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Au nom des pères

Extraits

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Littérature anglo-saxonne

Mères, pères et autres

Ce nouveau recueil d'essais de Siri Hustvedt, qui mêle philosophie féministe et mémoire familial, explore les frontières mouvantes qui définissent l'expérience humaine, y compris celles que l'on pense immuables - entre nous et les autres, entre nature et culture, entre spectateur et oeuvre d'art - et qui se révèlent finalement bien plus poreuses qu'on ne l'imaginait. Ce livre plus personnel, émouvant et féroce, dit en substance ceci : être en vie signifie être dans un état constant et dynamique d'échanges avec ce qui nous entoure, et l'impulsion qui nous pousse à ériger des frontières conceptuelles strictes alors qu'il n'y en a aucune constitue un danger.

10/2023

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Beaux arts

André Blondel (1909-1949). Au nom du père

L'art d'André Blondel est animé par un traitement original de la couleur dont l'oeuvre tire sa puissance et sa cohérence : "je pars d'un thème, mais en définitive c'est la couleur qui m'élève et m'emporte. En elle, tout s'unit. [... ]La couleur c'est un jeu de tâches ; c'est elle qui livre le sens caché du tableau" écrivait-il en 1 936. Toute sa vie, il aura cherché à trouver le rythme organique d'une écriture picturale colorée qui donne à chacun de ses tableaux sa respiration propre. Exposition : décembre 2012 - 17 mars 2013. Espace Dominique Bagouet, Esplanade, Monpellier. 56 pages avec 31 reproductions dont 24 peintures et 7 dessins, 5 photographies et une bio-bibliographie. Textes : Feydy Blondel (fille d'André Blondel) et Numa Hambursin. Né le 27 mai 1909, à Czortkow en Galicie, le peintre André Blondel/Sasza Blonder appartient à l'avant-garde polonaise des années 30. En 1937, il part à Paris ; il y rencontre les peintres originaires d'Europe Centrale - notamment Soutine, Krémègne, Dobrinski et Klimek. En 1939, il s'engage dans l'armée polonaise en France. Démobilisé en 1940, il trouve refuge à Aix-en- Provence, vivant dans la clandestinité grâce à l'aide des premiers réseaux de la Résistance. En novembre 42, il vit caché dans la Montagne Noire, jusqu'en juillet 43. Avec sa femme et ses deux enfants, il s'installe à Carcassonne et fréquente les milieux artistiques et intellectuels de la région. Il fait plusieurs portraits de Joë Bousquet et se lie d'amitié avec les peintres catalans André Libion et Balbino Giner et ceux de l'Ecole de Sète - Desnoyer, Raissac, Couderc, Fusaro, Espinasse et Descossy. En 1948, il s'installe avec sa famille à Paris. Alors qu'il est en pleine activité créatrice, Blondel décède accidentellement, le 14 juin 1949, à l'âge de 40 ans.

01/2014

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Littérature française

Au nom des nuits profondes

Elle est passée de fille à papa à femme au foyer. Parfaite babyboomeuse, absente à elle-même comme aux autres, convaincue de l'infériorité intrinsèque de son sexe. Et puis tout a volé en éclats. Quelques années ont suffi pour faire basculer l'époque dans l'égalitarisme. Des femmes en tailleur pantalon devenaient cadres supérieurs, adieu victimes geignant au-dessus de leurs casseroles, le mot "émancipation" était sur toutes les lèvres. Alors elle a voulu rattraper le temps perdu, envers, contre tout, et dans le désordre. Son enfant n'a rien compris mais a tout vu, tout entendu. Et il fallait bien qu'un jour elle raconte sa version hallucinée de l'histoire : le destin d'une femme ensorcelée, comme tant d'autres de sa génération, par l'appel de la liberté. A ses risques et périls.

