Recherche

Mon journal emoji Tome 4 : C'est pas juste !

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Hôtel Podiman. Journal d'un Bobo Black

Hôtel Pomidan c'est l'histoire d'un temps d'un défi existentiel : financer un hôpital. Comment y parvenir. Création de La Niche : un tableau avec le crâne de Gandhi, le visage de Mandela, la moustache d'Hitler, le tronc est un bras relié à la moustache d'Hitler par un doigt d'honneur, le bas-ventre est le cul renversé d'un unijambiste. Un temps de défi existentiel ponctué de laps de temps comme passer des week-ends d'ivresse émaillés de vannes cannibales : Mère Térésa cramera en enfer aussi longtemps qu'un Argotier Mahométan croira dur comme fer que l'enfer est noir comme dans le cul d'un noir. Amitié oecuménique blessée ! Se déconstruire à Trèves en Allemagne auprès de Mme Heidegger, une Humanitaire Addict. Détourner une Catho sur les quais de la gare Santa Maria Novella de Florence en partance pour une université d'été sur : nationalisme et catholicisme. Le nationalisme est un péché. Enterrement d'une vie de Cité dans une Cité sans traces de latinité dans la banlieue Est de Paris. Si une République est sans égards envers vous, ne vous indignez pas, dansez en lui appliquant la réciproque. Sauver sa peau ! Coma éthylique à Ljubljana d'un couple mixte ! L'homme a des joues creusées de fossettes. Amour de fantaisie ! Rage de dent dans le Cantal. Quelle est la valeur cathartique d'une larme dans l'atténuation d'une rage de dent ? A la fête de l'Huma du Parti Communiste Français, une fille presse son pote d'être ivre avant le concert de Pete Doherty. C'est une fille différente de l'étudiante de Stanford en semestre à Paris dont le défi subjectif de jeunesse est : Un pays, un amour, une lettre de rupture. Quelque part en Afrique, il est dit que ceux qui osent les routes trouvent toujours un oasis

07/2013

ActuaLitté

Récits de voyage

Journal fugitif au Moyen-Orient. Vers Alep

"Pour ma part, je n'ai jamais écrit que les lieux où je n'ai fait que passer, j'ai écrit en fugitif, comme si le temps m'était compté, retenant quelques images, quelques portraits hauts en couleur, brossant des sortes de manuscrits enluminés par des tableaux de vie récente." Un séjour de deux ans à Alep (1999- 2001) a permis à Vernet de sillonner la Syrie et les alentours en voyageur sans but, habillé d'effacement et d'invisible, avec ce seul programme : "greffer son ignorance à de l'inconnu". Son récit n'est pas un journal, plutôt une chronique sans date des grandeurs et misères, sublime et sordide, qui lèvent sous le pas de l'errant avide des rencontres les plus humbles et les plus fortes. Méditation plus encore que reportage, ces pages témoignent moins d'une fuite hors du monde civilisé que d'une marche décidée vers la solitude essentielle. Patience du regard partagée par les compères photographes.

01/2012

ActuaLitté

Couple, famille

Journal d'une rescapée de la maternité

J'avais 23 ans lorsque j'ai accouché seule, en salle d'accouchement de l'hôpital. J'y suis entrée en pleine pré-éclampsie, pour accoucher ; j'en suis ressortie handicapée... Confrontée à des médecins qui ne voulaient pas se mouiller dans cette " affaire ", je me suis mise à la recherche d'un spécialiste, pour qu'enfin, on me rende mon corps de jeune femme. Je souhaite de ce livre qu'il fasse de la prévention sur les risques encourus par la maternité ; ils sont peu connus. Je laisse la parole à 14 femmes victimes de pré-éclampsie. Ces femmes ont souffert, j'espère que leur histoire publiée leur fera beaucoup de bien.

