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LIVRE D'ETINCELLES. Tome 1, Chapitres 1 à 32, Edition bilingue français-latin

Extraits

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Religion

HOMELIES SUR EZECHIEL. Tome 2, Livre 2, Edition bilingue français-latin

Captivés par les Homélies de Grégoire sur Ezéchiel (livre I, SC 327), ses auditeurs, apprenant qu'il devait renoncer à poursuivre, le pressèrent de leur expliquer du moins une autre vision grandiose du prophète, la dernière, celle du Temple futur. De fait, le thème du Temple est un des thèmes majeurs de l'Ecriture, qui se clôt, dans les pages finales de l'Apocalypse, avec des réminiscences d'Ezéchiel, par l'évocation de la Jérusalem céleste. Grégoire suit son guide pas à pas, et voici que les images qu'il présente à son regard lui parlent, et lui font entrevoir quelque peu la splendeur des réalités invisibles dont elles sont le signe. On remarquera spécialement les pages qu'il consacre à la contemplation, où l'âme atteint " à la dérobée quelque mince rayon de la lumière sans limites ". On remarquera aussi celles où il parle de l'holocauste, signe du don total de soi au Seigneur.

01/1990

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Religion

DISCOURS 32 A 37. Edition bilingue français-grec

Les discours 32 à 37 datent de la période pendant laquelle Grégoire de Nazianze séjourna à Constantinople (379-381). Il avait été appelé dans cette ville, dont toutes les églises étaient aux mains des ariens, par le petit groupe de catholiques qui restait fidèle au concile de Nicée. De la chapelle improvisée de l'Anastasia où il les réunit d'abord à la basilique des Saints-Apôtres où il inaugure ses fonctions épiscopales, Grégoire reste " le théologien ", celui qui, à Constantinople comme à Nazianze, devant un modeste auditoire comme devant l'empereur, ne cesse d'enseigner et de défendre l'orthodoxie. Et qu'il traite de questions d'actualité ou commente un passage de l'Ecriture, c'est toujours avec une égale vigueur qu'il proclame sa foi en la Trinité.

06/1985

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Religion

COMMENTAIRE SUR JOB. Tome 2, Chapitres 15 à 42, Edition bilingue français-grec

On connaissait, depuis longtemps, par la tradition littéraire et par les chaînes exégétiques, l'existence d'un commentaire grec sur le Livre de Job attribué à S. Jean Chrysostome. Ce commentaire n'avait jamais, jusqu'à maintenant, été publié. M. l'abbé Sorlin, prêtre du diocèse de Clermont-Ferrand, dans sa thèse soutenue en 1975 devant l'Université Lyon II, a établi sur des bases nouvelles et élargies l'authenticité chrysostomienne de ce commentaire. L'édition critique de ce texte, en deux volumes, permettra d'accéder à l'interprétation que le plus grand orateur de l'antiquité chrétienne a donnée de l'un des livres les plus dramatiques de l'Ecriture et même de la littérature universelle. Sans doute, sous la plume de ce Père, ne trouvera-t-on pas de spéculations sur le problème du mal. Chrysostome est un antiochien, attaché à l'exégèse littérale et morale. La grandeur du mystère de Dieu, l'omniprésence de la Providence, le rôle de la tentation et de la liberté, l'énigme de la mort, la souffrance du juste et la prospérité de l'impie, le danger des richesses, l'éducation des enfants, le détachement des biens de ce monde qui, finalement, n'appartiennent qu'à Dieu, voilà les questions auxquelles le commentateur s'efforce de répondre, parce que ce sont celles de ses auditeurs. Ce sont encore les nôtres aujourd'hui.

11/1988

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Critique littéraire

Les métamorphoses. Livres IV-VI, Edition bilingue français-latin

Jubilant dans le baroque aux confins de l'érotisme, du fantastique et de la mort, Les Métamorphoses d'Apulée (IIe siècle), seul roman latin dont nous possédions le texte intégral, racontent à la première personne les tribulations d'un naïf trop curieux qu'une opération de sorcellerie ratée a transformé en âne mais qui n'en pense pas moins, et tissent dans tous les styles la trame parodique d'une comédie humaine dont le dénouement est procuré par l'intervention d'Isis-Reine, Déesse Eminentissime. "Ce livre est un chef-d'oeuvre. Il me donne à moi des vertiges et des éblouissements ; la nature pour elle-même, le paysage, le côté purement pittoresque des choses sont traités là à la moderne et avec un souffle antique et chrétien tout ensemble qui passe au milieu. Ca sent l'encens et l'urine, la bestialité s'y marie au mysticisme, nous sommes bien loin encore de ça nous autres comme faisandage moral". (Gustave Flaubert, 1852)

