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Rachel Barnes

Extraits

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Livres 3 ans et +

La licorne dépasse les bornes

Voici le nouvel album de la collection " Pas follela bestiole ". La licorne dépasse les bornes. Elle est très maladroite et ne fait que des bêtises parce qu'elle court beaucoup trop vite auprès de ses ami(e)s...

10/2020

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Lecture 9-12 ans

Les contes barrés du supermarché

Le supermarché Soloprix, se dresse fièrement en plein milieu de la zone d'activités du " pré aux vaches ", coincé entre le lotissement B2 et les anciens abattoirs voués à une destruction prochaine. Les membres de son personnel vivent des choses pour le moins étonnantes. Après " Le Fennec le plus menteur du monde ", Richard Petitsigne revient avec un nouveau recueil de nouvelles qui s'emboîtent les unes dans les autres pour former une formidable saga et s'amuser du petit théâtre de la grande distribution. Coup de chaud au rayon surgelé et rififi aux fruits et légumes garantis !

02/2020

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Histoire de France

LES BAGNES DE BELLE-ÎLE

Quand la République envoyait ses enfants au " bagne " ! Belle-Ile-en-mer, l'envoûtante... Belle-Ile-en-mer, la bien nommée... Mais derrière ses paysages sublimes, l'envers de la carte postale existe, il cache une page sombre de son histoire. Prison politique, prison militaire mais surtout, pendant près d'un siècle, colonie pénitentiaire pour mineurs... En réalité un " bagne pour enfants ".

11/2019

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Littérature étrangère

Dans les bagnes du tsar

Dans un récit magistral, le grand poète yiddish H. Leivick relate ses six années de travaux forcés dans les bagnes du tsar. Puis il raconte sa traversée de la Russie, les fers aux pieds, jusqu'à la relégation à perpétuité en Sibérie. Dans les bagnes du tsar est un témoignage exceptionnel sur l'humaine condition soumise à des situations extrêmes.

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Biographies

Maurice Barrès. Le grand inconnu

Ecrivain majeur du tournant du XXe siècle, auteur dandy du Culte du Moi, "prince de la jeunesse" qui fut le maître de Mauriac ou de Montherlant, et que chérissaient le général de Gaulle et François Mitterrand, Maurice Barrès (1862-1923) est aussi le chantre du nationalisme, de "la terre et [des] morts" , particulièrement impliqué dans l'antisémitisme de l'époque. De ces deux facettes, on a souvent insisté sur la carrière politique de l'auteur des Déracinés, et peiné à trouver une unité. Cet ouvrage, aboutissement de trente-cinq ans de travail, montre les liens complexes et la cohérence secrète entre l'oeuvre altière de l'écrivain et l'engagement patriotique de l'homme politique. En ressort une biographie d'une densité et d'une finesse exceptionnelles, sans complaisance pour les aspects noirs de Barrès, mais avec une admiration sans réserve pour son oeuvre. La rigueur scientifique d'Emmanuel Godo ne l'empêche pas de nous livrer un ouvrage écrit dans une langue sensible et délicate, à la hauteur de l'exigence littéraire du sujet. La biographie de référence qui fera date.

04/2023

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Littérature Yiddish

Dans les bagnes du tsar

Dans un récit magistral, le grand poète yiddish H. Leivick relate ses six années de travaux forcés dans les bagnes du tsar. Puis il raconte sa traversée de la Russie, les fers aux pieds, jusqu'à la relégation à perpétuité en Sibérie. Dans les bagnes du tsar est un témoignage exceptionnel sur l'humaine condition soumise à des situations extrêmes.

