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Autoportrait en chienne

Extraits

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Littérature française

Chienne de vie

Un court roman d'une fulgurance rare, porté par un lyrisme qui se confond - comme souvent dans l'histoire de la littérature - avec l'expression d'une certaine mélancolie, jonché de références qui accompagnent le protagoniste et qui élèvent le récit jusqu'à son apothéose. Chienne de vie est un court récit qui nous raconte le cheminement introspectif d'un homme, Nicolas - dont on ne connaîtra le nom que bien plus tard dans la narration - , en proie au " vide de lui-même ". Ce cheminement prendra donc la forme d'une errance intime, jalonnée de retours en arrière pour cerner sa personnalité, son histoire, l'origine de son dépérissement, et de quelques pistes informatives préparant le dénouement qui a pour cadre la Roumanie de Ceausescu. Survient enfin l'indicible, qui bouleverse la lecture des chapitres précédents tout comme la vie des différents personnages qui entourent Nicolas.

04/2022

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Histoire internationale

Chienne de guerre

" Ce livre est le récit de mes différents séjours dans la Tchétchénie en guerre, entre septembre 1999 et mi-février 2000. La guerre telle que je l'ai vue : il s'agit là d'un pur témoignage. J'ai agi en tant que journaliste free-lance, correspondante de deux quotidiens français, Libération et Ouest-France. Dès le début du conflit, j'avais fait la demande d'une accréditation ad hoc du côté russe ; ne l'ayant pas obtenue, j'ai décidé de regarder la guerre du côté tchétchène. Cet affrontement qui ne cesse de saigner et d'épuiser les camps en présence n'est malheureusement pas terminé et peut-être ne finira jamais. Aussi faut-il continuer de se rendre sur place pour dire ce qu'il en est. À moi qui n'avais fréquenté la guerre que dans les livres d'histoire, elle a appris son poids de cruauté, de désespoir et de mort. Au lecteur, j'espère que ces pages auront mieux fait percevoir l'enchaînement tragique des événements, mieux fait comprendre aussi ce peuple, ces hommes et femmes tchétchènes avec qui j'ai partagé l'impartageable. "

09/2001

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Autres collections (9 à 12 ans

Chienne de guerre

Ca tire de partout autour de Maksim, photographe de guerre... Ca tire de partout autour de Maksim, photographe de guerre. Des détonations sourdes qui déchirent le ciel et font trembler la terre. On entend des cris, des ordres lancés, on devine des corps qui se déplacent à ras le sol. A cette hauteur, on ne sait plus trop qui attaque, qui se défend...

03/2024

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Littérature française

Autoportrait en usager du métro

" Savoir prendre le métro est donné à tout le monde. Mais comprendre le métro est bien plus difficile. J'ignore si beaucoup de gens y parviennent. De tous les endroits que je fréquente quotidiennement, c'est celui qui m'a toujours laissé la plus curieuse impression de mystère. Sa pure fonctionnalité de transport en commun le rend obtus comme seuls savent l'être les objets utilitaires auxquels on n'a pas envie de penser quand on n'en a pas besoin. On n'y pense d'ailleurs pas non plus quand on s'en sert, l'esprit rivé sur ce qu'on va faire après avoir atteint sa destination. Pourtant, dans le métro, quand quelqu'un ne regarde personne et ne se sent pas regardé, dans la vacuité du temps mort à attendre la station à laquelle il doit descendre, le rapport qu'il entretient avec sa propre angoisse métaphysique, ce fond d'angoisse inextinguible qui subsiste quand tout va bien et qu'on a tout le temps qu'on peut souhaiter pour réfléchir, n'apparaît jamais autant sur son visage. Il se passe dans le métro, tout au fond de chacun, quelque chose qui ne se passe nulle part ailleurs. "

