Recherche

Le Vieux Journal

Extraits

ActuaLitté

Première guerre mondiale

Journal d'un poilu

Les Poilus comme on les appelait, au cours de la première guerre mondiale, sont contraints de vivre dans des tranchées, été comme hiver. Des tranchées remplies d'eau et aussi de cadavres de leurs camarades tombés au combat. Ils affrontent courageusement le froid, l'humidité, la vermine, le bruit des explosions qui leur éclatent les tympans. Ils supportent vaillamment les privations, les humiliations... Leur retour à la vie civile est difficile. Le soir venu, ils n'osent fermer les yeux de peur de revoir les horreurs qui les ont emplis pendant ces quatre années de conflits. la peur de revoir dans leurs rêves les horreurs quotidiennes de la guerre, les lambeaux de chairs des corps de leurs camarades déchiquetés par une rafale ennemie. Ces quelques pages sont un hommage à tous ces Poilus afin de préserver à jamais leur courage exemplaire de l'oubli et de l'indifférence.

12/2021

ActuaLitté

Littérature française

Dialogue avec un journal

75 ans, cela fait un joli titre, pas besoin d'en chercher un autre. J'ai 75 ans aujourd'hui ! Pourquoi enfin commencer à écrire alors que j'en ai toujours eu envie ? Mais à quoi bon chercher la réponse, elle va se dévoiler d'elle-même. Patiente, ma fille, cela te changera ! Le chien a fait son petit tour du soir, la chatte voudrait venir sur mes genoux : mes petits compagnons offrent chaque soir à leur maîtresse des preuves d'amour qui, pourtant depuis tant d'années, se sont révélées insuffisantes ! rien à leur reprocher cependant : ces petites bêtes n'en sont pas.

03/2014

ActuaLitté

BD tout public

Journal d'un fantôme

Nicolas de Crécy a choisi de se mettre lui-même en scène avec, comme partenaire et compagnon de voyage, un dessin "en cours de formation". Petites réflexions pleines d'humour sur la réalité et sa transcription, sur la contrainte du travail et la liberté de l'émotion, sur les traits qui tentent d'arriver au dessin, sur le dessinateur qui dessine encore et encore, sur le dialogue sans cesse renouvelé du créateur et de sa création... Tout cela par un Nicolas de Crécy plus libre et pertinent que jamais.

06/2014

ActuaLitté

Littérature française

Malgré Fukushima. Journal japonais

De Wakkanai, la pointe nord enneigée, jusqu'à l'extrémité australe à Iriomote, non loin de Taiwan, pendant quatre mois j'ai tenté de comprendre cette virgule gigantesque entre l'Eurasie et le Pacifique : Nihon. Le Japon. J'ai tenté d'épuiser l'énergie qui me pousse à apprendre et à apprendre clans l'espoir de trouver je ne sais quel repos, et je n'y suis pas parvenu. Le Japon sans cesse place l'esprit en éveil, l'aiguillonne dès qu'il baisse la garde. Le Japon n'étanche jamais la soif de savoir, tant le savoir, là-bas, est enfermé dans des poupées gigognes à l'infini, à moins que ce ne soit dans un labyrinthe de miroirs renvoyant quelque éclat jusqu'au plus profond des ombres. Ceci est le journal de quatre mois ayant eu comme camp de base, à l'été et à l'automne 2012, la villa Kujoyama, à Kyôto. Prions tous les kamis de toutes les montagnes pour que, sur les hauts de Kujo, cette villa continue d'exister longtemps, pour le bonheur de ceux qui m'y succéderont.

02/2014

ActuaLitté

Littérature française

Journal d'un sauvage

Jusque-là, voyager lui parlait à peine. Hormis la déroute de sa famille qui avait dû quitter précipitamment le Brésil lorsqu'il était encore enfant, ainsi qu'un bref séjour dans les pays nordiques avec sa femme, il n'avait jamais eu l'occasion de découvrir le vrai visage de la terre. Aussi, même s'il n'était le précurseur de rien du tout, éprouvait-il un réel sentiment de satisfaction à l'idée de ne plus patauger dans le présent, de s'élancer, dans le sillage de Cook et Bougainville, à la conquête du Pacifique où scintillait plein de pognon...

