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Le bal de la rue de Lappe

Extraits

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Islam

Al-Bukhari. Le gardien de la Sunna prophétique

Figure incontournable de l'islam, al-Bukha?ri? est l'un des plus célèbres the?ologiens et traditionnistes du 3e sie?cle he?girien. Connu pour son travail dans le domaine du H?adi?th et la publication du S?ah?i?h?, le recueil le plus fameux du genre, al-Bukha?ri? n'a pourtant, en langue française, aucune véritable biographie digne de son nom. Son parcours, de ses études à sa renommée, ainsi que sa personnalité, son contexte, et le reste de son oeuvre, sont restés le plus souvent méconnus du grand public. Et pourtant ! Découvrez ainsi, au travers de notre ouvrage, la vie d'un érudit qui n'a pas manqué d'être exceptionnelle.

06/2022

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Poésie

Poésie de la rue

Brigitte est une femme qui s'est un jour retrouvée par les coups du sort à la rue avec pour abri le toit d'une gare. C'est aux yeux des gens une SDF mais c'est avant tout une écrivaine, une artiste dans l'âme. Elle n'a pas eu la vie facile et ne l'a toujours pas actuellement, mais elle fait de son vécu une force et ne s'en plaint pas. Pour survivre à la rue et ses méfaits elle écrit assise sur le sol froid de cette gare, elle se livre dans ses carnets. Un jour elle rencontre Zakaria, un jeune homme passionné de littérature. Celui-ci s'intéresse aux écrits et à la situation de Brigitte. Il découvre alors la plume de Brigitte et c'est ainsi que commence une incroyable histoire. Zakaria se démène pour trouver un éditeur qui voudrait publier les magnifiques textes de Brigitte. Après avoir contacté pléthore de maisons d'éditions, l'une d'entre elles va enfin accepter. L'histoire de cette artiste dont le tracé de vie a été bouleversé par cet étudiant ambitieux est en train de s'écrire, ne la manquez pas.

09/2019

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Littérature étrangère

Rue de la Sardine

La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c'est un poème ; c'est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c'est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c'est de la nostalgie, c'est du rêve. La Rue de la Sardine, c'est le chaos. Chaos de fer, d'étain, de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d'herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d'épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu'un : " ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains " ; ce quelqu'un eût-il regardé par l'autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : " ce sont des saints, des anges et des martyrs ", et ce serait revenu au même.

01/1948

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Littérature française

Rue de la liberté

La petite Suzanne est pauvre et n'a vraiment pas grand-chose, une toute petite maison, le camp de déportation allemand de Drancy juste à côté de chez elle, le cimetière où sa petite sœur vient d'être enterrée et où elle joue tous les après-midi, mais elle a son père, sa mère, ses autres sœurs, son petit frère, son chien, ses voisins, sa Tata Mado et sa Maman Rachel dans le Berry, sa bande de copains et copines et les trottoirs de sa rue qui s'appelle Rue de la Liberté... Et les gens, et la vie qui est là, qu'il faut vivre, heureuse. À tout prix. Pour, un jour, s'envoler ailleurs. Absolument. Entre la grisaille quotidienne et les rares moments de joie, les drames et les séismes qui secouent toute une famille, J. Manguso déroule et décrit l'enfance et l'adolescence de Suzanne au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Et, en dépit des tragédies et de la modestie sociale, c'est une œuvre dénuée de pathos que signe le romancier qui met en scène une fillette puis une jeune femme aux sentiments étonnamment purs, attachante d'humilité et de force contenue, et qui, avec le temps qui passe et nous modèle tous, gagne en épanouissement et confiance.

10/2015

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Sociologie

Enfants de la Rue

La situation des enfants de rue, est avant tout une honte. A l'allure exponentielle où elle se répand, elle dévient humiliante. C'est pourquoi, elle doit éveiller les esprits des parents et des responsables, afin d'y remédier. Cette question se pose, donc la résolution est urgente. Il s'agit de se mettre au travail, une fois le que le noeud du problème est décelé. Sur ce sujet point n'est besoin encore des discours, mais des actions. L'auteur en écrivant ce livre, présente une esquisse des faits caractérisant les enfants des rues et différentes pistes capables d'aider à pouvoir trouver une solution. C'est un travail collectif qui mérite l'implication de tout le monde, afin d'éradiquer ce phénomène tout en produisant des résultats durables.