01/2002

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Littérature française

Autoportrait givré et dégradant

Petit matin froid de novembre. Judith, fade institutrice de la Capitale, a décidé de mourir. Sur les rails, sous l'express qui vient du nord. Au volant de la locomotive, Paul freine à temps. C'est la rencontre, le grand salut. Judith veut vivre avec Paul, réapprendre à aimer avec lui. Il connaît les arbres, les oiseaux. Enfin, la vie commence. Alors elle quitte tout, son travail, sa famille, ses attaches, pour s'installer dans une ville perdue. Mais Paul a un autre visage. De plus en plus souvent, il s'enferme avec sa bouteille. Les disputes s'enchaînent, les cris bientôt, les coups aussi. Face à cette maîtresse incontrôlable, Judith perd pied. Pourtant elle reste. Elle a tant besoin d'être aimée ! Rien dans cette ville hostile ne sait l'apaiser. Surtout pas sa belle-famille, les Jolidon. Cinq femmes aux petits soins du Fiston - un gynécée, un poulailler. Jusqu'au scandale, tonitruant. Anne-Sylvie Sprenger fait le récit d'une double dérive : un homme plein de dénis noie ses silences dans l'alcool ; une femme assoiffée d'amour se laisse séduire par la folie. Tragédie grotesque et critique de l'autofiction, Autoportrait givré et dégradant explore aussi, dans ce contexte, la responsabilité d'être mère.

09/2012

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Littérature française

Autoportrait aux dormeuses

Dans une maison ronde à l'architecture tragique, comme un crâne, le narrateur, cet homme qui a renoncé, laisse venir à lui Ada, Ira, Alwa. Ada est sans cohésion, elle gesticule, elle crie. Ira vit toutes les audaces de la chair, toutes les curiosités. Alwa n'attend plus rien du mystère de la vie. Peut-être ces trois femmes n'en sont-elles qu'une : «Ada, Ira, Alwa. Tu pénètres comme un éclair dans mon secret ou mon dérèglement. Je veux.» Jeux sexuels, recherche sans repos d'une raison, questionnement des sens et des mots, mise en chaîne des fantasmes : jamais Jean Daive n'est allé si loin et de manière formellement si intense dans le fond noir de l'âme.

10/2000

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Littérature étrangère

Autoportrait avec garçon

Une plongée saisissante dans le milieu de l'art new-yorkais des années 1990, vu à travers les yeux d'une jeune photographe confrontée à un cruel dilemme. Un roman qui interroge la nature de l'art et sa frontière avec la morale et l'éthique, où il est aussi question d'amour et de trahison, de sacrifice et d'opportunisme, et de la façon dont ces choix essentiels peuvent définir une vie. Brooklyn, début des années 1990. Lu Rile, photographe fauchée, vit dans un squat d'artistes et tente de se faire connaître avec ses autoportraits. Un jour, elle capture accidentellement la chute fatale d'un petit garçon dans l'arrière-plan d'une de ses photos. Une fois développé, Lu ne peut nier la vérité. Ce cliché est l'oeuvre d'art qui lui permettra de percer : son propre corps nu jaillissant devant la fenêtre de son appartement est en parfaite symétrie avec la silhouette du garçon en train de tomber. Alors, doit-elle exposer cette photo ? La décision n'est pas simple à prendre. La victime est en effet le fils d'une voisine dont elle s'est étroitement rapprochée depuis la tragédie... Tiraillée entre son désir de reconnaissance et cette amitié intense, Lu devra faire un choix cornélien qui l'aidera à s'affirmer à la fois en tant qu'artiste, adulte et femme.

10/2019

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Littérature française

L'autoportrait bleu

"Je suis forte comme fille, je me disais dans l'avion, d'afficher une sérénité si sereine, n'en revenais pas de me voir aussi paisible, quasiment paissant et non pas hurlant comme une vache dont on aurait prélevé le veau, qui n'aurait que ses pauvres sentiments bovins maternels, l'un n'empêche pas l'autre, pour meugler à mort et personne pour lui répondre. Je lisais donc en paix apparente ces fameuses lettres de Theodor W. Adorno à Thomas Mann et réciproquement, tandis que ma soeur avait les yeux fixés sur les aérofreins et me racontait des histoires de pilotage, de puissance masculine et de folie volante". Ciselé à la virgule près, ce roman égrène les souvenirs d'un récent séjour à Berlin hanté par la figure du compositeur Schönberg et son "esprit de résistance" . L'autodérision et le désenchantement y expriment une conscience aiguë des occasions manquées, sans éteindre cependant l'énergie contagieuse du désir.