07/2013

ActuaLitté

Littérature étrangère

Histoire d'une intelligence. Journal 1910-1911

"Chaque jour se produisent de menus événements qui confirment jusqu'à l'ennui que l'homme sans habitudes culturelles et sans besoins intellectuels est un être nocif et un ennemi de lui-même. Ce sont le style et l'originalité que l'on recherche dans les livres, et la diversité des goûts qu'il faut flatter écarte les choix qui peuvent déplaire. Erreur de croire que la lecture d'un mauvais livre est sans conséquence : ce passe-temps apparemment indifférent signe l'arrêt de mort de tous les bons livres qui n'ont d'existence effective que dans le temps passé à les lire. N'avoir pas de pitié pour la médiocrité littéraire, pour l'absence d'idées : de la "forme", dans l'acception absurde de ce terme, d'autres se soucient déjà assez". Stanislas Brzozowski, 10 décembre 1910.

09/2010

ActuaLitté

Critique littéraire

En mal d'Aurore. Journal 1932-1975

" Moi aussi, je touche à l'aurore. Mais j'ai vécu ma nuit. Où serai-je, lorsqu'apparaîtra la lumière ? " Pierre Minet, 1962. Toute sa vie, de sa rencontre avec Roger Gilbert-Lecomte et René Daumal, en 1925, aux derniers mois vécus dans la souffrance, Pierre Minet aura tenu un volumineux journal. Plus encore que le journal d'un écrivain avec ses ébauches de textes, ses impressions de lecture, ses rencontres et ses portraits (Artaud, Adamov, Max Jacob, Paulhan, etc.), c'est le journal d'un homme sans complaisance envers lui-même, conscient d'avoir sacrifié l'essentiel de son art à l'amour qui fut le " grand jeu " de sa vie. Il constitue aussi un précieux témoignage sur la vie de l'un des membres les plus singuliers de ce groupe éphémère et mythique que fut le Grand jeu. Patrick Krémer

06/2002

ActuaLitté

Romans historiques

Mémoires d'Aramis ou L'Anti-journal

Aramis, l'ambigu mousquetaire d'Alexandre Dumas, écrit ses Mémoires... Mais vite, le livre avorte : un texte-pirate, l'Anti-journal, prend la place du roman historique annoncé. " Roman de la vie littéraire ", ce faux journal intime brouille les limites admises entre autobiographie et fiction. Revêtu d'impudeur, masqué de naïveté, l'auteur raconte " comment il est devenu un écrivain " grâce à la presse et à la télévision, indépendamment de la valeur littéraire supposée de son premier livre. Mais, en France, une règle implicite du milieu de l'édition interdit toute publication dénonçant ses pratiques. Le romancier finit par en crever. La figure d'Aramis réapparaît alors sous les traits du véritable ami que l'auteur n'a jamais rencontré : le " bon éditeur " ! Et Aramis recherche désespérément une histoire, une " bonne histoire " à publier... Récit de l'épuisement de tout récit, les Mémoires d'Aramis racontent la lente réconciliation de l'auteur avec l'écriture, qui pose par le renoncement aux poses littéraires, le vomissement de la gueule médiatique de l'écrivain. Voici un exercice raisonné de mauvais goût.

11/1999

ActuaLitté

Sciences historiques

Cahier journal à Célestine Parrot. Lods 1892

C'est un petit village du Doubs, à trente kilomètres de la Suisse, à mi-chemin de Pontarlier, d'Ornans et de Mouthe, le lieu le plus froid de France. Courbet n'a pas peint ces maisons, ces ruelles, la petite église, mais il a représenté des dizaines de fois la vallée de la Loue, au bas des coteaux, célèbre pour ses lacets de calcaire et la rivière qui serpente jusqu'à sa source. Dans ces montagnes couvertes de sapin, étouffantes l'été, glaciales l'hiver, il y avait autrefois des vignes : sous Napoléon III, Constant Parrot y travaillait son vin jaune avec succès, possédant l'une des plus grandes maisons du village. Sa fille, Célestine, fréquentait l'école et tenait à treize ans un très beau cahier. 100 pages merveilleuses, dont on ne sait si elles ont été écrites à la Renaissance ou au XIXème siècle, tant chaque ligne nous en éloigne : la vie quotidienne des campagnes, un siècle après la Terreur, un siècle avant nous. Un monde sans électricité, sans ordinateur, sans voitures, sans téléphone. Vous qui aimez l'enfance, les souvenirs, la famille et l'histoire, plongez avec nous dans ces compositions françaises, dans ces cours de morale, au jour le jour, dans ces exercices d'arithmétique difficiles qui font penser aux " problèmes " du Petit Nicolas, dans ces dictées sur la mort de Marie-Antoinette, dans ces dessins de cylindres, de meubles ou d'animaux, dans ces cours de géographie. Célestine note, écrit, dessine, peint, calligraphie, énumère - une façon d'apprendre inimaginable aujourd'hui, poétique et surprenante.

