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Henri Jeanne

Extraits

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Professions médico-sociales

La recherche en éducation à la petite enfance. Origines, méthodes et applications

Cet ouvrage propose d'explorer les origines, les méthodes et les applications d'approches méthodologiques en éducation à la petite enfance. Rassemblant les collaborations de spécialistes en provenance du Québec, du Canada, de l'Amérique du Sud et de l'Europe, ce premier livre écrit en français sur le sujet présente 21 méthodologies de recherche employées dans le domaine de l'éducation à la petite enfance. Chacun de ses chapitres est composé d'une section théorique, suivie d'une section illustrant une recherche réalisée dans le milieu de la petite enfance. Ce guide méthodologique s'adresse aux futurs chercheurs du domaine, aux chercheurs débutants ainsi qu'aux directions de recherche qui désirent bien encadrer leurs étudiants.

01/2022

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Coloriage, gommettes et autoco

Les émotions. Avec plus de 160 autocollants

Un livre d'autocollants pour aider les jeunes enfants à reconnaître, nommer et comprendre les différentes émotions. Ce livre invite les jeunes enfants à se familiariser avec différentes émotions dont la joie, l'inquiétude, la gêne ou la jalousie, dans des contextes familiers tels qu'une fête, une journée sportive, une sortie... Au fil des pages, ils trouveront des mots pour exprimer ce qu'ils ressentent et des conseils pour rester calme et faire face aux émotions qui peuvent les perturber.

04/2023

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Cinéma

Maurice Mariaud. Itinéraire d'un cinéaste des Buttes-Chaumont au Portugal (1912-1929), avec 1 DVD

Maurice Mariaud (1875-1958) a été acteur de théâtre puis de cinéma avant de devenir scénariste et metteur en scène chez Gaumont avant la Première Guerre mondiale. Travaillant ensuite pour les plus grandes sociétés de production durant une vingtaine d'années en France et au Portugal, il a signé une quarantaine de films et joué dans une quinzaine d'autres — sans compter les siens. Celui en qui Delluc voyait l'un des espoirs du cinéma français eut pourtant sa carrière interrompue par le parlant après une seule expérience sonore. Il travailla alors pour la radio, la scène et la chanson jusque dans les années 1950. Ignoré des historiens, oublié des archivistes, la plupart de ses films semblaient disparus ou égarés quand on s'est progressivement mis à redécouvrir une oeuvre passant de la comédie au drame, mêlant la morale et la féérie, brossant de puissants paysages comme de délicates scènes intimistes, mariant les vues en plein air documentaires à des mises en scène qui ne craignent ni l'émotion ni l'humour, ni le fantastique. Les restaurations en cours de la douzaine de titres retrouvés de Mariaud révèlent une oeuvre marquée au sceau de l'esthétique Gaumont, où la maîtrise de la lumière et de la profondeur de champ, le goût pour le gros-plan dramatique et un jeu retenu l'inscrivent dans la famille mal connue de ses contemporains Louis Feuillade, Léonce Perret, Albert Capellani, Georges-Henri Lacroix, Henri Fescourt que l'émergence de "l'Avant-garde française" a injustement rejetée dans l'ombre. Ce livre est la première monographie consacrée à ce cinéaste dont l'oeuvre est désormais appréhendable par les documents qui en ont gardé la trace, réunis ici, par un état des lieux exhaustif qui en est dressé et par quelques-uns des films conservés. En effet un double DVD fait partie de cet ouvrage avec quatre titres restaurés par le Service des archives du film du CNC échelonnés entre 1919 (Quand la raison s'en va), 1922 (O Fado), 1924 (Mon Oncle), 1929 (le Secret du Cargo), ouvrant à d'ultérieures restaurations et rétrospectives qui élargiront encore la connaissance par les films de ce cinéaste.

01/2019

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Religion

Jean de la croix en france

Voici le troisième ouvrage publié par André Bord chez Beauchesne sur le Docteur mystique. Dans Mémoire et Espérance chez Jean de la Croix, préface de Henri Gouhier, était enfin étudiée la faculté spirituelle pourtant privilégiée : la mémoire, et son lien absolument original avec l'espérance théologale. Pascal et Jean de la Croix, préface de Philippe Sellier, révèle que le génie français avait un cousin carme, que l'influence sanjuaniste s'est exercée quotidiennement à Bien-Assis sur la famille Pascal grâce à leurs voisins immédiats les Carmes déchaussés et en particulier sur l'âme profonde de Blaise, témoins ses écrits mystiques. Jean de la Croix en France note la présence du saint Espagnol au cours de quatre siècles. Considérable pour les spirituels Français au XVIIè siècle, moins vigoureuse mais réelle aux XVIIIè et XIXè siècles, grâce surtout aux carmels féminins et aux Jésuites. Eclatante au XXè siècle où elle atteint des philosophes comme Baruzi, Bergson ou Lavelle... , des psychologues comme Henri Delacroix, des poètes comme Valéry, des peintres comme Dali, des critiques tel René Huyghes. Et une foule de spirituels dont Thérèse de l'Enfant-Jésus est le plus prestigieux représentant. Méconnaître Jean de la Croix est se priver d'un trésor aux multiples richesses qui dépasse les frontières, le Carmel, les Ecoles : Docteur de l'Eglise, il est universel ; sa doctrine est d'"une cohérence et d'une modernité absolues" (Jean-Paul II). L'ouvrage présente un tableau très vaste de cette influence, sans oublier l'iconographie et les médias. Les Ouvres de Jean sont éditées plus de quinze fois au XVIIè siècle ; c'est lui qui occupe la troisième place, après saint Augustin et saint Thomas d'Aquin, dans la Vie spirituelle jusqu'en 1933 ; c'est l'auteur le plus cité d'après un questionnaire de cette revue en 1954 auprès de ses lecteurs. Jean de la Croix en France est une synthèse remarquable, richement documentée, très attendue, après le IVè centenaire de la mort de Jean de la Croix et juste avant le centenaire de la mort de la Petite Thérèse.

