Thrillers
03/2021
Sciences historiques
08/2020
Ecrits sur l'art
03/2023
BD jeunesse divers
06/2023
Policiers
02/2020
CD K7 Littérature
05/2023
Roman d'amour, roman sentiment
03/2024
Gestion
09/2019
Critique littéraire
02/2019
Psychologie, psychanalyse
01/2021
Littérature étrangère
04/2019
Science-fiction
07/2019
XVIIIe siècle
10/2023
BD tout public
04/2014
Dictionnaires et ouvrages géné
04/2021
Aventure
04/2021
Littérature française
10/2013
Littérature française
05/2001
Littérature érotique et sentim
04/2020
Sciences politiques
03/2012
Prière et spiritualité
02/2021
Histoire de France
02/2006
Décoration
05/2019
Histoire internationale
01/2018
Littérature française
369. C'est le nombre de Photomatons que Jacob B'rebi a pris de lui-même entre 1973 et 1974. A quoi pouvaient bien servir ces selfies d'avant l'heure qui montrent tantôt un visage troublé, tantôt un rire forcé, qui paraissent si familiers et lointains en même temps ? Sont-ils l'expression d'une coquetterie, d'un humour solitaire ou la clé d'un mystère ? Lorsque Christophe Boltanski ouvre cet album ramassé aux puces, il est aussitôt aspiré par ces figures sorties d'un conte de Lewis Carroll. L'homme s'est réinventé en de multiples personnages, l'un barbu, l'autre glabre, l'un en uniforme, l'autre en chemisette décontractée.
Acteur, steward, espion ? Les détails pourraient devenir des indices - ou des trompe-l'oeil. Au dos des clichés, des adresses nourrissent encore l'énigme, de Rome à Bâle, de Marseille à Barbès ; quant aux prénoms ou diminutifs, ils ressemblent à des alias. Christophe Boltanski veut comprendre qui fut cet homme. Son besoin de savoir le conduit dans des échoppes à l'abandon, des terrains vagues, des docks déserts, des lieux ultra-sécurisés, puis dans les cimetières de Djerba, et enfin en Israël, aux confins du désert du Néguev ou au pied du mont Hermon.
Roman sélectionné pour le prix littéraire frontières-Léonora Miano 2022.
Philosophie
11/2019
Petits classiques parascolaire
03/2002
Littérature française
03/2018
Loisirs et jeux
05/2019
Poésie
02/2021