11/2017

ActuaLitté

Actualité et médias

Journal interrompu. 24 janvier - 25 mai 2002

24 janvier. Je ne suis aujourd'hui d'humeur à rien. Ni à parler du temps, ni à parler d'autre chose. C'est pourquoi, après avoir ouvert mon portable pour préparer cette fichue conférence, j'ai bizarrement envie de confier à ma machine l'expression de mon désarroi présent. La campagne électorale est loin d'être commencée et, déjà, je la sens envahir le temps qui vient. 14 mars. Je n'éprouve pas d'angoisse, mais l'idée que l'avenir est en train de se jouer. que les dés sont jetés, que la roulette est en train de tourner avant de s'arrêter sur un chiffre, cette idée me trouble et me fait sentir intensément le passage des jours. S. A.

09/2002

ActuaLitté

Littérature française

Le Solstice d'hiver. Journal 2001-2007

Tragédie du 11 septembre 2001, guerre en Irak, tsunami meurtrier, mort de Jean-Paul Il, libération de la journaliste Florence Aubenas, mais aussi récits de lectures, réflexions sur les saisons et relations de drames intimes... Le Solstice d'hiver, nouvel opus du journal de Jocelyne François, nous donne des nouvelles d'un écrivain et témoigne de la très grande acuité de son regard sur le monde. Ainsi que de sa capacité toujours renouvelée de croire en la vie et à ses surprises, à l'image de cette réflexion du 27 décembre 2007 : "Nos projets m'enchantent. Et aussi l'intuition du futur. Une rigueur surgit dans la nécessité d'écrire jusqu'au fond des choses pressenties."

05/2009

ActuaLitté

Littérature française

Fleuve sans fin. Journal du Saint-Laurent

Les eaux sans fin : c'est ainsi que les Sauvages désignèrent à Jacques Cartier la coulée bleue où il engageait ses vaisseaux, coulée qu'il allait nommer le Saint-Laurent. Pendant une année, assidûment, c'est-à-dire presque chaque jour, l'auteur va vivre sur l'une ou l'autre rive du fleuve, recueillant et transcrivant la parole suscitée. C'est tout le contraire d'un journal intime : plutôt ce serait l'écho d'une patiente écoute afin que les mots s'accordent selon le cours jamais le même, apparemment toujours pareil, et sans cesse renouvelé. Heures et saisons dans le mobile miroir apparaissent en variations infinies et figures auxquelles concourent la faune, la flore, la navigation et les constellations. La veille n'est interrompue que par les limites du veilleur. Face au grand ordre qu'il contemple, non point passivement, mais en se jetant dans le jeu, sans prétendre mesurer le monde à son aune, il mesure par le corps et l'esprit la démesure dans laquelle nous sommes de nous-mêmes tenus hors de portée. "Connais-toi toi-même." Non. Envisage avec une sérénité accrue l'inconnaissance que chaque bribe ou saut de la science encore accroît.

03/1986

ActuaLitté

Religion

La joie d'etre journal en inde

Juliette PIERRE-MARIE découvrit très tôt en elle, enfant et adolescente, un profond désir de méditation solitaire et de vie contemplative. Confrontée à la crise des années d'après guerre au sein de la congrégation des Orantes de l'Assomption où elle était entrée, elle décida d'accomplir sa vocation en partant seule dans cette Inde dont elle avait senti l'attrait. Fille de la bonne bourgeoisie parisienne, elle s'immergea au plus profond des foules urbaines et de leur misère, à Pune, près de Bombay. Après treize ans de séjour, en 1983, elle fonda Samarpan Ashram, dans un milieu villageois proche, mais, là encore, sa vie contemplative s'accouple à une action de formation et d'assistance médicale auprès de femmes aveugles, en étroite symbiose avec ceux qui l'entourent. Ce n'est que dans le dépouillement du soi, de l'avoir et du faire, conclut-elle, qu'on peut être possédé par Dieu qui nous élève… pour nous ouvrir à l'autre, à tous les autres, avec leurs différences, quelles qu'elles soient…

