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Le Maroc face aux impérialismes (1415-1956)

Extraits

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Pléiades

JOURNAL. Tome 2, 1926-1950

Le Journal que Gide donna à la Pléiade en 1939 était une oeuvre, composée par lui et qui laissait dans l'ombre près d'un tiers du Journal intégral. La présente édition reproduit cette oeuvre et y ajoute, à leur date, les passages écartés. Ces inédits, aisément repérables, puisqu'imprimés sous une forme distincte, ne sont pas seulement "l'Enfer" du Journal ; certes, ils contiennent de nombreuses pages impudiques ou scabreuses, mais ils abordent tous les sujets, de la littérature à la famille en passant par la morale et la politique. Quant aux textes déjà connus, ils ont été révisés sur les manuscrits. Le second tome propose un texte enrichi de nombreux passages qui avaient déjà paru dans des volumes ou des revues, mais qui étaient absents de l'ancienne édition de la Pléiade. Il contient aussi des inédits, publiés ici dans une disposition permettant de les identifier comme tels.

05/1997

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BD tout public

Uderzo. L'intégrale 1953-1955

En 1953, pour le tout jeune couple que forment Albert et Ada Uderzo, c'est le temps des vaches maigres... mais heureuses ! Albert travaille de cinq heures du matin à minuit : la passion dévorante pour le dessin l'habite depuis toujours. Entre 1953 et 1955, avec, entre autres, Jean-Michel Charlier et René Goscinny, Uderzo produit des planches humoristiques (ou non) par dizaines, et des illustrations époustouflantes de réalisme par centaines. Il dessine la troisième aventure du chevalier Belloy, Le Baron maudit, sur un scénario de Jean-Michel Charlier. Les 4 illustrations quotidiennes publiées dans La Libre Belgique entre 1953 et 1955 restent une parenthèse agréablement surprenante de réalisme dans l'oeuvre d'Uderzo. L'agrandissement de certaines de ces compositions mettent au jour des pépites et révèlent l'oeil cinématographique du dessinateur (plans en plongée, travellings...). Sans compter la diversité des sujets (histoire et actualité), la maîtrise des aplats noirs sur fond blanc... Valérie André, une héroïne de la guerre d'Indochine paraît en 1954 dans Bonnes Soirées, vraisemblablement sur un scénario de Jean-Michel Charlier. Les dessins sont au lavis pour imiter le roman-photo. Avec le troisième épisode des aventures de Jehan Pistolet, le duo Goscinny et Uderzo trouve son rythme de croisière et fonctionne à merveille. Le dessinateur est en phase avec le scénario bourré d'humour : les prémices d'Astérix sont là... En 1954, sur commande de La Libre Belgique, le tandem Goscinny-Uderzo crée Luc Junior, apportant à la BD humoristique un brin de fraîcheur. Une histoire de l'Oncle Paul, Le Fils du tonnelier, sera la seule collaboration d'Uderzo au journal Spirou. Enfin, un autre personnage est créé en 1954 : Bill Blanchart. Le scénario de Goscinny nous entraîne dans une chasse au requin et Uderzo démontre une nouvelle fois son aisance dans le style réaliste. Au fil de ces 424 pages fabuleuses de planches soigneusement restaurées, de dessins inédits, de documents d'archives, de commentaires du maître, le talent d'Uderzo explose, le trait s'affirme et s'affine, les blagues fusent. Bien plus qu'une compilation de séries BD présentées ici dans leur intégralité, cette intégrale est une merveilleuse malle aux trésors à ouvrir d'urgence !

10/2017

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Littérature anglo-saxonne

Livre des esquisses. (1952-1954)

Entre 1952 et 1954, Jack Kerouac sillonne les Etats-Unis, de New York à San Francisco, et s'échappe au Mexique, au Maroc, ou encore à Londres et Paris. Ses notes, prises sur le vif, s'accumulent dans des carnets. La vie quotidienne en Caroline du Nord, le travail du serre-freins dans les dépôts de chemins de fer, les bruits dans les bois, les gens dans la rue, les filles, le vin, l'herbe... Orage approchant, brume grise, herbes folles, hôtels, bars, camions, lumières... Autant d'images et d'impressions qui composent le motif de ce Livre des esquisses.

