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Batman : Nightwalker

Extraits

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Poésie

Les Contes du Sire de Baradel, suivi de: Divers d'hiver & d'autres en corps

Ce livre n'est pas en dépit du titre, "Les Contes du Sire du Baradel", une suite aux "Dits du Sire de Baradel" (édités par Jehan Mayoux en 1968 à l'enseigne des éditions Péralta et illustrés par Jorge Camacho) et ne vaut d'autre part que pour la première moitié de l'ouvrage : celle des textes en prose. Les contes sont indépendants les uns des autres, même s'ils témoignent parfois de "préoccupations communes" . La première partie comporte des textes relativement suivis écrits en 2005, plus le dernier datant de janvier 2006. Les textes de "Au menu des mois de menus émois en menus propos", qui composent le deuxième versant des "Contes", écrits de 2006 à 2018, plus dispersés, peuvent paraître plus circonstanciés, mais tout aussi surprenants : Voici le ciel nouveau, et les serments sont inutiles, à moins de les convertir en baisers, d'y mordre et d'y mourir enfin. La deuxième partie du livre, "Divers d'hiver & d'autres en corps", comporte des poèmes écrits entre 2016 et 2018 et animés par la mort et tout ce qui touche à elle, la femme, rituel et sacré, quelques détestations classiques, refus de ces institutions et des valeurs traditionnelles, érigées pas la société et puis cette hantise, cette interrogation : les mots. A la fois volcanique et sensuel, le poète agite ses mots comme des rasoirs qui tranchent la gorge d'un réel souvent imbuvable. Ciselé dans le silex de l'inconscient et de l'émotion, le lyrisme de Delabarre n'est pas une fuite ; il introduit le rêve dans la réalité, sans jamais rien omettre de dire, et sans jamais se résigner. Automatisme ou pas, écrire avec ou sans pantalon est-il à l'ordre du nécessaire ? Et si l'automatisme nous apprenait à savourer un vers. Au barman de nous renseigner. Une paire de bretelles, c'est là notre abécédaire, mais l'automatisme n'y est pour rien, il se prend tout juste à rêver. Automatiquement votre, cela ne veut rien dire, me dit-elle, avant de savourer un zeste de citron accroché à un bout de lèvre. Christophe DAUPHIN

09/2021

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Romans graphiques

Dissident club. Chronique d'un journaliste pakistanais en exil

Chronique d'un journaliste pakistanais exilé en France En 2018, après avoir été victime d'une tentative d'enlèvement et d'assassinat dans son pays d'origine, le journaliste d'investigation Taha Siddiqui trouve refuge en France. A travers ce roman graphique, et en compagnie d'Hubert Maury, il revient sur sa jeunesse, son parcours, et son combat pour la liberté de la presse. Quand les parents de Taha quittent le Pakistan pour l'Arabie Saoudite c'est dans l'espoir d'une vie meilleure. Au pays de La Mecque, le quotidien du petit Taha est déjà régi par un islam rigoriste mais quand son père se radicalise, les choses se corsent. C'en est fini des coloriages de Batman et Superman, place à des livres moins profanes. Désormais les super-héros de Taha seront les leaders religieux ! En pleine Guerre du Golfe, la police des moeurs commence à sévir et bientôt il faudra aussi renoncer au foot de rue. C'est en l'an 2000 qu'une brèche s'ouvre... La famille se réinstalle alors au Pakistan où l'armée a pris le pouvoir. A l'âge de 16 ans, Taha rêve de faire des études d'art, mais son père a d'autres projets pour ce fils qui rechigne à suivre le droit chemin. En attendant, Taha va découvrir une Société faite d'interdits que la jeunesse s'efforce de contourner. Jamais il ne s'est senti aussi libre malgré l'insécurité ambiante. Les attentats du 11 septembre vont profondément l'impacter, tout comme son entrée à l'université. Après avoir connu l'école coranique et la censure, Taha va progressivement s'émanciper et trouver sa voie... il sera journaliste et débutera sa carrière sur une chaîne " hérétique " au grand dam de son père ! Sa détermination, sa foi en son métier et son engagement politique feront de lui une cible comme tant d'autres condisciples à travers le monde. Véritable chronique d'enfance et d'adolescence, Dissident Club retrace avec un humour libérateur et décomplexé le quotidien d'un jeune homme aux prises avec les fondamentalistes religieux ainsi que son combat pour un accès à l'information et la liberté d'expression. Coécrit et mis en scène par Hubert Maury, ancien diplomate devenu auteur de bandes dessinées, ce roman graphique aussi réjouissant qu'édifiant nous offre une vision limpide du Pakistan sur les trente dernières années ainsi qu'une certaine réflexion sur la religion, ses dérives et les fractures d'une communauté. Un témoignage touchant et sensible qui nous rappelle aussi bien L'Arabe du Futur que le travail de Guy Delisle. Aujourd'hui Taha Siddiqui (Prix Albert Londres 2014) et sa famille vivent à Paris. Taha a ouvert en 2020 le Dissident Club, un café & bar où les dissidents du monde entier se retrouvent pour échanger et qui propose régulièrement des conférences, des expositions et des projections.

