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Guerre d'Orient. Partie 3

Extraits

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Histoire de France

Kamerun ! Une guerre cachée aux origines de la Françafrique (1948-1971)

Dans les années 1950 et 1960, les dirigeants français ont mené au Cameroun une guerre secrète. Pour garder la mainmise sur ce pays clé de son empire, la France a inventé une politique africaine néocoloniale. Alors qu'elle écrasait dans le sang le mouvement nationaliste porté par l'Union des populations du Cameroun (UPC), elle octroya au pays une "indépendance" de façade et plaça à sa tâte une dictature "amie". S'appuyant sur d'innombrables témoignages et sur des milliers d'archives, les auteurs détaillent les étapes de cette guerre méconnue. Ils racontent comment furent assassinés, un à un, les leaders de l'UPC : Ruben Um Nyobè en 1958, Félix Moumié en 1960 et Ernest Ouandié en 1971. Ils montrent comment l'administration et l'armée françaises, avec leurs relais locaux, ont conduit une effroyable répression : bombardements des populations, escadrons de la mort, lavage de cerveau, torture généralisée, etc. Et ils expliquent finalement pourquoi cette guerre, qui a fait des dizaines de milliers de morts, a transformé le Cameroun en laboratoire de la "Françafrique", ce pacte néocolonial grâce auquel les élites françaises et africaines s'accaparent les richesses du continent et privent les peuples de leurs droits.

01/2019

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Histoire de France

Passeurs, fugitifs et espions. L'Andorre dans la Deuxième Guerre mondiale

Qui, en se rendant en Andorre aujourd'hui. imagine le rôle qu'a joué la principauté pendant la Deuxième Guerre mondiale ? Qui sait combien la frontière andorrane fut synonyme de liberté pour ceux qui - juifs, résistants ou aviateurs abattus rejoignant leur base - fuyaient le nazisme et la France de Vichy ? Qui se souvient du rôle joué par ces Andorrans, membres ou non de réseau d'évasion, passeurs ou espions qui opéraient sur un territoire cerné de montagnes mais idéalement placé sur l'axe Toulouse-Barcelone, Gibraltar ou Lisbonne ? Territoire dont il s'agissait aussi pour les autorités en place de préserver au mieux l'intégrité et l'indépendance. Claude Benet suit à la trace ces fugitifs et explore le fonctionnement des filières en s'appuyant sur les archives anglaises, françaises, espagnoles et andorranes et en s'entretenant avec certains des protagonistes de cette page d'histoire encore entourée de mystères et de tabous.

08/2010

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Sciences historiques

Cinq enfants dans la tourmente. Récits de guerre 1870-1915-1944

Le regard de cinq enfants sur les guerres des adultes : Alphonse Baroz (22 ans), soldat de la guerre de 1870-71 est prisonnier des Prussiens et envoyé à Könisberg. Alexandra (13 ans) et Henri Pupponi (11 ans) écrivent à leur père, alors sur le front de l'Argonne, un journal aux accents de patriotisme exacerbé. Madeleine Pupponi (10 ans en 1941), fille d'Henri Pupponi et épouse d'Emmanuel Le Roy Ladurie évoque les activités résistantes de ce père et les siennes durant la dernière guerre. Marie Le Roy Ladurie (16 ans), soeur d'Emmanuel, rédige un journal relatif au débarquement des alliés en Normandie. Une chaîne généalogique étroite relie ces récits, réquisitoires de l'absurdité du monde. Au soir sa vie, Emmanuel Le Roy Ladurie nous offre ce cadeau.

10/2015

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BD tout public

Moi René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB Tome 1

Nous nous étions battus, mon mécano et moi. Nous avions reçu l'ordre de détruire l'ennemi. Nous avions obéi... Oui, nous nous étions battus, et ce 22 mai 1940, un mercredi, douze jours après l'offensive, au petit matin, à l'orée d'un bois, nous venions d'être faits aux pattes. C'était à Mons-en-Chaussée, près de Péronne, dans la Somme. Mon père avait été blessé dans ce coin, vingt-cinq ans plus tôt. Moi, j'avais vingt-cinq ans et je venais de recevoir comme un coup de massue derrière la tête.

11/2012

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Policiers

Roulette russe. La guerre secrète des espions anglais contre le bolchevisme

"Personne ne doit savoir où vous allez... Pas même vos hommes. Il ne faut à aucun prix éveiller les soupçons sur vos activités, ni ici en Angleterre, ni pendant votre voyage". 1917. Au lendemain de la révolution russe, un groupe d'espions anglais entre clandestinement en Russie soviétique afin de déjouer les plans de Lénine.