03/2023

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Autres philosophes

Une pensée en exil. La philosophie de Rachel Bespaloff

Ceux qui l'ont rencontrée (Léon Chestov, Benjamin Fondane, Jean Wahl, Gabriel Marcel, Gaston Fessard, Jean-Paul Sartre...) l'ont considérée comme une femme d'une intelligence extraordinaire et d'une pénétration exceptionnelle ; pourtant, Rachel Bespaloff (1895-1949) est une philosophe encore presque inconnue. La rareté des textes qu'elle a publiés de son vivant, son existence trop précocement interrompue, la difficulté qu'il y a à la ranger dans une école particulière de pensée, n'ont pas contribué à sa notoriété. Ce n'est que récemment, et de façon confidentielle, qu'on a assisté au phénomène discret de la redécouverte - ou de la découverte pure et simple - d'une personnalité qui compte au nombre des plus représentatives de la culture européenne de l'entre-deux guerres. Rachel Bespaloff naît le 14 mai 1895 à Nova Zagora, en Bulgarie, et meurt le 6 avril 1949 à Mount Holyoke, une petite ville du Massachussets. Enfant d'une famille cultivée d'origine juive de l'Ukraine (le père, Daniel Pasmanik, était un membre éminent des cercles sionistes, et sa mère, Deborah Perlmutter, avait un doctorat en philosophie), elle vie ses deux premières années d'enfance à Kiev, puis passe son adolescence à Genève, où elle obtient un diplôme de piano et montre un talent hors du commun, au point qu'en 1919 on lui offre une chaire prestigieuse d'enseignement de la musique et de l'eurythmique à l'Opéra de Paris. En 1925, elle décide d'abandonner une carrière musicale qui semblait très prometteuse pour se consacrer entièrement à une sorte de " réveil philosophique " provoqué par la rencontre de la pensée existentialiste du philosophe ukrainien Léon Chestov. Dès lors, Rachel Bespaloff devient l'interlocutrice et la confidente privilégiée de nombreux penseurs d'orientation libérale, comme Benjamin Fondane, Daniel Halévy, Gabriel Marcel, Jacques Schiffrin, Boris de Schloezer ou Jean Wahl, qui louent chez elle des qualités de penseur raffiné et subtil. En 1930, la philosophe ukrainienne doit quitter Paris pour déménager à la Villa Madonna à Saint-Raphaël, où elle commencera bientôt à se sentir coupée de la ferveur intellectuelle de Paris et à souffrir de la solitude. Elle écrit pendant cette période une étude aussi lumineuse que serrée sur Etre et Temps, qui est l'une des premières discussions philosophiques - sinon la première - du livre de Heidegger publiée en français. Suivent d'autres essais sur Marcel, Malraux, Green, Kierkegaard, Nietzsche, Chestov, qui seront repris plus tard dans le volume Cheminements et Carrefours, publié en 1938. Pour échapper aux lois raciales, Rachel Bespaloff doit émigrer en juillet 1942 avec son mari, sa fille et sa mère, d'abord à New York, puis à Mount Holyoke, où elle travaille comme chargée de cours de Littérature française. Elle achève la même année la rédaction de ses Notes sur l'Iliade qui aboutiront à son second et dernier livre, intitulé précisément De l'Iiliade : des réflexions pénétrantes sur les raisons fondamentales de la guerre et sur l'ambivalence des objectifs et des valeurs qui caractérisent les héros homériques (la même année exactement, Simone Weil, relisant le poème d'Homère, écrira elle aussi L'Iliade, poème de la force ; une coïncidence d'intérêts et de recherches unit de façon aussi extraordinaire que remarquable les deux philosophes). Peu avant sa rencontre programmée et volontaire avec la mort, Bespaloff écrit quelques articles sur Van Gogh, Camus, ainsi qu'un essai développé, mais malheureusement inachevé, sur Montaigne, qu'elle intitule L'instant et la liberté. Même si elle connaît en apparence une période de grande créativité et de succès indéniable, auprès notamment de collègues et d'étudiantes qui ont pour elle la plus grande estime, elle vit ses années de séjour aux Etats-Unis comme un exil devenu progressivement insupportable. L'inconfort, la solitude l'emportent : sans laisser de trace ni autoriser d'explication " rationnelle ", elle décide brusquement de mettre fin à ses jours en ouvrant le gaz de sa cuisine. Elle a 54 ans. A la lumière des principaux événements qui ont marqué la biographie de Bespaloff, l'élément le plus significatif à prendre en compte pour étudier l'oeuvre est sans aucun doute l'exil : c'est lui qui résume le mieux en une réalité qui est aussi un rapport à l'existence l'expérience que Bespaloff a connue. Celle-ci doit en effet faire l'épreuve à maintes reprises de la condition d'exilé. Mais il y a plus important encore que les données objectives, qui montrent un exode incessant : la perception subjective de son état par la philosophe. C'est bien comme la sienne propre, c'est-à-dire plus profondément encore ne l'imposent des circonstances dramatiques, qu'elle vit la condition de l'exilé, de l'apatride, du réfugié, de celui qui est sans cesse, quoi qu'il fasse, en voyage, toujours en quête d'une terre qui lui reste interdite, lointaine et inaccessible. On trouve ici, dans toute son évidence, une correspondance impressionnante