09/2013

ActuaLitté

Littérature étrangère

Journal parisien, 1797-1799

Philosophe et linguiste imprégné de l’esprit des Lumières, Wilhelm von Humboldt (1767-1835), fondateur de l’Université de Berlin, a séjourné à Paris, avec deux interruptions, de 1797 à 1801 et tenu, pour la période qui s’étend du 24 décembre 1797 au 22 août 1799, un précieux journal où il a consigné régulièrement ses observations sur la société du Directoire. Il a rencontré toutes les personnalités de l’époque, hommes politiques, savants, artistes, écrivains, et laissé sur elles des témoignages de première main. Introduit auprès des Idéologues, il s’est efforcé en vain de les rallier à la philosophie de Kant. Familier des séances de l’Institut, mais aussi des théâtres et des salons où il rencontre Mme de Staël et Benjamin Constant, il a brossé un large tableau de la société française entre deux coups d’État, celui du 18 Fructidor an V qui balaie jacobins et royaliste et celui du 18 Brumaire an VIII où Bonaparte liquide le Directoire et met fin à l’ère révolutionnaire.

09/2013

ActuaLitté

Littérature française

Journal du non-écrire

Dans sa détresse, je l'entendais s'interroger à voix haute : "Est-ce qu'on reste écrivain après qu'on a arrêté d'écrire ?". Autrement dit, y a-t-il une vie après la mort ? Comment rendre compte de ce qu'on est, une fois qu'on a décidé de n'être plus ? Est-ce que de soi-même on s'efface de la surface des choses après qu'on a pris le parti de ne plus laisser de traces ?

06/2014

ActuaLitté

Littérature française

MAUVAISES FOIS. Journal 1995

Annoncé depuis longtemps, voici enfin le premier volume du Journal de Pierre Chalmin qui s'était fait connaître naguère avec Le Petit Crevé, paru au Dilettante. Mauvaises Fois est le journal scrupuleux d'une petite vie sinistre, consignée sans fard avec le tranquille cynisme d'un jeune auteur, sorti du souterrain dostoïevskien, qui refuse d'admettre qu'il a tout à se reprocher. Evitant cependant l'écueil propre au genre des énormes fatuités bavardes, Pierre Chalmin parvient à amuser dans le renouvellement des disgrâces et la répétition des échecs qui font son ordinaire calamiteux. Il lui fallut sans doute cette année-là (1995) une forme très spéciale de talent qu'on ne songera pas à lui envier, pour ainsi tout rater : amitiés, métier, livres et maîtresse... Le ton de l'auteur, rageur ou burlesque, ironique ou blasé, tour à tour irrite et provoque l'hilarité. Apparaît, derrière ce tableau d'un désastre intime, la trame d'une époque sans grandeur contre laquelle l'auteur se débat sans succès.

09/1999

ActuaLitté

Littérature française

Journal d'un veau

" Que vienne mon tour et tu verras, ô grande bouche, de quel velours je suis fait. Avec moi, tu ne connaîtras jamais plus la nuit ni l'obscur du corps, mais une blancheur, une blancheur éternelle. " Vil, veule, velléitaire, bêlant, le veau pleure sa grâce perdue, son innocence laiteuse. Il appelle son élu, aspire à son palais. Il met dans ses regrets et dans son désir de sacrifice tout ce qu'il y a de plus haut et tout ce qu'il y a de plus bas, en fier équilibriste de la chair blanche. Tour à tour émouvant et odieux, l'enfant de la vache renie le taureau, se réfugie dans le sentimental, puis sombre dans la violence et rêve aux pires holocaustes. Rien de ce qui est inhumain ne lui est étranger : la mort partout présente, convoitée dès l'enfance, la pureté innommable et ses terribles cruautés, le racisme enfin, les plus terrifiantes persécutions bouchères... Son monologue, ardent jusqu'au délire, révèle l'horreur qui se tapit sous la mère, et ce qu'il y a de barbare dans la mièvrerie insinuante des plus doux amis de l'homme. Cette viande se croit destinée. Elle veut sauver le monde. Le monde a du souci à se faire.

