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J'ai du courage

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Gestion

Pourquoi j'ai quitté Goldman Sachs

Le 14 mars 2012, plus de trois millions de personnes lisent Pourquoi je quitte Goldman Sachs, l'éditorial de Greg Smith paru dans le New York Times. L'article se propage, devient un sujet récurrent sur Twitter, et suscite des réponses enflammées de la part de Paul Volcker, ancien président de la Réserve Fédérale, de Jack Welch, mythique P-DG de General Electric, et de Mike Bloomberg, maire de New York. Mais surtout, il touche un point sensible de l'opinion publique qui s'interrogeait déjà sur le rôle de Wall Street au sein de la société et sur l'impitoyable mentalité du « Prends l'argent et tire-toi » qui a ébranlé l'économie mondiale ces dernières années. Aujourd'hui, Greg Smith reprend là où il en était resté dans son éditorial. Depuis les combines de son stage d'été pendant la bulle internet jusqu'au drame du 11 septembre, depuis les abîmes du marché baissier jusqu'aux jacuzzis de Las Vegas, les excès du boom immobilier, et le jour où Warren Buffet sauve Goldman Sachs de la faillite, Greg Smith retrace son parcours et nous emmène pour la première fois au cour de la banque la plus puissante et secrète au monde. À travers des détails passionnants, Greg Smith décrit comment la banque qui réalisa l'introduction en bourse d'entreprises comme Ford, Sears et Microsoft, est devenue la « grande pieuvre vampire enserrant le visage de l'humanité » qui traite ses clients de « muppets » et a dû verser un demi-milliard de dollars au gouvernement pour mettre fin aux poursuites pour le plus grand délit d'initié de tous les temps. Après de nombreux entretiens au cours de douze mois avec neuf associés qui s'avérèrent insatisfaisants, Greg Smith a fini par estimer que le seul moyen pour tenter de sauver le système est que quelqu'un de l'intérieur révèle au grand jour l'évolution très périlleuse et égoïste des mentalités et des comportements de nos financiers. Il abandonne sa carrière et décide de prendre les choses en mains. Voici son histoire. Traduit de l'anglais par Johan Frederik Hel Guedj

10/2012

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Histoire internationale

J'ai connu le Tibet libre

" J'ai fui le Tibet en 1959 et je n'oublierai jamais les jeunes Chinois en vareuse triste occupant Lhassa et torturant les nôtres. J'ai vu dans leur regard la violence, l'incompréhension, et les fusils dans leurs mains. Mon maître et moi nous avons fui des jours et des nuits dans les montagnes sacrées qui jusqu'alors nous protégeaient. Et nous avons vu s'éloigner à jamais notre pays tant aimé : le Tibet. J'ai aujourd'hui 78 ans, et je vis en France depuis ces années lointaines. Je n'ai rien oublié. Il est vrai que j'ai toujours eu une grande mémoire des faits, des gestes, des mots, des détails. Et je veux dire aux jeunes générations, à tous ceux qu'intéresse le bouddhisme, ce que fut ce continent englouti, mon pays. Ce que je raconte dans ces pages, je l'ai vu de mes yeux ou je le sais de première main. Je n'omets rien : ni les monastères gigantesques, ni l'aristocratie tibétaine et ses coutumes, ni la ferveur de notre peuple, ni son ignorance du monde extérieur, ni le nomadisme, ni le servage, ni la polyandrie. Je dis les choses telles qu'elles étaient alors - magnifiques, différentes, libres. Et j'espère qu'ainsi, par ce témoignage, mon pays demeurera dans les combats et la mémoire des hommes. " Thoupten Phuntshog

10/2001

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Littérature française

J'ai vécu dans ces temps

Decembre 1943... Dans le Rouen-Paris qui le mène vers sa nouvelle affectation, le capitaine Rainer Wunder, 28 ans, officier de liaison de l'Armée de terre auprès de la Luftwaffe, après deux ans sur le front russe et une blessure, rencontre Hanna Ollenstein, 32 ans, Allemande, juive, communiste et résistante, qui prétend être Alsacienne et "sonde" les militaires Allemands dans les trains et les cafés.Cette histoire d'amour — cinq jours et six nuits d'un bonheur absolu pour Rainer — s'inscrit dans l'Histoire. Olivier Todd, narrateur de ce roman, mêle à cette fiction ses souvenirs d'occupation, des lettres et des journaux intimes. Il a également traqué des témoins et lui, qui avait alors une quinzaine d'années, raconte le lycée, ses premières amours, sa mère communiste, tout cela entremêlé d'autres souvenirs et enquêtes menés après la guerre.Dans l'étrange atmosphère de ce Paris occupé, trahisons, arrestations et dangers de mort constants donnent à la narration une intensité particulière. A côté des personnages fictifs, on croise Picasso, Sartre, Florence Gould, Robert Desnos...

