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Le journal de Blumka

Extraits

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Littérature érotique et sentim

Le Journal de Mr Darcy

Quel amateur de Jane Austen n'a pas rêvé un jour de revivre Orgueil et préjugés à travers les yeux de son énigmatique héros ? Dans ce journal, auquel Darcy confie ses sentiments naissants et contradictoires pour la charmante Elizabeth Bennet, Amanda Grange donne la parole à ce personnage ô combien charismatique. Un récit teinté de nostalgie mené avec brio.

11/2012

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Littérature française

Journal de la peste

Ce petit manuel de survie par gros temps a d'abord servi de thérapie à qui l'a écrit. Avec l'espoir, pour qui le lira, d'un bénéfique effet de contagion. Je m'y livre au jour le jour — vivant par chance parmi les arbres — à diverses consolations pour pallier la solitude : la musique omniprésente, les voix de la nature et quelques menus plaisirs, toujours trop brefs, sur fond de grisaille. A partager... P.S.

06/2020

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Littérature française

Journal de la mort

Manuscrit inachevé retrouvé dans le garage d'Henri Pollès, quelque temps après son décès dans l'incendie de sa maison à Brunoy, ce carnet est celui où l'écrivain notait ses réflexions sur la mort.

02/2010

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Littérature française

Journal de la création

Aux hommes la création, aux femmes la procréation? Aux hommes les romans et aux femmes les enfants? Aux hommes l'esprit et aux femmes le corps? Cette vieille distribution des rôles, après avoir beaucoup tué (les élans corporels des hommes comme les aspirations artistiques des femmes), est en train de mourir à son tour. Mais les soubresauts sont violents: ils se lisent, notamment, dans la vie des couples d'écrivains qui, depuis un siècle, ont tenté de trouver des manières neuves d'articuler le corps et ses productions, mortelles ou immortelles. Histoires célèbres, comme celles de Scott et Zelda Fitzgerald, Sand et Musset, Sartre et Beauvoir; moins connues ou méconnues, celles de Hans Bellmer et Unica Zürn, Georges Bataille et Laure Peignot, Sylvia Plath et Ted Hughes, Virginia et Léonard Woolf. Histoires où rôdent maladie, malheur, folle, suicide. Mais, au fur et à mesure que progressait cette étude, j'ai moi-même connu des états d'âme et de corps inouïs. Ce livre est aussi la chronique de ces bouleversements là... dont, pour finir, une grossesse; il s'arrête le jour de la venue au monde de mon enfant.

02/1990

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Littérature française

Journal de la canicule

Avant, le soir, pour me détendre, je faisais des croquis, avec règle et compas, comme on me l'a appris pendant mes études de dessin industriel. Maintenant j'écris sur un cahier volé dans la maison d'en face, désertée par ses occupants. Je me suis toujours fait l'effet d'un homme sans histoires. Ce qui m'a pris d'entrer dans cette maison, je ne saurais l'expliquer. La poussière qui s'accumulait sur la voiture garée devant, la boîte aux lettres qui débordait de publicités ont dû me faire craindre un événement dans le genre des faits divers dont parlent parfois la télévision ou les journaux. Ce que j'y ai découvert n'avait rien de spectaculaire. Pourtant, ce cahier que j'y ai ramassé dans une chambre d'enfant allait bouleverser mon existence.

09/2015

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Littérature portugaise

Journal de la peste

En mars 2020, déboussolé par les images venant d'Italie, je me suis senti, comme beaucoup, bombardé par un bombardier inexistant. Les actualités et la pandémie captaient toute mon attention. Au cours de ces semaines, mon attention latérale a été mise en suspens et une tension a surgi pour ne plus s'éloigner. Face à cette tragédie et à cette intensité, l'écriture devait être présente. Faire un pas en avant tandis que progressait ce violent événement.
Je me suis mis à écrire tous les jours, suivant ce qui se passait avec la sensation d'assister à quelque chose d'unique et de terrible. J'ai écrit chaque texte comme si c'était le dernier, non pas parce que je pensais que j'allais mourir ou que la fin du monde approchait, bien sûr, mais dans le sens où je mettais toute l'énergie de la journée dans le texte – ; ne pas garder des munitions pour le jour suivant : c'est maintenant ou jamais.
Et le lendemain je me réveillais et j'adoptais la même attitude : c'est maintenant ou jamais.