08/2017

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Littérature érotique et sentim

Au nom des trois roses

Anna, Julia et Mélissa ne se connaissent pas. Et pourtant, leurs destins sont connectés. Anna est célibataire et jeune professeur de français. Elle vit avec son beau-père. Ancienne victime de harcèlement, elle souffre d'un manque de confiance en elle qui l'empêche d'aller vers les hommes. Julia est femme au foyer et mère d'une petite fille de trois ans. Mariée à un pervers narcissique, sa vie est un véritable calvaire. Mélissa, elle, est traductrice et vit avec sa mère depuis sa séparation. Elle tente de se reconstruire après une tentative de suicide à la suite d'un drame vécu avec son ex-compagnon. Chacune vit une situation difficile et très différente, pourtant, les trois jeunes femmes sont unies par un lien. Quel est-il exactement ?

10/2020

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Littérature française

Pères au foyer

Martin, Xavier, Julien et Tom n'ont rien en commun. Pourtant, ils se rejoignent sur un point : tous les quatre se retrouvent pères au foyer. Si Julien remplit ce rôle avec joie et s'y épanouit, c'est plus compliqué pour les trois autres : syndrome de la couvade, sensation d'inutilité, dépression, carrière très dure à reprendre ou manque de compréhension, voire mépris, de la société ; "père au foyer" semble une étiquette bien difficile à porter... trop difficile ? Dans ce roman à quatre visages et quatre voix, Renée Dumas donne la parole à quatre personnages attachants et réalistes, quatre hommes qui affrontent comme ils le peuvent leur rôle de père au foyer dans un monde qui se montre encore trop peu tolérant à ce sujet !

05/2018

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Romans historiques

Au nom du père, du fils... Ainsi soit Robin

Nous sommes au XIIe siècle dans le duché de Normandie de Richard Coeur de Lion. Le Comte de Bois Anzeray désire faire édifier une cathédrale sur son domaine pour la paix des braves. Dès le lever du soleil, tard dans la nuit, des centaines d'ouvriers, tailleurs, charpentiers s'activent sur le chantier. Des lourds blocs de pierre sont charriés par les gens du bourg avec piété comme s'ils voulaient gagner le salut de leur âme. Défiant la nature, l'ébauche de la nef dresse sa puissante ossature. Elle porte sur ses flancs un peuple de sculpteurs. Entre mille échafaudages, le martèlement régulier des outils inflige à la pierre la volonté des créateurs. Mais le moyen âge est crédule et l'église profite de la candeur des fidèles et prend en otage un jeune serf pour le présenter comme un miraculé qui aurait croisé Jésus. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre et très vite, sur les routes, tant et tant de charrettes se pressent, conduites par les humbles serviteurs de Marie. Le peuple dans sa ferveur ne comptabilise pas ce qu'il offre en deniers pour obtenir les bontés de l'église. Sceptiques, une femme et des maçons vont tenter de déjouer le terrible piège dans lequel le jeune innocent est le prisonnier. Y parviendront-ils tant l'église est puissante ? Ce roman historique, richement documenté, est une attaque contre tous les extrémismes, passés ou contemporains, dans lesquels la quête du pouvoir berne les hommes au nom d'un monde meilleur.

05/2010

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Romans policiers

Au nom du père, du fils, de la mère

Martin, jeune sous-officier de la marine nationale, apprend la mort de sa mère, qu'il pense accidentelle. Il est désormais orphelin, n'ayant jamais connu son père. Il part alors dans une quête initiatique, se plonge dans son passé pour rechercher la vraie identité de ce père. Accompagné d'Anne dont il est tombé amoureux, Martin découvre par hasard l'existence d'un secret de famille qui lui révèlera les faces sombres des personnages de ce récit. Le mystère s'alourdit alors : la police lui annonce que sa mère a été assassinée. Martin vacille. Dans un roman mêlant destins privés et grande Histoire dans la période troublée de la Seconde Guerre mondiale et de l'après-guerre, le lecteur découvrira une enquête de police bâclée, les manoeuvres cyniques de la CIA, l'arrière-boutique des élections présidentielles américaines, et enfin un dénouement inattendu.

08/2021

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Correspondance

Au Bonheur des Lettres. Mères

De la célébration de la joie au témoignage du chagrin causé par une perte, de l'amour inconditionnel à l'adieu d'un enfant à sa mère, des reproches pour absence injustifiée à une déclaration d'éternelle dévotion, de E. B. White à Martin Luther King, de Richard Wagner à Louisa May Alcott, de Sylvia Plath à Winston Churchill, toutes les facettes de la maternité sont ici rassemblées par Shaun Usher. Au bonheur des lettres : Mères réunit des missives poignantes, touchantes, inspirantes ou tragiques écrites par ou pour des mères, célébrant la sagesse et le sacrifice que ce rôle représente.

