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Barbara J. Fields

Extraits

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Couple, famille

Maman en garde alternée. Recevoir, créer, transmettre

Je suis maman. Je suis femme. Je suis artiste. J'ai 38 ans. Je suis divorcée. Je suis devenue femme en accueillant la maman. Ou vice versa. La maternité m'a renversée. Complètement dé-faite. Je tente de créer chaque jour une relation sincère, aimante, joyeuse et durable avec mes enfants, tout en harmonisant mes vies de mère et de femme parfaitement imparfaites. Ok, mais comment on fait ? Il n'y a pas de mauvaise recette. La question est de savoir ce qu'on fait des ingrédients. Enfance, adolescence, âge adulte. Maternité, baby-blues, vie de famille et de couple, divorce, garde alternée. J'éclaire mes prises de conscience, je partage mes moments de vie, j'ouvre les chemins que j'ai empruntés, équipée de ce dont j'ai "hérité", pour aller vers moi. Pour m'autoriser à être pleinement qui je suis, offrir à mes enfants l'espace d'exprimer profondément qui ils sont et vivre ensemble dans l'harmonie. Ce voyage initiatique m'invite à incarner ma mission de maman en étant souveraine de mon devenir et guide mes enfants à évoluer en étant responsables de leur essence. L'équilibre est sur le fil.

03/2019

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Couple, famille

Mère calme à peu agitée. Mon fils, l'amour, les baskets et les yaourts aux fraises

J’ai toujours eu hâte d’être mère. Plus d’une fois, petite fille, j’ai chouiné : “Je veux avoir un bébéééé. Quand on m’a offert un singe en peluche, j’ai su que j’allais devoir prendre mon mal en patience. Quinze ans plus tard à peine, je suis la mère d’un garçon. J’avais raison : c’est la plus belle et la plus grande aventure de ma vie, la plus compliquée aussi, la plus drôle, la plus triste, la plus angoissante, la plus riche, la plus bouleversante. La plus surprenante, surtout. Cette aventure, je l’ai partagée chaque mois dans un magazine, avec une chronique intitulée “Au secours, mon fils m’apprend la vie ! Ces souvenirs n’ont pas pris une ride. Les histoires de parents et d’enfants sont toujours les mêmes : l’amour, les baskets neuves, les terreurs de la cour de récré, les yaourts aux fraises, le brossage des dents, la mort, les pâtes au ketchup… Dans ce recueil de chroniques, Muriel Gilbert transforme avec un humour désopilant les instantanés de la vie de famille en autant de messages universels qui toucheront chaque parent.

04/2019

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Policiers

Criminellement vôtre Tome 1 : Ou histoires sorties du fond du placard

Parfois, la vie réserve des choses incroyables. Une opération du ménisque à cinquante ans et l'on se retrouve un mois et demi allongé sur un canapé. On repense au passé, notamment en 1990, il y a vingt-huit ans, quand j'avais connu pareille situation. J'étais à l'époque à l'armée et suite à un accident, j'avais été bloqué sur un lit d'hôpital militaire pendant un mois. J'avais vingt-deux ans. Pour tuer le temps, j'écrivais des nouvelles sur des carnets. Elles n'ont jamais été publiées. Je décide de les ressortir aujourd'hui et je trouve onze nouvelles dont dix policières et une fantastique (DIABOLO). Je commence à les lire et je les trouve plutôt marrantes. Certains thèmes abordés ont des connotations mystérieuses. C'est sûr, ces nouvelles sont de 1990 et il faudrait les réactualiser. Il y a des fautes de syntaxe et de grammaire mais je trouve plutôt intéressant de les laisser dans leur jus. Et voilà comment on ressort des écrits d'il y a vingt-huit ans, que personne ou presque n'a lus, voilà comment on ressort les histoires du fond du placard.

03/2019

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Terrorisme

Pris en otage, un agent du service action sort de l'ombre

"J'ai été un otage, j'ai vécu des heures sombres enfermé dans les geôles d'une Katiba islamiste. Je m'étais fait une promesse : si je survis, je témoignerai de ce que j'ai vécu. Une telle perspective m'a aidé à ne pas sombrer dans le désespoir ou la folie. Je suis un militaire, un homme de terrain, un ancien membre du Service Action de la DGSE. Toute ma vie, j'ai choisi le danger, les missions périlleuses, le combat. J'ai survécu mais cette épreuve m'a changé à jamais. Quand on a envisagé chaque jour comme le dernier, peut-on s'estimer sauvé d'avoir retrouvé la liberté ? " Dans ce récit d'une grande force, Pierre Martinet revient pour la première fois sur les jours terribles de détention qu'il a vécus en Libye lors du printemps arabe. Il raconte comment il a réussi à tenir en s'évadant mentalement grâce à son passé d'instructeur commando et à la formation particulière qu'il a suivie au Service Action. Un livre qui nous plonge, comme aucun autre, dans la psychologie d'un soldat d'élite.

