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John Beckett

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Autres philosophes

Le Petit Thoreau illustré. 100 citations

Henry David Thoreau (1817-1862) connaît en son son heure de gloire en France. Le succès de ses oeuvres traduites témoignent de l'intérêt grandissant pour la pensée du sage de Concord (Massachusetts, Etats-Unis), mêlant considérations philosophiques, descriptions naturalistes et élan poétique. Avec son ami et mentor Emerson, il incarne d'abord l'une des grandes figures du transcendantalisme, courant spirituel et littéraire fondé sur un idéal de vie autonome et communautaire, au plus près d'une nature non corrompue. Dans son récit le plus célèbre, Walden ou la vie dans les bois, Thoreau mène une réflexion sur le sens profond de l'existence, en harmonie avec la vie sauvage et les éléments. Sa retraite dans une cabane construite de ses mains près d'un lac influença bon nombre d'exilés volontaires de la société marchande, de la beat generation et des hippies des années 60-70 jusqu'au vaste mouvement contemporain de retour à la terre. Ses textes et conférences pour la connaissance et la préservation de la nature sauvage font de Thoreau l'un des tous premiers précurseurs de l'écologie. Son engagement actif contre les autorités esclavagistes et en faveur de l'abolitionniste John Brown, évoqué dans son célèbre opuscule La Désobéissance civile, inspira profondément Tolstoï, Gandhi et Martin Luther King. A travers une centaine de citations choisies, Thoreau fait l'éloge d'une vie simple et intense, admire la beauté des fleurs et des bêtes, tout en dénonçant le monde fatigué, dominé par l'argent. Les dessins originaux de Daniel Maja accompagnent cette pensée fraîche et émancipatrice. Une chronologie réalisée avec le grand spécialiste Michel Granger situe Thoreau dans son temps. Les contributions du philosophe Gilles A. Tiberghien et du penseur révolutionnaire Raoul Vaneigem élargissent les horizons. Car, comme Thoreau, "nous voulons être les poètes de notre vie".

08/2021

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Rock

The Clash. L'expérience racontée par ceux que les Clash ont inspirés

Maud Berthomier raconte l'histoire des Clash année par année tout en mettant l'accent sur l'expérience à la fois musicale et culturelle que cette histoire représente aux yeux des plus grands fans du groupe. Un livre tout en souvenirs et témoignages, et des plus rares – ponctué à l'issue de chaque chapitre par des chroniques du journaliste Christophe Conte, des albums The Clash à Combat Rock. L'expérience Clash, cette histoire vécue – qui est peut-être la vôtre – est celle de musiciens aussi différents que Joe Talblot et Robert Del Naja des groupes Idles et Massive Attack ; celle de critiques de rock anglais, américains ou français sous l'ombre tutélaire de Lester Bangs comme Jim DeRogatis, John Ingham et Serge Kaganski. Ou encore celle d'hommes de l'image issus de la photographie, avec Richard Schroeder, ou du cinéma, avec F.J. Ossang. Maud Berthomier a interrogé chacun d'eux et dans les sept entretiens au long cours qu'elle a orchestrés, tous racontent en quoi les Clash ont changé leur existence et les ont inspirés. Avec les Clash, la musique devient une façon d'être au monde. Elle questionne l'art, le sexe et la politique, elle est un facteur de révélations, voire d'émancipation et de révolte. Alors, si vous êtes fan du groupe ou juste curieux de l'époque, jetez-vous dans ces pages et vous y (re)trouverez ce que les Clash étaient et restent encore aujourd'hui : les fers de lance d'une immense joie de vivre, d'un élan d'empathie et de générosité sans bornes, et d'un profond gage de franchise et d'exigence musicale. Et que puisse ainsi, avec vous, continuer le combat rock !

10/2021

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Histoire du droit

La justice au cinéma

Une analyse passionnante de la justice et du droit au cinéma à travers 20 grands classiques L'ambition de cet ouvrage est d'étudier les rapports entre la justice et le cinéma. Il ne s'agit pas d'analyser, avec une exhaustivité résolument impossible, les considérations de justice dans la multitude des oeuvres cinématographiques. Depuis que le cinéma est cinéma, la caméra explore et illustre l'idée de justice et tout ce que celle-ci suppose comme conséquences. Comment le cinéma se saisit-il de la justice, comment l'appréhende-t-il ? Qu'est-ce que le cinéma dit de la justice ? Les films de justice, filmés à un moment précis de l'histoire juridique, souvent contemporains du spectateur, avec une volonté de vraisemblance qui en fait régulièrement de fins documents, fouillés et approfondis, sont les témoignages d'une époque, d'un événement, d'une institution, voire d'une certaine conception de la justice. C'est l'objet de cet ouvrage, qui nous plonge dans l'analyse de 20 films, français ou étrangers, considérés comme des classiques du genre. 20 Films commentés Accusée, levez-vous ! (Maurice Tourneur, 1930) Jenny Frisco & Le Coupable (William Wellman, 1932 et Raymond Bernard, 1937) Vers sa destinée (John Ford, 1939) Boomerang ! (Elia Kazan, 1947) Le Procès Paradine (Alfred Hitchcock, 1947) Winslow contre le Roi (Anthony Asquith, 1948) Madame porte la culotte (Georges Cukor, 1949) Justice est faite (André Cayatte, 1950) Témoin à charge (Billy Wilder, 1957) Douze en hommes en colère (Sidney Lumet, 1957) Les Sentiers de la gloire (Stanley Kubrick, 1957) Autopsie d'un meurtre (Otto Preminger, 1959) La Vérité (Henri-Georges Clouzot, 1960) Le Septième Juré (Georges Lautner, 1962) Le Verdict (Sidney Lumet, 1982) Erin Brockovich. Seule contre tous (Steven Soderbergh, 2000) L'Hermine (Christian Vincent, 2015) La Tête haute (Emmanuelle Bercot, 2015) My Lady (Richard Eyre, 2018) Mon crime (François Ozon, 2023)

10/2023

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Sports de balle

Broadway Vitas. La vie folle de Vitas Gerulaitis, tennisman et roi de la nuit

Jet-set et match Pratiquer le sport et la fête au plus haut niveau : c'est impossible sur le papier, mais sur les courts de tennis et les pistes de danse, un homme y est parvenu. Il s'appelait Vitas Gerulaitis, il était " Broadway Vitas ". Qualifié de " plus grand playboy de l'histoire du tennis ", Vitas Gerulaitis possédait un charme d'autant plus dévastateur qu'il était flegmatique. Certes, il fut loin d'égaler les monstres de son époque, les Björn Borg, John McEnroe et Jimmy Connors, rivaux devenus amis, mais il cumula néanmoins les victoires, remporta vingt-cinq tournois dont l'Open d'Australie (1977), et atteignit même la place de numéro 3 mondial. Pourquoi " Broadway Vitas " ? Parce que cet Américain à la crinière de lion était une légende des night-clubs, dont le mythique Studio 54 où l'on prêchait la dépense, le rire, la drogue et le sexe. Il côtoyait les Warhol, Saint-Laurent, Stallone, Cher et Jagger, arrosait ses amis de champagne, attirait les femmes et accumulait les amours médiatiques - dont la joueuse Chris Evert, le top model Cheryl Tiegs ou encore l'actrice Janet Jones. Une vie à cent à l'heure qui s'acheva tragiquement. Il avait 40 ans. Le tennis d'aujourd'hui, comme tous les sports de haut niveau, est devenu une profession mathématisée où triomphent la statistique, le contrôle de l'image, le geste " chirurgical " et la décision glacée. Les champions contemporains sont des gens sérieux. Qui riment souvent avec ennuyeux. Ce n'était pas mieux avant, c'était juste plus amusant et plus extravagant. C'est pourquoi Vitas Gerulaitis nous manque. La flambe et la flamboyance, la générosité et l'hédonisme, la passion du jeu et de la jouissance : telles étaient les qualités de cet équilibriste de la vie auquel Florian Gazan donne ici la parole.

