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Eldiablo, Romain Baudy

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Littérature étrangère

L'émeraude

Un écrivain et ancien cinéaste italien fait la connaissance à New York du comte Cagliani, un étrange vieillard d’origine belge, spécialiste de parapsychologie, qui le persuade de se rendre à Saorge, dans le sud de la France, où il trouvera une émeraude qui lui révélera son avenir. L’auteur accepte d’autant plus qu’il espère revoir un ancien amour, Mariolina. Une fois à Saorge, il s’installe dans un vieil hôtel. Il s’endort et fait un long rêve dans lequel il est le peintre Andrea Tellarini. Le monde a changé : bouleversé par une catastrophe atomique (Rome n’est plus que ruines), il est divisé en deux « blocs », l’un au nord et l’autre au sud, deux dictatures policières. Tellarini entreprend avec son fils un voyage périlleux à bicyclette vers le sud à la recherche de Mariolina, à qui il veut offrir l’émeraude reçue en héritage à Saorge. De nombreuses aventures l’attendent. Enfin, un coup de téléphone réveille l’auteur, lequel découvre qu’il n’a pas rêvé mais écrit un roman. Ce roman ambitieux, loué par la critique, en particulier par Pasolini (dont l’article est reproduit dans l’introduction), où le cinéma est très présent, est un hommage à l’écriture, puisque le rêve est assimilé au roman. Soldati-Tellarini y bâtit un jeu très subtil où il développe ses thèmes de prédilection, l’authenticité, le plaisir sadomasochiste, la religion, l’impuissance face au temps qui passe, l’impossibilité de changer son destin.

10/2012

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Littérature étrangère

La source au bout du monde

Rodolphe, le plus jeune fils du roi des Haults-Prés, s'enfuit de la maison paternelle pour partir en quête d'aventures et connaître la vie d'un chevalier errant. Chemin faisant, il apprend l'existence d'une source magique à l'eau miraculeuse et se met en devoir de la découvrir. Son épopée le mènera par-delà les citadelles des hommes, les forêts enchantées et les landes arides. Le jeune aventurier y rencontrera un grand nombre de figures extravagantes qui bouleverseront sa vision du monde, du Bien et du Mal, et de lui-même : de fiers bergers-guerriers défiant l'ordre établi, des brigands justiciers plus joyeux que des ménestrels, un mystérieux chevalier noir, un moine lubrique tout droit sorti des Contes de Canterbury, et une sorcière insoumise à la loi des hommes dont il tombera éperdument amoureux. Grand roman d'aventures, ce texte incarne la naissance de la fantasy, croisement du roman d'aventures à la Walter Scott et du conte. C'est aussi une déclaration d'amour au Moyen Âge, cet âge où les machines n'avaient pas encore tout détruit, où chaque homme, chaque femme, avait plus de pouvoir entre ses mains, même face au seigneur féodal, que l'ouvrier n'en possède face au riche financier. Comme chez Swift, Voltaire ou Cyrano de Bergerac, l'aventure et le merveilleux deviennent dans ce roman les outils pour placer dans l'esprit de ses lecteurs les ferments d'une révolte nécessaire, éprise de liberté, d'égalité et de fraternité.

11/2016

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Littérature française

La route du whisky

"Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapit dans le brouillard rose et jaune et sale des Sohos", dit Verlaine. Jane, l'héroïne du nouveau roman d'Henriette Jelinek, se souvient de l'aventure qui a, bien des années auparavant, déterminé toute son existence. Ces rêves lancinants où la réalité se mêle à l'hallucination, aux imaginations déréglées de la vieillesse, sont-ils des souvenirs ? Ou Londres, cette "ville de la Bible", est-elle seulement l'endroit privilégié où deux êtres ont rencontré le destin qui les guettait depuis toujours ? Pour travailler, Georges et Jane avaient quitté la maison qu'ils construisaient, en France, et avaient gagné Londres. Une nuit, à la recherche d'un endroit pour boire un verre de bière, ils lient connaissance, dans la rue, avec un Africain du Nigeria qui travaille à la B.B.C. Ils traînent un peu avec lui, puis vont se coucher. Le lendemain, ils ouvrent le journal : leur Nigérien a été poignardé. Ni Georges, ni Jane ne s'en tireront. Georges est condamné à sept ans de prison. Quand il est libéré et qu'il a retrouvé Jane, il se remet à construire la maison. Mais bientôt il se tue, en tombant d'une échelle. Jane est seule à jamais. L'humour désespéré de La Vache multicolore, les dialogues insolites du Gentil Liseron, tout ce qui avait fait remarquer la naissance d'un écrivain très original se retrouve ici. Ce roman de la fatalité, de la séparation, de la solitude est, avant toute chose, un roman d'amour.