08/2009

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Littérature française

Autoportrait aux fantômes

Comment se dire ? Lieux incertains, personnages de roman, actrices, doublures, figurants, souvenirs qui reviennent : parler de soi se fait ici, en miroir, grâce à la littérature, à la photographie, au cinéma et à la mémoire, pour révéler la présence d'un père qui, depuis toujours, accompagne à mots couverts l'écriture.

02/2022

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Beaux arts

Eugène Leroy. Autoportrait

Eugène Leroy (1910-2000) est une référence pour l'histoire de la peinture contemporaine. Des toiles expressionnistes qui le firent connaître au milieu du XXe siècle aux vastes empâtements qui ont considérablement marqué la scène artistique internationale depuis une trentaine d'années, Eugène Leroy a construit un œuvre très personnel, au croisement des débats qui animent la question de la peinture dans l'art contemporain. Sa longue pratique artistique lui a permis d'approfondir ce questionnement jusqu'à la fin et ainsi d'être non seulement une source, mais aussi l'expression la plus aboutie de cette réflexion nourrie d'une formidable culture. Parmi les thématiques traversant l'œuvre de Leroy, l'exercice de l'autoportrait intervient avec un entêtement jamais démenti rappelant les obsessions de Rembrandt. Traitée à l'huile, au fusain, au burin, l'image de l'artiste est un motif récurrent qui, abordé avec plus ou moins d'évidence ou de complexité, est une sorte de fil d'Ariane dans le labyrinthe d'une vie de création.

07/2004

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Critique littéraire

Quichotte, autoportrait chevaleresque

S'est-on jamais demandé ce que ferait Don Quichotte aujourd'hui ? Accablé par les nouvelles venues des quatre coins du monde, toutes plus terribles les unes que les autres, l'auteur de ce livre ne trouve de consolation que dans la littérature. Là se trouve l'ultime façon de résister au monde tel qu'il est. Là se trouvent les héros. Là se trouve le fabuleux chevalier à la triste figure, que l'auteur invite à revenir parmi nous. Notre triste époque ne fourmille-t-elle pas d'éplorés à protéger, de torts à redresser ? Et si, mieux encore que la consolation, de la littérature venait le salut ?

01/2018

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Indépendants

Grandeur nature. Autoportrait

L'amour du dessin ... quand Milo Manara se livre. Auteur admiré dans le monde entier, notamment grâce à sa représentation du corps féminin qui fait désormais partie de l'imaginaire collectif, Milo Manara dévoile son art, sa vie, son enfance et sa jeunesse dans une autobiographie foisonnante. Il s'y confie sur ses débuts d'apprenti aux côtés de l'immense sculpteur espagnol Berrocal, sa rencontre fondamentale avec la bande dessinée - via Barbarella et Jodelle -, l'apprentissage du métier de dessinateur dans les formats de poche sexy, 1968, son amitié avec Hugo Pratt, le "Maestro", son immense succès amorcé en France avec Le Déclic... Une histoire dans laquelle la bande dessinée rencontre aussi le cinéma, en particulier celui de Federico Fellini, avec qui Milo Manara a partagé des projets et des rêves. Confession sincère d'un auteur autant attaché à distraire humblement qu'à se faire le témoin de son époque, cette autobiographie événement du maître italien s'accompagne d'une riche iconographie en grande partie inédite : travaux récents, oeuvres de jeunesse, dessins humoristiques, croquis, affiches, commandes pour des particuliers, photographies issues de la collection personnelle de l'auteur... complétée de reproductions de certains de ses travaux (planches, couvertures...) les plus fameux. Un complément incontournable à la monographie Sublimer le réel parue en 2019 à l'occasion de ses cinquante ans de carrière, pour célébrer l'un des plus grands génies mondiaux du neuvième art.