10/2022

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Littérature française

Harkhantah. Tome 1

Je suis d'origine africaine, plus précisément du Cameroun. Mais mon histoire veut que je commence par dire que je suis un descendant des pharaons. Ces derniers ont beaucoup oeuvré pour que je sois ce que je suis aujourd'hui. D'ailleurs, je les remercie beaucoup pour cela et j'espère que je serai digne de tous leurs espoirs. Dans ce livre, il est question de mes débuts au Cameroun et de ma venue en Europe, plus précisément en France et en Allemagne, de la discrimination à laquelle j'ai dû faire face, des liens que j'ai envers ma famille, de la sorcellerie qui est le côté obscur de ma vie, comme les attaques mystiques auxquelles je fais face, et surtout d'amour que j'ai pour ma future épouse. Certes, je ne connais pas ma future épouse, mais je ressens déjà sa présence. Je reste persuadé que l'on peut vivre dans un monde meilleur où il n'y a pas de racisme et de discrimination. Pourquoi j'écris ce livre ? Quelles sont mes motivations ? Eh bien ! Lis ce livre et tu le sauras.

02/2023

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Roman d'amour, roman sentiment

Ma vie en blog - II. Notice à l'usage de celles qui changent d'avis

Ma vie a bien évolué depuis le 6 mars 2010. J'ai continué à tenir mon blog régulièrement, à ma grande surprise, vu qu'il devait être effacé après sa création. Il va bientôt fêter sa première année d'existence. Toujours diffusé en mode public, j'y partage toute notre histoire, à mes amis et moi. J'ai dû inventer d'autres noms pour les nouvelles personnes arrivées dans mon récit. J'y raconte tout de même une partie de leur vie, alors bon, autant les protéger un peu. Je ne pensais pas l'écrire aussi longtemps, mais y relater mon quotidien m'amuse. Il n'est pas toujours rose, quand on change radicalement de vie. Beaucoup de questionnements encore et toujours. Je suis fiancée, moi, qui jurais que celui qui me conduirait devant l'autel n'était pas né. Me voici en train de préparer un mariage dans deux pays différents. Mon futur mari ? Eh bien c'est un homme, alors il pense et il délègue. Comprendrez-vous comment j'ai changé d'avis ? Même ma copine n'a plus la même opinion sur le couple. Où va le monde ?

03/2021

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Littérature anglo-saxonne

La sentence

"Quand j'étais en prison, j'ai reçu un dictionnaire. Accompagné d'un petit mot : Voici le livre que j'emporterais sur une île déserte. Des livres, mon ancienne professeure m'en ferait parvenir d'autres, mais elle savait que celui-là s'avérerait d'un recours inépuisable. C'est le terme "sentence" que j'y ai cherché en premier. J'avais reçu la mienne, une impossible condamnation à soixante ans d'emprisonnement, de la bouche d'un juge qui croyait en l'au-delà". Après avoir bénéficié d'une libération conditionnelle, Tookie, une quadragénaire d'origine amérindienne, est embauchée par une petite librairie de Minneapolis. Lectrice passionnée, elle s'épanouit dans ce travail. Jusqu'à ce que l'esprit de Flora, une fidèle cliente récemment décédée, ne vienne hanter les rayonnages, mettant Tookie face à ses propres démons, dans une ville bientôt à feu et à sang après la mort de George Floyd, alors qu'une pandémie a mis le monde à l'arrêt... On retrouve l'immense talent de conteuse d'une des plus grandes romancières américaines, prix Pulitzer 2021, dans ce roman qui se confronte aux fantômes de l'Amérique : le racisme et l'intolérance.