03/2015

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Droit

De la guerre à la communauté universelle. Entre droit et politique

L'espoir né de la création de l'Organisation des Nations unies après la Seconde Guerre mondiale n'a pas été suivi des bienfaits attendus et la fin de la guerre froide n'a pas été l'occasion de nouvelles avancées dans la prévention des conflits. Le monde globalisé reste en proie à la violence, aux entraves à la liberté, aux inégalités grandissantes, à un usage inconscient et destructeur des ressources de la planète. Cette situation impose de penser une nouvelle organisation de la communauté universelle, ce qui ne se fera pas sans un changement de paradigme. Le principe qui préside encore à l'organisation du monde est celui de la division en États souverains. Mais il est illusoire de croire que la souveraineté puisse être la condition de la paix. Dans un nombre grandissant d'États, elle est réduite à un pouvoir de répression. Elle ne garantit pas la liberté des groupes ni la recherche du bonheur commun. Elle fait obstacle aux avancées du droit international et elle permet l'impunité des dirigeants. Partant de ce constat, Monique Chemillier-Gendreau met sa longue expérience du droit (par l'enseignement, mais aussi par la participation à des procédures internationales) au service d'une analyse critique de la situation actuelle. Elle prône l'abandon du concept de souveraineté, porteur des possibilités de guerre, au profit de celui d'association politique des hommes libres, retour à la liberté du peuple, mais aussi à sa responsabilité. Si elle défend cette idée à l'échelle des communautés nationales, elle l'élargit à toutes les communautés politiques, infra ou supra-nationales. Partout où des hommes et des femmes assemblés ont à décider d'une part de leur destin, le politique doit être réhabilité contre l'emprise de l'économique et contre les bureaucraties actuellement à l'oeuvre.

03/2013

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Histoire de France

L'homme dans la guerre. Maurice Genevoix face à Ernst Jünger

Ils se battirent l'un contre l'autre, à la tranchée de Calonne, et furent blessés le même jour. Ces deux hommes, si jeunes, vécurent le même conflit, l'un germanophile, l'autre francophile, l'un et l'autre amoureux des lettres et du pays ennemi ; ils montrèrent une inconcevable ardeur au combat, tuèrent de leurs mains, et virent mourir. Ils devinrent deux immenses écrivains sous les bombes et dans l'horreur, par l'horreur ; ils racontent les mêmes choses, les mêmes lieux et la même sanie, et pourtant ne disent pas la même guerre. Le Français, Maurice Genevoix, parle de chaque homme qui tombe, l'Allemand, Ernst Jünger évoque les soldats, l'armée, la nation. Pourquoi cette guerre ? Leur lecture croisée, cent ans après, donne un éclairage extraordinaire sur le premier conflit mondial. Interrogeant pour la première fois les deux plus grands écrivains du conflit, Bernard Maris s'approche d'un double mystère : celui de l'acharnement des combats, et de la singularité de nos deux nations, la française et l'allemande. Il nous porte, avec Genevoix et Jünger, à la hauteur de cette Guerre dite "Grande" ; et ils portent la mémoire des soldats jusqu'à la pitié sans laquelle, depuis Homère, la guerre ne peut exister.

10/2013

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Science-fiction

V-Wars Tome 1 : Première chronique de la Guerre des Vampires

Le réchauffement climatique entraine la fonte des glaces polaires et avec elle, la libération d'un virus millénaire. Certains malades subissent une mutation génétique les transformant en vampires. L'humanité affronte des lors un prédateur d'un genre inédit... Dans ce roman haletant rédigé à plusieurs voix sous la direction de Jonathan Maberry, les auteurs, tels des correspondants de guerre, distillent l'effroi avec une force incroyable. Découvrez l'histoire glaçante qui inspira la série de Netflix.

