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La vie de Scaramouche

Extraits

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Poésie

Bonjour la Vie !

La Vie en poésie a coeur d'enfant. La Vie n'est pas raisonnable. Elle ne s'encombre de rien. La Vie est comme une petite fille qui a décidé de manger sa pomme assise dans un placard. Imprévisible, la Vie n'est pas toujours ce que l'on croit. La Vie est don de l'Amour, toujours.

10/2019

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Littérature française (poches)

Vive la vie !

Alphonse Allais (1854-1905) a marqué son époque par sa truculence et son humour tous azimuts, tant dans Le Chat Noir que dans son oeuvre, et il a, notamment, inspiré et influencé Sacha Guitry. La modernité de sa prose, la fluidité de son style et son usage salutaire de l'absurde demeurent, aujourd'hui encore, d'une remarquable efficacité humoristique. Ainsi, des huit nouvelles reproduites ici tirées de son recueil Vive la vie ! , "La fin d'une collection" est d'une réjouissante drôlerie absurde : le marquis de Bois-Lamothe, richissime, beau et inlassable trousseur de jupons, collectionne passionnément les haricots écossés qu'un revers de fortune aidé d'une facétie de la vie de famille lui firent manger.

10/2019

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Animaux, nature

La vie sauvage

Vivre intensément. Au plus proche de la nature. Ouvrir les yeux pour réapprendre à s'émerveiller, dormir au milieu de la forêt, écouter les oiseaux, regarder les étoiles, prévoir le temps en regardant les nuages, fabriquer une cabane, construire un four solaire sans polluer, partager des jeux simples avec ses enfants, glaner, cueillir et cuisiner des baies, des algues, des plantes sauvages dans le respect de l'environnement... Vivre au plus proche de la nature, c'est tout simplement revenir à l'essentiel et vivre heureux comme un Robinson.

09/2019

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Littérature française (poches)

La vie brûle

La Vie brûle est le récit romancé d’un séjour en Egypte durant la séquence révolutionnaire de l’hiver 2011, inscrite dans ce qui fut appelé le Printemps arabe. Journal des événements vécus en simple témoin analphabète, à travers la vision, le ressenti, le partage des émotions et opinions, c’est aussi un voyage intérieur percuté par les mauvaises nouvelles qui surviennent. La perte d’un ami dans un accident de la circulation en Inde. La catastrophe nucléaire de Fukushima. Tout cela cohabite dans une prose réflexive où, par l’esprit critique, mais aussi par l’amitié, « l’humanité de l’humain « cherche à garder tous ses droits.

11/2020

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Littérature française (poches)

La vie sauve

" A la fin du mois d'août 2001, alors que je suis installée dans mon bureau, ma vie bascule. " Finis l'assurance de durer toujours, le confort d'une vie... Mais dans l'expérience violente qui consiste à affronter l'idée de sa propre disparition, on apprend aussi beaucoup. La vie est une maladie mortelle. Mais c'est la vie. Un récit écrit à quatre mains par Marie Desplechin et Lydie Violet, couronné par le prix Médicis essai 2005.

05/2006

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Littérature française

La vie audacieuse

1987. Yves quitte le confort de la maison familiale pour suivre des études de droit à Paris. Très vite, le jeune homme se sent rejeté par la capitale et les autres étudiants, et rêve d'une "vie audacieuse" . Dans un café, il rencontre Evelyne, âgée d'une trentaine d'années et professeure de piano. Elle s'occupe tous les dimanches de son fils de treize ans, Jérôme, qui vit chez son père car elle a refusé d'en assumer la garde. Evelyne est secrète, distante, insaisissable. Une relation amoureuse naît pourtant entre Yves et la jeune femme et, après la mort du père de Jérôme, ils vivent ensemble tous les trois quelques mois dans un appartement en banlieue parisienne. Mais un jour Evelyne abandonne les deux garçons... Chacun va essayer à sa façon de combler cette absence. L'écriture délicate d'Elena Costa installe une atmosphère de mélancolie douce et lumineuse pour dessiner, en creux, le portrait d'une femme éprise de liberté.

