Recherche

Autoportrait (remake)

Extraits

ActuaLitté

Littérature française (poches)

autoportrait de l'autre

" J'ai réussi ma vie là où les autres la perdent, à la guerre. Et ce soir, devant un panorama de souffrances, coupe de champagne en main, nous célébrons l'ouverture de l'expo. Buvons à la beauté du contraste... " Dans un monologue bouleversant, où les images de l'enfance, de la mère, de l'amour et des combats s'entremêlent, Chahdortt Djavann met à nu un grand photographe de guerre. Sur quelles souffrances, sur quelles absences s'est-il construit au point de ne plus se reconnaître dans cet autre qu'il est devenu ? Une écriture haletante, violente, sans concession, dans laquelle les pulsions de vie et de mort sont face à face.

03/2009

ActuaLitté

Littérature étrangère

Autoportrait au piano russe

" Passer à côté de la voix de Wolf Wondratschek au milieu du brouhaha de la littérature contemporaine serait une erreur colossale. " - Patrick Süskind " Wondratschek écrit comme Glenn Gould jouait du piano. " - Stuttgarter Zeitung Vienne est une ville étrange et magique. Le passé y bruisse dans les cafés où l'on vient tuer les heures et ressasser les souvenirs d'une gloire perdue, que ce soit celle de l'Empire de jadis ou les splendeurs et misères d'une histoire d'amour. C'est là, dans l'un de ces cafés, que l'anonyme narrateur rencontre un drôle de personnage : Souvorine. Ancien pianiste de renommée internationale, ce vieux monsieur russe, tantôt volubile, tantôt taiseux, d'une franchise déconcertante que contredit un goût prononcé pour le secret, approche du terme de sa vie, et entreprend de raconter celle-ci au candide narrateur fasciné. S'ensuit une série de rencontres, ponctuées d'aveux, d'emportements et d'anecdotes, à travers lesquels s'esquisse en mosaïque un vaste panorama du destin et du déclin d'une Europe aujourd'hui vide de sens et de sensibilité. Rhapsodique, mélancolique, Autoportrait au piano russe est une sonate littéraire, pleine de rage et d'élégance, en forme de variations virtuoses autour de la beauté, de la musique, de la passion et de l'éternité. Traduit de l'allemand par Julien Lapeyre de Cabanes Wolf Wondratschek, né en 1943 à Rudolstadt, en Thuringe, a étudié la littérature et la philosophie à Heidelberg, Göttingen et Francfort. Son premier livre, en 1969, Quand la journée commençait encore avec une blessure par balle, a immédiatement fait de lui un auteur " culte ". Auteur d'une oeuvre abondante et éclectique (romans, poésie, nouvelles, critiques), premier écrivain beat outre-Rhin, ce grand amateur et spécialiste de musique, à la fois classique et iconoclaste, est une figure tutélaire majeure mais méconnue du paysage littéraire allemand de la deuxième moitié du vingtième siècle. Autoportrait au piano russe est son premier livre publié en France.

10/2019

ActuaLitté

Littérature étrangère

Autoportrait à l'hippopotame

Nous sommes en 2004, Athènes accueille les jeux Olympiques ; et dans une école de Beslan, en Ossétie du Nord, un commando prend en otage plusieurs centaines d'enfants et d'adultes. A Vienne, ce sont les vacances universitaires, et Julian, vingt-deux ans, étudiant en médecine vétérinaire, songe à rompre avec Judith, sa petite amie, quand celle-ci prend les devants et le quitte. Le jeune homme doit se résoudre à vivre en colocation avec Nicki, qui sait encore moins que lui quoi faire de sa vie. Le père de Judith exige que Julian lui rembourse le loyer pour l'appartement qu'il a partagé avec sa fille. Tibor, l'ami désinvolte qui semble toujours mieux s'en tirer, lui cède alors son job d'été. Il devra s'occuper d'un hippopotame nain que le professeur Beham, ancien recteur de la faculté moribond, accueille provisoirement dans sa propriété de la périphérie de Vienne. La fréquentation quotidienne du placide herbivore apaise quelque peu Julian. Mais lorsqu'il débute une liaison avec Aiko, la capricieuse fille du retraité, la vie semble lui réserver de nouveau des leçons. Dans un style plaisant et fluide, l'auteur nous livre ici sa version du roman de formation. Arno Geiger observe avec acuité toute une époque, qui, face à la complexité contemporaine et une réalité envahissante, semble condamnée au grand flou.