09/2023

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Littérature étrangère

Les aventures d'Elizabeth à Rügen

L'île de Rügen, en mer Baltique, au large de la Poméranie : falaises de craie, forêts de hêtres et de pins, étangs et lacs, stations balnéaires sans prétention. C'est là qu'Elizabeth quittant mari et enfants, a décidé de passer quelques jours en compagnie de sa fidèle femme chambre, Gertrud, avec sa victoria, son cocher, ses peignoirs et son carton à chapeaux. Mais sa solitude est bien troublée par la rencontre est bien vite troublée par la rencontre de l'insupportable épouse d'un évêque anglais - toutefois accompagnée de son fils "charmant de sa personne" - mais aussi d'une cousine depuis longtemps perdue de vue, dont la vie conjugale est fort troublée. Décidément les îles ne sont pas toujours des havres de calme propices à la solitude. Ainsi ce livre qui avait pour ambition d'être un petit guide de voyage, devient vite un récit plein de rebondissements qui témoignent du sens de l'ironie ainsi que de l'humour tendre et lucide qui sont la marque d'Elizabeth von Arnim. Cousine de la romancière Katherine Mansfield, Elizabeth von Arnim (1866-1941), est née Mary "May" Annette Beauchamp en Australie. Elle reçoit une éducation européenne avant d'entamer un grand tour à travers l'Europe, au cours duquel elle rencontre le comte Henning August von Arnim-Schlagenthin, un aristocrate prussien, cousin du poète romantique Achim von Arnim. Après quelques années passées à Berlin, elle découvre le domaine familial de Nassenheide et décide de s'y installer. En 1898, elle publie anonymement son premier ouvrage, Elizabeth et son jardin allemand, véritable événement littéraire de la fin du siècle. À la mort de son époux, elle s'installe en Suisse et entretient pendant un temps une liaison tapageuse avec l'écrivain H. G. Wells avant un remariage malheureux avec Lord John Russel.

04/2014

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Critique littéraire

Césaire, Perse, Glissant. Les liaisons magnétiques

Aimé Césaire. Saint-John Perse. Édouard Glissant. Trois des plus grands poètes de tous les siècles. Pourtant, il nous est difficile d’envisager une entité pareille. Dans l’ordinaire perception, on les distingue, on les oppose, on les distingue en les opposant. Le contexte historique et politique accuse cette perception d’antagonismes définitifs. L’homme de l’Afrique et de la Négritude. L’homme de l’universel conquérant, orgueilleux et hautain. L’homme des chaos imprévisibles du Tout-Monde. Derrière ces classifications, on sent bien que persiste notre impossibilité à envisager l’unité-diversité, les solidarités conflictuelles, les ruptures qui rassemblent, les écarts convergents. Dès lors, il nous faut tenter de deviner leur inévitable relation, ces "liaisons magnétiques" qui les rassemble sans les confondre, et qui nourrissent, et leurs mouvements particuliers et leurs musiques secrètes. La liaison magnétique est rétive aux rapprochements généralisants. Elle est tremblante, légère, subtile, réversible, diffractée et infime. Elle va de notes en contre-notes, de sentiments en longues rêveries. Sa fécondité provient de l’intensité des imprévisibles qu’elle suscite, des déplacements, combinaisons et dispositions nouvelles qu’elle suggère. Césaire. Perse. Glissant. La magnétique puissance de ces solitaires ne les rend-elle pas finalement solidaires ? Patrick Chamoiseau nous livre ci sa perception très libre de trois des plus grands poètes du vingtième siècle. Une année de lectures et de relectures, au fil des saisons antillaises, des vents, des chaleurs, de la pluie. De notes en contre-notes, au contact de ces forces poétiques, s’ouvre le mouvement océanique d’une conscience qui envisage son pays, dessine les contours de son Lieu, éprouve les événements contemporains, se questionne et questionne sans cesse les mutations imprévisibles et les beautés du monde.

10/2013

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Policiers

Vieux Bob

"C'est vrai, vieux Bob a pas pu s'empêcher. C'était si bon, le calme et puis la sciure sous son ventre, bref, il a pas pu se retenir. A coups de pompe dans le train il se traîne jusqu'à l'arbre, lève à peine la patte, fait trois gouttes qui se perdent dans ses poils". Un vieux clébard incontinent, un simple d'esprit fasciné par les avions, deux étrangers dans le métro qui ne savent se dire leur attirance... Les personnages de ces neuf nouvelles sont attendrissants. S'ils sont pathétiques ? Oui. Et meurtriers, souvent. A l'image de John Fante, Pascal Garnier donne toujours l'impression de se balader avec un couteau en poche. Mais chez lui, l'effarement ne conduit pas à la rage : nous sommes ici du côté du coeur. L'auteur de Comment va la douleur ? Et de La Théorie du Panda est mort en 2010. Le recueil Vieux Bob s'inscrit pleinement dans l'oeuvre de cet entomologiste sentimental. Les éditions in8 ont souhaité rééditer ce recueil paru aux éditions Syros en 1990 sous le titre "Cas de figures" . L'auteur dissèque des solitudes au long cours où animaux, jeunes et moins jeunes rivalisent de lassitude. Qu'advient-il alors de la banalité pesante et de ces êtres fossiles que les jours calmes et monotones assassinent sous un soleil de plomb ? Aux surgissements de coïncidences réelles ou simulées, l'habitude croise les fulgurances de l'inouï. A l'orée du tragique, dans un glissement palpable sous l'ivresse d'un quotidien qui n'en finit jamais de s'éteindre, la vie laisse alors entrevoir la mort - à moins que ce ne soit la mort qui, aux prises avec la vie, lui rende tout son éclat. Garnier distille la subtilité grossière d'une vie mortelle avec beaucoup de poésie.

