Recherche

Parménide

Extraits

ActuaLitté

Histoire de la philosophie

Historiographies de la philosophie ancienne. Neuf études

Les études réunies dans ce livre reprennent des travaux publiés de manière dispersée entre 1989 et 2014. Elles considèrent neuf moments significatifs de la réception philosophique de la philosophie et des philosophes antiques du XVIIIe au XXe siècle. Anaximandre, Héraclite, Parménide, Platon, les Cyniques, mais aussi les traditions doxographiques qui ont modelé leurs images, sont pris dans l'espace complexe où la philosophie et ses historiens croisent tant les théories de l'histoire que les pratiques philologiques. L'unité du propos est assurée non seulement par une trame chronologique, allant de Brucker à Kant, de Kant à Schleiermacher et aux Néokantiens, de Burckhardt à Nietzsche, de Nietzsche à Heidegger et Gadamer, et de la philosophie elle-même à la psychologie historique de Vernant, mais aussi par l'attention qui est portée, dans chaque cas, aux tensions et équilibres intellectuels et disciplinaires mis en jeu. La question générale est celle des critères et de la légitimité des actualisations qui guident la recherche historique. L'ensemble constitue ainsi, à partir d'un domaine spécialisé, une contribution à un domaine de recherche, l'historiographie de la philosophie, dont un critique pouvait encore dire en 1991 qu' "il n'y a guère de discipline dont la procédure est historique où l'investissement exigé en matière de théorie et de méthodologie soit plus réduit" , mais qui a connu au cours de ces dernières années d'importants développements. On peut penser que la voie est désormais ouverte à une discussion interdisciplinaire et interculturelle de grande ampleur et portée.

#CultureAntique

06/2021

ActuaLitté

Histoire internationale

Naples et l'Italie du sud

Peu de terres européennes sont autant chargées d'histoire que la moitié méridionale de la botte italienne. Les populations autochtones installées là au cours de l'âge du bronze sortent à peine des brumes d'un lointain passé mais la présence, dès le VIIe siècle avant notre ère, des premiers colons grecs fait entrer dans la grande histoire l'espace qui s'étend du détroit de Messine au Latium. Foyer majeur de l'hellénisme, la Grande Grèce expérimente, à Poseidonia ou à Métaponte, une architecture colossale qui témoigne de la puissance et de la prospérité de ses cités, en même temps qu'elle accueille Pythagore et Parménide, apparaissant ainsi comme l'un des hauts lieux où naquit la pensée. La domination romaine nous a laissé les trésors des cités pompéiennes - ensevelies sous les cendres ou les laves du Vésuve - et la démesure des villas construites pour Tibère à Capri. Tour à tour gothe, byzantine, lombarde et arabe puis normande, souabe, angevine et aragonaise, la région prend une part décisive à l'histoire et à la culture du Moyen Age occidental. Farouchement disputée au cours des siècles suivants marqués par la prépondérance espagnole, elle constitue l'une des terres d'élection du baroque avant que les ruptures révolutionnaires ne la marginalisent durablement. L'ancien royaume de Naples n'en demeure pas moins, pour le voyageur cultivé et curieux, l'une des terres les plus attractives d'Italie, riche de ses contrastes et d'un prestigieux patrimoine mêlant l'héritage antique, les grands sanctuaires normands et angevins, et les floraisons renaissantes et baroques.

