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Littérature française

Les Trois Mousquetaires. Un roman historique d'Alexandre Dumas

Les Trois Mousquetaires est le plus célèbre des romans d'Alexandre Dumas père, initialement publié en feuilleton dans le journal Le Siècle de mars à juillet 1844, puis édité en volume dès 1844 aux éditions Baudry et réédité en 1846 chez J. B. Fellens et L. P. Dufour avec des illustrations de Vivant Beaucé. Il est le premier volet de la trilogie romanesque dite "des mousquetaires" , à laquelle il donne son nom, suivi par Vingt Ans après (1845) et Le Vicomte de Bragelonne (1847). Le roman raconte les aventures d'un Gascon impécunieux de 18 ans, d'Artagnan, venu à Paris pour faire carrière dans le corps des mousquetaires. Il se lie d'amitié avec Athos, Porthos et Aramis, mousquetaires du roi Louis XIII. Ces quatre hommes vont s'opposer au Premier ministre, le cardinal de Richelieu, et à ses agents, dont le comte de Rochefort et la belle et mystérieuse Milady de Winter, pour sauver l'honneur de la reine de France Anne d'Autriche. Avec de nombreux combats et rebondissements romanesques, Les Trois Mousquetaires est l'exemple type du roman de cape et d'épée et le succès du roman a été tel que Dumas l'a adapté lui-même au théâtre, et a repris les quatre héros dans la suite de la trilogie. Il a fait l'objet de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision.

02/2023

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Réussite personnelle

Ca m'stresse et vous ?

FRAIS DE PORT ET DE RETOUR OFFERTS Un petit livre carré SERIEUX MAIS PLEIN D'HUMOUR à offrir ou à s'offrir à deuX. plus de 250 petits et grands stress à cocher, dans la joie et la bonne humeur. Petits et grands stress nous gâchent la vie au quotidien. Et si nous souffrions tous plus ou moins des mêmes stress ? Et si, une fois identifiés, nous arrivions à en rire ? Et si finalement, ça n'était pas si grave ?

05/2023

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Littérature française

Coffret en 2 volumes. Les Mousquetaires, trilogie. Le Vicomte de Bragelonne ; Les Trois Mousquetaires, Vingt ans après

Coffret réunissant Les Trois Mousquetaires - Vingt ans après et Le Vicomte de Bragelonne

11/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 6, 1945-1947, Edition 2023

Romans 1945-1947 Sixième volume de l'intégrale des " romans durs " de Georges Simenon, précédé d'un entretien de Jacques Santamaria avec Bernard Stora, qui a réalisé en 2001 l'adaptation de L'Aîné des Ferchaux. Après avoir écrit La Fuite de Monsieur Monde [... ] j'ai eu nettement l'impression, et je l'ai encore, que je pouvais écrire le mot "Fin', qu'une période de ma vie était terminée et qu'une autre commençait. Ce qu'elle sera, ce qu'elle donnera, je suis encore incapable de le dire. " Lettre de Simenon à André Gide, 18 décembre 1944 On pourrait dire que L'Aîné des Ferchaux, c'est le jeu du chat et de la souris entre deux personnages de générations différentes. Mais ce serait trop réducteur. Cette situation brasse en fait pas mal de thèmes, et des plus simenoniens : la fascination, la manipulation, la possession et la domination, la solitude, l'initiation. Entretien du réalisateur Bernard Stora avec Jacques Santamaria

02/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 5, 1941-1944, Edition 2023

Cinquième volume de l'intégrale des " romans durs " de Georges Simenon, précédé d'un entretien de Jacques Santamaria avec le président de l'Académicie Goncourt, Didier Decoin, dont le père, Henri Decoin, a réalisé l'adaptation de deux romans durs, Les Inconnus dans la maison et La Vérité sur Bébé Donge. Romans 1941-1944 " Ce qui compte, n'est-ce pas que le roman, épuré, débarrassé de tout ce qui n'était pas son essence propre, devienne le moyen d'expression de notre époque comme la tragédie l'a été pour d'autres temps ? " Simenon, L'Age du roman

02/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 3, 1937-1938, Edition 2023