04/2011

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Littérature française

Le chemin que j'ai choisi

Né dans une famille pauvre et très aimante, Eby Amara a vite pris à coeur de réussir ses études pour sortir de cette condition. De sa naissance au Sénégal jusqu'à sa carrière d'enseignant à Poitiers, l'auteur revient sur ce qui fut son djihad, au sens premier du terme, celui que lui a enseigné son père : un effort, une lutte contre soi-même dans le chemin vers Dieu. Fier de ses origines africaines, de sa nationalité française, de sa culture musulmane et de sa femme chrétienne, Eby Amara livre un témoignage éclairant, hymne au métissage et à l'amour ; un formidable message de tolérance, comme un écho lumineux aux sombres dérives de la société actuelle.

11/2015

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Livres 3 ans et +

J'ai vu un magnifique oiseau

Eté 1939. Micha , 8 ans, passe ses vacances à la campagne près de Varsovie. Il a reçu comme consigne de s'exercer à l'écriture, condition sine qua non pour passer dans la classe supérieure. La guerre qui débute va alors s'insinuer progressivement dans son récit de vacances... Ce document d'archive, bouleversant de simplicité, traduit la menace qui vient au travers de phrases brèves. Chaque jour, Micha consigne ses trouvailles et ses activités (J'ai trouvé une grosse chenille dans le jardin - Je suis allé dans la forêt avec un copain) qui évoluent tandis que la guerre se concrétise (Des shrapnels sont passés au-dessus de notre maison - Je me suis caché à l'approche des avions - On entend des tirs de canon). Les peintures splendides d'Ala Bankroft rendent avec beaucoup de grâce l'atmosphère troublée de cet été particulier. A partir de 6 ans

09/2020

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Livres 3 ans et +

Comment j'ai sauvé mon papa

Papa est grognon, bougon, ronchon. Pour le consoler, une seule solution... A toi, les petits trous le diront.

09/2002

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Pédagogie

J'ai le cerveau qui pleure

Valérie Avril Godard, auxiliaire de vie scolaire, décrit ses douze années d'accompagnement d'élèves en difficulté et en situation de handicap au sein de différentes classes. A travers son expérience, le lecteur peut se glisser discrètement dans une ambiance scolaire et devenir un élève spectateur de situations cocasses, parfois drôles, parfois douloureuses, mais toujours touchantes.

10/2019

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Religion

J'ai frôlé l'enfer-DVD

Frappée par la foudre, Gloria Polo connaît un état de mort clinique. A travers cette expérience de mort imminente, elle fera la rencontre bouleversante de l'amour de Dieu. Décapant ! Découvrez le témoignage extraordinaire de Gloria Polo. Frappée par la foudre, elle connaît un état de mort clinique au cours duquel elle fera l'expérience bouleversante de l'amour de Dieu : tous les événements de sa vie apparaîtront alors dans leur vraie lumière. Un récit qui nous bouscule dans notre quotidien, et dont nous ne ressortirons pas indemnes ! Témoignage en VO sous-titré en français.

11/2015

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Littérature française

Papa, j'ai pas tué Jésus

Ce bref récit de quatre-vingts pages évoque l'enfance d'un juif algérien, né en 1944 dans un village proche d'Oran et le parcours qui l'a amené à s'installer en Alsace. Les auteurs tentent de faire vivre au lecteur les impressions et tribulations du petit Yvon, isolé dans une communauté essentiellement composée d'exilés espagnols catholiques, menant sa vie parallèlement à une population indigène musulmane. On y évoque la guerre, l'indépendance et l'exil, la découverte de la vie en métropole mais surtout les couleurs, les odeurs, la lumière et les voix d'une Algérie coloniale maintenant disparue. Il y est bien sûr question de racisme ordinaire mais aussi d'amour, de camaraderie, et de beaux exemples de tolérance et de générosité.