06/2017

ActuaLitté

Philosophie

Autoportrait dans l'atelier

Giorgio Agamben est l'auteur d'une oeuvre de philosophie politique majeure, internationalement commentée. Depuis quelques années l'art semble prendre une place prépondérante dans sa réflexion : il publie en 2017 un livre consacré à la figure de Polichinelle dans les derniers travaux de Giandomenico Tiepolo (Polichinelle ou Divertissement pour les jeunes gens en quatre scènes), Autoritratto nello studio en 2017 et Studiolo (non encore traduit) en 2019. Nous publions la traduction d'Autoritratto nello studio. Voici ce qu'on pourrait lire sur la quatrième de couverture de l'ouvrage : "Le titre, Autoportrait dans l'atelier - un thème iconographique familier à l'histoire de la peinture - doit être entendu ici à la lettre : ce livre est un autoportrait, mais seulement dans la mesure où, à la fin, le lecteur pourra en déchiffrer les traits à travers le patient examen des images, des photographies, des objets, des tableaux présents dans les ateliers où l'auteur a travaillé et travaille encore. Le pari d'Agamben est, dès lors, celui de réussir à parler de soi seulement et exclusivement en parlant des autres : les poètes, les philosophes, les peintres, les musiciens, les amis, les passions - en somme les rencontres et les confrontations qui ont décidé de sa formation et ont nourri et nourrissent encore en diverses manières et proportions sa propre écriture, de Heidegger à Elsa Morante, de Melville à Walter Benjamin, de Caproni à Giovanni Urbani. Les images font donc partie intégrante de ce livre - comme dans ces rébus où des figures variées en produisent une autre, plus grande par leur juxtaposition -, elles composent avec le texte l'un des autoportraits les plus insolites qu'un auteur ait jamais laissés : non pas une autobiographie mais une autohétérographie des plus fidèles, et intemporelle". Autoritratto nello studio /Autoportrait dans l'atelier : le mot studio, en italien, signifie également bureau, tandis que l' "atelier" , en français, évoque l'art, l'artisanat, les métiers. Autoportrait dans l'atelier est un livre de philosophe sans être un livre de philosophie. Un autoportrait plus qu'une autobiographie au sens où il s'agirait d'une tentative, comme c'est parfois le cas dans l'art, de conserver au visage (ou à la figure) sa part d'énigme. Le fil indéterminé de l'ouvrage retisse en effet les liens intimes du philosophe Agamben avec les personnages et les oeuvres rencontrées, en partant de l'atelier, c'est à dire des livres, des photographies, des manuscrits, des gravures et des objets qui s'y trouvent comme autant de points de départ d'une récapitulation de sa pensée et de sa vie.

11/2020

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait en nature morte

Pourquoi l'auteur s'est-il un jour intéressé aux natures mortes, ces peintures, d'un genre longtemps qualifié de mineur, qui, de Pompéi à Picasso, rythment l'histoire de l'art ? Peut-être parce qu'elles ressemblaient à sa vie : depuis des lustres, hormis l'écriture, il avait cessé toute activité publique, et, avec une jubilation paradoxale, se comparait volontiers à une cruche, une pomme, une chaise. Mais pourquoi écrit-on, alors qu'on a tout quitté ? Pourquoi, quand on a choisi les catacombes, reste-t-on toujours sensible aux critiques éventuelles ? C'est à travers le parcours chaotique de l'histoire de la peinture et de l'histoire de sa vie, que l'auteur s'arrête sur toutes ces questions : il ne cherche pas tant à y répondre qu'à les ouvrir, à les laisser ouvertes, peut-être enrichies par une si curieuse attention. Ni récit ni essai (et tout cela à la fois), cet ouvrage pour le moins singulier, ne défend aucune thèse, n'interprète rien, c'est un cheminement solitaire qui parfois, par sa construction même, ressemble à un labyrinthe. On y croise aussi bien Mallarmé et Van Gogh, que Bernard Frank et Goya, Samuel Beckett et Zurbaran, Mme de Sévigné et Picasso, Proust et Morandi, saint Augustin et Matisse, Michel Leiris et Cézanne, Freud et Manet, Musil et Soutine, Talleyrand et Hammershoi, Kafka et la dynastie Tcheou, Borges et les dinosaures, et peut-être surtout l'auteur lui-même, ses fantômes, ses hantises, ses attentions, ses négligences et son grand amour depuis longtemps perdu.