02/2020

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Critique littéraire

Embrasser la vie

Elle a vingt ans quand elle rencontre l'homme de sa vie. Lui en a quarante-cinq. Pour elle, c'est l'éblouissement de l'amour qui commence par un coup de foudre ; pour lui, une ultime envie d'embrasser la vie. Il n'est pas libre. Elle non plus. Elle voudrait fuir ce qu'elle craint être une dépendance affective. Il la retient. Leur parcours est une sorte de guerre, une succession d'interminables persécutions juridiques. Dix ans de compromis - dont elle ne se serait jamais crue capable acceptés pour l'homme qu'elle aime. Dix ans d'amour, de divorces des deux côtés, de chantages à travers les enfants. Dix ans de tempêtes, de livres écrits au petit matin, à l'heure où les huissiers surgissent pour dresser des constats d'adultère. Tout est bon pour les anéantir. Grâce à l'écriture et à l'amour, elle résiste. Mais, durant ces dix ans de passion, de tourments, de bonheur sublimé parce que arraché, elle sait plus que jamais que chaque minute heureuse se paie, parfois très cher. Christine Arnothy a choisi de parler d'elle et d'ouvrir une porte secrète : ce sont dix années de son existence qu'elle raconte dans Embrasser la vie. Aujourd'hui elle s'interroge : et si c'était à refaire ? La réponse est dans ce livre où, au gré des événements, se mêlent autant de cruauté que de tendresse, autant de dureté que d'émotion. Les situations les plus absurdes sont éclairées par un humour parfois noir, mais c'est l'amour de la vie qui l'emporte toujours.

03/2001

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Poésie

La vie volatile

Quatrième livre de Jacques Demarcq aux éditions Nous, La vie volatile est une somme poétique, à la fois complément et aboutissement des Zozios, publié en 2008 aux éditions Nous. Jacques Demarcq y a travaillé pendant dix ans, notamment à l'occasion de nombreux voyages sur plusieurs continents. La vie volatile est un livre-voyage qui multiplie et alterne les formes, jouant de toutes les ressources de la mise en page et de la typographie, c'est aussi un livre en couleur où les poèmes se font tableaux. La Vie volatile se présente comme un tour de la Terre, celle d'une humanité diverse, auprès d'oiseaux encore plus divers qui parcourent plutôt le ciel. Le voyage parcourt les cinq continents, des Amériques jusqu'en Afrique. En introduction, Jacques Demarcq justifie son intérêt pour les oiseaux. L'impossibilité de traduire leurs chants sinon par le plaisir qu'ils éprouvent, l'instabilité inhérente à leurs vols, la grande diversité autant que la fragilité des espèces sont autant de critères pour un regard sans cesse mobile et varié sur le monde et la vie. Le plaisir (ou la peur) est aussi le ressort énergique de l'art. Pour Jacques Demarcq, la poésie est un art pluriel, instable, hétérogène, des langages verbaux (sens, sons, rythmes, idiomes divers) mais aussi visuels (picto-typographie, collages et couleurs). Voir avec ses oreilles, entendre avec ses yeux, penser avec ses sens et une culture centrifuge hétéroclite.

08/2020

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Littérature française

La vie dissimulée

Et brusquement, le monde rassurant s'écroule. Le père de Nina part, son frère s'endurcit, sa mère se met au lit. Elles vont désormais rester toutes les deux. Nina guette les infimes variations de la présence de sa mère, dans le souffle de sa respiration ensommeillée, dans les silences de sa mélancolie. L'étau se resserre, les instants de joie hors de la maison sont des moments volés. L'enfant le sait, sa mère est devenue incapable de survivre sans elle. Personne ne doit deviner ce qui leur manque. Parfois, lorsque Nina est seule, l'odeur de la forêt revient. Celle de bois pourri, de fougère et de mousse trempée.

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Poésie

Savoure la vie

Parce que l'argent ne suffit pas à tout, parce qu'il ne substitue ni l'amour, ni les mots, ce recueil est tout ce qu'une mère peut offrir de plus précieux à sa fille.