09/2023

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témoignages personnels

Abi gezunt! Du moment que tu as la santé !. Mémoires d'un enfant juif polonais

""Petit tu es, petit tu resteras", a dit Mengele, le médecin d'Auschwitz en m'envoyant à la chambre à gaz. J'étais effectivement petit lorsque ces évènements se sont produits. J'avais 10 ans lorsque je suis entré dans le ghetto de Lodz. J'ai eu 15 ans au moment des marches de la mort, à la sortie du camp. J'étais vieux avant l'âge. Je me suis rattrapé depuis et j'ai l'éternité devant moi". Témoin et acteur d'une histoire sans précédent, Léon s'est promis d'être le meilleur. Arrivé en France en juin 1945 par l'intermédiaire de l'OEuvre de Secours aux Enfants (OSE), il devient cinq ans plus tard, champion de France de poids et haltères, "pour que plus personne ne lui marche sur les pieds" . Apprenti en sertissage, il reçoit, en 1978, le diplôme de Meilleur Ouvrier de France des mains de Valéry Giscard d'Estaing, à la Sorbonne. Ce qui lui ouvre les portes de la grande joaillerie. "Bénies soient les mains qui se font elles-mêmes" , lui avait répété sa mère, Lola, morte dans les chambres à gaz de Birkenau, à qui il dédie ce texte.

03/2022

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Histoire internationale

Chienne de guerre

" Ce livre est le récit de mes différents séjours dans la Tchétchénie en guerre, entre septembre 1999 et mi-février 2000. La guerre telle que je l'ai vue : il s'agit là d'un pur témoignage. J'ai agi en tant que journaliste free-lance, correspondante de deux quotidiens français, Libération et Ouest-France. Dès le début du conflit, j'avais fait la demande d'une accréditation ad hoc du côté russe ; ne l'ayant pas obtenue, j'ai décidé de regarder la guerre du côté tchétchène. Cet affrontement qui ne cesse de saigner et d'épuiser les camps en présence n'est malheureusement pas terminé et peut-être ne finira jamais. Aussi faut-il continuer de se rendre sur place pour dire ce qu'il en est. À moi qui n'avais fréquenté la guerre que dans les livres d'histoire, elle a appris son poids de cruauté, de désespoir et de mort. Au lecteur, j'espère que ces pages auront mieux fait percevoir l'enchaînement tragique des événements, mieux fait comprendre aussi ce peuple, ces hommes et femmes tchétchènes avec qui j'ai partagé l'impartageable. "

09/2001

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Littérature française

Mamma Maria

Un ristretto d'Italie. " Ciao, Sofia, qu'est-ce que je te sers ? Comme d'habitude ? Et j'ajoute un cornetto, parce qu'il faut manger, ma fille ! - Oui, merci, Maria. " Je m'installe en terrasse, face à la mer, comme chaque matin depuis que je suis de retour en Italie. J'aime bien travailler au son des tasses qui s'entrechoquent. Et, au Mamma Maria, j'ai toujours de la compagnie. Il y a ceux qui viennent tuer le temps. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les ados qui sirotent un soda, monsieur le curé, et, surtout, mes partenaires de scopa. Ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano. Moi, je viens pour me persuader que j'ai bien fait de quitter Paris... et l'autre abruti. Il fait quand même meilleur ici. Et puis, on cherche aussi à profiter de la bonne humeur (ou non) de Maria, qui mène, comme une mamma, tout ce petit monde à la baguette. Bref, j'ai enfin retrouvé mon village paisible. Enfin, paisible jusqu'au jour où...

03/2020

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Littérature française

Les châteaux de sable

"J'écris les dernières lignes des Châteaux de sable, les dernières pages, la fin du livre. C'est comme si je parvenais à ma propre fin, ma disparition. Je vois se dérouler et s'étendre, se perdre dans le sable du rivage, être bue, n'être plus, la longue vague d'écriture, ce tissu de récit et de rêverie, ces traces de mémoire, ma vie, le miroir de ma vie, inventée, rêvée, réelle, changée en cette parole silencieuse, avant le véritable silence, d'ici-bas. Je vois finir le livre pour lequel longtemps il m'a semblé que j'avais entrepris l'apprentissage de l'écriture, la raison même du chemin, et que j'ai tant de fois différé d'entreprendre. Tous les méandres, tous les sentiers de traverse, les faux devoirs, me détournaient de moi-même. La mer déferle sur le sable comme un oiseau se pose et referme ses ailes. [...] J'arrive au bord de la fin de ce livre. Je ralentis. J'aimerais que ce livre n'ait pas de point final et qu'il s'atténue jusqu'au silence." Claude-Henri Rocquet