Troisième volume de l'intégrale des " romans durs ", selon l'expression du créateur du commissaire Maigret, précédé d'un entretien de Jacques Santamaria avec Laurent Heynemann, réalisateur de l'adaptation de Ceux de la soif. Romans 1937-1938 " C'est en allant aux Galápagos [que j'ai écrit] Ceux de la soif... Vous vous souvenez de l'histoire de cette Allemande, perdue dans l'archipel des Galápagos, et du mystère qui entourait cette singulière impératrice. C'était un trop beau roman pour que je n'y aille point voir. J'y suis parti en journaliste. J'en suis revenu en romancier. " Simenon à Richard Dupierreux, Le Soir, Bruxelles, 6 décembre 1936

01/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 2, 1934-1937, Edition 2023

Deuxième volume de l'intégrale des " romans durs " de Georges Simenon, précédé d'un entretien de Jacques Santamaria avec Eric Neuhoff, critique de cinéma, auteur d'ouvrages de référence sur le 7e art. Romans 1934-1937 " Ne pas pouvoir voir un homme sans se mettre à sa place, souffrir pour lui. [... ] Avoir d'abord les hommes en soi (l'idéal serait de pouvoir dire tous les hommes), avoir vécu toutes leurs vies. Même en petit, souffert toutes leurs souffrances. J'en suis loin ! Avec le temps, je me rapprocherai de cet idéal. " Lettre de Simenon à André Gide, mi-janvier 1939

01/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 12, 1966-1972, Edition 2023

Douzième volume de l'intégrale des "romans durs" de Georges Simenon, précédé d'un entretien de Florence Moncorgé-Gabin, fille de Jean Gabin, avec Jacques Santamaria, scénariste de neuf adaptations de "romans durs". Romans 1966-1972 " [... ] j'ai renoncé petit à petit au pittoresque. Au début, l'atmosphère avait une grande importance dans mes romans, mes personnages avaient toute une série de manies qui leur donnaient une personnalité bien déterminée. Maintenant, j'essaie presque que mes personnages soient neutres. Je prends n'importe qui, je voudrais presque que ce soient des prototypes. Au fond, c'est très prétentieux ce que je vais dire, j'essaie de me rapprocher de la tragédie antique. Dans la tragédie antique, les personnages n'ont pas de petites manies, ce sont des prototypes, ce qu'on appelle des archétypes dans le langage freudien. " " Simenon reçoit Henri Guillemin ", Radio Télévision Culture, Liège, octobre 1970

03/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 11, 1961-1966, Edition 2023

Onzième volume de l'intégrale des "romans durs" de Georges Simenon, précédé d'un entretien entre Jacques Santamaria et Cécile Maistre-Chabrol. Réalisatrice, scénariste, écrivain, elle a été la collaboratrice de son père dès 1986. Romans 1961-1966 " Le rôle du romancier est de montrer l'absolu qu'il poursuit. En tout cas, le faire sentir. Car cet absolu est quelquefois impossible à rendre avec des mots. Dans le roman tel que je le conçois, c'est la partie poésie, si je puis dire, qui peut rendre ce qui ne se rend pas par des phrases normales. La poésie existe vraiment dans le roman, c'est tout cet inexprimable, cette ambiance qui flotte autour des personnages qui rend la vérité. [... ] Expliquer moi-même mes personnages m'est impossible. J'écris parce que j'ai besoin d'écrire, à ce moment-là, j'ai besoin d'être avec des personnages à moi, uniquement de vivre pendant neuf, dix ou onze jours, dans une ambiance que je crée, avec des personnages que je crée et dont je m'imbibe... Je ne sais pas où ils vont me conduire. " Simenon interviewé par André Parinaud, diffusion sur la RTF, octobre 1955-janvier 1956

03/2023

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Romans policiers

Les Romans durs. Volume 10, 1956-1960, Edition 2023

Dixième volume de l'intégrale des "romans durs" de Georges Simenon, précédé d'un entretien de Jacques Santamaria avec Pierre Assouline, biographe de Simenon, auteur d'adaptations pour le théâtre radiophonique de plusieurs de ses romans. Romans parus entre 1956 et 1960 " Un auteur met dans son oeuvre du connu et de l'inconnu. Et, ma foi, je suis bien forcé de reconnaître, en revoyant la liste de mes romans, que la solitude de l'homme y est assez souvent décrite. Cela me rappelle que, tout jeune, lorsque, par exemple, j'assistais à une dispute entre grandes personnes, j'étais irrité, révolté, par l'impuissance des gens à se comprendre. C'est surtout de cette solitude-là, de cette incapacité de l'homme à communiquer avec d'autres hommes dont j'ai parlé dans certains romans. " Lettre de Simenon à Pierre Nisolle, 30 juillet 1959

03/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 7, 1947-1949, Edition 2023