04/1997

ActuaLitté

Littérature française

Journal de Charles-Edmond. septembre-octobre 1874

Témoignage exceptionnel sur une époque, qui n'était pas encore Belle, et sur une certaine classe sociale, le Journal de Charles-Edmond Lemout-Prachaire, ne s'étend que sur une assez brève période (de septembre à octobre 1874). Il n'en est pas moins un document remarquable sur les divers aspects de la société française au lendemain des épisodes tragiques de la guerre de 1870 et de la Commune de Paris. Au fil du récit de ses préparatifs de voyage, qui sont autant de prétextes à évoquer ses souvenirs d'enfance et sa vie quotidienne de bourgeois aisé et désinvolte, l'auteur aborde une foule de thématiques (depuis la mise en place des transports en commun à Paris jusqu'au développement ferroviaire en passant par l'invention de la religieuse au chocolat et l'apparition de groupes littéraires fantaisistes, tels les Hydropathes ou les Hirsutes) qui permettent au lecteur d'appréhender cette époque mal connue, en proie à une grave crise économique en même temps que bouillonnante d'énergie et de progrès technique.

04/2016

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Sonnets libertins. Suivi de Enculées, journal érotique

Pierre Louÿs, également connu sous les noms de Pierre Louis, Chrysis, Peter Lewys et Pibrac, est un poète et romancier français. André Gide fut son camarade de classe à l'École alsacienne. Ils rejoignirent par la suite le mouvement du Parnasse et publièrent dans la revue La Conque, créée par Louÿs. Ce dernier, tout au long de sa vie, doubla ses œuvres sérieuses d'une version coquine, voire pornographique. Les Sonnets libertins louent le corps de la femme. Ou plutôt certaines parties, chacune pouvant devenir source de plaisir, selon l'auteur, du Mont de Vénus aux aisselles. Dans Enculées, le poète cède en quelque sorte la place au scientifique, puisqu'il recense dans un journal, de manière très méthodique, toutes celles qu'il a sodomisées. Mais poète ou scientifique, Louÿs reste un grand artiste de la langue française qui mêle avec maestria grivoiserie et élégance.

12/2014

ActuaLitté

Histoire de France

LE PROCES PAPON. Un journal d'audience

Avant même l'ouverture du procès, la cause semble entendue : Maurice Papon, secrétaire général de la préfecture de la Gironde sous l'Occupation, est coupable. Mais, au fil des audiences, il devient bientôt clair que l'instruction, en quatorze ans, a été pour le moins mal faite ; que l'Histoire, celle des historiens cités à comparaître, est plus nuancée dans ses analyses des chaînes de responsabilité administrative ; que les témoignages des grands acteurs témoins de la Résistance divergent sensiblement d'un tableau en noir et blanc ; que la Mémoire des enfants et parents des victimes déportées doit se contenter d'obtenir réparation d'un fonctionnaire de rang moyen, alors que ses supérieurs hiérarchiques, jamais inquiétés, sont morts en toute quiétude au cours de l'instruction ; que nombre de parties civiles ont cru ne faire qu'une bouchée d'un accusé prompt à se défendre, vif à confondre de pseudo-témoins à charge, à nier ses responsabilités historiquement avérées mais judiciairement difficiles à établir cinquante-cinq ans après. Au terme d'un procès-fleuve, une peine de dix ans est prononcée qui ne satisfait ni le Droit, ni l'Histoire, ni la Mémoire. La Cour d'assises innocente Maurice Papon des faits de complicité d'assassinat retenus contre lui par l'instruction et l'arrêté de renvoi ; elle juge l'accusé coupable de complicité d'arrestation et de séquestration, ce qui est peu s'il s'est agi de juger Vichy et son administration ; elle introduit en France la gradation des peines en matière de crime contre l'humanité ; elle esquive, enfin, le grand débat juridique visant à définir ce crime suprême soit comme un crime de droit commun à évaluer selon les intentions présidant à chaque acte, soit comme un " crime de bureau ", s'insérant dans un processus génocidaire plus vaste, où la responsabilité se mesure à l'aune non plus seulement de l'acte de l'individu mais du rôle qu'il assume dans une chaîne criminelle de responsabilité. Le délitement du procès Papon, au fil des audiences, Eric Conan, l'un des rares journalistes à avoir assisté à toutes les audiences, nous le donne à lire dans ce Journal. Il note les propos de chacun, restitue l'atmosphère, tendue, pathétique ou cocasse, livre les moments et les discours clés. Le lecteur de ce document de référence découvre bientôt comment un procès, longtemps jugé improbable, se révéla progressivement un procès impossible.