12/2022

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Littérature française

Autoportrait de Calcutta

Nouveau nom ? Kolkata. Nom d'origine ? Calcutta. Civilité ? Incertaine. Nationalité ? Double : anglaise, indienne. Date de naissance ? 1690. Vous voyez, j'ai l'air décatie au premier regard, je m'effrite, je m'étouffe, personne au monde n'a l'air plus vieille que moi. Mais trois cent cinquante ans, ce n'est pas considérable pour une mégapole ! En vérité, je relève officiellement de la communauté des Anglo-Indiens, privée de subsides depuis 1960. Pour en être, il faut avoir au moins un ancêtre mâle britannique. On remarque tout de suite la subtilité de la définition. La Britannitude passe exclusivement par l'homme, alors même qu'au beau milieu de mon ventre se dresse l'énorme statue de l'énorme reine Victoria, petite tête sur jupes écrasantes, bouche de veuve amère et couronne posée sur une coiffe de dentelles. Il ne faut rien croire de ce qu'on dit de moi. Calcutta, grouillante misère du monde, Calcutta bidonville, Calcutta déchet puant de l'humanité, Calcutta qui rend raciste n'importe quel Blanc en vingt-quatre heures, ce fut écrit et publié. Par des Blancs. Si je suis utile au vaste monde, c'est à cause du compliqué. Avec moi, rien n'est simple. Je suis anglo-indienne et communiste, maoïste et nationaliste, violemment révolutionnaire et mystique, dense et mutine, nazie et libertaire, je m'appelle Contradiction.

05/2021

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Littérature française

Autoportrait au radiateur

"A la question toujours encombrante : qu'est-ce que tu écris en ce moment, je réponds que j'écris sur des fleurs, et qu'un autre jour je choisirai un sujet encore plus mince, plus humble si possible. Une tasse de café noir. Les aventures d'une feuille de cerisier. Mais pour l'heure, j'ai déjà beaucoup à voir : neuf tulipes pouffant de rire dans un vase transparent. Je regarde leur tremblement sous les ailes du temps qui passe. Elles ont une manière rayonnante d'être sans défense, et j'écris cette phrase sous leur dictée : "Ce qui fait événement, c'est ce qui est vivant, et ce qui est vivant, c'est ce qui ne se protège pas de sa perte."

01/2000

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Beaux arts

Autoportraits cachés

Les titres affichés de certaines oeuvres ne disent pas tout du sujet. Ils passent sous silence que, parfois, le peintre s'est glissé dans la scène qu'il a représentée. Dans la toile, se cache un autoportrait. C'est ainsi que, par exemple, Botticelli " assiste " à L'Adoration des Mages, que El Greco est présent lors de L'Enterrement du comte d'Orgaz, comme Vélasquez l'est à Bréda le 5 juin 1625 lorsque le ville capitule... Ingres quant à lui se représente derrière Jeanne d'Arc dans la cathédrale de Reims lors du sacre du Charles VII. Or ce sacre a eu lieu le 17 juillet 1429. Ingres a achevé sa toile en 1854... Singulier et très anachronique jeu de cache-cache. Rassembler des oeuvres de Michel-Ange et de James Ensor, de Memling et de Véronèse, de Rembrandt et de Masaccio, de Dürer et de Raphaël, de Ghirlandaio et de Dali, c'est devoir s'interroger sans cesse sur la, les raisons qui ont conduit les uns et les autres à vouloir se représenter ainsi. Pour quelle raison, par exemple, Michel-Ange fait-il le choix de se représenter dans le Jugement dernier de la chapelle Sixtine comme la peau écorchée de saint Barthélémy ? Pourquoi Van Eyck fait-il le choix de n'être qu'un reflet dans le miroir convexe accroché derrière les Arnolfini et un autre reflet sur le bouclier de saint Georges dans La Vierge au chanoine Van der Paele ? Max Ernst au XXème siècle, comme Rubens au XVème, ont-ils les mêmes raisons de se représenter entourés d'amis ? Pourquoi Rembrandt se représente-t-il parmi les bourreaux qui dressent la croix sur laquelle le Christ vient d'être cloué ? Une invitation passionnante, éclairante et sans précédent qui permet de mettre en évidence les songes et les ambitions des plus grands peintres de l'histoire de l'art.