05/1998

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Critique littéraire

Remèdes à l'amour. Edition bilingue français-latin

L'Art d'Aimer avait fait l'objet de vives critiques auxquelles Ovide répondit par deux poèmes, Les Remèdes à l'amour et Les Produits de beauté pour le visage de la femme. On reprochait au poète de mettre tout son talent au service de l'amour, il compose Les Remèdes à l'amour, suite de conseils aux jeunes gens dont les sentiments ne sont pas payés en retour : comment arracher le mal à sa racine ? Quels aliments apaisent les blessures de Cupidon ? Comment rompre définitivement ? Autant de questions traitées par le manuel. Pour se concilier à nouveau le public féminin, Ovide écrivit Les Produits de beauté pour le visage de la femme, avant de décider de rajouter à L'Art d'Aimer, un livre entièrement consacré aux femmes. De ce traité, seuls les 100 premiers vers nous sont parvenus. Notre édition regroupe ces deux brefs poèmes. Chaque texte est précédé d'une introduction et pourvu de notes permettant de mieux saisir les allusions, notamment mythologiques. Aux Remèdes à l'amour sont adjointes des notes supplémentaires. L'ouvrage est enrichi par un index des noms propres.

12/2014

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Critique littéraire

L'Enéide. Tome 2, Livres 5-8, Edition bilingue français-latin

Arma virumque cano, les premières lignes de l'Enéide sont sans doute parmi les vers les plus célèbres de la poésie latine, tandis que la descente aux Enfers (livre VI) ou les amours de Didon et Enée sont autant de morceaux d'anthologies présents dans ce poème. Pourtant, Virgile avait ordonné par testament qu'on brûlât son poème. Heureusement l'empereur Auguste ne l'aurait pas permis. Poème épique, l'Enéide est aussi, et sans doute cela était-il plus sensible pour les contemporains d'Auguste que pour nous, un poème politique : derrière les combats et les triomphes d'Enée, ce sont les guerres civiles et la gloire d'Auguste qu'il faut lire. En effet, si la légende de Romulus n'avait pas suscité de grands poèmes, avec l'Enéide Virgile a donné à Rome et à l'empire naissant une épopée nationale, pendant latin de l'Iliade et de l'Odyssée d'Homère. Notre édition en trois tomes regroupe les douze livres de l'Enéide. L'introduction du tome I propose une brève biographie du poète de Mantoue, replace le poème dans l'oeuvre de Virgile et fait le point sur les différentes hypothèses relatives à la composition du poème, notamment celle de Wimmel. Des pistes de lecture, telles que l'influence d'Homère ou le motif de la guerre sont proposées au lecteur. L'histoire du manuscrit et les principes de l'édition sont clairement énoncés, et assortis d'une bibliographie sélective récente : chaque chant est précédé d'un résumé permettant de circuler aisément dans le texte. Des notes accompagnent la lecture et sont développées, à la fin de chaque tome, par des notes complémentaires. L'édition est en outre enrichie par des cartes et un Index Nominum.

07/1993

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Critique littéraire

Les fastes. Tome 2, Livres IV-VI, Edition bilingue français-latin

Oeuvre unique dans toute l'Antiquité, Les Fastes nous transmettent une véritable somme théologique de la religion romaine, peu susceptible de déformation, puisque le poète y suit jour après jour (tel est le sens du titre : calendrier) les fêtes et rituels de Rome. Le présente édition a bénéficié de toute une série de travaux érudits et repose sur des collations de manuscrits nouvelles. Un effort particulier a été fait dans les notes pour, à partir d'un texte bien établi et bien traduit, dégager l'apport du poète (observation directe du rituel) de sa gangue d'interprétations syncrétistes, souvent d'origine grecque.

01/1993

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Critique littéraire

Les métamorphoses. Tome 2, Livres VI-X, Edition bilingue français-latin

Texte établi et traduit par Georges Lafaye. 3 tomes. 1er tome, édition revue et corrigée par Jean Fabre, 1ère édition 1925. Tome II : édition revue et corrigée par Henri Le Bonniec. 1ère édition 1928. Tome III : édition revue et corrigée par Henri Le Bonniec. 1ère édition 1930.Si les récits de métamorphoses furent très populaires pendant toute l'Antiquité et notamment pendant la période alexandrine, le recueil d'Ovide est de loin le plus célèbre. Ecrits avant l'exil du poète, les XV livres des Métamorphoses relatent non seulement des transformations, comme celle de Daphné (livre I) ou de Hyacinthe (livre X), mais aussi la cosmogonie (livre I) et l'apothéose de Jules César (livre XV). Notre édition regroupe en trois tomes ce chef-d'oeuvre de la poésie mythologique. Le tome I contient une riche introduction qui fournit une étude documentée du genre de la métamorphose depuis ses origines hellénistiques jusqu'à Antoninus Liberalis. L'histoire du recueil et de ses traductions est présentée de manière claire et synthétique, de même que l'abondante tradition manuscrite. Chaque livre est précédé d'un résumé permettant de circuler aisément dans le texte et des notes abondantes éclairent les diverses allusions mythologiques. Le tome III est en outre assorti d'un précieux index nominum.