01/2020

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Histoire internationale

Les drogues et la guerre. De l'Antiquité à nos jours

Des champignons hallucinogènes au LSD, du coca à la cocaïne, des amphétamines à l'ecstasy, cet ouvrage raconte une autre histoire des guerres, depuis Homère jusqu'aux conflits actuels. Il démontre que les soldats de toutes époques et de toutes civilisations ont eu recours aux drogues, de leur propre initiative ou de façon organisée parles hiérarchies. Si l'usage de drogues par les GI's américains au Vietnam ou par les nazis était déjà documenté, Kamienski élargit spectaculairement le tableau en dévoilant une pratique quasi universelle, des Vikings aux armées high-tech. On apprend comment le haschich a conquis les Européens pendant la campagne d'Egypte de Napoléon, comment l'opium s'est imposé pendant la guerre civile américaine, avant que la Première Guerre mondiale ne crée un marché de la drogue en Amérique du Nord, ou encore comment on enrôle les enfants-soldats de l'Afrique actuelle. Le but de ces pratiques ? Vaincre la peur, doper les guerriers au combat, supporter le manque de sommeil, surmonter la dépression. Aujourd'hui, en toute légalité, des laboratoires préparent les drogues du futur qui permettront de réguler le sommeil, de supprimer les syndromes post-traumatiques, et aussi de droguer l'ennemi à son insu pour l'amener à renoncer au combat. Des perspectives bien réelles qui ouvrent de nombreuses questions éthiques et philosophiques.

09/2019

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Sciences historiques

Comment sortir de la guerre ? Deuil, mémoire et traumatisme (1870-1940)

Comment une société sort-elle de la guerre ? L'étude des mouvements commémoratifs mis en place après chaque conflit donne une idée des représentations des contemporains sur la guerre, du lien existant entre travail de deuil et travail de la mémoire. L'attitude des populations de la Marne et de la Sarthe est ici comparée, leur situation par rapport au combat (champ de bataille ; arrière) s'inversant en 1870-1871 et 1914-1918. A travers les formes commémoratives les plus diverses, les rites, les discours, de la sphère privée au corps civique, leur sortie de guerre s'effectue à des rythmes différents. L'investissement mémoriel varie dans le temps et dans l'espace. A quoi servent ces commémorations ? Elles jouent un rôle essentiel dans une économie de la violence qu'elles contribuent à canaliser après les combats. Elles entretiennent aussi la possibilité d'user de violence en vue de défendre la nation. Si l'expression du traumatisme se réduit au fil du temps, il n'est pas certain que le discours officiel ait facilité le travail de deuil. La mort des soldats s'inscrit en effet dans deux modes d'explication successifs : l'un guerrier issu de la défaite de 1870, l'autre pacifiste né de l'horreur des tranchées. La contradiction entre ces deux structures culturelles s'accuse après l'hécatombe de 1914-1918. Lors de la montée des périls dans les années 1930, cette opposition double le travail de deuil d'un clivage douloureux. Là se trouve peut-être une explication de la passivité des Français face à l'éventualité d'une nouvelle guerre.

09/2011

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Sciences historiques

L'art de la guerre. De Sun Tzu à Xi Jinping

L' Art de la guerre de Sun Tzu exerce toujours la même fascination sur nos contemporains. Est-ce parce qu'il s'agit du premier livre de stratégie écrit il y a 2 500 ans ? Peut-être, mais cela ne suffirait pas à expliquer son succès jamais démenti. Il contient surtout des leçons qui ont franchi le mur des siècles et qui restent pertinentes. Pascal Boniface, avec la clarté pédagogique qu'on lui connaît, nous offre une mise en perspective de L'Art de la guerre avec l'actuelle stratégie chinoise. Il démontre que lire Sun Tzu permet de comprendre la montée en puissance de la Chine qui paraît aujourd'hui irrésistible. Mais aussi que ses leçons sont désormais au service de tous ceux qui veulent se les approprier, y compris Donald Trump.

10/2019

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Histoire de France

Jour de guerre. Reliefs de 1914-1918. Avec des lunettes 3D

A l'occasion du centenaire de la Grande Guerre, ce livre exceptionnel propose l'exploration en relief d'une sélection des plus belles plaques stéréoscopiques (photos sur plaques de verre) réalisées pendant le conflit et issues du fonds du "Mémorial de la Clairière de l'Armistice" de Compiègne. Chaque image a été recadrée, nettoyée, retravaillée et permet de découvrir la guerre dans ses détails crus, tragiques, souvent insoupçonnés. Grâce aux lunettes 3D insérées dans le livre, la profondeur et la netteté stupéfiantes de ces photos suscitent, un siècle plus tard, une émotion intacte. En complément du texte sensible et documenté d'Alexis Jenni, un professeur et historien spécialiste de 1914-18 apporte les précisions techniques et stratégiques qui donnent au lecteur une vision d'ensemble de la période. Grâce au talent d'Alexis Jenni et à la force des images, ce livre est un voyage unique dans le temps et l'espace de la Grande Guerre.