10/1964

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Littérature étrangère

L'arche des non-appelés

De Berlin aux îles Kouriles, de la collectivisation de 1930 aux répressions de l'après-guerre, nous suivons les héros du dernier roman de Vladimir Maximov à travers les convulsions qui secouent la Russie. Maximov mêle tous les genres, de la blague que l'on se raconte entre amis à la Bible ; tous les styles, de l'argot des camps à l'encyclopédie ; tous les milieux, depuis le Kremlin où nous pénétrons les pensées de Staline, dont l'auteur dresse un portrait saisissant, au buffet de gare où des ivrognes battent à mort un jeune gars. Dans cette fresque riche en événements nous voyons surgir, autour des deux personnages principaux, le juste et le traître - originaires tous deux, comme l'auteur du roman, de la région de Toula, de la Russie centrale, de la Russie profonde -, une multitude de personnages, depuis le Christ jusqu'à Judas. Car il ne faudrait pas voir dans ce livre un roman politico-historique de plus. Même si la trame en est l'histoire de la Russie et les destinées de son peuple, elle s'organise en un contrepoint savant avec la Bible. Et c'est la Bible, soit citée directement, soit reracontée, soit évoquée, qui donne au livre toute sa portée et sa profondeur. Comme tous les grands romans russes, L'arche des non-appelés ne se contente pas de nous raconter une histoire, si passionnante qu'elle soit, mais nous aide à réfléchir sur tous les grands problèmes que nous pose le monde.

09/1981

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Sciences politiques

Le politique contre le droit. Le Sahara, les droits de l'homme et le procès de Gdim Izik

Par son titre et son sous-titre ce livre pourrait être un roman. Que faut-il pour un roman ? Pour le moins un territoire, une intrigue, des enjeux et des personnages. Ces ingrédients sont présents dans ce livre. Celui-ci ne respecte toutefois pas les règles admises pour le roman. Il pourrait alors être un essai de science politique et juridique. Que faut-il pour un essai ? Une réflexion plutôt subjective sur un thème particulier. Or c'est plutôt d'analyse qu'il s'agit, sur le Sahara, les droits de l'homme et le droit pénal dans le Maroc contemporain. Pour autant, il ne peut être qualifié d'étude universitaire, car s'adressant à un large public, il a été écrit dans une perspective plus littéraire que technique. Qu'est-il alors ? A cette question, Hubert Scillan répond sans hésiter : un reportage. C'est en effet la meilleure approche que l'on peut donner de son livre. Ses développements sur le Sahara de l'Ouest et sur sa marocanité, ne sont pas seulement le fruit de recherches historiques, mais d'observations et d'enquêtes sur le terrain. Ses remarques sur les droits de l'homme ne sont pas seulement celles d'un juriste mais aussi celles du reporter, comme l'indique sa visite de la prison où sont détenus les prévenus du procès de Gdim Izik. Observateur international au titre des droits de l'homme, il rapporte des impressions d'audience pleines de saveurs et de vérité.

03/2019

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Littérature française

Le valet de trèfle

« Donc Adamou est mort. C'est invraisemblable ; j'ai l'impression de vivre un cauchemar ; mais il est mort. On l'avait transporté à l'hôpital. Pour un simple coup de poing, une égratignure à l'oreille, quelques gouttes de sang, et il est mort. Je rêve ! Tout ça me semble un gros mensonge : on dirait un roman policier, l'invention d'un auteur sans imagination. Je ne suis pas grand mais je suis large et costaud. Je l'ai toujours été même à l'école et depuis j'ai entraîné mes muscles. Je me suis bagarré pas mal dans ma vie. J'aimais ça. Dans ma jeunesse surtout. Dans l'armée aussi, avec les camarades. Eh bien, je te jure que c'est la première fois que je tue quelqu'un d'un coup de poing ! On m'aurait raconté ça que je ne l'aurais pas cru. Et pourtant, je suis en prison. » Un coup contre un collègue qui décède rapidement, et c'est toute l'existence laborieuse et consciencieuse de Marcellin qui bascule. Ce qui s'apparente à un dérapage aux funestes conséquences, R. Collas en fait le prétexte à une correspondance où se jouent le procès du racisme et de l'autorité, mais encore le portrait de toute une génération d'hommes modelés par les idéaux de l'armée. Roman épistolaire dans lequel le propos judiciaire déclenche les confessions du prévenu et son analyse de sa propre trajectoire, « La Valet de trèfle » se lit encore comme un roman de formation intelligent et subtil.

10/2015

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Littérature érotique et sentim

Une saison à Longbourn Tome 2 [EDITION EN GROS CARACTERES

Et si tout commençait aujourd'hui ? Imaginez vous à San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l'instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu'elle va finalement vous dire... vous auriez sûrement préféré ne pas l'entendre. A partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle. C'est ce qui va arriver à Jonathan dans ce nouveau roman de Laurent Gounelle. A la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d'expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie. Ce roman, dont l'intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles, éclaire d'une lumière nouvelle notre existence et nos relations aux autres, et apporte un souffle d'air pur dans notre vie. Un nouveau roman lumineux et positif de Laurent Gounelle par l'auteur de Les dieux voyagent toujours incognito, L'homme qui voulait être heureux, et Le philosophe qui n'était pas sage. Ces deux derniers titres sont également disponibles aux éditions de la Loupe. Biographie de l'auteur Ecrivain, Laurent Gounelle est aussi un spécialiste des sciences humaines, formées en France et aux Etats-Unis. Ses livres expriment sa passion pour la philosophie, la psychologie et le développement personnel. Les romans de Laurent Gounelle sont tous des best-sellers, traduits dans le monde entier.