03/2023

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Pédagogie

Penser et agir l'orientation au 21e siècle. De l'élève au citoyen engagé

Depuis plusieurs années, notre société est en plein bouleversement, dû, notamment, aux progrès technologiques, à l'évolution des modes d'organisation du travail, à la mondialisation de l'économie, à l'explosion démographique, mais également à cause des crises majeures qui touchent notre écosystème, telles que le réchauffement climatique, la pollution, la diminution de la biodiversité ou encore l'accroissement des inégalités socio-économiques entre individus. Dam ce cadre, nos vies et donc nos formations et nos carrières, se retrouvent dans une position que l'on pourrait qualifier d'instable, obligeant les individus à s'autoréguler et à construire eux-mêmes leurs propres projets personnels et professionnels. Ce monde inconstant et imprévisible, "liquide" pour reprendre le terme de Bauman, entraîne la nécessité de revoir nos actions d'aide à l'orientation en nous centrant, non plus sur le simple appariement individu/emploi, mais sur la construction de la personne, tout au long des, vie, au sein des réalités multiples qu'elle côtoie et dans lesquelles elle sera amenée à vivre. Nos actions d'aide à l'orientation, qu'elles se destinent aux plus jeunes, au sein de l'Ecole, ou aux adultes, déjà engages dans un métier ou en quête d'un avenir professionnel, doivent donc s'adapter à une grande variété de contextes tout en aidant les personnes à devenir acteurs et actrices de leur propre projet de vie qui donnera, selon Guichard un sens et une perspective à leur existence. Cet ouvrage présente, à travers un ensemble de textes scientifiques, les enjeux de l'Orientation en ce début de XXIe siècle : dans leur perspective sociétale, ils sont particulièrement réfléchis à travers le concept de Life Design qui cherche à rendre acteur l'Individu de notre monde post-moderne dans sa construction personnelle et professionnelle. L'Ecole, pensée comme un système qui permet de développer l'autonomie des élèves dans le cadre d'une oritentation tout au long de la vie, est examinée sous le prisme de l'Approche Orientante qui veut aider chaque jeune à mieux se connaître, à mieux appréhender le monde qui l'entoure et à construire progressivement un projet personnel et professionnel cohérent. Le Life Design et l'Approche orientante proposent un cadre de réflexion général de l'orientation au XXIe siècle, ainsi que des pistes et des méthodes d'intervention d'accompagnement destinées aux jeunes et aux adultes, dans et en dehors de l'Ecole, et visant à répondre aux défis sociétaux actuels et futurs.