02/2020

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait d'une danseuse

De l'Opéra de Paris à New York, de Georges Balanchine à Merce Cunningham, cet Autoportrait retrace la vie d'une danseuse, depuis ses années d'apprentissage jusqu'à son accomplissement artistique. Il est composé de onze épisodes indépendants, reliés par un récit, convergeant en un portrait unique. Avec ce premier titre de leur collection "Suites" , les Editions Rue Saint Ambroise inaugurent une nouvelle forme littéraire qui conjugue l'unité du roman et la variété du recueil. Ancienne danseuse de l'Opéra de Paris, Florence Didier-Lambert vit et travaille à Paris.

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Visages d'un autoportrait

Les différents visages de Zoé Oldenbourg se découpent sur cette " histoire vraie " : l'enfant qui lit, regarde ; l'adolescente qui se cherche ; la jeune femme vulnérable ; enfin, à toutes les périodes, l'écrivain qui naît, vit ses premières expériences de dédoublement, publie. Il ne s'agit pas de souvenirs d'enfance, car de ce qu'il a vu l'auteur ne rapporte ici que le centième, et s'efforce surtout de traduire ce qu'a pu être la formation, dès l'enfance, d'un futur romancier. Parmi les faces de ce complexe " autoportrait " apparaissent les visages des deux parents, figures initiales. A cela près, les autres protagonistes sont volontairement laissés dans l'ombre. Le thème du livre est l'éveil progressif d'un long élan créateur.

01/1988

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait à la guillotine

"Longtemps, j'ai cru que j'avais été guillotiné dans une vie antérieure. Cet aveu a toutes les allures d'une énormité, je sais. Tout ce que je puis dire à ma décharge est que ma croyance est révolue - quoiqu'elle fasse encore partie de moi. Il y a quinze ans, souffrant de problèmes de dos, j'ai consulté sur le conseil d'une amie un masseur versé en sophrologie. Tout en me pétrissant les lombaires, il m'a questionné sur mon passé. Avec une certaine réticence, j'ai évoqué cette croyance déjà ancienne. Lui a pris la chose très au sérieux. Aussi sec, il m'a parlé d'une patiente qui ressentait des douleurs aiguës entre les omoplates. Elles s'expliquaient, à l'en croire, par des coups de poignard reçus au xve siècle, alors que la dame était assaillie par des Ottomans en plein marché. J'ai trouvé ça exotique. Poétique, presque. En même temps, je me suis retenu de rire. Quand il est question de moi, hélas, je suis incapable de la même légèreté". Comment guérir l'obsession d'une vie ? A la créativité instinctive de l'enfance répondent les armes de l'âge adulte : l'humour et la volonté de comprendre. Entre les deux, l'amour maternel, indéfectible.

01/2018

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait givré et dégradant

Petit matin froid de novembre. Judith, fade institutrice de la Capitale, a décidé de mourir. Sur les rails, sous l'express qui vient du nord. Au volant de la locomotive, Paul freine à temps. C'est la rencontre, le grand salut. Judith veut vivre avec Paul, réapprendre à aimer avec lui. Il connaît les arbres, les oiseaux. Enfin, la vie commence. Alors elle quitte tout, son travail, sa famille, ses attaches, pour s'installer dans une ville perdue. Mais Paul a un autre visage. De plus en plus souvent, il s'enferme avec sa bouteille. Les disputes s'enchaînent, les cris bientôt, les coups aussi. Face à cette maîtresse incontrôlable, Judith perd pied. Pourtant elle reste. Elle a tant besoin d'être aimée ! Rien dans cette ville hostile ne sait l'apaiser. Surtout pas sa belle-famille, les Jolidon. Cinq femmes aux petits soins du Fiston - un gynécée, un poulailler. Jusqu'au scandale, tonitruant. Anne-Sylvie Sprenger fait le récit d'une double dérive : un homme plein de dénis noie ses silences dans l'alcool ; une femme assoiffée d'amour se laisse séduire par la folie. Tragédie grotesque et critique de l'autofiction, Autoportrait givré et dégradant explore aussi, dans ce contexte, la responsabilité d'être mère.