10/2020

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Faits de société

Autoportrait du professeur en territoire difficile

Quelles sont les consignes que l'on donne aux professeurs dont le premier poste est situé dans un collège de "zone sensible" ? Maintenir les élèves en classe, avant toute chose, et prévenir les incidents. La transmission des savoirs, elle, devient accessoire. Insultes, humiliation, solitude... L'auteur témoigne de la détresse qu'il a vécue, jeune professeur, en découvrant la déliquescence d'une partie du système scolaire. Les victimes en sont les élèves, que l'on abandonne, et les professeurs, relégués dans un quotidien misérable. Construit comme un récit, ce vigoureux essai ne s'embarrasse pas de langue de bois. Constatant un terrible approfondissement des gouffres sociaux, l'auteur renvoie chaque bord politique à ses contradictions, tout en s'interrogeant sur la place qu'il occupe lui-même dans une société française en plein bouleversement. Il évoque aussi les beautés d'un métier qui se durcit, mais dont l'importance reste cruciale.

04/2011

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Littérature française (poches)

Autoportrait de l'auteur en passant

"Quand la chaleur n'est pas excessive, c'est un bonheur "d'épouser la foule". C'est, dit encore Baudelaire, "une immense jouissance que d'élire domicile dans le nombre, dans l'ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l'infini". La foule est un miroir de soi où le flâneur apparaît dans sa diversité. Insatiable de ses reflets, chacun de nous savoure dans la foule son infinité. Il suffit de la regarder pour se multiplier, pour s'oublier. Tel est le lecteur, grand prostitué. Les personnages ne vivent pas à notre place : ils nous donnent à connaître nos vies virtuelles." Jean Roudaut

11/2017

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Animaux, nature

MA CHIENNE DE VIE

Il ne fait pas bon être chien errant sur l'île de la Réunion... A certains endroits de la côte, les pêcheurs en effet capturent chats et chiens et les mutilent (crochet-hameçon dans les pattes, fil de fer dans la tête, tout ça planté à vif), les transformant en appâts vivants pour la pêche au requin, activité aussi juteuse qu'illégale (que font les pouvoirs publics ? rien). Comme des centaines de ses congénères, Chance en a été la victime - quelques jours après avoir mis au monde, dans un fourré, ses premiers bébés. Miraculeusement, elle parvient à se sauver. Ses petits ne survivront pas mais pour elle le pire est passé. Recueillie par une SPA locale, elle débarque en métropole, en piteux état, mais vivante. Dans toute belle histoire, il faut une bonne fée... La sienne s'appelle Dany Saval, la femme de Michel Drucker, connue pour son action en faveur de la protection animale : c'est grâce à Dany que Chance rencontre ceux qui vont devenir les humains de sa vie, le chanteur Dave et son compagnon le parolier et auteur Patrick Loiseau. Le coup de foudre est immédiat, et réciproque. Et la vie avec eux, depuis, une sacrée aventure. Après toutes les épreuves traversées, Chance aurait-elle, finalement, de la chance ? D'une plume tour à tour sensible et drôle, qui touche et frappe juste, Chance (elle n'aurait laissé à personne le soin d'écrire son " autobiographie ") nous raconte son destin de miraculée et nous fait pénétrer dans l'intimité de ses maîtres célèbres - son histoire est la preuve définitive que, oui, le chien est le meilleur ami de l'homme.

02/2016

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Littérature française

Chienne de vie magnifique

Tous les personnages, sauf l'auteur, - le Ciel lui pardonne ? ! aiment les chiens. Un seul croit en Dieu et on ose encore en ces temps médiatiques parler d'âme, de grandeur et de beauté. Les références ne sont pas non plus actuelles et cantonnées dans l'espace d'une génération. Cervantès croise Racine et Vaclav Havel ?

01/2019

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Littérature française

La chienne de Naha

"Minuit sonne à l'église. Mes pensées se déposent en espagnol, comme si la langue de mon enfance m'avait recolonisée tout entière, une flaque d'or s'élargissant au fond de moi. Toute la colline fermente contre le ciel, autant d'arbres fraternels, soudés comme les vagues dans la mer, bercée par leur masse en mouvement. Les morts sont autant d'arbres, ils poussent parmi nous, mêlés à nous, être mort est une belle chose, simple et agréable. La nuit est douce, piquetée d'astres, j'imagine les chèvres dans les cimetières goûtant de leur langue rêche la bière répandue sur les tombes. Une balle tirée d'un point obscur pourrait pénétrer par la fenêtre et m'atteindre à cet instant. C'est une conviction très forte, une évidence en cette nuit des morts : quelqu'un est là, qui me vise le coeur".