05/2021

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Histoire internationale

Non Nou. Le livre des noms de familles martiniquaises

Avant 1848, près de 60% des Martiniquais n'avaient pas de nom de famille. Un prénom, un surnom et un matricule (à partir de 1839) étaient leur seule identité. Difficile dans ces conditions de fonder une famille, une lignée... Ce "privilège" fut pendant 213 ans celui d'une petite minorité de Blancs puis d'"hommes de couleur" libres. Seuls ces derniers étaient inscrits sur les registres d'état civil, dans les catégories naissances, mariages et décès. Eux seuls avaient le statut d'Homme. En l'an 1848, année de l'abolition de l'esclavage, des officiers d'état civil, parfois anciens maîtres, mandatés par la commission dirigée par Victor Schoelcher, nommèrent les quelque 68 000 "sans-nom" de la Martinique. Ce sont ces noms de famille (le plus souvent des matronymes) que la plupart d'entre nous portons aujourd'hui. Ce sont nos noms de famille. Durant trois ans, des dizaines de Martiniquais et de Guadeloupéens de tous âges ont passé leurs journées et leurs nuits à photocopier et à recopier les "registres d'actes d'invidualité" sur lesquels avaient été notés les prénoms et matricules de femmes, d'hommes et d'enfants nominés après l'abolition de 1848. Ces militants de la mémoire, membres du CM98, sont allés à la rencontre de dizaines de milliers d'aïeux dont nous n'avions pas trace de vie. A la loupe, ils ont déchiffré les lettres des prénoms et les chiffres des matricules de ceux qui étaient nés "marchandises". Ils ont rencontré nos parents, vos parents ! Parce qu'ils ne méritaient pas l'oubli, parce que la meilleure sépulture des disparus est le coeur de leurs descendants, voici les prénoms et matricules de vos aïeux, de ceux que nous avons pu retrouver. Voici donc le livre des Noms qui ranime le souvenir de ceux dont l'oubli était le destin.

05/2012

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Littérature française

Nos mères

"Ne voulant pas nous voir souffrir, ni nous montrer qu'elles souffrent, elles nous retirent ni plus ni moins du monde, nos mères, elles nous coupent l'horizon". Un enfant et sa mère vivent sur une colline, dans un pays du Proche-Orient. Alors que la guerre a emporté le père, ils voudraient se blottir l'un contre l'autre, s'aimer et se le dire. Mais la mère, terrifiée à l'idée de perdre son fils, l'a caché dans le grenier. Pour tromper l'ennui, le garçon s'évade dans des rêveries, des jeux solitaires. Quand les combats reprennent, il est envoyé en Europe où une autre femme l'attend, convaincue qu'il l'aidera à vaincre ses propres fantômes. Ce roman, cruel et tendre à la fois, est avant tout le formidable cri d'un enfant qui, à l'étouffement qui le menace, oppose un désir farouche de vivre.

02/2022

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Littérature française

Nos mères

Sur le miroir de l'âme, Maria, Fedwa, Hanane, Imane et Samira scrutent leurs féminités à la lumière de la maternité. Si elles font des procès aux représentations multiples de cette dernière, c'est à la recherche de cet amour pur, défait de blessures et de legs morbides dont héritent les femmes et qu'elles transmettent inconsciemment. Nos mères est une complainte douce-amère autour de ce rapport sacré, de son pouvoir salvateur ou destructeur. Mais c'est surtout une lettre d'amour ouverte, libératrice, à l'adresse de la féminité des féminités.