07/2011

ActuaLitté

Philosophie

Héraclite

Dès l'Antiquité, Héraclite fut une légende. On dit qu'il vit le jour à Ephèse, au Vle siècle avant notre ère. Mais très vite, on donna le surnom d'Obscur à celui dont les aphorismes mystérieux et inintelligibles pour le commun des mortels prenaient davantage l'allure d'une parole pythique que d'une pensée philosophique rationnelle et traditionnelle. Ce qu'il y a de sûr, c'est que les récits des éminents spécialistes d'hier et d'aujourd'hui ne pourront jamais dissiper même le soupçon de sa véritable existence. Et pourtant, les quelques malheureux fragments qu'on lui attribue ici ou là brillaient d'un éclat si puissant qu'ils suffirent à ébranler entièrement le monde intellectuel grec et romain. C'est comme si des cendres du temple d'Artémis, le tombeau de l'unique exemplaire de son oeuvre - un traité intitulé De la Nature - derrière un caractère réputé méprisant et mélancolique jaillissait encore une pensée cristalline, sublime, foudroyant et bouleversant ceux qui s'aventuraient à l'embrasser et à la méditer. Sa doctrine est révolutionnaire. Tout en s'inscrivant dans la lignée des cosmologues de son temps, le Philosophe annonce le passage décisif au problème de l'Etre et du Devenir, celui qui donnera naissance à l'ontologie classique de Parménide et de Platon, ainsi qu'à la métaphysique d'Aristote. Au XIXe siècle, ce sera même Hegel qui dira s'être inspiré de lui. Quatrième opus de l'oeuvre de Theodor Gomperz Les Penseurs de la Grèce publié aux éditions Manucius, Héraclite est un guide clair et précis pour tout futur lecteur avide d'ouvrir les portes d'Artémis.

11/2009

ActuaLitté

Philosophie

Platon : Le Sophiste

Donné à Marbourg durant le semestre de l'hiver 1924-1925, ce cours (auquel assistèrent notamment Hannah Arendt, Hans Jonas et Gadamer) est à plus d'un titre exceptionnel dans le cadre de l'Edition intégrale des écrits de Martin Heidegger. D'une part en ce qu'il constitue un témoignage aussi précieux que précoce de l'enseignement consacré par Heidegger à Platon et à la dialectique platonicienne, dans une optique résolument phénoménologique, juste après la disparition de Paul Natorp auquel la première séance rend un hommage appuyé. Mais encore en ce qu'il accompagne visiblement la gestation d'Etre et temps, dont certains traits se trouvent ici clairement préfigurés ou annoncés. Une bonne partie du cours - près du premier tiers - porte à vrai dire sur Aristote, et plus particulièrement sur l'Ethique à Nicomaque (livre VI), conformément au principe herméneutique, développé ici même, qui recommande de procéder, rétrospectivement, en allant du clair à l'obscur. On ne s'étonnera donc pas d'y retrouver longuement et patiemment analysé, replacé dans son contexte, l'exergue, n'ayant assurément rien de " purement décoratif ", que fournira au livre de 1927 une longue citation du Sophiste de Platon : "... que voulez-vous dire au juste chaque fois que vous prononcez ce mot " être " ? Ce sont là manifestement des choses qui vous sont familières. Nous-mêmes, jusqu'ici, nous nous figurions les comprendre ; à présent, nous voici dans l'embarras ". Au fil d'un commentaire très fouillé, libre et rigoureux où ne cesse d'affleurer la dimension profondément éthique du questionnement philosophique toujours référé à l'existence qui s'y engage et s'y implique, l'élaboration de la question qu'est-ce qu'un sophiste ?, solidaire d'une thèse sur le non-être où Platon affronte Parménide, pourrait bien se donner à lire comme une réponse à la question qu'est-ce qu'un philosophe ?