01/2022

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Littérature étrangère

Journal de la chute

Journal de la chute revisite jusqu'à l'obsession trois catastrophes - trois chutes - qui traversent la quête d'identité du narrateur, un jeune quadra brésilien mal dans sa peau. Celle du grand-père suicidaire, d'abord, survivant d'Auschwitz exilé au Brésil qui taira, même dans le secret de son journal, l'atrocité des camps. Celle de Joào ensuite, un jeune goy victime des brimades constantes de ses camarades de l'école juive de Porto Alegre où est inscrit le narrateur. Et enfin la plongée dans l'alcool et la dépression de l'auteur fictif du terrible journal intime que nous tenons entre nos mains. Avec une violence et une force incroyables, ce " je " fouille les éléments clés de son passé, les interroge à travers les faits, le temps, les générations, les triture sans relâche jusqu'à ce qu'ils livrent leur secret et lui permettent, peut-être, d'enfin reprendre pied. Epoustouflant de précision littéraire, de minimalisme et de puissance émotionnelle, ce bouleversant roman de Michel Laub interroge nos destins et notre histoire jusqu'au vertige.

09/2014

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Littérature française

Journal de Baden

La parution de L'Aile pourpre en 2004 a révélé l'oeuvre littéraire de Nicolas Dieterlé, dont la reconnaissance posthume n'a cessé de s'étendre depuis lors. Deux volumes ont suivi : Ici pépie le coeur de l'oiseau-mouche, en 2008, et Afrique et autres récits, en 2013, marqués par un même regard tout à la fois joyeux et voilé d'une étrange mélancolie. " Notre joie la plus pure, écrit Dieterlé dans ce Journal de Baden, est dans l'oubli et la transparence. Toutes les autres joies sont des joies mélangées. " Dans la contemplation d'un oiseau ou d'un arbre, c'est une lumière qui nous saisit ; ou, dans un rêve, telle révélation qui s'impose à nous ; ou, dans la rencontre, ces instants où l'amour nous ouvre à une éternité... Récits, souvenirs, promenades, méditations, sans relâche Dieterlé interroge le présent et tente d'en recueillir la voix. Cinq mouvements constituent cet ensemble : le " Journal de Baden ", écrit dans cette Forêt-Noire si chère aux grands Romantiques allemands que Dieterlé aimait tant, " Mélancolie ", " Parmi les bris de la matière ", " 30 fragments " et " Les oiseaux ". " Nicolas Dieterlé est, tout ensemble, écrit dans sa préface Yves Leclair, l'enfant inconsolable d'une terre africaine, exotique, puissante, sensuelle et colorée, une sorte d'acrobate de la joie divine à la manière d'un Chagall et, tout autant, le fils prodigue du plus alchimiste des poètes romantiques allemands, ce Novalis dont il avait déjà rédigé le synopsis d'un essai à venir quand la maladie dépressive l'assiégea et lui fit mettre une fin aussi cruelle que soudaine à sa quête inachevable. "

01/2021

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Littérature française (poches)

Journal de Suzanne

Elles avaient bien du charme, ces " amies d'Héloïse " qui valurent à Hélène de Monferrand le prix Goncourt du Premier Roman. Dans les lettres qu'elles s'écrivaient, toute leur vie passait. Et leur époque. Leurs amours " différentes " - dont elles parlaient sans baisser la voix ni les yeux - n'étaient plus avec elles un défi, une étrangeté, une anomalie, un cas, elles étaient l'amour même. L'amour, cette évidence. L'une d'elles, Suzanne, se donnait la mort au milieu du roman. C'est à elle que la romancière donne ici la parole. Du jour où elle se sait condamnée, Suzanne décide de tenir son journal et de rédiger ses souvenirs : pour Héloïse, la femme qu'elle a probablement le plus aimée, et pour elle-même. Avec une rare lucidité et sans complaisance, elle déroule le film d'une existence pendant laquelle elle a connu le désespoir, frôlé la mort, mais aussi donné et reçu beaucoup d'amour, passionnément aimé la vie et les plaisirs des sens.

