Recherche

Barbara J. Fields

Extraits

ActuaLitté

Histoire internationale

Algérie 60. Mascara-Sétif. 1er janvier 1960-16 février 1961

En rentrant d'Algérie en février 1961, j'ai écrit à chaud ce simple témoignage, afin de me libérer des quatorze mois passés dans ce pays en guerre comme sous-lieutenant. J'ai enfoui ce manuscrit dans ma cantine sans l'avoir lu. Au bout de cinquante ans, l'aînée de mes petites-filles m'interrogeant sur la manière dont j'avais traversé les événements, j'ai eu la curiosité de le reprendre et de le lire pour la première fois. Il ne m'est pas tombé des mains. C'est pourquoi je le soumets aujourd'hui au public. J'ai changé les noms des militaires et aussi des civils d'origine européenne, la guerre étant un drame qui, dans ses continuelles et fatales transformations, échappe vite à tous ses acteurs.

01/2012

ActuaLitté

Littérature française

Bella Ciao

Myléna en avait assez. Je n'ai pas attendu qu'elle me largue, c'est moi qui suis parti. Au bord de l'océan, pour en finir. Quand j'ai repris pied sur le rivage, j'étais dessoûlé, nu comme une bête et ne possédais plus rien. Passé un rideau de pins, on voyait des vignes. J'y ai trouvé un emploi d'ouvrier agricole. Franck ne m'a pas épargné, avec lui on ne prend guère de gants. Les mains deviennent comme des pelotes d'aiguilles. J'ai continué à boire. J'ai appris cependant à travailler sans relever la tête. Est-ce ainsi que les hommes vivent? Oui, s'il y a un espoir au bout. Le mien était de regarder mes enfants en face. Et de reconquérir ma belle.

08/2009

ActuaLitté

Histoire internationale

Le sens d'une vie. Du cauchemar nazi au rêve américain

"Parfois, quand j'observe mon reflet si ordinaire dans un miroir, ce que je vois me surprend. En toute franchise, je suis souvent tout aussi surpris d'être encore en vie — et d'avoir vécu une vie aussi heureuse et comblée. Cependant, lorsque j'essaie de remonter à l'année 1945 et de déceler ce qui se trouve au-delà de mon reflet, c'est le visage d'un squelette ambulant que je revois. [...] Je me trouvais donc aux Etats-Unis. J'étais un rescapé de la Shoah, un réfugié, un blanc-bec inexpérimenté. Je n'avais ni diplôme, ni métier, ni revenu. J'étais incapable de lire ou de prononcer un seul mot d'anglais. En résumé, j'étais le candidat idéal pour poursuivre le rêve américain ! "

06/2019

ActuaLitté

Littérature française

Chère Mamie

Chère mamie, J'espère que tu vas bien, et surtout que tu es assise. Il y a plus d'un an, j'ai commencé à t'écrire des petites cartes sur les réseaux sociaux. Des chroniques du quotidien décalées, rédigées en gloussant. Je ne m'attendais pas à ce que mes aventures deviennent un vrai rendez-vous... Alors une idée a germé : et si ces rires partagés devenaient utiles ? J'ai immédiatement pensé à l'association CéKeDuBonheur, dont j'aime la philosophie et l'engagement. Dans ce livre, tu trouveras plein d'inédits. Des photos pour illustrer. Des grands bonheurs, des petits malheurs, de la vie. Tu m'as donné l'amour des mots, j'ai hâte que tu découvres ceux qui te sont destinés. Gros bisous à toi et à papy,

10/2018

ActuaLitté

Télévision, radio

33 ans avec vous

Ce n'est pas sans un énorme pincement au coeur qu'on quitte la présentation d'un journal télévisé comme " Le 13 heures ". Aujourd'hui, j'éprouve de la fierté mais aussi ce curieux sentiment d'abandonner ceux avec qui j'ai déjeuné chaque jour durant toutes ces années à 12 h 58 très exactement, au point que j'avais l'impression de faire partie de leur vie... Maintenant que j'ai décidé de tourner la page, avec la faiblesse de croire que mon " 13 heures " n'était pas un JT comme les autres, je veux raconter la passion que j'ai mise dans ce métier qui me l'a rendu au centuple. Une façon de vous faire partager mon bonheur d'avoir passé 33 ans avec vous.