01/2000

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Critique littéraire

L'Afrique. Tome 2 (Livres VI-IX), Edition bilingue français-latin

Après les chants I à V, publiés en 2006, Pierre Laurens nous donne dans ce tome II les quatre derniers chants (VI-IX) de l'Africa, le chef-d'oeuvre poétique de Pétrarque. Comme dans le tome précédent, l'édition est fondée sur le Laurentianus Acquisti et Doni 441, copie directe de l'autographe, qui, avec les annotations personnelles du poète devient pour la première fois la base d'une édition moderne. Le choix de la traduction rythmée est conforme à l'objectif initial de restaurer l'épopée en tant que grand texte poétique, les notes éclairent sources et allusions et commentent, en suivant l'apparat pas à pas, les repentirs de la rédaction. Un court avertissement met en valeur les beautés (ainsi les fameuses plaintes de Magon à la fin du chant VI) qui scandent la deuxième partie du récit, depuis le rappel d'Hannibal et l'affrontement des deux armées à Zama jusqu'au retour de la flotte romaine et au double couronnement du chef et du poète (Ennius) témoin et chantre de ses actions ; surtout il relève l'importance des discours auxquels est confiée l'interprétation des événements et le sens profond de l'épopée : telle, au chant VIII, la fameuse collatio ducum, où la figure de Scipion, sublimée, est mise loin au-dessus d'Alexandre, le héros célébré par Geoffroy de Chatillon, et plus encore, au chant VII, prélude à l'affrontement décisif entre le Bien et la Mal, la Vertu et la Fraude, la promesse qu'au peuple vainqueur reviendra l'empire du monde, accompagnée de cette révélation stupéfiante que le siège de l'Empire sera le siège du dieu suprême, une fois accompli le mystère de l'Incarnation.

05/2018

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Critique littéraire

Contre Ibis. Edition bilingue français-latin

Peu édité et surtout peu traduit, le Contre Ibis est sans doute l'oeuvre la plus violente d'Ovide : exilé à Tomes, l'auteur des Tristes s'en prend à une ancienne relation, qu'il surnomme Ibis, qui tourmenterait la femme du poète et en voudrait à ses biens. C'est une véritable malédiction, dans le goût des arai des poètes alexandrins, et notamment de Callimaque qui écrivit lui aussi un Contre Ibis, à la fois source et modèle de notre texte, qu'Ovide entend lancer à son adversaire. Après une série d'attaques personnelles, suit, en guise d'exemples, une liste des héros qui eurent une fin tragique. Le texte s'achève sur les différentes morts que mérite Ibis. Notre édition reprend la question de la place du Contre Ibis dans la chronologie des oeuvres d'exil. L'introduction propose une analyse approfondie de l'influence de la poésie hellénistique sur Ovide et sur les autres poètes augustéens. L'ouvrage est complété par d'abondantes notes ainsi que par un index nominum.

01/1963

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Critique littéraire

Les Amours. Edition bilingue latin-français

Si le lecteur, qui tient en mains ce livre, n'aime pas la légèreté, l'élégance, la grâce, le badinage, s'il ignore que 1e sérieux est compatible avec la futilité, qu'il ne l'ouvre pas, et qu'il condamne son auteur comme il condamnerait les " Illustres Bergers ", Théophile, Tristan, ou encore La Fontaine, Marivaux, Choderlos de Laclos... Que cet improbable lecteur, que l'imagination ne concevrait pas, si de nombreux critiques n'avaient reproché aux Amours d'Ovide leur légèreté, sans voir leur grâce, leur futilité sans percevoir leur sérieux, que ce lecteur donc évite aussi de regarder les tableaux de Fragonard et qu'il se méfie de Mozart. Si, malgré cet avertissement, il ouvre le livre, qu'il se réjouisse, comme il y est invité par l'épigramme liminaire, que l'édition nouvelle de l'œuvre soit plus brève que la première. Aux autres lecteurs, qui aiment Mozart et Fragonard, les Amours. apportent le plaisir, la voluptas, que le poète a éprouvé lui-même, en se jouant de tous les lieux communs et de tous les interdits pour révéler les mille et une surprises du désir amoureux et pour harceler sous les flèches de Cupidon la société compassée et hypocrite qui l'entoure.