04/2008

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Littérature étrangère

Journal de Dracula

Le premier exploit de ce roman est de démolir le cliché du "vampire" auquel le roman mythique de Bram Stoker réduisit le bien réel Vlad III, dit l'Empaleur. Mincu rétablit un portrait du prince de Valachie tel qu'il fut, et tel qu'il aurait pu s'imaginer : le guerrier hors pair, l'unique terreur de Mehmed II le Conquérant, l'érudit, l'ami et l'égal de l'élite néoplatonicienne. Mais aussi un surhomme à l'ego démesuré, victime et bourreau, forgeant sa propre légende du fond de la geôle de Visegrád où il croupit par la traîtrise de ses royaux "amis". A une époque où la cruauté était la règle, la cabale orchestrée contre lui est un comble d'hypocrisie. Sa réaction sera de combattre le feu par le feu. "Je vais tous les aider dans cette campagne orchestrée contre moi. J'inventerai des histoires truffées d'exactions abominables et j'alimenterai copieusement le fardeau de mensonges dont on m'accable. je serai moi-même l'inventeur des faits les plus monstrueux que la rumeur m'attribuera". Encerclé par des centaines de rats, plongé dans une perpétuelle obscurité, Vlad peu à peu perd la notion du temps et jusqu'à la conscience précise de sons propre corps. Sa confession apparaît comme un poignant entrelacement du rêve et du vécu, où l'écriture finit par s'imposer comme plus énergique et plus vraie que la réalité même. Trouvaille originale, Mincu nous dépeint un Dracula déjà conscient de sa propre légende noire et tient le lecteur en haleine d'un bout à l'autre du roman.

04/2018

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Littérature française

Journal de Belfort

Dès la parution de son Oeuvre poétique en 2000, Béatrice Douvre (22 avril 1967 —19 juillet 1994), qui n'aura publié de son vivant que quelques dizaines de textes dans des revues, a été reconnue comme l'une des personnalités marquantes de sa génération. Ses poèmes sont hantés par le mal dont elle souffrait, l'anorexie, contre lequel elle ne cessa de lutter jusqu'à sa mort, à vingt-sept ans. Durant les six derniers mois de sa vie, Béatrice Douvre concentra l'expérience de sa vie et de son écriture — les deux étant indissociables chez elle — dans un cahier que nous publions aujourd'hui. "Le manuscrit m'obsède, j'y ai mis mon amour, ma vérité, mon vertige", note-t-elle dans ce Journal de Belfort qui est d'abord l'évocation d'une liaison douloureuse, mais devient vite un champ d'exploration de toutes les formes s'offrant à l'écrivain, qui savait sa vie menacée. L'écriture quotidienne ne cesse de s'enrichir, jusqu'aux pages de la section intitulée Passante du péril, où l'expérience de l'anorexie et de l'hôpital psychiatrique se trouve décrite avec un réalisme saisissant. Les quatre sections de ce livre, qui s'achève par les tout derniers poèmes qu'ait écrits l'auteur, renouvellent la forme du journal intime et créent un univers lyrique d'une intensité inoubliable. Il y avait chez Béatrice Douvre une pureté que rien ne pouvait atteindre, et qui triomphe ici des expériences qui l'ont parfois conduite au paroxysme de la souffrance. Un livre aussi beau que troublant.

09/2019

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Littérature française

Journal de debord

Victorugo n'est pas un type bien. Il est en prison. Depuis qu'il ne travaille plus aux ateliers, il s'est mis à écrire. Jusqu'alors, il était écrivain public de la coursive. Le voilà romancier. Ses presque-amis, ses amours rêvés, son portable bien planqué, ses emmerdes. Victorugo fomente un projet idéal, une grande utopie en construction, la ferme-prison. Il tient son journal de bord. Seulement, il y a Catchy, une brute de surveillant, Bastignac, cet enfoiré de codétenu et les événements contraires. Le temps du journal de débord.

12/2022

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Histoire internationale

Journal de Spandau

Architecte, ministre de l'Armement du Reich et confident d'Hitler, Albert Speer est jugé avec les autres dignitaires nazis lors du procès de Nuremberg en 1946. Seul à plaider coupable, il est condamné à vingt ans de prison et incarcéré dans l'immense forteresse de Spandau, où Français, Britanniques, Américains et Russes surveillent à tour de rôle sept détenus - dont Rudolf Hess, l'ancien dauphin d'Hitler. Durant ses décennies d'incarcération, Albert Speer rédige sur papier hygiénique des milliers de feuillets de souvenirs et d'observations, à l'insu de ses gardiens ou avec leur complicité. Dans ce journal de détention, publié après sa libération, il évoque pêle-mêle ses entretiens avec Hitler, sa méthode de survie en milieu carcéral et sa perception des débuts de la guerre froide. Jour après jour, il se met en scène comme un homme simple, raisonnable et modeste, qui se penche avec lucidité sur ses aveuglements de jeunesse. Le lecteur - seul juge de la sincérité de son repentir -, en émergeant de ce document historique exceptionnel, sera sans doute surpris et décontenancé d'avoir pénétré aussi loin dans l'univers de ce haut responsable d'un des régimes les plus criminels du XXe siècle.

