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Barbara J. Fields

Extraits

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Poésie

Philoesie

J'attends l'idée de génie... Je l'attendrai jour et nuit... Je lui ai laissé un mot... J'ai noté mon numéro... Au cas où je serais absent... Mais qu'elle sache que je l'attends...

09/2021

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Actualité et médias

Abus de faiblesse

J'ai fait des films, écrit des livres. J'ai pris des coups, souvent. L'hémiplégie a fait de moi un demi-cadavre, mais, de toutes les choses qui me sont arrivées... Christophe Rocancourt fut la pire.

11/2009

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Littérature française (poches)

Première à éclairer la nuit

"J'ai retrouvé cette image en noir et blanc, et je me demande ce que tu sais de moi. Et j'ai écrit ce récit, je crois qu'il en a été ainsi de nous. Peut-être".

10/2016

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Castor Benjamin et cadet

Je suis en CP Tome 32 : A la chocolaterie ! Niveau 3

"Aujourd'hui, la classe de CP visite une chocolaterie. - J'espère que vous aimez le chocolat, dit Maîtresse Julie. - J'adore ça ! répond Tim. - Moi aussi ! dit Mia". 1 histoire + 1 dico mot-image + des activités ludiques.

03/2022

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12 ans et +

Le choix d'une vie

Je n'ai jamais réellement pensé à l'avenir. Faire des plans compliqués et se casser la tête, je laissais ça aux vieux, aux gens ennuyants comme ma soeur. J'avais quinze ans et, à cet âge, on s'amuse ! Ma vie était simple : mon chum, mes amis, des partys, le collège privé. Maintenant... j'ai encore quinze ans, mais tout a basculé. Parce que j'ai fait un test de grossesse et que deux lignes sont apparues. Moi, maman ? Je ne sais même pas comment m'occuper de moi-même, comment je pourrais prendre soin d'un autre humain ? Et pourtant... j'ai décidé d'essayer. D'essayer d'être une adulte, alors que tout le monde me disait que je n'y arriverais pas. La naissance approche et j'ai peur. J'ai tout perdu, j'ai dû quitter le collège, je n'ai plus d'amis. Seulement il y a cette émotion... cette force qui me pousse à croire que ce bébé va changer ma vie en mieux. Mais, sans Marisol, rencontrée dans mon école pour jeunes mères, et sans son frère Sebastian, je doute de pouvoir m'en sortir. La maternité à l'adolescence entraîne son lot de questionnements et de doutes chez la jeune mère, surtout en raison de la pression exercée par son entourage. Il faut beaucoup de courage pour se lancer dans une telle aventure, et le soutien des proches et des intervenants est essentiel pour le bien-être de la nouvelle famille.

11/2019

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Biodiversité, nature

Parmi les arbres. Essai de vie commune

J'ai aimé la littérature, j'ai aimé les sciences, j'ai aimé les arbres, mais pendant des années, je n'ai pas su allier les trois, chacun de ces amours allait son chemin, sans qu'ils ne parviennent à se croiser. Et puis un été dans les Pyrénées, marchant dans la forêt, c'est venu. J'ai eu envie de parler des arbres, parler à la fois de ce qu'ils sont et de comment nous vivons avec eux. J'ai commencé à écrire sur mon téléphone, en marchant, les gens que je croisais sur le sentier devaient me voir en citadin incapable de regarder autour de lui, alors que j'avais enfin trouvé la façon de raconter ce qui était là. Je veux parler de ces êtres extraordinaires avec qui nous partageons la Terre, qui sont vivants comme nous mais d'une autre façon, et avec qui nous avons une relation continue à laquelle nous ne pensum pas assez souvent, tant elle nous imprègne, tant elle est profonde. Nous sommes arboricoles au fond, nous vivons avec les arbres depuis toujours. Alors plutôt que d'en faire des êtres anthropomorphes, j'ai voulu dire leur étrangeté, connue par les sciences, mais aussi notre proximité par des anecdotes qui racontent cette place familière, eux auprès de nous, nous auprès d'eux. En prenant ces deux points de vue que la littérature peut mêler, je veux rendre hommage à ces compagnons de vie, à nos colocataires de la Terre, sans qui nous ne pourrions l'habiter.