03/2022

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Guerre d'Indochine

Indochine 1946-1954. Témoignages inédits

Mars 2024 : commémoration des 70 ans de la bataille de Dien-Bien-Phu Nouvelle édition (première parution 2012, épuisée depuis) La guerre d'Indochine est entrée dans l'histoire, alors que les derniers témoins nous quittent peu à peu. A l'initiative de La Sabretache, société d'histoire militaire, quatorze anciens du corps expéditionnaire français en Extrême-Orient racontent leurs souvenirs de soldats. Ils étaient alors jeunes officiers ou sous-officiers. Leur regard de cadres au contact de la troupe s'écarte de l'histoire officielle et des rapports d'état-major. Ils nous font part de leur expérience du combat dans un contexte auquel ils ont dû s'adapter avec leurs hommes, dont ils ont partagé les épreuves. Ils nous donnent aussi les réflexions que leur inspirent ces événements avec le recul du temps. Leurs témoignages inédits sont accompagnés d'une riche iconographie, elle aussi inédite. Ces écrits ont une véritable valeur documentaire. Ils abordent ce qui touche directement les unités, lors de leurs engagements en opérations, avec leurs armements et leurs équipements. Ils évoquent aussi à de nombreuses reprises un aspect mal connu du conflit : ces Vietnamiens qui combattaient aux côtés de l'armée française pour l'indépendance de leur pays.

02/2024

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Histoire internationale

Algérie, la révolution trahie (1954-1958)

Messali Hadj, le président de l'Etoile nord-africaine (1926-1927), puis du Parti du peuple algérien (1937-1946), fonde en Algérie, en 1947, le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). En 1952, Messali, pendant son voyage en Orient, prépare sur le plan politique, diplomatique et militaire la guerre d'indépendance. Il n'est pas suivi parla direction du MTLD d'Algérie qui s'est engagée dans la collaboration avec Jacques Chevallier (promoteur d'une politique néo-coloniale en Algérie). La crise du MTLD éclate. En juillet 1954, le MTLD est refondu au congrès d'Homu qui adopte le programme de Messali et charge le Conseil national de la révolution algérienne (CNRA) d'engager le parti dans la lutte armée. C'est alors que Boudiaf réunit un groupe pour former, avec l'aide de Nasser, le Front de libération nationale (FLN) qui veut fonder l'Algérie sur les principes islamiques. En novembre, le FLN lance une série d'attentats pour devenir l'interlocuteur algérien de la France. Mais Ben Boulatd, chef des Aurès, entre dans la révolution au nom de Messali. Il organise avec Zighout Youcef (chef de la Zone Il — Nord Constantinois — acquise au PPA) l'insurrection du 20 août 1955. Ahane Ramdane regroupe dans le FLN d'Algérie qu'il dirige tous les adversaires de la Constituante. Pour négocier avec Paris, il se démarque du Caire et engage une guerre féroce contre le MNA qui refuse de se dissoudre dans le FLN. En août 1956, au congrès de la Soummam, il dote le FLN d'une doctrine et d'une stratégie en rupture avec celles du mouvement nationaliste. Confronté, après l'envoi du contingent en Algérie, à une année puissante, il lance le terrorisme à Alger. Vaincu, il s'enfuit en Tunisie. Fin 1956, après l'agression de Suez, l'URSS et les Etats-Unis soutiennent le FLN et l'imposent comme l'interlocuteur de la France. En menant la guerre contre le MNA et le syndicat USTA, en caporalisant l'émigration et en lançant le terrorisme, le FLN a détruit le mouvement national créé par Messali. L'Algérie obtiendra son indépendance mais la révolution algérienne est morte en 1958. Avec ce livre, très documenté, Jacques Simon propose une lecture nouvelle de " la guerre d'Algérie ".

12/2018

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Cinéma

Les années Cahiers (1950 à 1959)

Durant ses études d'anthropologie à la Sorbonne, Jean-Luc Godard fréquente assidûment les ciné-clubs de la capitale. Il noue des relations d'amitié avec André Bazin, Claude Chabrol, François Truffaut, Jacques Rivette et Eric Rohmer. Godard est l'une des premières signatures du magazine la Gazette du cinéma fondée par Rohmer. Lorsque André Bazin fonde les Cahiers du cinéma en 1951, Godard, Rivette et Rohmer sont parmi les premiers à y écrire. Les Cahiers du Cinéma dans les années 50, "c'était notre seul foyer, affirmait Godard, et moi j'y étais presque plus que les autres. A partir de deux heures on allait aux Cahiers, puis au cinéma, et on revenait le soir. Pendant très longtemps, j'ai fait des paquets d'expédition aux abonnés... " . De 1950 à 1959, Jean-Luc Godard écrit dans les Cahiers du cinéma, apprenant à aimer et faisant aimer de nombreux cinéastes, de Bergman à Nicholas Ray. La notion de cinéma d'auteur était née. En 1959, Godard tournait A bout de souffle, son premier long-métrage. Ce livre regroupe la plupart de ces articles, pour certains de véritables manifestes de la "Nouvelle Vague" .