04/1997

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Histoire de France

BIENCOURT Les aventures d'un Picard pionnier en Nouvelle-France

Abandonnée pendant les guerres de religion de la seconde moitié du XVIesiècle, la conquête par la France de l'Amérique septentrionale connut un regain de gloire sous le règne d'Henri IV. En quelques années une Nouvelle-France se développa à partir de deux solides points d'ancrage qui fixèrent définitivement la présence française. L'un en Acadie, avec la création en 1606 du premier établissement français pérenne d'Amérique : Port-Royal. L'autre, au Canada, en 1608 sur les rives du Saint-Laurent : Québec. Dans notre mémoire collective, Québec reste l'oeuvre incontestée de Samuel de Champlain mais on se souvient peu de Port-Royal et encore moins de ses fondateurs : Jean de Poutrincourt et son fils Charles de Biencourt. Ces Picards d'origine prirent le risque d'engager leurs biens et leur vie dans une entreprise incertaine. Comme Sully avait convaincu le roi de ne pas participer financièrement à ces expéditions lointaines, Henri IV se limita à encourager ces aventuriers en leur octroyant, par lettres patentes, des titres honorifiques et des privilèges souvent aléatoires... En contrepartie le souverain exigea d'eux d'emmener des missionnaires jésuites pour assurer la conversion des peuplades indiennes à la religion catholique. Nos intrépides découvreurs projetaient d'installer au-delà une riche colonie agricole organisée sur le modèle féodal et dont ils seraient les seigneurs. Chaque voyage outre-atlantique coûtait cher : la seule fortune personnelle des Biencourt-Poutrincourt n'aurait pas suffi pour réaliser leur rêve. Aussi durent-ils se transformer en hommes d'affaires en s'associant à des marchands dans des compagnies commerciales dont les profits proviendraient du trafic des peaux de castor et de la pêche à la morue. Quant aux candidats à l'exil désireux de se fixer en Acadie, ils ne furent guère nombreux dans les débuts et il fallut aux Picards beaucoup d'abnégation et de persévérance pour réussir à construire leur colonie. Dans un premier essai Jean-Claude Collard s'est attaché à suivre les aventures de Jean de Poutrincourt ; dans ce second ouvrage, il nous invite à partager la courte mais passionnante vie de Charles de Biencourt dont la bravoure ne fait pas mentir le vieil adage latin : "Qualis pater, talis filius" . Avec documents N/B, cartes, photos, illustrations.

07/2012

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Beaux arts

MATISSE

L'oeuvre d'Henri Matisse décrit une trajectoire qui l'amène du réalisme à l'abstraction, de l'obscurité à la lumière, du Nord au plein Sud. De tous les artistes de ce siècle, Matisse est celui dont le rayonnement est aujourd'hui le plus grand. L'ouvrage monumental de Pierre Schneider représente le fruit de quatorze années de recherches ; il est depuis sa parution la référence obligée sur celui qui est aux yeux du monde entier le peintre français par excellence. De tous les artistes de ce siècle, Matisse est celui dont le rayonnement est aujourd'hui le plus grand. Son influence sur l'art vivant, jamais négligeable, ne cesse de croître. Il est aux yeux du monde entier le peintre français par excellence. L'oeuvre d'Henri Matisse (né en 1869 au Gateau, mort en 1954 à Nice) décrit une trajectoire qui l'amène du réalisme à l'abstraction, de l'obscurité à la lumière, du Nord au plein Sud , itinéraire jalonné de découvertes révolutionnaires telles que l'explosion de la couleur au moment du Fauvisme, ou l'invention des gouaches découpées. , à l'heure où la plupart des artistes se reposent sur leurs lauriers. Il est d'autant plus surprenant que depuis de longues années aucun ouvrage d'envergure n'ait été consacré à Matisse. Le livre tant attendu de Pierre Schneider vient ainsi combler une des graves lacunes de l'édition d'art contemporaine - et cela d'une façon magistrale. Outre des vues originales et personnelles sur l'art de Matisse et ses relations avec notre temps, l'auteur apporte une masse impressionnante d'informations ignorées aussi bien du public que des spécialistes. Parmi les illustrations, on trouvera un grand nombre d'oeuvres reproduites ici pour la première fois, ce qui fera de cette monographie l'ouvrage de référence sur Matisse. Le lecteur découvrira des aspects inconnus ou peu connus de l'artiste : à côté du peintre se profilera l'aquarelliste, le pastelliste, le céramiste ou l'architecte. Grâce à ce livre, le Matisse que l'on croyait connaître apparaîtra sous une lumière nouvelle.