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Littérature française

Peur

« Et je compris soudain qu'il m'avait toujours aimée, telle que j'étais, pas parce que j'avais écrit Fruits verts, par parce que j'avais créé Solange, pas parce que je disposais d'une source d'imagination intarissable, mais parce que j'étais telle qu'il me voyait le premier jour, sans un cheveu gris, sans une seule ride, paraissant moins de quarante ans, et qu'il aimait mes yeux, mon visage, mon sourire, le son de ma voix, mes mains et le geste de mon bras, tout simplement parce que j'étais moi, Irina Pavlova. Et tout le reste, les romans à succès, les livres qui l'avaient fait rêver et pleurer, il voulait bien prendre tout cela avec par-dessus le marché. Mais c'était en surcroît, à cause de moi, parce que tout ce bagage littéraire faisait partie de moi, et que c'était moi qu'il avait aimée pendant toute sa vie, pas Solange, mais moi, Irina Pavlova, pas parce que j'avais créé Solange mais tout simplement parce que j'étais moi. » Que ce soit au fil de la relation étrange entre une psychiatre et sa patiente, la vie littéraire et sentimentale d'une auteur septuagénaire, les règlements de compte au parti communiste dans l'Albanie de 1944, ou à travers le journal d'une fausse collaborationniste, Andreas Rosseel sonde nos peurs les plus intimes, les plus universelles, les plus tragiques. Des histoires d'amour et de mort, portées par une bouleversante galerie de portraits féminins, subtils et magnifiques.

12/2014

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Santé, diététique, beauté

Plus forte que la maladie

" La plupart des gens ne se souviennent pas de leur naissance. Moi, si. Parce que je suis née deux fois. À huit mois les médecins ont annoncé à mes parents que j'étais atteinte d'une maladie génétique, une maladie évolutive. Je souffrais d'amyotrophie spinale, ma mort était programmée, je ne dépasserais pas l'âge de trois ans... Et j'ai fêté mes cinq ans. Puis sept. Puis dix. Je n'étais pas décidée à mourir. II faut dire que, les chemins tout tracés, ça n'a jamais été mon truc. Le parcours a été difficile, il a été long, il y a eu des obstacles, il y a eu de la souffrance... Mais surtout il y a eu de la joie, il y a eu de l'amour et des rires. Aujourd'hui j'ai vingt-neuf ans, et de toutes ces années à ne pas pouvoir regarder vers demain, j'ai gardé l'urgence de vivre ici et maintenant et d'aller au bout de mes projets. Et des bâtons qu'on m'a mis dans les roues, des clichés qu'on m'a opposés quand j'ai eu le front de refuser de rentrer dans la case que la société avait prévue pour moi, j'ai gardé la rage de montrer qui je suis : je m'appelle Lucie Carrasco, je suis créatrice de mode, je suis folle amoureuse de l'homme avec lequel je vis, j'ai une famille et des amis fantastiques, et je suis passionnée par la vie. "

11/2010

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Littérature française

FB comme Framboise Bertrand Tome 1 : Saisons 1 à 4

Je suis Françoise Bertrand, enfin Framboise, je vis à Bruxelles, même si je suis née à Nuremberg et que j'ai la nationalité française. J'ai trois compagnons canins : Johnny, Tony et David. Situation amoureuse : CELIBATAIRE. Tous des lâches et des pervers sauf feu papa Kleber. Heureusement que j'ai mon Nono à la Bourboule qui me comprend. Entre lui et moi, c'est comme le bon temps du rock'n'roll, ça colle ! Fan absolue de Sylvie Vartan qui est pour moi la plus grande artiste au monde, j'adore cuisiner des tartes aux citrons, marcher avec des talons vertigineux et manger de la brioche (je ne mange jamais de pain). J'ai une famille envahissante. Maman vit à Niort dans une maison de retraite et boit du Pinot. Elle ne jure que par ma soeur Yveline qui se prend pour une princesse ! Mais je sais qu'elles me jalousent en secret, comme mes deux cousines Fêtenat la voleuse de mari et Thérèse la postière du Nord. Par chance, je peux compter sur le soutien de Christiane, ma copine moche, et Joyce, ancienne meneuse de revue au Perroquet Bleu que j'ai connue là-bas quand je servais des verres. Situation professionnelle : c'est compliqué. Mais je garde le moral ! Car je suis une Bertrand ! Belle, digne et chic ! C'est la raison pour laquelle j'ai décidé aujourd'hui de réunir les messages de mon compte Facebook dans ce recueil, afin de vous aider, vous aussi, à prendre votre Destin en main. Vive la France ! Vive Pompidou ! Vive moi ! F.B