entre les trois ordres de réalité que sont les principaux épisodes de sa vie, l'histoire et le destin du peuple juif dont elle revendique l'appartenance, et les modalités spécifiques de sa recherche. Loin de toute adhésion à l'existentialisme, dont elle critique sévèrement, au contraire, la tendance à cristalliser en des stéréotypes doctrinaux l'indispensable référence à l'existence, mais aussi sans réduction possible à toute autre position philosophique, la dimension qui reflète le mieux la personnalité théorique originale de Bespaloff est celle de l'exode, de la recherche inlassable d'un point d'ancrage, qui n'est jamais définitivement atteint. La particularité de sa réflexion tient en effet au dialogue serré qu'elle mène avec les " sommets " de la pensée contemporaine, et à ses réticences à se reconnaître inconditionnellement dans une orientation spéculative déterminée. Son débat, direct et indirect, avec des penseurs comme Wahl, Marcel, Heidegger, Weil, Montaigne, Augustin, Chestov, Kierkegaard, Nietzsche - pour ne citer que les plus importants - dessine un itinéraire intellectuel qui prend la forme programmatique d'une confrontation acharnée et presque éperdue. Le seul " point fixe " auquel elle parvient dans sa " pérégrination " philosophique incessante, c'est celui de la " pensée tragique " que font percevoir les vers de l'Iliade : avec les textes bibliques, ils représentent pour elle le point le plus élevé de l'expression poétique. La voix des Tragiques, celle des prophètes qui s'élèvent de la Bible, dans l'analyse qu'elles font des faits et des causes qui mettent brutalement l'homme en face de l'événement de la guerre et de l'origine du mal, l'enjoignent d'adopter une attitude de profonde humilité devant le réel et l'existence, puisqu'il est totalement impossible de supprimer les aspects conflictuels qui caractérisent le monde. Une attitude de grande compréhension et de communion difficile (entre espoir et désespoir) avec la réalité sensible, qu'il faut comprendre et accepter dans son ambivalence constitutive. Reste donc décisif, si l'on sait l'écouter, l'avertissement qui se renouvelle à chaque fois qu'on s'abandonne à la lecture d'Homère et des Prophètes : c'est une réalité profonde et tragique qui sous-tend la vie humaine, dans ses contradictions, ses luttes, ses principes de destruction sans solution possible. Seule la musique, d'après Bespaloff (et là aussi, c'est bien une " pensée-biographie " qu'on voit à l'oeuvre), permet de retrouver les moments de vérité profonde et de n'y pas succomber ; c'est à travers elle qu'elle cherche des affinités et des relations entre les différents penseurs. La musique représente l'une des modalités principales, sinon exclusives, de relation avec la transcendance. C'est spécifiquement dans le désaccord harmonique, dont le rythme musical est l'expression, que Bespaloff identifie le témoignage d'une transcendance à la fois nécessaire et paradoxalement inatteignable. Dans le mouvement musical, se réalise avant tout un équilibre capable d'adoucir la fuite désespérante du temps dans une sorte d'unité extatique : l'instant parfait, ce présent authentique soustrait à la dispersion, et comme tenu dans la même main que le passé et le futur. La vérité ne peut donc être révélée que dans la dimension musicale de l'instant - à condition de préciser que celle-ci ne coïncide nullement avec un état d'âme idyllique : il lui faut au contraire, pour exister, reconnaître tragiquement l'échec existentiel auquel l'homme est condamné depuis toujours. Dans l'instant, l'homme transcende les émotions mêmes dont il est personnellement traversé pour s'élever à la question radicale et tragique du sens de l'existence. Le livre de Laura Sanò propose la première vision d'ensemble d'une grande protagoniste du débat philosophique au xxe siècle, et tâche précisément d'en faire percevoir la dimension. A l'auteur, écrit Remo Bodei dans sa préface, " on doit reconnaître le grand mérite d'avoir mené sa recherche en reliant organiquement deux plans distincts. D'un côté, l'analyse rigoureuse des textes auxquels Rachel Bespaloff a confié sa pensée, arrachée ainsi à l'oubli presque complet où était tombée depuis plus d'un demi-siècle sa "pensée nomade". De l'autre, la reconstruction très documentée du contexte historique dans lequel prend place la recherche de la philosophe ukrainienne. " L'intention de Laura Sanò a donc été de scruter les noyaux théoriques de la réflexion de Bespaloff, pour faire apparaître la remarquable singularité de son positionnement intellectuel, et pour mieux comprendre par ailleurs de quelle manière se rencontrent en lui les avancées les plus significatives de la recherche philosophique contemporaine. En ressort le portrait d'une personnalité philosophique d'une finesse et d'une vigueur exceptionnelles, attentive à toutes les nouveautés théoriques, et prête à chaque instant à tout remettre en discussion, à commencer par elle-même ; le portrait d'une femme raffinée et complexe, qui a su mettre au centre de sa vie une authentique recherche de la vérité, inconditionnellement.