02/2012

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Littérature étrangère

Ma chienne de vie

"Quand j'atteindrai quarante ans, mes facultés se seront peut-être repliées, telle la corolle des fleurs au crépuscule, me laissant incapable d'écrire mes mémoires en y mettant la dose idoine de sobre inexactitude, ou alors, étant venu à bout de la tâche, incapable d'aller les porter à mon éditeur...". C'est donc en pleine force de l'âge, dès les années 1930 dans les pages du New Yorker, que l'auteur tait paraître Ma chienne de vie, autobiographie loufoque et illustrée racontant sa jeunesse au sein d'une famille farfelue de l'Ohio. De l'effondrement du lit paternel à la visite nocturne de bien étranges fantômes, des lubies du chien Muggs à celles d'un grand-père frappadingue hanté par la guerre de Sécession, James Thurber transfigure les petits événements de la vie en minuscules épopées tendres, drôles et cocasses.

04/2018

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Littérature française

Un amour de chienne

Depuis sa plus tendre enfance, Sophie Rabussier a toujours rêvé d'avoir une chienne. Puis un jour, comme par miracle, son rêve devient réel. Lors de son anniversaire, une petite boule de poils est arrivée dans sa vie : Nora, une adorable petite chienne devenue son amie, sa confidente de tous les jours. Celle-ci vivra à ses côtés durant seize belles années. Puis, malheureusement, à treize ans, Nora est atteinte d'une maladie. Elle vit le parcours du combattant. Ensemble, ses maîtres réunissent leurs forces et redoublent d'amour. Nora est entourée d'affection, de chaleur et de douceur. Tout ce qu'elle dégageait en leur ouvrant son cœur. Une petite chienne au cœur d'or qui marquera, pour l'éternité, la vie de ses maîtres.

01/2017

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Petits classiques parascolaire

Portraits et autoportraits. Anthologie

C'est un livre très accueillant : on y croise la belle Princesse de Clèves, on y côtoie l'immonde Quasimodo. Jean-Jacques Rousseau se met à nu, Marcel Proust, Jean-Paul Sartre et Nathalie Sarraute nous livrent leur enfance. C'est une galerie de portraits et d'autoportraits, une invitation à faire des rencontres. Ne soyez pas timides, et faites connaissance ! L'anthologie, organisée en trois parties, regroupe des textes poétiques, dramatiques et narratifs, depuis François Villon jusqu'à Pierre Pachet. L'accompagnement critique ouvre sur les questions de la représentation à partir de ses mythes fondateurs (Pygmalion, Orphée, Narcisse). Plusieurs lectures d'images sont proposées : un autoportrait d'Egon Schiele et les deux taureaux de Picasso. Anthologie de 57 textes (du Moyen Age au XXe siècle) recommandée pour les classes de lycée.

10/2002

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Poésie

Elle & elle. Entre chienne et louve

Lettres, notes ou pigments, dans cette "tribu", tous sont artistes... Elle & Elle est un échange entre une mère et sa fille. Marijosé écrit. Fred peint. On retrouve donc dans ce recueil des textes de chansons, des poèmes et même du slam, illustrés par des peintures et des croquis. Et comme pour partager davantage encore avec les autres leur complicité particulière, l'ouvrage débute par un dialogue particulièrement émouvant...

02/2009

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BD jeunesse divers

La petite chienne et la louve

La vie est dure pour Nana... Cette petite chienne aux grands yeux globuleux et au caractère craintif se fait malmener par son maître, un odieux personnage qui n'hésite pas à la gronder et la frapper sans raison ? ! Tout espoir de sortir de cet enfer semble impossible pour Nana, jusqu'à l'irruption dans sa vie de l'esprit salvateur d'une grande louve, qui va l'encourager à s'émanciper, à partir à l'aventure pour rejoindre les siens dans la forêt ? ! Son chemin est semé d'embûches et de dangers, mais vaillante, elle relève tous les défis, et croisera même Sylvie, une petite fille qui comme elle, rêve de rencontrer les loups... Nana, on croit en toi ? !