07/2020

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Littérature française

La vie fractale

"Ma vie s'est écoulée, laminaire et turbulente, sans que je comprenne comment pouvaient coexister ce flux paisible et ces tourbillons, écrit Nicolas Germain-Lacave dans le "Journal d'un décalé". Elle s'est écoulée, avec ses embranchements et ses discontinuités, sans que je comprenne comment des choix à peine formulés pouvaient entraîner de telles fractures. Pourtant dans ces tourbillons se trouvait le cap, dans ces fractures la continuité". L'enquête menée auprès de ses proches permettra-t-elle de savoir qui est Nicolas Germain-Lacave ? Mais chacun, finalement, ne parlant que de soi, on saura tout sur sa famille, sur celle "improbable" de Prune, son ancienne compagne, et sur celle de Violette, sa maîtresse, tandis que lui n'apparaîtra qu'en creux. Le "Journal d'un décalé" recueille la quintessence d'une vie à travers des textes extrêmement courts, qui atteignent parfois la précision d'un aphorisme. "L'enquête" suit le déroulement de cette vie, mais à une autre échelle, touffue, proliférante. On touche maintenant, à travers les proches, les ascendants et les collatéraux de Nicolas Germain-Lacave, à l'arborescence infinie des causes et des effets. La vie fractale est un roman fortement structuré, dont le fil apparemment décousu finit par devenir régulier, comme l'écoulement d'un robinet qu'on ouvre peu à peu, et dont le goutte-à-goutte, d'abord chaotique, se transforme subitement en un filet continu.

04/2003

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Littérature étrangère

La vie ailleurs

Le recueil de nouvelles La Vie ailleurs brosse huit portraits d'hommes et de femmes de l'Amérique noire d'aujourd'hui. Dès sa parution aux États-Unis, ce livre, étonnant de justesse, a propulsé ZZ Packer au rang des jeunes auteurs prodiges. C'est grâce à d'infimes détails piochés dans le quotidien que ZZ Packer débusque les imperfections et les incohérences qui nous rendent à la fois ridicules et humains. De la vieille fille bigote à la jeune prof catapultée dans un lycée à problèmes, en passant par l'étudiant brillant en quête d'identité, tous ses personnages trouvent grâce à ses yeux. Histoire après histoire, par petites touches et dépouillements progressifs, Packer se faufile dans les recoins les plus indicibles de la vie des gens. Subtil équilibre entre humour, ironie bienveillante et maturité, La Vie ailleurs soulève également d'épineux problèmes raciaux. Une critique sociale que ZZ Packer exerce en douceur, sans jamais perdre de vue les individus qui se cachent derrière les situations. Elle illumine de son regard neuf des destins pourtant ordinaires, orchestrés dans une langue simple et musicale.

03/2004

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Littérature française (poches)

LA BELLE VIE

L'auteur de La petite gare, un des meilleurs nouvellistes russes d'aujourd'hui, raconte de nouveau le Grand Nord, les voyageurs pêcheurs et chasseurs, ces solitaires qu'il affectionne. Et parfois survient une femme, le temps trop court d'entrevoir le bonheur...

10/1979

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Littérature étrangère

La vie intense

Roman des romans, tel est le sous-titre donné par Bontempelli à La vie intense. Dix anti-romans synthétiques en effet, et l'on pourrait candidement croire l'auteur quand il prétend dès le début vouloir "renouveler le roman européen" . La vie intense date de l'année 1920. Epoque oblige, il y a du futurisme dans cette structure éclatée, rapide et économe. Mais alors que Marinetti voulait être pape de la nouvelle école, Bontempelli ne retient du futurisme que son préalable hygiénique et destructeur. Sa clownerie dadaïste veut s'en tenir à briser l'illusion naturaliste, s'installer sans autre issue dans l'iconoclaste. Elle rejoint plutôt la cruauté légère et burlesque de Charlot, son autre contemporain. Le temps d'un éclair, presque inaperçu, le ton et les sujets deviennent soudain plus graves. Ces textes funambules, au bord du mystère du réel, n'oublient pas que la Grande Guerre vient de rendre opaques les objets, les sentiments, les rapports les plus élémentaires, la vie même. Derrière les masques et l'alibi de la culture, n'y aurait-il donc que des modes ?

04/1990

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Littérature française

La vie crisocal

"Crisocat" est la traduction en langue créole du mot français "chrysocale" qui qualifie "ce qui n'est pas fabriqué dans un matériau noble, mais qui en a l'apparence". Par exemple, un collier en cuivre doré ou en plaqué or, est dit "collier en crisocal". Il a l'apparence d'un collier en or, mais pas la qualité ni la valeur. Une vie crisocal ? Une vie pauvre, fade et ordinaire ? Hortense n'en veut absolument pas ! Cette jeune Martiniquaise, fille d'un maréchal-ferrant et d'une couturière, vit au bourg de Saint-Pierre dans ta Martinique du début du XXe siècle, et n'a qu'une idée en tête : sortir de sa misérable condition. Elle réussit à gravir, une à une, les marches de l'échelle sociale dans cette Martinique encore rurale et moraliste, grâce à sa rencontre avec un homme de 40 ans son aîné, qui lui permettra de réaliser son projet de vie, à force de courage et de ténacité. Mais à quel prix ! L'auteur nous offre, avec humour et générosité, une charmante promenade à travers la Martinique du siècle dernier, une traversée dans les moeurs sociales et dans le quotidien des familles de l'époque. Une occasion de redécouvrir des tranches d'Histoire oubliées de la Martinique.

