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La fin de la com'

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De la fin. Conversations

Le philosophe Alain Badiou, en dialogue avec Giovanbattista Tusa, propose ici d'abandonner la thèse heideggérienne d'une unité destinale de la philosophie, sous le nom de métaphysique. Plutôt que d'af ? rmer qu'il n'y a pas de vérité, il s'agirait alors de reconstruire une relation entre les vérités et un absolu non transcendant. En menant une critique radicale de la doctrine de la ? nitude, qui nous rappelle que l'être humain est mortel et qui af ? rme le relativisme culturel et le caractère inachevé de tout accès au vrai, le philosophe entend ainsi montrer comment le concept d'in ? ni serait la condition des vérités universelles.

10/2023

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Actualité et médias

FIN DE LA PUBLICITE

Depuis une dizaine d'années, il semble que la réclame qui nous tient lieu de publicité touche à sa fin. Sa dernière métamorphose présente, sous l'étiquette de la communication institutionnelle, une synthèse des deux soeurs naguère ennemies, la publicité économique et la propagande politique. Trois essais cernent ici le profil de cette nouvelle communication en Amérique, en Asie et en Europe.

07/1993

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Réalistes, contemporains

La Fin de juillet

"- Tu vois cette maison ?? Un type y habite... - Quel type ?? - Mon père d'après ce que je sais... - Tu ne le connais pas ?? - Non. - Mais lui, il sait que tu existes ?? - Ouais. - Viens, on va voir de plus près. - Ah non, pas question ? ! - Après tout, c'est un peu comme chez toi... - Arrête, s'il te plaît... Non, n'y va pas. Arrête... Stop ? ! En vacances chez sa grand-mère qui ne déscotche pas de la télé, Alek zone avec son pote, la soeur de son pote et les chiens. Il n'y a rien d'autre à faire, c'est la fin de juillet".

04/2021

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Littérature française

La fin de tout

"Nous sommes le 369e jour depuis que le virus a envahi Atlanta. Je suis toujours à la recherche de Thomas, mon petit frère, qui a disparu le soir où est apparu ce foutu virus. Je ne sais pas où il est, s'il est vivant, s'il a réussi à s'enfuir à temps. Je prends une photo et une montre. - C'est lui Thomas, dis-je en posant mon doigt sur la photo. Je ne sais pas si mes parents ont survécu, je leur ai fait la promesse de le retrouver et c'est ce que je compte bien faire".

11/2022

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Littérature française

La Fin de Chéri

"A maintes reprises, pendant la guerre, en sortant d'un long sommeil sans rêves ou d'un repos à chaqueminute rompu, il lui était arrivé de s'éveiller hors du présent, dépouillé de son passé le plus récent, rendu à l'enfance, - rendu à Léa". La fin de la guerre 1914-1918 n'annonce pas de réjouissances pour Chéri. Démobilisé, il peine à vivre au présent. Il se désintéresse de l'amour de sa femme, et la fascination qu'il entretient dans ses souvenirs pour son ancienne maîtresse Léa disparaît lorsqu'il la revoit vieillie. La reconnaissant à peine, il perçoit dans son visage le reflet de sa propre déchéance. Explorant les souvenirs de moments passés qui ne reviendront jamais, Chéri entame une longue descente aux enfers. La Fin de Chéri témoigne avant tout des ravages de la guerre sur les hommes. Au cours du récit, Colette laisse la parole à Chéri qui exprime une profonde solitude et un immense désespoir.

04/2022

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Sociologie

La fin de vie

Alors qu'un projet de loi relatif à la fin de vie est encore en cours de rédaction, celui-ci fait déjà l'objet de vives discussions, notamment autour de la mise en oeuvre d'aides actives à mourir. Cet ouvrage propose de faire le point sur cette question en interrogeant la notion de " fin de vie " puis en revenant sur cinquante années de controverses relatives au " mal mourir ". Afin d'éclairer la réflexion, il montre comment certaines " affaires " ont contribué à médiatiser et politiser la question puis porte la focale sur les dispositifs d'aides actives à mourir à l'oeuvre en Suisse, en Belgique et aux Pays-Bas.