02/2015

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Romans graphiques

Tombée d'une autre planète. D'après les aventures indécentes de Patricia Highsmith

New York dans les années 1950. Patricia Highsmith écrit de mauvaise grâce des comics pour les incultes, avec pour seul compagnie, Spider, son chat siamois. Elle boit, elle fume, elle déteste les gens et la vie... Elle sait qu'elle peut mieux faire. Son cerveau bouillonne d'images du grand roman qu'elle pourrait et devrait écrire, et qui deviendra L'Inconnu du Nord-Express. Dans le même temps, Pat, qui vit très mal son homosexualité, essaie tant bien que mal de suivre une thérapie de conversion, laissant dans son sillage nombre de conquêtes sexuelles et de coeurs brisés. Toutefois, l'une de ces liaisons, et une rencontre fortuite dans un grand magasin, lui donneront l'idée de son roman chéri, Carol. Le récit d'un amour lesbien qui sera le premier dans son genre, car il offre aux protagonistes une fin heureuse. Ce roman graphique n'est pas seulement l'histoire des coulisses d'un classique de la littérature queer, mais celle d'une artiste qui avait de nombreux défauts. Il illustre ce que c'était d'écrire des comics dans les années 1950, ce que cela signifie d'être écrivain, à n'importe quelle époque, et de lutter pour trouver sa voix. Les autrices font de Patricia Highsmith une icône queer involontaire et une figure dont l'héritage controversé a été scellé par ses idées problématiques. La vie de Patricia Highsmith était à l'image de son art : aussi dévastatrice que les intrigues pleines de rebondissements qui lui ont apporté la célébrité et la fortune.

03/2023

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Littérature érotique et sentim

Le naufragé précédé de l'Ersatz d'amour

L'Ersatz d'amour et Le Naufragé se situent dans le contexte élargi de la première guerre mondiale : l'action commence pendant l'été 1913 et se termine à la Noël 1919. La révolution allemande de 1918-1919 et la relance du mouvement homosexuel constituent l'arrière-plan du second volume. Willy et Ménalkas croisent "les races", comme on disait à l'époque. Sur fond de guerre, un jeune allemand s'éprend d'un peintre français, à moins que ce ne soit le contraire... L'ensemble romanesque est construit sur le modèle du "roman d'éducation", mais il a la particularité de croiser "roman d'apprentissage" ou Bildungsromane, et "roman de développement personnel" ou Entwicklungsroman. Tandis que le jeune noble passe de la toute-puissance de la jeunesse à la maturité, le peintre français accepte petit à petit la dimension homosexuelle de son amour. En dépit de tous les préjugés de son milieu, il aime à en mourir celui qu'il avait accepté au départ, faute de femme... Sous le pseudonyme de Ménalkas, une femme, qui se fait passer pour un homme, parle de l'amour qui unit les hommes. A la même époque, sous son véritable nom : Suzanne de Callias, elle écrit aussi Mon amie Reinette et Lucienne et Reinette qui analysent la tentation d'amour entre femmes. Permettre de comparer la perception, à une époque précise : l'entre-deux-guerres, de ces deux formes d'amour, c'est l'objectif que nous nous sommes fixé, en prévoyant une autre publication.

04/2014

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Littérature française

Le chien Tristan

Roman policier insolite, roman de la beauté, contemplatif et musical, Le chien Tristan est d'abord le roman du romantisme, de sa grandeur et de ses aspects dérisoires. Volontairement cloîtrés au coeur de Rome, ses protagonistes "jouent" à s'identifier aux grands créateurs du xixe siècle, Wagner, Liszt ou Nietzsche. Fous du génie qu'ils n'ont pas, ils sentent que le romantisme, bien plus qu'une exaltation de la passion, est une recherche passionnée d'une vérité à laquelle ils sacrifient leur bonheur et leur équilibre. Hors de leur siècle, de leur pays, hors de toute certitude religieuse, placés devant l'évidence et l'effroi de l'existence, ces "inadaptés" sont pourtant l'image de l'homme contemporain, déraciné du sacré, et n'osant plus s'avouer à lui-même sa quête désespérée du Vrai. Confrontés à une femme qui refuse le rôle de sublime prétexte, ces personnages deviendront les rivaux tragiques et pitoyables d'un être dont le regard détient la vérité sans la conscience : un chien, que sa maîtresse a nommé Tristan. Écrivain, philosophe, journaliste et traducteur, Étienne Barilier est né en 1947 à Payerne dans le canton de Vaud. Son premier récit, Orphée, paraît en 1971 ; il sera suivi d'une quarantaine de romans et d'essais. Lauréat de nombreuses distinctions littéraires, dont le Prix d'honneur de la Ville de Paris en 1978 pour Le chien Tristan, Étienne Barilier a également enseigné la littérature française à l'université de Lausanne entre 2001 et 2013.