01/2002

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Religion

CONTRE CONSTANCE. Edition bilingue français-latin

Quel est ce Constance ? C'est Constance II, le fils de Constantin le Grand. Il est maître absolu de l'Empire romain, Orient et Occident. Depuis 353, il dicte sa loi à tous ses peuples. Chrétien, il a passé à l'arianisme et pense arianiser l'Empire. Qui est Hilaire ? C'est l'évêque de Poitiers. Il a accédé à l'épiscopat à peu près à la même époque que Constance à l'Empire. Il ne gouverne qu'un diocèse, petit territoire comparé à l'Empire, mais il est indéracinablement attaché à la foi de Nicée. Entre les deux hommes, entre les deux pouvoirs, celui de l'évêque et celui de l'empereur, l'opposition est si forte que l'empereur contraint l'évêque à l'exil. De la Phrygie où il est relégué, Hilaire continue à mener le combat pour l'orthodoxie. Sur la fin de son exil, il récapitule en un petit écrit la somme des honteuses machinations de l'empereur contre la foi. C'est le " Contre Constance ". Invective terrible, comme il y en a peu dans la littérature patristique. Elle était destinée à Constance lui-même, mais, finalement, c'est aux évêques gaulois qu'elle dut parvenir. Ils avaient bien besoin, persécutés eux aussi, de cette manifestation de courage de l'un des meilleurs d'entre eux.

01/1987

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Critique littéraire

Les Amours. Edition bilingue français-latin

Les Amours, sont, après Les Héroïdes, parmi les premiers ouvrages d'Ovide. Le poète, alors âgé d'une vingtaine d'années, chante les délices de Vénus. Dans ce texte si justement renommé, Ovide mêle avec virtuosité humour, grâce et finesse psychologique et laisse une des plus belles oeuvres de la littérature amoureuse. Notre édition replace le recueil dans la chronologie des oeuvres d'Ovide et reprend de manière synthétique les différentes hypothèses émises quant aux pièces supprimées. D'abondantes notes viennent éclairer le texte, notamment les allusions mythologiques. Enfin, l'ouvrage est complété par un index des noms propres.

05/1998

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Religion

ORAISONS MEDITATIVES. Edition bilingue français-latin

Les lecteurs qui ont goûté la saveur théologique et mystique de la Contemplation de Dieu, de l'Exposé sur le Cantique des Cantiques et de la Lettre d'or retrouveront dans ces Oraisons méditatives les exigences et les élans de la pensée et de la prière de Guillaume de Saint-Thierry, l'ami et l'émule de saint Bernard. La forme de la prière méditée se prête même à plus de spontanéité, reflète de façon plus personnelle l'expérience spirituelle du grand abbé bénédictin devenu simple moine cistercien.

01/1986

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Religion

LA PENITENCE. Edition bilingue français-latin

La discipline du sacrement de la Pénitence, plutôt nommé depuis le nouvel ordo de 1974 sacrement de la Réconciliation, a beaucoup varié au cours des siècles. Il n'en est que plus frappant de voir que l'essentiel est déjà en place dès le début du IIIe siècle dans le premier traité de la littérature chrétienne consacré à ce sujet : la Pénitence, de Tertullien. Déjà il est enseigné que la pénitence ne doit pas se réduire au rite, si on la désire signifiante et fructueuse. Déjà il est montré que l'attitude intérieure, à cultiver dans le quotidien de l'existence, trouve son accomplissement ecclésial, une première fois dans le Baptême et, s'il le faut, dans la Pénitence, que Tertullien appelle de manière expressive : " la seconde planche de salut " ; ici apparaît, puissamment décrite, l'exomologèse, la reconnaissance publique de la faute. Déjà surtout le fond vivifiant est manifesté, à travers le commentaire chaleureux des paraboles de la miséricorde et de la tendresse de Dieu : la drachme, la brebis perdue, le retour de l'enfant prodigue. Ce traité n'a rien de froidement théologique. Face à des chrétiens tentés - déjà - de mauvaise conscience paresseuse, Tertullien plaide la cause avec tous ses talents, mais plus encore avec son expérience toute neuve de converti.

10/1984

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Critique littéraire

Troisième quodlibet. Edition bilingue français-latin

Ce troisième Quodlibet, composé de vingt-huit questions, achève cette série de belle façon. Le texte est d'une part lié aux agitations des franciscains autour du jeune prince Louis d'Anjou vers 1296, ce qu'attestent plusieurs questions qui ne peuvent guère se comprendre que par rapport à cette situation. D'autre part, il constitue une sorte de testament intellectuel de Mediavilla, qui rassemble et prolonge les grandes orientations de sa pensée. La controverse avec les Spirituels et avec Olivi est bien présente, mais Mediavilla semble chercher des formules de compromis et parfois même revenir sur les accusations souvent injustes dont Olivi avait été la cible en 1283. Les réflexions sur l'eucharistie, sur la quantité, sur la pénitence, sur le droit et sur l'impôt se poursuivent. Un nouveau thème apparaît ici : la critique de la force imaginative, dont l'exaltation était souvent imputée aux franciscains. Mediavilla se livre donc, après une brève affirmation doctrinale, á une longue et minutieuse analyse naturaliste de la notion de fascination, de la prédiction par les rêves et de l'influence à distance. Une seconde nouveauté apparaît avec le thème de la bonne fortune. Valérie Cordonier, grande experte sur la question, a apporté sur ce point une aide généreuse. Enfin, Mediavilla donne ici une ultime élaboration de thèmes constants, notamment sur sa puissante thèse ontologique de Principium Purum Possibile, dont il livre un achèvement dans la question sur la divisibilité. Il poursuit également son affirmation provocante de l'autonomie de l'éthique par rapport aux normes religieuses et juridiques. Mediavilla dit son dernier mot...