08/1993

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Monographies

Ambroise Dubois. Un maître de l'École de Fontainebleau

Le goût pour l'art antique se développe en France sous le règne de François Ier, et aboutit à l'avènement d'un mouvement artistique sans précédent dans le royaume, en tout cas en peinture, qui s'est développé lors des chantiers décoratifs du château de Fontainebleau, dirigés par le Florentin Rosso jusqu'à sa mort en 1540, puis par le Bolonais Primatice jusqu'en 1570. Bien qu'italiens, ces deux peintres et stucateurs participèrent à la création d'un style nouveau. Cet art élégant et sensuel, aux formes allongées et qui cultive la profusion ornementale, peut être considéré comme franco-italien. Il est en tout cas proprement bellifontain ; on l'a nommé l'Ecole de Fontainebleau. Si Henri IV fait réaliser de grands décors peints au Louvre, aux Tuileries ou à Saint-Germain, c'est Fontainebleau qui a sa faveur, et il y relance les travaux en 1594. Le nom d'Ambroise Dubois y apparaît pour la première fois dans les registres paroissiaux en 1595, et il commence l'exécution de son premier grand décor, la galerie de la Reine, en 1600. Ambroise Dubois est un des seuls peintres du tournant du XVIIe siècle dont autant de tableaux soient conservés aujourd'hui. L'oeuvre peint des autres artistes de l'Ecole de Fontainebleau a dans la plupart des cas été détruit. Cet ouvrage se propose de renouveler la connaissance de la vie et de l'oeuvre d'Ambroise Dubois, et de s'interroger sur les modalités d'insertion dans la cour de France d'un artiste flamand. Un retour systématique aux documents d'archives originaux et les plus anciens a permis, outre de découvrir de nouveaux documents ou d'en améliorer la lecture, d'en reprendre l'analyse afin de proposer, entre autres, de nouvelles dates de naissance et de décès. Cette étude précise la position du peintre dans le jeu social et professionnel de Paris et de Fontainebleau à l'époque, que ce soit vis-à-vis de la cour, ou de ses co-religionnaires flamands ou natifs de France, afin de mieux apprécier le succès de l'insertion de ce peintre, étranger et inconnu au départ, dans le paysage artistique français sous Henri IV et Marie de Médicis.

09/2022

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Critique littéraire

Béraud

Le destin d'Henri Béraud est fascinant car il tient tout entier dans le demi-siècle précédent : la guerre de 14 avec les amitiés définitives ; la Révolution bolchevique et le fameux reportage Ce que j'ai vu à Moscou ; les scandales de la IIIe République, le 6 février 1934 et les éditoriaux fracassants de Gringoire ; la montée des totalitarismes et Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage, ce cri qui eut tant d'échos ; etc. Pourtant, ne retenir de Béraud que l'œuvre polémique et politique, celle des années trente et quarante, ce ne serait pas restituer le personnage. Mais, ne retenir de lui que l'œuvre régionaliste lyonnaise, celle de sa jeunesse, quand il était l'ami des peintres, quand il peignait lui-même, ne le restituerait pas davantage, et cela reviendrait à le mutiler. Dans ce Béraud Qui suis je ? l'auteur a voulu présenter un autre Béraud, plus complet, et, surtout, plus complexe, un Béraud dont la caractéristique fut, sans doute, d'être le chef de file le plus représentatif d'une école littéraire et journalistique que l'on pourrait qualifier de " populiste ". Le jeune Béraud a entraîné dans son sillage lyonnais les Albert Londres, Charles Dullin, Gabriel Chevallier, Marcel Achard. Les amis qu'il se fait à Paris s'appellent Jean Galtier-Boissière, Joseph Kessel, Francis Carco, Pierre Mac-Orlan, Roland Dorgelès, Marcel Prévost, Henri Jeanson, Edouard Helsey, André Billy, Louis Jouvet, Marcel Pagnol ou, encore, les peintres Villebmuf, Oberlé, Dignimont, Touchagues, etc. Béraud est l'authentique chef de file de cette école, et sa Croisade contre les longues figures montre bien cette ligne de fracture qui partage irrémédiablement les lettres françaises avec, d'un côté, les " gallimardeux ", les " gidards " et, de l'autre, ses amis à lui, bons vivants, gouailleurs et sachant lever le coude autant qu'il est souhaitable. Ce sont des écrivains très français, avec tous les excès - de langue et de plume - que cela peut signifier. Et telle est sa biographie : celle d'un homme qui aimait Wagner et le beaujolais mais pas les Anglais ni les " métèques ", comme Céline et quelques rares autres.