09/2014

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Littérature étrangère

Aberration de lumière

Cette année-là, en 1939, dans la pension du New Jersey où ils passent les vacances, à la campagne, le jeune et enthousiaste Billy Recco, dix ans, est en quête d'un père, Marie Recco ; sa mère, née McGrath, jolie trentenaire fraîchement divorcée, coincée entre son fils et son père, étouffe du sentiment de ne pouvoir vivre pleinement sa vie ; John McGrath, veuf austère et aigri, soucieux des convenances, est en proie à une maladive inquiétude quant à ce qu'il qualifie d'"instabilité" chez sa fille, cependant que Tom Thebus, commercial passablement décomplexé, s'emploie à précipiter l'affrontement entre aspirations de Marie et courroux paternel. Se déroulant sur trente-six heures seulement, l'action du roman de Gilbert Sorrentino culmine avec la désastreuse tentative de séduction de Marie par Tom. A mesure que l'on change de point de vue, passant d'un personnage à l'autre, quatre histoires distinctes se détachent, quatre récits que l'écrivain enrichit progressivement de toute une panoplie de procédés littéraires fantaisistes et ludiques : bribes de souvenirs, lettres, jeu de questions-réponses d'une partialité poussée à son paroxysme, fragments de dialogues qui rejouent à l'infini des scènes fondatrices du passé ou renvoient à des notes de bas de page pour le moins originales, toutes plus ironiques les unes que les autres. Fascinantes, inoubliables, chacune de ces voix contribuent à faire apparaître un complexe et douloureux motif en forme de rêves impossibles et d'efforts n'obtenant nulle récompense. Fort d'une intime compréhension de quatre individus dont l'intégrité et les bonnes intentions sont constamment, et tragiquement, contrariées, mais néanmoins empreint d'un subtil humour, Aberration de lumière recrée magistralement une époque, un lieu et capture dans son essence même la tristesse d'existences qu'empoisonne la frustration tout en offrant une brillante étude psychologique sur un palpitant huis-clos familial.

01/2013

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Littérature française (poches)

Petit éloge des séries télé

Quelques-uns des droits du sériephile (en hommage à Daniel Pennac dans Comme un roman ) : Le droit de regarder des séries de toutes natures (et pas seulement celles que « les intellectuels » ou les « spécialistes » trouvent réussies). Le droit de regarder une série quand on veut, comme on veut, où l'on veut et à l’abri de toute censure. Le droit de regarder sans être jugé ou méprisé. Le droit de démarrer une série au quart de tour et puis de décrocher ; le droit de prendre une série en route après avoir longtemps reculé ou hésité. Le droit d'aimer (ou de détester) sans devoir se justifier. Écrites, tournées et diffusées en léger différé avec leur époque, les séries télévisées, tout comme le théâtre, la littérature, le cinéma et la bande dessinée, portent un regard sur le monde, encore plus contemporain, encore plus incisif : les meilleures séries sont des témoins stimulants de l’état du monde. Elles sont souvent audacieuses dans leur construction et leur propos volontiers impertinent, acide. Dans des séries anciennes, on peut ainsi se rappeler le badinage sexuel d’Emma Peel et John Steed dans Chapeau Melon et bottes de cuir ; la révolte métaphysique du n°6 face au lavage de cerveau politique dans Le Prisonnier ; les jeux subliminaux autour de l’imagerie gay des Mystères de l’Ouest ; la satire de la guerre froide dans Agents très spéciaux ; la description de la noirceur de l’humanité et de ses dilemmes dans La Quatrième Dimension et Star Trek). Des séries récentes comme Urgences et House, M.D. soulignent sans relâche les dilemmes éthiques et les conflits de pouvoirs suscités par les progrès de la technologie du soin, la surenchère biomédicale, les inégalités d’accès et le rôle des structures et professionnels de santé.

09/2012

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Policiers

Rampart Street

L’armateur John Benedict est retrouvé assassiné dans Rampart Street, l’une des rues les plus malfamées de Storyville, le célèbre quartier chaud de La Nouvelle-Orléans. La police conclut hâtivement que le notable a été la victime d’un maraudeur, mais la famille ne se satisfait pas de cette explication. L’affaire est donc confiée au détective créole Valentin Saint-Cyr, de retour après dix-huit mois d’absence. Il ne tarde pas à comprendre qu’on l’a recruté, non pour découvrir la vérité, mais pour enterrer cette histoire au plus vite. Il n’en faut pas plus pour lui donner envie de creuser davantage, d’autant que la jolie fille de la victime le soutient dans cette démarche.Plus obstiné et insolent que jamais, le détective se retrouve plongé au cœur d’un drame dont l’origine remonte au passé violent de La Nouvelle-Orléans qui continue d’être déchirée par les antagonismes raciaux.David Fulmer poursuit avec ce troisième volet des aventures de son enquêteur créole sa peinture de La Nouvelle-Orléans à l’aube du vingtième siècle. Il y approfondit des personnages croisés dans les deux premiers épisodes : la prostituée Justine Mancarre, toujours éprise de Valentin, le lieutenant de police Picot, son ennemi juré, le journaliste Joe Kimball, alcoolique impénitent et mémoire de la ville… A travers les destinées individuelles, l’auteur décrit une société métissée, passionnant microcosme où couvent des haines tenaces. Et bien sûr, le jazz demeure présent en arrière-plan dans tout le roman, pas seulement comme un décor mais comme incarnation de la vitalité et des contradictions qui définissent la ville. Une ville inépuisablement romanesque qui est sans doute le personnage principal du roman.Journaliste, homme de radio, documentariste et producteur de disques, David Fulmer est l’auteur de la série Valentin

02/2012

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Histoire internationale

Curieuses histoires des Assassinats

Le meurtre d'hommes et de femmes occupant une position élevée dans un but politique ou idéologique est une pratique aussi ancienne que le pouvoir politique lui-même. "Curieuses histoires des Assassinats" raconte l'histoire sinistre et sensationnelle à la fois de vingt siècles de meurtres politiques, de la Rome antique à nos jours. Ce livre présente le récit des assassinats les plus tristement célèbres de l'histoire, de la mort de Jules César en 44 avant J-C à la fusillade qui coûta la vie au Président Kennedy en 1963, en passant par le meurtre de Martin Luther King en 1968 et l'attaque terroriste fatale à Benazir Bhutto en 2007. Comme le révèlent les histoires présentées dans ce livre, l'assassinat est la méthode ultime pour obtenir un changement de régime. Il a permis de renverser des gouvernements, de plonger des pays dans le chaos, de déclencher des guerres et de soumettre des populations entières à la tyrannie. La capacité d'un meurtre politique à changer le cours de l'histoire a fait naître une nouvelle discipline, la spéculation contrefactuelle. Et si la voiture de l'Archiduc François-Ferdinand ne s'était pas égarée dans les rues de Sarajevo et qu'il avait échappé à son assassin ? Et si John F. Kennedy avait survécu ? Et si son frère n'était pas mort des mains de Sirhan Sirhan, et était devenu Président des Etats-Unis ? "Curieuses histoires des Assassinats" passe en revue tous les mobiles et toutes les méthodes des meurtriers, des coups de couteaux répétés à l'attentat suicide en passant par l'attaque aérienne. Du renversement dynastique au fanatisme religieux en passant par la "propagande par le fait". Parfois choquant, mais toujours passionnant et instructif, cet ouvrage offre un panorama spectaculaire et original sur plus de deux millénaires d'histoire mondiale.

