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Mort en vrac à Morlaix

Extraits

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Loisirs

A bon port ! Quiz géo à l'apéro !

Voici un quiz qui va animer vos soirées entre amis. Le principe est très simple : faites tourner la roue, qui vous désignera un port ou une baie. Du port d'Amsterdam à la baie d'Hudson, en passant par le port d'Alexandrie ou la baie d'Along, on vous invite à faire le tour du monde ! Répondez ensuite à l 'une des questions contenues dans le livret correspondant, et testez votre culture : géographie, gastronomie, cinéma, musique, télévision... Il y en a pour tous les goûts ! A vous, par contre, de fixer les règles : quel gage donnerez-vous pour une mauvaise réponse ? On a bien quelques idées, mais là, c'est à vous de jouer !

10/2018

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Au-delà

La mort et son mystère. La trilogie en un seul volume : Tome 1, Avant la mort (1920) ; Tome 2, Autour de la mort (1921) ; Tome 3, Après la mort (1922)

Pour la première fois en un seul volume, le livre mythique du plus grand vulgarisateur français. A l'aide de plusieurs centaines de témoignages, l'auteur apporte des réponses à la question : et s'il y avait quelque chose après ?

04/2021

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Littérature française

Lettre à Jimmy. A l'occasion du vingtième anniversaire de ta mort

Né à Harlem en 1924, mort à Saint-Paul de Vence en 1987, noir, bâtard, homosexuel, écrivain, James Baldwin a combattu sans relâche la ségrégation raciale. Mais ce n'est pas à ce titre que l'admire Alain Mabanckou. Dans cette longue lettre qu'il lui adresse post-mortem, il salue en Baldwin l'esprit libre qui refusa, en littérature comme en politique, que sa lutte mène au repli communautaire. L'hommage épistolaire se mue alors en échange complice ; citations de l'œuvre du maître et commentaires se confondant presque pour rappeler qu'il n'est d'homme qu'universel. Alain Mabanckou et James Baldwin avaient bien des choses à se dire. L'un comme l'autre, ils n'acceptent que deux identités : celle d'écrivain, et celle d'être humain.

08/2007

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Religion

A toi, la Mort, j'ai à te parler. Thème n°3

Le mot "MORT" peut créer et nourrir notre angoisse: angoisse de souffrances, angoisse de tristesses, peurs du décès de ceux qui nous sont chers, peur de notre propre mort... Quels mots, quelles pensées exprimons-nous pour parler de cela autrement? La Mort, est-elle volontaire, ou n'est-elle qu'une conséquence? En fin de compte: Qui est-elle? Dans l'acte de mourir, qui décide quoi? La maladie? La vieillesse? Si je crois en Dieu, puis-je lui demander "pour quoi" et "pourquoi" il a inventé La Mort? Faut-il La contempler, ou continuer à regarder du côté de la Vie? De toute évidence, les interrogations les plus importantes demeurent : Qui décide? Mourir pour aller où? Le moment? Quand est-ce le moment? Vous voyez ce que je veux dire? Non pas du tout? C'est précisément pour cette raison, que je vous invite à Lui parler. Nous avons tous, dans le moment présent, tant et tant à Lui dire. Mais personne ne dit la même chose...

07/2010

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BD tout public

Jérôme K. Jérôme Bloche Tome 3 : A la vie, à la mort

Dans la froidure de Bergues, bourgade plantée à dix kilomètres à vol de solex de Dunkerque, sévit un maître-chanteur. Sorte de Robin des Bois des temps modernes, il extorque aux nantis l'argent qu'il redistribue aux laissés-pour-compte. Parmi les notables ainsi délestés, Sébastien Bloche, le tonton de Jérôme. C'est plus qu'il n'en faut pour attiser la curiosité de notre héros qui armé de son chapeau, de son imper et d'un rhume persistant, décide de mener l'enquête. A ses risques et périls ! La grisaille du Nord vire parfois au rouge sang...