10/2003

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Musées français

Chefs-d'oeuvre du Musée Langmatt. Boudin, Renoir, Cézanne, Gauguin...

En 2024, la Fondation de l'Hermitage fête ses 40 ans et présente une exposition exceptionnelle en partenariat avec le Museum Langmatt de Baden. Constituée des trésors - majoritairement impressionnistes - rassemblés pour l'essentiel entre 1908 et 1919 par le couple de collectionneurs Sidney et Jenny Brown, cette somptueuse collection, habituellement montrée à la Villa Langmatt, fera escale à l'Hermitage pour sa première présentation hors-les-murs. Quarante ans après son exposition inaugurale L'impressionnisme dans les collections romandes, la Fondation a ainsi le privilège de dévoiler l'une des plus prestigieuses collections impressionnistes de Suisse allemande. Cette présentation-événement permettra aussi de fêter un autre anniversaire, les 150 ans de l'impressionnisme, qui s'est cristallisé en 1874 autour de la première exposition collective d'un groupe de jeunes artistes indépendants, adeptes d'une "nouvelle peinture" . Tous deux issus de familles de grands entrepreneurs basés à Baden et Winterthour, Sydney Brown et Jenny Sulzer se marient en 1896. C'est pendant leur voyage de noces à Paris qu'ils achètent leur première oeuvre, un paysage d'Eugène Boudin dépeignant des lavandières près de Trouville. Ce tableau scelle d'emblée un attrait pour la peinture française, et en particulier pour la couleur et les effets de lumière. Au tournant du 20e siècle, les Brown effectuent maints voyages pour découvrir la création de leur temps et soutenir des artistes. Dominée par les paysages et les natures mortes, la collection réunit des oeuvres de Pierre Bonnard, Eugène Boudin, Mary Cassatt, Camille Corot, Paul Cézanne, Edgar Degas, Henri Fantin-Latour, Paul Gauguin, Henri Matisse, Claude Monet, Camille Pissarro, Odilon Redon, Pierre-Auguste Renoir, ou encore Alfred Sisley. Ces chefs-d'oeuvre sont désormais conservés à la Villa Langmatt, que le couple a fait construire entre 1899 et 1901. La demeure, inspirée de l'architecture rurale anglaise, est actuellement fermée pour d'importants travaux de rénovation. L'exposition de la collection Langmatt à la Fondation de l'Hermitage réunira 67 oeuvres parmi les plus remarquables de cet ensemble : une occasion unique d'admirer ces trésors hors de leur écrin habituel.

07/2024

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Sports

Sexus footballisticus

Pourquoi les histoires d'amour et de sexe rejaillissent-elles forcément sur le terrain ? Pourquoi Zinédine Zidane n'est-il pas l'homme que vous croyez ? Pourquoi Ronaldo se méfie-t-il des femmes ? Pourquoi Ronaldinho regrette-t-il tant Paris ? Pourquoi l'homosexualité est-elle un tabou absolu ? Pourquoi Sylvain Wiltord est-il devenu persona non grata à Lyon ? Pourquoi une jeune femme du Creusot terrorise-t-elle les plus grands footballeurs ? Pourquoi Thierry Henry a-t-il quitté arsenal ?

05/2008

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BD jeunesse

L'agent Jean ! Tome 8 : Le castor à jamais

Une terrible explosion a transformé l'Agence en ruine. À son réveil, l'Agent Jean trouve très vite Henry, qui va l'aider à reprendre le contrôle de l'Agence et, avec un peu de chance, à retrouver des survivants de la catastrophe. Ensemble, ils découvrent les dessous du plan orchestré par le Castor et Julien-Christophe. L'aventure n'est pas de tout repos, car un ancien personnage réapparaît : l'Ultra-Jean, bien décidé lui aussi à dominer le monde !

10/2018

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Littérature étrangère

Dans la chaleur de l'été [EDITION EN GROS CARACTERES

Le retour d'Henry après 18 ans d'absence exacerbe les tensions de la petite communauté où il habite. L'ancien héros de guerre y retrouve Missy, amoureuse de lui depuis l'enfance et prête à tout pour le sauver de ses démons. Mais autour d'eux la violence fait rage, et, à l'approche de la fête nationale, un terrible ouragan menace... Une histoire de passion dans l'atmosphère étouffante de la Floride à l'époque de la ségrégation.

02/2017

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Science-fiction

Brad Barron Tome 5 : Mon meilleur ennemi

A la recherche de sa femme et de sa fille disparues, Brad retourne à Clarksville. C'est la contrée où il a passé sa jeunesse et rencontré son premier amour, la belle et séduisante Vivian. Aujourd'hui, après l'arrivée des Morbs, les choses ont beaucoup changé. Sous le joug des extraterrestres, des citoyens de Clarksville ont fait le choix de collaborer avec les envahisseurs. Henry Cooldige issu d'une éminente famille de la bourgeoisie locale semble en faire partie.