10/2019

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CD K7 Littérature

Le nom sur le mur. 1 CD audio MP3

Je ne suis pas l'ami d'André Chaix, et aurais-je d'ailleurs su l'être, moi que presque rien ne relie à lui ? Juste un nom sur le mur. Chaix était un résistant, un maquisard, un jeune homme à la vie brève comme il y en eut beaucoup. Je ne savais rien de lui. J'ai posé des questions, j'ai recueilli des fragments d'une mémoire collective, j'ai un peu appris qui il était. Dans cette enquête, beaucoup m'a été donné par chance, presque par miracle, et j'ai vite su que j'aimerais raconter André Chaix. Sans doute, toutes les vies sont romanesques. Certaines plus que d'autres. Quatre-vingts années ont passé depuis sa mort. Mais à regarder le monde tel qu'il va, je ne doute pas qu'il faille toujours parler de l'Occupation, de la collaboration et du fascisme, du rejet de l'autre jusqu'à sa destruction. Ce livre donne la parole aux idéaux pour lesquels il est mort et questionne notre nature profonde, ce désir d'appartenir à plus grand que nous, qui conduit au meilleur et au pire. H. L. T.

04/2024

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BD tout public

Mes années hétéro

J'avais 17 ans quand j'ai rencontré Brigitte. C'était les années 60 dans une ville de province. Coup de foudre, mariage, deux trésors de filles, le paradis. Mais je n'avais fait que suivre un chemin tout tracé. Je savais que je craquerai. Rémi.

08/2019

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Techniques artistiques

Dessin Kawaii. Dessin kawaii facile

J'aime dessiner (je voulais TOUJOURS apprendre). Et j'aime le style kawaii. Dessiner kawaii n'a pas l'air aussi technique. Je savais que je devais juste apprendre tous les différents éléments constitutifs de kawaii et savoir comment les assembler pour créer mes propres dessins.

05/2019

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12 ans et +

Miss pain d'épices

Je m'appelle : Cannelle. Mon âge : 13 ans. Je suis : rousse. J'aime : Sam, un garçon décalé que ma meilleure amie déteste. Je rêve : d'assumer mes sentiments. Mon problème : j'ai peur de perdre mes amis et de redevenir celle dont tout le monde se moque...

06/2018

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BD jeunesse

Titeuf Tome 5 : Et le derrière des choses

Mes parents m'envoient chez le psychologue à cause de mes notes comme si j'étais malade - des maths- encore que j'ai du bol, parce que Hugo il est malade du français et c'est son père qui le soigne à coup de pied au cul.

11/1998

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Récits de voyage

Mayotte. Carnet de voyage

"J'ai eu la chance de découvrir Mayotte au cours d'une mission professionnelle. Sous le charme, j'ai immédiatement eu à coeur de partager cette expérience avec mon mari dès la mission suivante. Très vite, l'idée d'un voyage en famille a semblé évidente."

11/2021

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Littérature française

Sur la Trace

C'est en me traînant pitoyablement, au prix d'efforts surhumains, qu'enfin, en début d'après midi, après une journée et demie de marche, je m'effondrai devant l'entrée de la grotte. Trois jours auparavant j'avais quitté l'hôtel. Et j'étais mort hier...

10/2013

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CD K7 Littérature

Changer : méthode

"Une question s'est imposée au centre de ma vie, elle a concentré toutes mes réflexions, occupé tous les moments où j'étais seul avec moi-même : comment est-ce que je pouvais prendre ma revanche sur mon passé, par quels moyens ? J'essayais tout", E. L.

09/2021

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Littérature française

Ivresses du fils

" J'ai bu enfin en un seul soir les trois bouteilles de ce morgon dont ma mémoire n'a pas préservé le souvenir, peut-être parce que maman était morte le matin même et que j'avais sombré depuis plusieurs heures dans l'ivresse de son absence. "

03/2004

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Historique

A mains nues Tome 2 : 1922-1954

"J'ai trop longtemps accepté de vivre et de travailler sous la tutelle de mes maris. A présent, j'ai 47 ans et je ne dois plus rien à personne. Ensemble nous allons mener le combat d'une vie : permettre aux femmes d'être indépendantes et fortes".