03/2007

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Littérature étrangère

De vive voix. Entretiens (1955-1996)

""La conversation est chose humaine" écrivit Octavio Paz dans l'un des poèmes de sa dernière période. Et il ajouta : "La parole de l'homme/ est fille de la mort/ Nous parlons parce que nous sommes/ mortels (...)". L'écrivain mexicain nuançait ainsi une formule du poète portugais Alberto de Lacerda, pour qui "la conversation est chose divine". En mettant l'accent sur l'humanité de la conversation, Paz soulignait surtout la valeur dialogique du langage et sa dimension temporelle. De là son intérêt, très tôt manifesté, pour cette forme spécialisée de la conversation qu'est l'entretien long, une modalité du dialogue qui lui permettait d'élaborer de subtiles synthèses de sa pensée et, en même temps, de faire valoir la temporalité du langage". Andrés Sánchez Robayna.

05/2008

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Beaux arts

Trente ans de correspondance 1926-1959

Frank Lloyd Wright (1867-1959), le célèbre architecte et théoricien de l'architecture organique, et l'historien et critique Lewis Mumford (1895-1990) ont joué un rôle crucial dans l'histoire de l'architecture et de l'urbanisme, comme en témoigne leur longue et abondante correspondance. Ces deux figures majeures de la culture américaine échangèrent plus de 150 lettres passionnantes, clairvoyantes, énergiques, spirituelles mais non dépourvues de tensions, qui illustrent à merveille le débat intellectuel sur l'architecture américaine et internationale du XXe siècle. C'est Frank Lloyd Wright, alors âgé de presque 60 ans, qui inaugure cet échange épistolaire en écrivant en 1926 à Lewis Mumford, qui n'a qu'une trentaine d'année. Renommé, mais en marge des tendances architecturales en vogue et confronté à des difficultés financières, l'architecte, en quête de critiques qui renouvellent son image, remercie de son soutien le jeune écrivain qui commence à s'imposer sur la scène newyorkaise. La correspondance prend son essor un an plus tard. Libres d'esprit, à la fois conservateurs et iconoclastes, les deux hommes trouvent vite de nombreux terrains d'entente, aussi bien professionnels que personnels. Au fait de l'actualité et de l'évolution contemporaine de l'architecture et de l'urbanisme, ils abordent de nombreux sujets, à commencer par leurs oeuvres respectives, et évoquent leurs alliés et leurs adversaires, l'avènement du Style international et les événements politiques qui bouleversent l'Europe et les Etats-Unis. Opposés à la sévère orthodoxie de modernistes tels que Le Corbusier, ils prônent tous deux, à l'instar d'Emerson, un meilleur usage de l'architecture et de la technologie au profit de l'environnement et de l'humanité, un point de vue qui faisait presque alors exception dans le panorama architectural. Affectueux et élogieux, Wright tient à l'approbation de Mumford et aspire à un rapport plus étroit. Plus prudent, souhaitant conserver son indépendance en tant que critique, Mumford refuse les multiples invitations de Wright à lui rendre visite dans son domaine de Taliesin, mais il n'en admire pas moins l'oeuvre de l'architecte - "modèle de l'architecture organique, construite en harmonie avec les rythmes de la vie moderne" - qui l'inspire. La Seconde Guerre mondiale interrompt brutalement cet échange profond et fécond, Mumford étant partisan de l'intervention des États-Unis en Europe, et Wright pacifiste et protectionniste. La correspondance ne reprendra que dix ans plus tard, à l'initiative de Wright. Une fois réconciliés, malgré leurs désaccords politiques et esthétiques, les deux hommes multiplient les témoignages d'affection et d'admiration. Sous la direction de deux grands universitaires, Bruce Brooks Pfeiffer, spécialiste de Frank Lloyd Wright, et Robert Wojtowicz, spécialiste de Lewis Mumford, cette correspondance est agrémentée d'une riche et rigoureuse introduction, de notes sobres et précises, d'un index, d'une chronologie de chacun des correspondants, ainsi que d'une note du traducteur sur leurs styles respectifs.

02/2017

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Religion

La bataille du Vatican. 1959-1965

Janvier 1959. Moins de cent jours après son élection, le pape Jean XXIII convoque un concile afin de procéder à un grand aggiornamento de l'Eglise catholique romaine. Trois ans plus tard, 2 500 évêques se réunissent dans la basilique Saint-Pierre de Rome. La bataille entre les conservateurs et les progressistes commence. Le débat, porté par des hommes hauts en couleur, s'étendra de 1962 à 1965. On discutera le latin, la place de la Bible, le gouvernement de l'Eglise, la liberté religieuse, l'oecuménisme, la contraception, la paix et la guerre, la pauvreté et la justice sociale... Le concile de Vatican II a changé le quotidien de plus d'un milliard de catholiques. Pourtant, la question de la relation de l'Eglise avec le monde est toujours d'actualité.