05/1998

ActuaLitté

Actualité et médias

Feux croisés. Journal de la révolution syrienne

Feux croisés est le récit précis, personnel et engagé des cinq premiers mois du soulèvement populaire né à la mi-mars 2011en Syrie par l’un des auteurs les plus en vue de Damas. Damas. Place Al-Marjey. Avril 2011. Samar Yazbek est aux côtés d’un homme venu demander la libération de son épouse. Il n’a que le temps de confier à l’auteur son petit garçon de quatre ans avant d’être roué de coups et embarqué avec son autre fils de dix ans dans un véhicule par les hommes du président Al-Assad. Feux croisés est le journal à vif du soulèvement populaire syrien né à la mi-mars 2011. La journaliste et romancière Samar Yazbek est l’une des porte-parole les plus célèbres de la révolution. Semaine après semaine, elle relate minutieusement les événements des cinq premiers mois de l’insurrection. Jour après jour, elle décrit méthodiquement les horreurs de la répression du régime de Bachar Al- Assad. Plusieurs fois arrêtée, les autorités l’obligeront à visiter les prisons où sont enfermés les insurgés. Son point de vue est multiple. Femme, elle est exposée à la fureur des conservateurs religieux, eux aussi pourtant opposants, comme à celle des hommes du parti. Alaouite, comme d’ailleurs la famille Al-Assad, elle est considérée avec méfiance par la masse sunnite. Intellectuelle révoltée contre le régime Assad, elle a « trahi » aux yeux des siens.

03/2012

ActuaLitté

Récits de voyage

Pourquoi Tokyo ? Journal d'une aspirante nippone

Quel est le point commun entre un sac Chanel et des céphalopodes séchés ? Combien de parapluies sont nécessaires pour se protéger d'un typhon ? Et vous, remerciez-vous suffisamment vos toilettes ? Fuyant la routine parisienne, Agathe Parmentier débarque au Japon en 2014 avec une valise et beaucoup de questions. Elle s'installe à Tokyo dans une chambre de 9 m2 et enchaîne les petits boulots, alternant cours de français et figuration à la télévision japonaise. Entre cigales électriques, vendeuses-mouettes et cafards mutants, elle raconte la ville aussi fascinante que déroutante, ses habitants et son quotidien de Française curieuse mais distanciée, maladroite mais respectueuse.

01/2018

ActuaLitté

Littérature française

Deux sous de vérité. Perles du journal

Le Goncourt de la mauvaise foi ! Les meilleurs bons mots, maximes et fulgurances glanés dans le Journal des Goncourt par Rodolphe Trouilleux et illustrés par Boll. Les deux frères y prennent alors un autre visage : gouailleurs, acerbes, érotomanes, voyous... Ces perles du Journal, accompagnées d'un appareil critique pertinent, nous offrent le portrait sensationnel de deux des plus grands acteurs de la littérature française du XIXe siècle. Les dessins de Boll, créés à partir de nombreuses recherches de l'artiste, plongent de surcroît le lecteur dans l'atmosphère parisienne et littéraire de cette période et nous offrent une édition inédite.