10/2012

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Théâtre

Vrai et faux. Blasphème et bon sens à l'usage de l'acteur

Etre acteur, ce n'est pas une profession noble. Jadis les acteurs étaient enterrés à des carrefours avec un pieu enfoncé dans le coeur. Leur jeu troublait tant les spectateurs que ces derniers craignaient même leurs fantômes. Formidable compliment. Ces acteurs parvenaient à émouvoir le public non pas au point de se voir admettre au conservatoire ou célébrer dans la presse, mais au point que le public avait peur pour son âme. Voilà, il me semble, un objectif que l'on peut se fixer.

06/2010

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Littérature française

Autoportrait en nature morte

Pourquoi l'auteur s'est-il un jour intéressé aux natures mortes, ces peintures, d'un genre longtemps qualifié de mineur, qui, de Pompéi à Picasso, rythment l'histoire de l'art ? Peut-être parce qu'elles ressemblaient à sa vie : depuis des lustres, hormis l'écriture, il avait cessé toute activité publique, et, avec une jubilation paradoxale, se comparait volontiers à une cruche, une pomme, une chaise. Mais pourquoi écrit-on, alors qu'on a tout quitté ? Pourquoi, quand on a choisi les catacombes, reste-t-on toujours sensible aux critiques éventuelles ? C'est à travers le parcours chaotique de l'histoire de la peinture et de l'histoire de sa vie, que l'auteur s'arrête sur toutes ces questions : il ne cherche pas tant à y répondre qu'à les ouvrir, à les laisser ouvertes, peut-être enrichies par une si curieuse attention. Ni récit ni essai (et tout cela à la fois), cet ouvrage pour le moins singulier, ne défend aucune thèse, n'interprète rien, c'est un cheminement solitaire qui parfois, par sa construction même, ressemble à un labyrinthe. On y croise aussi bien Mallarmé et Van Gogh, que Bernard Frank et Goya, Samuel Beckett et Zurbaran, Mme de Sévigné et Picasso, Proust et Morandi, saint Augustin et Matisse, Michel Leiris et Cézanne, Freud et Manet, Musil et Soutine, Talleyrand et Hammershoi, Kafka et la dynastie Tcheou, Borges et les dinosaures, et peut-être surtout l'auteur lui-même, ses fantômes, ses hantises, ses attentions, ses négligences et son grand amour depuis longtemps perdu.

02/2020

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Policiers

Morte en mémoire vive

Joe Messenger ne supporte pas l'idée que la mort soit inéluctable. Brillant scientifique, il se lance dans l'expérimentation d'un superordinateur, ARCHIVE, capable de recueillir les consciences humaines pour prolonger la vie. Mais très vite, ARCHIVE semble développer sa propre personnalité... Une personnalité inquiétante, capable de dire à Joe que Juliet, la brillante étudiante qui le fascine, est " une sale petite garce ". Bientôt, les accidents macabres se multiplient autour de Joe : quand on joue à l'apprenti-sorcier, il y a toujours un prix à payer...

06/2014

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Littérature française

L'escroque-mort

La mort qui frappe indistinctement les humains, quel que soit leur âge ou leur condition, est souvent vécue comme une injustice voire une escroquerie. Cet ouvrage, à travers différentes références (Antigone, la déportation, les enfants morts-nés...) et à travers trois récits d'analyse, essaiera de montrer comment un sujet peut tempèrer, alléger l'accablement d'un deuil.

06/2020

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Littérature française

Ma première mort

"Le 22 mai 2018, l'Amérique perdit Philip Roth, et la France, un auteur plus discret, parti sur la pointe des pieds. Ce jour-là, en effet, Jean-Claude Lamy, 77 ans, apprit non seulement qu'il était mort depuis le 15 mai, mais aussi que ses obsèques venaient de se dérouler, à 10 heures, en l'église Notre-Dame des Champs, à Montparnasse..." Jérôme Garcin, L'OBS du 14 juin 2018. Jean-Claude Lamy découvre la méprise faite entre lui et son homonyme. Erreur qui vient sceller le lien entre deux Jean-Claude Lamy, amis de longue date, tous deux écrivains, bons vivants et joyeux drilles. Ma première mort, récit malicieux, entrecoupé de dialogues, de scènes d'impostures suscitées par leur même nom, est tissé de réflexions,d'anecdotes sur le monde passé et contemporain, sur la littérature, le cinéma, l'amitié...