09/2012

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait à la valise

Une jeune femme très visiblement enceinte est arrêtée en Birmanie au moment de décoller pour la France. Motif : le certificat médical qui l'autorise à voyager n'est pas au nom de son passeport. L'un est à son nom de jeune fille, l'autre à son nom marital. Voilà ce qu'il en coûte aux femmes indépendantes : la future mère va devoir appeler son mari à l'aide. Sauf qu'il l'a conjurée de renoncer à ce voyage en Birmanie parfaitement déraisonnable dans son état, et qu'il la croit à Hambourg. Contrainte d'attendre la décision d'ubuesques autorités birmanes, entourée de faux balayeurs qui sont de vrais espions et de vraies grands-mères aux allures de sorcières, la jeune femme s'interroge : pourquoi, depuis l'enfance, a-t-elle l'obsession du départ chevillée au corps. Toute sa vie défile à travers ce prisme, du remplissage maniaque du coffre de la voiture avant la transhumance estivale jusqu'aux bonnes et moins bonnes fortunes des voyages professionnels acceptés avec avidité. Elle attend, elle doute, inquiète de cette vie nomade quand elle sera mère, coupable mais convaincue qu'elle repartira. Et dans les pas de Jankélevitch, elle nous embarque dans la psyché rêveuse des grands voyageurs. Celui qui "imagine à l'avance ce retour plus doux que le miel, et s'ingénie en flânant sur la route, à faire durer le plaisir. Car c'est le plaisir de rentrer qui l'avait fait partir - le plaisir de rentrer et d'anticiper sur le plaisir du retour, et de raconter ensuite son voyage".

04/2016

ActuaLitté

Contes et nouvelles

Autoportrait 33 - Feuillets 1923

La collection "prismes" est un exercice d'écriture imaginé par l'éditeur de ce livre. Un auteur contemporain est invité à choisir un texte du domaine public. Il s'en inspire librement pour écrire un nouveau texte et les deux sont ensuite croisés et publiés ensemble. Pour "prismes" , Felix Macherez écrit "Autoportrait 33", une nouvelle en réponse à André Gide. Il nous plonge dans l'intimité d'un écrivain qui, à sa table de travail, pense, se souvient, digresse. Ses pensées nous promènent d'une liste de ses passions à son coup de foudre pour un mannequin en plastique, en passant par La Vache de Kandinsky et le Colt. 38 posé sur son bureau. Entre les lignes, Gide fait lui aussi sa "gymnastique intime" et lui chuchote que l'action est toujours préférable à l'inaction.

10/2022

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait aux yeux crevés. Aphorismes

L'aphorisme est un art d'équilibriste que nous aimons beaucoup chez L'Oie de Cravan. Après ceux de Pierre Peuchmaurd et Laurent Albarracin, nous vous présentons cet ensemble né pendant les nuits d'insomnie d'un homme d'une finesse exquise, malade mais lucide. Normand Lalonde qualifiait ses aphorismes de "? petites méchancetés et autres gentillesses ? ", mettant ainsi bien en évidence l'aspect à la fois cru et tendre de ces petits éclairs qui parviennent à cristalliser l'improbable condition humaine. C'est là le grand art de Normand Lalonde : nous faire sourire face à l'incontournable horreur.