05/2017

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Histoire de France

Dunkerque, 1940. Une tragédie française

"J'avais 10 ans en 1940, quand éclata la première grande bataille de la Seconde Guerre Mondiale, en France. Elle se termina par la victoire du dictateur allemand Adolf Hitler. A Dunkerque, où je vivais. J'avais 10 ans, et je rêvais, je voulais, je croyais que les Français allaient gagner, comme ils l'avaient fait vingt ans plus tôt, sur la Marne et à Verdun. Mais j'ai connu le drame d'une défaite comme mon pays en avait rarement subi. Et j'étais au coeur de cette bataille. J'ai vu alors les troupes anglaises la quitter, pour rentrer chez elles. J'ai aussi assisté, dans ma rue, aux tristes défilés de milliers de prisonniers français dont bon nombre avaient protégé ce départ, en luttant jusqu'à la dernière nuit, au soir du 3 juin. Depuis, j'ai toujours cherché à comprendre les raisons et le sens de la tragédie de Dunkerque, fouillé bien des archives. C'est pourquoi, je veux apporter ici mon témoignage et le résultat de mes recherches." C'est avec ces mots que s'ouvre le livre de Jacques Duquesne. Mêlant la grande histoire aux souvenirs de son enfance à Dunkerque, il raconte avec le talent qu'on lui connaît cette tragédie oubliée, enfouie dans les mémoires par les quatre années de conflit qui suivirent. Face aux Allemands, irréductibles et impétueux, la défaite des Alliés fut particulièrement cuisante. Quel jeu jouèrent vraiment les Anglais ? L'ultime polémique de cette guerre est-elle toujours d'actualité ?

06/2017

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Troubles féminins

Les Invisibles - Volume 2. Chroniques de l'endométriose

Suite directe du premier volume Les Invisibles, visages de l'endométriose, les chroniques reprennent les soixante-quatre témoignages de ces femmes vivant avec la maladie. Lisons-les, écoutons-les, voici leurs voix... "J'ai l'impression d'avoir le corps de quelqu'un de soixante-dix ans ! Au niveau des douleurs, enfin de la digestion, c'est un peu comme si j'avais un petit monstre du Loch Ness qui passe dans mon corps quand je digère. Enfin, c'est ce que je ressens et c'est ce que j'ai dit au médecin. J'ai la sensation d'être pourrie de l'intérieur, que tous mes organes sont pourris". "J'ai vu plusieurs gynécologues : autant il y en a qui étaient au courant de ce qu'était l'endométriose, d'autres pas du tout. J'ai vu beaucoup de spécialistes qui m'ont dit que c'était du cinéma, que j'exagérais les douleurs, qu'une femme vu qu'elle pouvait accoucher, elle pouvait supporter les règles". "Si je devais donner un mot à l'endométriose, je dirais que c'est un cancer qui n'en n'est finalement pas un, mais qui fait autant de dégât. C'est-à-dire qu'on ne le voit pas, mais on le sent à l'intérieur". C'est notre mère, notre soeur, notre copine, notre femme, notre collègue, notre voisine, la femme que nous croisons dans la rue... L'endométriose et l'adénomyose nous concernent tous. Ensemble, rendons visible l'invisible !