09/2021

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Littérature érotique et sentim

Fucking life

Et si vous aviez le choix ? Mourir ou vous battre pour vivre... Je m'appelle Larson BIRKE, je vais avoir dix-huit ans et aujourd'hui, j'ai peut-être ce choix. Vous allez me dire que je dois me battre, mais en ai-je vraiment envie ? On le sait tous, la vie ne fais jamais de cadeaux et elle n'a pas été rose pour moi. Alors, si je dis stop, qui va me pleurer ? Mes parents ? Oui, sûrement, et ensuite ? Ai-je vraiment des amis ? Si vous lisez ceci, c'est que je suis sans doute déjà mort, ça veut dire aussi que j'ai osé, j'ai agi, j'ai parlé. On dit toujours que c'est seulement face à la mort qu'on sait si on veut vraiment mourir, on voit défiler notre vie et tout le blablabla... Si je m'en sors, je vous le dirais. Pour la vie comme pour la mort, nous ne sommes pas grand-chose, on doit simplement trouver le juste milieu, vivre en pensant qu'on va tous mourir un jour et mourir en pensant qu'on a bien vécu. Ouais, retenez ça... Personnellement, j'ai des doutes sur ce point, bien vécu... En attendant, c'est ici que je vous explique mon geste, j'ai fait tellement de mauvais choix... Bref, vous êtes prêt ? Certains vont avoir du mal avec ce que je vais vous dire. Bienvenue dans ... MA FUCKING LIFE !

02/2020

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Psychologie, psychanalyse

Née sous X. L'enquête interdite

" A l'âge de 33 ans, j'ai appris que je n'étais pas l'enfant de mes parents. J'avais été adoptée et personne ne me l'avait dit. Mon existence reposait sur un mensonge organisé. Qui étais-je vraiment ? C'est ce que je me suis employée à découvrir, me heurtant de plein fouet à une indécente réalité, celle de la naissance sous X. J'étais née d'une mère qui, en choisissant l'anonymat de l'abandon, m'avait laissée sans racines. La vie ayant fait de moi une journaliste, j'ai enquêté pour retrouver l'identité de celle que l'exception française avait permis d'effacer, allant jusqu'à édicter de faux états civils. Nulle part ailleurs l'accouchement sous X n'existe. Alors, j'ai milité pour qu'il disparaisse. Aux côtés des pupilles et des personnes nées par insémination artificielle avec donneur anonyme, j'ai porté la voix et la souffrance de ceux que l'on a privés de leurs origines. Que nous fûmes des enfants désirés ou subis, nos histoires nous appartiennent. Bien plus, à mon sens, qu'à nos parents dont seules les voix comptèrent. Quatre ans me furent nécessaires pour retrouver ma mère, renouer des liens et écrire mon histoire dans toute sa complétude, généalogique et adoptive... Pour me reconstruire, témoigner et défendre à travers ce livre un message d'espoir et de concorde ".

09/2019

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Religion

Amour et responsabilité. Etude de morale sexuelle

"L'amour ne s'apprend pas, et pourtant il n'existe rien au monde qu'un jeune ait autant besoin d'apprendre ! Quand j'étais jeune prêtre, j'ai appris à aimer l'amour humain. C'est l'un des thèmes sur lesquels j'ai axé tout mon sacerdoce, mon ministère dans la prédication, au confessionnal et à travers ce que j'écrivais. Si l'on aime vraiment l'amour humain, on ressent le besoin urgent de s'engager de toutes ses forces en faveur du grand amour. Nous étions alors dans la période d'après-guerre, et la controverse avec le marxisme battait son plein. Pour moi, la priorité devenait ces jeunes qui frappaient à ma porte. Ils ne venaient pas seulement avec des questions sur l'existence de Dieu, car ils me demandaient surtout comment ils devaient vivre, c'est-à-dire comment ils pouvaient affronter les défis de l'amour et du mariage, les problèmes liés à la vie professionnelle. Les questions posées par ces jeunes, durant la période qui a suivi l'occupation allemande, se sont incrustées dans ma mémoire ; ce sont leurs interrogations, leurs doutes qui m'ont, d'une certaine manière, fait découvrir le chemin à suivre. A partir de l'expérience de ces rencontres, de mon intérêt pour les problèmes de leur vie, j'ai rédigé une étude dont j'ai synthétisé la teneur dans le titre : Amour et responsabilité". Jean-Paul II