09/2001

ActuaLitté

Latin - Littérature

De la nature des choses. (De rerum natura), Edition

"De natura rerum", chef-d'oeuvre en six livres de la poésie scientifique, s'insère dans la tradition de la poésie philosophique grecque, de Parménide à Empédocle. Il vise, selon Lucrèce lui-même, à renouveler les fondements de la pensée d'Epicure et à délivrer les hommes des vaines peurs des dieux et de la mort. Après une invocation à Vénus, l'auteur consacre un premier livre à exposer une grande loi de l'univers : à l'origine de toutes choses existent les atomes et rien ne se crée, rien ne se perd. Le livre II, qui se termine par une allusion à la pluralité infinie des mondes, nous décrit la naissance des êtres animés à partir des êtres inanimés. Les livres III et IV traitent de l'homme, corps et âme analysés dans leur essence et leur mécanisme. Sa place dans le monde et ses rapports avec l'univers font l'objet des livres V et VI. Lucrèce nous donne ici un tableau grandiose de la civilisation humaine et des différentes étapes que l'homme a du parcourir jusqu'à ce moment où, accédant à la vie morale, celui-ci se propose la sagesse comme but suprême de l'existence. "De la nature des choses" se termine sur la description de la peste d'Athènes. Doué d'un sens poétique incomparable, Lucrèce sait animer les passages les plus abstraits de son oeuvre. Sa poésie s'élève et prend tous les tons suivant la marche de son enthousiasme : lyrique, épique, satirique ou élégiaque, lui conférant une grandeur dont on reste encore aujourd'hui confondu. Le texte est précédé d'une étude de l'oeuvre et suivi d'une biographie de Lucrèce.

09/2023

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Ce que peuvent les mots

Barbara Cassin est inclassable. Marginale, ni normalienne ni agrégée, mais médaillée d'or du CNRS et élue de l'Académie française. Philologue et helléniste quand se perd la science du grec ancien, elle intervient pourtant, à partir de ce savoir, dans le quotidien, au moyen d'expositions, écrit dans les journaux, travaille avec les classes à Saint-Denis ou à Marseille. Spécialiste des présocratiques, ces " philosophes " du Ve siècle avant J. -C. que Martin Heidegger désigne comme l'aurore de la pensée, Barbara Cassin raconte l'histoire de la philosophie en s'appuyant sur les sophistes, ces autres maîtres en culture et en démocratie. Ce volume réunit des textes devenus souvent introuvables, des traductions - de Gorgias en particulier - et des ouvrages intégraux, parmi lesquels Parménide, la langue de l'être ? , Aristote, la décision du sens. Tous structurés autour d'une trame qui fait de cet ouvrage une oeuvre à part entière. Sa rencontre avec René Char et Martin Heidegger a conduit Barbara Cassin à repenser le rapport entre philosophie et poésie. Que peut le langage, peut-on fabriquer le monde aussi avec des mots ? Et que nous apprend la diversité des langues à l'heure du mauvais anglais mondialisé qui raccourcit la pensée ? L'Antiquité qu'explore Barbara Cassin est aussi d'une grande actualité. Elle ouvre sur le " peuple arc-en-ciel " et la commission Vérité et Réconciliation en Afrique du Sud, sur la psychanalyse ou le rapport entre sens et non-sens chez Freud et Lacan, sur la définition de la culture et de la démocratie avec Google-moi, sur l'hospitalité et la barbarie avec La Nostalgie. Elle livre les clefs du Dictionnaire des intraduisibles avec Plus d'une langue. Et partout, qu'il s'agisse de la toute première Initiation à l'explication de texte ou du récent Avec le plus petit et plus inapparent des corps, l'oeuvre de Barbara Cassin témoigne de cet amour du langage et de l'écriture qui ne requiert aucun savoir préalable et ne se laisse enfermer dans aucune discipline.