03/2022

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Affirmation de soi

Deviens un aimant social. En finir avec la peur du regard des autres

Vous n'osez pas aller vers les autres ? Vous pensez qu'être à l'aise en public est réservé à une infime partie de la population ou que discuter facilement avec n'importe qui relève de l'impossible ? Sachez que c'était aussi mon cas. Et croyez-moi, j'étais bien plus timide que vous. Pourtant, aujourd'hui, j'arrive à discuter avec des inconnus dans une rame de métro, à jouer sur scène devant plus de 2 000 personnes, et même à appeler une pizzeria sans stresser. Ce n'est pas une blague. Il n'y a pas si longtemps, le simple fait de passer commande par téléphone me terrifiait ! Pendant des années, ma timidité m'a limité dans tout ce que j'entreprenais. Pour y remédier, j'ai décidé de me former aux règles subtiles de la psychologie : j'ai observé les interactions de nombreuses personnes ; j'ai appris le fonctionnement du cerveau humain et de ses mécanismes de défense ; je me suis entraîné à parler à des inconnus en testant différentes approches. Ce sont toutes ces connaissances et toutes mes expérimentations que j'ai réunies dans ce livre. Grâce à lui, vous éviterez bon nombre de galères. La méthode que je vous propose s'appuie sur des exercices faciles à mettre en oeuvre et des conseils bienveillants. Vous apprendrez ainsi, étape par étape, à réduire votre peur du regard des autres et à oser entrer en contact avec n'importe qui. Je suis devenu un aimant social et ma vie a littéralement changé. C'est à votre tour !

03/2024

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Ouvrages généraux

Entrée en Matière

Ayant été aux prises avec un pervers narcissique que j'avais initialement pris pour un ami, j'ai dû trouver une tangente pour ne pas me laisser gagner par la violence induite, sombrer dans le passage à l'acte. M'étant aperçu, dans ses regards et attitudes, de ce que ses manigances lui procuraient une jouissance, j'ai commencé à interroger cette formule " Jouir sans entraves" que j'avais proférée quelques années auparavant. Pendant trois ans, à tout moment, je jour ou la nuit, je notais les idées de passages, sans ordre ni projet précis. Petit à petit, reportant régulièrement mes notes dans un fichier, j'ai vu apparaître un fil conducteur, un texte qui en est arrivé à ces 172 pages, d'une traite et sans chapitre. Je me suis avéré de ce que les provocations de ce pervers m'avaient finalement poussé à m'extraire d'une forme de naïveté protectrice qui me collait depuis l'enfance, et à transformer ma perception de l'humain, accueillant la conflictualité fondamentale. Il s'agit alors là d'une sorte de "droit d'inventaire" sur les idées émises par ma génération il y a quelque cinquante ans, écrit bien plus tard dans une perspective jungienne, que j'ai voulu sans section en chapitre, comme une rivière qui s'écoule. L'écriture est, parfois, une dynamique autonome, qui guide la main qui la révèle plus qu'elle ne se laisse guider par elle. J'ai décidé de clore ce texte le jour de mes 70 ans pour le voir, aujourd'hui publié chez Terre Noire.

06/2024

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Policiers

Triviale poursuite

L'heure aurait pu être grave, heureusement mon verre est plein. L'amour de ma vie s'est barré. J'ai plus qu'un seul bras et ma tumeur court toujours. Je déprime. Je vais au rendez-vous qu'un inconnu me donne et là, blackout. Je me réveille à l'hosto, j'ai deux bras, plus de tumeur et on m'accuse de meurtre... Pas comme si j'avais eu du bol depuis ma naissance mais bon. C'est quoi, cette embrouille ?

05/2019

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Poésie

Fleurs, épines, et frissons...

Un recueil de poèmes dans Les cendres du passé... J'ai dit à mon coeur d'attendre, pour écouter mon passé Et à mon esprit de comprendre, tout le vrai et le faussé ; J'ai dit à mon coeur d'attendre, pour ne plus me fatiguer, Le temps de cacher les cendres, des restes des feux du passé ; J'ai dit à mon coeur d'attendre, dans ce présent des pensées Et au futur de comprendre, cette façon de consoler.