03/2018

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Philosophie

Journal de Californie

Journal de Californie Invité fin 1969 au Salk Institute for Biological Studies à San Diego, E. Morin plonge dans la Californie, " terre en transes ", " tête chercheuse du vaisseau spatial terre ". L'originalité de ce journal est dans le tourbillon qui active et fait communiquer, à un pôle la Californie et les Etats-Unis à un moment crucial de leur histoire, à un autre pôle le destin singulier de l'auteur, à un troisième pôle les problèmes fondamentaux de la connaissance de l'homme et de la vie. C'est ce mouvement même qui constitue le Journal de Californie.

10/1983

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Littérature française

Journal de pandémie

Tout, dans ces lettres, me paraissait contraire aux Lettres persanes de Montesquieu. Là, tout était fondé sur la surprise et sur la déroute, sur l'étonnement et sur la désorientation ; ici, au contraire, la proximité, l'identification des lieux, des places, des gens, des gestes me confortaient. Lettres d'appartenance à un espace et à une culture. C'est pourquoi elles m'ont consolé dans des circonstances induisant le risque d'éloignement... George Banu, théâtrologue, Professeur émérite, Université Sorbonne Nouvelle. Il y a beaucoup de Voltaire dans ce livre, et du Diderot, donc des Lumières. D'ailleurs, l'écrivain prononce ce mot à propos de sa rencontre avec Gérard Depardieu : " ...une montagne de talent et de culture, un homme qui semble venir d'une époque illusoire des Lumières, avec un humour sain et avec une chaleur de l'âme inimaginable. " Ce portait chaleureux, je l'adresse sans hésiter à Octavian Hoandra ? ! Jean-Pierre Bonnel, écrivain, critique d'art

08/2021

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Histoire internationale

Journal de Maïdan

KourkovResistance - Andreï Kourkov, l'auteur du célèbre Pingouin, a mis entre parenthèses son prochain roman depuis le 21 novembre 2013. Chaque jour ou presque, il s'est rendu sur le Maïdan de Kiev occupé par les manifestants. Son journal, établi à partir de notes prises sur le vif, raconte un quotidien en temps de révolution et livre un regard à la fois politique et intime, décalé et émouvant, sur les événements qui secouent son pays. " J'habite à cinq cents mètres du Maïdan. Depuis mon balcon, on aperçoit les bulbes du clocher de la cathédrale Sainte-Sophie. Quand des amis viennent chez moi, je leur montre ces bulbes dorés - presque un emblème de l'antique cité de Kiev. Mais ces derniers mois, mes amis d'autres villes et d'autres pays ne viennent plus ici. Et du haut de mon balcon, je regarde souvent la fumée qui s'élève au-dessus du centre de la ville. Cette fumée noire, épaisse, celle des barricades en feu, est devenue le nouvel emblème non seulement de Kiev, mais de l'Ukraine tout entière. " A. K.

05/2014

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Littérature française

Journal de conchyliologie

Journal de conchyliologie Date de l'édition originale : 1853 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2023