03/2012

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Policiers

Au bout des docks

Le matin de Pâques, dans le quartier des docks de Cardiff, Jack Farissey, pharmacien alcoolique, se réveille sur une bâche en plastique dans l’arrière-boutique d’une officine douteuse, à côté de son ami d’enfance Jess Simmonds, musicien déchu. Leurs vêtements sont couverts de sang ; ils sont discrètement évacués par la pègre locale. Abrutis par la drogue et l’alcool, ils n’ont aucun souvenir de ce qui leur est arrivé la veille. Mais le quartier est en ébullition : une prostituée a été sauvagement assassinée dans un appartement sordide. Heureusement pour Jack et Jess, la police a deux suspects idéaux : les frères Baja, deux gangsters noirs contre lesquels avait témoigné la victime.Commence alors pour Jack une étrange odyssée à travers le quartier de Butetown, qu’un projet immobilier est censé rénover. Ce n’est pas seulement dans les ténèbres de la nuit du meurtre que son esprit s’aventure, mais dans celles de son propre passé et de celui de Jess et de ce qui les unissait à Victoria, la femme qu’ils ont tous deux aimée…Chronique terrible du Cardiff de la fin du siècle précédent, Au bout des docks est un roman noir au lyrisme désespéré, une plongée dans l’abîme le plus sombre du cœur humain, le plaidoyer convaincant d’un implacable moraliste.« Une histoire hantée qui parle d’illusions perdues et fait résonner dans nos mémoires les échos des romans les plus déchirants de Robin Cook. »Crime Time« Au bout des docks est un premier roman marquant qui nous offre l’une des meilleures études de l’alcoolisme dans la fiction contemporaine. »Time Out« Le Cardiff de Sean Burke est à l’égal du Brooklyn de Jonathan Lethem, du Nottingham de John Harvey ou du Washington de George Pelecanos- autrement dit au niveau des meilleurs.»James Sallis

06/2010

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Pléiades

Théâtre élisabéthain. Tome 2

"L'histoire littéraire du siècle de Shakespeare est assez peu connue, et l'on croit volontiers que "l'homme aux myriades d'âmes" a régné sur son temps comme un grand roi inattendu et solitaire", disait Maeterlinck. De fait, le prodigieux répertoire de l'Age d'or du théâtre anglais (appelé "élisabéthain", bien que les règnes de Jacques I ?? et Charles I ?? soient également concernés) paraît comme éclipsé par l'oeuvre de Shakespeare. Or il comprend des pièces majeures, dans la comédie, que Ben Jonson porte à son apogée, comme dans la tragédie qui, en Angleterre, se défie des règles classiques et pratique le mélange des genres. Maeterlinck ou Artaud ne s'y sont pas trompés, qui furent à la fois fascinés et révulsés par la noirceur de tragédies spectaculaires donnant libre cours aux passions les plus violentes, et électrisés par l'énergie qui se dégage des diamants noirs "infernalement vénéneux" composés par des "princes de l'horreur" (Maeterlinck encore). Ce répertoire fondamental a encore été assez peu porté à la scène en France, à l'exception peut-être de Dommage qu'elle soit une putain de John Ford, dont le succès de scandale ne s'est jamais démenti, ou de Volpone de Ben Jonson, mais via l'adaptation de Jules Romains. Cette anthologie donne à lire dans de nouvelles traductions un théâtre très varié - comédie des humeurs, comédie satirique, tragédie de vengeance, tragédie politique, tragédie domestique et tragi-comédie ; elle rend justice à une période flamboyante de la littérature anglaise et, au-delà du météore Marlowe et du grand Ben Jonson, fait mieux connaître les Dekker, Chapman, Middleton, Massinger, Ford ou Webster, pour qu'enfin Shakespeare puisse redevenir le contemporain de ses contemporains.

10/2009

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Pléiades

Théâtre élisabéthain. Tome 1

"L'histoire littéraire du siècle de Shakespeare est assez peu connue, et l'on croit volontiers que "l'homme aux myriades d'âmes" a régné sur son temps comme un grand roi inattendu et solitaire", disait Maeterlinck. De fait, le prodigieux répertoire de l'Age d'or du théâtre anglais (appelé "élisabéthain", bien que les règnes de Jacques I ?? et Charles I ?? soient également concernés) paraît comme éclipsé par l'oeuvre de Shakespeare. Or il comprend des pièces majeures, dans la comédie, que Ben Jonson porte à son apogée, comme dans la tragédie qui, en Angleterre, se défie des règles classiques et pratique le mélange des genres. Maeterlinck ou Artaud ne s'y sont pas trompés, qui furent à la fois fascinés et révulsés par la noirceur de tragédies spectaculaires donnant libre cours aux passions les plus violentes, et électrisés par l'énergie qui se dégage des diamants noirs "infernalement vénéneux" composés par des "princes de l'horreur" (Maeterlinck encore). Ce répertoire fondamental a encore été assez peu porté à la scène en France, à l'exception peut-être de Dommage qu'elle soit une putain de John Ford, dont le succès de scandale ne s'est jamais démenti, ou de Volpone de Ben Jonson, mais via l'adaptation de Jules Romains. Cette anthologie donne à lire dans de nouvelles traductions un théâtre très varié - comédie des humeurs, comédie satirique, tragédie de vengeance, tragédie politique, tragédie domestique et tragi-comédie ; elle rend justice à une période flamboyante de la littérature anglaise et, au-delà du météore Marlowe et du grand Ben Jonson, fait mieux connaître les Dekker, Chapman, Middleton, Massinger, Ford ou Webster, pour qu'enfin Shakespeare puisse redevenir le contemporain de ses contemporains.

10/2009

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Policiers

Motus et bouche cousue

Détenu au Manhattan Correctional Center Francis Xavier Meehan goûte pour la première fois aux joies des prisons fédérales. Ce qu'on lui reproche peut paraître mineur : après tout, il n'a fait que braquer un camion censé contenir du matériel informatique en provenance du Mexique. Comment pouvait-il savoir que ce camion transportait en fait des plis recommandés ? Lorsqu'on lui refuse une libération sous caution, Meehan se dit que, décidément, la malchance le poursuit. Jusqu'au jour où il est convoqué au parloir pour y rencontrer son avocat. Dès qu'il aperçoit le dénommé Jeffords avec sa veste sport à carreaux gris et verts, il sait que le type est un imposteur : aucun avocat ne s'habillerait de la sorte. Pourtant le marché que Jeffords, propose est beaucoup plus alléchant qu'il n'y paraît. Meehan sera -entièrement blanchi à condition qu'il dérobe une cassette vidéo compromettante pour le président en exercice, si compromettante qu'elle lui coûtera avec certitude sa réélection. Francis est d'accord, à condition qu'il puisse profiter du cambriolage pour ... cambrioler, puisque c'est tout de même son métier. C'est ainsi qu'il réunit une équipe de professionnels pas question d'embaucher des amateurs et de risquer un nouveau Watergate) en vue de préparer le coup... Même quand il ne met pas en scène John Dortmunder, notre cambrioleur préféré, Donald Westlake sait s'y prendre pour nous donner envie, l'espace d'un roman, de nous ranger du mauvais côté de la loi. Les aventures tragi-comiques de Francis Xavier Meehan sont un prétexte à l'exercice de sa verve satirique qui prend pour cible le système électoral et les politiciens américains. Dans les cas graves, mieux vaut rire que pleurer, et cela, Westlake le fait à la perfection.