12/2015

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12 ans et +

Comment j'ai appris à voler

Sam rêve depuis toujours d'être une ballerine professionnelle. Mais c'était avant que son corps ne s'en mêle, à s'arrondir à des endroits inappropriés... Bientôt, la jeune fille qui la regarde dans le miroir devient une étrangère. Après une série d'attaques de panique, sa mère - qui ne fait qu'accentuer ses complexes - décide de l'envoyer dans un centre de traitement pour jeunes filles rencontrant des problèmes d'acceptation de soi. Obligée de se livrer devant de parfaits étrangers, Sam n'a plus le choix. Si elle veut participer au ballet dont elle rêve tant depuis des mois, elle doit aller jusqu'au bout du programme. Elle trouve du réconfort auprès du bel Andrew, l'un des animateurs, et apprend peu à peu à dompter ses démons. Mais alors que les désillusions et les trahisons s'enchaînent, Sam trouvera-t-elle la force d'accomplir ses rêves ?

11/2016

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Poches Littérature internation

J'ai tué et autres récits

Qu'est-ce qui a poussé l'élégant et raffiné docteur Iachvine à assassiner délibérément l'un de ses patients? Qui est cet homme qui s'est joint à un groupe pour visiter une vieille demeure russe? Pourquoi est-il presque nu? Tantôt graves et profonds, tantôt loufoques et légers, ces quelques textes révèlent toute l'étendue du génie de l'auteur du Roman de monsieur de Molière.

01/2010

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Critique littéraire

Emile : j'ai survécu à Auschwiitz

L' histoire que je raconte est le témoignage de 3 déportés dont deux sont revenus des camps de concentrations et qui ont su survivre aux privations, aux coups, à la faim, aux maladies, à la misère et qui ont su rester vivant, pour deux d'entre eux, pour pouvoir témoigner de ce que les Nazis ont fait, leurs crimes, et pour ne plus voir ça !

02/2015

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Littérature française

J'ai rêvé que je vivais

Daniel est malheureux dans sa vie. Un rêve va lui faire quitter sa triste réalité, jusqu'à ne plus savoir s'il est en train de rêver ou de vivre. Le mélange des deux dimensions va peut-être lui donner la solution. A lui d'en déceler les indices pour pouvoir trouver la clé de son épanouissement. Entre rêve prémonitoire et réalité affligeante, un meurtre est commis. Qui a tué la femme qu'il croit aimer ? Lui ? Qui d'autre ? Pourquoi ? Autant d'interrogations qui vont lui faire prendre conscience que le bonheur est peut-être là, tout près. Ce n'est qu'une question de choix.

09/2014

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Religion

J'ai perdu un être cher

Eprouvé par la mort de son épouse après 50 ans de vie commune, Jean Proulx offre ici une magnifique réflexion sur le deuil. Dans cette tristesse qu'il appelle sa "joie à l'envers", il cherche des percées de lumière pour transcender l'obscurité de la perte. Sa méditation, il la consigne sous la forme d'une lettre adressée à toute personne affligée par la mort d'un proche. Se pourrait-il que la souffrance accueillie nous guide vers notre vérité intérieure ? Que la blessure recèle sa propre force de guérison ? Que les êtres aimés disparus deviennent nos maîtres et nous réapprennent à vivre ? L'acceptation de l'inéluctable pourrait-elle devenir créatrice ? Sous la plume de l'auteur, le deuil, si douloureux soit-il, devient une traversée vers l'essentiel. Des pages à lire lentement pour retrouver, au sein de la détresse, la paix du coeur.

04/2019

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Littérature française

J'ai vingt ans, je chôme !

Un jeune homme de vingt ans, hésitant entre études supérieures et travail, est confronté à la dure réalité du chômage. Comme lui, des milliers de jeunes se sentent délaissés, ignorés, rejetés d'une société dans laquelle ils ne trouvent pas leur place. Ce désarroi et cette impuissance à ne pas pouvoir franchir la porte de leur avenir les relèguent parfois à une passivité dangereuse et malsaine, malgré eux. C'est ce parcours que le romancier tente de décrire au travers d'une fiction qui, hélas, dépeint aussi la réalité, devant cet abandon d'un idéal où chacun d'entre nous s'enrichit, s'épanouit, en un mot se trouve et trouve son chemin dans une activité aussi diverse soit-elle. Or celle-ci ne leur est pas offerte. Au contraire, c'est une stigmatisation et, trop souvent, un dédale inextricable de démarches comme autant d'obstacles qui se dressent devant eux. Et ceci concerne près d'un quart de nos jeunes...