10/2015

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Foucault

La question anthropologique. Cours. 1954-1955

Qu'est-ce que l'homme ? Michel Foucault, au mitan des années 1950, consacre une partie de son enseignement, dispensé à l'université de Lille et à l'École normale supérieure, à comprendre comment cette interrogation a traversé et transformé la philosophie. Ces leçons sont rassemblées dans un manuscrit, dont nous proposons ici l'édition complète. Foucault déroule son parcours en une dramaturgie impeccable. Premier acte : montrer pourquoi la philosophie classique (Descartes, Malebranche, Leibniz) demeurait sourde à cette question. Son idée infinie de "nature" empêchait que l'homme puisse nouer un rapport immédiat à sa propre vérité. Deuxième acte : exposer comment, après le renversement kantien, le point de gravitation de la philosophie moderne, de Feuerbach à Dilthey en passant par Hegel et Marx, devient cet homme vrai qui déploie un monde de significations et de pratiques révélant son essence. Troisième acte : décrire l'éclatement du dispositif anthropologique chez Nietzsche - à travers cette pensée dionysiaque qui, avec la mort de Dieu, proclame l'effacement de l'homme et promet des expériences tragiques de vérité. Pour la première et dernière fois, on trouve sous la plume foucaldienne une présentation longue, précise et percutante de la philosophie de Nietzsche. Dans ce cours, Foucault lance en même temps des flèches vers son oeuvre à venir. On y discerne déjà l'entreprise critique qui s'épanouit en 1966 dans Les Mots et les Choses : thèse d'une configuration anthropologique de la modernité, annonce d'une mort de l'homme après son invention toute récente, programme d'une archéologie des sciences humaines. Juste avant son départ pour la Suède, Foucault surgit à la verticale de son propre destin philosophique.

06/2022

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Philosophie

L'impérialisme

Le premier livre d'Hannah Arendt, The Origins of Totalitarianism, publié en 1951, demeure encore aujourd'hui essentiel. Philosophe de la politique, H. Arendt se propose pourtant de montrer, à l'aide d'un matériel empirique rigoureux, de quelle manière le totalitarisme a pu naître dans le monde occidental. Etrangement, ce livre qui forme un tout n'avait pas été traduit dans son intégralité : seule la première partie (L'antisémitisme) et la troisième (Le totalitarisme) étaient jusqu'ici accessibles au public français. A une époque où le thème du totalitarisme semble plus que jamais devoir s'imposer dans le débat politique, il est pourtant indispensable de lire H. Arendt jusqu'au bout. Dans la deuxième partie que nous publions aujourd'hui, consacrée à L'impérialisme, H. Arendt rend compte cette fois de l'expansion de l'Etat-nation à la fin du 19e siècle. Dès cette époque, les impérialistes français, britannique ou allemand justifient au nom d'une théorie raciste dépourvue de toute nuance l'occupation de vastes territoires africains et, déjà, l'usage impitoyable de la terreur. Après la Première Guerre mondiale, d'autres bouleversements politiques surgirent qui portèrent en Occident même un coup sévère aux droits de l'homme, nombre de citoyens perdant, avec le déclin de l'Etat-nation, les droits dont ils bénéficiaient. La parution de ce texte donne enfin son entière cohérence à une oeuvre fondamentale.

10/1982

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Sciences historiques

D'Azincourt à Marignan, chevaliers et bombardes 1415-1515

En France, au début du xve siècle, le modèle de l'armée féodale atteint ses limites. La bataille d'Azincourt annonce la fin de la chevalerie et le début de la suprématie des armes à distance sur la mêlée, suprématie que renforce l'apparition de l'artillerie. Le milieu du xve siècle marque un tournant décisif dans l'organisation de l'armée, dans la conduite de la guerre et dans les moyens techniques utilisés. L'action de Jeanne d'Arc, aussi brève que marquante, témoigne du retour à une politique offensive de la France. Charles VII entreprend de grandes réformes militaires. Plus professionnelle, dotée d'une artillerie plus mobile et performante, l'armée royale permet au souverain de reconquérir les territoires occupés par les Anglais, de mettre un terme à la guerre de Cent Ans et de conquérir les grands duchés indépendants. En 1515, avec la victoire de Marignan, François Ier renoue avec la tradition du roi chevalier, guerrier et victorieux.

10/2015

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Ouvrages généraux et thématiqu

Le roi absolu. Une obsession française, 1515-1715

Un souverain puissant à la tête d'un gouvernement impérieux singularise l'histoire de France. Du premier Capétien au dernier des Bourbons, la tentation et l'affirmation "absolutistes" n'ont cessé d'être la marque de la monarchie des lys, son ADN en quelque sorte. Les XVIe et XVIIe siècles constituent un effervescent laboratoire politique qui expérimente des formes de gouvernements centrés sur la figure et l'autorité du roi. Entre le début du règne de François Ier (1515) et la fin de celui de Louis XIV (1715), le monarque, qu'il soit "fort" – François Ier, Henri II, Henri IV, Louis XIV –, ou "faible" – François II, Charles IX, Henri III, Louis XIII dans une certaine mesure –, est le moteur du pouvoir. Ainsi, les épisodes de contestations civiles ou religieuses sont contemporains d'un roi enfant, absent ou discrédité, à l'exemple des guerres de Religion ou de la Fronde. Cet ouvrage nous place au coeur de cette "obsession française" qui se cristallise sur la personne du souverain – tous régimes confondus –, jusqu'à notre quasi-monarque républicain. Des châteaux de la Loire à Versailles, de la Saint-Barthélemy à la Fronde, en passant par la formation militaire et intellectuelle des rois, Joël Cornette éclaire d'une manière riche et originale cette histoire renouvelée de la monarchie.