09/2018

ActuaLitté

Littérature française

Journal 1940-1948. Coffret en 18 volumes

Lorsque la France est envahie en 1940, Monique Saint-Hélier est à Paris, minée par une maladie lente. Bouleversée par la situation, entravée dans son travail d'écrivaine, l'écriture de son Journal représente pour elle une tentative de reprendre pied avec la réalité et de participer à la souffrance d'une nation entière. Au coeur des événements, Monique Saint-Hélier inscrit dans ses cahiers la détresse et les manques quotidiens de son existence précaire. Apparaissent aussi l'art et la lecture qui l'aident à survivre, les visites de ses amis - Jean Paulhan, Henri Ghéon, Gabriel Marcel - qui viennent briser l'isolement, des idées de lectures ou d'axes nouveaux à développer pour son oeuvre romanesque. Guidée par un souci d'objectivité constant, Monique Saint-Hélier dépasse le cercle strictement personnel et établit un véritable carnet de bord de l'Occupation ? : faits de guerre au jour le jour, nouvelles de tous les fronts, discours d'Hitler ou de Churchill entendus à la radio.

12/2018

ActuaLitté

Science-fiction

Wakehurst. Le journal de kahmsa an-nasir

Il existe sur notre planète bien des lieux saints, le Vatican, Jérusalem, La Mecque ou Bodh Gaya. L'univers à sa naissance a créé bien des endroits qui abritent le sacrilège, comme le Yin ne pourrait jamais se séparer de son Yang afin de préserver l'équilibre de la nature. La forêt de Wakehurst accueille un mal qui compense toutes les régions et les bâtiments consacrés du monde. Plongez aujourd'hui au coeur de son histoire... Barnett Chevin, auteur prolifique, est un des piliers des Otherlands : Outre de nombreuses nouvelles parues dans diverses anthologies, vous pourrez retrouver une partie de ses écrits horrifiques dans les Shorts Stories tomes 1 et 2, publiés eux aussi chez Otherlands.

12/2018

ActuaLitté

Humour

Je me souviendrai de tout. Journal mélancolique

Humoriste, artiste de music-hall, acteur et scénariste, Guy Bedos est également l'auteur de Plans rapprochés, disponible aux Editions J'ai lu.

06/2017

ActuaLitté

Histoire de France

Journal du Général Edmond Buat 1914-1923

En 1914, à 46 ans, le polytechnicien Edmond Buat est lieutenant-colonel. Il est chef d'état-major général des armées lorsqu'il meurt soudainement en 1923. Cette carrière remarquable est celle d'un homme exceptionnel. De la Grande guerre, il a tout connu : chef de cabinet du ministre de la Guerre Millerand d'août 1914 à novembre 1915, il est à l'articulation souvent difficile entre le pouvoir politique et le haut commandement militaire. Commandant une division puis une armée au front, il a vécu au plus près la violence des combats. Créateur en 1917 et chef de la Réserve générale d'artillerie qui permettra de l'emporter sur les Allemands l'année suivante, il est un technicien prophétique de la guerre industrielle. Nommé en juillet 1918 major général des armées françaises, c'est à dire n° 2, auprès de Pétain, il est l'un des artisans de la victoire. Expert auprès du gouvernement lors des négociations du traité de paix, et alors que des troupes françaises occupent la Rhénanie, interviennent en Europe centrale, en Russie, au Proche-Orient, il s'emploie dans ses dernières fonctions à préparer la France au nouveau conflit qu'il juge inévitable. Si Buat n'était pas mort à 55 ans, il eût été à coup sûr généralissime de l'armée française à la place de Weygand, et le destin en eût peut-être été changé. Le général était doublé d'un observateur prodigieux de finesse et d'un écrivain de talent. Tous les soirs, il a consigné dans des cahiers les faits et les réflexions de la journée. Tout y passe, les hommes qu'il a tous connus, les événements, les pensées. Alors que les mémoires des grands chefs, Joffre et Foch, ont été rédigés en vue de servir leurs auteurs, cet énorme et prodigieux document a toute la fraîcheur du spontané et de l'inédit. Dans sa préface, Georges-Henri Soutou, de l'Académie des Sciences morales et politiques, donne toute sa portée à ce témoignage d'un «esprit libre, volontiers mordant». Le colonel Frédéric Guelton, ancien chef du service historique de l'armée de terre, a introduit et annoté en spécialiste le texte donné ici dans son intégralité.