11/2005

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Critique littéraire

Une histoire de la NRF

La Nouvelle Revue française a cent ans. C'est une longévité rare pour une revue de littérature et de critique. Aussi singuliers sont la notoriété et le rayonnement qui furent les siens dès les premiers temps de sa publication et durant tout le siècle. Quels étaient donc le projet et la situation d'André Gide et de ses amis cofondateurs pour que cette aventure se prolongeât si durablement ? S'agissait-il de faire école, d'élever une bannière ? Assurément non. Seulement, ici, la littérature a tous les droits. Rien ne lui est opposable. Ni la religion ni la politique, ni les moeurs ni la morale, ni la tradition ni la mode. Peu importe que l'on considère la parole de l'écrivain comme un don ou un effort, une aptitude ou une discipline. Seuls comptent l'intensité d'écriture et son pouvoir de révélation, cette singularité dans l'ordre de la connaissance et du discours qu'on lui accorde, au-delà de toute doctrine et "préoccupation" qui la limiteraient. "Sans prévention d'école ni de parti", telle fut La NRF : comme le disait Jacques Rivière, l'un de ses grands directeurs, "un lieu d'asile, imprenable, ménagé pour le seul talent, le seul génie, s'il veut bien se montrer". Et il s'est bien montré, avec Gide et Claudel, Proust et Martin du Gard, Larbaud et Supervielle, Saint-John Perse et Michaux, Malraux et Sartre, Alain et Blanchot... Et par la voix de tant d'autres, tous gravitant autour d'un même soleil. Cette chronique de La NRF, riche en amicales et laborieuses complicités mais aussi en querelles, questionnements et détours inattendus, montre à quel point cette singulière histoire éditoriale s'est entremêlée à un grand siècle de littérature.

02/2009

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Sciences politiques

La démocratie, état critique

Ces dernières années, l'extraordinaire fortune du terme « gouvernance » n'est certainement pas due au hasard, pas plus que la terminologie de l'évaluation et celle de la transparence qui l'accompagnent. « Gouvernance », « évaluation », « transparence » : voilà la nouvelle trinité d'une religion elle-même nouvelle, la religion managériale. Mais cette gouvernance est-elle compatible avec la démocratie ? Ne s'apparente-elle pas plutôt à une technologie gestionnaire qui aurait pour objectif à la fois d'esquiver la démocratie et, à terme, de lui substituer un nouveau paradigme de légitimité ? C'est là l'un des points majeurs que cet ouvrage tente d'élucider.Le paradigme de la légitimité démocratique a été attaqué de trois côtés : par la mondialisation du capitalisme, par des pratiques de gouvernance qui ruinent la dimension publique du politique et par une dérive de la démocratie elle-même, soit la distance qui s'est créée entre « la caste de pouvoir » et les citoyens ordinaires. Au-delà du diagnostic de l'état critique de la démocratie, le présent ouvrage a également pour ambition de montrer par quelles voies en sortir. Yves Charles Zarka est philosophe, professeur à la Sorbonne et à l'Université Paris Descartes. Il dirige la revue Cités (PUF) et a entrepris depuis une quinzaine d'année, entre autres choses, de repenser les fondements des démocraties occidentales. Son travail connaît une large réception internationale. Il a récemment publié Le Monde émergent 1 « Lieux » (Armand Colin), Le Monde émergent 2 « L'inappropriabilité de la Terre » (Armand Colin), Repenser la démocratie (Armand Colin) et Refaire l'Europe (avec Habermas) (PUF). Ont également contribué à ce volume : Gianfranco Borrelli (Naples), Maeve Cooke (Diblin), John Dunn (Cambridge), Franck Fischbach (Nice), Christian Godin (Clermont-Ferrand), Christian Lazzeri (Paris-Nanterre), Paul Mathias (Paris), Jacques de Saint Victor (Paris-Saint-Denis), Stefano Petrucciani (Rome), Jacques Taminiaux (Boston), Francesco Saverio Trincia (Rome), Hans Vörlander (Dresde).

10/2012

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Critique littéraire

La Nouvelle Revue Française : Table et index de 1908 à 1943

Etablis dans le cadre du Centre d'études gidiennes, ces table et index de La Nouvelle Revue française pour les années 1908 à 1943 constituent un indispensable outil de travail pour ceux que l'histoire de la littérature et de la vie intellectuelle et artistique intéresse. La première moitié du vingtième siècle est encore très favorable à l'épanouissement des revues littéraires, qui sont l'un des principaux rouages du dispositif éditorial et culturel alors en vigueur. Celle créée par André Gide et cinq hommes de lettres de ses amis, puis animée par Jacques Rivière et Jean Paulhan, y jouit très tôt d'une grande autorité et d'une audience élargie, tant en France qu'à l'étranger. Elle le doit autant aux auteurs qu'elle parvient à rassembler autour d'elle (de Claudel à Sartre, de Proust à Malraux, de Saint-John Perse à Supervielle, Ponge ou Michaux...) qu'à son considérable apport critique. Aventure collective aussi attentive aux postes avancés et marginaux de la pratique littéraire qu'à l'héritage des siècles passés, La NRF n'aura d'autre dessein que d'abriter une défense et illustration de la littérature, reconnue, parmi tous les autres ordres du discours, comme le haut lieu de la révélation et de l'épanouissement de l'humain. "Un groupement d'esprits libres" , disait Gide à propos des premières années de La NRF ; "sans prévention d'école ni de parti" , ajoutait Rivière. Cet index, republié dans le cadre de la commémoration du centenaire de la création de la revue, en apporte un sûr témoignage. 352 livraisons mensuelles - 1 100 auteurs et contributeurs - 9 500 textes et articles - 600 revues et journaux cités - 2 000 écrivains cités. Historique de la revue, avec des passages inédits des Cahiers de la Petite Dame, et bibliographie.

09/2009

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Histoire internationale

Jean Monnet. 1888-1979

Pour John Kennedy, il était " l'homme d'Etat du monde " ; de Gaulle voyait en lui " l'inspirateur " du processus d'intégration européenne ; selon Henry Kissinger, personne n'a plus fortement marqué notre temps. La personnalité comme le rôle exact de l'un des géants du siècle, Jean Monnet, restent pourtant mal connus. Tour à tour marchand de Cognac, promoteur de l'effort de coordination allié durant la Grande Guerre, secrétaire général adjoint de la SDN, banquier en Amérique et en Chine dans les années 30, maître d'œuvre du Victory Program aux Etats-Unis en 1941, premier commissaire général du Plan (1947-1952), initiateur en 1950 du plan Schuman qui posa la première pierre de l'Europe des Six, président de la Haute Autorité de la CECA, animateur jusqu'en 1975 du Comité d'action pour les Etats-Unis d'Europe, cet homme d'influence au rayonnement universel échappe aux classifications politiques et idéologiques habituelles. Afin de reconstituer son étonnant parcours, Eric Roussel a interrogé de très nombreux témoins, dépouillé les archives françaises et étrangères et exploité pour la première fois les fameuses " notes roses ", journal inédit où le père de l'Europe consignait ses réflexions et relatait ses entretiens avec des interlocuteurs tels que Roosevelt, Adenauer, Churchill, Brandt, Pompidou, Heath, Henry Kissinger, Valéry Giscard d'Estaing et tant d'autres. Plus de soixante années d'histoire européenne et française sont ainsi évoquées, et certains épisodes cruciaux - comme les événements qui se déroulèrent à Alger en 1943 - apparaissent sous une lumière nouvelle. Surtout, surgit le vrai profil d'un homme à la fois visionnaire et pragmatique, dont les vues non conformistes ont bouleversé la vie des Européens et dont les méthodes demeurent d'une surprenante actualité au moment où l'on s'efforce d'imaginer l'après-Maastricht.