01/2019

ActuaLitté

Cinéma

Scénaristes de cinéma : un autoportrait

Ni cinéaste, ni écrivain, le scénariste de cinéma travaille dans l'ombre, la plupart du temps en collaboration avec les metteurs en scène. Il est le premier témoin de la naissance des films, et les accompagne parfois jusqu'au montage final. Sur la base d'un questionnaire auxquels ont répondu plus d'une soixantaine de professionnels, les scénaristes de cinéma associés décrivent une profession peu connue, mais passionnante. Ils évoquent les difficultés du métier, mais aussi les spécificités de leurs savoir-faire, loin des modèles télévisuels et des formatages en tout genre. Divisé en six chapitres, le livre aborde de nombreuses questions, qui vont du statut social de l'auteur à l'invisibilité publique du scénariste de cinéma. Peut-on vivre du métier de scénariste ? Comment trouve-t-on du travail ? Les scénaristes sont-ils bien lus ? Comment travaille-ton avec un cinéaste ? Que faut-il penser des résidences ? Et tout simplement : A quoi sert un scénariste ? Chaque chapitre a été pris en charge par un ou plusieurs scénaristes de cinéma. Les styles diffèrent, mais témoignent tous du plaisir d'écrire et de transmettre la passion du métier. L'intégration de nombreux témoignages contribue à faire de ce texte un véritable autoportrait de groupe. Le livre s'adresse à tout ceux que le cinéma intéresse : professionnels, enseignants, étudiants, mais également cinéphiles. Pédagogique, documenté, incarné, traversé par un évident plaisir d'écrire, il se lit aisément et met en lumière un métier du cinéma mal connu, même de la profession. Le livre est signé par le SCA - scénaristes de cinéma associés, mais les textes ont été écrits par de nombreux scénaristes de cinéma : Guillaume Laurant, Raphaëlle Desplechin, Gladys Marciano, Nadine Lamari, Maya Haffar, Nathalie Hertzberg, Cyril Brody, Pierre Chosson, Julie Peyr, Cécile Vargaftig, Olivier Gorce, Agnès de Sacy ou Anne-Louise Trividic. Leurs noms ne vous disent peut-être rien, mais ce sont eux qui ont écrit, ou co-écrit, les films de Jean-Pierre Jeunet, Arnaud Desplechin, Anthony Cordier, Stéphane Brizé, Valeria Bruni-Tedeschi, Patrice Chéreau et bien d'autres. Autour d'eux, plus de cinquante autres scénaristes de cinéma les ont soutenus dans ce travail, soit en répondant aux questionnaires, soit plus activement en relisant les textes. Tous écrivent régulièrement pour le cinéma français, certains sont également cinéastes, la plupart enseignent, parallèlement à leur activité, à la Femis, à la Cinéfabrique, dans des universités françaises, ou des écoles à l'étranger.

03/2019

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Autoportrait à ma grand-mère

Pendant plusieurs années, Patricia Allio a écrit un texte où elle s'adresse à Julienne Le Breton, sa grand-mère maternelle originaire du Morbihan. Au détour de restitutions de conversations qu'elle a enregistrées dans la voiture ou le long du Canal de Nantes à Brest, de souvenirs, d'anecdotes, elle soulève la question de l'héritage paradoxal, notamment sous forme de honte de soi, de déni et de culpabilité. L'auteure interroge notamment le poids de la honte liée à la langue maternelle interdite, le breton.

05/2023

ActuaLitté

Acteurs

Pageboy. Autoportrait d'un artiste

"Terminés les moments fugaces, les petites étincelles de bonheur, j'ai embrassé mon identité à bras-le-corps. " A tout juste vingt ans, Elliot Page éblouit le monde entier dans le rôle phare de Juno. Ce film lui vaut une nomination aux Oscars et marque le début d'une carrière internationale au cinéma. Mais, en secret, il souffre d'un mal-être indescriptible qui le ronge et le pousse à réprimer de profondes interrogations sur son identité et sa sexualité. Après avoir passé des années à vivre la vie que l'on attendait de lui, il parvient à poser des mots sur sa dysphorie de genre et entame un parcours de transition. Dans ce texte sincère et bouleversant, Elliot Page nous raconte le cheminement qui l'a mené à faire son coming out trans. Il nous ouvre aussi les portes d'une industrie hollywoodienne en pleine évolution depuis le mouvement #MeToo. A travers des souvenirs sombres ou joyeux, Elliot Page se livre avec sensibilité et justesse dans cet autoportrait lumineux.

06/2023

ActuaLitté

Littérature française

Autoportrait en usager du métro

" Savoir prendre le métro est donné à tout le monde. Mais comprendre le métro est bien plus difficile. J'ignore si beaucoup de gens y parviennent. De tous les endroits que je fréquente quotidiennement, c'est celui qui m'a toujours laissé la plus curieuse impression de mystère. Sa pure fonctionnalité de transport en commun le rend obtus comme seuls savent l'être les objets utilitaires auxquels on n'a pas envie de penser quand on n'en a pas besoin. On n'y pense d'ailleurs pas non plus quand on s'en sert, l'esprit rivé sur ce qu'on va faire après avoir atteint sa destination. Pourtant, dans le métro, quand quelqu'un ne regarde personne et ne se sent pas regardé, dans la vacuité du temps mort à attendre la station à laquelle il doit descendre, le rapport qu'il entretient avec sa propre angoisse métaphysique, ce fond d'angoisse inextinguible qui subsiste quand tout va bien et qu'on a tout le temps qu'on peut souhaiter pour réfléchir, n'apparaît jamais autant sur son visage. Il se passe dans le métro, tout au fond de chacun, quelque chose qui ne se passe nulle part ailleurs. "

01/2002

ActuaLitté

Cinéma

JLG/JLG. Autoportrait de décembre

Phrase: unité du discours partie d'un énoncé généralement formé de plusieurs mots ou groupe de mots dont la construction présente un sens complet phraser jouer en mettant en évidence par des respirations le développement de la ligne mélodique.