10/2019

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Lecture 9-12 ans

Depuis ta mort

" Tu aurais pu m'accorder un délai supplémentaire; tu ne l'as pas fait et c'est pour ça que je t'en veux. " Ghislain n'arrive pas à sortir du brouillard dans lequel il se débat depuis la mort de son père. Comment accepter cette absence et continuer à vivre ? Heureusement, la vie est là, qui veille, et la douce Amélie aussi...

03/2004

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Religion

La mort heureuse

Ce livre a soulevé émotion voire scandale en Allemagne : comment un théologien catholique peut-il, ose-t-il, défendre l'idée d'une "aide à mourir", appelée aussi "suicide assisté" ou "accompagné", ou encore "euthanasie" ? C'est pourtant paradoxalement au nom de sa foi que Hans Küng défend une fin de vie digne de l'homme, de son humanité. Comment le Dieu bon qui a créé les humains voudrait-il qu'ils meurent dans les pires déchéances physiques ou psychiques ? Pour qui aspire à une vie éternelle, pourquoi retenir cette vie mortelle quand précisément "ce n'est plus une vie" ? "Un Dieu qui interdirait à l'homme de mettre fin à sa vie quand la vie lui fait porter durablement des fardeaux insupportables ne serait pas un Dieu amical à l'homme." Hans Küng parle pour lui-même et ne veut rien imposer à personne. Mais avec beaucoup de délicatesse et de nombreuses nuances, il revendique, pour les personnes très âgées devenues entièrement dépendantes, qui n'en peuvent plus de vivre, ou pour les grands malades incurables, accablés de souffrances insupportables, le droit de partir quand et comme ils le désirent, et d'être aidés physiquement et soutenus moralement dans cette ultime phase de leur vie. Ce livre est aussi un parcours simple, lucide et éclairant du "changement de paradigme" où nous sommes engagés aujourd'hui dans notre compréhension de la vie et de la mort humaine.

09/2015

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Poches Littérature internation

La petite mort

" Mieux vaut le faire savoir d'emblée : tout a sans cesse tourné autour de l'argent. La première chose importante qu'il m'ait dite fut : "Tu travailles trop dur." Bien entendu, le sexe entrait aussi en ligne de compte. Et, comme je suis peintre et que cela commandait à la fois ma vie et mon activité, force est de reconnaître que l'art était lui aussi en jeu. Commençons donc par là. J'étais un peintre qui jouissait d'une petite notoriété. Guère plus. Aujourd'hui, je suis un peintre qui jouit d'une grande notoriété. Et, à n'en pas douter, son rôle a été déterminant à cet égard... " Tout en exprimant ses convictions féministes, Mary Gordon porte un regard aigu et original sur l'art, l'argent et l'amour. Un roman subtilement provocateur.

02/2003

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Policiers

La Mort, simplement

À Quantico, la profileuse star du FBI, Diane Silver, est saisie d'une nouvelle enquête. Quatre doubles meurtres commis à Boston requièrent toute son expérience. Des couples de seniors ont été assassinés. Par ailleurs, toujours à Boston, de très jeunes enfants disparaissent. Les deux affaires sont-elles liées ? Après la mort de Susan Brooks - la « rabatteuse » qui a poussé quinze enfants, dont Leonor, la fille de Diane, au-devant de leur tortionnaire -, le doute envahit la jeune femme. Qui est au juste Rupert Teelaney, alias Nathan Hunter ? Un justicier ou un redoutable psychopathe, charmant et impitoyable, dont le plus grand plaisir est de tuer ? Lorsque Diane apprend le meurtre de son ami Yves Guéguen à Paris, ses soupçons au sujet de Nathan se renforcent… Après Une ombre plus pâle, une nouvelle traque pour Diane Silver.

12/2011

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Policiers

Mort...ou presque

Un riche entrepreneur. Une femme désirable. Une riche maison luxueuse. Un meurtre. Pour le commissaire Roy Grace de la police de Brighton, l'affaire est limpide : Brian Bishop a assassiné son épouse volage, empochant au passage une coquette prime d'assurance-vie. Les tests ADN ne laissent d'ailleurs aucun doute. Mais quelques détails ne contredisent pas cette version trop évidente. Le masque à gaz retrouvé sur la victime d'abord, puis l'alibi incontestable de Bishop, et enfin la sincérité de ses dénégations. Et quand survient un meurtre similaire, il n'y a plus qu'une seule certitude : quelque soit le coupable, il est d'une habileté diabolique et extrêmement dangereux...