10/2014

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Histoire de France

La vie après

Le retour sur le sol français d'un peu moins de 2 500 juifs survivants des camps de concentration - sur presque 76 000 déportés de France - n'a pas encore fait l'objet d'un travail spécifique. La question du retour à la vie " normale " a été laissée de côté. Après le long et douloureux récit de la déportation, ils n'ont plus la force d'aborder le chapitre crucial du retour souvent expédié en quelques formules : " personne ne voulait nous écouter ", " de toute façon il fallait bien continuer de vivre ".Virginie Linhart a repris le récit des survivants là où la plupart l'ont achevé, à leur arrivée en France. Auprès de rescapés juifs d'origines géographiques et sociales diverses, elle a cherché à savoir comment ils ont tenté de retrouver - trop souvent en cachant leur histoire, en la gardant entre eux - une place dans un monde qui voulait ignorer la réalité de la Shoah. Ecouter ce qu'ont été les vies de ces femmes et de ces hommes revenus de l'enfer, comprendre ce qui les a guidés ensuite, constitue l'essentiel de ce livre. Parce que c'est dans les conditions de ce retour qu'est né le tourment de Virginie Linhart, dans le silence qui a accompagné leur trajectoire et bercé son enfance, celui des descendants de ce drame-là.Simone Veil, Marceline Loridan-Ivens, Addy Fuchs, entre bien autres, ont accepté de témoigner pour faire connaître l'épreuve toute particulière et largement méconnue de la vie après.

01/2012

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Littérature française

La vie sauve

" A la fin du mois d'août 2001, alors que je suis installée dans mon bureau, au premier étage de la maison d'édition où je travaille, ma vie bascule. Littéralement, elle tombe par terre. " Finie, l'assurance aveugle de durer toujours. Finis, le jeu social et ses divertissements. Fini, le confort d'une société construite par et pour ceux qui vont bien. Est-ce la fin de tout ? Non. Car dans l'expérience extraordinairement violente qui consiste à affronter l'idée de sa propre disparition, on apprend beaucoup. Sur la force des instants. Sur le courage et la fragilité. Sur les puissances de l'amitié. Et sur notre capacité à rire. De tout. La vie est une maladie mortelle. Mais c'est la vie. Marie Desplechin et Lydie Violet ont écrit ce livre ensemble, pendant de longs mois, sans certitude de jamais le terminer. Ni entretien, ni témoignage, ni récit à deux voix, c'est, à force d'écoute et de partage, un livre où le " je " qui s'exprime est celui d'un seul auteur.

01/2005

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Littérature française

La vie fantôme

Comment vivre ? Connaître de vrais accomplissements, être libre, et heureux ? Et si l'on n'y parvient pas, qui en est responsable ? Le travail, la famille, la province avec ses lenteurs, sa régularité et cette façon d'être comme loin de tout ? Pris dans les contrats et les contraintes d'une vie familiale réglée, Pierre croit avoir trouvé en Laure la figure d'un amour idéal propre à résoudre toutes ses insatisfactions. Et Laure, dans son extrême jeunesse, répond avec élan à la passion de Pierre : ils connaissent ensemble des après-midi secrètes, des moments charnels très forts et les joies équivoques de la clandestinité. Ont-ils, enfin, rencontré la "vraie vie" ? Ou sont-ils condamnés à ne connaître toujours, en fin de compte, qu'un simulacre de vie, une vie fantôme ?

09/1986

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Musique, danse

Retiens la vie

"Si j'aime me repasser le film de ma vie, je ne me complais pas dans mon passé. Je préfère m'intéresser à celui des autres, que j'essaie de faire revivre sous ma plume. Entre ces deux événements, il y a une vie, plus ou moins réussie, plus ou moins banale ou flamboyante, avec son lot de joies et de peines."