05/2023

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Ecologie

Rachel Carson : "non à la destruction de la nature"

"Je l'entends à la radio, cette armée d'hommes en blouse blanche qui rangent mon livre au rayon des fables ou de la science-fiction. Ils jugent que je ne suis pas assez qualifiée. Ils m'accusent d'insulter la science et de déformer la réalité de façon grossière, rappelant que je n'ai même pas de doctorat. Ils jouent les oiseaux de malheur en affirmant que, si on suivait, les yeux fermés, "les enseignements de Miss Carson", on retournerait à l'âge de pierre, on laisserait les insectes et la vermine infester la terre, on permettrait aux épidémies de ravager le pays et on empêcherait l'agriculture de produire et de nourrir le monde. Ils ne démolissent pas vraiment ce que j'écris. Ils attaquent ce que je suis, une femme."

05/2021

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Critique littéraire

Barrés ou la volupté des larmes

"En approchant son visage de la glace qui surplombait la cheminée du salon on dit qu'il cherchait alors sur sa peau qui lui semblait de plus en plus bilieuse au fur et à mesure de ses échecs politiques, de ses succès littéraires, les uns attirant étrangement les autres, la trace des années écoulées depuis le glas de sa jeunesse autant que celle de sa réputation de guide, de maître d'une génération, laquelle génération ressemblait à une assemblée de chiots flatteurs en bottes vernies et lavallière qui lui léchaient les mains dès que l'occasion s'en présentait en déclamant des passages de Sous l'oeil des Barbares ou du Jardin de Bérénice tandis que lui, moins arrogant que nomade dans ses engouements, ses désirs, n'entendait déjà plus rien à cette musique vieille de dix ans". Antoine Billot.

10/2013

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Ouvrages généraux

Le temps des bagnes. 1748-1953

Galère, bagne, garde-chiourme, taulard. Le vocabulaire d'aujourd'hui garde la trace d'une histoire de plusieurs siècles censée s'achever en 1953, lorsque sont rapatriés les derniers forçats de Guyane. A partir de la fi n du XVIIe siècle, partout en Europe, les galères périclitent. En France, elles sont supprimées par un édit royal de 1748. Sont alors créés les bagnes portuaires puis, un siècle plus tard, les bagnes coloniaux. Pendant le Second Empire et la Troisième République, se développent les bagnes militaires de "Biribi" , les bagnes d'enfants et d'adolescents et autres établissements pénitentiaires pour mineurs. Tout un système pénal qui disparaît progressivement au milieu du XXe siècle et dont la mémoire demeure, fragmentée mais tenace, de centaines de milliers de destins broyés par la force légale

05/2023

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Sciences politiques

Maurice Barrès et le nationalisme français

En choisissant d'étudier le nationalisme de Maurice Barrés, Zeev Sternhell ne pouvait manquer de se heurter à une question essentielle : comment le jeune écrivain des années 1880, dilettante et anarchisant, a-t-il pu devenir, en l'espace de quelques années, l'un des grands interprètes de la pensée traditionaliste française, le doctrinaire et le poète du culte de la Terre et des Morts ? Comment, en d'autres termes, s'est opéré le passage, dans le climat intellectuel et moral de la fin du XIXe siècle, du principe de l'exaltation de la personne à l'idée de la subordination de l'individu à la collectivité, de l'affirmation hautaine du Moi individuel à la soumission au Moi national ? A cette interrogation majeure Zeev Sternhell répond d'abord en retraçant avec une impitoyable précision toutes les étapes d'une biographie intellectuelle : le recensement exhaustif (et c'est là sans doute l'un des apports les plus originaux de l'ouvrage) de l'oeuvre journalistique de Barrès permet, sur ce plan, de fixer les points de repère essentiels, de suivre les cheminements, de démontrer toute la logique interne d'une évolution. La seconde réponse est fournie par l'étude, non moins exhaustive, de l'environnement politique et intellectuel, c'est-à-dire des formes d'engagement, des amitiés et des influences : l'action de certaines écoles, certains groupes de pensée et certains doctrinaires se trouve, dans ces perspectives, pleinement, et pour la première fois, mise en valeur ; c'est tout le panorama d'une certaine France de la fin du XIXe siècle qui se trouve en fait restitué.

01/1972

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BD tout public

Barres et pavillons. Chroniques du 93

Quinze ans après avoir quitté la Seine-Saint-Denis, un auteur de bande dessinée est invité à y revenir dans le cadre d'une résidence artistique. Pendant un an, il va vivre entre Clichy-sous-Bois et Montfermeil, au coeur d'un territoire qui a vu naître les émeutes de 2005, et qui est aujourd'hui en pleine mutation. L'occasion pour l'artiste de confronter au réel ses vieux démons, ses préjugés et ses angoisses, tout en chroniquant son quotidien avec humour et poésie.