04/2024

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Critique

Le fil sans fin

"Nous autres, enfants de l'Europe des riches, qui a produit Auschwitz, nous qui passons pour des êtres civilisés, vivant dans une paix apparente depuis plus de soixante-dix ans, nous pensions être sortis de tout cela. Et aujourd'hui que le monde en est réduit au sauve-qui-peut, aujourd'hui que la grande fuite a commencé, nous sommes encore tout imprégnés du sentiment déraisonnable d'être étrangers aux désastres qui nous environnent". Face à tant de violence destructrice, d'où pourrait bien venir un élan de reconstruction de l'Europe ? Qu'y a-t-il encore d'authentique dans un Occident submergé par le matérialisme ? Pourrons-nous nous rétablir sans avoir besoin d'autres guerres et catastrophes ? A l'urgence de ces questions, Paolo Rumiz cherche une réponse dans les lieux et parmi les personnes qui continuent de tenir le fil des valeurs essentielles. Ce sont les disciples de Benoît de Nursie, le saint patron de l'Europe. Rumiz les a cherchés dans leurs abbayes, de l'Atlantique aux rives du Danube, des lieux plus forts que les invasions et les guerres. A l'heure où les semeurs d'ivraie tentent de déchirer l'utopie de leurs pères, les hommes qui y vivent selon une "règle" plus que jamais valable aujourd'hui nous disent que l'Europe est, avant tout, un espace millénaire de migrations.

08/2022

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Policiers

La fin de la saison des guêpes

Quand Lars Anderson, un riche banquier, se pend devant son imposante demeure du Kent, sa mort ne suscite pas vraiment de marques de sympathie. Il laisse pourtant derrière lui une femme et deux enfants brisés. Loin de là, dans une banlieue cossue de Glasgow, Sarah Erroll, une jeune femme sans histoires, est sauvagement assassinée dans la maison de sa mère. Une agression inexplicable, dont la victime semble avoir été choisie au hasard. L'enquête est confiée au commissaire Alex Morrow, enceinte de jumeaux.

05/2014

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Poésie

La terrible fin de la douleur

Contre les débordements lyriques, l'auteur impose la chair, les muscles et l'os. C'est une poésie concrète qui sait pourtant convoquer l'univers jusque dans les plus infimes manifestations des deux éléments fondant l'humanité au sens de l'auteur : l'amour et la création, les deux étant d'ailleurs profondément interdépendants. L'amour est la condition de la vie, mais comme celle-ci, on le sait fini dès sa naissance. L'auteur nous donne à penser que l'on porte toujours le deuil de l'amour, causant une douleur constante, et c'est là la condition pour que la création puisse émerger des tréfonds. Dès lors, la question soulevée par le recueil est limpide : lorsque le deuil de l'amour ne tardera plus à s'achever, qu'aucun nouvel élan n'est venu le remplacer, la douleur diminue insensiblement et affaiblit la création sans comburant désormais. Mais la création est tout autant indispensable à la survie de l'auteur que l'amour, or les deux disparaissent sous nos yeux ! Heureusement, le néant nouveau finit lui aussi par faire ressurgir la douleur qui seule maintient en vie la création, dans l'attente du nouvel amour. Au final, nous vivons une poésie de l'exorcisme, de la connaissance par les gouffres intérieurs et une cruelle lucidité. Comme l'auteur, sa poésie n'est jamais en repos ou en contemplation : il s'agit ici encore, même dans l'apparence du renoncement, d'une épreuve physique et d'une guerre totale menée contre le confort, contre l'idée d'abdiquer l'amour ou la création, au prix d'un labeur de chaque instant. V. Seghers.