04/2018

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Policiers

J'ai toujours aimé la nuit

Entre eux, la gueule terrifiante d'un canon de pistolet. La scène pourrait être banale si ce n'était pas le serial killer qui pointait son arme sur le flic. Pour la première fois de sa longue et monotone carrière, Eloi Ephraïm Evariste Pilon est confronté à un tueur, un vrai, un monstre au pistolet d'argent qui lui raconte dix années de crimes sadiques et impunis. Le policier sortira-t-il vivant de ce face-à-face avec l'archange de la mort ?

10/2018

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Littérature étrangère

J'ai couru vers le Nil

Le Caire, 2011. Alors que la mobilisation populaire est à son comble sur la place Tahrir, Asma et Mazen, qui se sont connus dans une réunion politique, vivent leurs premiers instants en amoureux au sein d'une foule immense. Il y a là Khaled et Dania, étudiants en médecine, occupés à soigner les blessés de la manifestation. Lui est le fils d'un simple chauffeur, elle est la fille du général Alouani, chef de la Sécurité d'Etat, qui a des yeux partout, notamment sur eux. Il y a là Achraf, grand bourgeois copte, acteur cantonné aux seconds rôles, dont l'amertume n'est dissipée que par ses moments de passion avec Akram, sa domestique. Achraf dont les fenêtres donnent sur la place Tahrir et qui, à la suite d'une rencontre inattendue avec Asma, a été gagné par la ferveur révolutionnaire. Un peu plus loin, il y a Issam, ancien communiste désabusé, victime de l'ambition de sa femme, Nourhane, présentatrice télé, prête à tout pour gravir les échelons et s'ériger en icône musulmane, qu'il s'agisse de mode ou de moeurs sexuelles. Chacun incarne une facette de cette révolution qui marque un point de rupture, dans leur destinée et dans celle de leur pays. Espoir, désir, hypocrisie, répression, El Aswany assemble ici les pièces de l'histoire égyptienne récente, frappée au coin de la dictature, et convoque le souffle d'une révolution qui est aussi la sienne. A ce jour, ce roman est interdit de publication en Egypte.

09/2018

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Littérature française

J'ai interviewé Dieu le Père

Un journaliste rêve qu'il interroge Dieu sur ses rapports avec la création de l'Univers, l'évolution biologique, les religions, la philosophie, la science, le bien et le mal, l'âme et la vie éternelle. Il découvre un Dieu qui se revendique comme fédérateur des trois religions monothéistes et se considère comme responsable mais non coupable du mal collatéral lié à l'impitoyable évolution biologique qu'il a programmée pour permettre l'arrivée de l'Homme sur la planète Terre. Mais, in fine, ce Dieu foncièrement bon délivre à l'humanité un message de paix, d'amour et de compassion.

04/2017

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Actualité et médias

Comment j'ai sauvé mes enfants

Question banlieue, on croit avoir entendu tout le monde et tout essayé. C'est faux. Les mères n'ont que rarement eu voix au chapitre. Emeutes dans les banlieues, tuerie de Charlie Hebdo, les éternels experts parlent entre eux, mais rien ne change. La précarité, l'échec scolaire, le chômage, la violence, la radicalisation, tout empire. Et qui soigne, qui console, qui pleure ? Les mères, toujours les mères. Nadia Remadna est l'une de ces mères qui, en 50 ans de vie passés entre l'Algérie et la France, notamment à Sevran, cité sacrifiée d'un département rejeté, a tout vu : les profs qui peinent à enseigner, ses collègues assistantes sociales dépassées, les dealers qui recrutent les gamins déscolarisés, les embrouilles qui finissent en prison, les jeunes policiers apeurés, l'islamisation en marche jusque dans son salon. Pourtant, Nadia Remadna refuse de parler de fatalité et de s'accommoder de la misère ; elle a créé pour cela l'association la Brigade des mères pour aider les familles dans les quartiers et éviter les dérives. Dans ce livre, composé de 40 petits chapitres rythmés à la manière de saynètes de stand-up, elle raconte avec un humour ravageur et beaucoup de finesse comment elle a sauvé ses enfants.