05/2018

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Critique

A l’ombre de Maurice Barrès

Le centenaire de la mort de Marcel Proust - "notre jeune homme" , disait Maurice Barrès - a été célébré avec majesté en 2022. Et celui de Barrès, disparu en décembre 1923 ? Le "prince de la jeunesse" à la fin des années 1880, devenu durant la Grande Guerre le "rossignol du carnage" , comme l'appelait Romain Rolland, ne s'est pas remis de son engagement antidreyfusard et nationaliste, de son appartenance à la Ligue de la patrie française en 1899 et de sa présidence de la Ligue des patriotes en 1914. Comment le jeune individualiste insolent et vaguement anarchiste, zélateur du Culte du Moi, est-il devenu le chantre de "La Terre et les Morts" et le propagandiste de la tradition française ? "Barrès s'éloigne" , observait Montherlant dès 1925. Plus tard, Zeev Sternhell le rendra responsable de l'invention du fascisme, sentence excessive mais raison suffisante de ne pas l'oublier. Et le styliste n'aura cessé d'exercer une influence certaine sur les écrivains de l'entre-deux-guerres, Malraux, Drieu la Rochelle, Mauriac, Montherlant, et surtout Aragon, qui n'a jamais renié sa dette. L'Ennemi des lois, Les Déracinés, La Colline inspirée, avec lesquels grandirent plusieurs générations d'adolescents, sont peu disponibles en librairie aujourd'hui. Mais les historiens de l'art n'ignorent pas cet homme de lettres exceptionnel qui a tant parcouru l'Italie et l'Espagne et fait connaître leurs trésors. Un siècle après sa mort, la place de Barrès dans la littérature française ne peut pas être ignorée. Les auteurs : Antoine Compagnon, Jessica Desclaux, Grégoire Kauffmann, Alexandre de Vitry, Michel Winock, ainsi qu'Albert Thibaudet.

11/2023

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Romans historiques

La faute de Rachel. "Qu'est-ce que je fasse ?"

L'auteur nous raconte l'histoire d'un couple né dans les années 1920 en Pologne. Elle a quinze ans et lui vingt, au lendemain de la Révolution manquée de 1905 qui marquera toute leur vie. Il est fils de Rabbin et promis au rabbinat, bien sûr. Elle est ouvrière, fille d'un Révolutionnaire et révolutionnaire elle-même. Elle sera victime d'un viol collectif lors d'un pogrom dans leur village. Venu à son secours, il tuera les violeurs. Devenu un meurtrier, il ne peut plus être Rabbin, mais il restera un Guide (Rabbin signifie aussi Guide). Un guide révolutionnaire qui se réfugiera en France car il est condamné à mort par les tribunaux du Tzar. Une initiation au judaïsme (comparaison des différents rites ashkénazes), la découverte de l'hiver polonais, une approche de la Drougine sacrée et des Protocoles des sages de Sion, la préparation et l'exécution d'un pogrom, un appel à l'unité de l'humanité toute entière, cette aventure nous mènera jusqu'au « Yourtzaït », la cérémonie qui marque l'anniversaire de la mort d'un Juif, fût-il devenu non croyant, à la fin de la seconde guerre mondiale en France.

02/2012

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Littérature française

L'oubliée de la place Vendôme. Renée Rachel Van Cleef

Renée Rachel Van Cleef est la fille unique de Alfred Van Cleef le créateur de la très célèbre bijouterie "Van Cleef & Arpels" Née en 1896, elle a dix ans losrque son père ouvre sa joaillerie au 22 place Vendôme. Cette maison sera vite reconnue internationalement. A la mort de son mari Emile Puissant adjoint de Alfred Van Cleef en 1926, elle reprend la direction artistique. Elle va connaître la plus belle période de la Joaillerie française. Survient la mort de son père en 1938 qui lui transmet ses parts de la société . Majoritaire des actions a 46% , elle devient la "patronne" de Van Cleef & Arpels. Elle va devoir affronter les heures sombres, les deux familles étant d'origine juive, elle organisera le sauvetage de son entreprise avant l'aryanisation. Les Arpels se réfugieront en Amerique, elle à Vichy. Les tracasseries, vexations et autres inventions des séïdes du Maréchal Pétain la pousseront au suicide , le 12/décembre 1942. C'est est fini des Van Cleef, ne restent plus que les Arpels

09/2015

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Romans policiers

Les enquêtes de Rachel Toury Tome 4 : Cibles anonymes. Edition

Jeune et dynamique, Maximilien Fortin, dont les affaires sont florissantes, a un avenir brillant devant lui et des ambitions à revendre. Mais tout s'arrête quand on retrouve son cadavre dans son luxueux appartement, à Montréal. Aucun doute pour la capitaine Rachel Toury, c'est une mort suspecte. Rachel commence tout juste à enquêter sur cette étrange affaire qu'un second meurtre lui tombe dessus. Cette fois, c'est une femme, une coiffeuse apparemment sans histoire. De prime abord, il n'y a aucun lien entre les deux victimes qui viennent d'un univers totalement différent. Faut-il en déduire que plusieurs tueurs sévissent dans le grand Montréal ? Les ressources de Rachel Toury lui permettront-elles de mener de front ces deux enquêtes sans nuire à l'une ou à l'autre ? Avec ce nouveau roman, Agnès Ruiz renoue avec sa célèbre enquêtrice québécoise, Rachel Toury, pour le plus grand plaisir des lectrices et lecteurs !

02/2024

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Poches Littérature internation

Rien à craindre

Faut-il avoir peur de la mort ? Dans ce livre, qui n'est ni un roman, ni un essai, ni une autobiographie, Julian Barnes interroge ses amis de toujours - de Montaigne à Jules Renard - mais aussi ses parents et son frère, un des plus grands spécialistes d'Aristote. Tous ont beaucoup de choses à dire, parfois inattendues et savoureuses sur ce sujet a priori austère. Et c'est parti pour un festival d'humour et d'intelligence pour nous permettre d'affronter celle qui " refuse de venir à la table des négociations ". Car si Dieu est le suprême ironiste, Julian Barnes est loin de démériter.