08/2023

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Littérature étrangère

La fin de la guerre froide

Une journée banale à Barcelone, à une époque (la nôtre) qui croit s'être remise de Tchernobyl. Dans l'intranquille imminence de quelque chose d'inquiétant, La Fin de la guerre froide suit les trajectoires et les interrogations de trois personnages : une hôtesse de l'air américaine en perpétuel transit, lassée de ses certitudes, un jeune entrepreneur catalan aux prises avec le vertige du choix et de l'héritage familial, et l'épouse d'un homme d'affaires chinois en visite organisée, moins docile qu'il n'y paraît. Pendant quelques heures, leurs chemins se frôlent dans la ville et leurs destins finiront par se mêler dans un engrenage faussement anodin. Les actes du quotidien s'enchaînent comme une suite d'accidents pour atteindre un climax spectaculaire qui les affectera tous les trois. Le pressentiment du danger les place en équilibre précaire sur la ligne de tension entre la confortable banalité de l'ordinaire et l'attente nerveuse de ce qui ne devrait pas se produire. Dans ce jeu virtuose du hasard et de la fatalité, au coeur d'une Barcelone qui incarne toutes les contradictions de la modernité, Juan Trejo offre une éblouissante radiographie de notre temps : vitesse et fuite en avant auxquelles répondent méfiance et solitude, nous condamnant à un état de guerre froide permanent.

05/2017

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Poésie

La fin. Poèmes

La précision et la vitesse de l'urgence, le moment de l'amour rendu aussi familier que la pluie, la maison comme lieu de tous les bonheurs simples et de tous les drames possibles, la fenêtre qui découpe un monde en mouvement, tout s'ordonne autour de la journée comme mesure et de ce qui fonde la condition humaine avec son questionnement : Quelle est la nature du monde ? Quelle est la nature de notre présence ? Où sommes-nous ? Parce que l'instant est réalisé par l'amour et par la rupture, le poème, en scandant une intimité rêvée, réelle ou dialoguée, parfois secrète, est souvent plus impudique que la photographie. La nécessité, ici, est mystère : elle tente ainsi de résister à l'assaut de toutes les forces, même celles de l'extrême silence dont Jean Daive, le traducteur de ce volume, réussit à rendre l'écho et l'énigme.

05/1997

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Policiers

Après la fin

Ils sont ensemble depuis presque vingt ans. Ils ont connu le meilleur comme le pire. Mais aujourd'hui leur couple bat de l'aile et élever leur ado de 15 ans n'est pas une partie de plaisir. Cette histoire pourrait être celle de n'importe qui. Si leur fils n'était pas leur fils adoptif. S'il n'avait pas été le meilleur ami de leur enfant, mort dans un tragique accident à l'âge de 7 ans. S'ils ne vivaient pas là où s'est suicidé le père biologique de leur garçon. Et si une nouvelle voisine ne s'était pas installée dans leur ancienne maison. Cette histoire n'est pas celle de n'importe qui. C'est celle de Tiphaine et Sylvain qui vivent dans un monde où l'ennemi est partout. Chez les voisins, juste de l'autre côté de la haie. Dans les maisons, derrière les portes, dans le jardin. Et peut-être au sein même des couples. Ne vous y trompez pas, on n'est pas toujours à l'abri sous son propre toit. Bienvenue en Enfer, vous verrez combien, parfois, il peut être cosy...

11/2013

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Policiers

Avant la fin

Dans un internat psychiatrique de la province anglaise, Gabrielle, jeune et jolie psychothérapeute clouée à son fauteuil roulant depuis un accident de voiture, a pour patiente Bethany, 16 ans, psychotique totalement ingérable, enfermée pour avoir tué sa mère à l'aide d'un tournevis. Manipulatrice, intelligente et agressive, Bethany a le pouvoir de prévoir les catastrophes naturelles. Tsunamis, cyclones, hurricanes, tremblements de terre, éruptions volcaniques, rien de lui échappe, surtout après ses séances d'électrochocs...Avec l'aide d'un physicien qui pour la circonstance met de côté ses a priori, Gabrielle va essayer de contrôler Bethany, et d'empêcher ainsi un nouveau drame. Car, quoi qu'en dise la communauté scientifique, chaque prédiction de Bethany s'est bel et bien réalisée....Course-poursuite infernale contre le temps et malgré l'hostilité des autorités, leur combat se heurte alors à un dernier obstacle : l'influence démesurée d'un prédicateur illuminé, le révérend Leonard Krall, qui n'est autre que le père de Bethany.

05/2012

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Littérature française

A la fin

Dès lors que les médecins pronostiquèrent l'imminence de sa mort, je quittai Paris pour me rendre au chevet de ma grand-mère, hospitalisée près de Clermont-Ferrand. Je m'installai à cette occasion chez mes parents, dans la chambre même où j'avais vécu jus qu'à l'âge de vingt ans. J'y séjournai une dizaine de jours, durant lesquels des souvenirs me reviendraient : l'écriture de ma première œuvre de fiction, ma découverte du plaisir, mon premier chagrin d'amour - et quelques autres encore.

