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Narration d'une formation tant sur le plan politique que sentimental, "Les jeunes du Pô" demeure une œuvre méconnue d'Italo Calvino, souvent omise par les amateurs de littérature. Curieusement, ce livre n'a jamais vu le jour en tant que publication indépendante, ni dans son pays natal ni ailleurs. Entre 1948 et 1951, Calvino, figure littéraire engagée et affiliée au Parti communiste, nourrit le désir de narrer l'histoire de la classe laborieuse et de la culture industrielle. Malgré plusieurs tentatives, il parvient à finaliser ce bref ouvrage, "Les jeunes du Pô", sans pour autant y trouver satisfaction.
Parallèlement, il se lance dans la rédaction du "Vicomte pourfendu", ouvrant la voie à une nouvelle catégorie littéraire mêlant fable et conte philosophique. En 1957, Pier Paolo Pasolini suggère à Calvino de dévoiler "Les jeunes du Pô" dans sa revue Officina, une proposition que Calvino accepte non sans réserve, exprimant ses réserves sur l'ouvrage dans une "Note".
Malgré l'autocritique de Calvino, "Les jeunes du Pô" gagne à être découvert, car il aborde nombre de ses préoccupations centrales : travail, passion, urbanisme, environnement, engagement et quête d'équilibre avec l'univers. Au bord du fleuve Pô à Turin, lieu de rassemblement estival pour la jeunesse diverse, Nino, jeune travailleur venu de sa région d'origine, croise le chemin de Giovanna, représentante d'une bourgeoisie aisée et capricieuse.
Ce jeune homme se voit alors partagé entre ses responsabilités syndicales et l'aspiration à une vie heureuse, teintée de nuances stendhaliennes, à laquelle il aspire profondément.
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