01/2017

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Pléiades

Oeuvres complètes. Edition bilingue français-latin

Si, comme le résume Valéry, la poésie consiste à obtenir du langage plus de sens et plus de beauté, l'oeuvre de Virgile s'offre pour illustrer magnifiquement cette double exigence. Mais si une Muse plus inspirée demande encore davantage au poète - un langage qui transporte ou, selon l'image de Baudelaire, une lumière qui brille et qui guide -, alors la voix de Virgile, faisant écho à celle d'Homère, annonçant Dante et Hugo, fait entendre les accents du "Prophète de Rome" sur une musique incomparable, et c'est de cet immense poète que Claudel a pu dire qu'il était "le plus grand génie que la terre ait jamais porté". L'oeuvre canonique de Virgile, comme on sait, se compose de trois titres : "Cecini pascua, rura, duces", dit l'épitaphe attribuée au poète. "J'ai chanté les pâturages, les campagnes, les héros." Le premier terme renvoie aux Bucoliques, le deuxième aux Géorgiques, le troisième à l'Enéide. Cette formule condense un édifice sans autre exemple dans la littérature antique. Socrate insistait sur le fait que chaque poète n'est bon que dans un genre, et cette loi communément admise, avec quelques nuances, s'applique aussi aux Latins, sauf à Virgile. Chacun de ces poèmes, en effet, est le joyau d'un genre spécifique qui s'inscrit dans une aire indépendante. Virgile ne s'est pas contenté d'étinceler dans le domaine de la poésie bucolique, il a voulu régner sur la poésie didactique, puis sur l'épopée. Ces réalisations révèlent la volonté extrêmement audacieuse d'occuper le plus d'espace possible dans le champ poétique que la tradition avait ouvert avant lui, comme s'il démentait pour lui-même un principe qu'il énonce dans les Bucoliques, "non omnia possumus omnes" : "bons à tout, nous ne le sommes pas tous". Chaque oeuvre est autonome, et pourtant le poète multiplie les liens qui les attachent entre elles, obtenant que cette extraordinaire diversité forme néanmoins un ensemble incontestable. Quant au jugement de qualité, même si l'Enéide, par son ampleur, occupe une position dominante, elle n'est pas un plus grand chef-d'oeuvre que les Géorgiques ; et les Bucoliques, étant parfaites, ne peuvent, en un sens, être dépassées. Sur l'enluminure de Simone Martini où l'on voit Virgile dans la pose du berger Tityre, trois arbres d'égale dimension figurent cette profonde équivalence. Cette édition propose le texte latin et une traduction, nouvelle pour les Bucoliques et pour l'Enéide, révisée pour les Géorgiques, de ces trois grandes oeuvres. S'y ajoutent des pièces dites "attribuées" : virgiliennes à défaut d'être de Virgile, elles appartiennent à ce que l'on appelle l'Appendix vergiliana. Il importe peu, au fond, que la descente aux enfers de l'héroïque Moustique dans la petite épopée qui porte son nom (en latin, Culex) annonce ou pastiche le célébrissime livre VI de l'Enéide. On ne prête qu'aux riches, et la constitution, sans doute dans

06/2015

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Religion

OEUVRES COMPLETES TOME 1 : LES LETTRES. LES LIVRES DE TIMOTHEE A L'EGLISE. Edition bilingue français-latin

Bien que les lettres de Salvien soient adressées à des amis et parents, elles ne visent pas à nous renseigner sur la personne ou la vie de l'épistolier ; il est plutôt question de montrer au lecteur chrétien comme il est beau d'écrire dans les occasions délicates. Dans son traité " Ad Ecclesiam ", Salvien se propose de dénoncer l'ampleur et la gravité de l'avarice chez les chrétiens. L'ouvrage se veut d'abord une condamnation, puis aussi une exhortation.