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Asie du sud-est

Journal de prison

Il mérite d'être appelé le "Nelson Mandela bengali". Sheikh Mujibur Rahman fut emprisonné pendant dix ans de sa vie pour avoir rêvé d'un Bengale libre où l'identité culturelle bengalie serait plus importante que l'identité religieuse musulmane majoritaire. Il était entré en politique dans les dernières années de la lutte des Indiens pour s'affranchir du joug britannique. Issu d'une famille musulmane de la classe moyenne rurale du Bengale, il fut d'abord enthousiasmé par la création du Pakistan, un Etat séparé qui serait le refuge des musulmans de l'Inde libérée des Anglais. Mais il devait déchanter dés le lendemain de la création du nouvel Etat, le 14 aoùt 1947. L'imposition de l'ourdou comme langue officielle unique du Pakistan, alors que le Pakistan-Oriental d'expression bengalie représentait les deux tiers de la population totale du pays, constitua le premier acte d'une longue série d'agressions contre le peuple bengali. Dès lors, Sheikh Mujibur Rahman, avec son parti, la Ligue Awami, allait vouer sa vie k la cause d'un nationalisme bengali, d'abord linguistique et culturel, puis politique, administratif et économique. Ce long combat fut aussi un combat pour la démocratie, contre la dictature du général Ayub Khan, qui abattit sa répression sur le pays k partir de 1958. Son rôle de dirigeant de ce mouvement légaliste et non-violent devait valoir k Sheikh Mujibur Rahman le titre populaire de "Bangabandhu", l'"Ami du Bengale". Mais l'intransigeance des militaires et de la classe politique de la partie occidentale du pays, face à la victoire des partisans de Sheikh Mujibur Rahman dans les urnes, devait conduire à la sécession de la partie orientale du pays, en 1971, suivie d'une guerre pour la libération du Bengale. La victoire, favorisée par l'intervention militaire indienne en décembre 1971, aboutit à la naissance d'un nouveau pays sur la carte du monde : le Bangladesh. Sheikh Mujibur Rahman en fut le premier dirigeant, avant d'être assassiné lors d'un coup d'Etat, le 15 août 1975.

06/2021

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Littérature française

Journal de route

Un journal retrouvé dans les affaires de notre père et grand-père quand il nous a quittés. Il ne nous en avait jamais parlé. Il nous parlait en revanche de ses vieux copains Nono et Dédé retrouvés à l'occasion du trentième anniversaire de la 9e DIC. Et on avait bien senti que le guerre d'Indochine avait laissé une trace indélébile, le "mal jaune" l'avait à jamais envahi. Cet ouvrage est la retranscription exacte de son journal de route agrémenté de poèmes et de quelques souvenirs retrouvés.

11/2017

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Histoire de France

Journal de Cléry

Jean-Baptiste Cléry était le valet de Louis XVI. Son célèbre journal retrace "de l'intérieur" le récit des événements survenus au Temple, et se veut un complément utile pour ceux qui cherchent des éclaircissements historiques à diverses zones d'ombre entourant encore la captivité de la famille royale. Après la mort du roi, le journal de Cléry connait un grand succès et comporte pour la seule année 1798 sept éditions en français. Afin de discréditer ces mémoires, le Directoire fit publier une fausse édition intitulée "Mémoires de Monsieur de Cléry sur la détention de Louis XVI". Dès que Cléry en eut connaissance, il porta plainte en juillet 1801 et signa une tribune dénonçant la manoeuvre dans le journal Le Spectateur du Nord. Après la mort de Cléry, un de ses frères, Pierre-Louis Hanet, publie à Paris en 1825 des Mémoires où il s'efforce de justifier ses actions au service de la Première République, et tente de montrer que Cléry resta fidèle à la royauté. Jean-Baptiste Cant Hanet, dit Cléry (1759-1809), est le dernier valet de Louis XVI à la prison du Temple. Après la mort du roi, sans ressources, il trouve un emploi dans les bureaux des subsistances de la ville de Paris, puis il quitte la France et rejoint Madame Royale en Autriche où il entreprend la rédaction de son Journal. Il tente de publier son Journal à Vienne, mais n'en obtient pas l'autorisation et le fait imprimer à Londres, en 1798. Le livre connait un grand succès et comporte pour la seule année 1798 sept éditions londoniennes en français. Autorisé à rentrer en France, il n'y revient qu'en 1803. Napoléon Bonaparte, qui cherche à s'attacher d'anciens serviteurs de la Couronne, lui fait proposer le poste de premier chambellan de Joséphine de Beauharnais, mais Cléry refuse et s'exile à nouveau. Il rejoint Marie-Thérèse de France, à Varsovie puis à Vienne où il meurt en 1809. Réédition 2020 en hommage à l'Ami des Livres, bouquiniste en exercice depuis près de soixante ans au 13 Rue des Lois, à Toulouse.

09/2020

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Récits de voyage

Journal de Bolivie

LE DERNIER JOURNAL DU CHE AVANT SON EXECUTION L'histoire de ce journal est en lui-même une saga politico-littéraire. Découvert dans le sac du Che lors de sa capture dans les montagnes de Bolivie, il a été saisi par l'armée et des copies ont été envoyées à Washington. Une version truquée a été publiée par la CIA pour justifier l'arrestation d'activistes en Amérique Latine et discréditer le Che et la révolution cubaine. Pour rétablir la vérité, Fidel Castro a écrit en 1968 "Une introduction nécessaire" , présente dans cet ouvrage. Le Journal de Bolivie relate onze mois d'une lente progression à travers un environnement hostile, entre embuscades tendues à l'armée bolivienne et mort des compagnons, la solitude d'un groupe traqué et coupé des autres guérilleros. La dernière entrée du journal décrit le jour précédant la capture du Che, peu avant son exécution.