10/2022

ActuaLitté

Histoire de la philosophie

Athènes et Jérusalem

Tome X de ses oeuvres complètes telles qu'il les avait lui-même conçues, achevé en avril 1937, un an avant sa mort, Athènes et Jérusalem est le dernier grand livre publié de Chestov, et donc l'aboutissement de sa réflexion sur l'opposition entre la sagesse philosophique (Athènes) et la révélation religieuse (Jérusalem). Chestov résume lui-même dans sa préface la visée du livre : "mettre à l'épreuve les prétentions à la possession de la vérité qu'émet la phi- losophie spéculative" . La connaissance ne justifie pas l'être, c'est le contraire qui est vrai : "L'arbre de science n'étouffe plus l'arbre de vie". La première partie, écrite en 1929, montre qu'en poursuivant le savoir, les philosophes ont perdu la liberté : Parménide est enchaîné. La deu- xième partie, "Le Taureau de Phalaris" , achevée en 1931 et composée de chapitres consacrés à Nietzsche, Socrate et Kierkegaard, fait appa- raître le lien indestructible entre le savoir tel que le comprend la philo- sophie et les horreurs de l'existence humaine. La troisième montre les efforts infructueux de la philosophie médiévale pour concilier la vérité biblique, révélée, avec la vérité "prouvée" . La quatrième partie, intitu- lée "La seconde dimension de la pensée" et composée d'aphorismes notés sur des carnets de travail des années 1925-1929, montre que les vérités de la raison nous contraignent peut-être, mais qu'elles sont loin de nous persuader toujours. Un même effort soulève les quatre parties du livre : rejeter loin de soi les vérités inanimées et indifférentes à tout, qui sont les fruits de l'arbre de la science. Chestov leur oppose une "philosophie religieuse" qui prend sa source dans l'acceptation absurdement paradoxale que pour Dieu, rien n'est impossible. ""Athènes et Jérusalem", "la Philosophie Religieuse"... , ces expressions coïncident presque, elles ont presque le même sens et elles sont aussi énigmatiques l'une que l'autre et irritent au même degré la pensée contemporaine par la contradiction qu'elles recèlent. Ne vaudrait-il pas mieux poser le dilemme : ou bien Athènes, ou bien Jérusalem ? Ou bien la religion, ou bien la philosophie ? " Léon Chestov, "Sagesse et Révélation" , préface à Athènes et Jérusalem, 1937.

10/2023

ActuaLitté

Philosophie

Philosophie et rationalités - Livre II : Logique, méthodologie scientifique et épistémologie

Le sens de la logique est univoque ; il est dans le poème de Parménide d'Elée sur "La voie de la vérité" et "La voie de l'erreur" , dans le fragment "l'Etre est, le non Etre n'est pas" : "Il n'y a pas à redouter que jamais, l'on te prouve que ce qui n'est pas est. Et toi, éloigne ton esprit de cette voie de recherche" . Si les premiers philosophes insistent sur la logique, ils savent aussi qu'une inconsistance d'ordre logique, donc dans la pensée, ne tarde pas à exposer d'autres difficultés dans l'ordre de l'agir. Puisqu'il en est ainsi, cette partie est alors une Propédeutique à toute science et à tout agir. "Cohérence, vérité et validité" . L'homme est fragile en son corps, mais aussi son esprit qui conditionne sa liberté. L'une des formes de manipulation de l'esprit est la confusion qui peut être volontaire ou involontaire de la cohérence et de la vérité. C'est dans les cas où l'individu, seul ou en communauté, pose les conditions ou préalables ou normes, comme lois guidant l'entendement et l'agir. Pour lui, la rationalité sera alors la cohérence formelle et la chaîne de toute la démonstration, telle qu'elle est concluante, seulement à partir des conditions qu'il a posées. C'est le pragmatisme. Une position pragmatique, aussi dogmatique, n'est ni vraie, ni fausse ; elle est seulement vraie ou fausse en ses conséquences (lois d'inférence qui relient logiquement la chaîne des propositions) et dans leurs conclusions théoriques ou pratiques qui peuvent s'avérer satisfaisantes ou non. Un individu qui agit ainsi, conformément à la norme qu'il a lui-même établie ou qu'on a établie pour lui, croit agir dans la vérité, alors qu'il est plutôt dans la cohérence ; une large, forte, de moins en moins sage ou naïve corporation appelle ses sujets à la rationalité, seulement selon les normes qu'elle a, elle-même, établies. La vérité est plutôt dans la valeur de la chose que seul l'esprit métaphysique (essence, sens ou signification) peut décider. Cette partie, loin d'être seulement au service de la recherche scientifique, elle est au service de la vie, de la liberté, de l'agir. La rencontre : logique, méthodologie et épistémologie est nécessaire, parce que le penseur logicien doit constamment distinguer la cohérence ou validité avec la vérité. Une conclu-sion peut être cohérente (agencement des propositions)