02/2019

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Littérature française

Mâcher la poussière

Le baron Stefano tue un jour un gamin qui traînait sur ses terres. Mais l'enfant était le neveu d'un des chefs de la Mafia, décidé à se venger. Le tuer est impossible, trop de familles dépendent de ses terrains. A la place, on l'emprisonnera à vie dans un hôtel de luxe pour le condamner à y attendre sa mort. Lui qui ne vivait que pour ses oliviers et son amer du soir découvre le poids du temps et de la solitude. Enfermé dans sa chambre, les salles de bal, de réception, les cuisines et sous-sols qu'il apprendra à connaître, verra se faner et renaître, surveillé par les hommes qui au dehors le gardent et ceux qui, de l'intérieur, le dupent, le baron en lin blanc lime les jours en cherchant entre ces centaines de murs un reste de poésie. Et de vie. Il y a bien Isabelle, la jeune femme de chambre dont la fraîcheur l'attire, mais comment vivre un amour dont le seul lit est une prison ? Il y a bien Joseph, le barman qui chaque soir lui donne son viatique, l'alcool - avant que d'autres drogues ne viennent - Joseph et son rêve d'ouvrir un club de jazz où Isabelle pourrait chanter, et peut-être enfin l'aimer. Il ya bien Matthieu, juché derrière le comptoir de sa réception, il connaît tout le monde, surveille chacun, jouit d'un certain pouvoir. Mais comment se lier à ceux avec qui on ne partage que quelques heures et des décors sans âme ? C'est avec eux pourtant que Stefano va vivre une vie faite de joies fugaces, volées ça et là à de rares clients (un jeune couple lumineux, un écrivain célèbre qu'on jurerait être Raymond Roussel) ; d'excitations précieuses (un amour charnel, deux escapades risquées loin des murs de l'hôtel) ; de débauches provisoires et de fêtes privées que Joseph, pour l'aider ou le faire sombrer, organise dans sa suite ; de trahisons, car Joseph, Isabelle, Matthieu et les autres, ne rêvent, comme Stefano, que de se libérer, quitte à tuer pour ça ; une vie de rêves surtout, car on peut enfermer un corps mais rarement un esprit. Avec une grâce et une poésie sans pareil, Oscar Coop-Phane décortique les âmes de ses personnages, ces vies sans trace et sans spectacle, fouille les recoins de l'hôtel, "autant de refuges où la poésie se niche" pour dérouler sous nos yeux l'existence d'un homme et recréer la vie dans cette prison dorée. Et si  le baron reste prisonnier, le lecteur, lui, s'évade grâce à ses mots.

01/2017

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Policiers

Tout perdre

A dix-huit ans, victime d'un cambriolage, Melody reçoit une balle dans la tête mais survit. Son père en revanche sur qui l'assaillant fait feu également est tué sur le coup. Une dizaine d'années plus tard la jeune femme est devenue Mel, une baroudeuse qui écrit des livres sur les sans-abri et sur les immigrés clandestins. Au Mexique elle rencontre Hank, un moniteur de ski et barman qui parcourt lui aussi le pays en stop, tandis qu'au Colorado, Jarrod, un quinquagénaire parti refaire sa vie dans les montagnes, découvre grâce à sa nouvelle voisine la véritable personnalité de sa mère âgée venue lui rendre visite... et qu'Alex, l'agresseur de Mel, aphasique depuis l'âge de neuf ans, prisonnier depuis l'âge de dix-neuf, creuse un fossé sous un soleil de plomb. Alex va prendre peu à peu conscience de son acte, et paradoxalement trouver la vraie liberté en prison. A travers une série de coïncidences marquantes, les trajectoires de ces personnages et d'autres vont croiser celle de Mel, formant un entrelacs narratif dont l'effet et le style rappellent les nouvelles de Carver qui composent la mosaïque du film Short Cuts. Glissant d'un personnage, d'un temps, d'un lieu, d'un point de vue et d'une époque à l'autre, chaque chapitre de Tout perdre est un élément d'un puzzle magistral reconstitué au fil de la lecture. L'Amérique dépeinte par J.C. Amberchele, c'est la Pennsylvanie, le Colorado, la Californie, le Nouveau-Mexique. Nous avons transformé le précepte, "Rien de ce qui est humain ne m'est étranger" en "Rien de ce qui m'est étranger n'est humain". Pour la plupart d'entre nous, l'auteur d'un crime violent, c'est l'autre. Or, un homme ne se réduit pas au pire acte qu'il ait jamais commis. Le crime d'Alex pourrait le condamner à n'être que monstrueux ; mais il devient humain, digne de compassion, à travers la réflexion qui le mènera à accepter la responsabilité de son acte, et le fait d'être finalement "chez lui" en prison. ? Avec Tout perdre J. C. Amberchele est là pour nous le rappeler, tant les trames qu'il tisse par le simple biais du dialogue et de la description soulèvent des questions qui nous concernent tous : Qu'est-ce que l'enfermement ? Qu'est-ce que la liberté ? Et quel en est le prix ?