06/2000

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Musique, danse

Paul McCartney

Qu'aurait été Lennon sans McCartney ? On ne sépare pas comme ça le duo de compositeurs le plus prolifique du XXe siècle – la vie s'en est assez chargée. Et sous ses apparences de gentil garçon, compositeur de mélodies sucrées, éternel numéro deux dans l'ombre du flamboyant John, Paul n'aurait-il pas été, finalement, le véritable capitaine du Yellow Submarine ? Le découvreur hors pair de nouveaux horizons musicaux, à la force créatrice débridée, plus détonante encore que celle de son acolyte ? Superbe évocation d'un demi-siècle de musique et de culture populaires, cette biographie fait aussi la part belle aux à-côtés de la légende, aux détails de la vie privée dans les époques pré- et post-Beatles qui ont compté dans le destin hors normes de ce petit gars de Liverpool : les méandres de l'enfance avec la mort prématurée de sa mère, Mary – qui lui inspirera plus tard Let It Be –, l'âge d'or des sixties, les années 1970 et la séparation du groupe, les abîmes dépressifs, ponctués de sursauts de génie avec Wings et sa muse, Linda Eastman, l'amour, la mort, une nouvelle muse, Heather Mills... Sexe, drogue, rock'n'roll, et l'un des divorces les plus coûteux et acrimonieux de l'histoire de la justice britannique. Chroniqueur éprouvé de l'histoire du rock, Philip Norman ajoute à son oeuvre une nouvelle pièce qui trouvera naturellement sa place dans la bibliothèque de tout beatlemaniaque qui se respecte. " La plus importante biographie de Paul McCartney jamais publiée. " The Washington Post. " Une biographie archi-détaillée... Vous pourrez même sentir l'odeur de la sueur, de la merde de rat et des moisissures du sous-sol du Cavern Club. " Rolling Stone.

09/2017

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Romans historiques

Morts pour la France. Tome 2, Le feu de l'enfer

1916-1917. La Grande Guerre fait rage. John Christopher Finlay, correspondant permanent en Europe du Washington Times, qui a noué depuis son arrivée à Paris en 1913 des amitiés et des amours dans tous les milieux de la vie parisienne, va se trouver plongé dans le feu de l'enfer. Il rencontre Joffre et Pétain qui vient d'être nommé à la tête de toutes les troupes de la région fortifiée de Verdun. Empruntant à plusieurs reprises la " voie sacrée ", Finlay mesure l'impressionnant mouvement de troupes et de matériel roulant vers les lignes de front. Au fil des semaines et des rumeurs, la vérité se fait jour dans sa tête : le projet du haut commandement allemand, qui voulait saigner à blanc l'armée française, a échoué, l'armée ennemie connaît la même hémorragie. En vivant des jours durant aux côtés des " poilus " dans la boue, parmi les rats et les morts, il mesure le gouffre qui sépare les décisions prises dans les états-majors et la réalité de cette guerre. A Paris la vie continue, la fête se déploie encore, mais elle se cache derrière les portes des restaurants des grands boulevards et celles des cabarets. Le Rendez-Vous de Mme Clarisse ne désemplit pas. Ardemment épris de Rosa di Bellagio et de l'actrice Isabelle Saynac, Finlay se passionne pour les destins labyrinthiques de ces jeunes femmes : les unes ne vivent que pour la révolution, les autres font une fulgurante carrière avant de tomber, telle Mata-Hari, victimes de leur séduction. Emporté par l'amour, la révolte, mais aussi la compréhension du patriotisme, Finlay - avec l'entrée en guerre des Etats-Unis en avril 1917- devient à son tour un combattant.

09/2003

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Photographie

Les photographes de la FSA Farm Security Administration. Archives d'une Amérique en crise 1935-1943

Entre 1935 et 1943, une équipe de photographes exceptionnels sillonne les Etats-Unis, avec pour mission d'enregistrer les méfaits de la plus terrible crise économique qu'ait jamais connue le pays, et qui se conjuguera avec les débuts de la Seconde Guerre mondiale. Engagés par la Farm Security Administration (FSA), une agence fédérale dirigée par Roy E. Stryker, qui est devenue, à partir de 1942, l'Office of War Information (OWI), ces opérateurs ont d'abord pour mission de rallier l'opinion américaine au programme économique du président Roosevelt, le New Deal. Ils ont reçu pour instruction de " photographier, partout sur le sol américain, tout ce qui paraît intéressant et vital ". Dorothea Lange, Ben Shahn, Walker Evans, Gordon Parks, Russell Lee, John Vachon et quelques autres, qui deviendront de talentueux photojournalistes ou d'incomparables artistes, vont ainsi mener l'archivage sans précédent d'une Amérique en crise, bien au-delà d'un travail de propagande. Il n'existait pas à ce jour d'ouvrage aussi complet que celui que nous présentent ici Gilles Mora et Beverly W. Brannan. Refusant l'illustration nostalgique d'une décennie trop souvent réduite aux clichés, les deux auteurs ont reconstitué l'esprit de ce travail photographique collectif. Pour la première fois, chaque photographe est présenté par le biais souvent complexe de la documentation par séries, comme le souhaitait Roy E. Stryker, privilégiant un ensemble cohérent d'images, plutôt que le tirage isolé. Choisies parmi les quelques 177 000 négatifs produits dans le cadre de ces missions, les illustrations de cet ouvrage sont, pour un grand nombre d'entre elles, inédites. Elles constituent le témoignage unique d'une méthode documentaire, devenue référence pour la photographie contemporaine. Ce livre est aussi un inestimable outil sociologique, qui exprime la grandeur d'un pays, représenté dans son humanité quotidienne.