11/2015

ActuaLitté

Sociologie

Voyage en grande bourgeoisie. Journal d'enquête

Comment vivent les familles fortunées ou moins fortunées de ce que l’on appelle la grande bourgeoisie et l’aristocratie française ? Quels sont leurs réseaux de relations, leurs codes de reconnaissance et d’appartenance à ce milieu social ? L’originalité de l’ouvrage tient aux dix années d’enquêtes et d’entretiens dans cet «espace social». C’est aussi une analyse du regard que ces familles portent sur elles-mêmes à travers les divers articles qu’elles suscitent dans les médias. Les auteurs expliquent la pratique des entretiens, l’observation, et l’écriture de cette enquête exemplaire.

10/2015

ActuaLitté

Littérature française

Journal de bord d'un délégué syndical

Je m'appelle José, je suis portugais. Je travaille dans une grande entreprise du bâtiment que j'appellerai L.A.D.E. Je suis délégué syndical mais également délégué du personnel, secrétaire du Comité d'entreprise ainsi que secrétaire du Comité d'hygiène et sécurité et des conditions de travail. Oh, cela n'a pas été facile de s'imposer. Mais j'ai réussi ! Sans fausse modestie, je dois être aujourd'hui l'un des rares portugais occupant tous ces postes dans le bâtiment. Bien sûr, pour en arriver là, j'en ai bavé tous les jours. La vie est dure dans ce milieu, d'autant plus lorsque l'on est étranger et ouvrier. Mais on a rien sans rien et moi l'injustice je ne supporte pas.

01/2017

ActuaLitté

Musique, danse

Idoles. Journal d'un photographe 1967-1975

Cet ouvrage n'a pas d'équivalent. Il propose de découvrir les archives personnelles, pour l'essentiel inédites, d'un photographe qui a su se faire accepter dans l'intimité des artistes des années 1970... Gérard Bousquet nous invite ici à partager dix ans de photographies, de rencontres et d'amitié, nous faisant revivre le temps de la naissance de nos idoles. Voici donc, de A à Z, des images surprenantes et parfois insolites.

10/2016

ActuaLitté

Histoire de France

Journal politique. La République gaullienne (1958-1981)

La Ve République se met en place, le marxisme bouche l'horizon intellectuel, la guerre d'Algérie semble interminable. Nous sommes en 1958, Michel Winock a 20 ans. "Dévoré par la politique", il s'ennuie en licence de Lettres et décide de devenir historien. On découvrira dans ses notes quotidiennes un peintre de notre temps, à l'art du trait et du portrait digne de nos moralistes. Un observateur méticuleux des affaires publiques, des médias, des conflits sociaux ou idéologiques. Un conteur né, dont l'ironie s'est faite méthode pour mieux comprendre ses contemporains. Ce volume où s'enchevêtrent vie politique et vie universitaire, vie de l'édition et vie personnelle, s'achève en 1981. Avec la victoire de François Mitterrand à l'élection présidentielle, "un cycle se terminait : la république gaullienne était finie.

10/2015

ActuaLitté

Littérature française

Journal intime d’une pierre qui roule

A 18 ans, Circé, chanteuse de rock et élève de terminale S veut entrer à Sciences Po. Elle a fini de s'auto-persuader qu'elle oubliera tous ses conditionnements parce que son seul objectif est de sortir de sa condition, point à la ligne. La mélancolie, c'est dépassé, c'est un truc de syndicaliste dépressif. Jeune femme du 94, elle veut récupérer la considération et les libertés que les femmes de la génération de sa grand-mère ont gagnées, un printemps sur les barricades, dans le quartier latin, sous les coups de matraque des CRS. Libre et lucide, elle a sacrifié sur l'autel des discernements cette autre femme que les politiques du pouvoir veulent faire pousser en chaque femme ; elle ne l'intéresse pas, elle n'a jamais voulu la connaître ! Dans ce roman contemporain, Ellande Bakean pose un regard réaliste, sur la reconnaissance et la place des femmes dans les hypocrisies de l'égalité des chances femme homme dans notre société.