08/2022

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Littérature française

Mes amis

Premier roman d'Emmanuel Bove, alors encouragé par Colette et lauréat du Prix Figuière, "Mes amis" rend parfaitement le style de l'auteur. Une écriture "blanche" dénuée de volonté romanesque, au sens où l'on ne peut trouver le moindre cheminement narratif ou tout autre fil conducteur du même ordre, préfigure déjà certains auteurs du Nouveau Roman et même Michel Houellebecq. "Mes amis" est une série de portraits encadrée par deux descriptions narrant la morne vie de Victor Bâton, un simple quidam passant ses journées à ne rien faire. Il aimerait cependant trouver un grand ami, mais toutes ses tentatives en ce sens échouent lamentablement. Chaque "ami" approché est un personnage que l'on retrouvera dans les futures fictions de Bove, ainsi par exemple la femme trop vieille sans amour ou ce monsieur Lacaze, véritable voyeur social qui se nourrit du désespoir de ses contemporains. Mais au sein de cet univers caractérisé par le mal de vivre, l'inaptitude au bonheur et une angoisse diffuse, c'est le regard appliqué que Victor Bâton porte sur les choses, cet acuité du détail cruel ou cocasse d'une condition sans envergure qui font l'inconfortable lucidité du roman. Le monde est perçu dans sa petitesse, mais sans colère, sans révolte, plutôt avec une sorte d'humour détaché, comme si à travers les phrases courtes et les constructions verbales simples, celui-ci ne méritait déjà plus qu'on s'élève contre lui. A la lecture de "Mes amis", on comprend mieux l'impossibilité d'avoir des amis et de trouver une grandeur romanesque à la vie.

10/2023

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Fantastique

A Plague Tale : Tenebris

Ce roman inédit constitue une aventure à part entière dans l'univers de A Plague Tale. Situé chronologiquement entre les événements de A Plague Tale : Innocence et A Plague Tale : Requiem, le roman A Plague Tale : Tenebris narre les mésaventures d'Amicia et Hugo, ainsi que de leur mère Béatrice et de leur ami Lucas, confrontés à de nouveaux antagonistes. 1348. Quelques jours après le combat qui les a opposés au Grand Inquisiteur Vitalis, Amicia et Hugo apprennent qu'ils sont recherchés et prennent la direction de l'Est, loin des troupes anglaises affaiblies et d'une Inquisition revancharde. Secrètement à leurs trousses, des Flagellants menés par un zélote bien décidé à faire de Hugo le martyre christique qui accompagnera leurs processions en "éclaboussant du sang sacré de ses plaies l'Humanité pécheresse" . Très vite, la routine itinérante du groupe est troublée par le réveil de la Macula qui afflige Hugo de céphalées et de cauchemars terribles. Après quelques manifestations étranges qui leur permettent néanmoins d'échapper à l'implacable exorciste, Béatrice et Lucas sont catégoriques : les cauchemars d'Hugo, exaltés par la Macula, commencent à altérer le réel autour de lui (émotions contagieuses, confusion des sens, hallucinations, rats paniqués qui échappent à l'appel du garçonnet). Les jours passent, et les symptômes d'Hugo s'intensifient, mettant en péril à la fois sa santé mentale et la vie de ses compagnons. Un roman haletant, développé en étroite collaboration avec le studio Asobo, où vous aurez plaisir à retrouver les personnages avant de les incarner à nouveau dans A Plague Tale : Requiem.

10/2022

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Littérature anglo-saxonne

L'Appel de la forêt (L'Appel sauvage). Suivi d'un groupement thématique "L'être humain face à la nature sauvage"

Un très grand roman d'aventures de Jack London (titre original The Call of the Wild également traduit L'Appel de la forêt). Dans une édition tout en couleurs, enrichie de nombreux outils pédagogiques, en lien avec les objets d'étude " Récits d'aventures " (6e) et " Le voyage et l'aventure : pourquoi aller vers l'inconnu ? " (5e). Ouvres & Thèmes propose une lecture de l'oeuvre accessible à tous les types de lecteurs, même les élèves DYS et ceux en difficulté, grâce à une police spéciale, facile à lire, et à une mise en page aérée. Lecture fluide garantie. Le roman Arraché au confort de sa vie d'animal domestique, Buck est vendu pour devenir chien de traîneau et plongé dans l'immensité glacée du Grand Nord. Se laissera-t-il finalement envoûter par l'appel du monde sauvage ? Dans ce roman d'apprentissage, Jack London interroge l'humanité de l'animal et l'animalité de l'homme, la place de chacun au sein de la nature. Les compléments pédagogiques dans l'ouvrage - un avant-texte pour aborder l'oeuvre par les arts, la situer et préparer sa lecture - des questionnaires pour analyser le texte, enrichir sa culture - des activités complémentaires (étude de la langue, écriture, recherches...) - un groupement thématique : " L'être humain face à la nature sauvage " Le livre du professeur en ligne Dans le guide pédagogique, téléchargeable sur www. editions-hatier. fr (Lien -> http : //www. editions-hatier. fr/), l'enseignant trouvera un descriptif complet de la séquence proposée et les corrigés des questionnaires.