07/2015

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Littérature française

Rue de la République

Entre Saône et Rhône, les grandes familles de 1900 appartiennent à un monde révolu, gouverné par les évêques et soumis à un Dieu courroucé. Joannès Roch-Dugas, fils cadet d'une dynastie soyeuse, aura-t-il le courage de rompre avec les siens ? Le Lyon de Marianne Gendilloux, enfant d'un portefaix et d'une cuisinière, est d'une autre planète... Pourtant, cette lavandière, fille de rien, amadoue ce fils de la haute, échotier et anarchiste. Et la ville de toutes les révoltes les emporte dans son tourbillon. Mais comment aimer, survivre et se construire un destin alors que la troupe tient la rue et que menace la guerre ? Anne Vallaeys et Alain Dugrand nous entraînent dans le monde prodigieux de l'orée du XXe siècle. Ils nous installent dans les bouchons lyonnais, sous la treille des guinguettes de Saône. Avec eux, le lecteur goûte des bonheurs de gourmandise, le plus aimable des péchés. Vins d'Ampuis et de Bourgogne, fonds d'artichauts sautés au foie gras, grenouilles dorées à la forézienne... Délire de soie délicate, damas, étoffes fraîches tissées par les canuts de la Croix-Rousse. Napo Gendilloux, fils du Rhône, le peintre Gasquet et sa bohème artiste, Jacquet, fameux " renifleur " de grands crus, Jeanne, magicienne des casseroles, Marcel, commis de cuisine et déserteur... côtoient, pour notre plaisir, les héros de ces temps troublés, Octave Mirbeau, Emile Zola, Jules Bonnot, le bandit anarchiste, le " petit père " Combes, les moustachus de la République, Edouard Herriot, Jaurès et le jeune Léon Blum, prophète du féminisme et du mariage à l'essai. Mais, à l'est, déjà, une guerre dans les Balkans...

05/1999

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XIXe siècle

Rue de la Moïka

Une petite réussite, avec des personnages attachants et courageux, un bon dosage d'humour, d'histoire et de suspense ! Le 13 mars 1881, le tsar de Russie Alexandre II est assassiné. Trois ans plus tard, un nouvel attentat se prépare dans l'ombre contre son fils Alexandre III. Dans le climat de tensions internationales qui règne à Saint-Pétersbourg, tandis que tout accuse la Grande-Bretagne, un officier et sa courageuse épouse refusent de croire aux apparences. Chacun de leur côté, ils vont mener une enquête qui les conduira rue de la Moïka... Un roman haletant dans les fastes de la Russie à la fin du XIXe siècle, des héros attachants et perspicaces, de l'humour et du suspense. A partir de 10 ans. A propos de Pauline de Vencay : Issue d'une formation littéraire, Pauline de Vençay est diplômée d'une licence d'Histoire et d'un master axé sur le patrimoine culturel. Après avoir évoqué la Vendée dans son roman Royalement vôtre , elle nous emmène ici dans la Russie des Tsars.

06/2021

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Littérature française

Rue de la Fontaine

Rue de la Fontaine, de la fin des années quarante à nos jours, une famille et trois générations de femmes : mammgozh, la grand-mère, sa fille Denise, et Rose sa petite-fille. Rose raconte le bonheur de son enfance en Bretagne, sur les grèves du Trégor, entre mamm-gozh et tadkozh. Puis Denise, sa mère, partie à Paris, décide de la reprendre avec elle, et commencent alors des années de calvaire. Dévastée par une trahison amoureuse, Denise a perdu pied, et Rose se retrouve face à une femme violente. Mais les souffrances endurées ne viendront pas à bout de son désir d'une autre vie... Inspiré d'une histoire vraie et de divers témoignages, le récit bouleversant d'un chemin de renaissance sur fond de renouveau culturel.

