, et sur la vie en Bigorre, à Aureilhan. Née après-guerre, Janette Ananos trouve sa place auprès de Pierre et Marie, son frère et sa soeur issus d'une première union. L'enfant met du temps à comprendre que sa mère a épousé en secondes noces le frère cadet de son premier mari mort à la guerre, le père de ses aînés. C'est l'histoire d'une famille béarnaise, des liens sociaux entre les habitants du village, voisins, amis et parenté, que s'attache à décrire avec beaucoup de douceur et de finesse, Janette Ananos. Une vie simple, tranquille où le quotidien est rythmé par des faits anodins et de menus plaisirs. Pour écrire ce livre de souvenirs et être au plus près de la réalité, Janette Ananos s'est livrée à une véritable enquête, recherchant les témoins de cette époque. Aucune nostalgie dans son propos, juste l'évocation d'un temps à jamais révolu, celui de l'enfance.

10/2020

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Théâtre

RUE NOIRE

Cette Nathalie, sur qui l'âge ne semble pas avoir prise, apparaît dans La Rue noire comme quelque Père éternel. Elle tient en ses mains de femme d'affaires - vieilles mains, mais fermes - le destin de toute une famille, sa famille, sur laquelle elle règne et entend régner jusqu'au bout, se plaisant au spectacle de tant d'ambitions, petites ou ridicules, qu'elle peut à son gré satisfaire ou décevoir. Nathalie joue, de tout et de tous, avec la même insolente et cruelle impassibilité que ce Dieu vers qui les héros d'Armand Salacrou se tournent souvent, pour lui demander des comptes. Mais Nathalie n'a pas de comptes à rendre, sinon à elle-même. Nathalie a, sur l'Eternel, un terrible avantage : elle a fait partie de cette humanité qu'elle régente aujourd'hui, elle en connaît les tristesses, les humiliations ; dans la "Rue noire" où s'est déroulée son enfance, et qu'elle n'oubliera jamais, elle a fait le pari de découvrir la lumière. C'est de ce pari qu'il est question dans la nouvelle pièce de Salacrou. Quant à la lumière sur laquelle Nathalie débouchera, elle est crue et féroce.

05/1967