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Les accouchantes nues. Journal psychiatrique

Extraits

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Littérature française

MAUVAISES FOIS. Journal 1995

Annoncé depuis longtemps, voici enfin le premier volume du Journal de Pierre Chalmin qui s'était fait connaître naguère avec Le Petit Crevé, paru au Dilettante. Mauvaises Fois est le journal scrupuleux d'une petite vie sinistre, consignée sans fard avec le tranquille cynisme d'un jeune auteur, sorti du souterrain dostoïevskien, qui refuse d'admettre qu'il a tout à se reprocher. Evitant cependant l'écueil propre au genre des énormes fatuités bavardes, Pierre Chalmin parvient à amuser dans le renouvellement des disgrâces et la répétition des échecs qui font son ordinaire calamiteux. Il lui fallut sans doute cette année-là (1995) une forme très spéciale de talent qu'on ne songera pas à lui envier, pour ainsi tout rater : amitiés, métier, livres et maîtresse... Le ton de l'auteur, rageur ou burlesque, ironique ou blasé, tour à tour irrite et provoque l'hilarité. Apparaît, derrière ce tableau d'un désastre intime, la trame d'une époque sans grandeur contre laquelle l'auteur se débat sans succès.

09/1999

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Littérature française

Journal d'un veau

" Que vienne mon tour et tu verras, ô grande bouche, de quel velours je suis fait. Avec moi, tu ne connaîtras jamais plus la nuit ni l'obscur du corps, mais une blancheur, une blancheur éternelle. " Vil, veule, velléitaire, bêlant, le veau pleure sa grâce perdue, son innocence laiteuse. Il appelle son élu, aspire à son palais. Il met dans ses regrets et dans son désir de sacrifice tout ce qu'il y a de plus haut et tout ce qu'il y a de plus bas, en fier équilibriste de la chair blanche. Tour à tour émouvant et odieux, l'enfant de la vache renie le taureau, se réfugie dans le sentimental, puis sombre dans la violence et rêve aux pires holocaustes. Rien de ce qui est inhumain ne lui est étranger : la mort partout présente, convoitée dès l'enfance, la pureté innommable et ses terribles cruautés, le racisme enfin, les plus terrifiantes persécutions bouchères... Son monologue, ardent jusqu'au délire, révèle l'horreur qui se tapit sous la mère, et ce qu'il y a de barbare dans la mièvrerie insinuante des plus doux amis de l'homme. Cette viande se croit destinée. Elle veut sauver le monde. Le monde a du souci à se faire.

10/2005

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Développement durable-Ecologie

Journal de guerre écologique

"Nous savons que l'Humanité fait face au plus grand défi de son histoire. Nous savons que les écosystèmes dont nous dépendons menacent de s'écrouler. Nous savons qu'il y a urgence. Le doute n'est plus d'actualité. Chaque jour, au coin de la rue ou à l'autre bout de la planète, un nouveau front s'ouvre. Partout, des femmes et des hommes ont décidé de se lever pour sauver ce qui peut encore l'être, ou pour poser les bases d'un nouveau monde. Qu'ils soient scientifiques, activistes, militaires, ou lanceurs d'alerte, ils mettent toutes leurs forces dans la bataille. Leur victoire sera la nôtre, leur défaite aussi. Allons renforcer leurs rangs. Unissons-nous pour faire basculer la balance du bon côté. Ensemble, nous pouvons remporter cette nouvelle guerre mondiale". Auprès de celles et ceux qui s'engagent sur le front de l'environnement, Hugo Clément dessine une carte stratégique des actions à mener. La Terre restera-t-elle une planète habitable pour notre espèce ? Tel est l'enjeu de notre dernier combat. Hugo Clément est journaliste, engagé dans la défense de l'environnement. Il produit et anime la série documentaire Sur le Front (France Télévisions), et a publié Comment j'ai arrêté de manger les animaux (Seuil, 2019).