11/2009

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Livres animés (3 ans et +)

Rue de la peur

Des illustrations remplis de détails cocasses. Une approche de la différence et de la tolérance. Un livre se déplie et forme une rue habitée par un cerbère, un cyclope, un minotaure, un yéti..., que l'on découvre en ouvrant la porte de leur maison. Une petite fille, pas très rassurée, doit longer ces habitations pour rejoindre son grand-père. Celui-ci lui apprend que derrière chaque monstre se cache une âme sensible.

12/2021

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Littérature française

La rue de paris

Vous souvenez-vous de la chanson française gagnante de l'Eurovision en 1971 ? Séverine chantait cette ballade : "On a tous un banc, un arbre, une rue Où on a bercé nos rêves On a tous un banc, un arbre, une rue Une enfance trop brève. . ". En effet, j'ai bien eu ce banc recouvert d'un simili cuir brun, celui de ma grand-mère où elle brodait et tricotait, cet arbre, un plantureux cerisier en fleurs, cette rue, celle de Paris où se trouve la maison que je vous emmène visiter avec toute une pléiade d'objets, toutes ces choses, toutes ces phrases accumulées à la manière de Georges Pérec, comme une suite de fragments épars, d'éclats lumineux de mon enfance lorraine.

12/2021

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Poches Littérature internation

Rue de la Tranchée

Matti le Finlandais est rescapé d'une guerre bien particulière. Celle de l'émancipation des femmes. Il avait pourtant tout fait pour éviter la débâcle. Mari aimant, père idéal, quotidiennement dévoué au bien-être de son si doux foyer. Du moins, le croyait-il. Car, du jour au lendemain, le voilà abandonné par sa femme et par sa fille. La raison officielle ? Une simple gifle. L'officieuse ? Son manque de combativité. Dès lors, il va errer dans les limbes de la solitude avec une seule idée en tête : reconquérir sa famille en lui offrant une jolie maison rouge...

05/2007

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Poches Littérature internation

Rue de la Miséricorde

Une histoire de passion et de mort au cœur de Rio au XIXe siècle. Enfermés dans l'univers clos d'une corvette, Bom-Crioulo, grand noir au physique troublant, et Aleixo, jeune mousse charmeur, courent vers une aventure hors du commun. Ce roman écrit en 1895 surprend par sa modernité. L'exigence naturaliste d'objectivité, d'observation s'accompagne de scènes dramatiques et violentes visant à montrer les inclinations contradictoires qui poussent les hommes à des actes déterminés par l'instinct et les circonstances.

03/2007

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Littérature française

Rue de la gare

"Puis, un jour, apparurent sur des motos des soldats gris qui firent pleurer ma mère. L'un d'eux s'arrêta près de nous, ôta son gant et nous indiqua, avec les doigts de la main, le nombre de "Kinder" qu'il avait laissés dans son pays. Il fit alors vrombir son moteur et s'éloigna en lançant : "Malheur, la guerre ! " Des larmes qui coulaient, des expressions comme "Boches", "Prussiens", "conflagration", lâchées dans la consternation générale, surtout par mon grand-père, atteignaient peu, je dois dire, le petit bonhomme de huit ans à peine que j'étais". Dans les années trente et quarante, Michel n'est qu'un gamin de la Somme essayant de comprendre le monde des grandes personnes. Avec un regard naïf, ou faussement naïf, il raconte ses bonheurs de "gosse des rues" que ses parents, commerçants, préfèrent ne pas avoir dans leurs jambes, sa terreur d'assister aux combats pour la libération du village, la joie indicible de voir surgir dans la rue des tanks anglais, ou encore ses émois d'adolescent lorsque les filles - ce mystère - viendront poser leurs jupes sur les bancs du même collège. Au cinéma "Eden" on découvre la vie, mais dans la rue de la gare, avec les copains, on "fait son cinéma" à partir des petites scènes de la vraie vie.

01/2019

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Littérature française

Rue d'la Dé

"Enfin te voilà ! " Sur le seuil de la maison familiale, ma mère, qui ne l'est pas encore, peut enfin hurler sa colère intégrale : "Dix mois, dix mois que je suis seule, que j'attends chaque jour de tes nouvelles". "Vergongne per té ! (Honte à toi ! )" Comme un anthropologue, je tente de percer le mystère des vestiges de mon enfance et de ma propre histoire. Je fouille dans la crypte des mémoires pour retrouver mon passé dissimulé dans les souvenirs recomposés de mes proches. Comment survivre au sordide ? Que peut-on opposer à la solitude et à la honte, à l'abandon et à la misère ? Ma mère travestissait la réalité pour la rendre acceptable à ses yeux, ou alors aux nôtres. Je ne l'ai jamais bien su... La rue de la Défense à Issy-les-Moulineaux, malgré tous ses défauts, suffisait à résumer ce qu'on entend par "vie de quartier" .