11/2014

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Histoire internationale

La guerre du fleuve. Un récit de la reconquête du Soudan

Le 2 août 1898, le lieutenant Winston Churchill, vingt-trois ans, rejoint au Caire le 21e régiment de lanciers de l'armée britannique où il n'a obtenu un poste que par l'intrigue de sa puissante famille. Lord Kitchener, qui mène les 25 000 hommes de l'armée anglo-égyptienne lancée à la reconquête du Soudan, n'a aucune envie d'enrôler ce jeune homme si avide de batailles qu'il s'empresse aussitôt de les raconter dans les meilleures gazettes londoniennes. Churchill, dans son premier livre La Guerre du Malakand (édité aux Belles Lettres dans la même collection) n'a pas épargné non plus le gouvernement de Sa Majesté dans sa conduite de la guerre en Afghanistan qu'il vient de quitter. Maintenant, il fait route le long du Nil, direction Khartoum, capitale des rebelles mandistes, les fameux derviches tourneurs. Pistolet Mauser à la main, il échappe de peu à la mort dans la dernière grande charge de la cavalerie britannique à Omdurman. La Guerre du Fleuve est un document essentiel - et inédit - pour comprendre la jeunesse et la formation d'un des plus grands hommes politiques du XXe siècle. Le futur Prix Nobel de littérature poursuit ici l'apprentissage de l'écriture de guerre, dans un récit qui mêle journalisme et littérature, avec une peinture exubérante des vastes territoires du Nil, mais aussi - suprématie blanche oblige - avec des analyses parfois bourrées de préjugés sur ses populations. Churchill ouvre la voie aux grands reporters de guerre qui, tout au long du siècle, raconteront ses horreurs. Lui est déjà ailleurs, en partance pour l'Afrique du Sud où la révolte des Boers lui semble prometteuse de sang, de sueur et de larmes.

03/2015

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Sciences politiques

La dimension sacrificielle de la guerre. Essai sur la martyrologie politique

Ce livre est une analyse polémologique fondée sur une approche multidisciplinaire et une culture de la sociologie politique dont les suggestions, comme la ritualisation de la guerre, la martyrologie, les mythes, la question de l'honneur et du prestige, et la dimension sacrificielle des stratégies, conduisent, à la fois, à l'examen exploratoire de la dynamique guerrière et à une réflexion approfondie des conflits armés dans le système international contemporain. L'auteur parle également du statut onirique du lien social, une hypothèse inspirée par Gaston Bouthoul. Il souligne la pertinence de "l'imaginaire collectif" dans l'analyse de la bellicité, telle que développée par Castoriadis dans L'Institution imaginaire de la société, et présente les dimensions sur lesquelles se construisent la mobilisation guerrière, le courage et l'ardeur du combattant, à savoir : la dimension sacrificielle qui symbolise la force et la mise à mort et traduit le degré de dévouement des hommes, et la dimension dualiste, qui traduit l'affrontement et à laquelle répond le phénomène de ritualisation des combattants. Bref, une perspective polémologique qui s'articule avec la dimension anthropologique et avec l'analyse actuelle des relations internationales, notamment dans les situations de troubles chroniques.

11/2012

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Religion

Guerre de religion et police de la pensée : une invention monothéiste ?