10/2015

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Littérature française

Morceaux cassés d'une chose

Certains auteurs attendent la fin de leurs jours pour revenir sur leurs premiers pas dans l'existence et en littérature. Oscar Coop-Phane n'aura attendu que ses trente ans pour raconter ce qu'est la vie d'un écrivain aujourd'hui. Ce que cet étrange travail représente pour lui de joies comme de sacrifices. Son récit n'est pas linéaire ou chronologique mais éclaté ; Oscar s'y livre par fragments (définition : morceaux cassés d'une chose), dans de courts chapitres aux titres éloquents (P. I : L'encre, La feuille, L'auteur, La fuite, Le titre... P. II : Parler, S'asseoir, Parader, Boire. .). Il mêle ainsi des souvenirs d'âges différents - de son enfance, son adolescence, sa vie d'homme. Le propos peut d'abord sembler trivial ; les bêtises en classe, les copains, sa découverte des filles, de la littérature ; les petits boulots, pion, barman ou dealer, pour vivre et écrire ; les premiers manuscrits, les refus ; puis le succès, soudain, ses livres en librairie ; et les galères encore, le métier d'écrivain, les interviews, les salons, la peur de la précarité. Mais son récit fourmille de détails qui sont autant de clés : une montre Swatch offerte par sa mère qu'elle prétend être un cadeau de son père, alors qu'il vient de quitter leur foyer ; le geste d'un patron de restaurant près de son lycée qui, chaque fois qu'Oscar s'y rend pour déjeuner, lui rend discrètement le billet avec lequel il vient de payer ; le visage d'une jeune fille, un soir, qui comme lui, semble cacher une cicatrice ; le mépris d'un éditeur ou le regard surpris d'un lecteur qui le voit servir derrière un bar alors que son visage est dans le journal. Car les détails révèlent les événements ; une enfance heurtée par les disputes puis le divorce de ses parents ; une vie de débrouilles pour se loger, manger, dès 16 ans ; le souvenir du corps d'un autre en soi, gamin ; la crainte de ne jamais être publié puis de ne pas pouvoir en vivre. Et aussi, la beauté, tant de joies : la liberté, à Paris, Berlin ou Rome ; les vrais amis et la compagnie des auteurs, Bove, Calaferte ou Dabit ; son premier prix, la fierté ; les rencontres de certains lecteurs ; une femme, l'amour, puis une enfant, sa fille. Et l'écriture toujours. C'est une existence courte, mais intense. Une leçon de courage et de style tant l'écriture ciselée d'Oscar Coop-Phane émerveille. D'une grâce et d'une justesse bouleversantes, ce livre aurait pu s'appeler Morceaux cassés d'une vie autant que Lettre à un jeune écrivain. Ou, s'il avait été écrit par un autre, Et tu seras auteur, mon fils.

01/2020

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Religion

Ganapati Upanishad / Devi Upanishad

La Muktikâ-Upanisad range la Ganapati-Upanisad dans le lot des Upanisad relevant de l'Atharvaveda et en fait la 102e de sa liste. L'Upanisad figure dans les principaux recueils, et est souvent citée - parfois sous forme de simple pralika - dans les manuels liturgiques modernes du type brahmakarma-samuccaya, âhnikacandrika, et autres. Telle quelle, la Ganapati-Upanisad est un texte populaire dans la mesure où elle constitue la garantie soi-disant " védique " de la dévotion au dieu à tête d'éléphant. Une secte Gânapatya connut un certain essor aux alentours du Xe siècle, puis déclina. Peut-être est-ce sous son égide que se constitua la littérature Ganésienne proprement dite. Mais c'est surtout sous l'influence de la tradition smârta que la religion de Ganapati est vivante. Pour ces hindous fidèles au Veda, le dieu " qui écarte les obstacles " est, si l'on peut dire, une forme familière de l'Absolu. Comme le dit l'Upanisad : " il est le brahman rendu sensible aux yeux ". Les Smârta sont partout présents en Inde et l'esprit de leur religion imprègne l'hindouisme commun. Traditionnellement ils ajoutent à l'Upanisad trois autres textes védiques supposés célébrer Ganesa : un hymne du Rgveda, Ganapati-sûkta dédié à Brahmanaspati, le Ganapati-mantra, strophe rgvédique où Brahmanaspati reçoit l'épithète de " Seigneur des Gana", enfin la " Ganesa-gâyalrî " empruntée au Taittirîya-Aranyaka. L' Upanisad ne se soucie nullement d'interpréter les mythes et légendes afférents à Ganapati. Elle se tient sur le seul plan de la célébration ésotérique du dieu et, à ce titre, ressemble à un stotra. D'emblée Ganapati est assimilé à l'Absolu, sous ses deux " aspects ", le brahman et l'âtman. Il est le Veda rendu sensible aux yeux. La Devi Upanisad est la 81e de la liste donnée par la Muktika. De fait, la structure de la Devi Upanisad est la même que celle d'une série de ces tracts dont le seul propos est de célébrer la divinité choisie (ista-devatâ) par un groupe de dévots, comme objet quasi-unique de sa vénération. Ces Upanisad, tardivement rattachées à l'Atharvaveda, ont pour fonction d'exposer, sous une forme à la fois lyrique et brève, l'essentiel de la foi des dévots. La Devi Upanisad ressemble donc beaucoup à la Ganapati. Comme celle-ci, elle est constituée de trois éléments principaux : un hymne de louange (type stotra), un support (pratisthâ) de méditation (dhyâna) évoquant une image de la divinité, enfin la révélation d'une formule secrète (ici dex mantra), communiquée lors de l'initiation et utilisée dans la liturgie. C'est la présence constante (et exclusive) de ces trois éléments, s'articulant selon une structure identique, qui donne son unité aux diverses Upanisad du même type, et il est frappant, à cet égard, de remarquer qu'elles se donnent toutes le nom d'Atharva-sîrsa (ou siras).