10/2020

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Littérature française

Journal de la peste

Ce petit manuel de survie par gros temps a d'abord servi de thérapie à qui l'a écrit. Avec l'espoir, pour qui le lira, d'un bénéfique effet de contagion. Je m'y livre au jour le jour — vivant par chance parmi les arbres — à diverses consolations pour pallier la solitude : la musique omniprésente, les voix de la nature et quelques menus plaisirs, toujours trop brefs, sur fond de grisaille. A partager... P.S.

06/2020

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Poésie

Qui journal fait voyage

Vous voulez savoir ce que c'est, du côté de l'écriture, parler poétiquement de notre société, qui n'est pas toujours facile à vivre, surtout quand elle n'est pas facile (à vivre) ? Alors ouvrez des catalogues de Salons, d'Expos, etc., lisez les avant-propos inévitables de personnalités, notables, etc., le plus souvent enfilages de lieux communs, banalités, platitudes, etc. Et puis ouvrez le livre d'Edith Azam, à n'importe quelle page : et vous saurez mieux ce que c'est, parler en poète de notre société quand elle n'est pas facile à vivre. Ici, dans les halls de gare, avec la sécu. ou ailleurs, un humour superbe secoue les difficultés, le combat avec le corps et le langage. Jean Esponde

02/2012

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Littérature érotique et sentim

Le Journal de Carrie

Carrie a 17 ans, elle porte des gogo boots vintage, ses copines la trouvent fabuleuse, elle rêve d'être écrivain, elle a son premier coup de foudre, elle customise son sac avec du vernis rose... Et demain, elle sera Carrie Bradshaw, la reine de New York.

05/2012

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Santé, diététique, beauté

Journal d’un suicidé

Le titre parle de lui-même.

03/2012

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Littérature française

Journal du huitième hiver

"Je suis arrivé la veille d'un nouvel An, il y a quinze ans, dans une ville de la vaste patrie européenne où l'on parlait une langue qui m'était familière, semblable et diverse. Cette parole d'un poète russe, née sous le feu noir de la révolution, guidait mes pas : "Il est un droit qui manque à la Déclaration des droits de l'homme, celui de s'en aller." "Je lis la rencontre d'une Française de l'Emigration et je compris, en cette nuit du 31 décembre, le sens de ce mot tel qu'il s'incarna dans l'Exode de l'ère nouvelle. Je pris la route et connus l'immense famille des "réfugiés spirituels", ceux qui n'avaient pas renoncé à vivre leur vie. Et, peu à peu, j'eus à coeur de raconter leur histoire, qui se mêlait à la mienne. "La Lumière du Saint- Empire, qui s'est projetée en Europe du Tibre au Rhin et à la Baltique, est la seule idée politique qui éclaire ces pages. "Cette confession sentimentale commence par une lettre et finit par une lettre, dans un mouvement d'ouest en est, comme l'esquisse d'un retour. L'anecdote est la muse de ce journal, un sursaut de l'âme individuelle, éternelle étrangère à l'abstraction des masses. "Le rédacteur n'est mû par nul autre désir que dire sa gratitude et sa fidélité aux êtres et aux lieux qui lui ont répondu."

05/2012

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Littérature française

Journal d'une mère

Tout au long de cet ouvrage, vous découvrirez page par page, des paroles bien sages. Parce que la vie n'attend pas, parce qu'elle vaut vraiment la peine d'être vécue, parce que l'amour sous toutes ses facettes peut et doit être exploité, parce ce qu'il n'y a pas de vie là où il y a de l'ennui... Soyez heureux en vous pour rendre heureux, soyez courageux pour être mieux et vivre mieux... Mon journal guidera vos pas, vous sortira de vos tracas, voilà là l'histoire d'une vie, l'histoire de ma vie. Poser sur ce papier tous mes chagrins, mes prières, ma philosophie de la vie, mes craintes...

07/2013

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Littérature française

Journal de la mort

Manuscrit inachevé retrouvé dans le garage d'Henri Pollès, quelque temps après son décès dans l'incendie de sa maison à Brunoy, ce carnet est celui où l'écrivain notait ses réflexions sur la mort.