09/2018

ActuaLitté

Philosophie

Philosophie N° 148, janvier 2021 : Reiner Schurmann interprète de Heidegger et penseur de l'histoire

Ce numéro thématique est consacré à Reiner Schürmann, phénoménologue qui, dans Le principe d'anarchie et Des hégémonies brisées, a prolongé et interrogé la pensée du second Heidegger pour tenter de repenser l'historicité de la pensée occidentale et le statut postmétaphysique de l'Ereignis. Il s'ouvre sur la traduction, par Bruce Bégout, de l'article de Schürmann intitulé ""Que dois-je faire" à la fin de la métaphysique ? ", qui pose la question de l'agir dans sa relation avec le problème du statut et du destin des "principes époquaux" qui régissent l'être et l'action. La question "que dois-je faire ? " sonne le glas d'une certaine normativité principielle dont il s'agit alors, sous le nom d'anarchie, de mesurer le possible ainsi ouvert. Dans "Reiner Schürmann, phénoménologue des ultimes", Vincent Giraud introduit à sa pensée au fil conducteur du phénomène et du mot d'ordre "sauver les phénomènes". Si ce qui se montre est originairement un singulier, que les différents "fantasmes hégémoniques" réduisent à un cas particulier de leur loi, retrouver les phénomènes se fera par une épopée du singulier qui nous établit dans la "condition tragique", fond de notre rapport à l'apparaître. Dans "Fin de partie. Philosophie de l'histoire et clôture de la métaphysique chez Reiner Schürmann", Bruce Bégout interroge la notion d'époque dans sa philosophie, montrant que sa critique de la philosophie de l'histoire procède d'une conception de l'histoire comme dépérissement des hégémonies, à laquelle se soustrait l'ultime époque. Il met en question le paradigme ontologique du contingent, fondement anarchique de la philosophie tragique. Dans "La recherche des origines : entre anamnèse et oubli. Heidegger relu par Schürmann", Servanne Jollivet en expose la lecture de Heidegger à partir des textes tardifs, qui en radicalise le geste et en montre l'ambivalence : en l'inscrivant dans l'histoire des hégémonies, il remonte de l'interrogation sur les origines à l'origine première, repensée de manière non fondamentale comme "violence originaire". Dans "L'absent, vois-le comme fermement présent", Thomas Aït Kaci s'attache au problème de l'effacement de la figure hégélienne dans Des hégémonies brisées. Que dans son opiniâtre combat mené contre la dialectique, du commencement à la fin et de Parménide à Heidegger, Schürmann ne rencontre pas à un moment ou à un autre son adversaire hégélien, surprend. Quel est le sens philosophique d'une telle absence, concertée et déconcertante ? Dans "Des langues brisées. Silence et origine dans la pensée de Reiner Schürmann", Vincent Blanchet comprend l'ensemble de son oeuvre à la lumière de la méditation de la langue qui la traverse jusqu'à son accomplissement dans Des hégémonies brisées ; il s'agit par là d'interroger la possibilité, pour la parole, de demeurer fidèle aux conditions dernières de l'expérience. Enfin, dans "La source", Emmanuel Cattin s'attache à la question de ce que Schürmann nomme "l'origine", en lien essentiel à "l'expérience originaire avec le langage". Dans l'héritage de l'Ereignis de Heidegger, Schürmann n'aura cessé de méditer le sens de la source de tout apparaître, et le mode de séjour accordé à celle-ci, "l'errance". Entre le Maître Eckhart de 1972 et Des hégémonies brisées de 1996, la joie errante aura disparu pour céder devant le regard tragique. D P.

01/2021