08/2021

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Actualité et médias

Au nom des enfants du monde

Princesse, elle l'est de toute évidence. Caroline de Monaco - "Son Altesse Royale la Princesse de Hanovre " comme le veut le protocole - est une personnalité rare, exposée à tous les regards. Mais loin des apparats, elle est aussi - et peut-être d'abord - une femme libre et engagée, elle connaît une autre vie, un autre monde. Sur tous les continents, elle mène "la guerre contre une autre terreur" : celle qui se lit dans les yeux de millions d'enfants, malnutris, maltraités, vendus, réduits en esclavage, livrés au trafic sexuel, transformés en machines à tuer... Pour la première fois, la Princesse Caroline se confie. Elle raconte son enfance, ses combats d'adolescence, ses flamboyantes grands-mères, sa mère - la Princesse Grace -, mais aussi ses actions à Manille ou au Burundi, ces maisons d'enfants qu'elle crée à travers le monde, et ces petits visages qui, parfois, retrouvent le sourire. Ce livre est un témoignage bouleversant, l'histoire d'un engagement. C'est aussi un cri de colère, un manifeste vibrant contre notre indifférence.

10/2009

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Photographie

Marseille de nos pères

Photographe renommé de l'après-guerre, le père d'Hélène Tabès, Jean Ribière, a séjourné à Marseille dès 1942, réalisant de saisissants clichés de la ville occupée, dernières images avant la tempête des destructions allemandes et des bombardements alliés. À la même époque, le père de Silvie Ariès, né aux Chartreux, se rêvait capitaine au long cours, ce qu'il serait un jour avant de devenir pilote des ports de Marseille. Leurs filles réunissent leurs souvenirs de la cité phocéenne dans ce livre qui déroule les images pas si lointaines d'une ville aux dimensions d'une poignée de villages. Gouailleur et chaleureux, le peuple de la plus ancienne ville de France prend le visage d'un vieux marin raccommodant ses filets, d'une habile santonnière ou d'une marchande de jujubes... C'est le Marseille de nos pères, à la réputation déjà sulfureuse, mais où il est si heureux de vivre.

10/2014

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Littérature française

À nos pères égarés

Rémy et Gunther sont tous deux des enfants de la première Guerre Mondiale. Quand arrive la seconde, ils se trouvent pris dans un engrenage qui les dépasse. Emmenés par la folie humaine et la force des circonstances, ils se retrouvent dans des camps opposés. Gunther, soldat malgré lui, devra combattre sous la surveillance étroite de la Gestapo, contre ses convictions mais avec le souci de préserver sa vie et sa famille. Rémy, le montagnard insouciant, prendra bientôt la mesure de la rudesse de l'occupation et ne fuira pas ses responsabilités. Leurs histoires parallèles nous racontent une guerre vécue de l'intérieur des deux camps, sans angélisme mais avec beaucoup d'humanité. Un message d'espoir conté par la jeunesse d'aujourd'hui, à la recherche de la paix sans occulter les affres du passé.

11/2022

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BD tout public

Bowery Boys. Nos pères

1855, les migrants affluent sur New York. Bienvenue A Five Points, carrefour de communautés déchiré par les guerres de gangs. Le jour où son père est arrêté pour meurtre, le jeune irlandais Nikolaus McGovern rejoint un groupe hétéroclite de gamins victimes de la violence des rues. Ensemble, ils vont devoir faire face A la corruption politique, aux affrontements entre bandes rivales, aux premières réformes ouvrières et A la xénophobie ardente. Triompheront-ils des oppresseurs ou succomberont-ils A la marche du progrès ?Rappelant l'explosif Gangs of New York de Scorcese, Cory Levine et Ian Bertram nous plongent dans une aventure turbulente au cœur du New York des grandes migrations, de la violence des faubourgs et de la révolution industrielle. Furieux, politique et sanglant... tout simplement essentiel.

02/2017

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Cuisine

Nos grands-mères aux fourneaux

Gérard Boutet, gourmet et gourmand, s'est penché au-dessus des marmites de nos aïeules et en a rapporté plus de 200 recettes dont les parfums évoquent irrémédiablement des souvenirs d'enfance. Aux côtés de mets qui fleurent bon le terroir et qui s'assaisonnent de secrets de grands-mères, il livre de savoureuses histoires d'arrière-cuisine, sans lesquelles les meilleurs repas ne pourraient se concevoir...