04/2006

ActuaLitté

Beaux arts

Les impromptus du matin. Autoportrait

Autoportrait insolite, ces cahiers de l'artiste traversent le passé et le présent en compagnie de la Peinture et de la Mort. Ainsi, les souvenirs d'une enfance presque légendaire croisent les images de la seconde guerre mondiale à la quotidienneté du présent, des promenades avec le petit chien Ego, des attentats à Paris, des réflexions sur la peinture et le travail dans l'atelier. Présence constante, véritable compagne de ce voyage à travers le temps et les lieux : la Mort, qui ouvre ainsi dans chaque "impromptu", comme dans chaque ligne tracée sur le dessin de l'artiste, la profondeur d'une mélancolie lyrique.

01/2018

ActuaLitté

BD tout public

Autoportrait de Paris avec chat

Voici le roman le plus singulier de Dany Laferrière : un roman dessiné. Et écrit à la main ; comme tous les précédents, mais dans cet Autoportrait de Paris avec chat son écriture est reproduite en même temps que ses dessins, dans ce volume de grand format et de grande ambition. Et c'est guidés par la main du plus charmeur des académiciens français, ses lettres et ses couleurs, que nous pénétrons dans un Paris à son image, un Paris qui, d'une certaine façon, n'est autre que lui-même. Plutôt que " A nous deux Paris ! " , voici " Nous deux à Paris ! " . Le narrateur, un grand rêveur, arrive dans la ville la plus réaliste du monde. Il en fait la découverte et nous avec lui, remontant ses rues et le temps à la rencontre de ceux qui ont fait sa gloire. Paris, ses monuments de pierre et d'intelligence, l'arc de Triomphe aussi bien que Balzac, ses cafés aussi bien que ses créateurs de mode, le Flore aussi bien que Gabrielle Chanel. Paris se nourrit aussi des étrangers qui cessent d'en être dès qu'ils l'aiment et contribuent à faire ce qu'il est. Et voici donc Hemingway, et voici donc Noureev, et voici donc Apollinaire... Et puis il y a Chanana. Qui est cette mystérieuse chatte en manteau rose qui arrive chez le narrateur à minuit ?

03/2018

ActuaLitté

Petits classiques parascolaire

Portraits et autoportraits. Anthologie

C'est un livre très accueillant : on y croise la belle Princesse de Clèves, on y côtoie l'immonde Quasimodo. Jean-Jacques Rousseau se met à nu, Marcel Proust, Jean-Paul Sartre et Nathalie Sarraute nous livrent leur enfance. C'est une galerie de portraits et d'autoportraits, une invitation à faire des rencontres. Ne soyez pas timides, et faites connaissance ! L'anthologie, organisée en trois parties, regroupe des textes poétiques, dramatiques et narratifs, depuis François Villon jusqu'à Pierre Pachet. L'accompagnement critique ouvre sur les questions de la représentation à partir de ses mythes fondateurs (Pygmalion, Orphée, Narcisse). Plusieurs lectures d'images sont proposées : un autoportrait d'Egon Schiele et les deux taureaux de Picasso. Anthologie de 57 textes (du Moyen Age au XXe siècle) recommandée pour les classes de lycée.

10/2002

ActuaLitté

Beaux arts

Autoportraits du XXe siècle

L'autoportrait est tout à la fois un moyen d'affirmation de soi en tant qu'artiste, l'occasion de montrer sa capacité à rendre la ressemblance, la meilleure façon de pouvoir disposer d'un modèle. Il est surtout un espace véritable de liberté pour celui qui regarde comme aucun autre. C'est pourquoi le genre n'a cessé tout au long du XX ? siècle - siècle de l'invention de la psychanalyse et des remises en cause artistiques, siècle aussi des idéologies implacables - d'être un enjeu fondamental. Sur le plan esthétique et plastique. Face à l'histoire et à l'épreuve du temps. En termes d'identité, et d'interrogations de l'artiste sur lui-même et sa place dans la société. "Regardez-moi", disent les uns, "Mon oeuvre c'est moi", disent les autres. Car ne se satisfaisant plus d'un portrait qui lui "ressemble", l'artiste lui a donné une nouvelle ambition : c'est à l'oeuvre même que l'autoportrait doit ressembler, il doit en être l'emblème.