09/2022

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Petits classiques parascolaire

Autoportrait d'un reporter

Choisies parmi plus de mille pages d'articles et d'interviews, ces quelques dizaines de questions et réponses sont précieuses pour en apprendre davantage sur la profession exercée par Ryszard Kapuscinski, mais aussi sur lui-même, sa personnalité, sa passion du voyage, ses reportages exceptionnels, son goût du risque. Kapuscinski évoque ici sans concession la déontologie de son métier, les manipulations et les pressions des médias que subissent les reporters d'aujourd'hui, et aborde avec une belle sincérité l'art de l'écriture, et la conception philosophique de son travail. Une sorte de testament d'écrivain du grand reporter disparu en janvier 2007 qui revient sur les moments forts de son oeuvre. Un petit livre riche, drôle parfois, qui étonne par la modestie de ses aveux. "Kapuscinski était un être subtil, réfléchi, cultivé et humble qui aura fait du reportage son "mode de vie", et de l'écriture sa raison d'être." Charles Ruelle - Le Magazine littéraire

10/2017

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Littérature française (poches)

autoportrait de l'autre

" J'ai réussi ma vie là où les autres la perdent, à la guerre. Et ce soir, devant un panorama de souffrances, coupe de champagne en main, nous célébrons l'ouverture de l'expo. Buvons à la beauté du contraste... " Dans un monologue bouleversant, où les images de l'enfance, de la mère, de l'amour et des combats s'entremêlent, Chahdortt Djavann met à nu un grand photographe de guerre. Sur quelles souffrances, sur quelles absences s'est-il construit au point de ne plus se reconnaître dans cet autre qu'il est devenu ? Une écriture haletante, violente, sans concession, dans laquelle les pulsions de vie et de mort sont face à face.

03/2009

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Littérature étrangère

Autoportrait au piano russe

" Passer à côté de la voix de Wolf Wondratschek au milieu du brouhaha de la littérature contemporaine serait une erreur colossale. " - Patrick Süskind " Wondratschek écrit comme Glenn Gould jouait du piano. " - Stuttgarter Zeitung Vienne est une ville étrange et magique. Le passé y bruisse dans les cafés où l'on vient tuer les heures et ressasser les souvenirs d'une gloire perdue, que ce soit celle de l'Empire de jadis ou les splendeurs et misères d'une histoire d'amour. C'est là, dans l'un de ces cafés, que l'anonyme narrateur rencontre un drôle de personnage : Souvorine. Ancien pianiste de renommée internationale, ce vieux monsieur russe, tantôt volubile, tantôt taiseux, d'une franchise déconcertante que contredit un goût prononcé pour le secret, approche du terme de sa vie, et entreprend de raconter celle-ci au candide narrateur fasciné. S'ensuit une série de rencontres, ponctuées d'aveux, d'emportements et d'anecdotes, à travers lesquels s'esquisse en mosaïque un vaste panorama du destin et du déclin d'une Europe aujourd'hui vide de sens et de sensibilité. Rhapsodique, mélancolique, Autoportrait au piano russe est une sonate littéraire, pleine de rage et d'élégance, en forme de variations virtuoses autour de la beauté, de la musique, de la passion et de l'éternité. Traduit de l'allemand par Julien Lapeyre de Cabanes Wolf Wondratschek, né en 1943 à Rudolstadt, en Thuringe, a étudié la littérature et la philosophie à Heidelberg, Göttingen et Francfort. Son premier livre, en 1969, Quand la journée commençait encore avec une blessure par balle, a immédiatement fait de lui un auteur " culte ". Auteur d'une oeuvre abondante et éclectique (romans, poésie, nouvelles, critiques), premier écrivain beat outre-Rhin, ce grand amateur et spécialiste de musique, à la fois classique et iconoclaste, est une figure tutélaire majeure mais méconnue du paysage littéraire allemand de la deuxième moitié du vingtième siècle. Autoportrait au piano russe est son premier livre publié en France.