01/2016

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Romans historiques

J'ai construit la grande pyramide

Je suis né il y a cinq mille ans dans un village du sud de l'Egypte. J'aurais dû rester paysan, comme mon père. Mais je me suis révolté contre un scribe de la corvée, le Profiteur, et je me suis enfui pour échapper à la prison. Dans la capitale, j'ai eu la chance d'être recruté sur un gigantesque chantier, celui de la future Grande Pyramide de Khéops. Embauché au bas de l'échelle, j'ai écouté les paroles de mes maîtres afin de devenir tailleur de pierre. Et j'ai été associé à toutes les étapes de la construction d'une pyramide unique et inégalable. Vingt ans... Vingt ans d'une aventure peuplée de dangers, au cours de laquelle j'ai connu de rudes épreuves, des amitiés indestructibles et un amour fou. La vie dont je rêvais et qui s'est construite par mes mains. Christian Jacq nous fait vivre la formidable aventure d'un tailleur de pierre prêt à donner sa vie pour que s'élève, à jamais, la Grande Pyramide : la dernière des Sept Merveilles du monde encore visible. Il nous révèle les secrets de ce chef-d'oeuvre érigé il y a cinq mille ans, qui devait permettre à l'âme de Khéops, le pharaon, de rejoindre les paradis de l'autre monde. Un roman exceptionnel.

10/2015

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12 ans et +

Celle dont j'ai toujours rêvé

POUR DEVENIR ELLE-MÊME, AMANDA A TRAVERSÉ BIEN DES ÉPREUVES, MAIS LA PLUS TERRIFIANTE RESTE À VENIR : SA PREMIÈRE HISTOIRE D'AMOUR. Amanda Hardy arrive dans un nouveau lycée. Comme beaucoup, elle souhaite avant tout s'intégrer. Mais malgré sa popularité, un secret l'empêche de s'ouvrir aux autres. Sa rencontre avec Grant remet tout en question. Il est le premier garçon qui parvient à lui faire baisser sa garde. Amanda comprend que pour être heureuse, elle doit se révéler, au risque de tout perdre. Car le secret d'Amanda c'est qu'avant, elle s'appelait,Andrew. Celle dont j'ai toujours rêvé est un récit universel et une fantastique histoire d'amour.

02/2017

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Faits de société

J'ai choisi d'être libre

J'ai décidé d'écrire comme on livre un combat. Ce combat, je le mène en France depuis 2006, date à laquelle j'ai réussi à fuir le mouvement sectaire qui me détruisait peu à peu : le salafisme. Ce courant religieux fondamentaliste prône un retour à "l'islam des origines" et rejette les valeurs de notre République. Mon combat, longtemps mené dans l'ombre, est devenu public en 2015, le jour où j'ai publié deux photos de moi sur ma page Facebook. Sur la première, j'ai la vingtaine, je suis vêtue d'un immense voile noir, le jilbab, ma tenue habituelle. J'ai l'air perdu. Sur la deuxième photo, toute récente, je porte un pantalon et une petite veste élégante sur un tee-shirt. Je suis tête nue. J'ai l'air heureux. J'ai accompagné ces deux photos d'un long message : j'y explique mon ancienne vie de salafiste, et comment je me suis libérée de cette prison. J'ignorais alors que ces photos et ces écrits allaient chambouler ma petite vie tranquille. Ma page Facebook se mua en champ de bataille. Des milliers de personnes se l'appropriaient. La plupart utilisaient mes photos pour s'insurger contre l'extrémisme religieux et l'oppression des femmes, mais d'autres m'insultaient et me menaçaient. Alors, j'ai décidé de me raconter, sans fard et sans fioritures. De dire mon parcours, mes faiblesses, mes erreurs, mes joies et mes victoires. Parce que mon expérience du salafisme en France, mon voyage au coeur de l'enfer, est celui de trop nombreuses femmes, enfermées dans leurs voiles, niées dans leur féminité, victimes de la violence et de la perversité d'une organisation religieuse et sectaire qui les broie. C'est d'abord pour elles, ces femmes, mes soeurs, que j'écris, pour qu'elles sachent que la révolte est une solution et qu'il est possible de dénoncer l'hypocrisie et la brutalité qui animent trop souvent les défenseurs de ces intégrismes religieux.