10/2005

ActuaLitté

Poésie

Qui journal fait voyage

Vous voulez savoir ce que c'est, du côté de l'écriture, parler poétiquement de notre société, qui n'est pas toujours facile à vivre, surtout quand elle n'est pas facile (à vivre) ? Alors ouvrez des catalogues de Salons, d'Expos, etc., lisez les avant-propos inévitables de personnalités, notables, etc., le plus souvent enfilages de lieux communs, banalités, platitudes, etc. Et puis ouvrez le livre d'Edith Azam, à n'importe quelle page : et vous saurez mieux ce que c'est, parler en poète de notre société quand elle n'est pas facile à vivre. Ici, dans les halls de gare, avec la sécu. ou ailleurs, un humour superbe secoue les difficultés, le combat avec le corps et le langage. Jean Esponde

02/2012

ActuaLitté

Santé, diététique, beauté

Journal d’un suicidé

Le titre parle de lui-même.

03/2012

ActuaLitté

Littérature française

Journal du huitième hiver

"Je suis arrivé la veille d'un nouvel An, il y a quinze ans, dans une ville de la vaste patrie européenne où l'on parlait une langue qui m'était familière, semblable et diverse. Cette parole d'un poète russe, née sous le feu noir de la révolution, guidait mes pas : "Il est un droit qui manque à la Déclaration des droits de l'homme, celui de s'en aller." "Je lis la rencontre d'une Française de l'Emigration et je compris, en cette nuit du 31 décembre, le sens de ce mot tel qu'il s'incarna dans l'Exode de l'ère nouvelle. Je pris la route et connus l'immense famille des "réfugiés spirituels", ceux qui n'avaient pas renoncé à vivre leur vie. Et, peu à peu, j'eus à coeur de raconter leur histoire, qui se mêlait à la mienne. "La Lumière du Saint- Empire, qui s'est projetée en Europe du Tibre au Rhin et à la Baltique, est la seule idée politique qui éclaire ces pages. "Cette confession sentimentale commence par une lettre et finit par une lettre, dans un mouvement d'ouest en est, comme l'esquisse d'un retour. L'anecdote est la muse de ce journal, un sursaut de l'âme individuelle, éternelle étrangère à l'abstraction des masses. "Le rédacteur n'est mû par nul autre désir que dire sa gratitude et sa fidélité aux êtres et aux lieux qui lui ont répondu."

05/2012

ActuaLitté

Littérature française

Journal d'une mère

Tout au long de cet ouvrage, vous découvrirez page par page, des paroles bien sages. Parce que la vie n'attend pas, parce qu'elle vaut vraiment la peine d'être vécue, parce que l'amour sous toutes ses facettes peut et doit être exploité, parce ce qu'il n'y a pas de vie là où il y a de l'ennui... Soyez heureux en vous pour rendre heureux, soyez courageux pour être mieux et vivre mieux... Mon journal guidera vos pas, vous sortira de vos tracas, voilà là l'histoire d'une vie, l'histoire de ma vie. Poser sur ce papier tous mes chagrins, mes prières, ma philosophie de la vie, mes craintes...

07/2013

ActuaLitté

Littérature étrangère

Dépendances. Journal (1912-1913)

Érotomane. Graphomane. Morphinomane. Chacun de ces qualificatifs définit à un moment ou un autre la figure de Géza Csàth, homme aux multiples dépendances. Près d'un siècle après sa mort, il continue, en Hongrie d'où il est originaire, et dans le monde où son oeuvre est largement traduite, à susciter interrogations et impressions contradictoires. Avec son journal enfin traduit en français, on découvre la face cachée de cet écrivain génial qui mit à se torturer une passion toute particulière. Œuvre littéraire exceptionnelle née en marge de la psychanalyse balbutiante, ce Journal intime dévoile les facéties libertines et féroces d'un héritier de Casanova se muant peu à peu en victime d'une terrible tragédie. L'écriture ne pardonne pas, croit-on savoir : en voici une preuve stupéfiante.