02/2010

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Littérature étrangère

Dépendances. Journal (1912-1913)

Érotomane. Graphomane. Morphinomane. Chacun de ces qualificatifs définit à un moment ou un autre la figure de Géza Csàth, homme aux multiples dépendances. Près d'un siècle après sa mort, il continue, en Hongrie d'où il est originaire, et dans le monde où son oeuvre est largement traduite, à susciter interrogations et impressions contradictoires. Avec son journal enfin traduit en français, on découvre la face cachée de cet écrivain génial qui mit à se torturer une passion toute particulière. Œuvre littéraire exceptionnelle née en marge de la psychanalyse balbutiante, ce Journal intime dévoile les facéties libertines et féroces d'un héritier de Casanova se muant peu à peu en victime d'une terrible tragédie. L'écriture ne pardonne pas, croit-on savoir : en voici une preuve stupéfiante.

10/2009

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Science-fiction

Journal d'un ange

On a raconté beaucoup de choses sur le Paradis, mais rarement quel divin panier de crabes il abrite. Les archanges se tirent dans les pattes, se jalousent, et la situation économique est telle qu'on envisage de revendre le Purgatoire aux Enfers. Mors, quand des anges gardiens commencent à disparaître en série, le Ciel s'assombrit au-dessus d'Eriel, ange inquisiteur chargé de l'enquête. Mais retrouver des anges gardiens perdus dans la nature humaine en pleine Coupe du monde de football s'avérera bien plus difficile que de faire passer un chameau par le chas d'une aiguille.

06/2009

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Histoire de France

Bortaï. Journal de Campagne

Le 6 février 1941 à 3 h 30, une colonne de véhicules militaires franchit le pont sur la Dungu et s'enfonce dans la nuit. Le colonel Edmond Van der Mersch, commandant le 5e régiment des troupes belgo-congolaises, venait de donner le signal de départ du premier contingent. Le XIe bataillon d'infanterie devait rejoindre les forces britanniques échelonnées le long du Nil entre Juba et Karthoum. Cette première mission de protection de la voie de ravitaillement du Cap au Caire devient rapidement offensive. Pour ce premier corps expéditionnaire, ce sera l'escalade des monts Kirin et la prise d'Asosa, le retour vers le sud et le tragique " Killing round " du glacis devant Gambela, les combats de la Bortaï, la victoire finale de Saïo (Dembidollo), fin des hostilités en Abyssinie par la reddition des dernières divisions italiennes repliées dans la province du Galla-Sidamo. L'auteur nous plonge dans son journal de campagne, raconte les péripéties journalières des troupes belgo-congolaises. Sans connaître l'issue de ces moments authentiques, ce récit africain aboutit à la première victoire alliée sur les forces de l'Axe, présentant la Deuxième Guerre mondiale sous un angle encore peu connu. De nombreux documents inédits relatent divers aspects de son action au profit de ses anciens frères d'armes. Ils sont joints à l'attention d'historiens ou de chercheurs soucieux de fixer la mémoire des évènements passés.

02/2011

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Littérature étrangère

RETOURS. Journal de Budapest

C'est l'histoire du retour d'une femme, après des années d'oubli, vers la ville que jadis elle appelait son foyer. Sa relation particulière avec cette ville se résume le mieux par celle qu'elle entretient avec la langue : elle parle cette langue comme une langue maternelle, mais avec un accent. Est-ce bien la même ville qu'elle a connue, enfant ? Oui et non. La ville a changé, et elle aussi. Pourtant certaines choses demeurent. Un des fils conducteurs de son histoire est la quête de traces : traces de son enfance, de la vie de ses parents et de leurs familles, des communautés Juives de Pologne et, de Hongrie. Parfois cette quête prend la forme de visites de rues, de maisons, de quartiers, de villes. Parfois, il s'agit de rechercher des copies de documents officiels - certificats de naissance, de mariage, dé décès. Ces documents sont le signe d'une existence passée, une forme du souvenir. Leur absence peut témoigner d'une tentative pour éradiquer, pour extraire jusqu'à la racine. Dans certaines villes polonaises, on ne peut plus trouver aucun document attestant la naissance. Ou la mort d'un seul juif.