04/2004

ActuaLitté

Littérature française

L'homme qui tremble. un autoportrait

Je tourne la page, et ça y est, la chose est enfin dite : " Dans un entretien, observe Nathalie Léger, Marguerite Duras s'énerve un peu : "L'autoportrait, je ne comprends pas ce que ça veut dire. Non, je ne comprends pas. Comment voulez-vous que je me décrive ? Qui êtes vous, allez-y, répondez-moi, hein ? " " Qui je suis, moi ? C'est la question à laquelle je dois maintenant répondre. Lionel Duroy aura passé l'essentiel de son temps à écrire. A travers ses nombreux romans, il a tenté de démêler les fils d'une vie, éclairant au passage celles et ceux qui nous aident à grandir ou s'emploient à nous détruire, parfois sans le vouloir : nos parents, nos frères et soeurs, ceux que nous aimons, puis désaimons. Aujourd'hui, avec L'homme qui tremble, il inverse les perspectives et, dans un autoportrait cruel et lumineux, s'interroge sur son propre rôle dans ce destin singulier.

ActuaLitté

Littérature française

L'homme qui tremble. Un autoportrait

Qui je suis, moi ? C'est la question à laquelle je dois maintenant répondre. Lionel Duroy aura passé l'essentiel de son temps à écrire. A travers ses nombreux romans, il a tenté de démêler les fils d'une vie, éclairant au passage celles et ceux qui nous aident à grandir ou s'emploient à nous détruire, parfois sans le vouloir : nos parents, nos frères et soeurs, ceux que nous aimons, puis désaimons. Aujourd'hui, avec L'homme qui tremble, il inverse les perspectives et, dans un autoportrait cruel et lumineux, s'interroge sur son propre rôle dans ce destin singulier.

08/2022

ActuaLitté

Faits de société

Autoportrait du professeur en territoire difficile

Quelles sont les consignes que l'on donne aux professeurs dont le premier poste est situé dans un collège de "zone sensible" ? Maintenir les élèves en classe, avant toute chose, et prévenir les incidents. La transmission des savoirs, elle, devient accessoire. Insultes, humiliation, solitude... L'auteur témoigne de la détresse qu'il a vécue, jeune professeur, en découvrant la déliquescence d'une partie du système scolaire. Les victimes en sont les élèves, que l'on abandonne, et les professeurs, relégués dans un quotidien misérable. Construit comme un récit, ce vigoureux essai ne s'embarrasse pas de langue de bois. Constatant un terrible approfondissement des gouffres sociaux, l'auteur renvoie chaque bord politique à ses contradictions, tout en s'interrogeant sur la place qu'il occupe lui-même dans une société française en plein bouleversement. Il évoque aussi les beautés d'un métier qui se durcit, mais dont l'importance reste cruciale.

04/2011

ActuaLitté

Photographie

Japon : un autoportrait. Photographies 1945-1964

Entre la fin de la guerre du Pacifique, en 1945, et les Jeux Olympiques organisés à Tokyo en 1964, le Japon a connu une métamorphose spectaculaire : un pays ravagé par les destructions de la guerre s'affirme, deux décennies plus tard, comme une puissance économique en pleine expansion. Cette période de changements radicaux a suscité une énergie créatrice sans précédent, qui insuffla une nouvelle vie à la photographie japonaise. Au milieu des années cinquante, le Japon était à la croisée des chemins entre la tradition et la modernité, traversant une période pleine de contradictions, qu'immortalisèrent les photographes les plus doués de l'époque. Les 150 photographies réunies dans ce volume proposent une vision unique d'une nation luttant pour se définir elle-même. Elles sont accompagnées d'essais écrits par des experts japonais de renom, qui offrent un éclairage fascinant sur l'histoire de cette période, sa culture et sa production photographique. Première synthèse exhaustive de la photographie japonaise de l'après-guerre, Japon : un autoportrait rend hommage à la force et à la solidarité d'un peuple confronté à de profonds bouleversements ; il permet aussi d'apprécier à sa juste mesure la profondeur de son talent artistique.