10/2009

ActuaLitté

Science-fiction

Journal d'un ange

On a raconté beaucoup de choses sur le Paradis, mais rarement quel divin panier de crabes il abrite. Les archanges se tirent dans les pattes, se jalousent, et la situation économique est telle qu'on envisage de revendre le Purgatoire aux Enfers. Mors, quand des anges gardiens commencent à disparaître en série, le Ciel s'assombrit au-dessus d'Eriel, ange inquisiteur chargé de l'enquête. Mais retrouver des anges gardiens perdus dans la nature humaine en pleine Coupe du monde de football s'avérera bien plus difficile que de faire passer un chameau par le chas d'une aiguille.

06/2009

ActuaLitté

Critique littéraire

Journal d'un journaliste

Journal d'un journaliste s'ouvre par une soirée chez Cocteau en 1927 et se clôt par une discussion avec Malraux en 1971. Dans l'intervalle défile un demi-siècle de rencontres, de dialogues, de confidences, d'impressions échappés d'un incroyable carnet d'adresses. Au carrefour des arts et de la politique, on croise ici Aragon, Camus, Céline, Colette, Dali, Léon Daudet, Gide, Jouhandeau, Maritain, Mauriac, Maurois, Morand, Rubinstein, mais aussi Mussolini, Pétain ou De Gaulle. Sur fond d'années folles, de péril hitlérien et d'après-guerre, Saint Jean dessine un monde en pointillé et fait entendre une comédie humaine en morse, où la légèreté côtoie le drame. Un homme revient sou-vent, l'ami de toute une vie : Julien Green. Green saisi dans son oeuvre et dans sa foi, et qui disait de ce Journal : " Il est toujours intéressant par quel. ue bout • 'l'on le prenne. "

11/2009

ActuaLitté

Loisirs et jeux

Mon journal intime Spirit

Un très joli journal intime aux couleurs de Spirit et Lucky pour raconter tous ses secrets !

09/2020

ActuaLitté

Littérature française

Déposition. Journal 1940-1944

"Parce qu'il est un des meilleurs amis que j'aie au monde, mais aussi à cause d'une dette spirituelle car bien avant de le connaître je le lisais - et il ne sait pas combien je lui dois." Antoine de Saint-Exupéry. "Par son admirable sincérité, par la probité d'une logique qui habille tous les faits, tous les hommes, tous les propos sur mesure, Déposition est pour l'historien un des témoignages les plus directs et les plus précieux dont il puisse disposer pour recomposer l'évolution des esprits dans un coin de terre française, entre les temps nauséeux de l'armistice stagnant et cette grande année de la Libération." Lucien Febvre, Les Annales, 1948 "Werth n'oublie pas cette formulation de Febvre : "Au fond de l'histoire, il y a des sentiments." Cette quête des ambivalences, cette complexité des portraits pourtant composés avec une si féroce netteté, cette prise en compte de toutes les composantes, c'est ce que recherchent aujourd'hui, plus que naguère sans doute, les historiens qui travaillent sur cette période. C'est ce qui rend ce texte à tous égards singulièrement moderne. Un texte hors du commun. " Jean-Pierre Azéma, juillet 1992. "Déposition est le journal littéraire d'un écrivain en pleine maturité, et celui d'un esprit rebelle à tous les embrigadements. (.../...) S'il présente un intérêt historique évident, ce n'est pas seulement parce que c'est un document exceptionnel sur la France profonde pendant l'Occupation, c'est parce que Werth préfère toujours l'analyse objective aux facilités du manichéisme." Gérard Meudal, Libération

01/2006

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Journal à quatre mains

En mai 1940, une brune et une blonde, au 44 de la rue Vaneau. La brune, c'est Benoîte Groult, la blonde, sa sœur Flora, de quatre ans sa cadette. De 1940 à 1945, de la " drôle de guerre " jusqu'à la Libération, ces deux adolescentes tiennent un journal à quatre mains. Une traversée des années noires où le regard convenu de deux jeunes filles rangées s'ouvre à une tout autre réalité, celle du marché noir et des rafles, de la répression et de la TSF clandestine. Mais aussi au vent nouveau qui commence à souffler, à la vie nocturne et aux premières amours. Un témoignage d'une sensibilité unique sur la France occupée.