02/2000

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Littérature française

Journal de la création

Aux hommes la création, aux femmes la procréation? Aux hommes les romans et aux femmes les enfants? Aux hommes l'esprit et aux femmes le corps? Cette vieille distribution des rôles, après avoir beaucoup tué (les élans corporels des hommes comme les aspirations artistiques des femmes), est en train de mourir à son tour. Mais les soubresauts sont violents: ils se lisent, notamment, dans la vie des couples d'écrivains qui, depuis un siècle, ont tenté de trouver des manières neuves d'articuler le corps et ses productions, mortelles ou immortelles. Histoires célèbres, comme celles de Scott et Zelda Fitzgerald, Sand et Musset, Sartre et Beauvoir; moins connues ou méconnues, celles de Hans Bellmer et Unica Zürn, Georges Bataille et Laure Peignot, Sylvia Plath et Ted Hughes, Virginia et Léonard Woolf. Histoires où rôdent maladie, malheur, folle, suicide. Mais, au fur et à mesure que progressait cette étude, j'ai moi-même connu des états d'âme et de corps inouïs. Ce livre est aussi la chronique de ces bouleversements là... dont, pour finir, une grossesse; il s'arrête le jour de la venue au monde de mon enfant.

02/1990

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Critique littéraire

Journal d'un journaliste

Journal d'un journaliste s'ouvre par une soirée chez Cocteau en 1927 et se clôt par une discussion avec Malraux en 1971. Dans l'intervalle défile un demi-siècle de rencontres, de dialogues, de confidences, d'impressions échappés d'un incroyable carnet d'adresses. Au carrefour des arts et de la politique, on croise ici Aragon, Camus, Céline, Colette, Dali, Léon Daudet, Gide, Jouhandeau, Maritain, Mauriac, Maurois, Morand, Rubinstein, mais aussi Mussolini, Pétain ou De Gaulle. Sur fond d'années folles, de péril hitlérien et d'après-guerre, Saint Jean dessine un monde en pointillé et fait entendre une comédie humaine en morse, où la légèreté côtoie le drame. Un homme revient sou-vent, l'ami de toute une vie : Julien Green. Green saisi dans son oeuvre et dans sa foi, et qui disait de ce Journal : " Il est toujours intéressant par quel. ue bout • 'l'on le prenne. "

11/2009

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Loisirs et jeux

Mon journal intime Spirit

Un très joli journal intime aux couleurs de Spirit et Lucky pour raconter tous ses secrets !

09/2020

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Littérature française

Déposition. Journal 1940-1944

"Parce qu'il est un des meilleurs amis que j'aie au monde, mais aussi à cause d'une dette spirituelle car bien avant de le connaître je le lisais - et il ne sait pas combien je lui dois." Antoine de Saint-Exupéry. "Par son admirable sincérité, par la probité d'une logique qui habille tous les faits, tous les hommes, tous les propos sur mesure, Déposition est pour l'historien un des témoignages les plus directs et les plus précieux dont il puisse disposer pour recomposer l'évolution des esprits dans un coin de terre française, entre les temps nauséeux de l'armistice stagnant et cette grande année de la Libération." Lucien Febvre, Les Annales, 1948 "Werth n'oublie pas cette formulation de Febvre : "Au fond de l'histoire, il y a des sentiments." Cette quête des ambivalences, cette complexité des portraits pourtant composés avec une si féroce netteté, cette prise en compte de toutes les composantes, c'est ce que recherchent aujourd'hui, plus que naguère sans doute, les historiens qui travaillent sur cette période. C'est ce qui rend ce texte à tous égards singulièrement moderne. Un texte hors du commun. " Jean-Pierre Azéma, juillet 1992. "Déposition est le journal littéraire d'un écrivain en pleine maturité, et celui d'un esprit rebelle à tous les embrigadements. (.../...) S'il présente un intérêt historique évident, ce n'est pas seulement parce que c'est un document exceptionnel sur la France profonde pendant l'Occupation, c'est parce que Werth préfère toujours l'analyse objective aux facilités du manichéisme." Gérard Meudal, Libération