04/2023

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Thrillers

Le suspect

Alors qu'il aide la police à résoudre le mystérieux meurtre d'une jeune femme, Joe O'Loughlin, brillant psychologue clinicien, se voit, contre toute attente, désigné comme le suspect n°1. Premier volet d'une série policière bientôt diffusée à la télévision, avec Aidan Turner dans le rôle principal, " un roman qui va figer net votre coeur... avant de le briser " (Val McDermid). Le plus célèbre roman du maître du suspense australien est à présent une série TV à succès avec Aidan Turner Sur le papier, Joe O'Loughlin a tout pour être heureux : une épouse dévouée, une fille aimante et une brillante carrière de psychologue clinicien. Mais rien ne peut être tenu pour acquis. Même les existences les plus parfaites ne tiennent qu'à un fil. Alors qu'il épaule la police sur le mystérieux assassinat d'une jeune femme, les soupçons commencent peu à peu à se porter sur Joe, qui aurait connu la victime bien des années plus tôt... avant que celui-ci ne soit purement et simplement, et contre tout attente, accusé du meurtre ! Pris dans un dédale de machinations et hanté par le massacre, Joe se lance en quête de la vérité, ce qui le conduira, de Londres à Liverpool, dans les abysses de la folie humaine. Ce roman a été adapté en une série avec Aiden Turner (Poldark), dont les six épisodes sont accessibles sur ITV depuis peu. Première édition : Lattès (2005). " Un thriller taillé au cordeau ! ", The New York Times Book Review " Une lecture haletante. ", The Guardian

04/2023

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Actualité et médias

Du bon usage de la douceur en politique dans l'oeuvre de Tacite

" Qu'ils me haïssent, pourvu qu'ils me craignent ! " : est-ce là le seul héritage que les Romains nous aient laissé en matière de gouvernance ? Un dirigeant ne peut-il donc s'imposer que par la crainte et la terreur, en laissant libre cours à la cruauté ? L'oeuvre de Tacite, ce grand historien de l'Empire, invite à penser qu'au contraire les Romains ont accordé une grande place à la douceur en politique, considérant qu'elle pouvait être utile en bien des circonstances : le dialogue permanent entre cet auteur et ceux qui l'ont précédé, Cicéron en particulier, révèle même une continuité de la République au Principat. Mais par douceur faut-il n'entendre que la clémence, ce pardon du vainqueur aux vaincus ? Tant s'en faut : la courtoisie, la bienveillance, la générosité, la compassion, la gentillesse, la capacité de faire grâce, la tempérance enfin sont autant d'aspects reconnus de la douceur en politique, de Cicéron à Tacite. Et qu'en est-il du goût de la dolce vita, de la complaisance vis-à-vis de soi-même comme vis-à-vis des autres, travers qui sont bien présents dans l'oeuvre tacitéenne ? Cette étude se propose d'appréhender les différentes facettes de la douceur en politique chez Tacite et ses prédécesseurs, afin de mieux cerner son intérêt aux yeux des Romains : dans une cité marquée par le meurtre originel de Rémus puis par la violence des guerres civiles, la douceur, celle du moins qui est le fruit de la maîtrise de soi, semble bien avoir été la meilleure arme de tous ceux qui avaient à exercer une autorité, à l'armée comme à la ville, et qu'ils aient été Princes, généraux. ou grands commis de l'État.

06/2011

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Histoire ancienne

Recueil général des mosaïques de la Gaule. Volume 3, Province de Narbonnaise. Tome 4, Marseille, glanum et la chôra massaliète

Ce travail s'inscrit dans la riche série du Recueil général des mosaïques de la Gaule (quatorze volumes déjà parus), pour laquelle l'auteur avait déjà publié deux volumes sur les pavements des parties nord et sud de la province romaine de Narbonnaise, à l'est du Rhône. Il est consacré à la ville de Marseille et au territoire qui l'entoure à l'époque de sa plus grande puissance, c'est-à-dire jusqu'à Hyères sur la côte sud et jusqu'aux limites de la cité d'Arles au nord, avec un chapitre particulier pour la ville de Glanum. L'originalité de cette enquête est de mettre en lumière la part considérable que Marseille a jouée dans la naissance et l'essor de l'art des pavements en Gaule. On trouvera dans ce livre une large représentation de mosaïques aux techniques encore primitives, où les bétons et les mortiers composites constituent des séries comparables à celles que l'on connaît à Pompéi ou Herculanum à la fin de la République. La cité de Marseille, malgré ses vicissitudes territoriales et politiques à l'époque romaine, offre un panorama remarquable de tout l'art de la mosaïque depuis ses origines jusqu'aux réalisations les plus achevées des pavements polychromes d'époque chrétienne. La production importante de plusieurs agglomérations de son territoire, comme Glanum, ou les exemples de villa exceptionnelles (la Garanne à Berre-l'Etang, les Baumelles à Saint-Cyr-sur-Mer) permettent de mieux cerner l'essor du décor pavimentaire pendant la période romaine, où se reconnaît encore une influence grecque lointaine et des courants artistiques venus de Rome, la capitale de l'Empire ayant joué un rôle fondamental de relais pour des transferts de technologies et de répertoire géométrique.