01/2014

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Sciences politiques

Au coeur du volcan. Carnets de l'Elysée, 2007-2012

Je me souviens avoir été submergé de bonheur quand, le 14 mai 2007, Emmanuelle Mignon et Claude Guéant, les deux plus proches collaborateurs de Nicolas Sarkozy, m'ont proposé un poste de conseiller au cabinet du président de la République fraîchement élu. J'allais enfin entrer au coeur du pouvoir - sans savoir que ce coeur-là était surtout celui d'un volcan !A l'Elysée, jusqu'à fin 2011, j'ai été en charge de deux dossiers sensibles, essentiels aux yeux du président : la sécurité et l'immigration. Pendant presque cinq ans, j'ai partagé la vie quotidienne de l'équipe du chef de l'Etat, et pris part, auprès de ce dernier, à l'élaboration et à la mise en oeuvre de sa politique. J'ai vécu dans les coulisses plusieurs événements qui ont marqué l'actualité, par exemple la tempête Xynthia, le discours de Grenoble, la réforme des retraites ou l'intervention de la France en Libye. J'ai été témoin d'épisodes demeurés jusque-là confidentiels, comme les visites du chef de l'Etat aux habitants des quartiers sensibles, mais aussi spectateur des réactions, coups de gueule et autres bons mots de figures politiques telles que François Fillon, Alain Juppé, Brice Hortefeux, Roselyne Bachelot, Eric Woerth... Ce furent cinq années intenses, riches en satisfactions comme en désillusions, un quinquennat où j'ai fréquenté, analysé et contemplé une scène politique que je ne pouvais pas une seule seconde imaginer.

08/2014

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Psychologie, psychanalyse

Les racines inconscientes de la prise de risque. Déprogramer nos mécanismes d'autodestruction

Que l'on soit porteur d'un deuil non fait, d'une mémoire de victime ou de bourreau, d'une empreinte de gestation difficile, le problème vient presque toujours d'une distorsion entre notre conscient et notre inconscient. Pour ma part, j'ai passé une grande partie de ma vie à chercher à mourir au plus vite, en appliquant à la lettre le non désir conscient de mes parents. Cela a duré jusqu'à ce que je découvre mon "programme caché". Le voyage extraordinaire que j'ai effectué en remontant mon arbre généalogique m'a montré à quel point j'étais en réalité parfaitement désiré par mes parents et mon clan sur un plan inconscient. Le temps que j'accède à cette information capitale à l'origine de ma salutaire renaissance, j'ai failli mourir une bonne vingtaine de fois. Aujourd'hui, je suis en paix avec la vie. Mais si je suis passé définitivement du noir à la couleur, je n'ai pas pour autant renoncé totalement à la prise de risque. Mon expérience me le permet et j'y prends grand plaisir. Désormais réalisée en conscience, elle a une toute autre saveur. Et surtout, elle n'est plus nécessaire. Le libre-arbitre a opéré son chemin en moi. Cet ouvrage a pour seul but de vous livrer le fruit de mes découvertes. A vous de les utiliser comme bon vous semble...

08/2019

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Critique littéraire

Isaac Bashevis Singer

Isaac Bashevis Singer détestait les biographies : " C'est l'œuvre qui compte, disait-il, pas le bonhomme. " J'ai quand même mis mes pas dans les siens. J'ai tenté de reconstituer ses trente premières années, en Pologne. Je suis allée à Leoncin, sur la Vistule, et à Radzymin, le village de son enfance. J'ai cherché ce qui avait pu échapper à l'enfer nazi, et retrouvé quelques très vieux témoins qui l'avaient connu à Varsovie. J'ai interrogé le fils que Singer avait laissé derrière lui, en Pologne, à l'âge de cinq ans... À New York, j'ai convaincu des femmes qui comptèrent dans sa vie de bien vouloir me parler de lui. À Stockholm, j'ai rencontré ceux qui, en 1978, décidèrent d'attribuer le prix Nobel à ce grand écrivain qui s'exprimait dans " la langue de personne ". Peu à peu m'est apparu, derrière le facétieux fabuliste de l'âme juive, un champion du désarroi physique et métaphysique, l'un des virtuoses les plus modernes de l'angoisse, de l'inhibition et du fiasco. Ce Singer-là est à mille lieues des stéréotypes généralement véhiculés sur lui. Qu'il me pardonne donc cette biographie, qui n'est pas un ouvrage de chercheur, mais une lecture de sa vie. Ce livre contreviendra peut-être à sa conception des écrivains et de la littérature. Mais, après tout, il a bien connu, lui aussi, le plaisir de la transgression. (Florence Noiville)