Romans 1947-1949 Septième volume de l'intégrale des " romans durs " de Georges Simenon, précédé d'un entretien de Jacques Santamaria avec Nathalie Serrault. Scénariste, réalisatrice, comédienne, elle y évoque le rôle de son père dans Les Fantômes du chapelier de Claude Chabrol. - ; Cette tendance à simplifier le roman, elle s'accorde avec votre désir de décrire l'homme nu ? - ; Oui. L'homme habillé est l'homme tel qu'il se montre dans la société, tel qu'il voudrait être, ou tel qu'il voudrait être vu. Autrement dit, c'est un homme artificiel. Lorsqu'il a mis son habit, sa cravate, etc. , il se sent tout différent, il est fier de lui. Tandis que quand il se rase devant son miroir, le matin, c'est un homme nu. Il n'a rien pour se soutenir lui-même, pour se donner des illusions. " Simenon interviewé par Eléonore Schraïber, 25 août 1971 - ; Je sais que dans le jardin secret de Michel Serrault, il y avait la lecture. Où Simenon était bien placé. - ; C'est vrai. Quand Chabrol lui a proposé Les Fantômes, papa n'a pas lu mais relu le roman. Et je revois sa réaction. Avec un petit sourire en coin, il a dit à maman et moi, en parlant du chapelier : " Il était fait pour moi, celui-là ! " Entretien de la comédienne et réalisatrice Nathalie Serrault avec Jacques Santamaria

02/2023

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Romans policiers

Les romans durs. Volume 1, 1931-1934, Edition 2023

Romans durs 1931-1934 Premier volume de l'intégrale des " romans durs " de Georges Simenon, précédé d'un entretien du réalisateur Patrice Leconte avec Jacques Santamaria, scénariste de neuf adaptations de " romans durs ". - ; C'est fini, j'arrête... - ; Vous êtes fou ! Vous allez vous casser le nez en essayant d'écrire autre chose que du roman policier ! - ; Finissons-en avec Maigret. Je n'ai plus besoin de fil conducteur... Je pense pouvoir écrire maintenant un vrai roman... Conversation entre Simenon et son éditeur Fayard [1933 ? ] rapportée par le romancier dans son interview à Actualité-journal, n° 23, 1958 - ; Qu'est-ce qui t'a marqué en découvrant Simenon et que tu as retenu au moment de l'adapter à l'écran ? - ; C'est l'attention extrême qu'il porte aux petites gens. A ceux qui semblent n'avoir aucune histoire, et dont on va découvrir les secrets et les tourments. Ce qui intéresse Simenon, c'est l'humain. D'où la force de ses personnages. Ca, un cinéaste n'a pas intérêt à l'oublier. Entretien du réalisateur Patrice Leconte avec Jacques Santamaria

01/2023

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Science-fiction

L'intégrale Stefan Wul. Tome 3, L'orphelin de Perdide ; Rayons pour Sidar ; Piège sur Zarkass ; Odyssée sous contrôle

Bragelonne rend hommage à l'un des plus grands auteurs français de science-fiction ! Voici l'avant-dernière des quatre intégrales inédites consacrées à l'un des auteurs historiques du genre, comprenant quatre romans incontournables de son oeuvre. Sont inclus L'Orphelin de Perdide, classique de la SF adapté en film sous le trait de Moebius, et Rayons pour Sidar, fleuron du planet opera. Dépassant les frontières du genre, la formidable imagination de Stefan Wul a ensorcelé plusieurs générations de lecteurs.

07/2014

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Pléiades

Romans et nouvelles

A rebours offre à Huysmans une place à part dans le paysage littéraire. En 1884, ce fut une déflagration. Barbey réutilisa la formule par laquelle il avait salué Les Fleurs du Mal : après un tel livre, l'auteur n'a plus qu'à choisir "entre la bouche d'un pistolet et les pieds de la croix" . Mais cette formule ne rend pas compte de l'extraordinaire nouveauté du roman. Avec le personnage de Des Esseintes, Huysmans saisit l'essence de la fin-de-siècle : l'heure est à la névrose. S'il est bien le roman d'une génération, salué par Mallarmé, et inspirateur notamment du Portrait de Dorian Gray, A rebours opère une percée vers le XXe siècle. Cet arbre ne devrait pourtant pas cacher la forêt romanesque de Huysmans. Roman naturaliste, Marthe, histoire d'une fille (1876) - qui fut interdit en France - lui permet de se lier avec Zola, à qui est dédié Les Soeurs Vatard en 1879. Sac au dos (1877 et 1880) est une courte et burlesque épopée de la guerre de 1870. En ménage (1881) décrit l'itinéraire d'André Jayant, romancier raté, célibataire en proie à des "crises juponnières" : l'un des meilleurs romans de Huysmans, selon le héros de Soumission de Michel Houellebecq, qui s'y connaît. Puis vient le Folantin d'A vau-l'eau (1882). Il est Huysmans, l'homme moderne, M. Tout-Iemonde, personne. Il a renoncé à tout, sauf à se nourrir ; c'est "l'Ulysse des gargotes" , disait Maupassant. A vau-l'eau est un très grand petit livre. Mais Huysmans suffoque dans le "cul de sac" naturaliste.