10/2004

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Faits de société

Nos pères, nos frères, nos amis. Dans la tête des hommes violents

Nos pères, nos frères, nos amis est une enquête immersive, un livre essentiel pour comprendre un point aveugle de notre société " La petite graine de la violence, elle pousse, elle pousse, et je pense que cette graine est en moi depuis longtemps, elle fait partie de mon bagage, de ce que m'ont transmis mes parents. La violence surgit comme un instinct animal, et vous murmure à l'oreille : "C'est la faute de l'autre. ' " Pendant quatre ans, le journaliste Mathieu Palain s'est rendu dans des groupes de parole, dans une Maison des femmes, à des auditions judiciaires. Il a eu accès à des histoires et des témoignages d'une rare puissance.

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Violence

Nos pères, nos frères, nos amis. Dans la tête des hommes violents

Nos pères, nos frères, nos amis est une enquête immersive, un livre essentiel pour comprendre un point aveugle de notre société " La petite graine de la violence, elle pousse, elle pousse, et je pense que cette graine est en moi depuis longtemps, elle fait partie de mon bagage, de ce que m'ont transmis mes parents. La violence surgit comme un instinct animal, et vous murmure à l'oreille : "C'est la faute de l'autre. ' " Pendant quatre ans, le journaliste Mathieu Palain s'est rendu dans des groupes de parole, dans une Maison des femmes, à des auditions judiciaires. Il a eu accès à des histoires et des témoignages d'une rare puissance.

02/2024

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Roman d'amour, roman sentiment

Au nom de l'honneur ; Un père pour ses triplés

Au nom de l'honneur, Maisey Yates Hayley est dévastée : son père vient de la surprendre entre les bras de Jonathan Bear, son patron. Et, désormais, elle oscille entre gêne, peur et honte. Elle, la fille du pasteur de Copper Ridge, que l'on croit si sage et innocente, s'est pour une seule et unique fois laissé envahir par le désir. Pire, Jonathan - cet homme sexy et sulfureux - éveille en elle des sentiments inédits qu'elle ne peut se résoudre à ignorer... Un père pour ses triplés, Janice Maynard Simone n'en revient pas. Si elle refuse de le laisser s'installer chez elle, le Dr Hutchinson menace de la retenir à l'hôpital jusqu'à la fin de sa grossesse. Porte-t-il un réel intérêt à sa santé, lui qui n'a pas hésité à l'abandonner cinq ans plus tôt pour une lointaine mission humanitaire ? Quoi qu'il en soit, Simone est prête à tout pour le bien de ses bébés, même à vivre, jour et nuit, aux côtés de l'homme qui lui a brisé le coeur... Romans réédités

05/2023

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Littérature française

Le Nom de mon père

Un roman historique puissant sur le déracinement et la reconstruction par l'amour après la guerre du Liban dans les années 1980. Bassam Al Jallil a 19 ans en juillet 2006, lorsqu'éclatent les bombardements au Liban. Pour le jeune homme et les siens, le temps se fige, la mort s'abat partout. Six ans plus tard, Camille voyage en Italie avec une amie. A Naples, elle rencontre Bassam et est aussi fascinée par lui qu'il l'est par elle. C'est là, loin de ses terres d'origine, que le jeune homme essaie tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l'a frappé. Sa rencontre avec Camille bouleverse son fragile quotidien, organisé entre les services à la pizzeria Giulia et les appels vidéo avec sa tante, Rabab, et ses cousins, Assem et Hicham, tous trois restés au Liban. Dès que Camille rentre en France, ils continuent de se découvrir à distance, jusqu'à ce que Bassam change de comportement : en arrêt de travail à la suite d'une blessure et invité au Liban pour le mariage de son cousin, le jeune homme appréhende de renouer avec les traumatismes de son passé et a soudain bien trop de temps libre pour fuir ses pensées. Lorsque Camille revient à Naples pour le voir, les deux jeunes gens remuent le passé douloureux, pour tenter de se construire ensemble. Seize ans après le conflit isréalo-libanais de 2006, l'autrice rend un hommage puissant à ses origines, au courage et à la résilience du peuple libanais.