04/2021

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Critique

Rue de la Justice

"Rue de la Justice" , telle fut la dernière adresse d'une de mes arrière-grands-mères, laveuse sur un bateau-lavoir dans une petite ville des bords de Loire. Née en 1863, elle avait un peu plus de vingt ans à la mort de Victor Hugo et toute sa vie conserva sur sa cheminée une gravure des obsèques nationales du poète. Symbole de la confiance des gens d'en bas en la toute jeune république, dont ils attendent justice, progrès, instruction. Revenant sur ma terre d'origine, l'Anjou, j'ai donc tenté de retracer le cadre de leur vie, d'évoquer leur difficile existence de travail, le poids de l'Eglise et des châteaux, leur foi dans le progrès scientifique et technique. Mais aussi de faire entendre, les soutenant, les accompagnant, les voix de Victor Hugo, de Louise Michel, et celles des républicains et républicaines d'une province qui l'était si peu. Avec en fond de décor, un paysage, le bocage de la "Vendée angevine" , la vallée de la Loire, la rumeur et les colères du grand fleuve. Cette confiance en la république pourrait-elle renaître aujourd'hui ? En 2018, il m'a semblé entendre chez les Gilets jaunes quelque chose des très anciennes revendications dont étaient porteurs mes ancêtres, journaliers agricoles, vignerons, artisans, tous ceux que Gracchus Babeuf nommait "les impropriétaires" . Egalité, justice, reconnaissance. Faisant retour vers ce petit peuple disparu avec ses modestes et farouches espoirs, attentive à sa leçon, émue par son courage quotidien, je me disais : ce passé-là a de l'avenir. D. S.

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Littérature française

Rue de la gaité

Rue de la gaité, ce jour-là, en fin d'après-midi... une femme en chemise de nuit s'écroule sur la chaussée. Rien qu'un banal fait-divers. Derrière la chute du corps se dérobe l'effondrement secret de toute une existence. Toute sa vie le personnage a craint de choir et de déchoir, de ne pas sauver ce qu'elle prenait pour une richesse, l'apparence. Dès lors enroulement et déroulement de la trame espace-temps recoupe l'enchaînement des faits, anecdotiques ou plus conséquents qui tissent l'histoire de la famille à laquelle appartient la dame de la rue de la Gaité et donnent du sens aux raisons, à priori non visibles, de s'affaisser dans de telles circonstances. L'ensemble des événements, détails, relevés dans leurs contextes historiques, culturels, sociétaux, personnels, concentrent et consolident le tissu particulier et les ressorts psychologiques de ce récit qui n'a d'autre ambition que de prouver que rien ne commence à partir de chacun mais tient beaucoup à une mémoire profonde, irréfutable, ineffaçable : la mémoire ancestrale. Elle se transmet. Elle façonne le besoin de chacun de retenir quelque chose de ce qu'on lui lègue, et à contrario de chercher ailleurs, de se créer ou de s'inventer un héritage fabuleux, bref, de se fabriquer son roman. On s'émancipe des conformismes, on se libère de quelques principes moraux, on s'échappe par la pensée et l'action des geôles du quotidien.

11/2013

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Romance et érotique LGBT

La bibliothèque de rue

Elliott Thompson était un historien de renommée, jusqu'à ce qu'un scandale lui fasse perdre son emploi, sa dignité et son compagnon. Se réfugiant dans sa ville natale de Californie, où il donne des cours en ligne, Elliott accumule obsessivement des livres tout en se questionnant sur son avenir. Simon Odisho a lui aussi perdu son emploi ; une balle dans le genou lui a valu sa carrière dans les forces de l'ordre. Alors qu'il se rétablit doucement, il se met en quête d'un nouveau métier tout en cherchant le courage de faire son coming out à sa famille. Pour tenter d'organiser son immense collection de livres, Elliott construit une bibliothèque de rue sur sa pelouse. Une initiative qui lui permet de rencontrer le charmant Simon. Mais Elliott refuse de vivre dans le mensonge et pourrait bien renoncer à cet amour naissant pour une perspective de carrière plus florissante. Si les livres ont beaucoup à lui apprendre sur l'histoire passée, ils ne contiennent pas un mot sur un avenir incertain avec Simon.