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Ouvrages généraux et thématiqu

Le roi absolu. Une obsession française 1515-1715

Un souverain puissant à la tête d'un gouvernement impérieux singularise l'histoire de France. Du premier Capétien au dernier des Bourbons, la tentation et l'affirmation "absolutistes" n'ont cessé d'être la marque de la monarchie des lys. Les XVIe et XVIIe siècles constituent un effervescent laboratoire politique qui expérimente les formes de gouvernements centrés sur l'autorité du roi. Entre le début du règne de François Ier (1515) et la fin de celui de Louis XIV (1715), le monarque est le moteur du pouvoir. Cet ouvrage nous place au coeur de cette "obsession française" qui se cristallise sur la personne du souverain. Des châteaux de la Loire à Versailles, de la Saint-Barthélemy à la Fronde, en passant par la formation des rois, Joël Cornette éclaire d'une manière riche et originale cette histoire renouvelée de la monarchie.

06/2023

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Littérature française

Au Maroc

En février 1889, à 39 ans, c'est en tant que membre d'une mission diplomatique que Pierre Loti s'embarque pour un périple en terre marocaine. Auteur et journaliste à succès, il retrace dans ce journal le parcours de la caravane ministérielle française qui, d'Oran à Fès, sillonne les territoires des tribus bédouines au rythme des fantasias et des mouna. Sur place, alors que la délégation, cloîtrée dans les appartements luxueux du sultan., 4-st 'tenue d'assister aux cérémonies officielles, Loti profite d'une petite maison mise à disposition par un ami pour partir à la découverte de la ville sainte. Son goût du costume lui permet de se fondre dans les rues tortueuses et encombrées pour approcher ce "Maroc intime" qui le fascine tant par l'intemporalité et le mysticisme religieux qui y règnent. Refusant de tomber dans des considérations politiques, Loti prend plaisir à surprendre le lecteur contemporain en laissant transparaître son amour pour ces terres d'Islam qui ont su préserver un idéal aboslu et résister aux "choses nouvelles" de la civilisation européenne.

11/2017

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Histoire de France

Mémoires de guerre. Le Salut : 1944-1946 (1959)

. Des clés pour lire l'oeuvreLes repères biographiques - Les résumés et repères pour la lecture. L'étude des problématiques essentiellesL'écriture de l'Histoire - La vision gaullienne de la FranceUne écriture épique et lyrique - L'art du portrait...

08/2010

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Histoire de France

Mon journal. France-Belgique (1915-1916)

Le soldat Georges-Ulric Francoeur s'enrôlé le 22 octobre 1914. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915. Après quelques mois passés à l'entraînement, son régiment, le 22e bataillon (canadien-français), traverse la Manche et débarque en France le 15 septembre 1915. C'est là que commencent ses carnets... Ce document n'est pas que le récit d'un soldat au front, c'est aussi un témoignage passionnant, appuyé par de nombreux dessins simples mais efficaces. Le conteur au grand talent laisse aussi la place au dessinateur et chroniqueur méticuleux.

