Japon
03/2022
Technologie
02/2021
Poésie
06/2021
XXe siècle
06/2023
Ouvrages généraux
05/2023
Littérature française
09/2014
Sociologie
06/2022
XVIIe siècle
06/2022
Difficultés du français
05/2023
USA
03/2023
Pédagogie
05/2023
Français
08/2021
Littérature française
08/2021
Rhône-Alpes
06/2023
Littérature française
05/1974
Critique littéraire
03/2019
Hydrogéologie
08/2021
Romans de terroir
10/2018
Littérature française
04/2019
Théâtre
01/2017
Histoire de France
02/2019
Science-fiction
07/2023
Philosophie
02/2020
Europe
02/2023
Elevages domestiques
06/2021
Littérature française
06/2022
Littérature française
Adolphe Marlaud habite, rue Froidevaux, un appartement avec vue sur le cimetière, une de ces rues où "on meurt lentement, à petit feu, à petits pas, de chagrin et d'ennui". N'ayant réussi à n'être ni fantôme, ni homme invisible, cet étrange voyageur d'hiver s'est fixé une ligne de conduite : "vivre le moins possible pour souffrir le moins possible".
C'est sans compter sur Madame C., sa concierge, qui guette amoureusement son passage du haut de ses deux mètres pour le contraindre à des actes qu'une quatrième de couverture doit taire.
Jean-Pierre Martinet, l'auteur de ce texte halluciné paru en 1979, est mort oublié en 1993 : on a redécouvert depuis le sombre génie et la folie magnifique d'une oeuvre sans équivalent. Avec ce court livre, c'est son humour qui explose : il est d'un noir détergent.
06/2022
Faits de société
10/2022
Romans historiques
Que-sais-je ?
03/2023