01/1983

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Manga

Pack Boy's Love n° 35. Avec 5 mangas

Ce pack manga contient : Un Baiser au goût de Mensonge (176 pages - Volume : 2 / 3) : Wachi, jeune homme brillant en affaires mais qui manque cruellement de sensibilité, est à présent captif de Makio, un ancien escroc reconverti en barman. Bien qu'ils vivent tous les deux dans l'appartement de Wachi et qu'ils couchent très souvent ensemble, le comportement de Makio, qui déteste les contraintes, reste un mystère. Un beau jour, alors que Wachi tente de découvrir où son amant se rend presque tous les soirs, un inconnu l'agresse en pleine rue ! Retrouvez ce couple atypique et leurs nouvelles mésaventures, où se mêlent à la fois amour et sournoiserie.Pure Fetishism (160 pages - Volume : One Shot) : "Laisse-moi tripoter tes fesses !! "Itaru, responsable du restaurant Tsujiya dont son frère est le propriétaire, a un penchant un peu particulier... C'est un fétichiste des belles fesses ! Un jour, il fait la rencontre de Natsu, étudiant à la recherche d'un travail à mi-temps, et qui possède les fesses de ses rêves ! Lorsque Natsu se met à travailler pour eux, Itaru, obligé de réprimer ses envies, a un mal fou à se concentrer sur son travail...Can't i hate you (160 pages - Volume : One Shot) : Aki et Jin font partie du même groupe d'amis d'enfance mais ne peuvent s'empêcher de se disputer à chaque fois qu'ils se voient. Aki est un jeune homme obstiné et sérieux qui travaille dans une poste, tandis que Jin, avec ses allures de coureur de jupon, est le fils d'une grande et riche famille. Tous deux très proches de leur ami Hina, adorable et toujours de bonne humeur, aucun ne veut se résoudre à laisser l'autre sortir quelque part seul avec lui. Leur situation a beau ressembler à ce qu'on appelle un triangle amoureux, un beau jour, lorsque Jin et Aki sont seuls, l'ambiance devient... étrange. Malgré leur haine l'un pour l'autre, les battements de leurs coeurs s'accélèrent... et il finissent même par s'embrasser... ! ? Same Difference (176 pages - Volume : 4 / 6) : Dans les tours jumelles d'une certaine compagnie, deux éternels rivaux, chacun au top de l'élite de sa propre tour, ne peuvent s'empêcher de se chamailler. D'un côté Ozaki, autoproclamé super beau gosse, et de l'autre Tsuburaya, l'ingénieux et sadique prince charmant. Si leur relation amoureuse avait jusque-là pu être gardée secrète, le vicieux chef du département des affaires générales n'hésite pas à la dévoiler à l'ensemble du personnel de l'entreprise. Comment Ozaki et Tsuburaya vont-ils se sortir de cette situation désespérée... ! ? Comment je me suis fait adopter (174 pages - Volume : One Shot) : Miyajima, d'un caractère plutôt timide et ouvertement gay, est le fils des propriétaires d'une auberge traditionnelle japonaise. Depuis tout petit, il éprouve en secret un amour à sens unique pour son ami d'enfance Takeuchi, beau garçon taciturne qui exerce le métier de cuisinier. Conscient de susciter la réprobation des autres à cause de son homosexualité, Miyajima vit en demi-teinte, à essayer de ménager les sentiments de Takeuchi et de ses propres parents. Mais lorsque son père, chef cuisinier de leur auberge, tombe malade, et que Miyajima décide de retourner chez ses parents pour les aider, il ne s'attend pas du tout à ce que Takeuchi débarque peu de temps après pour lui proposer de travailler pour lui !