03/2004

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Littérature étrangère

Après la fin

Adam Goldschmidt, un universitaire, a toujours fait passer sa famille avant sa carrière. Depuis quinze ans, c'est lui qui s'occupe de ses deux filles, veille à leur moindre besoin. Et c'est peu dire qu'il s'acquitte parfaitement de son rôle. Un jour, à l'heure du déjeuner, Adam reçoit un coup de fil du lycée de sa fille aînée, Miriam, l'informant qu'il y a eu "un incident". Pendant quelques minutes, l'adolescente a cessé de respirer et son coeur s'est arrêté. Rapidement prise en charge, elle a pu être ranimée : tout va bien. Mais pour combien de temps ? Tandis que sa femme Emma, médecin généraliste, continue de travailler sans relâche, Adam voit son quotidien bouleversé et doit reconsidérer son existence, celle de ses proches, à la lumière de cet événement. Racontée à travers les yeux d'un père - un homme acerbe, imparfait, pétri de contradictions, dont nous suivons le fil des pensées angoissées ou drôles, banales ou profondes -, cette chronique moderne et mordante nous plonge au sein d'une famille qui réapprend à vivre après avoir été confrontée à la possibilité du pire.

03/2018

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Littérature française

Après la fin

"Sans vouloir m'en vanter, il n'y avait pas de quoi, j'ai toujours cru qu'il n'y avait rien. Rien après. J'étais discret sur le sujet, ce n'était qu'une question de croyance ; croire en quelque chose ou pas. Je ne voulais pas offenser les croyants ; croire en rien, c'est encore une croyance. Si on me tarabustait un peu, j'ajoutais avec un petit sourire : "Jusqu'à preuve du contraire, et dans l'état actuel de nos connaissances…". Bref, rien après, j'étais sûr de moi, malgré le désespoir. Je me disais des choses comme ça, de mon vivant" Avec une tendresse et une sensibilité toute particulières, Isabelle Minière réussit un tour de force : elle nous parle de la mort, et on en ressort optimiste et souriant. Ce petit livre faussement détaché nous fait beaucoup de bien.

02/2020

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Histoire internationale

La fin des empires

L’histoire serait-elle vouée à n’être qu’un éternel recommencement ? Cette fameuse question mérite particulièrement d’être posée concernant la naissance et la chute des empires. Depuis l’Antiquité, et sur tous les continents, certaines contrées, par le fer, l’or et l’esprit, se hissent au rang de puissance prépondérante et dominent une large partie du monde. Or, selon l’adage de Jean-Baptiste Duroselle, «tout empire périra» pour des raisons multiples, même si un noyau dur d’explications peut être avancé : crises de croissance, notamment en matière d’assimilation des populations conquises, paupérisation économique, épuisement du modèle militaire ; enfin et naturellement, apparition et renforcement de rivaux intérieurs et extérieurs. Sous la direction de Patrice Gueniffey et Thierry Lentz, des historiens de renom racontent et analysent le déclin et la chute des grands empires qui ont fait le monde. Ils nous entraînent dans le sillage d’Alexandre le Grand jusqu’au soft power de Washington, en passant par le modèle romain et son héritier byzantin, les empires des steppes, l’Empire ottoman, le binôme latino-continental espagnol, précédant le siècle idéologique (1917-1991) qui voit tour à tour s’effondrer l’empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, après la guerre froide, le communisme soviétique, héritier de l’impérialisme séculaire des Romanov. Brisés par les deux guerres mondiales, la faillite des totalitarismes et le déclin de l’Europe qui avait dominé le monde depuis le XVIe siècle, les empires ont pu sembler, alors que l’on célébrait la fin de l’histoire, condamnés au bûcher des vanités. Seulement, si les empires trépassent, l’impérialisme ne meurt jamais, comme le prouvent les étonnantes métamorphoses de la Chine, l’éternel retour de la Russie, sans occulter le poids toujours majeur des Etats-Unis. Au final, une grande leçon d’histoire, inédite et essentielle, pour connaître le monde d’hier et comprendre celui d’aujourd’hui.