09/2006

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Littérature française

Le festival n'aura pas lieu

Lucien Fabas est envoyé en reportage en 1952 sur le tournage de Mogambo, au Kenya, où il côtoie John Ford, Clark Gable, Ava Gardner et Grace Kelly. Il y rencontre la soeur d'Ava Gardner, Bappie, avec laquelle s'ébauche une liaison qui durera toute leur vie... On retrouve Fabas à partir de 1954, secrétaire général du Festival de Cannes. Il tente d'amadouer les terribles chroniqueuses hollywoodiennes qui boycottent le Festival, puis assiste à Madrid à une rixe entre les toreros vedettes Ordonez et Dominguin pour les beaux yeux d'Ava Gardner. Nouvel épisode romanesque : l'édition 1968 du Festival, troublée et finalement annulée en raison de la révolte des jeunes cinéastes menés par Truffaut et Godard. Passent Louis Malle, Lelouch, Polanski, Welles, Fritz Lang, la Begum... Fabas tente de sauver l'entreprise, en vain, et finit par aller se reposer dans sa propriété en Suisse, où de Gaulle, cousin de Madame Fabas, vient se ressourcer avant de regagner Paris et d'affronter la crise de 1968. La relation intermittente et compliquée avec Bappie se poursuit, tandis que Fabas chasse avec constance les films et les stars dont il doit alimenter le festival ressuscité. En 1972 vient le temps des honneurs, puis celui du retrait. Le roman s'achève à Londres, où vit Bappie, sur l'amorce d'un nouveau départ dans la vie. Un roman à la fois mythologique et mélancolique sur le Festival de Cannes, par l'homme qui en fut le Délégué Général durant 24 ans et le Président durant 12 ans. Gilles Jacob a savamment tissé des morceaux de bravoure purement romanesques et des épisodes inspirés par la vie de son prédécesseur Robert Fabre Le Bret, auquel il prête certains de ses propres sentiments nostalgiques.

04/2015

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Décoration

Cartier. Styles et stylos

Les instruments d'écriture, qui naquirent en Mésopotamie il y a cinq mille ans, connaissent aujourd'hui la plus radicale des révolutions technologiques. De l'antique pointe de roseau au clavier de l'ordinateur, ces outils pour compter, commercer, enseigner, transmettre et aimer, reflètent les civilisations comme aucun autre objet. Il y a mille façons de raconter leur histoire. Invité par Cartier - créateur d'objets d'écriture depuis 1868 - à évoquer cette légende, François Chaille s'est d'abord plongé dans les archives de la maison à Paris, Londres et New York. Dans ces vénérables registres où sont notés les noms de clients illustres et conservés dessins et photos, il a trouvé de quoi retracer toute l'histoire des objets d'écriture, depuis l'origine. Et les archives recèlent bien d'autres trésors, qui permettent d'évoquer aussi bien la nostalgie du porte-plume que la sensualité des matières précieuses de certains stylos ou la noblesse d'un papier à lettres. De ces archives ressurgit l'air du temps des années folles, à des princes tels l'Aga Khan, des hommes d'affaires tels John Pierpont Morgan, des femmes du grand monde telles Mona Bismarck, et surtout des écrivains, tels Guitry ou Kipling. En même temps se révèle l'extraordinaire savoir-faire de Cartier, qui sut répondre aux exigences de ces acheteurs de stylos avec la même créativité que la maison accordait aux somptueux joyaux. Enfin, pour décrire les temps présents, de la naissance des stylos Must au succès des Diabolo de Cartier d'aujourd'hui, François Chaille a quitté les archives pour rencontrer des créateurs bien vivants, dans les ateliers de la maison. C'est la passion de grands professionnels qui se lit ici, pour comprendre comment se conçoivent les plus beaux stylos du siècle nouveau.

11/2000

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Histoire ancienne

Abydos. Le temple de Séti Ier

En 1912, lorsque paraît Abydos. Le Temple de Séti Ier, Jean Capart n'en est encore qu'à l'aube de sa fantastique carrière, mais on devine déjà dans son récit les qualités qu'apprécieront son public et ses collègues égyptologues. Il récoltera les plus grands éloges Au printemps 1909, au cours de son quatrième voyage d'études en Egypte, Jean Capart se rend pour la première fois à Abydos. Ce site majeur, voué au culte d'Osiris, est situé à environ 500 km du Caire. Là, il réalise au total pas moins de 500 plaques photographiques. Capart sélectionne une cinquantaine de photographies qu'il transforme en clichés de projection en vue d'illustrer - chose rare à cette époque - ses cours et ses conférences. Le 5 mars 1911, à la demande de son ami Emile Guimet, il s'en va donner une conférence illustrée au Musée Guimet de Paris. Il y rencontre un succès tel que, de toutes parts, on lui suggère de coucher sa conférence sur le papier. Ce sera chose faite le 27 mai 1912, par un ouvrage comprenant une trentaine de pages de texte et 50 planches d'illustrations qui s'intitule Abydos. Le Temple de Séti Ier. Etude générale. Comme il se doit, il est dédicacé à John Garstang, l'homme qui l'avait accueilli à Abydos trois ans plus tôt. En publiant cet ouvrage, Capart n'a d'autre ambition que de donner une vue d'ensemble d'un monument auquel, depuis Auguste Mariette, extrêmement peu de publications ont été consacrées. Les magnifiques photos mettent en évidence la beauté brute des pierres et les bas-reliefs et les hiéroglyphes prennent alors toute leur signification. Jean Capart est considéré aujourd'hui comme le fondateur de l'égyptologie belge

10/2015

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Philosophie

Philosophie N° 64, décembre 1999 : William James

Considéré par Bergson comme le plus grand philosophe de son temps, William James est surtout l'un des fondateurs (avec Charles S. Peirce et John Dewey) du pragmatisme, c'est-à-dire de l'un des courants philosophiques majeurs du XXe siècle. Malgré la perte d'influence que son œuvre a connue progressivement aussi bien dans le monde anglo-saxon qu'en Europe continentale, du fait de l'émergence de la philosophie analytique héritière de Frege et de Russell, de l'empirisme logique issu du Cercle de Vienne, d'un côté, de la phénoménologie et du courant herméneutique, de l'autre, la philosophie de James frappe par l'originalité et la radicalité de ses thèses : une critique radicale de la notion de conscience et du dualisme qu'elle sous-tend, dont se fait l'écho un texte de 1905, rédigé en français et reproduit ici même ; un " empirisme radical " qui, au rebours de l'empirisme classique, ne part pas d'une poussière de sensations pour tenter de reconstruire, à partir d'elles, l'unité de l'expérience, mais recourt à une " expérience pure ", intégrale, fluente et réfractaire à la distinction du sujet et de l'objet ; une conception du soi (self) qui refuse de faire fond sur un moi substantiel et spirituel pour rendre compte de l'unité de la personne, mais accorde un rôle prépondérant, sinon exclusif, au corps ; une conception comportementale de la croyance et de la vérité. William James entretient, en outre, un débat permanent avec ses contemporains : de Pierce à Bergson, de Dewey à Mach ou à Helmholtz, de Spencer à Russell. Son œuvre se trouve ainsi au cœur d'un réseau de problèmes qui dessinent la cartographie de la philosophie de ce siècle.