11/2016

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Littérature sud-américaine

Comment j'ai tué mon père

"Je ne savais pas qu'on tuerait mon père. Aucun enfant ne peut imaginer une chose pareille. Mais ça arrive. J'ai encore du mal à croire qu'à peine trente-cinq grammes d'acier et un gramme de poudre aient pu détruire une famille. Je l'atteste pourtant. Ils ont détruit la mienne". A onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus jamais comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants dans une somptueuse villa entourée de végétation luxuriante, est soudain obligée de quitter l'enfance. Comment devenir adulte lorsque la violence a terrassé l'innocence ? Comment parler à sa mère, qui doit élever seule ses cinq enfants ? Loin de la plainte et de la lamentation, l'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs d'enfant pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères. Chapitre après chapitre lui revient l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans son jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel. Porté par une langue à la fois sobre et sensuelle, Comment j'ai tué mon père se lit en un seul souffle et laisse le lecteur sans voix. Traduit de l'espagnol (Colombie) par Anne Plantagenet

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Littérature française

J'ai toujours aimé les nuages

J'AI TOUJOURS AIME LES NUAGES - Une histoire qui vous entrainera dans un monde dont vous ne saurez jamais vraiment s'il est réel ou imaginaire ! Rêver, inventer, fantasmer, s'évader... Depuis son plus jeune âge, David excelle à métamorphoser chaque minute de son existence en une délicieuse divagation. Lorsqu'un drame fait basculer sa vie, le destin lui accorde une seconde chance en le ramenant à l'âge de huit ans. Mais est-ce bien la providence qui lui fait ce cadeau ou s'agit-il d'une simple projection de l'esprit ? EXTRAITS : J'étais devenu expert dans la pratique du rêve éveillé. Il faut dire que j'avais commencé très jeune. Ma mère me racontait souvent que je n'étais qu'un nourrisson lorsqu'ils s'aperçurent, mon père et elle, que mes innombrables sourires ne leur étaient pas adressés, mais qu'ils semblaient émerger de mon intérieur profond et s'offrir plutôt au vide qui m'entourait. Ma mère en était toujours un peu désappointée quand mon père, plus cartésien, cherchait obstinément à savoir ce qui me transportait ainsi. Il passait alors un long moment à essayer de comprendre ce que mon regard planant ne fixait jamais vraiment ; un cadre, un coin de meuble, un chausson, une mouche... Comment aurait-il pu imaginer que j'étais déjà dans les nuages ? - Qu'avez-vous fait du corps ? - Je l'ai déjà dit cent fois, monsieur le président. Je ne l'ai pas tué. Ces gens-là ont la vie dure. Ce n'est pas deux ou trois petits coups de pelle... - Vingt-sept ! Les témoins ont compté vingt-sept coups de pelle ! - Oui, bon, vingt-sept si vous voulez ! Mais il n'était pas mort ! Je peux vous l'assurer ! Pendant le voyage, il a englouti le panini, les frites, le sac en papier et même le bidon de lave-glace qu'il a trouvé dans le coffre ! - De quel voyage parlez-vous ? De celui où vous l'avez reconduit dans les Pyrénées ou bien de celui ou vous l'avez ramené à son époque ? J'étais là, sur la paillasse crasseuse, à regarder le ciel à travers les barreaux. Ma libération n'était plus qu'une question de jours ; d'heures peut-être ? Kéline avait eu la bonne idée de faire analyser les cheveux et les poils retrouvés dans le coffre de la voiture. Ils dataient du paléolithique moyen, et plus précisément de 50 000 avant le présent... LES LECTEURS EN PARLENT : SUNSET J'ai adoré ce tourbillon de vie entre rêve et réalité. EMELINE Ce petit bijoux mériterait 100 pages de plus ! SOPHIE Lecture originale et émouvante. Dommage que ça aille si vite !

01/2023

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Josei/femme

J'ai décidé d'être maman !

"Si une maman pleurait à côté de moi, j'aimerais la prendre dans mes bras et pleurer avec elle. C'est ce que j'ai voulu faire à travers ce manga. Si cet ouvrage peut consoler ne serait-ce qu'une personne, alors ça aura valu la peine que je le dessine".

09/2022

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BD religieuses

Ictus Tome 6 : J'ai soif

Après s'être évadé de prison, Jean le Baptiste s'est réfugié en Samarie où Hérode n'a pas la gouvernance. Jésus, désireux de le rencontrer, va en Samarie. Il y rencontre des gens qui ont une grande soif de connaître la Bonne Nouvelle de son message. De retour en Galilée, Jésus emmène à l'écart les douze pour qu'ils puissent vivre un temps fort spirituel. A l'issue de cette semaine, ils ne sont plus des disciples, mais il es établit comme apôtres. A leur tour, ils doivent annoncer l'Evangile.