Les religions abrahamiques ont développé une nouvelle motivation de violence : celle de détruire les dieux d'autrui pour imposer le sien. Au nom de l'introduction, inédite jusque là, de la notion du vrai et du faux dans le domaine des dieux. L'extirpation de l'idolâtrie a justifié des persécutions religieuses, des guerres de religion, un impérialisme de la pensée qui s'est illustré par l'Inquisition, et qui, au nom de l'évangélisation, prétend détruire tout autre système religieux. En comparaison, le polythéisme a parfois interdit des pratiques religieuses qu'il jugeait dangereuses pour l'ordre public, mais il n'a jamais qualifié un dieu de faux, ni engagé de guerre pour promouvoir un dieu, ni détruit les dieux des peuples vaincus. La pluralité des aspects de la vérité, la relativité de tout énoncé y étaient reconnues. Cette prévention contre l'absolu ne fut retrouvée en Europe qu'à partir de la Renaissance. Des rechutes débouchèrent néanmoins sur la Terreur, sur les " religions séculières ", sur les fondamentalismes. Via la mondialisation, la tentation de l'absolu tend aujourd'hui à contaminer d'autres religions. Prétendre que les religions monothéistes ne sont que " de paix et d'amour " constitue une présentation tronquée de la réalité. Ce qu'elles veulent d'abord, c'est purifier, convertir, exercer une emprise sur les âmes. II tend à en résulter une diabolisation de l'adversaire et une sacralisation de la violence. Ce diagnostic reste pourtant contesté voire inaudible. Aussi ne faut-il guère s'étonner de ce que la fin des guerres de religion n'intervienne le plus souvent qu'après un lourd tribut de violence, et que la solution ne vienne pas du monde religieux, mais de la société civile. Cet essai est le premier d'une trilogie. II vise à présenter les faits. Le second partira à la recherche des mobiles, et suggérera une voie de solution. Le troisième discutera les arguments des opposants à la thèse de la violence monothéiste.

10/2016

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Historique

Machines de guerre : L'Etoile de Koursk. T-34 - Kypckar 3be3aa

Entrée en service en 1940 et surpassant tous les chars allemands de l'époque, le T-34 fut à bien des égards le meilleur char de la Seconde Guerre mondiale. Heinz Guderian, le spécialiste des chars allemands, disait que le T-34 était "le meilleur char du monde". Ce que l'on sait moins c'est que plusieurs équipages féminins furent amenés à la piloter. Parmi eux, celui d'Aleksandra Samusenko, de la Première Armée de la Garde, qui commença sa carrière durant la guerre d'Espagne et la finira le 3 mars 1945 en Poméranie après avoir détruit trois Tigres.

02/2021

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12 ans et +

Les galaxies distordues Tome 4 : La guerre des Orks. 1e édition

Toujours à la recherche du Siège de l'Empereur, Zelia, Talen et Mekki arrivent sur la planète Weald, couverte de jungle. Accompagnés de l'ingénieux Fleapit et de la flamboyante Libre Marchande Amity, Zelia et ses amis sont pris dans une guerre entre deux tribus de brutes orks à peau verte ! Seule leur débrouillardise peut leur permettre de survivre à la sauvagerie de cette rencontreâ¦

08/2020

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Histoire de France

Au-delà des plages. La guerre des Alliés contre la France

En France, la fin de l'occupation nazie est associée à deux événements : le débarquement sur les plages de Normandie puis l'entrée de la 2e DB de Leclerc dans Paris. S'il n'est pas dans l'esprit de l'auteur d'en nier l'importance, il montre néanmoins qu'il est nécessaire d'ouvrir la focale et d'analyser toutes les facettes de la guerre menée par les unités anglo-américaines dans le ciel de France. Utilisant des bombardiers comme artillerie à longue portée, le général Eisenhower organisa la destruction de ports, de complexes industriels, d'installations militaires et même de villes entières. Cette offensive entraîna la mort de dizaines de milliers d'hommes, femmes et enfants, et causa des dommages irréparables aux cités et aux oeuvres d'art d'une nation certes occupée, mais amie. En examinant la doctrine et les plans du commandement allié tout en racontant les opérations principales, Stephen Bourque offre un récit complet et particulièrement percutant de la guerre des Alliés contre la France entre 1940 et 1945. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Simon Duran

01/2022

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BD tout public

Machines de guerre Tome 4 : Le Loup Gris. Panzerkampfwagen VIII Maus

Ce projet de char, le plus gros de toute la Seconde Guerre, un monstre de 188 tonnes, fut produit à seulement deux exemplaires. Dans notre histoire, le titan d'acier rôde dans les forêts ukrainiennes, semant chaos et destruction. Une jeune et courageuse chef de tank russe s'est jurée de stopper sa course meurtrière. Le combat s'annonce rude.

01/2022

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Histoire de France

Les As français de la Grande Guerre. Tomes 1 et 2

Les exploits des aviateurs français pendant la Première Guerre mondiale avaient longtemps été occultés par ceux des autres nations. Cet ouvrage vient combler cette lacune offrant pour chacun des 187 As une fiche biographique, illustrée de son portrait et comprenant ses dates et lieux de naissance et de décès, ses numéros de matricule et de brevet, un récit exhaustif de sa carrière et le tableau de ses victoires homologuées.