05/2010

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Littérature étrangère

Dix ans après

Ce que les gens veulent savoir, qu'ils le demandent directement ou non, c'est comment j'ai pu tomber amoureuse de Stuart et l'épouser, puis tomber amoureuse d'Oliver et l'épouser, tout ça dans un laps de temps aussi court qu'il est légalement possible. Eh bien, la réponse est que je l'ai fait et donc que c'est possible. je ne vous recommande pas particulièrement d'essayer, mais je vous assure que c'est possible. Sentimentalement aussi bien que légalement. Gillian a donc divorcé de Stuart pour épouser le meilleur ami de celui-ci, Oliver. Ils avaient trente ans. Dix ans après, que sont-ils devenus ? Gillian et Oliver ont vécu en France et eu deux enfants. Stuart s'est remarié en Amérique, puis a divorcé à nouveau. Aujourd'hui, ils se retrouvent tous à Londres. lis vont se revoir. Après tout, ils se connaissaient bien autrefois... Et le jeu ambigu, délicieux, pervers, de la séduction va recommencer, quand Stuart va tenter de reprendre à Oliver celle qu'il n'a jamais cessé de considérer comme sa femme - la séduction avec tout ce qu'elle implique de plaisir, d'angoisse et de rebondissements surprenants.

01/2002

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Poches Littérature internation

England, England

Jerry Batson, qui se définit comme un " accoucheur d'idées ", va en vendre une assez sensationnelle à sir Jack Pitman, un excentrique milliardaire : créer sur l'île de Wight une sorte de gigantesque parc d'attractions rassemblant tout ce qu'il y a de plus typique, de plus connu en Angleterre. Cela va des blanches falaises de Douvres à Manchester United, de Buckingham Palace à Stonehenge, du mausolée de la princesse Diana au théâtre de Shakespeare. Le projet est monstrueux, hautement risqué, et voilà qu'il se révèle être un énorme succès. La copie va-t-elle surpasser l'original ? Et qu'adviendra-t-il si c'est elle que les touristes préfèrent visiter ? Férocement drôle, drôlement impitoyable, impitoyablement au vitriol, voilà un portrait de l'Angleterre comme on n'en avait encore jamais vu.

01/2002

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Histoire internationale

Malcolm X. La libération des Noirs et la voie vers le pouvoir ouvrier

Stimulée par le besoin insatiable du capital en force de travail et en chair à canon pour ses guerres, la migration massive des Noirs du Sud rural des Etats-Unis vers les villes et les usines à travers le continent a jeté les bases de la montée explosive de la lutte de libération des Noirs dans ce pays à partir du milieu des années 1950. Malcolm X en émerge alors comme son plus remarquable dirigeant. Ce mouvement colossal. insiste-t-il, fait partie d'une bataille révolutionnaire mondiale pour les droits humains : "un affrontement entre ceux qui veulent la liberté. la justice et l'égalité et ceux qui veulent maintenir les systèmes d'exploitation." Tirant les leçons d'un siècle et demi de lutte. ce livre nous aide à comprendre pourquoi c'est la conquête révolutionnaire du pouvoir par la classe ouvrière qui rendra possible la bataille finale pour la libération des Noirs — et ouvrira la voie à un monde basé non pas sur l'exploitation. la violence et le racisme, mais sur la solidarité humaine. Un monde socialiste.

06/2010

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Littérature étrangère

La seule histoire

Un premier amour détermine une vie pour toujours : c'est ce que j'ai découvert au fil des ans. Il n'occupe pas forcément un rang supérieur à celui des amours ultérieures, mais elles seront toujours affectées par son existence. Il peut servir de modèle, ou de contre-exemple. Il peut éclipser les amours ultérieures ; d'un autre côté, il peut les rendre plus faciles, meilleures. Mais parfois aussi, un premier amour cautérise le coeur, et tout ce qu'on pourra trouver ensuite, c'est une large cicatrice. Paul a dix-neuf ans et s'ennuie un peu cet été-là, le dernier avant son départ à l'université. Au club de tennis local, il rencontre Susan - quarante-huit ans, mariée, deux grandes filles - avec qui il va disputer des parties en double. Susan est belle, charmante, chaleureuse. Il n'en faut pas davantage pour les rapprocher... La passion ? Non, l'amour, le vrai, total et absolu, que les amants vivront d'abord en cachette. Puis ils partent habiter à Londres : Susan a un peu d'argent, Paul doit continuer ses études de droit. Le bonheur ? Oui. Enfin presque car, peu à peu, Paul va découvrir que Susan a un problème, qu'elle a soigneusement dissimulé jusque-là : elle est alcoolique. Il l'aime, il ne veut pas la laisser seule avec ses démons. Il va tout tenter pour la sauver et combattre avec elle ce fléau. En vain... Mais lui, alors ? Sa jeunesse, les années qui passent et qui auraient dû être joyeuses, insouciantes ? Il a trente ans, puis trente et un, puis trente-deux. Vaut-il mieux avoir aimé et perdre ou ne jamais avoir aimé ?