01/2006

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Littérature française (poches)

Journal à quatre mains

En mai 1940, une brune et une blonde, au 44 de la rue Vaneau. La brune, c'est Benoîte Groult, la blonde, sa sœur Flora, de quatre ans sa cadette. De 1940 à 1945, de la " drôle de guerre " jusqu'à la Libération, ces deux adolescentes tiennent un journal à quatre mains. Une traversée des années noires où le regard convenu de deux jeunes filles rangées s'ouvre à une tout autre réalité, celle du marché noir et des rafles, de la répression et de la TSF clandestine. Mais aussi au vent nouveau qui commence à souffler, à la vie nocturne et aux premières amours. Un témoignage d'une sensibilité unique sur la France occupée.

04/2008

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Histoire internationale

Journal, notes, impressions, souvenirs

Journal, notes, impressions, souvenirs du Baron de Galembert / recueillis et mis en ordre par un de ses enfants Date de l'édition originale : 1888 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2020

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Santé, diététique, beauté

Journal d'un passage

Caroline Duburcq témoigne de l'accompagnement de son père sur ses derniers mois de vie. Et comment, jour après jour, s'est installée et a grandi la présence intérieure pour pouvoir traverser cette épreuve avec lui. Le maximum sera fait pour qu'il puisse rester chez lui et minimiser les séjours à l'hôpital qu'il redoute tant. Malgré la détresse et la peur de la séparation, derrière tous les chocs successifs, a pu s'installer une communication de coeur à coeur. Son père a su mener parallèlement sa vie professionnelle de chef d'entreprise et une vie publique à laquelle il tenait beaucoup, en prenant des responsabilités comme élu local et aussi à la chambre de commerce de Lille. Sens du devoir, humilité et pudeur caractérisent cet homme dont les peurs sont à la hauteur de sa bonté. On récolte ce qu'on "s'aime", et Caroline en est ici le principe vivant à travers ce grand message d'amour.

12/2015

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Littérature française

Journal d'un philosophe

Journal d'un philosophe / par Lucien Arréat Date de l'édition originale : 1887 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2020

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Faits de société

Le journal de Yalda

" Je m'appelle Yalda. J'ai 17 ans et je suis afghane. Quand j'avais 5 ans, nous avons fui la guerre pour nous réfugier à Islamabad, au Pakistan, où j'ai vécu dans la poussière. A la télé, j'ai vu mon pays sombrer dans l'obscurantisme, les femmes réduites à néant par les taliban. Lorsqu'on m'a proposé de poursuivre mes études à Paris, j'ai pensé : c'est la chance de ma vie. Ma famille a dit oui. Je n'ai encore jamais pris l'avion, je n'ai encore jamais vu de femmes sans voile ailleurs qu'à la maison. Chez moi, à mon âge, une fille est mariée, souvent sans son consentement. Hier soir, avant mon départ, on m'a offert un cahier avec sur la couverture une montagne enneigée. Pour y écrire ce que j'ai sur le cœur. " C'est le regard lucide, étonné et souvent drôle d'une jeune femme afghane sur nos mœurs : le voyage de Yalda en France.

09/2005

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Philosophie

Le Journal du séducteur

" Le titre du livre, en lui, ne frappait pas mon imagination, je pensais que c'était un recueil d'extraits, ce qui me paraissait tout naturel car je savais qu'il s'était toujours appliqué avec zèle à ses études. Mais le contenu était tout autre. Il s'agissait en effet d'un journal, ni plus ni moins, et tenu avec beaucoup de soin ; et bien que, d'après ce que je savais de lui auparavant, un commentaire de sa vie ne paraisse pas tout à fait indiqué, je ne peux pas nier qu'après un premier coup d'œil dans ce journal, le titre n'ait été choisi avec beaucoup de goût et de compréhension, témoignant, sur lui-même et sur la situation, d'une véritable supériorité esthétique et objective. Ce titre est en parfaite harmonie avec tout le contenu. Sa vie a été un essai pour réaliser la tâche de vivre poétiquement. Doué d'une capacité extrêmement développée pour découvrir ce qui est intéressant dans la vie, il a su le trouver et, l'ayant trouvé, il a toujours su reproduire ce qu'il a vécu avec une veine mi-poétique. " S. K.

