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Tintamarre

Extraits

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Littérature française

Le dilemme de la vengeance. Les larmes d’un paradis déchiré

Partie à la capitale dans le but de reconstruire sa vie émiettée par la guerre, Myremba fit la rencontre d'un prince charmant dont elle tomba follement amoureuse. Ce dernier succomba également à son charme, et tous les deux menèrent une aventure amoureuse loin des canons et des tintamarres de la crise politique. Cependant, quelques années plus tard, après avoir sanctionné leur union par un mariage, Myremba découvrit que l'homme qu'elle venait d'épouser, et à qui elle avait fait un enfant, était celui qui avait froidement assassiné ses parents pendant le conflit armé qui avait secoué son pays. L'amour pour son enfant et pour son homme, les traumatismes de la guerre et le poids des douleurs réussiront-ils à étouffer sa soif de vengeance ?

01/2021

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Littérature française

Les 9 Aigles sacrés. Livre premier, Introibo ad altare Dei

La réalité de la connaissance est quelque chose que l'on s'approprie et que l'on vit de façon naturelle et discrétionnaire. La connaissance transcende les descriptifs théologiques, les dialectiques discursives, intolérantes et sectaires, les formalisations à l'emporte-pièce, les formes scripturaires et autres genres de tintamarres, qui sont autant de moyens par lesquels le monde déconnecté du don de Dieu dévore les attentions simplement triviales. Le centre de la connaissance (y compris de la connaissance sensible) se situe tout à fait par-delà les plus hauts niveaux du système mental. D'où il découle que celui qui connaît, connaît. Et donc, que celui qui ne connaît pas, ne connaît pas. Cela ne dépend d'aucun des référentiels stylisés pour l'usage de ceux qui aberrent et fuient en avant.

10/2018

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Littérature française

Il est juste que les forts soient frappés

Lorsque Sarah rencontre Théo, c'est un choc amoureux. Elle, l'écorchée vive, la punkette qui ne s'autorisait ni le romantisme ni la légèreté, se plaisant à prédire que la Faucheuse la rappellerait avant ses 40 ans, va se laisser convaincre de son droit au bonheur par ce fou de Capra et de Fellini. Dans le tintamarre joyeux de leur jeunesse, de leurs amis et de leurs passions naît Simon. Puis, Sarah tombe enceinte d'une petite fille. Mais très vite, comme si leur bonheur avait provoqué la colère de l'univers, à l'euphorie de cette grossesse se substituent la peur et l'incertitude tandis que les médecins détectent à Sarah un cancer qui progresse à une vitesse alarmante. Chaque minute compte pour la sauver. Le couple se lance alors à corps perdu dans un long combat, refusant de sombrer dans le désespoir. Un récit d'une légèreté et d'une grâce bouleversantes, entre rire et larmes, dont on ressort empreint de gratitude devant la puissance redoutable du bonheur.

01/2020

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BD jeunesse divers

Les vacances de Donald

Folie légère. Donald n'en peut plus de la ville. Entre les sirènes à toutes heures, les travaux et les éboueurs, le tintamarre général a fini de lui taper sur les nerfs. Donald doit absolument s'éloigner de cet incessant remue-ménage s'il veut se reposer. Un peu d'air frais, le parfum des fleurs, le calme d'une région dépeuplée, voilà les seuls ingrédients dont il a besoin pour se requinquer. A peine cette pensée s'est-elle manifestée que voilà déjà Donald en train de rouler à pleine balle en direction de la campagne. Là-bas, il aura la paix ! Mais le sort ne sera pas si clément avec ce gaffeur de canard car pendant ses vacances, Donald fera tout sauf se reposer... Belle et désopilante, cette nouvelle création Disney est une formidable lettre d'amour adressée à Donald. Son malheur fait notre bonheur et, dans cet opus muet, Donald n'arrête pas de râler. Un livre signé Frédéric Brrémaud et Federico Bertolucci qui rappelle la frénésie des films d'animations Disney des années 1950.

10/2021

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Littérature française

La cage des mots

Tous les textes qui ébranlent cette Cage des mots sont prisonniers d'une expérience et d'une émotion. Ils disent une histoire parce qu'ils ont une histoire. Ils disent la recherche non pas du Bonheur, avec sa majuscule menteuse, mais celle d'une volonté de vivre autrement, de changer ce qu'on appelle "le cours des choses" quand les choses de la vie massacrent la vraie vie : Ainsi les gens de la Cristallerie combattent-ils ensemble pour sauver leur usine (Sirènes de cristal), ainsi les mères et les nourrices combattent-elles seules pour sauver leurs enfants. (l'Autruche et la Salomé) (Les yeux de Tintamarre). Or, ces mots-là, pour tout dire, n'empruntent aucune démonstration conventionnelle. On croit qu'ils sortent tout seuls. C'est qu'Anne Perry-Bouquet insuffle à ses nouvelles et à son théâtre une jeunesse, une fraîcheur et une souveraine liberté de ton. Bouleversant de tendresse, ce recueil, comme l'ensemble de son oeuvre, est porté par une écriture lumineuse, évocatrice et puissante.