09/2018

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Littérature étrangère

Une fille, qui danse

Ceux qui veulent nier le passage du temps disent : quarante ans, ce n'est rien, à cinquante ans on est dans la fleur de l'âge, la soixantaine est la nouvelle quarantaine et ainsi de suite. Je sais pour ma part qu'il y a un temps objectif, mais aussi un temps subjectif. le vrai, qui se mesure dans notre relation à la mémoire. Alors, quand cette chose étrange est arrivée, quand ces nouveaux souvenirs me sont soudain revenus, ç'a été comme si, pendant ce moment-là, le temps avait été inversé. Comme si le fleuve avait coulé vers l'amont. Tony, la soixantaine, a pris sa retraite. Il a connu une existence assez terne, un mariage qui l'a été aussi. Autrefois il a beaucoup fréquenté Veronica, mais ils se sont éloignés l'un de l'autre. Apprenant un peu plus tard qu'elle sortait avec Adrian, le plus brillant de ses anciens condisciples de lycée et de fac, la colère et la déception lui ont fait écrire une lettre épouvantable aux deux amoureux. Peu après, il apprendra le suicide d'Adrian. Pourquoi Adrian s'est-il tué ? Quarante ans plus tard, le passé va ressurgir, des souvenirs soigneusement occultés remonter à la surface - Veronica dansant un soir pour Tony, un week-end dérangeant chez ses parents à elle. Et puis, soudain, la lettre d'un notaire, un testament difficile à comprendre et finalement, la terrible vérité, qui bouleversera Tony comme chacun des lecteurs d'Une fille, qui danse.

01/2013

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Poches Littérature internation

Le perroquet de Flaubert

Médecin anglais spécialiste de Flaubert, Geoffrey Breathwaite découvre dans un recoin du musée Flaubert, à Rouen, le perroquet empaillé qui inspira à Louise, la vieille servante de Un cœur simple, une étrange passion. Mais à Croisset, la propriété de famille des Flaubert, se trouve un second perroquet avec les mêmes prétentions à l'authenticité. Où est le vrai perroquet, qui est le vrai Flaubert, où est la vérité de l'écrivain ? Si rien n'est certain, l'inspecteur Barnes, au bout de son éblouissante enquête littéraire, démontre néanmoins, avec élégance et humour, que la seule chose importante c'est le texte...

04/2003

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Littérature anglo-saxonne

L'homme en rouge

Paris, fin du XIXe siècle. Lorsque John Sargent le peint en 1881, Samuel Pozzi est alors LE médecin à la mode. Pionnier de la chirurgie et de la gynécologie, il est particulièrement apprécié des dames de la bonne société, dont beaucoup, comme Sarah Bernhardt, sont aussi ses maîtresses. A travers sa vie privée, pas toujours heureuse, et sa vie professionnelle, exceptionnellement brillante, c'est toute une peinture de la Belle Epoque qui s'anime sous nos yeux. Mais derrière l'image classique de paix et de plaisirs s'en cache une autre, plus sombre : celle d'une période minée par l'instabilité politique, les crimes et les scandales.

02/2022

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Poches Littérature internation

La table citron

C'était son congé annuel. Ses deux jours de permission. Il s'était fait couper les cheveux comme d'hab, avait fait nettoyer son blazer comme d'hab. Il était un homme ordonné, avec des désirs et des plaisirs ordonnés. Même si ces plaisirs n'étaient plus aussi intenses qu'ils l'avaient été. Différents, disons. En vieillissant vous ne teniez plus aussi bien l'alcool... Alors vous buviez moins, appréciiez mieux la chose... Et même chose avec Babs - comme il se souvenait de cette première fois avec elle, il y avait déjà tant d'années... Chez les Chinois, le citron symbolise la vieillesse et la mort. La table citron étant celle autour de laquelle on vient en parler, tous pourraient donc s'y asseoir. Sinistre ? Pas du tout. Dans les onze nouvelles ciselées qui composent ce livre, Julian Rames joue sur différents registres, du plus cruel au plus tendre. Il y a du Tchekhov dans ces pages-là - la délicatesse, la retenue - et du Gogol - la dérision, le trait à l'emporte-pièce. Plus un humour inimitable.