04/2008

ActuaLitté

Histoire internationale

Journal, notes, impressions, souvenirs

Journal, notes, impressions, souvenirs du Baron de Galembert / recueillis et mis en ordre par un de ses enfants Date de l'édition originale : 1888 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2020

ActuaLitté

Santé, diététique, beauté

Journal d'un passage

Caroline Duburcq témoigne de l'accompagnement de son père sur ses derniers mois de vie. Et comment, jour après jour, s'est installée et a grandi la présence intérieure pour pouvoir traverser cette épreuve avec lui. Le maximum sera fait pour qu'il puisse rester chez lui et minimiser les séjours à l'hôpital qu'il redoute tant. Malgré la détresse et la peur de la séparation, derrière tous les chocs successifs, a pu s'installer une communication de coeur à coeur. Son père a su mener parallèlement sa vie professionnelle de chef d'entreprise et une vie publique à laquelle il tenait beaucoup, en prenant des responsabilités comme élu local et aussi à la chambre de commerce de Lille. Sens du devoir, humilité et pudeur caractérisent cet homme dont les peurs sont à la hauteur de sa bonté. On récolte ce qu'on "s'aime", et Caroline en est ici le principe vivant à travers ce grand message d'amour.

12/2015

ActuaLitté

Littérature française

Journal d'un philosophe

Journal d'un philosophe / par Lucien Arréat Date de l'édition originale : 1887 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2020

ActuaLitté

Actualité et médias

Journal d'un infréquentable

Que s'est-il vraiment passé en France, entre 2015 et 2017 ? C'est - par-delà les élections, les scandales, les faits divers ou les faits people - ce que détaille impitoyablement ce Journal d'un infréquentable. Au fil de son récit, Guillon mêle ses souvenirs intimes (comme la disparition cruelle de son hamster Diabolo...), ses rencontres marquantes (Jean-Paul Belmondo dans une boutique de prêt-à-porter, ou Charb, le directeur de Charlie Hebdo quelques mois avant sa mort...) et ceux qui émaillent sa vie quotidienne, en famille, dans les coulisses de la télévision, en tournée... On y découvre des personnages connus ou anonymes, mais toujours hauts en couleur : son patron, monstre télévisuel dépourvu d'affect ; son assistant Antoine, féru d'humour noir, au point de choquer Guillon lui-même ; sa femme Muriel, son double, son metteur en scène mais qui au fil de la saison tombera sous le charme d'Emmanuel Macron, obligeant Guillon à écrire ses punchlines en cachette... Se dessine alors en creux le portrait d'un humoriste qui ne s'épargne pas. "On pensait avoir à faire à Lenny Bruce, on se retrouve avec Jean Rochefort dans Tandem", écrit-il de lui-même. Un infréquentable à fréquenter sans tarder !