06/1983

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Lecture 9-12 ans

La Guerre des Clans (Cycle 1) Tome 6 : Une sombre prophétie

Etoile Bleue est morte ! Ses guerriers sont sous le choc, et notamment Coeur de Feu, qui devient le meneur du clan. Le jeune guerrier reçoit alors dans son sommeil une prophétie étrange et effrayante : des temps obscurs se profilent pour lui et les siens. Au même moment, Etoile du Tigre, leur ennemi juré, fomente un nouveau complot. Pour conquérir le pouvoir absolu, il est prêt à pactiser avec une horde de chats impitoyables. Jamais l'équilibre fragile de la forêt n'a été si menacé...

10/2010

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Histoire de France

La raison de guerre. Correspondance du cardinal de Richelieu, année 1635

L'année 1635 est l'une des dates essentielles du règne de Louis XIII et de la première moitié du XVII siècle. L'entrée en guerre ouverte contre les Habsbourg est devenue inéluctable. Le cardinal-ministre aurait préféré s'assurer d'abord du duché de Savoie, comme il l'a fait de la Lorraine, mais la proximité des Etats pontificaux rend tout projet de conquête italienne irréalisable. Face aux événements, Richelieu doit désormais plus composer qu'anticiper. Le 19 mai, la déclaration de guerre est portée à Bruxelles, au représentant du roi d'Espagne. Or la victoire à Avein n'est suivie que du pillage de Tirlemont et d'une retraite peu glorieuse à Louvain. Opposé au départ de Louis XIII sur le front et à l'exposition directe du monarque, Richelieu, malade sur un lit de douleur, n'assiste que de loin aux événements. Il doit faire face à la fois à l'insuffisance des finances royales, à la pénurie de vivres qui affaiblit les troupes engagées, aux désertions, aux révoltes populaires face à l'accroissement inexorable de la fiscalité, et aux critiques de ses ennemis. Le souverain lui-même met en doute sa capacité à gérer la crise. Il ne peut cependant se passer d'un tel serviteur. Après la tête de Puylaurens, favori du duc d'Orléans, Richelieu obtient enfin des subsides du clergé de France, en même temps qu'une nouvelle invalidation du mariage de Monsieur. 1635 révèle toutes les difficultés d'exercice d'un pouvoir qui n'est jamais acquis et celles d'un gouvernement sans cesse à réformer.

12/2016

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Histoire de France

Un dessinateur et un comte dans la Grande Guerre. Journaux croisés

Henri Rouillon, d'abord tanneur puis dessinateur technique à Paris, a 36 ans lorsqu'il arrive sur le front en 1914. Simple soldat, il tient quasi quotidiennement, pendant plus de 4 ans, un carnet de route dans lequel il note avec précisions ses activités, les faits saillants de la journée ou ses distractions parmi lesquelles celle de faire des dessins, d'un graphisme élégant et sûr. Le comte Henry de Maillard, né au château de la Combe en Dordogne, vit de ses rentes lorsqu'il est mobilisé en 1914 à l'âge de 40 ans. A travers son récit, d'un style alerte et rédigé dans une très bel le langue, ce sergent décrit son quotidien et nous livre ses impressions sur la guerre et les hommes qu'il commande. Ces deux journaux, publiés dans leur intégralité, constituent déjà des témoignages rares et très précis sur certains secteurs du front comme les Flandres ou encore l'est Soissonnais (entre avril 1915 et décembre 1916). De plus, ces témoignages émanent de deux hommes qui étaient pendant une grande partie de la guerre dans la même unité, au même moment, et dans le même secteur. Leur comparaison permet de voir si deux combattants, avec des origines sociales et des grades différents, ont décrit et ont vécu leur expérience combattante de la même façon. Ce livre publie l'intégralité de leurs carnets de guerre et les 64 dessins et croquis d'Henri Rouillon (qui tient 4 cahiers de guerre sur la base d'un carnet de route tenu de juillet 1914 au 22 février 1919) et du comte Henry de Maillard (qui écrit sa guerre au jour le jour du 6 août 1914 au 23 septembre 1917, date à laquelle il quitte définitivement le front pour être affecté au service des camps et cantonnements du Groupe d'Armée du Nord).