01/2016

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Littérature étrangère

La fin des dieux

En pleine Seconde Guerre mondiale, tandis que les bombes pleuvent sur l'Angleterre, une jeune fille est évacuée à la campagne. Elle a bien du mal à comprendre le chaos qui l'entoure, mais un livre de mythes scandinaves va venir bouleverser sa vie. Elle découvre un univers où une meute de loups poursuit inlassablement le soleil et la lune, un serpent gigantesque hante les profondeurs et des dieux se livrent à une bataille sans merci, détruisant la planète par leur inconscience. A S Byatt crée avec La Fin des dieux un conte puissant et prophétique qui interroge notre propre mortalité.

02/2014

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Littérature étrangère

La fin des jours

Turin, dans un futur proche. Giovanni Ceresa est professeur de lycée et s'occupe de son père, qui n'a plus toute sa tête. C'est du reste le cas de nombreux habitants, qui perdent peu à peu la mémoire et ne se soucient plus que de survivre dans une ville envahie par des bandes de clochards violents et par les jeunes marginaux d'une secte apocalyptique dont fait également partie Carla, la sour de Giovanni. Pour ne pas perdre la mémoire à son tour et sur le conseil de son ami Winnie, Giovanni tient un journal dans lequel il note tout ce qu'il vit, et jamais ne se sépare d'un magnétophone qui lui permet d'enregistrer chaque conversation. Winnie est la seule personne sur laquelle il peut compter et à qui il peut se confier. Mais ne lui fait-il pas trop confiance ? Ne se laisse-t-il pas manipuler par quelqu'un qui s'inquiète curieusement de son sort, alors que celui des autres l'indiffère ? Au terme d'une immersion dans sa propre mémoire et dans les rues d'une ville qui, comme tout le pays, semble plongée dans une véritable guerre civile, Giovanni n'aura d'autre choix que de se confronter à ses découvertes. "Dystopie" à la Orwell inspirée par L'Enfer de Dante, La fin des jours est un roman haletant qui n'oublie jamais de poser des questions actuelles : qu'est-ce qu'un individu et que valent les libertés individuelles ? Existe-t-il encore une société et une sphère publiques ? Peut-on accepter une forme de contrôle social ou devons-nous nous défendre pied à pied ?

04/2012

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Poches Littérature internation

La fin des océans

2017. Confrontée aux menaces commerciales qui pèsent sur son fjord, Signe appareille sur son voilier, direction le Sud de la France. L'écologie au coeur, la Norvégienne ne laissera pas fondre son glacier natal - devrait-elle affronter, pour cela, son premier amour... 2041. Guerre de l'eau, incendies, exode climatique... Sur les routes à travers le chaos du monde, une famille séparée tâche de se réunir. Dans un champ desséché, soudain : un voilier abandonné. Symbole tragique de la fin des océans, ou d'un nouvel horizon ?

09/2020

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Autres collections (6 à 9 ans)

La fin des haricots

Jean-Marcel et son acolyte, le lapin jardinier, sont aux petits soins pour leur potager 100 % naturel. Leur réputation a dépassé le marché local et des extraterrestres mangeurs de haricots verts réclament maintenant leurs conseils... Le deuxième tome d'une trilogie à déguster à partir de 3 ans, garantie sans engrais ni pesticide de synthèse.

11/2022

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Sciences politiques

La fin des Diplomates

Face au changement d'époque et aux guerres (Ukraine) Le temps des diplomates appartient -il au passé ? Bien loin des anecdotes d'un ambassadeur Alain Rouquié s'interroge sur l'évolution et les transformations annoncées de l'appareil diplomatique . Apres la guerre froide on a cru que la mondialisation économique allait rendre caduc les conflits entre Etats . Il n'en est rien comme le demontre l'invasion de l'Ukraine par la Russie .