03/2000

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Actualité et médias

Journal d'un infréquentable

Que s'est-il vraiment passé en France, entre 2015 et 2017 ? C'est - par-delà les élections, les scandales, les faits divers ou les faits people - ce que détaille impitoyablement ce Journal d'un infréquentable. Au fil de son récit, Guillon mêle ses souvenirs intimes (comme la disparition cruelle de son hamster Diabolo...), ses rencontres marquantes (Jean-Paul Belmondo dans une boutique de prêt-à-porter, ou Charb, le directeur de Charlie Hebdo quelques mois avant sa mort...) et ceux qui émaillent sa vie quotidienne, en famille, dans les coulisses de la télévision, en tournée... On y découvre des personnages connus ou anonymes, mais toujours hauts en couleur : son patron, monstre télévisuel dépourvu d'affect ; son assistant Antoine, féru d'humour noir, au point de choquer Guillon lui-même ; sa femme Muriel, son double, son metteur en scène mais qui au fil de la saison tombera sous le charme d'Emmanuel Macron, obligeant Guillon à écrire ses punchlines en cachette... Se dessine alors en creux le portrait d'un humoriste qui ne s'épargne pas. "On pensait avoir à faire à Lenny Bruce, on se retrouve avec Jean Rochefort dans Tandem", écrit-il de lui-même. Un infréquentable à fréquenter sans tarder !

03/2018

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Faits de société

Journal d'un flic

Peu de métiers sont aussi propices que celui de policier pour observer et comprendre les évolutions de notre époque. Pourtant, la police parle peu. Et quand elle parle, l'écoute-t-on vraiment ou filtre-t-on ses propos à travers le crible des préjugés et des blocages qui touchent cette profession ? Pour la première fois cependant, un officier en activité parle à visage découvert de son institution et brise l'omerta : le commandant Philippe Pichon se met à table. Dans cet ouvrage mêlant le récit d'expériences personnelles et le regard d'un spécialiste exigeant. il répond précisément aux interrogations de l'opinion. Pourquoi choisit-on de se laisser dévorer par cette profession si décriée ? Quelles sont les lois de fonctionnement de cette institution ? Et les sanctions. si on ne les respecte pas ? Quels liens existe-t-il avec les pouvoirs judiciaire et politique ? Quel regard porter sur les zones urbaines, l'émigration, la violence. les archaïsmes du système, les interventions hiérarchiques, les gâchis... ? Ce témoignage étayé, remarquablement écrit, est aussi une réflexion sur les banlieues, un essai sur l'état d'esprit actuel de la police et un document sur certains dossiers qu'il a suivis, de Seine-Saint-Denis à Saint-Tropez. Et s'appuie sur des faits précis, tirés de son engagement quotidien dans les commissariats comme sur le terrain. La voix - courageuse - de l'auteur s'élève pour éclairer d'un ton original et littéraire un des débats les plus complexes et fondamentaux d'aujourd'hui : la place de la police dans notre société.