08/2021

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Poches Littérature internation

Les Mystères de Morley Court. Une chronique de la vieille cité de Dublin

Sur le manoir de Morley Court règne Richard Ashwood. Tyron sadique, il n'hésite pas à spolier sa fille et des biens et à la promettre à un vieillard odieux. Quant à Henry, le fils, il ne vaut guère mieux... Jouisseur et joueur éffréné, il vend sa sœur pour rembourser ses dettes. De machinations sinistres en rebondissements inattendus, de tripots mal famés en salons aristocratiques, Le Fanu réunit dans le Dublin du XVIIIe siècle tous les ingrédients de la littérature populaire du complot.

11/2010

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Littérature française

Après la chute

Hugues Henry avait tout pour une vie tranquille sous le ciel bleu azuréen. Serveur de Cannes à Antibes, amoureux passionné et fêtard, tout roulait pour lui. Mais sa face cachée lui a attiré des ennuis. Il est KO. Après quelques années d'accalmie, il est de retour, plein de bonnes résolutions. Mais "l'homme qui claque" sera-t-il capable de s'y tenir ? A-t-il tiré des leçons du passé ? Et quid de sa relation avec Ophélie, son amour de toujours ?

07/2020

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Critique

Solitudes : de Beyle à Stendhal

Stendhal est à la fois le nom d'une oeuvre et d'un auteur secret, multiple, solitaire et attachant. On propose d'explorer quelques-unes des facettes d'une vie, d'une construction de soi, qui nous ont laissé des chefs d'oeuvres comme le Rouge et le Noir, la Chartreuse de Parme, De l'Amour, Vie de Henry Brulard, etc. , etc. , pour reprendre sa façon de laisser les choses en suspens. Ce livre est destiné à ceux qui aiment, aimeront, notre auteur.

01/2022

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Histoire régionale

Vues d'Ardèche. 70 dessins de châteaux

Issues d'un album de collectionneur réalisé par Emmanuel Nicod, ancien président de la bibliothèque d'Annonay, ces vues d'Ardèche constituent un ultime témoignage de dessins et de gravures rares avant l'avènement de la photographie. Emmanuel Nicod a regroupé des oeuvres de James de Missolz, Henry Meaudre de Sugny, Maurice Luquet de Saint­Germain, Samuel Bastide et de Max Monier de la Sizeranne. Bon nombre de ces dessins illustreront les articles rédigés par Emmanuel Nicod dans la Revue du Vivarais.

09/2023

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BD tout public

Nicholas Grisefoth Tome 2 : La Vengeance du marchand

Nicholas Grisefoth a beau être roué, il est confronté à plus fourbe. Les ordres monastiques se livrent un combat sans merci autour des reliques de Saint Henrik. Dans cette Finlande, qui tente d'émerger d'un Moyen-Age sanglant, Nicholas sortira-t-il son épingle d'un jeu pipé ? Le paysage de neige et de glace, magnifié par le trait tranchant de Lukkarinen, est soutenu par une intrigue menée tambour battant par l'un des plus grands auteurs finlandais : Juha Ruusuvuori.

03/2012

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Criminalité

Docteur Holmes

L'homme qui a inspiré la saison 5 d'American Horror Story. Le soi-disant Docteur Henry Howard Holmes est l'un des premiers serial killer recensés sur le territoire américain. La découverte de son antre après son arrestation forgea sa légende. Condamné pour 27 meurtres, les installations de son "château des horreurs" et les nombreux restes humains retrouvés dans les caves laissent présumer un nombre de victimes bien plus élevé... Découvrez l'histoire incroyable de cet homme aux nombreuses identités.

10/2021

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Romans historiques

Thibault, gueux de Provence

Quel destin peut espérer un gueux en plein Moyen-Age ? Quand Thibault naît dans un petit village de Provence, entre Nîmes et Bagnol-sur-Cèze, Jehanne, sa mère, devine en lui un souffle de vie meilleure. En ce début du XII, siècle, les hommes sont rudes, batailleurs et règlent volontiers leurs différends à coups de gourdin ou de coutelas. Aussi, lorsque Thibault, simple brassier, se venge du riche fermier qui lui a volé Ysabel sa promise, il doit s'exiler à Avignon, le gros bourg voisin où il trouvera la chaleureuse hospitalité de Daimbert, un maître maçon. Pendant ce temps, la société féodale se transforme : une poussée démographique sans précédent exige plus de terres cultivables. Les nobles, qui ont besoin d'argent pour construire leurs châteaux ou gagner Jérusalem en croisades, distribuent de nouvelles tenures à leurs paysans et ouvrent des essarts au milieu des forêts. Thibault en profite pour regagner son village et demander un fermage là où tous se contentent d'un simple manse. L'intendant du seigneur lui allouant une terre réputée incultivable, le jeune homme entreprend un combat farouche pour réaliser son rêve et améliorer sa condition. Si la vie de Thibault est le récit d'une belle ambition, c'est aussi une grande histoire d'amours : l'amour de Jehanne qui le croit promis à de hautes destinées, l'amour inconditionnel de Guillhem, le prêtre qui l'éduque et cache un lourd secret, l'amour absolu de la Muette, une gueuse qu'il épouse par nécessité mais qui, à force de tendresse, se fait aimer de lui. Et par-dessus tout, dans le roman de Guy Charmasson, éclate l'amour de la terre car Thibault est l'un de ces innombrables paysans, nos ancêtres, qui ont façonné notre terroir et pour lesquels un champ n'est pas une simple étendue cultivable mais une partie de l'histoire familiale écrite avec de la sueur, de la fatigue et parfois du sang.