10/2018

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Littérature française

La vie sauvage

Bébé rescapé d'un accident d'avion, Charles grandit dans la jungle africaine. Retrouvé par hasard le jour de ses seize ans et ramené à sa famille, il va découvrir les misères de la civilisation dans une petite ville du nord de l'Europe. La rage au ventre, il mettra tout en oeuvre pour retourner d'où il vient et où l'attend l'amour de sa vie. Un magnifique roman d'amour, classique et drôle, lyrique et cruel, sombre et optimiste.

08/2017

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Littérature française (poches)

La grande vie

Adolphe Marlaud habite, rue Froidevaux, un appartement avec vue sur le cimetière, une de ces rues où "on meurt lentement, à petit feu, à petits pas, de chagrin et d'ennui". N'ayant réussi à n'être ni fantôme, ni homme invisible, cet étrange voyageur d'hiver s'est fixé une ligne de conduite : "vivre le moins possible pour souffrir le moins possible". C'est sans compter sur Madame C., sa concierge, qui guette amoureusement son passage du haut de ses deux mètres pour le contraindre à des actes qu'une quatrième de couverture doit taire. Jean-Pierre Martinet, l'auteur de ce texte halluciné paru en 1979, est mort oublié en 1993 : on a redécouvert depuis le sombre génie et la folie magnifique d'une oeuvre sans équivalent. Avec ce court livre, c'est son humour qui explose : il est d'un noir détergent.

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Sciences politiques

A la vie

Ce livre est la relation d'un parcours - celui de Benny Lévy - à travers la voix de sa femme Léo, un itinéraire où les exigences de la pensée et les gestes quotidiens s'ajustent au plus près, alliant à l'extrême rigueur un généreux amour de la vie.« Dans la lumière sans complaisance des matins de Jérusalem, trois stations?: la maison, la maison de prière, la maison d'étude. Le soir, une fois par semaine, détour par le lieu d'enseignement où un public bariolé, passionné, vient écouter le petit homme en noir. Simplicité des rythmes, transparence des jours, soi rassemblé. À Jérusalem, aucun mystère, pas de recoins obscurs grouillant de projections fantasmatiques. Mais ailleurs?? En d'autres temps??Le chef révolutionnaire sans nom, à l'existence improbable, en tout cas invisible, pouvait-il vraiment du chaos des faits et des discours faire émerger une vision et une visée claires??Il eut des maîtres. Côté philosophie, il se réfère à Sartre, Althusser et Lévinas. Côté sagesse d'Israël, il a été enseigné par un cabaliste ashkénaze, un rav français d'origine marocaine, un Yérouchalmi d'ascendance lituanienne. Enfin, au cour de l'énigme, quel lien entre ce tout jeune Juif arrivé d'Égypte, pathétique et ardent, en quête acharnée d'assimilation, et la fille du faubourg Saint-Antoine, placide, rigolote par parti pris, qui portait encore vivaces les traces des villes juives de Pologne?? Étrange rencontre. Plus étrange encore, la constance malgré les turbulences. »

09/2013

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Littérature française

La vie critique

Il aurait voulu être rock star, il est devenu critique littéraire. Fidèle aux grands textes et aux rituels d'un métier en voie de disparition, curieux, amoureux, inconvenant, il défend les fous, les inventeurs et les modernes. Voie facile ? Non, vie critique, où l'on compose avec stocks et désirs, découverts et découvertes, obsessions sexuelles et professionnelles. Un texte intime et risqué, une mise à nu littéraire et politique, où tout conflue vers le désir d'être vivant. A l'ère de la littérature mondialisée et du journalisme prolétarisé, la situation est critique, mais pas désespérée.

08/2013

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Littérature française

La vie lente

Dans la France d'après les attentats de 2015, Mounir, parisien homosexuel de 40 ans d'origine marocaine, vit dans une situation précaire. Il vient d'emménager dans un appartement rue de Turenne. Madame Marty, une vieille dame de 80 ans, survit difficilement au-dessus de chez lui dans un minuscule studio. L'amitié entre ces deux exclus de la République s'intensifie jusqu'au jour où elle vire au cauchemar. Les affrontements et les déchirements s'enchaînent. Excédée, madame Marty appelle la police pour arrêter Mounir. Antoine, le commissaire qui interroge je jeune homme, le soupçonne de liens avec les djihadistes. Mais Antoine existe-t-il vraiment ? Où passe la frontière entre le vrai et l'imaginaire ?