10/2019

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Pléiades

Romans. Tome 2

"Daniel Defoe (1660-1731) n'est guère connu en France que par Robinson Crusoé, alors qu'il est l'auteur de plus de cinq cents oeuvres, dont une dizaine constituent l'acte de naissance du roman anglais, sinon du roman tout court. Roxana, Moll Flanders, le Journal de l'année de la peste sont sans doute les premiers exemples d'un effort conscient pour transformer une relation minutieuse de la réalité en une oeuvre d'art. La dimension artistique de celle-ci réside précisément dans la nature particulière du regard porté par l'auteur, qui prétend s'effacer derrière les données brutes qui auraient été portées à sa connaissance. Si Robinson Crusoé fit un triomphe chez les enfants, c'est que Defoe fit de son héros un des grands personnages mythiques du monde moderne", Jean Gattégno.

01/1970

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Policiers

Underworld. Romans noirs

En publiant son premier roman, Little Caesar (1929), William R. Burnett (1899-1982) a ouvert une brèche dans le monde du polar et imaginé un genre nouveau : le roman de gangsters. Il renverse la perspective, ses romans noirs plongent dans l'underworld - la pègre à l'âge de la Prohibition, la corruption qui gangrène toutes les strates de la société au grand jour - et font des criminels professionnels leurs personnages principaux. Servies par des intrigues élaborées, un style concis, un sens inné du dialogue, ses histoires livrent une fresque historique et sociale des Etats-Unis. Burnett y a inventé une subjectivité - criminel, le malfrat n'en est pas moins un être humain en proie à des doutes, des rêves et des cauchemars - et offert "une image du monde vu par les yeux d'un gangster". En proposant pour la première fois en français des traductions intégrales et révisées, cette édition invite, à travers une trilogie - The Asphalt Jungle (1949), Little Men, Big World (1951) et Vanity Row (1952) - augmentée d'Underdog (1957) et de The Cool Man (1968), à plonger dans l'univers du Milieu et du syndicat, où les mitraillettes ont fait place à la corruption, à la menace et au chantage. Scénariste réputé de Hollywood, Burnett est avant tout un écrivain. Inédits, des extraits de son Journal et te témoignage de son fils révèlent un homme érudit qui constelle son oeuvre de références aux classiques (de Virgile à Casanova, de Byron à Fitzgerald, de Balzac à Anatole France). Si la postérité ne semble retenir que le versant hollywoodien de son oeuvre, William R. Burnett, figure importante du premier roman noir, n'en fut pas moins l'inventeur d'un univers narratif dans lequel beaucoup ont puisé. "Aux Etats-Unis, il y a un snobisme littéraire. Si c'est un roman de gangsters, ça ne peut pas être de la littérature", affirmait-il. Et cette nouvelle édition de nous prouver qu'il avait tort.

05/2019

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Littérature étrangère

Trois romans chinois

Un monstre angoissé erre parmi les « petites boutiques d’idées » que tiennent au fond des Sables Mouvants des sages prêchant le mépris de la vie, le cynisme et la peur, jusqu’à ce qu’il s’embarque aux côtés du célèbre singe pèlerin Wukong... Un bretteur mal dégrossi tombe amoureux de Confucius, de l’homme plus que du maître à penser, dont l’enseignement lui semble sur plus d’un point discutable, et c’est à ce disciple parfaitement désintéressé que Confucius doit, après tant d’échecs au service des puissants, la vision de ce que pourrait être une politique intègre. Puis ce sont les destins croisés du grand historien des Han, Sima Qian, et de deux généraux partis guerroyer contre les nomades Xiongnu : chacun paiera le plus lourd des tributs à leur maître, le terrible Wudi avide d’immortalité, mais lui laisseront-ils le mot de la fin ? Trois courts romans inspirés de classiques chinois. Nakajima Atsushi en a mené l’écriture de front, quelques mois avant de mourir, à l’âge de 33 ans, alors que le Japon venait de se lancer dans la guerre du Pacifique. L’auteur de l’Histoire du poète qui fut changé en tigre est ici au sommet de son art, malicieux, tragique et savant à la fois : infiniment confiant dans le pouvoir de la littérature.