03/2016

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12 ans et +

Arsène

Pour vous dire à quel point c'est un genre de fille fantastique, elle a tellement beuglé des insultes que je les ai toutes entendues malgré la musique. Tout de suite j'ai pigé que cette fille-là c'était forcément un numéro 10. Alors j'ai pensé à Arsène Wenger, qui est mon maître, et je me suis dit : cette fille-là, minimum, elle mérite de s'appeler Arsène. Et c'est ce que j'ai fait. Je l'ai appelée Arsène.

09/2012

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Littérature française (poches)

Fables

"Pourquoi n'écris-tu plus de pièces ? " M'a demandé Nicolas tout de go, Moi qui me crois Victor Hugo, OEuvrant, face à la mer dans ma petite pièce, Sur son rocher de Guernesey(La conjoncture politiqueRappelant, par ailleurs, le règne de la trique), Je réponds, supérieur : "Non, vois-tu, cet été, J'ai décidé(J'ai l'air badin et amusé -Ca me va bien) que j'écrirais plutôt des fables". "Tu m'en montres une ? " - "Elles ne sont pas pour enfants".

12/2002

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Théâtre

Montaigne, Shakespeare, mon père et moi

Mon père m'a laissé en héritage Les Essais de Montaigne. Cc livre a accompagné sa vie comme, ensuite, il a accompagné la mienne. Sur la plage de mon enfance, qui est ma première scène de théâtre, j'ai voulu retrouver leurs traces à tous deux, jouer avec leurs contradictions, leurs mots. J'ai voulu qu'ils rencontrent Shakespeare, qui dans La Tempête a cité Les Essais. J'ai voulu le faire librement, "comme un cheval lâché, à sauts et à gambades.

03/2010

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Livres 3 ans et +

Pareil pas pareil. La déficience intellectuelle

Je m'appelle Henri et j'ai 4 ans. Il y a quelques mois, mes parents m'ont annoncé qu'Hubert, mon frère jumeau, irait dans une école spécialisée. J'étais très en colère, car je voulais aller à la même école que lui. Je ne pouvais pas m'imaginer qu'on soit séparés toute une journée. J'ai expliqué à mes parents que je pouvais jouer aux mêmes jeux qu'Hubert. Moi aussi, je savais faire des activités pour les petits...

05/2014

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Littérature française

Salut la vie - harcelement et handicap

Ce livre résume tout ce que j'ai pu vivre au moment du collège quand je suis arrivé dans le Loiret. Les moments de solitude, la tristesse enfouie, refoulée. Je ne me reconnaissais plus, je ne voulais plus rien faire ; j'ai appris à souffrir comme un martyr. Ce n'était rien comparé à ce que j'allais encore subir. Je vous laisse dans ce décor sombre et effroyable, cependant, il y avait tout de même certains moments plutôt touchants. Bonne lecture.

01/2022

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Policiers

Ethique de l'assassin

Parce que dans les rues de Pau ou de Bordeaux, des criminels, des lâches, continuent leurs exactions en toute impunité, il est temps pour lui de révéler sa propre éthique. "J'ai dégénéré mon âme. J'ai touché tous les fonds. Je pense comme eux, comme ceux dont j'écourte l'insignifiante vie. Mais la violence interdite, je l'emploie pour sauver. Les pompiers étouffent bien les feux criminels". Un roman trouble qui nous invite à partager les rares confidences d'un assassin.

02/2018

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Littérature X

A coeur perdu Tome 1 : Tu m'as blessé

Je ne suis pas un homme romantique, cela est pour les faibles. Moi, je suis égoïste, j'aime détruire et faire mal, j'ai été élevé comme ça, et ça ne changera pas. Les femmes ont peur de moi, et j'adore ça. Cela me donne un sentiment de puissance incroyable. Depuis peu, ma seule obsession se nomme Camille, et je ne compte pas la lâcher tant qu'elle ne sera pas devenue mon esclave sexuelle. Que la chasse commence !

07/2021

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Littérature française (poches)

Les Invités du Bon Dieu. 3 actes

"- J'ai été volé, j'ai été roulé, mes amis sont des jean-foutre, mes voisins sont des canailles. Ma famille ? Un ramassis d'idiots, de malotrus et de sauvages. J'ai perdu tous mes procès ; le gouvernement m'a ruiné. L'occupation m'a ahuri, le débarquement m'a surpris, et la guerre qui s'est refroidie, mais qui n'en finit pas avec ses changements de température, me fatigue... Mais je n'ai jamais cessé d'être un amoureux".