12/2016

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Sciences politiques

L'humanitaire en guerre civile. La crise du Biafra (1967-1970)

Mai 1967, au Nigeria, la République du Biafra déclare son indépendance. Bientôt, la guerre civile et la famine ravagent la région et font progressivement irruption dans les médias européens et américains. Les photographies du conflit soulèvent une émotion considérable en Occident. L'enclave sécessionniste et les zones reprises par l'armée nigériane deviennent alors le théâtre d'importantes opérations de secours, élaborées et financées par de multiples organisations et gouvernements. S'inscrivant dans une historiographie de l'humanitaire en plein renouvellement, ce livre raconte l'histoire de la guerre, de sa métamorphose en une crise internationale et des réponses qui ont y ont été apportées.

03/2018

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Histoire internationale

La guerre la plus longue. L'Occident dans le piège afghan

Plus long que la Première et la Seconde Guerre mondiale, que la guerre d'Algérie ou que celle du Vietnam, l'interminable conflit afghan a broyé les espoirs de « nation building » que nourrissait l'Occident. Plus de dix ans d'une guerre « asymétrique » contre un ennemi aussi insaisissable qu'omniprésent et quels résultats ? Aucune des calamités qui ravageaient l'Afghanistan n'a été endiguée : ni l'insurrection, ni le terrorisme, ni les rivalités ethnico-tribales, ni l'économie à la dérive, ni la corruption endémique, ni la pauvreté. Certains fléaux, comme le trafic de drogue, se sont même aggravés. L'Occident a payé son obstination au prix fort : plus de 3 000 militaires de la coalition tués et des dizaines de milliers d'autres blessés, des milliers de victimes civiles « collatérales » aussi, 2 000 milliards de dollars partis en fumée. Comment en sommes-nous arrivés là ? À l'heure où les corps expéditionnaires des membres de la coalition lèvent le camp les uns après les autres, il était temps de dresser le « post mortem » de cette guerre si longue et si coûteuse. Un bilan militaire et politique, bien sûr, mais également humain, car ce sont d'abord les soldats, les sous-officiers et les officiers américains, anglais ou français, et leurs protégés de l'Armée nationale afghane, qui ont payé le plus lourd tribut, celui du sang, à ce mirage. Nul n'était mieux placé pour nous en parler qu'Hervé Asquin. Correspondant Défense de l'Agence France-Presse de 2006 à 2010, il a à son actif pas moins d'une vingtaine de reportages sur le terrain. Hervé Asquin a interrogé les ministres successifs de la Défense, les hauts gradés, rencontré à de multiple reprises l'état-major français à Kaboul, accompagné de la Kapisa à l'Helmand les militaires français dans leurs opérations de « contrôle de zone », casque lourd sur la tête et gilet anti-éclats sur le dos, partagé la tambouille des engagés afghans. Correspondant de l'AFP en Allemagne, il raconte la conférence de Bonn qui entérina le déploiement d'une « force multinationale de sécurité » pour assurer la transition de l'Afghanistan vers un État de droit. Il révèle aussi les tensions extrêmes qui opposèrent Chirac et Jospin au lendemain du 11 septembre 2001, lorsqu'il fallut se montrer solidaire des Américains jusque dans l'erreur. Ce livre n'est pas un essai, encore moins une thèse, mais un récit, qui alterne géopolitique et vécu à hauteur d'homme, explore au plus près du terrain les ressorts de la corruption, les errements stratégiques et diplomatiques, cette mécanique implacable qui a entraîné le monde dans cette guerre, la plus longue, la plus chère et l'une des plus vaines qu'ait connu l'Occident depuis des siècles.

09/2013

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Littérature française

Le bataillon de fer. La guerre du champagne, 9 avril 1911

Le 9 Avril 1919, François rentre de la guerre. Après avoir traversé la campagne allemande intacte... il traverse la Champagne où tout a été bouleversé par les quatre années de batailles, de tranchées, de bombardements, de gaz, de morts... Dans le train qui le ramène chez lui, il a tout le temps de se remémorer ce que sont ses origines et ce qu'il a vécu : Gerhard Ritzenthaler son père est né à Eguischeim en Alsace en 1854. Refusant d'être germanisé après la mainmise de l'Allemagne sur son pays, le garçon de 18 ans finit par se sauver pour regagner la France. Où il commence par faire les vendanges en Champagne. Pour finir par marier la jeune fille de la maison et devenir paysan et vigneron champenois, avec toutes les difficultés causées par l'invasion du phylloxera ce qui l'obligera à prendre un autre emploi pour pouvoir élever sa nombreuse famille. Mais c'est le quinzième et dernier de ses enfants, François qui reprendra le flambeau et prendra fait et cause dans la révolte de vignerons de l'Aube. Jusqu'à la marche du Bataillon de Fer le 9 Avril 1911. ?? ?? ?? ??