02/2022

ActuaLitté

Poésie

Ceux que l'on oublie difficilement. Précédé de Fumées

Le soir du 23 juin 1908 Takuboku entre dans une période de création exceptionnelle : "La nuit dernière, écrit-il dans son journal, j'ai commencé d'écrire des tankas avant d'aller me coucher. Mon enthousiasme s'est accru d'heure en heure et j'ai écrit toute la nuit. A l'aube j'ai été me promener dans le cimetière du temple d'Honmyoji, ce qui m'a beaucoup rafraîchi. Mon enthousiasme a continué, et j ai composé plus de 120 tankas depuis hier soir jusqu à 11 h ce matin." Le lendemain il note encore : "Dans ma tête tout est tanka. Tout ce que je vois et tout ce que j'entends devient tanka. Aujourd'hui j'ai composé 141 tankas jusqu'à 2 h du matin. Quarante d'entre eux concernent mes parents. En les écrivant, j'étais en larmes." Beaucoup des tankas écrits durant ces moments seront repris dans les deux ensembles ici publiés, parus à l'automne 1910, notamment : "Je murmure mon nom / comment revenir aux larmes / de mes quatorze ans." Trois mois plus tard, le 9 janvier 1911, Takuboku écrit à l'un de ses anciens camarades de collège, Fukashi Segawa : "Cela ne me gêne pas si pendant des jours ou des mois je n'ai pas envie d'écrire des tankas. Cela me laisse indifférent. Mais, parce que je suis obligé de mener une vie quotidienne insatisfaisante, il devient souvent impératif de chercher la preuve de mon existence en devenant conscient de mon moi à chaque instant. C'est à ces moments-là que j'écris des tankas. Je me console un peu moi-même en changeant le moi en mots et en les lisant. [...] Tu vois, même si j'écris maintenant des tankas, je souhaite devenir un homme qui n'a pas besoin d'en écrire." Le 4 février suivant, il est admis à l'hôpital universitaire de Tokyo pour une péritonite chronique liée à la tuberculose qui l'emportera. Durant les douze mois qu'il lui reste à vivre, il écrit le Jouet triste. "J'écris des tankas, avait-il noté, parce que j'aime la vie. J'écris des tankas parce que je m'aime plus que toute chose. Certes le tanka mourra. Je ne veux pas faire de la théorie, il s'effondrera de l'intérieur. Mais il ne mourra pas d'ici longtemps encore."

11/2017

ActuaLitté

Littérature française

Harper

Je crois que quelque part, je t'écris pour expier ce que j'ai fait, en espérant qu'un jour tu puisses comprendre et que tu trouves la force de me pardonner. Il faut que tu saches que j'aurais pu donner ma vie pour toi. Il n'y a pas de quoi être spécialement fier de mes actes et je ne suis pas un enfant de choeur, mais j'ai eu l'audace d'aller jusqu'au bout. Je n'ai pas pu rester dans la légalité, j'ai dû emprunter des chemins parfois obscurs et employer des méthodes dont personne ne peut se vanter. Il m'a fallu fuir Détroit pour le Mexique. C'est comme ça, qu'est-ce que tu veux... Si je viens à disparaître avant le jour J, si je me fais serrer et que le dénouement m'échappe... On pourra dire de moi que j'ai été un sale type, un violent lunatique, un perdant pétochard et même un escroc sans scrupules. Mais toi qui poses les yeux sur mes mots, tu sauras que j'avais de bonnes raisons et que la vérité nous appartient. Tu sauras que je ne regrette rien et que si c'était à refaire, pour Toi.