06/2019

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Histoire du droit

LA CITÉ ANTIQUE. ÉTUDE SUR LE CULTE, LE DROIT, LES INSTITUTIONS DE LA GRÈCE ET DE ROME

"La Cité Antique" est une oeuvre majeure de l'historien français Numa Denis Fustel de Coulanges. Voici une synthèse du contenu de ce livre : "L'ouvrage 'La Cité Antique' de Fustel de Coulanges est une étude approfondie sur les civilisations grecque et romaine, se concentrant sur les aspects du culte, du droit et des institutions de ces sociétés anciennes. L'auteur examine comment la religion a façonné la vie quotidienne, les lois et la structure sociale de la Grèce et de Rome. Fustel de Coulanges soutient que la religion a été le fondement de ces sociétés, influençant tout, de la façon dont les dieux étaient vénérés aux croyances sur la vie après la mort. Il analyse en détail le culte domestique, le rôle des ancêtres et l'importance des rites religieux dans la vie des citoyens. Le livre explore également les systèmes juridiques et politiques des deux civilisations, montrant comment la religion était étroitement liée au droit. Fustel de Coulanges met en lumière l'importance de la famille dans ces sociétés et comment elle était régie par des règles strictes. En ce qui concerne les institutions, l'auteur examine la cité grecque et la République romaine, expliquant comment elles étaient organisées et comment les citoyens y participaient. Il montre comment la religion était un élément essentiel de la vie civique et comment les temples étaient au coeur de la cité. En résumé, 'La Cité Antique' de Fustel de Coulanges offre une analyse approfondie des civilisations grecque et romaine, mettant en lumière l'importance de la religion, du droit et des institutions dans leur développement et leur fonctionnement. C'est un ouvrage clé pour comprendre la culture et la société de l'Antiquité classique".

09/2023

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Archéologie

De la ferme à la ville. L'habitat à la fin de l'âge du fer en Europe celtique

Cet ouvrage propose un panorama de l'habitat en Europe celtique entre le IVe siècle et le Ier siècle av. J.-C. basé sur les dernières découvertes archéologiques. En Europe moyenne, pendant toute la Protohistoire, c'est l'habitat rural qui prédomine. A partir du IVe siècle av. J.-C, il se présente sous la forme de fermes encloses qui se perpétueront pendant toute la période romaine. Les plus importantes d'entre elles présentent une organisation bipartite, avec une cour agricole et un espace résidentiel, organisation qui sera reprise par les villae de l'époque romaine. La fin du IIIe siècle av. J.-C. voit apparaître l'émergence des agglomérations artisanales et commerciales, qui peuvent être considérées comme le premier véritable phénomène urbain celtique. Ces sites se caractérisent par l'absence de remparts, mais présentent déjà une organisation interne. On y rencontre surtout des activités métallurgiques (bronze et fer), mais aussi des batteries de fours céramiques, sans oublier les artisanats qui ont laissé moins de traces archéologiques comme le verre ou le cuir. A la fin du IIe siècle av. J.-C., l'Europe celtique se couvre de villes. César, qui les trouve lors de la conquête de la Gaule, leur donne le nom d"oppida". Il s'agit de sites fortifiés, couvrant une superficie minimum de 15 hectares et formant des centres à la fois économiques et politiques. Les fouilles récentes ont mis en avant sur les oppida l'existence d'espaces publics établis autour d'un sanctuaire, réunissant les fonctions de lieux de réunion et de places de marché. Au Ier siècle av. J.-C., ces trois catégories de sites coexistent, et bon nombre d'entre eux, surtout en Gaule, évoluent à l'époque romaine. Richement illustré, cet ouvrage présente les dernières avancées et réflexions en matière d'archéologie de l'habitat.

09/2021

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Histoire ancienne

SPQR. Histoire de l'ancienne Rome

L'ancienne Rome était une métropole tentaculaire de plus d'un million d'habitants, un «mélange de luxe et de saleté, de liberté et d'exploitation, de fierté civique et de guerre civile meurtrière ». Mais comment ce qui n'était qu'un village insignifiant dans le centre de l'Italie est-il devenu le siège d'un empire dominant la méditerranée ? Mary Beard, historienne de renommée mondiale, raconte ici l'émergence puis la chute d'une culture sans précédent, qui a façonné nombre de nos concepts fondamentaux sur le pouvoir, la citoyenneté, la guerre, la violence politique, l'empire, le luxe ou la beauté. Du mythe fondateur de Romulus et Remus (VIIIe av. J.-C.), à l'édit de l'empereur Caracalla offrant la citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l'empire (IIIe siècle), Mary Beard retrace toute l'histoire de l'Urbs. Se faisant, elle conteste les perspectives historiques confortables en voguent depuis des siècles. Refusant l'admiration simpliste ou la condamnation systématique, elle montre que l'histoire romaine, loin d'être figée dans le marbre, est constamment révisée et réécrite, en fonction des nouvelles connaissances. Ainsi des célèbres personnages - Cicéron, César, Cléopâtre, Auguste et Néron, entre autres – prennent une toute autre couleur, tandis que les acteurs négligés dans les histoires traditionnelles – les femmes, les esclaves et ex-esclaves, les conspirateurs et, globalement, ceux qui ne sont pas du côté des vainqueurs – retrouvent leur place dans l'éblouissante aventure romaine. Notre perception de la Rome antique a considérablement changé au cours des cinquante dernières années. SPQR en fait la synthèse et façonnera probablement à son tour notre regard sur l'histoire de Rome pendant les décennies à venir.