06/2022

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Religion

Au nom de Dieu et des hommes

Franciscains, dominicains, jésuites, leurs noms nous sont familiers, mais connaissons-nous ce qu'ils incarnent ? Qu'est-ce qui les distinguent ? De quelle manière ces religieux chrétiens agissent-ils encore à notre époque ? François d'Assise, Dominique de Guzman et Ignace de Loyola sont des figures universelles, mais qui étaient-ils vraiment ? Leurs vies sont de vrais romans d'aventure, et les intuitions géniales de ces grands spirituels, qui sont aussi des politiques, restent d'actualité. Car, même s'ils ne sont pas épargnés par la crise religieuse occidentale, les ordres fondés au Moyen Age ou à la Renaissance continuent d'imprégner notre temps. Jérôme Cordelier nous plonge d'une plume alerte dans la destinée de ces trois hommes d'exception nés en Europe du Sud, qui se sont épanouis en France et furent sanctifiés par l'Eglise catholique. En interrogeant aujourd'hui des franciscains, des dominicains et des jésuites, mais aussi des historiens, des philosophes et des théologiens, il met au jour les engagements contemporains de ces religieux qui, dans la discrétion, un peu partout, irriguent leur société. Ils ne font pas seulement la charité, ils contribuent à changer le monde. Parce qu'ils croient en Dieu, mais aussi, surtout, parce qu'ils croient en l'homme.

11/2017

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Beaux arts

Au nom des opprimés. Ecrits et entretiens

Dans ses textes, Klaus Huber (né en 1924) s'attache avant tout à clarifier le contenu de ses oeuvres, qui renvoient à des positions éthiques, et qui possèdent une dimension tout à la fois religieuse et politique. Compositeur engagé, Huber refuse en effet la conception de "l'art pour l'art", l'idée de la musique pure. Pour lui, la modernité doit être chargée d'un sens qui dépasse la seule sphère esthétique ; elle est solidaire des plus démunis, dénonçant l'injustice, l'oppression, l'asservissement et la réification. Proche des mystiques ainsi que des tenants de la théologie de la libération, Huber veut provoquer par sa musique une prise de conscience, un retournement. En se solidarisant avec les formes de résistance en Amérique latine ou au Moyen Orient, il a fait la rencontre de figures telles que celles du prêtre et poète nicaraguayen Ernesto Cardenal ou du poète palestinien Mahmoud Darwich, qui lui ont inspiré des oeuvres importantes, mais aussi du poète russe Ossip Mandelstam, auquel il a consacré un opéra. Son intérêt pour la musique arabe, au moment où éclatait la première Guerre du Golfe, l'a conduit à utiliser des échelles avec tiers et quarts de ton et à expérimenter de nouvelles conceptions harmoniques, polyphoniques et formelles. Ce recueil d'écrits comporte un choix d'essais et l'intégralité des notices que le compositeur a écrites sur ses oeuvres, ainsi que deux entretiens et un appareil critique.

03/2012

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sociologie du genre

Au NON des femmes. Libérer nos classiques du regard masculin

Rien ne semble plus incongru que de prendre appui sur la société d'Ancien Régime pour penser le refus féminin. Assignées au devoir de "réserve" par les traités de civilité et au silence ou à la "feinte résistance" par les codes de séduction, les héroïnes de la littérature classique n'auraient rien à nous transmettre, surtout pas le pouvoir de dire "non" . On aurait pu croire l'affaire pliée sans la sagacité de Jennifer Tamas. Car, à leur manière, les femmes du Grand Siècle ont résisté, elles ont désobéi, et de ces combats à bas bruit il demeure des traces. Sous les images de princesses endormies célébrées par l'industrie du divertissement se cachent de puissants refus, occultés par des siècles d'interprétations patriarcales. Jennifer Tamas les exhume avec courage et subtilité, elle traque l'expression du féminin sous le regard masculin et tend savamment l'oreille vers le bruissement des voix récalcitrantes. Conviant les figures dissidentes des siècles anciens, du Petit Chaperon rouge à Bérénice, elle vivifie le discours féministe et trouve chez Marilyn Monroe le secret d'Hélène de Troie. Elle révèle ainsi, non sans un brin d'irrévérence, un magnifique matrimoine, trop longtemps séquestré dans les forteresses universitaires. Jennifer Tamas est agrégée de lettres modernes et enseigne la littérature française de l'Ancien Régime aux Etats-Unis à Rutgers University (New Jersey). Elle a notamment publié Le Silence trahi. Racine ou la déclaration tragique (Droz, 2018).