05/2021

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Littérature française

La rue de Blanche

L'histoire de Blanche est un conte moderne. Celui du monde d'une enfant qui se limite à une rue habitée par une mosaïque de personnages que l'auteure étale comme autant de sentiments que le ferait un peintre avec une palette de couleurs. La description subtile et délicate des femmes de vie dont elle ne précise jamais leur vraie fonction, mais l'évoque tout en subtilité. On pénètre en douceur dans le monde de Blanche qui est à la fois tout en délicatesse et violent. Le monde dur et ingrat de "La rue de Blanche" vu à travers le filtre édulcoré d'une enfant rêveuse. La vie la rattrapera plus tard et la confrontera à la face de la réalité.

01/2022

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Critique

Rue de la Justice

"Rue de la Justice" , telle fut la dernière adresse d'une de mes arrière-grands-mères, laveuse sur un bateau-lavoir dans une petite ville des bords de Loire. Née en 1863, elle avait un peu plus de vingt ans à la mort de Victor Hugo et toute sa vie conserva sur sa cheminée une gravure des obsèques nationales du poète. Symbole de la confiance des gens d'en bas en la toute jeune république, dont ils attendent justice, progrès, instruction. Revenant sur ma terre d'origine, l'Anjou, j'ai donc tenté de retracer le cadre de leur vie, d'évoquer leur difficile existence de travail, le poids de l'Eglise et des châteaux, leur foi dans le progrès scientifique et technique. Mais aussi de faire entendre, les soutenant, les accompagnant, les voix de Victor Hugo, de Louise Michel, et celles des républicains et républicaines d'une province qui l'était si peu. Avec en fond de décor, un paysage, le bocage de la "Vendée angevine" , la vallée de la Loire, la rumeur et les colères du grand fleuve. Cette confiance en la république pourrait-elle renaître aujourd'hui ? En 2018, il m'a semblé entendre chez les Gilets jaunes quelque chose des très anciennes revendications dont étaient porteurs mes ancêtres, journaliers agricoles, vignerons, artisans, tous ceux que Gracchus Babeuf nommait "les impropriétaires" . Egalité, justice, reconnaissance. Faisant retour vers ce petit peuple disparu avec ses modestes et farouches espoirs, attentive à sa leçon, émue par son courage quotidien, je me disais : ce passé-là a de l'avenir. D. S.

03/2024

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Littérature française

De la rue Ramponneau à la rue Michelet

Le 28 mai 1871 la dernière barricade tenue par les Communards rue Ramponneau à Paris est prise par les Versaillais. Un jeune orphelin, Jérémy Bouchard, arrivé incidemment sur les lieux ce jour là est pris à tord pour un combattant de la Commune. Condamné à la déportation, il est envoyé purgé sa peine en Algérie, colonisée depuis peu par la France. Sa peine terminée, il décide de rester dans ce pays pour y faire souche. Chacun de sa descendance, à chaque génération, sera alors confronté, malgré lui, à un épisode dramatique de l'Histoire de France. Basé sur des faits réels, le roman tente d'apporter un témoignage de la vie vécue par nombres de familles françaises venues, volontairement ou non, s'installer en Algérie.

11/2015

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Divers

Les rues de Lyon N° 74 : La rue Mercière. Histoire

L'histoire emblématique d'une rue au cœur de Lyon : la rue Mercière.

02/2021

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Thrillers

Bal de culs-de-jatte à la morgue

Hugo Samson, commissaire de police, est resté plusieurs jours sans donner de nouvelles à son amie légiste, un peu, beaucoup, amoureuse de lui. En son absence, les cadavres ont tendance à s'amonceler à la morgue. Même le procureur Laurier a jugé utile d'y tester la fraîcheur des tiroirs. Mais que fait la loi ? Que fait Hugo ?