04/2012

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Thèmes photo

Pack en 2 volumes : Le voyage mexicain. 1965-1966 ; Jungle.1966

Le voyage mexicain, livre mythique de Bernard Plossu paru en 1979 est enfin réédité dans sa version originale accompagné de Jungle, un livre inédit de photographies couleurs qu'il réalisa à la même époque lors d'une expédition dans la jungle du Chiapas mexicaine. L'ensemble ainsi constitué révèle comment un jeune homme d'à peine vingt ans, amateur de cinéma d'auteur et de films grand public met spontanément en place dès ses débuts de photographe une esthétique personnelle sans rien connaitre des photographes importants de son époque. Et dans le même temps, que ce soit sur la route à travers l'approche poétique du Voyage mexicain ou narrative de Jungle, on sent que tout est déjà en place : la conscience de son devenir d'auteur et son approche conceptuelle à travers les livres conçus comme des oeuvres à part entière. Les deux ouvrages tirés à 1000 exemplaires vendus exclusivement ensemble sont présentés dans un fourreau. Le voyage mexicain, préface de Denis Roche C'est un témoignage optimiste de la beat génération, une rupture dans l'histoire de la photographie avec des cadrages à l'opposé de la tradition française, des images qui nous en disent autant sur le photographe que sur le pays traversé. La critique fut enthousiaste à la sortie de ce petit livre en 1979, et son auteur qualifié de "Robert Frank heureux" . Dans sa mémorable préface Denis Roche explique ce qu'est la liberté de la photographie qui permet qu'un savoir et une esthétique soient mystérieusement spontanés comme chez Bernard Plossu. Jungle, textes de Bernard Plossu et Claude Nori Début 1966, Bernard Plossu qui n'a que vingt ans est engagé comme photographe dans une expédition anglaise à la recherche d'un temple maya. Ce sera pour lui une façon d'améliorer sa technique mais aussi l'art de la débrouille et de la survie au contact d'une nature souvent hostile avec les quatre autres jeunes membres de l'expédition. Il tiendra tout le long de cette expérience, un journal dont des extraits sont publiés dans l'ouvrage, donnant à cette approche de son périple mexicain une dimension aventurière. " Dans la vieille Packard 50, on file vers Guanajuato, dans l'infini de l'espace, des routes, dormant n'importe où autour d'un feu sous les étoiles, réveillés par les paysans, déjeunant dans les marchés ou les cantinas, dansant, chantant partout, bavardant avec des vieillards aux chapeaux de paille esquintés par le temps. "...

05/2023

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Histoire internationale

La guerre du Bani-Volta (1915-1916)

La guerre du Bani-Volta, qui représente l'un des soulèvements populaires les plus importants de l'ère coloniale menée après la période des conquêtes, se trouve aussi être, pour des raisons diverses, l'une des moins connues. Déclenchée en Afrique de l'Ouest en 1915, en pleine Grande Guerre donc, par des populations aux ethnies, religions et cultures très variées, elle avait pour but de bouter hors de certains territoires le colonisateur français qui y était pourtant bien installé comme administrateur. Le facteur déclenchant fut la conscription et les impôts imposés à des populations au départ dociles, puis la guerre a connu un bilan extrêmement lourd. Elle mérite aujourd'hui, comme à la suite de certaines recherches antérieures, plus poussées, certes, un regard supplémentaire. Cela pour plusieurs raisons : les causes pour lesquelles elle est toujours aussi méconnue des héritiers des peuples qui l'ont menée d'abord ; pour l'analyse même des facteurs déclenchants, supposés ou cachés ensuite ; pour enfin l'analyse de son déroulé et des bilans générés, et l'interprétation qui peut en être faite, en prenant une certaine hauteur de l'officier supérieur d'aujourd'hui...

04/2017

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Pléiades

Oeuvres complètes. Coffret en 2 volumes : Tome 3, 1949-1956 ; Tome 4, 1956-1959

Des Justes au Premier Homme (1949-1959), les tomes III et IV parachèvent la nouvelle édition des Ouvres complètes d'Albert Camus : ouvrages, articles, préfaces et conférences parus de son vivant, et écrits posthumes.

11/2008

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Histoire internationale

Aux origines du grand bond en avant. Le cas d'une province chinoise, 1956-1958

Le Henan, une province du centre de la Chine, a traversé dans les années 1956 et 1957 une violente crise politique, sociale et économique déclenchée par une des entreprises les plus délirantes que le XXe siècle ait connues : le Grand bond en avant. L'ouvrage de Jean-Luc Domenach éclaire les événements et leurs causes à partir d'une étude détaillée de la presse locale, mettant au jour la vie politique dans une province chinoise et ses discordances d'évolution par rapport à la politique centrale. La richesse des sources utilisées permet à l'auteur de décrire les réactions populaires aux initiatives du pouvoir et les données inédites sur le fonctionnement interne du régime communiste chinois aux niveaux provincial et local.

01/1982

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Histoire internationale

Les fonctions politiques de l'école au Cameroun 1916-1976

L'avènement colonial seul a introduit l'école en Afrique, et dès son apparition en milieu africain, son essence n'a pas fait l'objet de débats : elle s'est définie comme politique et essentiellement ainsi. Devenant la matrice unique et primordiale des valeurs à répandre, elle a infantilisé tous ceux (" indigènes ") qui ne possédaient pas ces valeurs occidentales afin de recréer des hommes nouveaux à l'image du colonisateur. Le pouvoir nouveau ayant introduit de nouveaux rapports de domination, c'est à l'école qu'il s'est adressé pour susciter les adhésions les plus profondes et les plus durables à son assise et pour fonder sa légitimation. Devenant le moyen d'élévation sociale et la ressource matérielle indispensable à la survie de l'" indigène " projeté dans un rapport économique concurrentiel, les familles ont " sacrifié " leurs enfants à l'école pour qu'ils renaissent avec des armes nouvelles qui les transformeraient en vainqueurs. Cette dialectique a provoqué des effets contradictoires désirés ou non désirés dont la conséquence politique qui nous intéresse a été la remise en cause du système colonial par les scolarisés. Avec les indépendances africaines, on a pu poser la question de sa nouvelle mission. Tout le long de cette période, la question de l'école ne s'est point posée en termes du " pour quoi " l'école mais du " comment " l'école. C'est dire qu'elle n'a jamais été l'objet d'une remise en cause par les Etats nouveaux, et donc n'est l'avènement d'aucune décision propre à ces Etats, qui semblent s'en contenter en ne lui infligeant que des adaptations circonstancielles. Cette attitude laisse supposer que l'école a été reconduite aux mêmes fonctions de vulgarisation politique et de propagation de modèles économico-sociaux dans lesquels se reconnaissent les nouveaux utilisateurs et dont ils souhaitent la reproduction.