01/2011

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Policiers

Les Romans meurtriers

En 1778, le soleil de la prospérité brille sur l'ancien royaume coréen de Joseon, mais plus la lumière est vive et éclatante, plus l'obscurité est profonde. Une série de meurtres plonge la capitale dans l'angoisse. Au chevet de chaque victime, a été déposé un livre du romancier le plus populaire de l'époque. Faut-il chercher le coupable parmi les jeunes lettrés, adeptes des sciences venues de Chine, qui veulent être comme la pierre qui frappe ce pays et le réveille? L' impétueux dosa Yi de la Haute Cour de Justice est chargé de l'enquête. Commence pour lui la période la plus fascinante et la plus déroutante de son existence, celle où il va se frotter aux complots, aux trahisons, aux guets-apens, frôler la mort et nouer une amitié qui va changer sa vie. C'est une plongée dans un monde où les mots tissent le piège des intrigues politiques et peuvent devenir des instruments de mort. Mais pour capturer un tigre, il faut pénétrer dans sa tanière...

05/2012

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Littérature étrangère

Récits, romans, journaux

Ce livre permet de suivre, à travers un choix de textes, les étapes principales de la création, renouvelée jusqu'au bout, de Franz Kafka, et ainsi de mieux se repérer dans son œuvre.

04/2000

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Critique littéraire

Cent romans-monde

Au sein de « la littérature-monde » qui, depuis quelques décennies, surgit dans les cinq continents, le roman-monde a rencontré un succès des plus spectaculaires : tirages impressionnants, traductions systématiques en de multiples langues, attribution régulière de prix littéraires (Booker, Médicis, Nobel...). En retenant plus de cent récits, cet essai critique se propose de reconstituer la genèse de ce nouveau genre littéraire. Les premiers textes pris en considération ont été les récits de voyage rapportés par les navigateurs et les explorateurs qui, depuis l’Antiquité, ont parcouru le monde en tentant d’en dresser les cartes. La lecture de ces textes séminaux a, tout naturellement, incité nombre de romanciers modernes à se lancer, plus ou moins métaphoriquement, à la découverte des terres encore mal connues. Préoccupés au plus haut point par les problèmes de forme, ces romanciersmonde affichent avec fierté une maîtrise impeccable des langues des colonisateurs, qu’ils considèrent maintenant comme des « butins de guerre » (F. Fanon). Ce faisant, ils s’octroient avec jubilation la possibilité de se livrer à des expérimentations qui libèrent leur parole : réécriture ironique de certains textes canoniques (comme Robinson Crusoe de Defoe ou Au coeur des ténèbres de Conrad), analyses très poussées de leurs statuts ambigus de « bâtards internationaux », intégrations spectaculaires de mots vernaculaires, utilisations systématiques des parlers populaires, glorification du discours poétique ancestral, adoption du « réalisme magique » sud-américain et de son écriture de l’imaginaire, etc. Motivés à la fois par un vibrant militantisme sociopolitique et une profonde adhésion humaniste à l’esthétique de la Relation (É. Glissant), ces romanciers sont parvenus à imposer une littérature qui donne enfin, à l’Autre et à l’Ailleurs, la place qui leur revient dans ce « nouveau Nouveau monde ». Denise Coussy, professeur honoraire de l’Université du Mans, a consacré de nombreuses études aux « nouvelles littératures » de l’Afrique, des Antilles, de l’Inde ou de l’Australie. En 2000, elle a publié La littérature africaine moderne au sud du Sahara et, en 2004, Le roman indien de langue anglaise aux Éditions Karthala.

10/2013

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Pléiades

ROMANS. Tome 1

"Montherlant (1895-1972) n'a jamais refait le même roman : tantôt barrésien, tantôt balzacien, ennemi des femmes ou ami des garçons, il coule une personnalité encombrante dans un style classique. Le théâtre donne à son talent la tension la plus grande, et rien ne lui fait peur : Port-Royal est une gageure. Le culte du moi aboutit, dans les dernières oeuvres, lorsque les plaisirs se sont enfuis, à une élégance désespérée, celle de Sénèque, Romain d'Espagne comme lui". Jean-Yves Tadié.