03/2018

ActuaLitté

Faits de société

Journal d'un flic

Peu de métiers sont aussi propices que celui de policier pour observer et comprendre les évolutions de notre époque. Pourtant, la police parle peu. Et quand elle parle, l'écoute-t-on vraiment ou filtre-t-on ses propos à travers le crible des préjugés et des blocages qui touchent cette profession ? Pour la première fois cependant, un officier en activité parle à visage découvert de son institution et brise l'omerta : le commandant Philippe Pichon se met à table. Dans cet ouvrage mêlant le récit d'expériences personnelles et le regard d'un spécialiste exigeant. il répond précisément aux interrogations de l'opinion. Pourquoi choisit-on de se laisser dévorer par cette profession si décriée ? Quelles sont les lois de fonctionnement de cette institution ? Et les sanctions. si on ne les respecte pas ? Quels liens existe-t-il avec les pouvoirs judiciaire et politique ? Quel regard porter sur les zones urbaines, l'émigration, la violence. les archaïsmes du système, les interventions hiérarchiques, les gâchis... ? Ce témoignage étayé, remarquablement écrit, est aussi une réflexion sur les banlieues, un essai sur l'état d'esprit actuel de la police et un document sur certains dossiers qu'il a suivis, de Seine-Saint-Denis à Saint-Tropez. Et s'appuie sur des faits précis, tirés de son engagement quotidien dans les commissariats comme sur le terrain. La voix - courageuse - de l'auteur s'élève pour éclairer d'un ton original et littéraire un des débats les plus complexes et fondamentaux d'aujourd'hui : la place de la police dans notre société.

03/2007

ActuaLitté

Critique littéraire

K. 310. Journal 2000

«Il faut bien le savoir, on ne peut pas mener contre la presse une guerre médiatique. S'y essaie-t-on, on se trouve à peu près dans la situation d'une armée qui n'aurait d'autres munitions que celles que l'ennemi lui envoie pour donner l'illusion qu'il y a une vraie guerre, à la loyale. Il serait trop peu dire que l'adversaire a le choix des armes : il en dispose seul. Il dispose seul du choix du terrain, il dispose seul du choix du moment. Il dispose entièrement de vous. Vous n'êtes qu'une marionnette entre ses mains, qu'il revêt du costume ou de l'uniforme de son choix, et qu'il agite un peu de temps en temps, pour donner au public l'illusion que son pouvoir n'est pas absolu. Tout livre doit hurler à son lecteur : ne compte pour me connaître que sur toi. Ne me juge qu'avec tes propres yeux, et ton propre esprit. Cherche-moi par toi-même et cherche par toi-même les livres qui me suivront, comme ceux qui m'ont précédé. Ne m'oublie pas. N'oublie pas que je ne vis que par toi, et que tout est fait pour nous séparer. Ne compte pas sur le journalisme pour te parler de moi. A mon sujet, ne fais confiance ni à son silence, ni à sa parole. Souviens-toi que nous sommes en guerre, lui et moi. Souviens-toi que nous sommes en guerre. Souviens-toi qu'il occupe entièrement le pays. Ne m'oublie pas. N'oublie pas mes frères. Souviens-toi que nous serons de plus en plus difficiles à trouver, selon toute vraisemblance - de moins en moins visibles, de plus en plus entourés de silence. Souviens-toi que nous prenons le maquis, eux et moi, et que nous retournons à la nuit, dont nous ne sommes sortis qu'un moment, deux ou trois siècles.» K. 31O est le journal de Renaud Camus pour l'année 2000, celle de l'"affaire Camus" qui fit couler tant d'encre. Au milieu de cette campagne violente, l'andante cantabile de la sonate Köchel 310 de Mozart était la seule musique dont son oreille s'accommodât.

06/2003

ActuaLitté

Poésie

Journal d'une seconde

Journal d'une seconde est un témoignage d'exil. L'exilé est toujours tiraillé entre les deux rives du pays natal et du pays d'adoption : entre le Chili et la France, le voyage fut long pour Patricio Sanchez et c'est dans le lait de la poésie qu'il a reconstruit patiemment sa vie. Sous influence des grands poètes chiliens, il témoigne d' «Un pays en forme de poignard, telle une braise brûlante dans la poche. Un pays fait de lumière et de pain frais» Il trace à l'adresse de Neruda et de Gabriela Mistral une autobiographie du néant, il se souvient des maisons d'Atacama et du fleuve de pierres pour se glisser peu à peu hors de l'exil, dans les cafés. Partir, ne pas s'attarder, tel est le destin poète comme présence humaine, car dit-il «tu es seul, nous sommes là» N B.