12/2022

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Religions orientales

Comment j'ai appris la simplicité

Satish Kumar est l'un des principaux maîtres spirituels vivants. Il défend depuis cinquante ans une autre vision du bonheur - ; non pas la consommation des êtres et des choses, mais un rapport au monde qui réconcilie spiritualité et écologie. Mais comment mettre en oeuvre une telle vision ? Par la découverte de la simplicité. Et pour nous montrer comment cette simplicité rend heureux, Satish Kumar nous raconte son propre parcours et se met ici à nu. Il montre que, loin des idées reçues et des injonctions, la simplicité se construit dans un engagement quotidien du coeur, de l'esprit et de notre créativité. La simplicité ainsi comprise est une joie, une célébration et un apaisement profond. L'un des livres majeurs pour retrouver confiance et espoir et devenir le changement que nous voulons voir s'accomplir.

03/2022

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Albin michel

Et j'ai rêvé le jour

Au commencement, il y a très longtemps, seul existait le noir, immense et froid. Puis une onde emplit l'espace, grossissant jusqu'à l'explosion. Elle donna naissance à deux points noirs : ce fut le début des formes et du mouvement. La lumière devint plus forte, les couleurs apparurent et, avec elles, de nouvelles formes. Car l'imagination sans limite était aux commandes... Ce grand rêve est celui de la création du monde racontée à la première personne par ce qui est peut-être "l'atome de la vie". Julie Safirstein nous guide à travers ce voyage en boucle où, à chaque page, le monde s'invente. Elle superpose à ses peintures des calques qui les complètent, les modulent et les enrichissent. L'autrice nous livre ainsi son interprétation littéraire du Big Bang de l'existence dans un graphisme minimaliste et fort. A partir de 3 ans.

03/2022

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Divers

J'ai vu des vêtements sauvages

Inès est en stage à Tokyo. Simon devait la rejoindre, mais le confinement annule l'avion. Alors, il parcourt les îles du Japon avec Google Maps, faisant du tourisme depuis son canapé. En passant d'île en île, le moteur de recherche lui soumet les avis de ses visiteurs : "L'eau n'est pas très bonne ambiance". Les voyageurs s'expriment sans aucune limite. Ils notent paysages et cafétérias. Ils ont un avis à donner aux autres qui comptent s'y rendre. " J'ai vu des vêtements sauvages. Buvez de l'eau douce naturelle". C'est déjà mal traduit, c'est pratique. Ca ressemble à de la poésie. En les traduisant à nouveau par le dessin, Inès propose une sorte d'étirement graphique. Un enfant blasé essaie tant bien que mal de faire barrière à la mer qui lui coule sur le coude. Une géante fait du hula hoop dans la nuit en prenant soin de n'écraser personne. Dix smileys fâchés paradent avec des pouces vers le bas sur un parking. Autant de situations énigmatiques dont l'étrangeté est encore renforcée par son dessin tout à la fois brut et délicat. Dès lors, difficile de résister à ce recueil pour partir en territoire insulaire. On aurait plutôt envie, au contraire, de s'y laisser glisser jusqu'à complètement chavirer.

09/2022

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Romans policiers

Comment j'ai tué ma famille

1. Tuer ma famille 2. Réclamer leur héritage 3. M'en sortir 4. Adopter un chien Telle est la liste des priorités de Grace Bernard, anglaise, vingt-huit ans, des Louboutin aux pieds. Sauf que, en ce moment et à son grand regret, elle arbore plutôt l'uniforme terne et plastique de la prison de Limehouse. Comme quoi, planifier l'assassinat de chacun des membres de sa famille dès le tendre âge de treize ans n'est pas toujours gage de réussite. Et franchement, se voir condamner pour un meurtre que l'on n'a pas commis lorsqu'on en a mené à bien six autres, cela manque un peu de panache. Mais pas question pour Grace de se coltiner sa pénible compagne de cellule jusqu'à la fin des temps : elle compte bien l'emporter en appel et, d'ici là, quelle meilleure manière de s'occuper que de coucher son histoire sur le papier ? Même si, bien sûr, personne ne la lira. Rappelez-vous les points 2 à 4. Avec ce premier thriller pétri d'humour noir, Bella Mackie dresse le portrait d'une génération luttant, à sa manière, contre les injustices qui lui sont faites. Un récit jubilatoire, et surtout, une lecture inoubliable. Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Marie Chivot-Buhler