03/1959

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Pléiades

Romans picaresques espagnols

Le Lazarville de Tormes, le Guzmán d'Alfarache, de Mateo Alemán , et La Vie de L'Aventurier don Pablos de Ségovie de Francisco de Quevedo, sont les trois chefs- d'ouvre du roman picaresque espagnol. Le récit que fait chaque héros de ses « fortunes et adversités » ne se résorbe pas dans une succession d'anecdotes truandières. Bien au contraire, par la vertu de la confession qu'il nous livre, le picaro s'arrache à sa gueuserie pour incarner pleinement, sous le signe d'un déshonneur lucidement assumé, un destin imaginaire. Jean Canavaggio

01/1968

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Pléiades

Romans. Tome 2

L'homme vrai, pour Simenon, c'est l'« homme nu », débarrassé de ses masques géographiques, historiques ou sociaux. Ce n'est pas à proprement parler un héros, il est « n'importe qui dans la rue », mais, placé dans une situation de crise, il va jusqu'au bout de lui-même et révèle ce qu'il a en lui d'essentiel. Le roman de Simenon n'est donc pas une chronique : c'est une crise. Resserrement de l'action, tension du récit, rupture, passage à l'acte. Le personnage joue son destin comme aux dés, la mort est souvent au rendez-vous, le lecteur est porté par l'envie de savoir. On voit tout ce que le roman-crise doit au roman policier, et l'on comprend ce qui fait l'unité de l'ouvre. Simenon a trouvé dans ses propres récits d'énigme - les « Maigret » qui lui valurent ses premiers succès - de quoi structurer le genre auquel il tenait le plus, le « roman dur » (entendre : non-policier), qui est aussi un « roman pur » : dépourvu de considérations abstraites, composé de « mots matière », apte à saisir les êtres dans leur vérité. Il aura passé sa vie à parfaire et à épurer sa formule. Son extraordinaire productivité l'a parfois desservi. Les romans rassemblés dans la Pléiade - cinq « Maigret », seize « romans durs » - retracent sa trajectoire et manifestent la cohérence de son ambition.

05/2003

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Contes et nouvelles

Romans et Contes

Ce livre recueil un ensemble de textes de Théophile Gautier, entre poésie, finesse. (...) rien ne meurt, tout existe toujours , nulle force ne peut anéantir ce qui fut une fois. p. 337, Extrait : Arria Marcella.

07/2022

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Littérature française

Romans. Tome 1

Si la qualité d'un écrivain se lit dans la qualité de ses admirateurs, J.-K. Huysmans (1848-1907) compte parmi les tout premiers. De Maupassant à Valéry en passant par Barbey d'Aurevilly et Léon Bloy, nombreux sont les témoignages qui font de lui le romancier des connaisseurs. " Il est difficile de trouver un écrivain dont le vocabulaire soit plus étendu, plus constamment surprenant, plus vert et en même temps plus exquisément faisandé, plus constamment heureux dans la trouvaille et même dans l'invention " - ce jugement de julien Gracq met l'accent sur la profonde originalité et des romans naturalistes et des romans symbolistes de Huysmans. Ce premier volume réunit les romans des misères quotidiennes, de Marthe à En rade et à La Retraite de Monsieur Bougran, histoires de pauvres hères racontées sur un mode à la fois mélancolique et cocasse. A rebours marque un tournant, en célébrant les mythes de la décadence et de la modernité. Huysmans subit désormais la tentation du sacré. Robert Kopp.