10/2019

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Littérature étrangère

Autoportrait à l'hippopotame

Nous sommes en 2004, Athènes accueille les jeux Olympiques ; et dans une école de Beslan, en Ossétie du Nord, un commando prend en otage plusieurs centaines d'enfants et d'adultes. A Vienne, ce sont les vacances universitaires, et Julian, vingt-deux ans, étudiant en médecine vétérinaire, songe à rompre avec Judith, sa petite amie, quand celle-ci prend les devants et le quitte. Le jeune homme doit se résoudre à vivre en colocation avec Nicki, qui sait encore moins que lui quoi faire de sa vie. Le père de Judith exige que Julian lui rembourse le loyer pour l'appartement qu'il a partagé avec sa fille. Tibor, l'ami désinvolte qui semble toujours mieux s'en tirer, lui cède alors son job d'été. Il devra s'occuper d'un hippopotame nain que le professeur Beham, ancien recteur de la faculté moribond, accueille provisoirement dans sa propriété de la périphérie de Vienne. La fréquentation quotidienne du placide herbivore apaise quelque peu Julian. Mais lorsqu'il débute une liaison avec Aiko, la capricieuse fille du retraité, la vie semble lui réserver de nouveau des leçons. Dans un style plaisant et fluide, l'auteur nous livre ici sa version du roman de formation. Arno Geiger observe avec acuité toute une époque, qui, face à la complexité contemporaine et une réalité envahissante, semble condamnée au grand flou.

06/2017

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Philosophie

Autoportrait dans l'atelier

Giorgio Agamben est l'auteur d'une oeuvre de philosophie politique majeure, internationalement commentée. Depuis quelques années l'art semble prendre une place prépondérante dans sa réflexion : il publie en 2017 un livre consacré à la figure de Polichinelle dans les derniers travaux de Giandomenico Tiepolo (Polichinelle ou Divertissement pour les jeunes gens en quatre scènes), Autoritratto nello studio en 2017 et Studiolo (non encore traduit) en 2019. Nous publions la traduction d'Autoritratto nello studio. Voici ce qu'on pourrait lire sur la quatrième de couverture de l'ouvrage : "Le titre, Autoportrait dans l'atelier - un thème iconographique familier à l'histoire de la peinture - doit être entendu ici à la lettre : ce livre est un autoportrait, mais seulement dans la mesure où, à la fin, le lecteur pourra en déchiffrer les traits à travers le patient examen des images, des photographies, des objets, des tableaux présents dans les ateliers où l'auteur a travaillé et travaille encore. Le pari d'Agamben est, dès lors, celui de réussir à parler de soi seulement et exclusivement en parlant des autres : les poètes, les philosophes, les peintres, les musiciens, les amis, les passions - en somme les rencontres et les confrontations qui ont décidé de sa formation et ont nourri et nourrissent encore en diverses manières et proportions sa propre écriture, de Heidegger à Elsa Morante, de Melville à Walter Benjamin, de Caproni à Giovanni Urbani. Les images font donc partie intégrante de ce livre - comme dans ces rébus où des figures variées en produisent une autre, plus grande par leur juxtaposition -, elles composent avec le texte l'un des autoportraits les plus insolites qu'un auteur ait jamais laissés : non pas une autobiographie mais une autohétérographie des plus fidèles, et intemporelle". Autoritratto nello studio /Autoportrait dans l'atelier : le mot studio, en italien, signifie également bureau, tandis que l' "atelier" , en français, évoque l'art, l'artisanat, les métiers. Autoportrait dans l'atelier est un livre de philosophe sans être un livre de philosophie. Un autoportrait plus qu'une autobiographie au sens où il s'agirait d'une tentative, comme c'est parfois le cas dans l'art, de conserver au visage (ou à la figure) sa part d'énigme. Le fil indéterminé de l'ouvrage retisse en effet les liens intimes du philosophe Agamben avec les personnages et les oeuvres rencontrées, en partant de l'atelier, c'est à dire des livres, des photographies, des manuscrits, des gravures et des objets qui s'y trouvent comme autant de points de départ d'une récapitulation de sa pensée et de sa vie.

11/2020