11/2010

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Sociologie

Face à la guerre. Ecrits 1914-1916

La position de l'Allemagne impériale soucie Georg Simmel : où doit-elle se situer vis-à-vis de la catastrophe survenant dans la vieille Europe disloquée, et à l'heure de son «américanisation» ? Il s'exprime ici moins en universitaire qu'en penseur du lien social, à qui les formes et l'intensité de la guerre en cours imposent une difficile épreuve de vérité. Epreuve personnelle aussi, car la Grande Guerre oppose les philosophes de la même école de pensée - comme on le voit en lisant les pages de Simmel en regard des adresses de Bergson à ses collègues académiciens, puis à l'opinion américaine.

04/2015

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Histoire internationale

Jeunes coopérants au Maroc au temps du roi Hassan II (1965-1972)

1965. Indépendant depuis peu, le Royaume du Maroc cherche à s'affranchir, en douceur, de l'influence persistante de l'ancienne puissance tutélaire, la France. Il balance entre les promesses de l'Occident et la quiétude de la tradition musulmane, entre les souffles contraires du vent d'ouest et du vent d'est, entre Ponant et Chergui. Deux candides coopérants-enseignants d'à peine plus de vingt ans, curieux de découvrir le monde, rejoignent leur affectation au collège Moulay Bouchaîb d'Azemmour, petite ville de la côte atlantique. Cinquante ans plus tard, le lecteur est invité à partir en voyage dans leurs souvenirs, à se confronter à l'altérité, partager leurs émotions, leurs réprobations parfois, puis à s'accoutumer et à s'insérer dans la société locale. Cette chronique de la vie quotidienne d'un couple et de ses deux enfants nés sur place, avec ses multiples anecdotes, ses surprises, ses efforts et ses joies, dans l'air marin, les clameurs et les senteurs épicées, est le témoignage d'une rencontre avec le peuple le plus accueillant de la terre.

06/2020

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Cinéma

Chroniques d'Arts-Spectacles (1954-1958)

En janvier 1954, un jeune critique nommé François Truffaut publie un violent pamphlet qui dénonce la "tradition de qualité française" et préfigure la Nouvelle Vague. Le retentissement est tel qu'il déchaîne contre lui la jalousie virulente de nombreux confrères, mais lui ouvre les portes de l'hebdomadaire Arts-Spectacles. Truffaut y publiera plus de cinq cents articles en cinq ans : une critique directe et sans concession. Il cultive ses goûts, affiche ses dégoûts, et le temps lui donnera souvent raison... Pour Truffaut, écrire sur le cinéma, c'est déjà en faire, mais la critique n'est pour lui qu'un viatique. Dès août 1957, il s'en éloigne en réalisant Les Mistons et ses derniers articles évoquent déjà le regard d'un cinéaste...

03/2019

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BD jeunesse

Valhardi Intégrale Tome 5 : 1959-1965

Dix-huit ans après sa création, Jean Valhardi est devenu un aventurier moderne, quelque part entre James Dean et L'Homme de Rio. Il aborde les années 1960 au volant de rutilantes voitures de sport, flanqué d'un comparse haut en couleur, le fantasque Gégène, qui lui vole peu à peu la vedette. Ensemble, ils traverseront les sixties sur fond de musique yé-yé, entourés de teenagers et de jolies filles, tout droit sortis des pages de Salut les copains ! Ces épisodes, qui sont les derniers dessinés par Jijé, témoignent une nouvelle fois de toute la maestria d'un auteur majeur de la bande dessinée franco-belge.