01/2023

ActuaLitté

Fantasy

Dragon de sable. Journal du Premier Marcheur

La paix et la justice de Gladsheim s'étendent progressivement sur les royaumes d'Orient. Gylfi, Roi, le plus Puissant parmi les Puissants, en assure la stabilité par les Questes de ses Marcheurs. Les guerres sont oubliées depuis des siècles et les Arts se développent, étendant toujours plus les Pouvoirs et la science des Maîtres. Mais Bryan, Premier Marcheur, est arraché à une Queste dans les brûlants déserts du sud par Snorri, le Sculpteur. Pendant son absence, Gylfi a disparu, menaçant les ordres établis et faisant resurgir la perspective d'affrontements oubliés qui déchireraient les peuples. Derrière le Trône, la Nuit tisse ses complots au-delà des frontières et menace l'existence des Royaumes. Entre alliances et trahisons, se révèlent de nouveaux Pouvoirs au cours de la plus redoutable Queste du Premier Marcheur.

03/2022

ActuaLitté

1995 à nos jours

Bienvenue au XXIe siècle. Journal 1996-2002

"Tenir un journal c'est faire l'aveu de sa subjectivité. Je m'efforce d'écrire selon ma raison, mais je ne puis échapper aux effets du sentiment et de l'émotion. Ce qui explique aussi la variabilité de mes affirmations, de mes jugements. Je ne cherche pas à démontrer, j'essaie de comprendre avec les outils, limités, dont je dispose. Nous voilà de plain-pied dans le XXIe siècle. Celui que nous quittons aura été, entre tous, un siècle tragique : guerres mondiales, génocides, conflits coloniaux... En 1991, quand le rideau de fer de la Guerre froide est définitivement tombé, on a cru aux jours meilleurs. L'effondrement des tours de Manhattan, le 11 septembre 2001, nous a définitivement désillusionnés. En France, l'arrivée du national-populiste Le Pen au second tour de l'élection présidentielle a chargé notre horizon de noirs nuages. Quel bonheur individuel reste possible dans une Histoire toujours abreuvée de sang et de larmes ? " M.W.

03/2022

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

Journal de la construction d'un phare

Un inédit de Stevenson. Au large de l'Ecosse, en mer du Nord, à la croisée de plusieurs routes maritimes, se trouve un récif meurtrier, où les navires s'abîment par dizaines. En 1807, un homme décide de mettre fin à cette malédiction. Ingénieur pour la Compagnie des Phares du Nord, Robert Stevenson se lance dans une entreprise périlleuse : ériger un phare sur un récif immergé vingt heures par jour. Trois années durant, dans des conditions chaotiques, il coordonne le chantier de Bell Rock. Animés par la volonté de rendre la mer plus sûre, ses hommes et lui luttent contre vents et marées pour mener à bien ce projet ambitieux. En racontant l'histoire de sa famille et en publiant les carnets de son grand-père, Robert Louis Stevenson rend non seulement hommage à la dynastie de pionniers et de bâtisseurs dont il est issu, mais il révèle aussi au public une formidable aventure collective.

02/2023

ActuaLitté

Lecture 9-12 ans

Apprentie Geisha. Journal d'Ayami - Tokyo 1923

Japon, 1923. À l'âge de douze ans, Ayami est vendue à une okiya, une maison d'éducation de geishas, à Tokyo. D'abord cantonnée aux tâches ménagères, elle devient maïko - apprentie geisha - et prend un nouveau nom : Mitsuko. On lui enseigne l'ikebana, le chant, la danse des éventails... Ses aînées lui montrent comment marcher gracieusement, sourire aux plaisanteries des clients sans montrer ses dents, nouer la ceinture de son kimono. L'apprentissage est exigeant mais la jeune fille ne se décourage pas et révèle de grandes aptitudes. C'est alors qu'un tremblement de terre ravage le pays. Tokyo est gravement touché ainsi que sa ville natale, où Mitsuko part à la recherche de sa famille.

08/2014