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sociologie du genre

Au non des femmes. Libérer nos classiques du regard masculin

Rien ne semble plus incongru que de prendre appui sur la société d'Ancien Régime pour penser le refus féminin. Assignées au devoir de "réserve" par les traités de civilité et au silence ou à la "feinte résistance" par les codes de séduction, les héroïnes de la littérature classique n'auraient rien à nous transmettre, surtout pas le pouvoir de dire "non" . On aurait pu croire l'affaire pliée sans la sagacité de Jennifer Tamas. Car, à leur manière, les femmes du Grand Siècle ont résisté, elles ont désobéi, et de ces combats à bas bruit il demeure des traces. Sous les images de princesses endormies célébrées par l'industrie du divertissement se cachent de puissants refus, occultés par des siècles d'interprétations patriarcales. Jennifer Tamas les exhume avec courage et subtilité, elle traque l'expression du féminin sous le regard masculin et tend savamment l'oreille vers le bruissement des voix récalcitrantes. Conviant les figures dissidentes des siècles anciens, du Petit Chaperon rouge à Bérénice, elle vivifie le discours féministe et trouve chez Marilyn Monroe le secret d'Hélène de Troie. Elle révèle ainsi, non sans un brin d'irrévérence, un magnifique matrimoine, trop longtemps séquestré dans les forteresses universitaires. Jennifer Tamas est agrégée de lettres modernes et enseigne la littérature française de l'Ancien Régime aux Etats-Unis à Rutgers University (New Jersey). Elle a notamment publié Le Silence trahi. Racine ou la déclaration tragique (Droz, 2018).

03/2024

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Littérature étrangère

Toutes nos mères

Margherita, la narratrice, est née fille dans une famille de femmes, elle représente l'avenir et la continuité... Une histoire qu'elle explore pour retrouver les êtres aimés : au premier rang se tient Ninin, origine et archétype, entourée de ses soeurs Maria, Margherita et Michin. Tout commence à la fin du XIXe siècle dans une bourgade du Canavese, une région du Piémont aux frontières incertaines. Le quotidien à la ferme est rude. Exposées à la tyrannie de la matriarche, les soeurs ne rêvent que de la ville. Elles seront mieux dans la vallée où les fabriques de textile embauchent des femmes et des adolescentes et où l'on ne se contente pas de polenta. Au nouveau siècle tout juste entamé, elles réalisent leur rêve et s'installent à Circé, où elles élèveront ensemble leur fille. A elles toutes, elles n'en auront qu'une, et leur petite-fille. Pas facile pour les hommes de trouver leur place quand ils ne sont pas contraints à l'exil. Ils constituent pourtant des figures fugitives mais incontournables de ce portrait de groupe. Au-dessus de leur tête va défiler "l'histoire de près d'un siècle, avec ses événements et ses prodiges : la lumière électrique, les vagues d'émigration, les automobiles, le cinéma, Mussolini, la Libération et la République, la populaire émission de variétés Canzonissima, les premiers pas sur la Lune, les minijupes." Au gré de photos retrouvées, des fables transmises de génération en génération, des couleurs et des odeurs ni vues ni senties, juste imaginées dans l'écho des mots, Margherita recompose l'histoire de sa famille, "une histoire minuscule, obstinée, toujours à recoudre et à sauver, une aventure discrète" qui coupe le souffle.

04/2015

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Littérature française

Nos âmes pures

Au commencement leur ciel est blanc. Ils portent un prénom de légende. Leur bonne étoile brille parmi des milliards. Roméo est beau et solaire, il grandit en pleine lumière. Tristan lui, est lunaire et douloureux, il grandit à l'ombre de sa tristesse. Quand ils ont vingt ans et des poussières d'étoiles, Roméo pousse les portes dorées du monde, Tristan lui, préfère n'ouvrir que les fenêtres écaillées de la nature. Leur chemin astral et contraire brille parmi des milliards. Ils sont le jour et la nuit. Le destin va les réunir. Quand leurs lignes de vie se croisent, leurs lignes de coeur s'enlacent et s'enflamment. Quand leurs lignes de chance se déchirent, ils se tiennent la main pour ne pas tomber. L'amour absolu sera la seule trace de leur passage sur terre.