09/2004

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Autoportrait de l'auteur en passant

"Quand la chaleur n'est pas excessive, c'est un bonheur "d'épouser la foule". C'est, dit encore Baudelaire, "une immense jouissance que d'élire domicile dans le nombre, dans l'ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l'infini". La foule est un miroir de soi où le flâneur apparaît dans sa diversité. Insatiable de ses reflets, chacun de nous savoure dans la foule son infinité. Il suffit de la regarder pour se multiplier, pour s'oublier. Tel est le lecteur, grand prostitué. Les personnages ne vivent pas à notre place : ils nous donnent à connaître nos vies virtuelles." Jean Roudaut

11/2017

ActuaLitté

Monographies

Van Gogh. Portraits et autoportraits

La correspondance de Vincent van Gogh ne laisse aucun doute : dès 1873, il a vingt ans, le portrait le fascine. Avant même qu'il ne prenne la décision de devenir peintre, ses nombreuses visites des musées, aux Pays-Bas, en Angleterre, ou encore à Paris, l'ont convaincu de l'importance du portrait, qu'il soit peint ou photographique. Peindre des portraits afin de se mesurer à ses pères deviendra donc le plus grand défi qu'il lui faudra relever. Mais si Rembrandt a peint pour les bourgeois d'Amsterdam, et si, au XIXe siècle, le portrait continue de rester l'affaire de personnages "distingués" , Vincent ne prend pour modèles que des hommes et des femmes anonymes qui appartiennent à ce qu'il dit être le tiers état, des hommes et des femmes dont personne ne s'est jamais soucié de savoir qui ils étaient. Dans cet ouvrage, Pascal Bonafoux met en évidence cette longue, patiente, difficile et obstinée quête artistique, à travers les lieux où Vincent a séjourné, depuis la noirceur du nord de l'Europe, en passant par la lumière éclatante d'Arles, jusqu'à sa destination finale, à Auvers-sur-Oise. Il redonne ainsi vie à l'un des plus grands artistes de tous les temps.

10/2023

ActuaLitté

Photographie

Michel Lagarde - Dramagraphies. Autoportraits photographiques

S'il n'était mort à son premier combat en 1870, à l'âge d'à peine vingt-neuf ans, Frédéric Bazille aurait certainement compté parmi les grands peintres impressionnistes dont il a partagé les premières recherches au côté de Monet et de Renoir. On lui doit une oeuvre à fleur de maturité, lumineuse du soleil de son Midi natal auquel il consacra à ses paysages une place essentielle.

02/2016

ActuaLitté

Littérature étrangère

Peter Holtz. Autoportrait d'une vie heureuse

Peter Holtz, le héros du roman, est né en RDA. Orphelin, il est élevé dans un foyer. Naïf et clairvoyant, il se bat pour un monde meilleur - et s'étonne souvent, car il est régulièrement mal compris. Sa vie heureuse commence en 1974, l'année de ses douze ans, quand il décide qu'il faut abolir l'argent pour atteindre les promesses du socialisme. Au fil des années, il fondera un groupe de rock, se fera baptiser en essayant de concilier communisme et christianisme et il sera même approché par la Stasi en vue d'un recrutement, mais en vain. Après la chute du Mur de Berlin, c'est presque naturellement qu'il devient millionnaire en travaillant dans l'immobilier... Comment tout cela a-t-il pu se passer ? A quel moment ses idéaux ont-ils déraillé? Et surtout comment va-t-il réussir à se débarrasser de tant d'argent avec bienséance et dignité ? Grande fresque picaresque dans la tradition allemande ou fable frisant avec l'absurde, Peter Holtz - autoportrait d'une vie heureuse décrit le contraste entre communisme et capitalisme, en prenant le parti de la tragicomédie.

08/2019

ActuaLitté

Littérature française

Ardoise. Autoportrait d'un amoureux des livres

Il y a cette idée de devoir quelque chose. D'être redevable. D'avoir une ardoise quelque part. Et un jour, il faut régler ses comptes. Ma dette, envers certains écrivains, ne sera jamais réglée. Je ne m'en acquitte que d'une faible part, aujourd'hui. D'un coeur joyeux. P. D. Philippe Djian nous offre un texte jubilatoire que l'on déguste jusqu'à la dernière page, avant de refermer son Ardoise et de se précipiter pour lire ou relire Salinger, Céline, Cendrars, Kerouac, Melville, Miller, Faulkner, Hemingway, Brautigan et Carver.

09/2023