09/2005

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Littérature française

Romans. 1936-1947

En publiant Casse-pipe dans la Pléiade en 1988, Henri Godard parlait de ce roman comme d'un texte "mutilé" et il déplorait "la perte du reste". Sans doute espérait-il que ce "reste" sortirait un jour des oubliettes. Rien ne permettait alors de prévoir que ce seraient des milliers de feuillets, concernant des projets romanesques inconnus (Guerre et Londres), ou attestés mais perdus (La Légende du roi René et La Volonté du roi Krogold), ou encore déjà publiés en partie (Casse-pipe), voire en totalité (Mort à crédit et Guignol's band), qui referaient surface, comme ce fut le cas dans l'été de 2021. Les manuscrits n'avaient donc pas été mis au feu : ils hibernaient. Leur importance est considérable. Tous concernent la première moitié de l'oeuvre romanesque de Céline. Pour l'essentiel, ce sont des récits autonomes, et non pas des "avant-textes" de romans publiés par leur auteur (mais quelques-uns relèvent de cette catégorie et ils sont passionnants). S'ils peuvent avoir l'apparence de brouillons, ils ne sont les brouillons que d'eux-mêmes. Ils ont (au moins) deux intérêts : ils favorisent une meilleure compréhension de la manière dont l'oeuvre romanesque de Céline s'est constituée, et ils valent pour eux-mêmes, comme des récits inattendus et captivants. Que nous apprennent-ils ? Par exemple que ce qu'on appelle le "cycle de Ferdinand" n'a pas toujours été composé de Mort à crédit, de Casse-pipe et de Guignol's band (1936-1944). Que Guerre, Londres et le manuscrit retrouvé de Mort à crédit jouent un rôle dans l'affaire. Que la légende du roi Krogold (ou René) n'a cessé de passionner Céline. Ou encore que des liens étroits unissent Guerre et Casse-pipe. Les thèmes et la tonalité des récits retrouvés sont immédiatement reconnaissables : si les textes sont encore, stylistiquement, en chantier, leur univers, lui, est entièrement célinien. La découverte, dans Guerre, de personnages et de situations que l'on connaissait par Casse-pipe est l'une des émotions fortes que peut éprouver un amateur de Céline. On en dirait autant de la rencontre avec le Dr Yugenbitz de Londres, prototype du Clodovitz de Guignol's band. Ou de la présence, dans un récit aussi étrange que Krogold, d'une idée centrale dès Voyage, celle de la vie vécue comme une agonie. Pour recueillir ces nouveautés, deux volumes de la Pléiade ont été remis en chantier. Dans le premier (1932-1934), les textes réapparus en 2021 figurent sous un intitulé, Textes retrouvés, qui traduit leur statut et rappelle qu'il s'agit de manuscrits, non de romans mis au point par Céline. De même, dans le deuxième (1936-1947), les séquences nouvelles de Casse-pipe sont réunies sous la rubrique Scènes retrouvées. Quant aux éditions des romans publiés du vivant de Céline, elles ont été revues et enrichies d'appendices nouveaux. Du manuscrit et du dactylogramme de Voyage, qui n'étaient pas accessibles dans les années 1980, il a été tiré des transcriptions révélatrices. Le passionnant manuscrit de travail de Mort à crédit,

05/2023

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Littérature française

Romans et nouvelles

La Princesse de Clèves est l'une de ces oeuvres qui traversent les siècles en conservant un prestige extraordinaire. La critique peut tenter d'analyser cette fabuleuse réussite: chercher dans La Princesse de Clèves un grand roman d'amour qui renvoie à tout l'imaginaire occidental, ou une page d'histoire, «des mémoires de cour», comme disait Madame de Lafayette, ou un conte didactique, dont les analyses et la morale gardent toute leur valeur... Soyons sûrs que La Princesse de Clèves restera fascinante, mais ce roman ne fut pas une oeuvre isolée, il naquit dans un contexte précis. Il n'est pas inutile de préciser ce contexte et, pour cela, de lire d'abord les autres «romans et nouvelles» de Madame de Lafayette. On ne doit pas seulement y chercher des documents qui éclairent La Princesse de Clèves: ces oeuvres moins connues ont leur valeur et leur originalité...

05/2010

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Pléiades

Romans. Tome 1

Ramuz - voilà un cas. Qu'un écrivain de cette dimension puisse être aussi méconnu, cela dépasse l'entendement. En Suisse, son pays d'origine, il est un monument historique. En France, de son vivant, il fut presque célèbre, et souvent mal compris (auteur " rustique ", " romancier de la montagne ", etc.) ; depuis sa mort (1947), il est peu réédité, peu lu. Il y a des absences dont on se console. Mais connaître Ramuz, c'est vouloir aussitôt le faire connaître. La Pléiade publie donc ses vingt-deux romans. Ils mettent en scène des paysans, la nature y est omniprésente, ils ne sont pas écrits en français standard : voilà pour la surface des choses - c'est elle qui a pu faire taxer Ramuz de régionalisme. Mais creusons un peu. Ramuz traite la nature comme Cézanne ses paysages : il la réduit à ses lignes de force, le pittoresque n'est pas son affaire. Sa montagne n'est pas moins réinventée que les collines mississippiennes de Faulkner. Ses paysans, dépouillés, " élémentaires ", et à vrai dire fantasmés, il fait d'eux l'équivalent des rois de Racine : des hommes en proie à la fatalité. Ses sujets - l'amour, la mort, la séparation des êtres - sont ceux des tragiques : aussi universels qu'intemporels. Quant à sa langue, pure création, constamment rythmée, elle repousse les bornes de la syntaxe et sert une narration qui conduit le roman aux limites du genre : il " doit être un poème ". Ramuz étonne. Conformistes s'abstenir. Mais ce n'est évidemment pas un hasard si des écrivains aussi différents (et le mot est faible) que Claudel et Céline l'ont aimé. Pour qui attend du roman autre chose que l'éternelle répétition de modèles et de discours convenus, il sera une découverte majeure.