03/2009

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Littérature française

Le Temps mort

Selon Jorge Luis Borges, le temps est un «problème inquiétant, exigeant, le plus vital peut-être de la métaphysique». Le temps où la vie est ruse de la mort, rêve agité où l'on n'étreint que soi-même, illusion à laquelle chacun, de méprise en méprise, s'efforce de croire. Et si, une fois pour toutes, le temps était mort ? A jamais mort ? Si le temps ne court plus, la réalité bascule et l'homme, voyageur égaré, s'avance dans l'inconnu, ce no man's land inquiétant... Ainsi ce dormeur éveillé qui, fou de solitude, parcourt une ville morte dans l'espoir de retrouver Myriam, une jeune fille entr'aperçue, un soir... Ainsi ce passager, qui monte par hasard dans un train fantôme sur une ligne désaffectée, et est irrémédiablement emporté. Vers quelle destination ? Instant fragile où l'amour unit les corps : Cyril oublie la maladie qui le conduit en cure pour se griser de Thérèse et de ses appas. Tandis qu'au dehors, la guerre frappe sans répit, perverse et foudroyante... Rêve, envers du décor ? René Belletto nous conduit ici de l'autre côté du miroir, en des lieux où le temps ne compte plus mais se conte...

06/2006

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Littérature française

La mort heureuse

Ce Cahier n° 1 contient exclusivement La mort heureuse, texte présenté et annoté par Jean Sarocchi. Il s'agit de la première entreprise romanesque d'Albert Camus, élaborée entre 1936 et 1938 (époque à laquelle il écrivait L'Envers et l'Endroit et Noces). Il travaillait encore à la remanier lorsque se forma en lui le premier projet de L'Étranger, auquel il ne tarda pas à se consacrer entièrement. On aurait donc tort de voir dans La mort heureuse une première version de L'Étranger, malgré la similitude du nom des héros. Le thème de ce premier roman est la recherche têtue du bonheur, fût-ce au prix d'un crime. Ses péripéties sont nourries de l'expérience d'une jeunesse difficile et ardente - pauvreté, maladie, voyages en Europe centrale et en Italie, vie communautaire sur les hauts d'Alger.

06/2005

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Policiers

Une mort absurde

Les Londoniens épuisés par 5 ans de conflit vivent dans la terreur des V1 d’Hitler. L’inspecteur Stratton trouve cependant l’énergie pour s’atteler à une nouvelle enquête : le décès suspect d’un médecin, puis d’une infirmière de l’hôpital de Fitzrovia Middlesex. Il semblerait qu’un individu passé maître dans l’art d’usurper les identités, évolue et tue à sa guise, et Stratton est prêt à en découdre avec cet homme sans visage… De son côté, Jenny, sa femme, croise la route d’une rescapée des bombardements qui affirme que son mari est un imposteur. Y a-t-il un lien entre le Centre de secours aux sinistrés, où elle travaille, et l’enquête de Ted à l’hôpital ? Au fur et à mesure que l’enquête s’épaissit, les Stratton découvrent qu’ils sont peut-être eux aussi en danger de mort… Un thriller psychologique mené de main de maître dans l’atmosphère lourde et irréelle d’une ville en ruines.

02/2012

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Policiers

La mort nomade

Usé par des années de lutte stérile contre le crime, l'incorruptible commissaire Yeruldelgger a quitté la police d'Oulan-Bator. Plantant sa yourte dans les immensités du désert de Gobi, il a décidé de renouer avec les traditions de ses ancêtres. Mais sa retraite sera de courte durée. Deux étranges cavalières vont le plonger bien malgré lui dans une aventure sanglante qui les dépasse tous. Eventrée par les pelleteuses des multinationales, spoliée par les affairistes, ruinée par la corruption, la Mongolie des nomades et des chamanes semble avoir vendu son âme au diable ! Des steppes arides au coeur de Manhattan, du Canada à l'Australie, Manook fait souffler sur le polar un vent plus noir et plus sauvage que jamais.