02/2011

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Histoire de France

Deux soldats corses dans la Grande Guerre. Vosges, Somme et Balkans

Dans ce livre, l'auteur nous raconte l'épopée de deux jeunes corses au destin happé par la Grande guerre. Des Vosges à la Somme puis jusque dans les Balkans, ils seront confrontés à l'âpreté des combats et à la dureté des conditions de survie. Ce livre est le récit reconstitué de ce qu'ils ont vécu, un récit à "hauteur d'homme".

05/2016

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Beaux arts

Les artistes modernes et la Grande Guerre. Les séjours à Barcelone

A partir de 1914, de nombreux artistes de la modernité trouvent refuge dans les pays restés neutres, les Etats-Unis, l'Espagne, le Portugal, la Suisse. Bien que tributaires des aléas de l'Histoire, ils trouvent les moyens de produire et de mener a? bien de nouvelles recherches. A Barcelone, comme a? Zurich, le travail des artistes est même plus novateur. La guerre semble avoir modifié la nature de leur créativité, qui devient une sorte d'exutoire face aux événements dramatiques. Ainsi, les "planqués" de Paris jettent les bases de langages plus audacieux, de l'abstraction a? l'anti-art, fondés sur une critique radicale de toute forme d'expression convenue, élitiste, y compris de l'art moderne.

08/2017

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Actualité et médias

Notre guerre secrète au Mali. Les nouvelles menaces contre la France

Le 11 janvier 2013, à la stupéfaction du grand public qui ne s'attendait pas à ce que la France entre en guerre, de surcroît seule, François Hollande déclenchait une opération préparée dans le plus grand secret depuis des mois : il fallait réagir à l'avancée des groupes armés de jihadistes installés depuis le début de l'année 2012 au Sahel, dans le nord du Mali, progressant en direction de la capitale, Bamako. Des combats, on ne vit rien ou presque : les islamistes furent mis en déroute. Mais aussitôt le conflit s'est transformé en une guérilla terroriste. Comment sommes-nous entrés en guerre ? Était-ce vraiment la seule solution pour déjouer les menaces pesant sur les Français et leurs intérêts ? Comment régler la question des otages ? La France est-elle engagée dans un conflit sans fin ? Pour la première fois, une enquête révèle les coulisses de cette guerre. Elle conduit le lecteur de l'Élysée au ministère de la Défense, de Bamako à Tombouctou, des mines d'uranium d'Areva au Niger au trafic de drogue qui transite par le Sahel vers l'Europe.

05/2013

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Critique littéraire

Ecrivains en guerre 14-18. "Nous sommes des machines à oublier"

Par son orientation plus littéraire qu'historique, ce catalogue d'exposition propose un transport inédit et original au coeur de la Première Guerre mondiale, notamment lors de la bataille de la Somme (dont on commémore le centenaire), à travers le regard et la voix d'écrivains qui l'ont vécue, de près ou de loin, des premières lignes à " l'arrière ", de la veille du conflit aux lendemains, quand l'expérience inouïe de la guerre continua à mobiliser la littérature. En évoquant les parcours et les oeuvres de grandes figures littéraires de langue française, allemande et anglaise tels que Blaise Cendrars, Ernst Jünger, Guillaume Apollinaire, J. R. R. Tolkien, Siegfried Sassoon, Isaac Rosenberg, August Stramm ou encore Joë Bousquet, Pierre Mac Orlan, Jacques Vaché, on s'intéresse moins à la valeur de témoignage des différents écrits, qu'à la part de création littéraire qui aura surgi du terrible chaos, parfois directement depuis le front pour certains et pour d'autres dans le retrait des années. Ils sont des hommes comme les autres, certes, et qui ont payé un lourd tribut - 560 noms gravés dans les tables de marbre du Panthéon - mais aussi, sous l'uniforme, des écrivains à l'oeuvre pour la mémoire et pour l'oubli, des voix en devenir menacées d'extinction, des hommes constamment travaillés par la condition humaine et soumis à l'expérience d'un feu qui n'avait rien de sacré, un feu absurde, atroce, un feu monstrueux de sang, de boue et d'acier, un feu innommable qu'il aura pourtant aussi fallu réduire en encre.

05/2016