12/1999

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Critique littéraire

Alfonso Reyes et la France

Les rapports de cet crivain et diplomate mexicain avec la France et les Franais, au Mexique, et au cours de ses diffrents sjours en France, en Espagne, en Argentine et au Brsil. Figure minente de l'Amrique latine au XXe sicle, pote, humaniste, dramaturge, le Mexicain Alfonso Reyes fut le plus francophile de sa gnration. Sur Rousseau et sur Proust, par exemple, il crivit les meilleures pages de critique qu'ait signes une plume trangre. Il fut le traducteur ingal de Mallarm. Reyes vcut en France des annes dcisives, 1913-1914, et 1924-1927. Il milita en faveur de la cause franaise dans le Madrid de 1914-1918 et dans le Mexique des annes 40. Il compare souvent Espagnols, Latino-Amricains et Franais : ces derniers ne sortent pas sans gratignures de l'observation objective qu'il fait de leurs qualits et de leurs dfauts. Le rcit de ses amitis avec Jules Romains, Larbaud, Paul Valry, Paul Morand, Adrienne Monnier, Saint-John Perse, Marcelle Auclair, entre autres, permet une approche nouvelle de ces crivains. Ils influencent Reyes, et Reyes les subjugue. Il se lia aussi avec la nombreuse colonie hispano-amricaine fixe Paris, et avec nos plus grands hispanistes, dont Foulch-Delbosc et Marcel Bataillon, Mathilde Poms et Jean Cassou. Alfonso Reyes reprsentait son pays Paris au moment o le Mexique de Calles pourchassait prtres et religieux : ses contacts avec Aristide Briand tmoignent des prolongements internationaux, encore mal connus, de ce conflit. L'uvre littraire et diplomatique d'Alfonso Reyes ajoute donc des pages dcisives l'histoire de l'amiti franco-mexicaine. Le livre de Paulette Patout invite d'autres recherches comparatistes entre la France et l'Amrique latine du XXe sicle.

08/1978

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Droit

Séparation des pouvoirs et contre-pouvoirs. Actes des 1ères journées scientifiques de droit constitutionnel - Palais des Congrès de Niamey, du 10 au 13 octobre 2017

Cet ouvrage propose l'intégralité des communications présentées dans le cadre des premières journées scientifiques de droit constitutionnel organisées à Niamey et consacrées au thème suivant : "Séparation des pouvoirs et contre-pouvoirs". L'ouvrage tente de remettre en lumière l'essence de la séparation des pouvoirs et l'esprit des contre-pouvoirs alors qu'ils ont toujours été au tenue des débats doctrinaux. Si Montesquieu a été le premier à systématiser (théoriser) la séparation des pouvoirs, l'idée avait déjà été formalisée par certaines avant lui (Aristote, John Locke...) ou approfondie par d'autres (Tocqueville, Benjamin Constant, Hobbes...) et plus proche de nous Eisenmranm, Carré de Malbert, Duguit, Vedel.... La tombée en désuétude de la théorie - constat pessimiste - ou son inadaptation aulx réalités contemporaines - vision optimiste - fait que l'on assiste aujourd'hui à la construction d'une notion de substitution, celle de conne-pouvoir. Mais le recours presque frénétique à la notion, dam le champ du droit constitutionnel et politique, comporte un risque principal : celui de la perte de toute portée explicative et de son sens critique. Qu'il s'agisse de constater les excès des contre-pouvoirs ou le déficit de contre-pouvoirs, le résultat est le même : si tout est contre-pouvoir alors rien n'est véritablement contrepouvoir ! D'opératoire, la notion devient superfétatoire ; d'essentielle dans la démocratie constitutionnelle, elle devient un accessoire de la démocratie constitutionnelle. L'idée centrale de la séparation des pouvoirs ne demande qu'à être oxygénée et reformulée avec les outils actuels de la démocratie constitutionnelle. De l'Esprit des lois à l'esprit des contre-pouvoirs il n'y a alors qu'un pas que ces journées scientifiques de droit constitutionnel nous donnent l'occasion de franchir.

04/2019

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Anglais apprentissage

Le discours radical en Grande-Bretagne, 1768-1789

?L'historiographie regroupe traditionnellement sous l'étiquette de "radicalisme" les tenants de la réforme du parlement britannique à la fin du XVIIIe siècle, au risque de placer dans la même catégorie des figures aussi différentes que Richard Price, le pasteur ami du genre humain, et John Cartwright, le réformateur animé par l'amour de la patrie. Qu'ont en commun les divers groupes désignés comme radicaux ? Telle est la question posée par Rémy Duthille dans cet ouvrage qui apporte une contribution originale aux débats actuels sur la nature du radicalisme dans l'Angleterre des années 1768 à 1789. En se fondant sur les comptes rendus et les publications des deux principales sociétés radicales londoniennes ainsi que sur les écrits de Cartwright et Price, Rémy Duthille décortique les stratégies rhétoriques et politiques du milieu radical qui visaient à limiter l'influence royale et à encourager la participation politique du peuple. Pendant la Guerre d'indépendance américaine, ces hommes sont écartelés entre leur soutien aux insurgés et leur fidélité à la constitution anglaise. A la fois Anglais et citoyens du monde, les radicaux prétendent concilier patriotisme et universalisme : fidélité à une tradition nationale et défense d'idéaux universels. Cette tension constitutive imprègne leur conception de l'identité nationale britannique et leurs rapports avec les réformateurs écossais et les révolutionnaires américains, puis français. Rémy Duthille démontre que la cohérence du discours radical britannique résulte de la tension entre deux traditions philosophiques convoquées conjointement : le droit naturel hérité de Locke et le constitutionnalisme anglais. Plutôt que d'intégrer les radicaux à un seul courant de pensée, Rémy Duthille analyse le caractère rhétorique et polémique du discours radical dans sa diversité, en montrant comment ces réformateurs transforment les discours et idées de leur temps en armes au service de leur combat politique.

11/2017

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Cinéma

Mes chères filles, je vais vous raconter...

En France, quand on évoque la famille Bruni Tedeschi, on pense d'abord à Carla, mannequin, chanteuse, ancienne Première dame, et à sa soeur aînée Valeria, actrice et réalisatrice. Et puis, on se souvient du très beau film autobiographique de Valeria, Un château en Italie, et le visage de Marisa, sa mère, nous revient en mémoire : ses yeux bleus de chat, son grand sourire, son port de tête et ses gestes gracieux. Marisa Bruni Tedeschi n'est pourtant pas qu'une mère - c'est une femme incroyablement indépendante qui a traversé le siècle et qui, aujourd'hui, s'adresse à ses filles pour leur raconter sa vie, ses secrets, ses joies et ses peines ; sa jeunesse en Italie pendant la guerre, la mort de son père, la rencontre avec son mari Alberto, leur exil en France, ses grandes histoires d'amour et sa passion pour le piano. Avec une incroyable générosité, et beaucoup de fantaisie, elle nous fait voyager : on est dans les coulisses des grands festivals de musique de Venise et de Spoletto ; on écoute les conversations des bonnes ; on passe à table avec la Reine d'Angleterre lors du voyage présidentiel de 2008 ; on visite tous les recoins du château de Castagneto ; on fume le cigare avec Nicolas Sarkozy au Cap Nègre ; on assiste à un dîner d'affaires avec Gérard Depardieu et John Travolta... Dans une galerie de portraits incroyablement vivants, elle nous présente ses amis les plus fidèles - musiciens, artistes, médecins, antiquaires - et, avec pudeur et tendresse, parle de ses filles - leur jeunesse, leurs relations, leurs carrières. Et dans des chapitres bouleversants, Marisa nous raconte les grands drames de sa vie : la perte de son mari et, dix ans plus tard, celle de son fils, à qui elle dédie ce livre.

05/2016