03/2019

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Littérature étrangère

La vie après

Un coup de feu déchire la quiétude estivale d'un palace de la Côte d'Azur. Pour Sagesse La Basse, il sonne le glas d'une adolescence insouciante, et fait remonter à la surface les plaies et les secrets d'une autre vie, celle d'une dynastie pied-noir qui n'a pas su dire adieu à l'Algérie. Et alors qu'un avenir américain semblait s'offrir à elle, Sagesse doit d'abord traquer les fantômes du passé, percer la vraie nature de son entourage : un frère handicapé, un père rebelle, une mère déracinée, sous l'ombre écrasante d'un patriarche intraitable. Entre avant et après, exil et envol, deuil et désir, Sagesse doit apprendre à mériter son nom, à se construire une vie en assumant un héritage obscur. Et ce roman d'initiation, baigné de la lumière du Sud, nous rappelle avec une compassion lucide que l'innocence est toujours condamnée à affronter l'Histoire.

01/2001

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Littérature française

La vie consommée

"Je ne dis plus grand-chose, mon verre est vide et ma vie se fait la malle". Suzanne et ses amis travaillent parce qu'il le faut et boivent pour chasser l'ennui. Vagabonds immobiles, ils rêvent d'amours durables ou au moins d'un peu de tendresse.Tandis que les jours passent comme un disque rayé et emportent leur jeunesse, ils laissent se jouer la mélodie du hasard. Portrait de groupe d'une jeunesse en déshérence, La Vie consommée est un premier roman brut et incandescent.

01/2021

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Littérature française

La vie clandestine

La vie clandestine fait le récit du temps qui passe, de la vie comme elle vient. Elle est ce qui demeure sous-jacent, à l'insu du quotidien, au revers du bruit et des rumeurs du monde, là où quelque chose se passe. Le lecteur est invité à suivre des chemins intérieurs et à découvrir ainsi les siens, dont il a peut-être peu à peu oublié l'existence. En écho à ces voyages intimes, Jean-Marie Lecomte fait don de sa propre lumière, avec toute la liberté que permet son art. Car la liberté est aussi poésie, c'est pourquoi elle est par nature clandestine, comme la vie elle-même.

03/2012

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Littérature française

La vie princière

"Puisque le Domaine est une propriété privée et qu'il ne passe ici qu'un ou deux véhicules par jour, nous marchons en plein milieu de la chaussée, la route nous appartient, on dirait qu'elle a été tracée pour nous seuls au milieu des vallons, percée à flanc de coteau puis parfaitement aplanie, égalisée et goudronnée uniquement pour que toi et moi puissions y marcher tous les deux côte à côte le plus confortablement possible, et parler, parler sans cesse, expliquer, imaginer, se souvenir, inventer, interroger, démontrer, raconter, échanger nos idées, nos mots, nos vies".

01/2018

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Poches Littérature internation

La vie ardente

«C'est à toi ! s'écria Max en levant les yeux vers Fredi, avant même que se soit tu sur la pierre le tintement du sou. La pièce de monnaie oscilla, lançant de petites lueurs, et finalement s'immobilisa. Pas de doute possible : c'était «face». C'était donc bien à lui et, à cette annonce, la gorge de Fredi s'était serrée et son coeur se mit à battre à grands coups.».

10/1991

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Littérature française (poches)

La vie commune

Suzanne, la narratrice, est depuis plus de trente ans l'employée exemplaire de monsieur Meyer et ne souhaite rien d'autre que cette servitude bien réglée. Mais désormais elle va devoir partager son territoire avec une nouvelle secrétaire, une femme vulgaire, mamelue, péremptoire et dont les idéaux petits-bourgeois choquent sa morale pudibonde et sa conception de la vertu. Au cœur de ce huis clos somme toute banal, les sournoiseries quotidiennes, les punitions, les petites batailles acharnées, dérisoires, prennent les dimensions d'une guerre civile. La gêne, l'antipathie, le dégoût deviennent obsession, haine, désespoir. Le délire puis la folie s'installent. Lydie Salvavre, à travers cette fable ironique et cruelle, fait de la vie de bureau le révélateur du cadre où se déroulent toutes nos guerres, petites ou grandes : la vie commune.

05/2007