06/2022

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Les rives de la mémoire

Des mémoires mêlant souvenirs, portraits élogieux et cinglants, réflexions actuelles à la lumière du passé. Un témoignage rare de l'insatiable curiosité du journaliste. " J'ai grandi à Oran, une ville inondée de soleil, que j'ai plus tard appris à aimer. Adolescent, je ne rêvais que d'en partir. Quitter cette Algérie française sans horizon. Vivre à Paris. Voyager. Le journalisme, où je m'engageai par hasard, fut un moyen inespéré d'assouvir ma curiosité. J'ai été témoin, parfois acteur, des bouleversements vertigineux qu'ont connu la France et le monde. Combat pour l'émancipation des femmes, prémices de l'écologie, révolutions technologiques. J'ai parcouru une planète longtemps coupée en deux par la guerre froide. Aujourd'hui, de puissants antagonismes continuent de la traverser, tandis que nous basculons dans une nouvelle époque. J'ai interrogé des écrivains, des artistes, de grands dirigeants français et étrangers. Je les ai vus dans le doute, le désarroi, toujours dans la solitude du pouvoir et de la création. J'ai admiré leur courage et senti leur obsession de laisser une trace. Ces rives de la mémoire sont aussi peuplées de celles et ceux qui ont le plus compté pour moi tout au long de ce périple. " J-P. Elkabbach

10/2022

ActuaLitté

Beaux arts

Tout mon temps. Révisions de ma mémoire

" L'Histoire se charge de vous apporter des scénarios que Personne n'aurait imaginés. Quand j'ai publié, il y a un quart de siècle, J'ai cru au matin, je croyais en avoir fini avec le communisme dont je m'étais séparé après 1968 et d'autant mieux que j'annonçais à la dernière page que le Parti-État soviétique ne serait pas éternel. Sa chute a mis au grand jour les secrets les mieux gardés du parti auquel j'avais adhéré au moment de son interdiction, en septembre 1939, et a changé - parfois radicalement - l'éclairage des crises que j'y ai vécues. Le lycée Henry-IV avait ouvert au gamin de banlieue que j'étais l'enseignement de l'Histoire et, fait plus rare, de l'art. J'y ai trouvé l'oxygène de ma survie intellectuelle durant mes années de prison et de déportation à Mauthausen mais aussi quand, face au stalinisme, je me suis divisé entre ma complicité avec Picasso et mon rôle aux Lettres Françaises auprès d'Aragon. Tout mon temps retrace l'expérience de ma réunification à travers mes livres, ma passion pour l'art, mes combats au côté des dissidents de l'Est et la reconquête de ma liberté. ". P Daix.

01/2001

ActuaLitté

Histoire ancienne

Nouvelle histoire de l'Antiquité. Tome 1, La Grèce préclassique, des origines à la fin du VIe siècle

Nouvelle histoire de l'Antiquité 1. Jean-Claude Poursat, La Grèce préclassique. Des origines à la fin du VIe siècle 2. Edmond Lévy, La Grèce au Ve siècle. De Clisthène à Socrate 3. Pierre Carlier, Le IVe Siècle grec. Jusqu'à la mort d'Alexandre 4. Pierre Cabanes, Le Monde hellénistique. De la mort d'Alexandre à la paix d'Apamée (323-188 av. J. -C.) 5. Claude Vial, Les Grecs. De la paix d'Apamée à la bataille d'Actium (188-31 av. J. -C.) 7. Jean-Michel David, La République romaine. De la deuxième guerre punique à la bataille d'Actium (218-31 av. J. -C.) 8. Patrick Le Roux, Le Haut-Empire romain en Occident. D'Auguste aux Sévères (31 av. J. -C. -235 apr. J. -C.) 9. Maurice Sartre, Le Haut-Empire romain. Les provinces de Méditerranée orientale. D'Auguste aux Sévères (31 av. J. -C. -235 apr. J. -C.) 10. Jean-Michel Carrié, Aline Rousselle, L'Empire romain en mutation. Des Sévères à Constantin (192-337) Jean-Claude Poursat Ancien membre de l'Ecole française d'Athènes, il est professeur honoraire d'archéologie et de civilisation antique à l'université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand.