03/2006

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Décoration

Pierre Legrain. Edition

"Reliures-Meubles-Cadres". Comme le précise son papier à lettres, les multiples talents de Pierre-Emile Legrain (1889-1929) en font un personnage atypique, recherché des bibliophiles, des amateurs d'Art déco et des collectionneurs de meubles d'exception. Sa vie météorique est une succession de rencontres décisives : l'illustrateur Paul Iribe, le couturier Jacques Doucet, pour qui il crée reliures et cadres pour sa fameuse collection d'art moderne, ainsi que des meubles africano-cubistes destinés à son "studio" de la rue Saint-James à Neuilly, la modiste Jeanne Tachard, le journaliste Maurice Martin du Gard, les Noailles, la fantasque Elsie de Wolfe, Marie Bonaparte, ou encore le marchand César de Hauke qui lui ouvre les portes du marché américain. Membre fondateur de l'UAM, Pierre Legrain est l'un des acteurs incontournables de la modernité naissante dans les années 1920. Première monographie transversale sur cet artiste hors normes, ce livre restaure le fil de sa vie, analyse les composantes de son style unique et met en valeur les liens formels entre son travail d'ensemblier, de relieur et de dessinateur. A travers l'entourage de ses amis et commanditaires, il présente le contexte artistique et littéraire dans lequel cette oeuvre si singulière a pu éclore.

12/2019

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Littérature française

Samo Offa, le Novelien

A une époque moyenâgeuse, dans une contrée lointaine déchirée par la guerre, la belle damoiselle Jeanne de Montbard se voit contrainte d'épouser le morne chevalier Grimo Offa pour sauver sa dignité. Leur union engendre Samo, un habile et vigoureux jeune homme dont la vie est soudain bouleversée le jour où son village est détruit lors d'un raid mené par le terrible Dent-de-Loup. Pour essayer de retrouver Sybille, sa soeur kidnappée, Samo s'engage au service du baron de Tournefeuilles. Mais tout ne se passera pas comme prévu... Dans cet ouvrage captivant et prometteur, l'auteur renouvelle avec brio les motifs médiévaux, dévoilant une aventure pertinemment élaborée où chevaliers, dames, quêtes héroïques et sorcellerie s'entremêlent et cristallisent un récit épique empli de rebondissements. Né en Vendée en 1969, Guy-Charles Penard se passionne pour la lecture depuis son plus jeune âge. Grand amateur de fantasy et de science-fiction, il nous offre ici un premier ouvrage ensorcelant, qui récompense son plaisir d'inventer des histoires. Son oeuvre s'articule autour de thèmes médiévaux et est marquée par son intérêt pour les contes et légendes peuplés d'êtres fantastiques. Appréciant par ailleurs beaucoup le cinéma, il aime puiser son inspiration dans des films à sensation qui influencent son imaginaire débordant.

11/2019

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Critique littéraire

Le Mythe de la femme indigène. De Baudelaire au XXe siècle

Baudelaire partira à vingt ans pour les îles île de France, île Bourbon. Le paradoxe alors est de venir s'installer à Paris, lorsque tout a pour soi la tristesse de certains Tableaux ou l'odeur du Spleen. Tout aussitôt Baudelaire prend une maîtresse : Jeanne Duval. Cinquante ans plus tard, Paul Gauguin s'enfuira à son tour de la mère patrie pour s'installer à Tahiti, puis aux îles Marquises. Mais pourquoi devrait-on aller dans les îles si on ne cherchait pas à les quitter ? Est-ce, Gauguin constate, parce que "… les Tahitiens au contraire, heureux habitants de paradis ignorés de l'Océanie, ne connaissent de la vie que les douceurs. Pour eux, vivre, c'est chanter et aimer" ? Mais quittons le mythe poétique de la femme indigène pour une vision "naturaliste" . Alors la femme indigène, celle des romans coloniaux, va apparaître au lecteur en femme anonyme ou interchangeable, femme objet de toute façon, mais aussi femme fatale. On y verra alors la femme indigène, dans ses relations avec l'homme blanc, jouer de ses faiblesses pour le corrompre. Et ce sera alors au mythe de jouer à l'égard de la société son rôle de soupape de sûreté.