12/2022

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Littérature française

Journal de bord

L'enfer, c'est les autres. Surtout si on est d'un naturel angoissé, irascible, rancunier, couard. Pour survivre parmi ses congénères, une seule issue possible : la méchanceté, la mauvaise foi et pourquoi pas la violence ? Il importe surtout de rester droit dans ses bottes. Etre un homme en somme. Où l'on retrouve l'humour féroce et l'irrésistible auto-dérision de Marc Villard.

03/2015

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Littérature étrangère

Journal de galère

Bien avant la consécration de son travail par le prix Nobel de littérature en 2002, lmre Kertész a noté - sur une période de trente ans - observations, pensées philosophiques et aphorismes qui l'accompagnaient lors de l'écriture de ses premières oeuvres. A travers un dialogue avec Nietzsche, Freud, Camus, Adorno, Musil, Beckett, Kafka, et bien d'autres encore, Kertész nous fait partager la genèse lente et douloureuse de ses plus grands textes, litre sans destin et Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas. Au centre, bien sûr, comme le noyau noir de son existence, l'holocauste. Mais sa pensée, sa recherche existentielle concernent, plus largement, la question du totalitarisme, le caractère de la modernité, ainsi que son concept de la liberté. Carnet de bord d'un grand écrivain, ce journal de galère donne les clés d'une oeuvre immense.

10/2010

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Histoire internationale

Journal de déportation

Septembre 1915, Istanbul. Un soir, on frappe à la porte : " Yervant Odian est-il là ? ". Dès lors, l'implacable organisation génocidaire turque va l'entraîner sur les routes et dans les sinistres camps du désert syrien. Au sein des colonnes de déportés, il rejoint le destin de ses compatriotes arméniens, bien que se considérant presque comme un " privilégié ", en raison de son statut d'écrivain reconnu. Immergé dans un quotidien de tortures, glacé d'horreur devant les situations d'humiliation, les impitoyables persécutions que subissent les déportés et, pour finir, les exécutions et l'extermination, un rare instinct de survie préserve Yervant Odian. L'écrivain satirique et journaliste, survivant à ces " années maudites ", ce cauchemar, revient à Istanbul en 1918 au terme d'un long voyage en enfer et retrouve sa table de rédacteur. Aussitôt, il s'attache à consigner ses souvenirs témoignant ainsi au nom de tous ces anonymes disparus, et il sera l'un des rares écrivains arméniens à s'y consacrer au lendemain du génocide. De ce travail de mémoire résulte un récit à la fois distancié, précis et dépouillé, pour surtout " être fidèle à la réalité, n'altérer en rien les faits, n'en exagérer aucun ". Une forme de " poétique de la simplicité ".

02/2010

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Poches Littérature internation

Journal de guerre

Son Journal de guerre, paru en 1924, participe de l'irrésistible besoin de Carrossa de témoigner. Il consigne, d'octobre à décembre 1916, parfois heure par heure, l'expérience de l'auteur, alors médecin dans l'armée allemande, parti de la baie de Somme pour rejoindre le front roumain avec son régiment. Aux soldats fantômes, aux chairs à canon anonymes, Carossa rend leur humanité. D'une sobriété impressionnante, il sait arracher à l'horreur la beauté d'un geste, l'éclair d'un visage, la couleur d'un ciel. La découverte dans la cave d'un cantonnement d'un « véritable filon de fromages de Hollande », l'espoir des mères accueillant les soldats à l'entrée des villages, les loups hurlant dans les montagnes roumaines, le soldat ressuscitant dans ses excréments auquel son frère montre la croix qu'il lui avait taillée pour sa sépulture, prennent ici toute leur dimension de morceaux de bravoure.« Ces heures angoissantes où la vie et la mort s'unissent étroitement, cela raffermit et rend plus lumineux l'être de chacun et, comme une mauvaise cloche trempée dans un acide pur rend le son d'une cloche d'argent, ainsi chacun se met à parler sa propre parole. »

03/2014

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Littérature française

Journal de bord

Dans ce deuxième roman Journal de bord, qui prolonge J'ai insulté les Gloires, Michel Magnol, placé au croisement de la foi et de la transgression, nous donne à entendre ses voix intérieures. Les rencontres de l'artiste avec anges et démons tracent une histoire, celle peut-être de son alter ego - Je, les autres - dans un miroir, un monde dantesque. Au lecteur de suivre les arabesques du parcours, de rebondir de mur en mur.