07/1971

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Critique littéraire

Discours. Tome 10, Catilinaires, Edition bilingue français-latin

Que s'est-il passé à Rome, en 63, sous le consulat de Cicéron ? Une fois n'est pas coutume, nous sommes relativement documentés sur la période. Cependant, si Plutarque, Cicéron, Salluste et Dion Cassius nous ont laissé de nombreux témoignages, le débat est loin d'être tranché. Le personnage de Catilina en effet suscité les passions les plus virulentes et les haines les plus coriaces, à commencer par celle de Cicéron. En effet, lorsque ce dernier prononce, en novembre 63, les quatre Catilinaires, le contentieux entre les deux hommes est à son comble. Par trois fois Catilina s'est présenté aux élections, par trois fois, il a été évincé par Cicéron et ses partisans. Attentats, incendies et levées de troupes se multiplient, tandis que Cicéron échappe de peu à l'assassinat, victime d'un complot dont l'auteur serait Catilina. Si ce dernier parvient à s'enfuir, ses comparses sont condamnés à mort en décembre 63. Notre édition rassemble en un volume ce chef d'oeuvre de la littérature politique que sont les Catilinaires. Même si les discours furent rédigés trois ans après avoir été prononcés, Cicéron a su conserver tout le feu de l'improvisation. La première Catilinaire, tenue devant les Sénateurs, s'adresse directement à Catilina et l'enjoint de partir. Le propos de l'orateur est si convaincant que le soir-même Catilina quittait Rome. Devant le peuple au forum, Cicéron justifie sa conduite. La troisième et la quatrième traitent de la peine à appliquer aux complices de Catilina. Les conjurés sont condamnés à mort et Cicéron est salué "Père de la patrie" : la maîtrise, tant rhétorique que politique du consul triomphe. Après un bref éclairage historique, notre édition présente l'histoire des manuscrits. Chaque discours est précédé d'une notice comprenant le plan du texte. L'ouvrage est en outre assorti de notes qui accompagnent et complètent la lecture.

10/1996

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Religion

Contre Marcion. Tome 3, Edition bilingue français-latin

Après l'examen de la divinité hérétique de pure bonté (livre I) et la réhabilitation du Créateur (livre II), la critique de la christologie marcionite fait l'objet du livre III. Docète intransigeant, Marcion ne prêtait à son Christ que l'apparence humaine, sans incarnation ni naissance. D'autre part, pour souligner la nouveauté absolue d'un Evangile antithétique de la Loi, il supprimait toute préparation à la Venue de ce Christ, et refusait l'interprétation christique que l'Eglise donnait des prophéties vétérotestamentaires. Tels sont les deux thèmes sur lesquels s'organise la réfutation de Tertullien, en une structure complexe et raffinée qui les entrecroise, non sans privilégier le second. Avec un relief et une chaleur de conviction qui frappent encore aujourd'hui, le docteur carthaginois explicite la foi de l'Eglise en un Christ réellement homme comme réellement Dieu, qui est l'accomplissement d'une histoire du salut mystérieusement inscrite dans l'Ancien Testament. Par ses choix de textes scripturaires, par son exégèse, il exploite l'héritage de ses devanciers Justin et Irénée ,mais il sait aussi parfois innover. Surtout il affirme son originalité par l'ordre et la clarté qu'il impose à ses démonstrations. Pour étoffer ce livre - avec lequel s'achève le remaniement progressif du premier Contre Marcion et s'annonce l'examen de l'évangile marcionite - l'auteur a remployé plusieurs passages pris à des ébauches antérieures (notamment l'Aduersus ludaeos). On peut le qualifier d'œuvre littéraire accomplie. Et le mordant de l'ironie donne souvent au style un éclat accru.

01/1977

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Critique littéraire

Héroïdes. 5e édition. Edition bilingue français-latin

Des 21 lettres appelées Héroïdes, seules les 14 premières méritent réellement leur nom : le recueil en effet regroupe non seulement les lettres d'héroïnes à leurs amants, comme celles si célèbres de Pénélope à Ulysse ou bien d'Ariane à Thésée, mais aussi, moins connues, de lettres d'amants à leurs maîtresses, comme celle de Paris à Hélène, ainsi que des lettres de personnages historiques, comme la lettre de Sapho à Phaon. Si seuls les premiers poèmes sont antérieurs aux Amours, la totalité du recueil fut cependant écrite avant l'exil, lorsqu'Ovide préférait les poésies légères ou érotiques. Notre édition fournit une introduction abondamment documentée. Elle présente ce genre dans lequel Ovide fut un novateur tout en soulignant ses liens avec l'enseignement des grammairiens et des rhéteurs. La question de l'authenticité et surtout celle de la place du recueil dans l'oeuvre d'Ovide sont amplement développées, de même que l'histoire du texte. Des notes, éclairant notamment les allusions mythologiques, et un riche apparat critique accompagnent le texte. L'ouvrage est encore enrichi par un appendice donnant la traduction des vers condamnés ainsi que par un index des noms propres.