05/2015

ActuaLitté

Littérature française

Journal d'une bonne

Journal d'une bonne se lit d'un trait dès que l'héroïne raconte son quotidien. Mais Agathe, son nom d'enfance heureuse, lui rappel sans cesse qu'elle vit une trahison familiale, voire sociale. En effet la vie d'Agathe bascule à sept ans suite au décès de ses parents. Orpheline, elle est "revendue" au Gabon comme esclave où elle se nomme désormais Adjo. Paméla, son journal intime se laisse rapporter quand Adjo, accablée, harcelée ou abusée, se confie "à chaud". Troublée par le hasard, la coïncidence et les sollicitations de ses maîtres ou "amis", la vie sexuelle de l'adolescente Adjo est parsemée de crise, d'expériences, de curiosités, de surprises ! quand Paméla apprend de sa confidente : "... j'ai réellement couché avec un homme soir... " c'est une étape franchie au péril de sa vie.

06/2019

ActuaLitté

Romans historiques (poches)

Journal d'une courtisane

Londres, XVIIe siècle. Pour éviter de subir le sort de sa sœur devenue prostituée, Ellen « Nell » Gwyn devient marchande d’oranges au théâtre royal de Covent Garden. Rapidement, les propriétaires du lieu remarquent son charme et sa finesse d’esprit, et lui offrent une place dans la compagnie. Dès lors, elle n’aura de cesse de grimper les échelons, de figurante à actrice principale. Bientôt, c’est l'attention du roi lui-même qu’elle retient. Charles II a la réputation d’être un souverain libertin, mais son cœur ne résiste pas longtemps à la personnalité flamboyante de Nell. Cependant, la cour voit d’un mauvais œil l’arrivée de cette femme moderne qui bouleverse les règles établies…

09/2014

ActuaLitté

Histoire internationale

Journal d'une survivante

Le jour de son quinzième anniversaire, Eva est arrêtée et déportée à Auschwitz. Grâce à l'amour de sa mère et à la chance, elle va parvenir à survivre à l'innommable. Juste avant son arrestation, à Amsterdam, Eva s'était liée d'amitié avec une jeune fille de son âge : Anne Frank. Leurs vies vont être entremêlées à tout jamais lorsqu'elle devient sa demi-soeur. Dans ce témoignage, Eva raconte comment elle a survécu à l'Holocauste, des souvenirs déchirants. Mais c'est aussi un récit de ce qui s'est passé ensuite, pour réussir à vivre en paix avec ses fantômes et perpétuer le souvenir d'Anne Frank. Pour que personne, jamais, n'oublie.

01/2020

ActuaLitté

Esotérisme

Journal d'une illuminée

"Tu dois écrire cette quatrième de couverture, Marina !!! Et fais ça bien, faut que ça parle, faut que ça vende ! ", me crie Gérard ! Gérard, c'est mon ego, il est souvent vieux jeu, comme son prénom, relou et parfois très autoritaire. Il m'impose tout un tas de règles et de pression pour "bien faire", "paraître bien" et ne surtout pas être jugée. Fantasme purement egotique. Sacré Gérard ! J'ai toujours détesté les obligations, j'aime faire les choses à ma sauce, surtout quand cette dernière sent le basilic fraîchement coupé. Alors que j'écris ces lignes, mon coeur frétille d'audace et mon âme se marre... "Laisse tomber les blablas, ma jolie, on a juste envie de dessiner un sourire sur les visages qui liront ces quelques lignes ! " Tu tapes dans le mille, Emile, aux WC les qu'en dira-t-on ! Parce que le chemin du coeur est toujours le meilleur — et que je me dois d'être mon plus bel exemple—, ce recueil est un partage de mes réflexions savoureusement décalées, pour vous inviter à suivre le vôtre. Chaque pensée est suivie d'un espace d'écriture dans lequel vous pourrez noter vos ressentis, comme une invitation à libérer votre âme et à faire rayonner, chaque jour un peu plus, la pépite que vous êtes. Expansion d'âme oblige ! J'avance, je transforme, je crée, car "Ouais, bébé, s'incarner, c'est pas une tasse de thé ! "

07/2019