12/2015

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Manga

Pack Boy's Love Partie 30 . Avec 5 Mangas Yaoi

Ce pack manga contient : It will be attacked if i walk (176 pages - Volume : One Shot) : Ayumi Hirakawa, élève modèle au lycée, ne comprend pas l'intérêt que lui porte son sempai Isezaki, qui vient d'une riche famille, et qui a le monde entier à ses pieds. Le fait qu'Ayumi semble être le seul à résister à son charme n'a pas l'air de plaire à Isezaki, qui décide de tout mettre en oeuvre pour le faire tomber amoureux de lui...La situation s'annonce dangereuse pour Ayumi ! Parce que c'est l'essentiel (162 pages - Volume : One Shot) : Ryûji, salarié sans la moindre once de délicatesse, et Tomoya, barman gay, sont amis depuis le collège. Ce dernier avait déjà dit à Ryûji qu'il n'était pas du tout son genre, et leur amitié semblait inébranlable. Pourtant une nuit bien arrosée, alors que Ryûji vient de voir sa demande en mariage rejetée, Tomoya le console en lui disant " je suis content que tu ne l'aies pas épousée ", avec ce sourire empli de tristesse dont il a le secret. Sans même savoir pourquoi, Ryûji éprouve tout à coup un irrépressible désir pour cette main qui lui caresse la tête... ! ? Loveism (176 pages - Volume : One Shot) : Depuis le lycée, Kento Amano est désespérément amoureux de son sempai, Ryôsuke Momo, qui accepte de coucher avec n'importe qui, mais qui refuse d'entamer une relation amoureuse sérieuse. Persuadé qu'il s'agit d'une façon de combler un manque d'amour, Amano décide de faire de son mieux pour le rendre heureux, mais Ryôsuke continue encore et toujours à repousser ses avances, jusqu'à ce qu'ils finissent par se perdre de vue.Quelques années plus tard, affamé et sans domicile, Amano retombe par hasard sur Ryôsuke, qui lui propose de l'héberger et de l'employer. Le jeune homme est fou de joie à l'idée d'habiter avec son sempai adoré, mais Ryôsuke le prévient : Amano ne sera qu'un "serviteur" pour lui ! Par ailleurs, Amano ne tardera pas à se rendre compte qu'il ne s'agit pas du seul obstacle dressé sur sa route...Comment je suis devenu majordome (175 pages - Volume : One Shot) : "A partir d'aujourd'hui, tu seras majordome ! "Kiyotsugu, chef du clan Dôma et otaku sur les bords, décide un jour de revisiter entièrement le look des membres de son clan, afin d'éviter qu'ils soient pris pour des yakuzas. Fujizuka, qui s'occupe de lui depuis son enfance, écope donc de la fonction de majordome, ainsi que de l'habit assorti. Mais, si Kiyotsugu semble beaucoup s'amuser à rhabiller les membres de son clan et à s'affubler lui-même de tous les accoutrements possibles et imaginables, il semblerait que ses actes cachent une motivation plus sérieuse...Fujizuka parviendra-t-il à comprendre les intentions de Kiyotsugu, alors que celui-ci multiplie les tentatives maladroites pour exprimer ses sentiments ? Kiss and Loving (192 pages - Volume : One Shot) : Ayumi Hirakawa, élève modèle au lycée, ne comprend pas l'intérêt que lui porte son sempai Isezaki, qui vient d'une riche famille, et qui a le monde entier à ses pieds. Le fait qu'Ayumi semble être le seul à résister à son charme n'a pas l'air de plaire à Isezaki, qui décide de tout mettre en oeuvre pour le faire tomber amoureux de lui...La situation s'annonce dangereuse pour Ayumi !

09/2015