03/2020

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12 ans et +

Ce que diraient nos pères

La vie d'Antoine a basculé le jour où son père, chirurgien, s'est laissé accuser à tort d'une erreur médicale. Depuis, sa mère est partie et le quotidien est devenu plutôt morose. Peu à peu, le garçon se laisse entraîner malgré lui par une bande d'ados accros à l'adrénaline : il est complice de vandalisme, de cambriolage... jusqu'à un braquage, où tout bascule. Dans ce crescendo de violence, il ne se reconnaît plus. Pourtant, il peut encore se battre pour sortir de cette situation infernale. Pascal Ruter s'essaie à un ton intimiste et bouleversant, pour nous surprendre une fois encore.

09/2019

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Policiers

Les péchés de nos pères

Lorsque Michael Cooper arrive à Durham pour accompagner son père mourant, il ne connaît presque rien de la ville. C'est pourtant là que se trouve le berceau de sa famille, là qu'il est né. Et c'est là qu'il va découvrir une information troublante sur sa naissance. Et celle-ci n'est qu'un des nombreux secrets familiaux, qui tous semblent liés à la destruction du quartier noir de la ville haut lieu de la culture afro-américaine, à la fin des sixties, ainsi qu'à un meurtre jamais élucidé. L'assassinat d'un homme, la mort d'un quartier, la disparition d'une culture, Michael va devoir faire toute la lumière sur ces événements s'il veut lever le voile qui recouvre son identité.

04/2014

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Littérature française

La légende de nos pères

Après avoir été journaliste à la Voix du Nord, Marcel Frémaux est devenu biographe familial. "Toute vie mérite d'être racontée" , disent ses publicités, et c'est pour cela que ses clients se confient à lui. Il les écoute, met en forme leurs souvenirs, les rédige puis fait imprimer un livre destiné aux amis ou au cercle familial. Un matin, Lupuline Beuzaboc se présente au biographe. Tescelin, le père de Lupuline, ancien cheminot du Nord de la France, était un Résistant, un partisan de l'Armée des ombres. Dédaigneux des hommages, il n'a raconté sa bravoure qu'à sa fille. Alors, pour ses 85 ans, Lupuline veut offrir à son père les mémoires de son combat. Elle veut ramener son passé glorieux en pleine lumière. Le vieil homme est réticent. Embarrassé. En colère même de tout ce tapage. Et puis il accepte. Marcel Frémaux va s'atteler à cet ouvrage avec passion. Pierre Frémaux, son père, fut un Résistant. Comme le vieux Beuzaboc, un partisan de l'Armée des ombres, silencieux et dédaigneux des hommages. Mais son père n'a jamais rien raconté. Et il est mort, laissant son fils sans empreinte de lui. En écoutant Beuzaboc, c'est son père que le biographe veut entendre. En retraçant sa route, il espère enfin croiser son chemin. Mais rien ne se passe comme il le pensait. Et plus Beuzaboc raconte, plus le doute s'installe. C'est par une poignée de mains, que le biographe et le vieil homme avaient scellé leur pacte de mémoire. Ensemble, ils franchiront les portes de l'enfer.

08/2009

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Romans historiques

Le fardeau de nos pères

Lorsque les Allemands décident de pacifier le «grand Kamerun», ils n'hésitent pas à tuer, brûler, chasser, déporter, confisquer, détruire les villages et éteindre cultures et traditions. En trente ans de colonisation sans partage, ils germanisent et enrôlent dans leur sillage des jeunes pour les aider dans leur funeste objectif. Martin Paul Samba est de ceux-là, croit aux projets allemands et les suit aveuglement et sans réserve, en s'éloignant de ses proches. Cependant, qu'adviendra-t-il de lui et des siens une fois le Kamerun conquis et soumis ?

06/2015