04/1995

ActuaLitté

Littérature française

Le lac étincelant

En sortant de chez le médecin, j'étais si déprimé que je ne me sentis pas le courage de retourner directement dans mon sombre et minuscule appartement exposé plein nord. Je décidai alors de marcher en ville. Si je n'emploie pas le terme flâner c'est que, vraiment, cette marche, pour ainsi dire forcée, ne correspondait en rien à l'idée de plaisir que suggère une promenade. En fait, je ne savais plus où aller. En moins de six mois, j'avais perdu mon emploi, ma petite amie, et voilà que maintenant ma santé chancelait. Si le médecin avait tout fait pour se montrer optimiste, je sentais qu'il ne croyait pas plus que moi à ma guérison. Sans trop savoir où j'allais, sans envie, la tête vide, je me dirigeai machinalement vers une rue que je savais animée. Pourquoi elle plutôt qu'une autre ? Je n'en sais rien. Sur un étroit trottoir, j'avançai, les yeux dirigés vers le sol. Levant la tête, j'avisai une boutique que je n'avais jamais remarquée, alors que j'avais le sentiment de bien connaître ce quartier. Sans doute était-elle installée depuis très peu de temps. Je dépassai le magasin après y avoir jeté un oeil indifférent. Puis, tel un personnage de dessin animé de Tex Avery, je reculai subitement, car quelque chose dans la boutique avait attiré mon attention. Ce faisant, je heurtai quelqu'un. - Excusez-moi, dis-je, j'avais vraiment la tête ailleurs. J'espère ne pas vous avoir bles... Je m'interrompis, saisi par la beauté de la femme que j'avais bousculée. Grande, mince, élancée, c'était une très belle Italienne aux très longs cheveux noirs qui portait une jupe très courte révélant des jambes parfaites. Son visage me rappelait une figure que j'avais admirée sur plusieurs tableaux ; le plus ancien remontait au XVIIe siècle, mais j'aurais été incapable de nommer ceux qui les avaient peints. C'était manifestement la propriétaire du magasin. Cet ouvrage a obtenu le "Prix Fantastique 2015" du Cercle Littéraire Catherine de Médicis.

04/2022

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Moins bête

Aujourd'hui, j'ai appris que le soleil était une étoile : c'est le shérif du ciel. Aujourd'hui, j'ai appris à boire à la bouteille : je me suis rafraichi les chaussettes. Aujourd'hui, j'ai appris que mes parents s'aimaient avant ma naissance : c'est un peu ma préhistoire. Et toi qu'as-tu appris aujourd'hui ?

09/2019

ActuaLitté

Littérature française

Nicolas Pages

Voilà l'histoire : on s'est rencontrés. J'aurais voulu qu'il m'aime. Qu'il me sauve. Mais, ça n'a pas marché. Ça n'a... pas été possible. Bon. Très bien. Alors... qu'est-ce que je pouvais faire ? Sauver les arbres, les enfants, les gens, le monde ?... J'avais déjà des dispositions. Allez, allez... Mais j'anticipe.

08/1999

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Une année studieuse

"Un jour de juin 1966, j'écrivis une courte lettre à Jean-Luc Godard adressée aux Cahiers du Cinéma, 5 rue Clément-Marot, Paris 8e. Je lui disais avoir beaucoup aimé son dernier film, Masculin Féminin. Je lui disais encore que j'aimais l'homme qui était derrière, que je l'aimais, lui. J'avais agi sans réaliser la portée de certains mots".

11/2013

ActuaLitté

Littérature française

La fille du père

"Je pense que nous allons nous fâcher ! J'ai dit cela. Sans haussement de voix, sans geste d'hystérie. Papa, je pense que nous allons nous fâcher. J'ai soutenu ton regard jusqu'au dernier mot, je venais de dire ce que toujours j'avais su, ce que je pense que nous savions tous les deux. Nous allions nous fâcher".

08/2020

ActuaLitté

Humour

Ma vie, mon oeuvre, mon scooter. Les faux mémoires du prince Jean

" C'est un livre que j'ai longtemps mûri : l'idée m'en est venue quand j'avais trois ans et demi, pendant que mon père cassait des cailloux en Allemagne, du 9 au 16 novembre 1989. Simplement, pour le publier, j'ai attendu de savoir écrire et d'être légitime - parce que moi, je ne veux pas du soupçon. " Jean Sarkozy.