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Religion

OEUVRES MONASTIQUES. Tome 1, Oeuvres pour les moniales, Edition bilingue français-latin

Dans un pays livré à la violence guerrière, l'évêque d'Arles Césaire (470-542) s'est efforcé tout autant de promouvoir, parmi le peuple et le clergé, une vie plus conforme à l'Evangile et à la discipline ecclésiastique que de fortifier dans sa cité la vie monastique qu'il avait lui-même pratiquée à Lérins. Chargé d'abord de régir une abbaye d'hommes, il prit à cœur, dès le début de son épiscopat, la fondation d'un couvent de femmes autour de sa sœur Césarie ; et il rédigea à son intention la première Règle conçue pour des moniales et non calquée sur un modèle masculin. Outre la Règle et une Lettre qui la complète, ce volume offre un dossier d'écrits contemporains fort précieux, en particulier de l'abbesse Césarie. Replacés dans leur environnement historique et canonique, ceux-ci éclairent le rôle de Césaire dans l'organisation de plus en plus précise de la vie en communauté féminine. Un second tome contiendra ce que Césaire a rédigé pour les moines.

01/1988

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Religion

OEUVRES SPIRITUELLES. Tome 4, Le Héraut, Livre 4, Edition bilingue français-latin

Mieux connus sous le nom de "Révélations", ces cinq livres constituent un des grands corpus de la mystique médiévale. Gertrude (1256-1301), très influencée par saint Bernard, développe par ses élévations une spiritualité affective et pratique.

02/1979

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Sources chrétiennes

Panarion. Livre 1 (Hérésies 1 à 25), Edition bilingue français-grec ancien

Panarion, livre I (hérésies 1 à 25) Voici la fameuse " boîte à remèdes ", ou Panarion, qui a valu à son auteur d'être tenu pour le grand hérésiologue de son temps : vers le milieu des années 370, Epiphane, évêque de Salamine, y consigne l'étude de quatre-vingts hérésies, conservant par là-même des textes et des informations uniques sur les dossiers les plus sensibles. Une somme capitale pour la connaissance du christianisme des premiers siècles, des courants divers qui l'ont traversé, des polémiques et des débats doctrinaux qui ont opposé la " Grande Eglise " à ceux qu'elle marginalisait ou excluait au moyen du grief d'hérésie. Après une introduction générale et un résumé des quatre-vingts hérésies, ce volume contient le premier tome du livre I, avec ses préfaces, qui compose un tableau des " hérésies " non chrétiennes (Hérésies 1 à 20 : barbarisme, scythisme, hellénisme, judaïsme, stoïciens, platoniciens, pythagoriciens, épicuriens, Samaritains, esséniens...), et la première partie du tome II, avec les Hérésies 21 à 25 (simoniens, Ménandre, Satornil, Basilide, nicolaïtes) précédées de l'exposé Sur l'Incarnation. Un document fondamental sur le rapport du christianisme avec les païens, les juifs, les philosophes grecs et les gnostiques, qu'il permet de mieux connaître.

08/2023

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Religion

EXHORTATION A LA CHASTETE. Edition billingue français-latin

Ce traité constitue chronologiquement le second volet d'un triptyque, dont le III est la Lettre A son épouse (déjà publié dans la collection) et le 3e l'ouvrage Sur le mariage unique (dont la publication est prévue prochainement). La rédaction, en une quinzaine d'années, de trois livres sur le même sujet, la licéité des secondes noces, suffit à montrer l'importance d'une telle question aux yeux de Tertullien, mais aussi, indissociablement, dans la réflexion de l'Eglise ancienne. Le rigorisme du Carthaginois, son exaltation des vertus de chasteté et de continence, sa condamnation des secondes noces ne reflètent pas l'enseignement officiel de l'Eglise. Mais les positions prises par Tertullien sont révélatrices d'un débat qui la traverse depuis ses origines, dans sa recherche pastorale d'un équilibre entre l'idéal de l'ascèse et l'institution du mariage.

04/1985

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Latin (Collège)

Hannibal, terreur de Rome. Edition bilingue français-latin

Rome et Carthage s'affrontent, au IIIe siècle avant J.-C., pour la domination de la Méditerranée devenue trop petite. Désireux de venger sa cité vaincue dans un précédent conflit, Hannibal passe les Alpes avec mercenaires et éléphants, défait les légions de la République, touche aux portes de Rome, et combat près de dix-sept ans sur le sol italien. Rejoignez cette expédition inouïe qui a marqué à jamais le monde antique et la mémoire romaine.

04/2021

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Religion

SERMONS. Tome 2, Edition billingue français-latin, 2ème édition

Ce volume contient les sermons sur les " Collectes " et sur le carême. Le pape cherchait à convaincre les riches d'ouvrir largement leur bourse et leur grenier, et les pauvres de conserver la paix en retour d'un secours octroyé par les riches, fût-il strictement mesuré, tant étaient grand les besoins. Au travers de ces sermons au style sobre, on devine la misère de l'empire romain à cette époque. Léon se dresse contre l'égoïsme des riches et contre la rancoeur des pauvres.