10/2022

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Contes et nouvelles

Le Bal de Sceaux (édition de référence)

Emilie de Fontaine est une jeune fille belle et orgueilleuse qui fréquente les bals et les salons. Aristocrate, sa famille désire ardemment qu'elle se marie, mais aucun homme ne semble être à sa hauteur puisqu'elle refuse de se marier avec chacun des prétendants qu'on lui présente. Mais un jour, elle recontre un jeune homme mystérieux lors d'un bal champêtre...

10/2020

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Décoration

Les célébrités de la rue

Les célébrités de la rue prend pour cadre des endroits de la capitale comme le Pont-Neuf ou le Palais-Royal, qui composent de véritables villes en miniature. Des charlatans débitent leurs drogues et leurs lazzi sur des tréteaux dressés en plein vent, devant un public de bourgeois et de seigneurs, de grandes dames et de grisettes, de laquais et d'écoliers, d'oisifs et de mendiants, ou de boutiquiers en goguette. On voit passer aussi, bien sûr, des petits marchands ou des colporteurs, qui formaient déjà l'univers des Cris de la ville. Mais ce nouveau livre s'attache à décrire une faune toute particulière et non moins nombreuse sans doute. Dans cette multitude bigarrée, on trouve aussi bien des batteurs de pavé, des prédicateurs en plein vent, des racoleurs (ces "vendeurs de chair humaine" qui recrutaient pour les armées du roi), que des représentants de la jeunesse dorée ou des viveurs dandys à la Lord Seymour. On côtoie des rimeurs burlesques, des bossus facétieux, des ermites insolents ou d'orgueilleux va-nu-pieds ; on croise de faux égyptologues et des inventeurs de religions, des apôtres de phalanstère et des chiffonniers philosophes ; on aperçoit le neveu de Rameau ou la silhouette de noctambules comme Restif de la Bretonne ; on fait enfin la connaissance de personnages fantasques ou extravagants, voire énigmatiques.

11/1981

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Décoration

Les passagers de la rue

Marchands ambulants, figures du pavé, ténors du commerce à baladeuses, crieurs de plein vent, mendiants à goualante, petits métiers, ils ont fait de la rue à Nantes - comme dans les autres villes - une galerie vivante et animée. La rue les a portés, le temps les a emportés. Poussant la chansonnette au détour du pavé, vendant sardines de coin de rue et rubans à l'air libre, pâtisseries et journaux, collectant les rebuts de la ville... Chiffonniers, rémouleurs, lavandières, musiciens, bateleurs de foire, bonimenteurs en tous genres, ils sont presque tous là, jusqu'aux chanteurs de rue d'aujourd'hui et aux clochards plus ou moins célestes, affublés de légendes urbaines invérifiables et de fantasmes sur d'improbables fortunes cachées. Les auteurs, Jean-Louis Bodinier, Jean Breteau et Nicolas de La Casinière, ont fouillé avec plaisir les archives et les musées, déniché des illustrations rares dans des collections privées, interrogé les témoins pour rendre hommage a la rue et à ses héros, qu'ils soient anonymes ou notoires.

11/1999

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Littérature française

Les plaisirs de la rue

Les quatre mousquetaires de Montmartre. C'est ainsi qu'on appelait la joyeuse bande d'auteurs et d'amis composée de Francis Carco, Pierre Mac Orlan, Roland Dorgelès... et André Warnod. Ecrivain, essayiste, journaliste, illustrateur et critique d'art, ce dernier n'a cherché ni la gloire ni la postérité. Il est pourtant l'auteur d'une oeuvre considérable sur l'art et l'histoire de Paris. Flâneur invétéré, conteur incontournable, il n'a eu de cesse de déambuler dans l'ombre pour livrer les innombrables secrets que recèlent les rues de la Ville-Lumière. Qui se souvient de la fête des fleurs et de la foire à la ferraille ?? De la cavalcade du Rougevin ?? Des bals et des bistrots par milliers ?? Des dessinateurs affabulateurs et des discrets photographes ?? Des chanteuses s'époumonant sur le macadam et des gamins galopant à folle allure ?? Printemps, été, automne, hiver, chaque saison est l'occasion d'infinies rêveries. André Warnod nous rappelle que Paris, avant d'être une fête, était un plaisir.