12/2009

ActuaLitté

Autres collections (9 à 12 ans

Noonah, fille du Grand Nord

"Les patins sifflent. J'aime le chant du traîneau sur la banquise. J'abaisse ma capuche fourrée pour mieux voir l'aurore boréale se déployer sur l'horizon. Je suis Noonah et j'appartiens au peuple des Inuit". Noonah a dix ans et des envies d'aventure. Avec elle, partez à la découverte du Grand Nord et de sa nature sauvage.

08/2022

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Manikin 100

"J'aimerais que Manikin 100 rende Manikin 101 inutile et décourage mes élèves les plus ambitieux, J'aimerais que Manikin 100 soit un tel achèvement que l'art du mannequin ne puisse plus être derrière qu'une longue décadence avant la mort, J'aimerais qu'en le regardant, tu puisses dire, toi, Nicholas, Mon maître a fait quatre-vingt-dix-neuf ébauches."

01/2019

ActuaLitté

Lecture 9-12 ans

Le courage d'être moi

"J'ai regardé mon téléphone. "Tu es NUL. PERSONNE ne veut être ton ami." J'ai dû m'asseoir, je me sentais mal. C'est là que j'ai pensé à Ulysse, quand il dit au Cyclope que son nom est Personne. Je me suis dit : des fois, Personne, c'est Quelqu'un. C'est alors que Manon est entrée dans ma vie."

09/2018

ActuaLitté

BD jeunesse

Alta Donna Tome 3 : Même pour une rêveuse comme moi...

J'ai toujours pensé que j'avais une imagination débordante, mais là, j'ai encore du mal à me remettre des révélations d'Ines et de Damiano ! Et dire que je me plaignais de vivre dans une ville trop tranquille alors qu'en fait, Alta Donna recèle tout ce dont j'ai toujours rêvé ! Mais comme d'habitude, quand on franchit les limites, il faut assumer les conséquences. Même quand on est une rêveuse que la réalité ennuie. Alors, suivez-moi pour découvrir la fin de cette aventure. Il reste encore pas mal de dégâts à réparer !

09/2009

ActuaLitté

Girls

Textos et Cie T09. Des projets plein la tête

Mon corps est DOULOUREUX. J'ai le coeur EN MIETTES. Si ça continue, ma tête va EXPLOSER ! Jamais je n'aurais pensé vivre une Saint-Valentin aussi dramatique. J'essaie de rester positive, mais j'ai l'impression que je ne serai plus jamais heureuse. Et si Enzo avait raison ? Et si la solution était de me tenir occupée pour me sentir mieux ? Le problème, c'est que rien ne m'intéresse. Sauf peut-être cette idée folle qu'il me propose... OUI ! Ca y est ! Il n'en faut pas plus pour que j'aie des projets plein la tête !

02/2022

ActuaLitté

Récits de voyage

Partir

Le voyage est le plus beau regard que la vie m'ait offert sur le monde. J'évoque dans cet ouvrage une décision que j'ai prise et qui a changé ma vie. Le voyage, notre premier voyage reste en nous, pour toujours. J'ai voulu l'écrire pour que cette histoire et ses sensations vivent toujours. "J'ai cette impression d'avoir attendu cela toute ma vie, l'envie de partir. De voir tout plus grand, de ressentir tout plus fort. Comme si ce besoin était ancré en moi depuis toujours. Comme un besoin primitif, une raison de vie."

12/2018

ActuaLitté

Littérature française

Un jour à l'aube. Viens ma chérie, viens voir maman...

"J'ai vu des montagnes recouvertes de neige, j'ai senti l'air pur pénétrer dans mes poumons et j'ai touché du bout des doigts le givre qui cristallisait les vitres de ma future maison. J'ai cliqué sur le lien et une annonce s'est détachée parmi les autres. ". . Pour échapper à sa solitude, Julia décide de s'offrir une nouvelle vie, un nouveau départ. Toutefois, c'est sans compter avec le cauchemar de son enfance, qui continue de la hanter, et les pleurs qui, la nuit, résonnent dans les entrailles de sa nouvelle maison...

08/2021

ActuaLitté

Poésie

Voilà à quoi ça rime de vivre avec l'Univers

Tout d'abord parce que j'aime les rimes... Et surtout en réponse à l'expression " tout ça, ça rime à rien " que j'ai pu dire il y a très longtemps, alors que je ne comprenais rien à ma vie. L'année 2021 a été pour moi une année-examen, où je suis partie encore une fois de zéro et où l'Univers m'a testée tout au long de l'année. Ces poèmes sont comme une thèse que j'aurais présentée et l'Univers me souffle que j'ai été reçue avec les félicitations du jury.