09/2016

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Science-fiction

La Mort blanche

Lorsque la voiture piégée explosa dans une rue de Dublin, John O'Neill vit mourir sa femme et ses deux fils par la faute d'un terroriste. Il était un génie, il devint le Fou. Il avait perdu toute raison d'exister sauf une, la vengeance : il allait faire partager sa souffrance par la Terre entière. Seul, dans un laboratoire de fortune, il fabriqua une arme bactériologique terrifiante, la peste blanche, qui tuait les femmes, toutes les femmes, sans remède. Dans ce livre terrible et vraisemblable, Frank Herbert, l'auteur de Dune, décrit le terrorisme absolu de l'avenir proche.

05/1999

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Policiers

Son autre mort

Alex mène une vie normale jusqu'à l'arrivée de l'écrivain Charles Bernier dans le gîte rural qu'elle tient avec son mari. Une nuit, l'homme essaie de la violer. En cherchant à se défendre, elle le tue. Paniquée, craignant que les conséquences de son acte ne détruisent sa famille, Alex dissimule le corps. Avant que la disparition de Bernier ne soit connue, et pour éloigner d'elle les soupçons, Alex décide de s'infiltrer dans son entourage pour trouver qui, parmi les proches de l'écrivain, aurait pu l'assassiner...

03/2019

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Littérature étrangère

Notre monde mort

Un chauffeur de taxi bolivien que les visions d'une passagère indigène hantent jour et nuit, un groupe d'enfants fascinés par la mort soudaine de leur petit camarade, une jeune femme en mission sur Mars à qui apparaissent des fantômes d'animaux, un photographe qui, lors d'une séance photo, voit les liens d'une famille se déliter sous ses yeux, ou encore une étudiante que la bigoterie maternelle entraîne dans la folie... Les nouvelles de Notre monde mort sont empreintes d'une étrangeté proche du fantastique et d'une tension palpable à chaque page. Le lecteur y pénètre en témoin et en ressort complice tant cette jeune auteur sait révéler les brèches qui ponctuent la réalité placide de notre quotidien et les élever au rang de littérature. C'est une voix forte, dérangeante, qui anime chacune de ces huit nouvelles qu'on pourrait lire comme de très courts romans. On y retrouve des obsessions chères à la littérature latino-américaine : le tiraillement entre modernité et tradition, l'interpénétration des cultures occidentales et indigènes, l'obsession de la mort et d'une nature animée. La plume assurée de Colanzi, son univers narratif singulier – qu'un critique a qualifié, à juste titre, de " science-fiction ancestrale " – a propulsé cette jeune auteure parmi les talents littéraires les plus prometteurs du nouveau boom latino-américain aux côtés, entre autres, de Samantha Schweblin ou Guadalupe Nettel.

05/2018

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Religion

Vie, mort, résurrection

Quel est le sens de la vie ? Pourquoi la mort ? Quel est le destin de l'homme, cet être en devenir de Dieu ? Par sa vie, sa mort et sa résurrection, Jésus répond à cet incessant questionnement en nous révélant l'insondable amour de Dieu : la Passion du Christ est une passion pour l'homme. Il lui faut sauver l'humanité, car l'homme est le sanctuaire de Dieu. Nous participons à ce plan de salut quand nous sauvons Dieu de nous-mêmes, de nos projections, car Dieu, que nous sommes tellement prompts à imaginer à l'instar des puissances humaines, sera éternellement crucifié tant qu'il y aura un seul être qui dira "non" . Voilà un avant-goût du message que livrait Maurice Zundel à l'occasion d'une série de conférences sur la Passion du Christ Pénétré de l'Esprit Saint, ce prédicateur était en avance sur son époque, et sa spiritualité, des plus actuelles, laisse entrevoir la vérité du chemin de notre salut qui passe par le Lavement des pieds pour vivre l'Eucharistie dans sa plénitude.

09/2002

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Littérature étrangère

Putain de mort

Sur fond de rock'n'roll, de drogue et d'images fulgurantes, le livre culte de Michael Herr, correspondant d'Esquire au Vietnam, est un des témoignages les plus forts jamais écrits sur la guerre. Voyage halluciné au bout de l'horreur, la fresque monumentale et enragée de celui qui collabora aux scénarios d'Apocalypse Now et de Full Metal Jacket dépeint, dans une langue crue et délirante, l'obscénité et la folie meurtrière des hommes, mais aussi les peurs et le sentiment de gâchis d'une nouvelle " génération perdue ".