01/2023

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Littérature française

La fin des nuages

Peut-on contrôler la pluie ? C'est la question que se posaient chaque année Mathieu Simonet et son amoureux Benoît, organisateur d'un festival de musique en plein air. Chaque année, la veille de l'ouverture, ils scrutaient la météo dans l'espoir d'y voir annoncé un ciel sans nuages. C'est aussi la question sur laquelle travaillent des scientifiques depuis des décennies. De nombreux pays tentent aujourd'hui d'ensemencer les nuages pour les maîtriser, faire tomber la pluie ou éviter la grêle, créer une arme de guerre ou obtenir un ciel bleu. Ces recherches ont des conséquences géopolitiques, sanitaires et environnementales. Et suscitent une interrogation fondamentale : à qui appartiennent les nuages ? Mathieu Simonet s'est passionné pour ce sujet qui s'est télescopé avec sa grande histoire d'amour, interrompue à la mort de son compagnon. Cette enquête intime sur la manipulation des nuages éclaire un phénomène à la portée poétique autant que politique.

09/2023

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Sociologie

La fin des sociétés

Nous sommes, depuis une décennie, confrontés à cette évidence : toutes les institutions sociales s'affaiblissent, et certaines d'entre elles menacent même de s'effondrer. La famille, l'école, la ville, le système de protection et de contrôle social, l'entreprise, la politique elle-même offrent à nos yeux le spectacle désolant d'archaïsmes incapables de se moderniser. Faut-il s'en inquiéter ? S'en réjouir ? Que se passe-t-il pour que les piliers de nos sociétés démocratiques se dérobent ainsi quand la globalisation du monde appellerait leur renforcement ? Tous les vingt ans, Alain Touraine publie une somme théorique magistrale, synthèse de ses travaux en cours. Après Production de la société (1973) et Critique de la modernité (1992), La Fin des sociétés marquera son oeuvre comme le point d'achèvement d'un travail d'observation critique de l'émergence du Sujet sur les ruines de la Société, et de la substitution de la revendication éthique à celle de l'émancipation du travail. Mais c'est sans doute ceci, d'abord, que le lecteur retiendra : ce n'est pas d'un monde unifié dont nous avons besoin, mais d'une pensée globale du monde. A charge pour nous d'apprendre à quelles conditions le sujet de droits que nous sommes devenus est susceptible de se faire l'acteur d'une expérience post-historique entièrement nouvelle, où l'économie financière, devenue sauvage aujourd'hui, pourrait être à nouveau contrôlée.

09/2013

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Sciences historiques

La fin des corporations

Les communautés d'arts et métiers sont une clef essentielle pour comprendre l'Ancien Régime, puisqu'elles réglementaient l'organisation du travail dans les villes et assignaient à chacun une place dans la hiérarchie de la société. Quels pouvoirs détenaient-elles ? Etaient-elles une barrière contre l'anarchie ou une entrave à la liberté des individus et du commerce ? Ces questions sont au cœur des débats sur la modernisation qui ont enflammé la France des Lumières. En 1776, Turgot, le ministre philosophe, tente de les abolir, mais le vaste mouvement de résistance qu'il soulève le contraint à reculer. Necker impose alors, avec plus ou moins de succès, un corporatisme d'Etat, à la fois plus souple et plus rationnel. Les nouvelles communautés qui se forment aux quatre coins du royaume ne sont abolies qu'en 1791, preuve qu'au début de la Révolution elles constituaient encore, malgré les critiques, l'un des piliers de l'ordre social et politique. Dans ce récit de la lente agonie des corporations, Steven Kaplan fait revivre maîtres, apprentis et compagnons, montrant les conflits et les tensions qui agitaient souvent échoppes et ateliers derrière la fraternité affichée. Ce tableau coloré démystifie les visions caricaturales d'une institution dont l'histoire a longtemps été trop idéalisée avant de tomber dans l'oubli.

01/2001

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Littérature française

La fin des Trucmoches

Lif, le narrateur, est un jeune garçon de 13 ans, plein d'imagination et de poésie, qui vit à Lalalère, bastide médiévale qui attire les touristes en quête d'authenticité. Il passe ses vacances d'été entre son père, artiste qui fabrique des Trucmoches en séries, et sa mère qui les vend par centaines aux touristes qui visitent le village. La cour, où il se laisse piéger par les trompe-l'oeil peints par son père, la maison vermoulue, la place Lalalère, le champ d'omelettes et le pont romain sont ses terrains de jeu, jusqu'à ce qu'une ancienne chorégraphe d'au moins 119 ans repère sa démarche dansante et l'emmène à New-York pour une audition. Une aventure qui va lui permettre de suivre sa voie, alors que son père, qui rêve de se lancer dans l'art funèbre, compte sur lui pour vendre ses cercueils à "faire danser les morts" en forme de S, T, Y, X, car il veut offrir aux défunts une posture plus artistique que la tristounette position rectiligne. Premier roman déjanté et plaisant à lire.