10/1978

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Littérature française (poches)

Petit éloge de la mémoire. Quatre mille et une années de nostalgie

" C'est le plus lointain, celui que j'aime à explorer, qui me donne le plus de frissons. Ecoutez-moi raconter mon pays, l'Egypte, la mère du monde. Remplissez bien votre clepsydre, le voyage compte quatre mille et une années et il n'y a pas de halte. Jadis, en ces temps forts lointains, avant la Malédiction, j'ai vécu en Egypte au pays du Pharaon. J'y suis né et c'est là que je suis mort, bien avancé en âge... "

01/2007

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Mondes fantastiques

L'héritière des abysses

Mon nom est Ana Dakkar. L'océan est mon élément. Il y a quelques minutes à peine, j'étais une simple étudiante de deuxième année à l'Académie Harding-Pencroft, réputée pour former les meilleurs biologistes et explorateurs marins au monde. A présent, je fais partie des rares survivants d'une attaque dont j'apprends que j'étais la principale cible. Mes ennemis savent-ils que je suis la seule à pouvoir retrouver le secret le mieux gardé des océans : le Nautilus ?

09/2023

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Littérature érotique et sentim

D'un trait

Je m'appelle Léa, j'ai 17 ans. Hier, un pensionnat, une lycéenne, une jeune prof : les ingrédients parfaits d'une rencontre convenue. Mais dans ma vie, tout n'est pas si prévisible. Aujourd'hui, une chambre, une plage, un cerf-volant qui caresse l'horizon... le bonheur tient parfois à un fil. Si seulement j'avais la force d'oser. Demain, j'ai l'impression d'avoir trouvé ma voie, il ne me reste plus qu'à trouver les mots...

04/2010

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Littérature française

La maladie du sens

" ... il avait fait de moi le miroir grâce auquel il se voyait exister. Il était devenu si impersonnel que j'étais la preuve de sa personne. Il s'apercevait lui-même en venant vers notre lit, où il entrait en me priant de murmurer son nom. Il me surprenait chaque fois par cette demande car j'avais tout naturellement pour lui des syllabes plus amoureuses. Il disait : Appelle-moi par le nom que tu tracerais sur une enveloppe si j'étais absent. "

04/2001

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Poésie

Aimer & faire l'amour

"classiquement jusqu'à sept ans j'ai cru qu'on faisait des bébés en s'embrassant avec la langue j'ai longtemps imaginé que toute fille n'aimait jamais qu'un seul homme je remarquais aussi qu'elles aimaient souvent les mêmes du coup certains gars ne savaient plus comment gérer leur énorme agenda de filles j'aime ces petits mots inavouables que tu dis dans l'amour et qui font de nous deux animaux à la fois tendres et violents"

03/2020

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Littérature française

Sans appel

Ce même soir, je reçus un SMS. Quelqu'un savait ! J'avais effacé ce message qui m'avait rattrapée dans mon intimité, écrasant le baiser léger et enivrant que Gilles avait posé sur mes lèvres, tôt dans la matinée. Il m'emplissait encore quand j'avais consulté la messagerie. J'avais eu peur. Un mot, un seul, "salope" , il donnait un relief abrupt et infranchissable à la vie que je menais, depuis plusieurs mois. Pierre savait. Bien sûr qu'il savait !

10/2014

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Littérature française

Bois le vent d'Horizons Lointains - Have a drink of Faraway Winds

J'ai relu "L'Usage du Monde" de N. Bouvier, j'ai pensé que j'avais aussi plein de souvenirs, inspirants, éclairants, éblouissants, de mon voyage en stop vers les Indes en 1969 ; et que je pouvais les faire revivre pour vous. I reread "The Way of the World" of N. Bouvier, I thought I had too a headfull of souvenirs, inspiring, vivid, dazzling, of my 1969 travel, hitchhiking towards the Indies ; and that I could bring them back to life, for you.

11/2017