02/2010

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Théâtre

Mort de chien

Ce soir, Mira, la belle entraîneuse du bar Mimosa, qui met les hommes dans sa poche, la reine de la route de Courtrai, ne vendra pas son corps. Une fille du bar voisin a été retrouvée assassinée. Georges, souteneur et amant de Mira, chroniqueur pour les arts plastiques au Courrier de la Lys, est contrarié. Mimi, la mère de Mira et patronne du Mimosa, se confie à Puma, son chien empaillé. PJ et Frans mènent l'enquête. Tandis qu'au son de la Traviata, le père de Mira lui apparaît vêtu de son uniforme de para. La catastrophe est elle inéluctable ?

04/2009

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Littérature française

Fête la mort !

Titre incantatoire, roman subversif pour de vrai (si le subversif a à voir avec la bousculade radicale des bourgeoises pudeurs), Fête la mort ! , huitième roman de Jacques Cauda, initiateur du courant pictural " surfiguratif ", écrivain prolixe et sur-énergique, est l'une de ses oeuvres la plus aboutie et la plus jubilatoire parue à ce jour. Si fêter la mort semble incongrue dans une société qui tend plutôt à la nier (vanité de la vie terrestre), Jacques Cauda se fait un plaisir de nous rappeler que mourir peut aussi être un art. Fête la mort ! prend à contre-pied, en la " surfigurant ", la formule de la pensée chrétienne " N'oublie pas que tu vas mourir ! " - Memento mori - et nous ramène, en artiste, à notre condition de mortel en faisant s'enlacer la fête et la mort dans une joute poétique et macabre.

09/2020

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BD tout public

La belle mort

"C'est comme ce film, là, tu vois : des insectes géants envahissent la terre, et il reste plus qu'un petit groupe de survivants. - Et du coup, ils font quoi, les types ? - Bah justement... ils savent pas."

09/2017

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Littérature française (poches)

Même pas mort

La langue française a parfois des ambiguïtés comiques. On dit de la mort qu'on la "trouve", alors qu'on ne la cherche pas. Et qu'on perd ceux qui la trouvent... C'est le cas de l'auteur, dont le père vient de mourir. De sous ses pins parasols, le défunt laisse des souvenirs inoubliables — et un grand gouffre au coeur. Carnet de deuil, hommage et lettre d'amour, ces quelques pages rembobinent la pellicule super-huit — pour rire, pour pleurer, pour chanter et crier encore et toujours : "Papa"...

11/2016

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Divers

Mort de rire

Reda et Yvonne sont tous deux étudiants à l'Ecole nationale de l'humour en création humoristique. L'un débute son parcours enthousiasmant d'un humoriste en herbe et l'autre termine sa scolarité et doit faire sa place au soleil dans le métier... Découvrir qu'on est drôle. Quelle condamnation.

11/2022

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Notions

Mort au peuple

Si la France pue c'est qu'on y bâfre encore la charogne des rois. Plongez tête la première dans le crâne d'un complotiste, éprouvez toutes les raisons de l'être. Le grand remplacement du réel vous conduit de toute façon à la folie, votre avenir est de finir en djihadiste dans une camisole de force. Le vertige ressenti à la lecture de Mort eu peuple de Marc Obregon n'est que l'antichambre de votre perte. Tout le monde finira par se payer votre tête. Vous ne reviendrez pas de ce cauchemar. Vous êtes seul. Vous vivez dans une banlieue grise entre deux bretelles d'autoroute. Vous tenez le monde et l'époque pour de grossières mascarades. Puis une rencontre vous montre la voie. Quelque chose est possible. La vérité est un combat. Il se gagnera au prix de quelques sacrifices, comme embrasser les théories complotistes les plus folles, appartenir à une secte chiite radicale, et envisager le terrorisme à grande échelle comme seul horizon existentiel. Islamisme, complotisme, obscurantisme technique et mirages de la Démocratie Planétaire : Mort au Peuple prend le pouls de notre époque. Il bat encore. Mais pour combien de temps ?

11/2022