04/2023

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Policiers

La fureur de la rue

1963, Birmingham, Alabama. Alors que le sergent Ben Wellman est chargé de surveiller Martin Luther King pendant l'un de ses discours dans une église baptiste, il reçoit un appel : une petite fille noire de douze ans a été découverte, violée et assassinée, sur un ancien terrain de sport. Sa hiérarchie le charge du dossier, mais ce n'est pas une priorité pour la police. Wellman se heurte aussi à la communauté noire qui se méfie de lui et n'apprécie guère, en pleines tensions raciales, de voir un Blanc s'immiscer dans ses affaires. Tandis que les manifestations de rue se succèdent, rythmées par les discours de Martin Luther King, Wellman mène une enquête qui l'entraînera au bout de l'enfer où ni les Noirs ni les Blancs n'ont intérêt à ce que le meurtre soit résolu...

11/2019

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Littérature française

La Rue de la Ruche

Un déménagement banal, comme il en existe tant. Et pourtant, dès le départ, le narrateur sent un malaise. L'endroit n'est pas vide. La rue de la Ruche bourdonne dans une vibration magnétique. Peu à peu, elle prend le pouvoir et l'appartement est complice. C'est l'histoire d'une obsession. Cette jeune femme, en face, l'attire et le fascine. Sa présence entêtante s'impose. Il comprend vite qu'il lui faudra aller au bout de son délire. Coincé à sa fenêtre, il se transforme en voyeur...

01/2015

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Lecture 9-12 ans

Le violon de la rue lauriston

Lorsque Parwais apprend qu'il va être expulsé de Belgique, son monde s'effondre. Pour le jeune Afghan, le refus du droit d'asile signifie le retour au pays des talibans, la mort. Alors il fuit, à la recherche de son ancien professeur de violon, amoureux de Vivaldi, devenu chef d'orchestre à Venise. Sur le chemin de l'Italie, il croisera la route de personnages hauts en couleur et attachants. Autant d'amis d'un jour qui l'aideront à leur manière à conquérir ce qu'il y a de plus précieux?: la paix et la liberté.

01/2014

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Littérature française

lE GAMIN DE LA RUE dUTERTRE

Ernée est une petite ville provinciale située à une vingtaine de kilomètres de Fougères. Davantage nourrie des coutumes bretonnes que de celles du Maine, elle s'est développée grâce la puissante industrie de la chaussure à la fin du XIXe siècle. Cette activité a d'ailleurs fini par prospérer démesurément, déborder, au point d'envahir en quelques années la petite cité mayennaise, pour s'y établir en maîtresse des lieux durant une centaine d'années, puis de décliner, avant de disparaître complètement, vers 1980, terrassée par la crise économique. Né aux frontières de la ville et de la campagne, je me suis toujours senti à la fois citadin et proche de la nature. D'un côté, il y avait l'agitation de la cité au moment des sorties d'usine, de l'autre un monde rural, silencieux et secret, ancré dans ses coutumes ancestrales. Deux mondes contradictoires, déséquilibrés, à la fois si proches et si lointains. Une double appartenance que je revendique cependant haut et fort, tant elle m'a apporté de réconfort dans mon enfance et de liberté dans ma vie d'adulte. Il y a deux ou trois ans, m'est venue cette idée étrange d'écrire mes souvenirs, bien que rien ne me paraisse sortir véritablement de l'ordinaire : pas de drame familial à sensation, pas de personnage célèbre à décrire, rien qu'une simple vie de fils d'ouvriers. Un anonyme parmi les anonymes. J'ai donc persisté, avec le regard retrouvé du galopin farceur que j'étais à l'époque, un gamin insouciant, immergé cependant dans un monde ouvrier confronté à de grandes difficultés économiques, elles-mêmes liées aux restrictions de l'immédiat après-guerre. Ce monde aujourd'hui disparu, a été emporté comme un fétu de paille par un modernisme échevelé. J'ai choisi de présenter ces souvenirs comme autant de morceaux de vie picorés au hasard et non pas à la manière d'un roman, comme une suite naturelle et continue.

10/2013