10/1969

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Critique littéraire

Lettres familières : Rerum familiarium. Tome 6, Livres XX à XXIV, Edition bilingue français-latin

Ce volume, dernier des Lettres familières de Pétrarque, clôture, après la publication des cinq volumes des Lettres de la vieillesse, advenue en décembre 2013, l'immense correspondance de Pétrarque dont la publication a été entreprise en l'année 2002 sous la direction de Pierre Laurens. Le texte est celui de Vittorio Rossi comme dans tous les autres volumes de la série, André Longpré a donné la traduction, révisée par Pierre Laurens, Ugo Dotti, auteur de la Vita di Petrarca, traduite en français et récemment rééditée et augmentée, et à l'heure actuelle le meilleur connaisseur de la biographie du poète, est, comme dans les précédents volumes, responsable des Notices et des Notes, mises en français par Frank La Brasca. Ecrites entre 1358-59 (Pétrarque est alors à Milan) et 1366 (il est depuis 1362 installé à Venise), ces lettres, comme celles des périodes précédentes se partagent entre les deux registres, public et privé. Au premier appartiennent notamment les lettres du vingtième livre où l'auteur, qui lance au même moment les sévères Sine nomine, dénonce la corruption galopante de l'Eglise, représentée à cette date par Innocent VI ; ou les lettres du même livre et du suivant, adressées à l'empereur, à l'impératrice, aux dignitaires laïques et ecclésiastiques, où le poète, qui s'est acquis une remarquable faveur auprès de la très prestigieuse cour de Prague, se réjouit de voir l'humanisme franchir les Alpes, mais ne cache pas sa désillusion, causée par la fuite de Charles IV après son couronnement à Rome qui avait suscité tant d'espérances et, avec force et autorité, exerçant la mission du nouvel intellectuel, rappelle inlassablement à César à ses devoirs. Même si elles ne sont pas politiques au sens strict du terme, ces missives tendent, dans l'économie particulière du recueil, à promouvoir l'auteur - l'intellectuel nouveau de l'humanisme - à une position plus élevée au regard des cercles politiques eux-mêmes, sinon toujours comme un conseiller entendu, du moins comme un maître écouté. - En contrepoint et relevant du registre privé les lettres qui traduisent très librement les dispositions du poète vieillissant, telle la lettre adressée à Jean Boccace au début de l'été 1359, dans laquelle Pétrarque, que son ami soupçonne de nourrir de la jalousie à l'endroit de Dante, se défend contre ce reproche tout en défendant sa conviction que seul le latin et non la langue vernaculaire est la langue par excellence qui convient à toute oeuvre de grande volée. Mais le trait qui distingue ce dernier volume des précédents et met le sceau ultime sur ce monumental recueil, est ; le caractère du vingt-quatrième livre, adressé Antiquis illustribus. Dans ce livre, préfacé par la lettre à l'ami de jeunesse, Philippe de Cabassolles, Pétrarque dialogue, message suprême délivré par l'humaniste à l'antiquité reconquise, avec les plus illustres des Anciens : Varron, Cicéron, Quintilien, Tite Live, Asinius Pollion, Horace, Virgile, Socrate. Particulièrement remarquables sont les deux lettres à Cicéron, la première, écrite après sa découverte des Lettres à Atticus, dans laquelle, ira dictante, il reproche sévèrement à son auteur préféré d'avoir été infidèle à son message philosophique, et la deuxième, où il lui dit sa dévotion et lui restitue son estime et les deux lettres, à Horace et à Virgile, l'une en mètre lyrique, l'autre en hexamètres, double hommage poétique et déclaration d'amour à ses deux poètes de prédilection.

07/2015

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Critique littéraire

Les nuits attiques. Tome 4, Livres XVI-XX, Edition bilingue français-latin

Le quatrième et dernier tome des Nuits attiques d'Aulu Gelle regroupe les livres 16 à 20. Dans ces livres, l'auteur poursuit son travail d'érudition sur les sujets les plus variés, à partir de ses lectures des auteurs anciens, mais aussi des souvenirs de conversations entre ses amis ou ses maîtres, à Rome ou à Athènes. Il se passionne en particulier pour les problèmes linguistiques et l'origine des coutumes et des lois romaines ; le livre 20 s'ouvre sur une controverse célèbre entre un philosophe et un jurisconsulte qui débattent de quelques lois des XII Tables, dont la fameuse loi du talion. Ces livres constituent pour le lecteur moderne une mine de renseignements sur le monde romain à partir de sources, aujourd'hui souvent perdues.

05/1998

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Religion

SERMONS. Tome 2, Sermons 18 à 41, Edition bilingue français-latin

Sermons 18-41

06/1998