11/2023

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Autres éditeurs (K à O)

La fin des poux ?

Qu'advient-il à une famille de poux lorsqu'ils sont contraints à ne jamais migrer ? Lorsqu'ils ne voient jamais une autre tête s'approcher et qu'ils sont prisonniers du même cuir chevelu ? Serait-ce la fin des poux ? " C'était l'été d'une drôle d'année. Il faisait chaud, comme tous les étés. Les enfants du quartier s'amusaient tranquillement, mais chacun chez soi... C'est qu'ils ne pouvaient plus jouer ensemble comme avant. Petits et grands n'avaient plus le droit d'être près les uns des autres. " Qu'advient-il à une famille de poux lorsqu'ils sont contraints à ne jamais migrer ? Lorsqu'ils ne voient jamais une autre tête s'approcher et qu'ils sont prisonniers du même cuir chevelu ? Serait-ce la fin des poux ? L'autrice-illustratrice Orbie nous présente, avec l'humour et le sens de l'observation qu'on lui connaît, l'histoire d'un groupe de poux qui deviennent beaucoup trop nombreux pour une seule tête et qui cherchent par tous les moyens d'accéder à un nouveau territoire pour vivre sans se piler les uns sur les autres.

10/2021

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Littérature étrangère

La Fin des princes

Dans les années 1930, le maharaja de la petite principauté indienne de Begwad règne avec un paternalisme despotique sur son peuple, pour se consacrer à sa seule passion : la chasse au tigre. Son fils unique, le jeune Abhay, tente de se libérer de l'environnement passéiste dans lequel il grandit, où toute velléité d'indépendance est étouffée. Sa vie personnelle est, elle aussi, soumise à son statut de prince héritier, puisqu'on choisira pour lui sa femme ainsi que sa concubine. À la fin de ses études, Abhay voit dans la participation de l'Inde à la Seconde Guerre mondiale l'occasion inespérée de s'émanciper: il s'engage dans l'armée. C'est également à cette époque qu'il tombe passionnément amoureux d'une Anglaise qui deviendra sa maîtresse. Abhay devra pourtant un jour succéder à son père et devenir à son tour le maharaja de Begwad - c'est-à-dire aussi un véritable dieu vivant pour les Bhils, une peuplade primitive qui protège fidèlement le secret du trésor de ses ancêtres, et dont la survie est menacée par la liquidation des États princiers... Émouvant récit initiatique d'un jeune homme déchiré entre tradition et modernité, entre devoir et amour, La Fin des princes est aussi le roman du crépuscule d'une civilisation, celle des maharajas, qui s'effacèrent pour laisser place à l'Inde moderne.

11/2007

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Littérature française (poches)

La fin des paysages

À quatre mois de l'exposition Un siècle d'africanismes 1850-1950 à la nouvelle Tate Gallery, des caisses s'écrasent sur le quai lors du déchargement, tuant un ouvrier, éparpillant les oeuvres prêtées par des pays africains. Dans la cohue de l'accident, des pièces rares disparaissent... Abel Manson, le conservateur, meurt dans d'étranges circonstances au volant de sa voiture, et c'est Martin Finlay, son jeune assistant, qui mène l'enquête alors qu'il achève la préparation de cet événement majeur. Luc Lang reprend la trame de son livre paru en 1991, Liverpool, marée haute, pour la recréer. Il unit l'enquête policière au monologue alcoolique et fiévreux du narrateur, Martin Finlay, qui tente de recoller le puzzle de son destin en essayant de mettre de l'ordre dans cette vertigineuse histoire où se mêlent les arts africains et européens, la tragédie des frères, les impossibles filiations, les rapports nord-sud, comme une fin annoncée des paysages...

01/2008

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Religion

La fin des temps

Témoin d'un drame aux dimensions apocalyptiques, l'auteur entreprend une tâche capitale : l'explication des données eschatologiques de notre temps.

01/1982