06/2022

ActuaLitté

Comptines et chansons

L'ennui des après-midi sans fin

"Enfant, j'ai eu la chance de m'ennuyer. Je n'avais pas école l'après-midi et che2 moi à la maison pas d'écran ni de télévision. J'ai donc dû apprendre à déployer des trésors d'imagination pour m'inventer des jeux et des passe-temps. Je garde de ces jours immobiles le souvenir d'une période enchantée où j'ai pu remplir à ras bord le coffre-fort de mon imaginaire. L'ennui de mes après-midi d'enfance était un voyage où le temps m'appartenait, un espace où j'ai fabriqué d'immenses rêves."

10/2022

ActuaLitté

Poésie

Monique et les restes d'Annie

Ce recueil est dédié à la mémoire de ma très chère amie la regrettée Monique Delord. Prière. J'ai des vents à te confier Des pluies à te semer Des nuits à te réciter Veux-tu J'ai des houles pour te bercer Mon rivage pour t'embrasser L'écume pour t'habiller Veux-tu J'ai des soleils à te souhaiter Des lunes à t'avouer Des champs à te chanter Veux-tu J'ai des étoiles à libérer Dans ton jardin pour te veiller Des arbres pour porter Ton ciel et te célébrer Je veux Amen ? !

08/2021

ActuaLitté

Poésie

Amour, violence et médicament

Avec un goût amer, Amour, violence et médicament évoque la violence que j'ai connue étant gosse, de mes allers-retours en hôpital psychiatrique et de la maladie qui m'y a amené, du traitement médical que je dois prendre. Mais il évoque aussi des gens que j'aime, les moments durant lesquels j'ai croisé les histoires de ceux qui n'ont que peu ou pas d'histoire. Autrement dit, de ceux qui n'ont que peu ou pas d'identité, vivant dans un monde parallèle. J'ai aussi écrit ce recueil pour leur donner une existence.

06/2022

ActuaLitté

Littérature française

Dernière chance

- Non, Jack. Je me vengerai si j'en ai le courage. Là, j'ai besoin d'être seule. - Non, Eva. Je ne te laisserai pas seule. J'ai perdu quelqu'un d'important en la laissant seule et je ne veux pas perdre une amie. Mon coeur se serre. Mon souffle se coupe. J'expire longuement... Eva et Jack sont deux êtres semblables que tout oppose. Contre toute attente, elle trouve du réconfort à ses côtés et tombe sous son charme. Survivra-t-elle à cet amour qui lui fait tant de bien que de mal ?

12/2021

ActuaLitté

Littérature française (poches)

"Arrête avec tes mensonges"

"Quand j'étais enfant, ma mère ne cessait de me répéter : "Arrête avec tes mensonges." J'inventais si bien les histoires, paraît-il, qu'elle ne savait plus démêler le vrai du faux. J'ai fini par en faire un métier, je suis devenu romancier. Aujourd'hui, voilà que j'obéis enfin à ma mère : je dis la vérité. Pour la première fois. Dans ce livre. Autant prévenir d'emblée : pas de règlement de comptes, pas de violence, pas de névrose familiale. Mais un amour, quand même. Un amour immense et tenu secret. Qui a fini par me rattraper."

06/2020

ActuaLitté

Littérature française

Le cheveu sur la soupe

«Il m’apparaît assez clair que les personnes entassées dans cette rame de métro n’atteignent pas les objectifs de joie quotidienne qu’elles se sont fixés, si elles s’en fixent encore. Je souris. Au milieu de tous ces légumes ramollis, j’ai envie de me mettre à danser et à chanter. J’ai envie de prendre mon vieux voisin par la main et de le faire bouger, de coller des sourires sur leur visage fatigué. Si seulement j’avais l’audace, je me lèverais et j’irais me présenter : Bonjour, je m’appelle Antoine. Aujourd’hui, je pars en Australie !»

12/2014