10/2003

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Ecriture, lecture

Mes premières majuscules bâton

Avec le livre-ardoise Mes premières majuscules bâton, l'enfant découvre et s'entraîne à écrire ses premières lettres majuscules. Le support effaçable lui permet de recommencer autant de fois qu'il le souhaite. Le livre-ardoise Mes premières majuscules bâton accompagne votre enfant dans l'apprentissage de l'écriture de façon simple et progressive. L'enfant découvre et reproduit le tracé de chaque lettre en repassant d'abord le modèle avec le doigt. Puis, il s'exerce avec le feutre effaçable en suivant les pointillés. Enfin, il sera capable d'écrire seul toutes les lettres de l'alphabet. Le support effaçable lui permet de recommencer autant de fois qu'il le souhaite. Dès 4 ans, l'enfant s'approprie le geste de l'écriture et progresse dans l'apprentissage des lettres tout en s'amusant ! Les onglets facilitent la prise en main et le repérage des enfants. Pour mémoriser le geste, l'enfant suit la méthode : je repasse, j'écris, j'efface, j'apprends : Je repasse : je m'entraîne à tracer en suivant le modèle sur l'illustration J'écris : je m'entraîne à tracer en suivant les pointillés, puis tout seul J'efface : je n'ai pas peur de me tromper, je peux recommencer autant de fois que je le veux J'apprends : je sais écrire toutes les lettres majuscules bâton et mon prénom ! Inclus dans cet ouvrage : le feutre effaçable 2 couleurs !

01/2023

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Littérature française

Maman, ta violence a effacé mes rêves d'enfance...

Tout ne peut se dire, tout ne peut s'écrire, les enfances gâchées sont des chefs d'oeuvres, des passés repeints aux couleurs du dé-sespoir. J'ai valsé avec la mort, avec l'angoisse, j'ai imaginé des royaumes dont j'aurais dû être le roi, mais contraint, je me suis con-tenté d'en être un simple vassal, condamné à être "moins" , à être "Petit" , à être "sombre" . J'ai parfois passé du temps à faire plus, à lire plus, à imaginer plus, à apprendre davantage, sans même comprendre que l'on me demandait moins, peu, si peu. Je me suis longtemps regardé avec les yeux de mes éducateurs. Merci à eux de m'avoir ainsi condamné, de m'avoir humilié, si mal entendu, grâce à eux, j'ai pu me hisser hors de l'ombre et courir vers la lumière, j'ai pu comprendre et pardonner. Même dans le pire, rien n'est jamais inutile. L'ennemi, qui a vécu hors de vous, se loge parfois dans le recoin de votre âme, encore faut-il y prêter garde pour qu'il ne surgisse pas une nouvelle fois, à travers vous. La répétition est un risque. Rien n'est grave pour la victime qui arrive à se hisser la tête hors de l'eau, jamais il ne vous tiendra rigueur de vos erreurs, si vous acceptez de reconnaître ce que vous lui avez fait endurer.

05/2014

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Littérature française

Ils ne savent plus dire "je t'aime"

" Le paysage masculin a une portée émotionnelle à laquelle je n'ai pas su résister, d'où ce livre. Au cours de la rédaction de ces textes, j'ai dû admettre que décrire un homme est infiniment plus difficile que décrire une femme, ce qui déjà n'est pas une mince affaire. Lorsqu'on s'approche de l'homme, il fuit, cache ses sentiments derrière une sexualité qui souvent le défigure, se déguise en ce qu'il n'est pas, aggrave son caractère : "Laissez-moi tranquille !" " Mais j'en reviens à la confession que l'âge m'autorise à faire publiquement : j'aime les hommes et, qui plus est, sans les convoiter, ni les envier, ni regretter de n'en être pas un. J'aime les hommes d'un amour complice et fraternel que rien ne ternira jamais, ni leurs défauts, ni leurs faiblesses, ni leur aveuglement, encore moins leurs refus. J'aime les hommes, ce qui ne m'empêche pas de les critiquer et de me moquer de leur lâcheté, car il est indéniable qu'ils ont leur part de responsabilité dans cette dérive des continents. Comme on va pouvoir le constater dans les pages qui suivent, du sarcasme, du scepticisme, je suis devenue l'amie, de la taquinerie aussi. Mes accès de violence ne sont que l'écorce derrière laquelle se cache l'affection douloureuse que je porte au monde. " J. C.

02/2007