06/2013

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Littérature française

La dispersion

Choc d'un départ. Des fragments de mémoire, d'abord agrippés à la femme perdue, aux moments disjoints d'une rencontre, brûlent et s'éteignent. L'échec d'un amour renvoie le héros de ce livre à l'échec essentiel - l'empreinte de l'infamie subie par l'enfant juif qu'il fut sous l'Occupation - la honte, les rafles, les cachettes. L'étoile jaune est de celles que le jour n'éteint pas. Récit haletant, cris éperdus, dans le tintamarre silencieux d'une tête. Mais personne ne parle, ici, dans le livre. C'est le livre qui parle, qui a une voix : les voies muettes et retorses de l'écriture. Tout en restituant à la littérature son antique fonction narrative et son pouvoir de communication émotive, trop oubliés de nos jours, ce roman de l'éclatement fait éclater le roman, et sa forme arrive, à elle seule, à le résumer, ou presque, par laquelle un lyrisme dur, tendu, avec ses mouvements contraires et ses variations brusques de ton, ou plutôt de respiration, trouve à cette infinie dispersion son unité de souffle.

05/2015

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Science-fiction

Watsburg. Edition collector

Wastburg, une cité acculée entre deux royaumes, comme un bout de bidoche solidement coincé entre deux chicots douteux. Une gloire fanée qui attend un retour de printemps qui ne viendra jamais. Dans ses rues crapoteuses, les membres de la Garde battent le pavé. Simple gardoche en train de coincer la bulle, prévôt faisant la tournée des grands ducs à l'oeil ou bien échevin embourbé dans les politicailleries, la loi leur colle aux doigts comme une confiture tenace. La Garde finit toujours par mettre le groin dans tous les coups foireux de la cité. Et justement, quelqu'un à Wastburg est en train de tricoter un joli tracassin taillé sur mesure. Toute la ville attend en se demandant au nez de qui ça va péter... Premier roman de Cédric Ferrand, Wastburg revient dans une édition révisée et augmentée d'une nouvelle. Il nous plonge dans un univers de " crapule fantasy " avec une gouaille entre celle Des Chevaliers du Tintamarre de Raphaël Bardas (Mnémos) et l'argot des voleurs de Benvenuto Gesufal, le héros de Gagner la guerre de Jaworski (Les Moutons électriques)

05/2022

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Littérature française

Deux ombres au tableau

Chaque être qu'il côtoyait semblait lui en apporter la confirmation. Tous des petits-bras, englués dans un conformisme accablant. Des ego sans égal. Courir, toujours courir. Et pourquoi ? Pour un pavillon de banlieue, une voiture plus grosse que celle du voisin, des vacances low cost aux Caraïbes, en Thaïlande, le smartphone dernier cri extra-pro super plus ? Le monde n'est plus désormais qu'un support à nos fantasmes les plus étriqués, se disait-il. Et tout ce tintamarre, pourquoi ? Si ce n'est de vouloir se préserver à tout prix de l'effroi qu'une même et unique destination nous est dévolue. Dix pieds sous terre pour tout le monde... ou en poussière dans une urne... Sans échappatoire possible. Les arguments qu'il avait toujours entendus de la bouche des gens le consternaient. Charognes avant l'heure... "Le monde bouge, il faut bouger avec..." lui rabâchait-on. "Mais ce n'est pas le monde qui bouge..." leur rétorquait-il, mais les millions d'asticots qui s'affairent sur son cadavre et qui donnent cette sensation de mouvement...

03/2024

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Poches Littérature internation

ROMAN DE BAIBARS TOME 1 : LES ENFANCES DE BAIBARS

Les esclaves allèrent balayer le sol devant la porte du palais et l'asperger d'eau, puis ils sortirent un fauteuil à la mode franque. Baïbars, accompagné d'Ahmad Agha et de tous les autres, alla s'asseoir. Ils étaient en train de converser entre eux quand soudain déboucha de la ruelle... un éléphant ? un djinn ? un démon ? Baïbars, le regardant, n'en crut pas ses yeux : c'était long comme un bambou, large comme une porte cochère ; cela avait un torse et des épaules énormes, deux jambes solides et nerveuses, une tête aussi grosse que deux têtes d'homme ordinaire, et une poitrine si large qu'entre un téton et l'autre on aurait pu s'asseoir à l'aise. La tête était coiffée d'un turban cramoisi à calotte écarlate, le corps couvert d'un cache-poussière à boutons d'or gros comme des noisettes, le visage orné de moustaches noires pareilles aux ailes d'un aigle. Une armure de trente-six pièces toute en acier bleui le couvrait de pied en cap : casque, hausse-col, double pourpoint rembourré, jambières. Il marchait en faisant résonner le sol sous ses pas, comme un chameau en rut, et sa châkriyyeh, large comme le vantail d'une porte de boutique, battait ses jambières d'acier en faisant un tintamarre terrible.