06/2012

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Poésie

Journal de bord

Un journal de bord retrace, après coup, un chemin parcouru rythmé d'étapes et de haltes. La particularité de celui de Georges Séféris est qu'il est formé de poèmes. Ces recueils sont la marque et le témoignage d'un itinéraire géographique (en sa qualité de diplomate, Georges Séféris se déplaça beaucoup en Europe), historique, le présent de la Grèce reflète celle de l'Antiquité, mais aussi intérieur et existentiel. Il est tout à la fois un voyage à travers le monde et celui à travers la langue. Journal de Bord I, II, IIIregroupe trois recueils qui marquent autant d'étapes dans la production poétique de leur auteur. Le premier, écrit entre 1937 et 1940, le deuxième, entre 1941 et 1944, et le troisième, entre 1953 et 1955, couvrent une période trouble qui va des prémices de la Seconde Guerre mondiale au prélude du drame chypriote. La traduction que propose Vincent Barras tente au plus près de maintenir les spécificités de la langue grecque : rythme sobre et sévère. Poésie consciente et pessimiste, comme sur le retour, elle se refuse à s'abîmer dans les excès du lyrisme. Ses poèmes, déployant plus un monde sonore que musical, parlent plus qu'ils ne chantent. Ou alors ils psalmodient. Yves Bonnefoy, dansLe nom du roi d'Asiné, parle de Georges Séféris en ces termes : "L'auteur du Journal de bordn'est pas de ceux qui plantent sur les tours d'un lyrisme facile les oriflammes de l'éros, pratiqué de façon directe ou détournée mais toujours dans la solitude du moi, supposée rendue légitime par la beauté des paroles. Ses poèmes sont un échange conduit avec quelques proches ou proposé à d'autres personnes pouvant ainsi devenir des proches, dans une relation qui aide à leur liberté. Séféris a tôt et profondément compris que le devenir de l'esprit passait par l'évolution, la révolution, du rapport du moi et de l'autre ; et que cette recherche avait une de ses voies dans la création poétique".

09/2011

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Littérature française (poches)

Journal de voyage

De septembre 1580 à novembre 1581, Montaigne voyage en Europe : Allemagne, Suisse, Italie. Pour soigner sa gravelle aux eaux de Lucques, oublier " les épines domestiques ", " les devoirs de l'amitié maritale " ou cette " mélancolie " qui lui est " mort et chagrin ".Mais surtout pour découvrir autrui dans sa différence et sa diversité : ce qu'on mange ne l'intéresse pas moins que ce que l'on pense, et à Rome il est aussi diligent à écouter la conversation des " femmes publiques " qu'à " ouïr des disputes de théologie " ou visiter les antiquités des vignes cardinalices. " Les rois de Perse, dit-il, qui s'obligeaient de ne boire jamais autre eau que celle du fleuve de Choaspès, renonçaient par sottise à leur droit d'usage en toutes les autres eaux, et asséchaient pour leur regard tout le reste du monde ".

08/1993

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Philosophie

Journal de Moscou

Benjamin relate ici son séjour à Moscou du 6 décembre 1926 à la fin janvier 1927. C'est le document le plus personnel, impitoyablement sincère, sur une tranche importante de sa vie. Au coeur de ce Journal se trouve la relation infiniment problématique avec Asja Lacis, une révolutionnaire russe qui contribue à orienter la vie de Benjamin dans les années vingt.

03/1983

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Littérature française

Journal de Bérénice

Courte fiction sous forme diaristique, ce Journal de Bérénice, évidemment apocryphe, donne alterna-tivement la parole à Bérénice elle-même et au lecteur moderne : une réflexion née de la relecture de la tragédie de Racine, et des échos qu'elle a suscités jusqu'à nos jours. Peut-on encore lire Bérénice ? Et surtout, ne devrait-on pas relire Bérénice ? La modernité de ce tragique sans tragique, sans morts ni sang, mais bien plus tragique encore, fondé sur la séparation, est au coeur de ce texte où le blanc de la page et la volontaire discontinuité des dates font sens.

04/2018