10/2016

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Littérature française

Il n'y a pas de Ajar. Monologue contre l'identité

L'étau des obsessions identitaires, des tribalismes d'exclusion et des compétitions victimaires se resserre autour de nous. Il est vissé chaque jour par tous ceux qui défendent l'idée d'un " purement soi " , et d'une affiliation " authentique " à la nation, l'ethnie ou la religion. Nous étouffons et pourtant, depuis des années, un homme détient, d'après l'auteure, une clé d'émancipation : Emile Ajar. Cet homme n'existe pas... Il est une entourloupe littéraire, le nom que Romain Gary utilisait pour démontrer qu'on n'est pas que ce que l'on dit qu'on est, qu'il existe toujours une possibilité de se réinventer par la force de la fiction et la possibilité qu'offre le texte de se glisser dans la peau d'un autre. J'ai imaginé à partir de lui un monologue contre l'identité, un seul-en-scène qui s'en prend violemment à toutes les obsessions identitaires du moment. Dans le texte, un homme (joué sur scène par une femme...) affirme qu'il est Abraham Ajar, le fils d'Emile, rejeton d'une entourloupe littéraire. Il demande ainsi au lecteur/spectateur qui lui rend visite dans une cave, le célèbre " trou juif " de La Vie devant soi : es-tu l'enfant de ta lignée ou celui des livres que tu as lus ? Es-tu sûr de l'identité que tu prétends incarner ? En s'adressant directement à un mystérieux interlocuteur, Abraham Ajar revisite l'univers de Romain Gary, mais aussi celui de la kabbale, de la Bible, de l'humour juif... ou encore les débats politiques d'aujourd'hui (nationalisme, transidentité, antisionisme, obsession du genre ou politique des identités, appropriation culturelle...). Le texte de la pièce est précédé d'une préface Delphine Horvilleur sur Romain Gary et son oeuvre. Dans chacun des livres de Gary se cachent des " dibbouks " , des fantômes qui semblent s'échapper de vieux contes yiddish, ceux d'une mère dont les rêves l'ont construit, ceux d'un père dont il invente l'identité, les revenants d'une Europe détruite et des cendres de la Shoah, ou l'injonction d'être un " mentsch " , un homme à la hauteur de l'Histoire. " J'avais 6 ans lorsque Gary s'est suicidé, l'âge où j'apprenais à lire et à écrire. Il m'a souvent semblé, dans ma vie de lectrice puis d'écrivaine que Gary était un de mes " dibbouks " personnels... Et que je ne cessais de redécouvrir ce qu'il a su magistralement démontrer : l'écriture est une stratégie de survie. Seule la fiction de soi, la réinvention permanente de notre identité est capable de nous sauver. L'identité figée, celle de ceux qui ont fini de dire qui ils sont, est la mort de notre humanité. "

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Littérature française

C'est l'amour que nous aimons

Accompagné d’une superbe préface de Marc Lambron, ce volume rassemble les deux premiers romans de l’auteur : L’Amour est un plaisir (1956) et Un amour pour rien (1960), un de ses meilleurs textes autobiographiques, Au revoir et merci, ainsi que sa trilogie inspirée par l’histoire des soeurs Mitford – Le Vent du soir, Tous les hommes en sont fous et Le Bonheur à San Miniato –, laquelle remporta un immense succès (un million d’exemplaires vendus) lors de sa parution dans les années 1980. Un ensemble très cohérent dans l’oeuvre du romancier, une sorte de carte du Tendre où l’exaltation de l’hédonisme et le vertige du temps se conjuguent à la fascination du monde. Les deux premiers récits ont le charme à la fois enivrant et désenchanté des années 1950, dominées par deux monstres sacrés : Françoise Sagan et Roger Nimier. Jean d’Ormesson invente sa partition personnelle à ce moment-là, avec ce mélange de lucidité, de légèreté et d’allégresse qui fait toute la singularité de son style et de sa vision des hommes. Ses thèmes de prédilection sont déjà là : la quête éperdue du bonheur et l’insatiable besoin d’évasion, le culte du soleil, des voitures et des bains de mer. « Je ne faisais rien de ma vie. Je la traînais à travers l’inutilité, l’admiration, les plaisirs, l’amour », confesse l’un des héros de L’amour est un plaisir, roman que Marc Lambron résume en ces termes : « Une seule femme pour trois hommes ; c’est l’équation d’un voyage d’été ». Dans Un amour pour rien, le jeune narrateur se partage, à l’occasion d’un séjour romain, entre deux femmes, illustrant à travers ce dilemme sentimental la célèbre formule proustienne : « J’appelle ici amour une torture réciproque ». Marc Lambron observe que si ce texte a la « résonance du vécu », « l’autobiographie possible est comme censurée par les apanages du roman ». Il faut attendre la parution en 1966 de sa première véritable autobiographie, Au revoir et merci, pour découvrir quel auteur se cache sous ses personnages. À trente-sept ans, Jean d’Ormesson y parle très librement de lui-même, de ses origines, de sa famille, de ses goûts, de ses opinions, tout en feignant de prendre congé d’une carrière littéraire où il n’a connu jusque-là que des échecs. On sait la suite… C’est un auteur largement consacré qui se lance, vingt ans plus tard, dans l’écriture d’une trilogie romanesque, dont Lambron explique ainsi l’ambition : « Récapituler des fragments de l’histoire du monde à partir des méditations d’un esprit qui les rêve. Les généalogies, les continents, les guerres, les amours, les entrecroisements baroques, les hasards secrets, les filiations inconnues. On sent, ajoute-t-il, que l’imagination de l’auteur, libérée des incertitudes du narcissisme, embrasse avec ivresse l’histoire du monde. » Conchita Romero, Rosita Finkelstein, Nadia Wronski, les soeurs O’Shaughnessy, alias les soeurs Mitford, sont autant de composantes d’une sorte de famille universelle représentative de la tumultueuse et tragique histoire du siècle. Jean d’Ormesson remporte ici avec brio son pari, qui est de « ressusciter, sûrement pour mon plaisir, frappé d’un peu de mélancolie, et peut-être pour le vôtre, tout un monde évanoui qui s’agite encore en moi ».