05/1998

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Actualité médiatique France

Ils auraient mérité le 20h

Imaginons un instant que le tintamarre médiatique d'aujourd'hui ait existé à leur époque. Nos cinq figures béarnaises connaîtraient alors une gloire télévisuelle qui ferait pâlir bien des célébrités actuelles du petit écran. Mais qui connaît encore les noms du docteur Pierre-Henri Duboué, dont les travaux ont été pillés par Pasteur pour mettre au point le vaccin contre la rage ; de la championne de tennis Marguerite Broquedis, première femme médaillée d'or olympique ; du ténor Albert Saléza, immense vedette internationale de l'art lyrique ; du scientifique et résistant Henri Moureu qui sauva Paris des terribles V2 nazis ; et du chercheur- physicien Gaston Planté, inventeur de la première batterie électrique ? Plus grand monde et encore moins ce pour quoi ils ont marqué l'histoire de notre société aux XIXe et XXe siècles. Quand des existences d'exception, à l'image de ces cinq figures béarnaises, tombent dans l'oubli, il est légitime de leur accorder une renaissance médiatique, car chacune d'entre elles occupe une place singulière dans les sujets qui dominent l'actualité d'aujourd'hui. C'est la seule ambition de ce livre : rassembler des fragments de leur existence, décortiquer les faits que ces cinq personnages ont gravés de leur empreinte, dévoiler les sentiments qu'ils ont ressentis ou suscités. En somme, rien d'autre que de leur redonner un souffle de vie.

09/2023

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Littérature française

La vie comme un voyage

Les deux premiers récits remontent de la nappe inépuisable de mon enfance : ce ruisseau découvert non loin de chez nous. Et c'est le conte de La caverne, composé l'année dernière ainsi que l'autre histoire romancée : en butte à l'insupportable tyrannie de son père, un adolescent décide de s'enfuir. Et c'est Escapades. Le jeune héros, bientôt ses deux compagnons, gagneront-ils la partie, le père toujours à leurs trousses ? Les deux autres récits ne doivent rien à l'imaginaire... Soldat, j'ai vécu au sommet d'une village perché de Kabylie, en compagnie d'une douzaine de camarades. Nous barrait l'horizon, une haute, une immense paroi minérale, toute ravinée, hérissée de pics : Le Djurdjura. Vision inoubliable... La chambre due à mon (petit) grade donnait sur un abîme. Que de nuits à écouter la meute des chacals hululer, à voix quasi humaines, comme des enfants qui pleuraient dans une cathédrale ! ... N'empêche que j'ai déjeuné chez un Kabyle qui avait d'abord prévu de m'empoisonner... Bien plus tard, quelque dix ans passés à la Réunion, cette île de l'Océan Indien, son, habituelle calicule saturée d'humidité. Vous imagiez-vous dans une case en tôle, caisse de résonance où vous assourdit le tintamarre des pluies torrentielles d'un cyclone, jour et nuit ? ... Revenu au pays, plein d'espérance, je tourne les ultimes pages de ma vie face aux trois monts arrondis du Devès d'où viennent toutes les averses, mais aussi, chaudes ou fraîches, les caresses du vent méridionale.

07/2023

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Régionalisme

J'aime pas la polente... Les chants du coeur de Grand Louis sous le ciel de Savoie

Les années ont passé grand train. P'tit Louis n'est pas devenu " le grand moutardier du pape ". (Est-il seulement devenu grand ?) Aujourd'hui, c'est un homme mûr. Mais à cet âge où le poids des ans vous entraîne en douceur vers un demi-sommeil, il laisse Joséphine entrer dans sa vie et dans son cœur. Elle entend bien s'y pelotonner tout à sa guise, au sortir d'une séparation tumultueuse, pour y laper amour et considération. Hélas ! comme disait Mémé, " il y a un hic " : leur très grande différence d'âge. Il n'en faut pas plus pour aviver les rancœurs de familles aux courtes vues, les jalousies de collègues de travail que le bonheur dérange, les commérages au vitriol du voisinage. Le temps n'est pas si loin des charivaris braillards où l'on malmenait les amoureux qui s'en allaient au mariage par des sentiers nouveaux. P'tit Louis se remémore avec une once de nostalgie la Savoie traditionnelle, les ruelles en terre battue de son vieux village où l'on accueillait les veufs qui avaient le culot de se remarier avec une belle jeunesse en faisant barricade à grand tintamarre, avec force pétards, crécelles et autres boîtes. Mais Grand Louis est envoûté. Il n'a jamais vraiment quitté P'tit Louis, ni perdu de vue les rêves, les espoirs, les audaces de l'enfance. Il nous entraîne, avec Joséphine, dans une quête éperdue et épuisante du bonheur, à travers les paysages magiques des terres de Savoie, de la Chartreuse, de la vallée de l'Ain ou du Vieux Lyon. Est-ce Joséphine qui grandit ? Est-ce le vieil ours mal léché qui laisse P'tit Louis éclairer son chemin ? Qu'importe ! Ils marchent main dans la main. On verra bien !

09/2008