10/2019

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Droit

Punir et réparer en justice du XVe au XXIe siècle

Punir et réparer sont au coeur de l'acte de juger. Mais combien le processus s'avère délicat quand la justice a mal jugé, voire a condamné à mort un innocent. Les différents cas, de Jeanne d'Arc à Patrick Dils et Loïc Sécher, en passant par le chevalier de la Barre, par Baudelaire se voyant amputé de six poèmes des Fleurs du Mal, et par Violette Nozière réhabilitée pour s'être rachetée comme prix de vertu, mettent en avant les défauts de la procédure, les failles humaines, l'opinion pesant à charge ou à décharge, la pression des puissants et des politiques. Ils montrent, avec l'affaire Jules Durand longuement évoquée, comment ont pu réagir les victimes de la justice, jusqu'à en perdre la raison. La Cour de cassation est la cheville ouvrière de cet ouvrage. Est-ce si facile pour elle de réhabiliter sans remettre en cause les juges que la Loi protège depuis le Moyen Age ? La solution consiste à mieux penser la procédure, à exercer la justice en humaniste, comme l'a souhaité l'avocat général Raymond Lindon dont ce livre contribue à éclairer la pensée et l'action. Alors, le jugement peut prendre en compte à la fois la vérité des faits et l'honneur des hommes.

10/2019

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Sciences historiques

Dick May, une femme à l'avant-garde d'un nouveau siècle. 1859-1925

Nombre d'historiens de la Belle Epoque ont croisé dans leur travail une certaine Dick May. Mais, jusqu'alors, peu se sont vraiment plongés dans l'existence de cette intellectuelle. Enveloppée dans un pseudonyme masculin aux sonorités américaines, Jeanne Weill a cherché à se dissimuler dans un univers hostile aux femmes. Elle a en partie réussi, puisqu'on avait jusqu'alors perdu sa trace. En remontant les rares pistes laissées par Dick May, on retrace la naissance d'une dreyfusarde engagée dans tous les combats de la Belle Epoque. Portée par une inépuisable foi en l'éducation populaire et animée par une énergie rare, Dick May fonde plusieurs institutions d'enseignement supérieur, dont la première école de journalisme française, et s'investit corps et âme dans le mouvement des universités populaires. Pour elle, l'instruction est la solution à l'urgente question sociale. Si la Première Guerre mondiale constitue une immense désillusion pour cette idéaliste, elle révèle aussi lm permanences de l'antisémitisme et le retour en grâce des forces politiques conservatrices. C'est l'apogée d'une campagne de presse contre Dick May à l'heure de la prétendue Union sacrée. Comment cette femme, juive et autodidacte, réussit-elle à devenir une figure incontournable dans les réseaux intellectuels du Paris de la Belle Epoque ?

08/2019

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Littérature française

La colline inspirée

Il est des lieux qui tirent l'âme de sa léthargie, des lieux enveloppés, baignés de mystère, élus de toute éternité pour être le siège de l'émotion religieuse. L'étroite prairie de Lourdes, entre un rocher et son gave rapide ; la plage mélancolique d'où les Saintes-Maries nous orientent vers la Sainte-Baume ; l'abrupt rocher de la Sainte-Victoire ; l'héroïque Vézelay, en Bourgogne ; le Puy-de-Dôme ; les grottes des Eyzies, où l'on révère les premières traces de l'humanité ; la lande de Carnac, qui parmi les bruyères et les ajoncs dresse ses pierres inexpliquées ; la forêt de Brocéliande, pleine de rumeur et de feux follets ; Alise-Sainte- Reine et le mont Auxois, autel où les Gaulois moururent aux pieds de leurs dieux ; le mont Saint-Michel, qui surgit comme un miracle des sables mouvants ; la noire forêt des Ardennes, tout inquiétude et mystère, d'où le génie tira, du milieu des bêtes et des fées, ses fictions les plus aériennes ; Domremy enfin, qui porte encore la maison de Jeanne. Ce sont les temples du plein air. Ici nous éprouvons, soudain, le besoin de briser de chétives entraves pour nous épanouir à plus de lumière.

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Philosophie

Jean Wahl et Gabriel Marcel

Gabriel Marcel et Jean Wahl ont été pendant longtemps deux des personnalités les plus marquantes de notre époque. Philosophes très érudits mais nullement systématiques, jamais enfermés dans un système, ouverts à toutes les dimensions de l'homme - l'un dramaturge et musicien, l'autre poète -, toujours en route et jamais satisfaits, ne cessant de dialoguer et d'interroger, ils ont médité les mystères de l'existence, de la mort, de la divinité, proche et lointaine, au cours d'une expérience intérieure très profonde. Indépendants de l'institution comme des modes et des idéologies, ils se sont courageusement engagés pour la liberté et la justice. Leur message commun, c'est que, tout en étant activement présents au monde et à ses problèmes, nous pouvons être ouverts à la transcendance, exister authentiquement, être vraiment libres en échappant à toute aliénation. Réunies et présentées par Jeanne Hersch, ces trois études d'Emmanuel Levinas, Jean Wahl. Sans avoir ni être, de Xavier Tilliette, Gabriel Marcel et l'autre royaume, et de Paul Ricoeur, Entre Gabriel Marcel et Jean Wahl, prolongent ce message. Deux cortes notices terminant le volume en présentant les jalons de la biographie et de la bibliographie de Jean Wahl et de Gabriel Marcel.