10/2005

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Pléiades

Romans et contes

"Le premier problème qui se pose à l'éditeur des Romans et contes de Voltaire est de savoir quelles limites donner à son entreprise, c'est-à-dire quels ouvrages ou morceaux il doit retenir, et quels exclure. De la réponse qu'il donne à cette question dépend non seulement le contenu de l'ouvrage qu'il présente au public, mais aussi la conception qu'il propose implicitement du roman et du conte voltairiens. La question ne se poserait pas si cet éditeur n'avait qu'à suivre les intentions de l'écrivain. Mais Voltaire n'a jamais donné la liste des ouvrages de lui qu'il considère comme contes ou romans. Il n'a jamais non plus donné, en ce qui le concerne personnellement, une définition de ces genres qui permettrait de retenir les oeuvres répondant aux critères énoncés et de rejeter les autres. A vrai dire, il ne lui arrive à peu près jamais de prononcer ces mots pour les appliquer à ses productions. "Petits ouvrages", "petits morceaux" sont les termes qu'on trouve sous sa plume, mais, même lorsqu'il les emploie, il est à peu près impossible de dire ce qu'il met dessous. Le problème serait résolu en pratique, si les premiers éditeurs de Voltaire avaient toujours rangé sous la rubrique en queftion une certaine liste ne varietur de ses ouvrages : on pourrait alors estimer que l'auteur leur aurait donné au moins un accord implicite sur la liste en question. Mais ils ne s'accordent nullement sur le détail du choix des pièces. Et si Voltaire aborde le sujet dans quelque lettre à tel ou tel de ses éditeurs, c'est seulement pour critiquer - de façon d'ailleurs vague - un choix déjà fait par cet éditeur et sur lequel il n'y a plus guère moyen de revenir. Il est donc indispensable de considérer les données du problème avant d'expliquer les raisons du parti auquel nous nous sommes finalement rangés. [... ]" Frédéric Deloffre.

11/2000

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Pléiades

Romans. Tome 2

Ramuz - voilà un cas. Qu'un écrivain de cette dimension puisse être aussi méconnu, cela dépasse l'entendement. En Suisse, son pays d'origine, il est un monument historique. En France, de son vivant, il fut presque célèbre, et souvent mal compris (auteur " rustique ", " romancier de la montagne ", etc.) ; depuis sa mort (1947), il est peu réédité, peu lu. Il y a des absences dont on se console. Mais connaître Ramuz, c'est vouloir aussitôt le faire connaître. La Pléiade publie donc ses vingt-deux romans. Ils mettent en scène des paysans, la nature y est omniprésente, ils ne sont pas écrits en français standard : voilà pour la surface des choses - c'est elle qui a pu faire taxer Ramuz de régionalisme. Mais creusons un peu. Ramuz traite la nature comme Cézanne ses paysages : il la réduit à ses lignes de force, le pittoresque n'est pas son affaire. Sa montagne n'est pas moins réinventée que les collines mississippiennes de Faulkner. Ses paysans, dépouillés, " élémentaires ", et à vrai dire fantasmés, il fait d'eux l'équivalent des rois de Racine : des hommes en proie à la fatalité. Ses sujets - l'amour, la mort, la séparation des êtres - sont ceux des tragiques : aussi universels qu'intemporels. Quant à sa langue, pure création, constamment rythmée, elle repousse les bornes de la syntaxe et sert une narration qui conduit le roman aux limites du genre : il " doit être un poème ". Ramuz étonne. Conformistes s'abstenir. Mais ce n'est évidemment pas un hasard si des écrivains aussi différents (et le mot est faible) que Claudel et Céline l'ont aimé. Pour qui attend du roman autre chose que l'éternelle répétition de modèles et de discours convenus, il sera une découverte majeure.

10/2005