05/2007

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Littérature étrangère

Quand tout est déjà arrivé

Nous vivons à ras de terre, à hauteur d'homme et pourtant - et par conséquent - nous aspirons à nous élever. Créatures terrestres, nous pouvons parfois nous hisser jusqu'aux dieux. Certains s'élèvent au moyen de l'art ; d'autres, de la religion ; la plupart, de l'amour. Mais lorsqu'on s'envole, on peut aussi s'écraser. Il y a peu d'atterrissages en douceur. On peut rebondir sur le sol assez violemment pour se casser une jambe, entraîné vers quelque voie ferrée étrangère. Chaque histoire d'amour est une histoire de chagrin potentielle. Sinon sur le moment, alors plus tard. Sinon pour l'un, alors pour l'autre. Parfois pour les deux. C'est à différentes altitudes que se situent les trois récits qui composent ce livre. Le premier nous conte, avec souvent beaucoup d'humour, les différentes tentatives de l'homme pour voir le monde d'en haut. Et il s'attache plus particulièrement à celles de Nadar, qui, à bord d'un ballon, réalisa les premiers clichés aérostatiques en 1858. Le deuxième se penche sur les amours de Sarah Bernhardt - souvent photographiée par Nadar et qui fit un tour en montgolfière - avec un bel officier anglais. Là, on est "à hauteur d'homme". Le troisième nous parle - droit au coeur - de ce qui se passe quand "tout est déjà arrivé", en l'occcurence, la mort de l'être qui vous était le plus proche et "qu'on est tombé de la plus grande hauteur". Disons simplement que Julian Barnes est sans doute là au sommet de son art.

01/2014

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Théâtre

Nez rouges, Peste noire

La France en 1348, pendant la guerre de Cent Ans. La Peste noire sévit à travers toute l'Europe. Les flagellants parcourent le pays, offrant la rédemp-tion par la souffrance. A Auxerre, le père Flote, un prêtre qui croit avoir reçu du Très-Haut la mission d'adoucir par le rire les peines de ses contemporains, crée une joyeuse confrérie, "les Pitres du Christ" , en s'adjoignant les talents de ceux que le hasard (Dieu ? ) envoie sur sa route...
"Nez rouges, Peste noire" (récompensée à sa création à la RSC en 1985 par le prix Laurence Olivier de la meilleure oeuvre dramatique) est une grande comédie humaniste qui, bien que profondément consciente de l'absurdité de la vie, célèbre le triomphe de l'espoir sur l'expérience vécue, en mêlant vérité historique et anachronismes, pantalonnade et tragédie, emprunts littéraires, aphorismes et gags de cabaret.
Utilisant le XIVe siècle comme effet de distanciation, elle nous tend le miroir de notre époque - morts en masse, violence de la vie, inhumanité des puissants - et nous rappelle, à travers de grands moments de théâtre jubilatoires, la force de l'amitié et de l'action collective, du rire subversif, inaliénable et insoumis. Traduit de l'anglais par Gisèle Joly

05/2010

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Livres-jeux

La gymnastique

Les enfants aimeront donner vie à un gymnase en y plaçant des personnages en justaucorps qui font la roue, l'équilibre sur les mains, le grand écart et des sauts variés. Les jolies scènes imagées à compléter d'autocollants dynamiques représentent des cours et des séances d'entraînement, l'apprentissage de nouvelles figures ainsi que des spectacles et des compétitions.

06/2021

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Romance historique

Le Bois de la nuit

Robin Vote, jeune Américaine somnambule hantée par une légère folie, fascine son entourage. Le baron Félix Volkbein, un juif autrichien érudit qu'elle épouse et à qui elle donne un fils, Guido, enfant retardé qu'elle abandonne en quittant le foyer. Nora Flood, raffinée, douce et ardente, dont elle s'éprend puis qu'elle délaisse au profit de la richissime Jenny Pethridge. Et le docteur Matthieu O'Connor, un désemparé hypersensible, qui recueille les confidences de chacun. Dans un style hautement poétique, Djuna Barnes met en évidence la part sombre de l'être, le mal auquel les personnages sont asservis. Djuna Barnes (1892-1982), née dans l'Etat de New York, illustratrice, journaliste, dramaturge et romancière, fréquente le cercle des expatriés de la rive gauche du Paris des années 1920, avant de s'installer en 1931, en Grande-Bretagne, où elle écrit Le Bois de la nuit (1936). De retour aux Etats-Unis en 1939, elle vivra les jours difficiles d'une "inconnue célèbre" . Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Pierre Leyris

09/2022

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Romans, témoignages & Co

On the run

"Ils n'auraient jamais dû se rencontrer, et encore moins être obligés de partager leur quotidien. Jackson, orphelin livré à lui même depuis sa plus tendre enfance, taciturne et solitaire, rêve d'une vie meilleure, quitte à passer au dessus des lois et devenir le braqueur le plus recherché du moment. Lana, journaliste maladroite et insouciante, a flairé le scoop de l'année et ne compte rien lâcher. Quand deux mondes doivent cohabiter en pleine cavale avec la police aux trousses, la tempête n'est jamais loin".

11/2021