06/1976

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Couple, famille

La maternité symbolique. Etre mère autrement

La maternité symbolique a toujours existé : mettre au monde des idées, des oeuvres d'art, des livres, l'enfant intérieur ; aider à grandir, prendre soin de l'autre, guérir les âmes... La culture patriarcale le sait qui a limité cette maternité symbolique aux figures de Vierges rédemptrices et miséricordieuses, entretenant la séparation entre le corps (maternel) et l'esprit (divin). Ce qui explique pourquoi la maternité symbolique est si peu connue. Si, dans les années 1970, on a pu croire que l'accès des femmes à la maitrise de leur fécondité allait permettre de vivre enfin la libre maternité, il a fallu déchanter. Les techniques de procréation artificielle ont repris le contrôle du corps des femmes, réactivant la hantise de la stérilité tout stigmatisant les femmes qui n'ont pas d'enfants. Des cultes aux déesses mères à la maïeutique Socratique en passant par Thérèse d'Avila, Jeanne Guyon ou, plus près de nous la Mère d'Auroville, Niki de Saint Phalle, l'éco-féminisme et les Chamanes, Marie-Jo Bonnet ouvre le débat en démontrant que la maternité symbolique fait partie de l'expérience universelle. Elle est la fois une alternative à la maternité obligatoire et un moyen d'exprimer son élan créateur, qu'il soit mystique, artistique ou guérisseur.

09/2020

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Littérature française

Romans. Les Arrivants, La Dame du bourg, Les Démarqués

Tout les sépare. Jeanne est fille du comte de Roydan, un hobereau vendéen nostalgique de l'Ancien Régime, que dérangent les Arrivants, autrement dit ces nouveaux riches qui viennent de l'évincer de sa place de maire. Quant à Michel Renou, il n'est qu'un roturier, avocat il est vrai et issu d'une longue lignée paysanne. Ces amours contrariées sont pour Jean Yole l'occasion d'une savoureuse évocation de la société vendéenne d'avant 1914. D'une dénonciation également d'une certaine tentation réactionnaire. Un roman d'amour certes, mais visionnaire car annonciateur des mutations à venir. L'autre grand roman de Jean Yole, Les Démarqués, conte l'histoire de Cathène, une veuve qui, comme des dizaines de milliers de Vendéens de l'époque, doit quitter son cher Marais pour la mystérieuse Garonne, autrement dit les riches terres du Sud-Ouest. Elle et les siens sauront-ils préserver leur costume, leur patois, leur foi, tout ce qui fait leur identité ? Ou finiront-ils par n'être que des démarqués ? Un drame qui n'est pas seulement paysan, mais celui de tous les déracinements. Les Arrivants, La Dame du bourg. Les Démarqués : ces trois premiers romans, publiés entre 1909 et 1914, signent avec éclat l'entrée en littérature du grand écrivain vendéen.

01/2000

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Critique littéraire

De plume et d'audace. Femmes de la Nouvelle-France

La nOuvelle-France, du Canada à la Louisiane, du XVIIE au XVIIIe siècle, s'est aussi construite et écrite grâce aux femmes. Le présent essai rend hommage à celles qui, avec autant de courage que de liberté d'esprit, ont choisi d'immigrer et de rendre compte par écrit des difficultés et des bonheurs de leur entreprise, du passage de l'Ancien au Nouveau Monde, de leurs relations avec les Amérindiens et les Amérindiennes. Les textes - peu connus, voire inédits - De Marie Guyart, Jeanne-Françoise Juchereau, Marie Morin, Elisabeth Bégon, Marie-Madeleine Hachard ou Marie Tranchepain, concernent l'Histoire, l'histoire professionnelle et personnelle, la littérature. Grâce à la Nouvelle histoire et à l'histoire des femmes, les textes de ces auteures sont à présents aussi importants que les récits de découverte, de colonisation et de conversion de leurs confrères masculins, et les analyses différentielles qu'ils suscitent, aussi nécessaires qu'éclairantes. Ce travail de relecture nous invite aussi à nous départir de nos préjugés sur les religieuses missionnaires, à mieux percevoir leurs résistances et leurs dissidences à l'égard des pouvoirs en place, à Québec, comme à Paris, leurs idées novatrices et leurs perceptions originales, à apprécier leurs dons littéraires, leurs stratégies narratives, leur sens de l'humour et de l'ironie.

10/2006