05/2019

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Critique littéraire

Correspondance générale. Tome 10, 1951-1958

C'est la dernière période de la vie de Roger Martin du Gard. Son pessimisme grandit. Le bouleversement du monde et les convulsions internationales l'inquiètent. Les relations avec sa fille se détériorent. L'âge et ses misères l'accablent; il se plaint volontiers, avec humour souvent, de la "décrépitude de la carcasse"... Sa solitude de "vieil ours insociable et indépendant" s'accroît. Malgré divers témoignages de sympathie, il sait que son œuvre s'éloigne. Il se sent de plus en plus dépassé par son temps; mais, dans une époque de "guerres de religion", il s'obstine à plaider pour "la souveraineté de l'individu". Il profite de son roman toujours en chantier, sa " tapisserie de Pénélope", pour exprimer sa pensée. Il continue de converser avec les amis qui sont toujours là : Jean Denoël, Jean Schlumberger, Marcel Jouhandeau, André Malraux... Il s'appuie sur une solide amitié, celle de la "chère voisine", Marie Rougier. Il s'est fait de nouveaux amis parmi de jeunes écrivains qu'il conseille et encourage. Son temps est maintenant compté. Gide est mort en février 1951; d'autres disparaissent. Il est dans la "salle d'attente" et se "< résigne à l'inévitable". Le temps de l'inventaire est venu. Il prépare l'édition de ses Œuvres complètes, heureux d'y voir associé Camus. Il met en ordre ses manuscrits, classe ses anciennes correspondances, trie les documents amassés. Il fait ses valises, les fameuses "cantines" qu'il destine à la Bibliothèque Nationale. L'on suit avec émotion le détachement pathétique du vieil homme face à la mort, qui, jusqu'à la fin, reste fidèle à son principe : " consentir à soi-même ".

11/2006

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Littérature française (poches)

Lettres à sa fille (1916-1953)

Vingt ans après la mort de ma tante, Colette de Jouvenel, unique enfant de Colette et de mon grand-père Henry de Jouvenel, l'heure m'a paru venue de publier la correspondance qu'elle échangea avec sa mère. Elle me l'avait laissée avec mission de le faire " le plus tard possible ". En quelque sorte elle s'en était libérée. Il me fallut cependant une grande détermination. Les lettres ont pour moi un caractère si intime que j'en étais retenue. Colette elle-même ne s'écrie-telle pas à l'occasion de la vente d'une de ses lettres à Robert de Montesquiou-Fezensac " Une lettre est un objet sacré qu'aucune vente ne doit profaner : c'est un scandale intolérable que de disperser aux quatre vents des pensées, des impressions, connues seulement de deux personnes. " Si je me suis laissé convaincre d'ordonner les quelque six cent cinquante pièces de ce puzzle, c'est pour montrer un aspect inconnu de Colette et faire revivre la " Petite Colette ". Ce que je ne pouvais imaginer, c'est que tous les originaux seraient volés chez moi le jour même où le travail s'achevait... Puisse le cambrioleur se souvenir de la phrase ci-dessus et rendre son butin...

01/2006

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Critique littéraire

Journal intégral 1953-1986. Edition collector

Publié pour la première fois dans sa version intégrale, le Journal de Matthieu Galey, amputé lors de sa parution de ses passages les plus sulfureux, traverse, de 1953 à 1986, plus de trente années de vie littéraire, mondaine et politique. Observateur passionné et désenchanté d'une comédie parisienne qu'il est amené à beaucoup fréquenter, par curiosité autant que par nécessité professionnelle, Matthieu Galey, journaliste et écrivain, a tenu en secret ce journal savoureux, dans lequel il est aussi beaucoup question de ses amours homosexuelles. Chaque soir il relatait dans le même temps ses échanges et ses rencontres avec les personnalités du Tout-Paris. Membre du comité de lecture des éditions Grasset à partir de 1962, Galey fut aussi le témoin privilégié des combinaisons qui gouvernaient en secret la composition des jurys des grands prix, en particulier du Goncourt, et le choix de leurs lauréats. Le regard acéré et la plume incisive, il se fait le démystificateur de la faune littéraire, de ses jeux, de ses rites, de ses moeurs, et chaque dîner ou cocktail qu'il relate devient une scène de genre, un moment de comédie humaine souvent irrésistible. L'ironie et la férocité avec lesquelles il manie l'art du portrait l'imposent aujourd'hui comme un maître du genre, disciple en cela de Francois Mauriac dont il écrit : "J'aime cette morsure de chaque phrase. Quel appétit pour déchirer ! " Aux approches de la cinquantaine, Matthieu Galey se découvrit atteint d'une maladie alors incurable qui l'emporta à l'âge de 52 ans et fit de lui quasiment le chroniqueur de sa propre disparition, aussi lucide vis-à-vis de lui-même qu'il le fut envers ses contemporains.

04/2019

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BD jeunesse

Tif et Tondu Intégrale 1955-1958

Le deuxième tome de l'intégrale Tif & Tondu, qui réunit Tif et Tondu contre la Main blanche, Le retour de Choc, Passez muscade et Plein gaz, ainsi que Bombe à la gare, Fric-frac fanfare et L'aventure est au coin de la pompe, dans lesquels apparaît pour la première fois M. Choc, méchant charismatique devenu légendaire.

10/2018