03/2012

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Littérature française

La vacance

La première partie du roman montre le personnage principal à la recherche d'un équilibre, dans un monde (et des temps) où la liberté donnait le vertige. La deuxième partie propose une peinture du milieu enseignant "engagé" : caricature de professeurs militants (notamment maoïstes), liberté sexuelle de principe, course au bonheur semée d'embûches.

05/2020

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Littérature française

L'homme fatigué

Alors ? Vous avez trouvé ? A votre avis, quel peut bien être le rapport entre un général de hussards, un vagabond alcoolique, un chef d'orchestre épuisé, une amoureuse roman- tique, un cinéphile exigeant et un enfant jouant les adultes ? Bel inventaire à la Prévert, répondit l'homme fatigué, mais je ne vois pas.

08/2017

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Lycée parascolaire

Mémoires d'Hadrien, Yourcenar

Tous les outils pour comprendre et maîtriser le roman Mémoires d'Hadrien, de Marguerite Yourcenar, au programme du nouveau bac français. Des repères pour la lecture. Des points de grammaire. Des clés pour analyser le contexte, les différents thèmes, la visée de l'oeuvre... Des sujets d'écrit et d'oral corrigés.

08/2019

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Littérature française

Le ciel bleu n'est pas photogénique

Un groupe d'amis se retrouve sur une île en Méditerranée au mois d'août. Les non-dits et Les secrets refont surface. jusqu'à La catastrophe qui fait voler en éclat leur existence. Le ciel bleu n'est pas photogénique, un roman choral sur ces instants où tout bascule dans nos vies.

12/2018

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Littérature française

Dans la remise

Anna se réveille en sursaut. Un bruit l'a arrachée au sommeil. Le lendemain, elle s'approche de la remise au fond de son jardin. Sur le vieux canapé, allongé de tout son long et dans un relâchement total, un enfant dort. Dans la remise est le premier roman d'Inès Benaroya.

04/2014

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Poésie

Poétique N° 89

Pierre Campion : Le " Je " proustien ; Chantal Massol-Bedoin : La charade et la chimère ; Frédéric Regard : Polyphonie des voix narratives et autorité énonciative ; François Rosset : L'apprentissage des langues dans le roman français ; Jean-Pierre Bobillot : Vers, prose, langue ; Roger Pensom : " Don Juan " ou faire de la philosophie ; Bertrand Gervais : Lecture : tensions et régies.

03/1992

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Littérature française

La Petite Fille Du Manege

La Petite Fille Du Manège est un roman d'amour aux clichés de Doisneau, à la musique des limonaires, au son des cigales et au parfum de lavande de la Provence chère à l'auteur, un hommage au Paris en noir et blanc et au Nice en bleu turquoise. La Petite F

11/2013

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Littérature française

Un amour irrésolu

Vécu par un très jeune homme, rédigé par un homme de trente ans, Un Amour irrésolu est un roman d'apprentissage, une éducation sentimentale à travers les affres d'une liaison malheureuse. Dans une écriture ciselée, la plume taillée à l'ancienne, l'histoire d'amour naît et vibre, nous dit la préfacière.

11/2008

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Littérature étrangère

Un si gentil garçon

Javier Gutiérrez (né en 1974) est économiste et éditeur. Il est l'auteur de nouvelles et de romans loués par la critique et par différents prix. Un si gentil garçon est son troisième roman et le premier publié en France. Il a été salué par les médias en Espagne lors de sa parution.

10/2013