03/2007

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Critique littéraire

K. 310. Journal 2000

«Il faut bien le savoir, on ne peut pas mener contre la presse une guerre médiatique. S'y essaie-t-on, on se trouve à peu près dans la situation d'une armée qui n'aurait d'autres munitions que celles que l'ennemi lui envoie pour donner l'illusion qu'il y a une vraie guerre, à la loyale. Il serait trop peu dire que l'adversaire a le choix des armes : il en dispose seul. Il dispose seul du choix du terrain, il dispose seul du choix du moment. Il dispose entièrement de vous. Vous n'êtes qu'une marionnette entre ses mains, qu'il revêt du costume ou de l'uniforme de son choix, et qu'il agite un peu de temps en temps, pour donner au public l'illusion que son pouvoir n'est pas absolu. Tout livre doit hurler à son lecteur : ne compte pour me connaître que sur toi. Ne me juge qu'avec tes propres yeux, et ton propre esprit. Cherche-moi par toi-même et cherche par toi-même les livres qui me suivront, comme ceux qui m'ont précédé. Ne m'oublie pas. N'oublie pas que je ne vis que par toi, et que tout est fait pour nous séparer. Ne compte pas sur le journalisme pour te parler de moi. A mon sujet, ne fais confiance ni à son silence, ni à sa parole. Souviens-toi que nous sommes en guerre, lui et moi. Souviens-toi que nous sommes en guerre. Souviens-toi qu'il occupe entièrement le pays. Ne m'oublie pas. N'oublie pas mes frères. Souviens-toi que nous serons de plus en plus difficiles à trouver, selon toute vraisemblance - de moins en moins visibles, de plus en plus entourés de silence. Souviens-toi que nous prenons le maquis, eux et moi, et que nous retournons à la nuit, dont nous ne sommes sortis qu'un moment, deux ou trois siècles.» K. 31O est le journal de Renaud Camus pour l'année 2000, celle de l'"affaire Camus" qui fit couler tant d'encre. Au milieu de cette campagne violente, l'andante cantabile de la sonate Köchel 310 de Mozart était la seule musique dont son oreille s'accommodât.

06/2003

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Couple, famille

Cheikh. Journal de campagne

Un cheikh est souvent un chef de tribu ou un notable vers lequel le groupe se tourne pour recueillir des conseils. Mais dans une société industrielle comme la nôtre, dans le milieu homosexuel où la crise identitaire est parvenue à son sommet, peut-il en exister encore ? Oui. A sa manière, Didier Lestrade en est un. Après plus de vingt ans d'activisme, ce journaliste, homosexuel et séropositif, a quitté la capitale pour s'installer sur une colline où, depuis quatre ans, il accueille ses amis venus lui raconter la vie en train de continuer à Paris sans lui. Et observe le monde en suivant les traces du cultissime Walden d'Henry David Thoreau. Isolement, autarcie, décroissance, slow culture, ébullition de l'Internet, pornographie, silence et contemplation de la nature pourraient être les mots clefs résumant les sujets abordés dans cet ouvrage. Poésie, trahison, rejet et émerveillement, soulagement et colère aussi, tant ce "journal de campagne" offre des pistes amoureuses et morales permettant d'affronter l'évolution d'une génération qui manque singulièrement de sagesse. Ce livre n'est donc pas seulement la révélation de la face cachée de l'homosexualité moderne, c'est un récit personnel et polémique qui prend à témoin la société. C'est le message d'un cheikh d'aujourd'hui qui veut croire que son expérience peut servir. Un livre qui annonce une nouvelle vie.

03/2007

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Littérature française

Le journal de Lucas

Lucas Chanceux vous présente dans son journal un an de sa vie à Bordeaux avec ses trois colocataires : Yoko, Jamel et Victoria. Au fil des mois et des saisons, vous découvrirez, entre autres, son travail dans une librairie, ses amours, ses poèmes et sa passion pour les faits divers. En résumé, vous allez suivre ses aventures extraordinaires du quotidien

02/2019

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Poésie

Journal d'une seconde

Journal d'une seconde est un témoignage d'exil. L'exilé est toujours tiraillé entre les deux rives du pays natal et du pays d'adoption : entre le Chili et la France, le voyage fut long pour Patricio Sanchez et c'est dans le lait de la poésie qu'il a reconstruit patiemment sa vie. Sous influence des grands poètes chiliens, il témoigne d' «Un pays en forme de poignard, telle une braise brûlante dans la poche. Un pays fait de lumière et de pain frais» Il trace à l'adresse de Neruda et de Gabriela Mistral une autobiographie du néant, il se souvient des maisons d'Atacama et du fleuve de pierres pour se glisser peu à peu hors de l'exil, dans les cafés. Partir, ne pas s'attarder, tel est le destin poète comme présence humaine, car dit-il «tu es seul, nous sommes là» N B.

05/2015